A la recherche d'un passe-temps particulièrement chronophage ? Bonne nouvelle, le jeu offert en cette fin de semaine par Epic Games Store est Civilization VI. En édition Platinum, soit avec des extensions et DLC. De suite, ça calme un peu ! Et pour les fans, il y a d'autres DLC à récupérer moyennant finance.
C'est ici.
Comment, les détails de cette édition déjà bien complète ?
- Civilization VI - Pack scénario Vikings
- Civilization VI - Pack Pologne (scénario et civilisation)
- Civilization VI - Pack Australie (civilisation et scénario)
- Civilization VI - Pack Perse et Macédoine (civilisations et scénarios)
- Civilization VI - Pack Nubie (civilisations et scénarios)
- Civilization VI - Pack Khmers et Indonésie (civilisations et scénarios)
- Civilization VI : Extension « Rise and Fall »
- Civilization VI : Extension « Gathering Storm »
[…]
A California federal judge has ruled that three authors suing Anthropic for copyright infringement can represent writers nationwide whose books the AI startup allegedly pirated to train its Claude chatbot.
U.S. District Judge William Alsup said the authors can bring a class action on behalf of all U.S. writers whose works Anthropic allegedly downloaded from pirate libraries LibGen and PiLiMi to create a repository of millions of books in 2021 and 2022.
Alsup said Anthropic may have illegally downloaded as many as 7 million books from the pirate websites, which could make it liable for billions of dollars in damages if the authors' case succeeds.
Cancer death rates in the U.S. have fallen by approximately one-third since the 1990s when adjusted for age, according to data cited in a new analysis of global cancer trends. The decline represents a steady, year-over-year reduction that began in the early 1990s and continues across developed countries.
Prevention efforts have contributed substantially to the decline. Reduced smoking rates in wealthy nations prevented more than 3 million cancer deaths since 1975 in America alone. Britain's HPV vaccination program, launched in 2008 for teenage girls, produced a 90% reduction in cervical cancer rates among women in their 20s within 15 years. Treatment advances have transformed outcomes for specific cancers. Childhood leukemia, once virtually fatal, now