AI 'Cheating' App Founder Says Engineers Can't Make Good, Viral Content and That's Why Their Startups Flop
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Nous étions passés à côté d'une petite ligne dans le changelog des pilotes graphiques Adrenalin 25.10.2 que nous vous présentions hier soir. On commence par rendre à César ce qui lui revient : ce sont nos confrères de PC Games Hardware qui ont tiqué de leur côté sur cette fameuse ligne du changelog...
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Aux détenteurs de Radeon RX 5000 et RX 6000, voici une triste nouvelle : la version Software: Adrenalin Edition 25.10... [Tout lire] 
J’utilise la suite graphique Affinity depuis des années et je vous en parle depuis 2020 au travers des bons plans et de billets réguliers. Ainsi, je vous avais annoncé la sortie de la Version 2.0. Puis, il y a un an et demi, du rachat de la maison mère de cette suite par Canva. Aujourd’hui, nouvelle étape, la fusion des trois logiciels de dessin vectoriel, de retouche d’image et de mise en page en un seul. Ah, et au passage, une promesse de gratuité de l’ensemble « pour toujours ».

Je n’ai pas encore essayé cette nouvelle mouture, j’ai des licences payantes de la V1 et de la V2 et je préfère avoir des logiciels « séparés » plutôt qu’un seul. Dans l’absolu, je suis tenté de croire que la solution sera parfaitement exploitable et capable de remplacer efficacement les logiciels Adobe que sont Photoshop, Illustrator et inDesign pour de nombreux utilisateurs. Que vous soyez sur Mac ou sur PC, voir sur iPad, je vous encourage donc à tester le logiciel… en échange de votre inscription au service Canva.

La grande promesse de Canva avec ce rachat était de « ne rien changer » dans la logique de ces applications. En pratique, il y a déjà des changements puisque la triple application est désormais intégrée dans une seule. Un autre changement majeur est dans la « gratuité » du produit. En face d’une suite Adobe qui est proposée avec des abonnements aux prix élevés, l’arrivée d’un produit gratuit est a priori une bonne nouvelle. Si changement il y a, il ne semble donc ne pas être en défaveur du public.
Pourquoi une inquiétude alors ? Parce que les années passant, on s’est habitués à se rendre compte que la majorité des mouvements logiciels « positifs » étaient la première étape d’une plus large stratégie globale. En général, on n’est pas confrontés à des génies non plus. C’est souvent une réflexion en trois coups. Première étape on rachète en promettant que « Rien ne va changer », seconde étape « on change des trucs » et troisième étape « on cherche à en tirer un max de profit ».

Canva exige désormais que vous vous inscriviez à leur service pour pouvoir utiliser la suite Affinity. Pas un énorme sacrifice puisqu’il suffit d’un email pour créer un compte. La seule nuance entre un Affinity avec un compte Canva gratuit et un Affinity avec un compte Canva « Premium » – et donc payant – c’est la possibilité d’utiliser des outils IA dans ce second abonnement. Cela a d’ailleurs du sens parce que le recours à l’IA suppose des serveurs à faire tourner et donc des frais de gestion.
Ce qu’il y a d’inquiétant, c’est le futur. Le futur classique de ce genre d’opération, c’est un produit dont les compétences jouent aux vases communicants. Les fonctions de base qui étaient précédemment intégrées dans une version gratuite « pour toujours » pouvant d’un moment à l’autre basculer vers la version « Premium » payante. Et du reste, c’est parfaitement logique aujourd’hui. Il vaut mieux avoir 100 000 abonnés à une version payante que 10 000 000 à une version gratuite. La tentation de pousser à l’abonnement étranglera donc toujours les comptables de Canva. Et même si on reste le plus optimiste des utilisateurs, le futur semble déjà tout tracé. Le « Free Forever » n’est souvent qu’un slogan.

Pour le moment, les gens ayant eu la chance, ou la sagesse, d’acheter une licence pour la version Affinity V2, peuvent toujours télécharger leurs produits sur une page dédiée.
Affinity devient gratuit, entre bon plan et inquiétude © MiniMachines.net. 2025

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Mis en avant pour quelques euros, souvent comme produits d’appels, les chargeurs USB sont des produits star des plateformes de eCommerce Shein et Temu. Pour autant, l’analyse de Que Choisir est sans appel. La très grande majorité des produits sont non conformes aux exigences de sécurité et certains sont même dangereux.

Que Choisir a commandé 54 chargeurs USB sur les plateformes Shein et Temu à des prix variables allant de 2 à presque 19€. Sur cet ensemble, 21 ne proposaient pas le marquage réglementaire minimal : absence de voltage ou de logo de certification CE. Pire, 51 de ces chargeurs n’a pas réussi à passer les tests de résistance mécanique proposés. Broches électriques qui se tordent bien trop facilement, boitier qui casse lors d’un test de chute… Des problèmes qui indiquent une faible durée de vie et des risques déjà problématiques.
Pas moins de quatre chargeurs ont présenté des défauts électriques majeurs à cause d’un design inapproprié pouvant provoquer des arcs électriques. 14 sur les 54 ont atteint des températures supérieures au maximum demandé par la norme. Un des chargeurs aurait même pu faire bouillir de l’eau en dépassant les 100°C.
Que Choisir révèle que la pèche a été bien maigre, finalement seuls deux modèles ont proposé une normalisation et une résistance conforme aux normes européennes. Les autres pouvant provoquer des accidents graves : incendie, brûlure et décharges électriques.

Le marché mobile et tablette s’est drapé d’une nouvelle conscience écologique depuis 20201. Conscience qui leur a soufflé qu’il serait bien meilleur pour la planète de ne plus livrer de chargeurs USB avec leurs produits. Smartphones et tablettes ont ainsi vu leurs boites allégées de ces petits blocs taillés sur mesures pour recharger les appareils. Problème, cette disparition ne s’est pas accompagnée d’une baisse de tarif des matériels.

Le gros avantage qu’avaient ces chargeurs USB de marque était justement dans leur certification. Quand Apple, Samsung, OnePlus ou autre fabricant proposait un smartphone avec un chargeur, il s’assurait de deux éléments importants.
D’abord que ce chargeur serait aux normes, les marques ne veulent pas que leurs cargaisons de précieux smartphones se fassent intercepter en douane à cause d’une réglementation tatillonne. Cela forçait donc à passer par un vrai bureau de contrôle et assurait au client final la qualité des produits livrés.
Ensuite, et surtout, aucun grand fabricant de smartphone ne va intégrer un chargeur bas de gamme présentant un risque pour l’utilisateur final avec son matériel. Le risque de voir son client accidenté et, surtout, son matériel abîmé, étant bien trop grand. On imagine mal Apple ou Samsung livrer un chargeur à 2€ pour un smartphone à 800.

Des chargeurs USB classés par ventes et quelques inquiétudes…
Le résultat de ce choix a donc eu des conséquences assez simples. Les clients ayant perdu l’avantage du chargeur normé et pris en compte dans le prix global de l’engin se sont mis à les chercher ailleurs. Au moins cher, évidemment. Comme le prix du chargeur n’a pas été retiré du prix du produit et qu’un géant de la tech qui commandait des millions de chargeurs chaque année avait de bien meilleurs tarifs qu’un particulier. Il est impossible de retrouver un produit au même rapport qualité prix. Quand un Xiaomi ou un OnePlus obtenait un excellent chargeur pour quelques euros, Monsieur et Madame tout le monde se doivent de débourser quelques dizaines d’euros de leur côté pour un produit équivalent.
La conséquence logique est ce que l’on connait aujourd’hui. Les gens ne voient pas forcément de différence entre un chargeur USB et un autre chargeur USB. Le fait que l’électronique de l’un soit l’œuvre d’un ingénieur sous la supervision d’un bureau de contrôle n’est pas évident au premier abord. Et, pire que tout, c’est quasiment impossible à expliquer. Face à cela, il est logique qu’un internaute lambda, assailli de publicité pour des plateformes comme Shein et Temu, craque pour la solution dont il estimera le prix le plus juste pour son budget.
Que Choisir épingle les chargeurs USB de Shein et Temu © MiniMachines.net. 2025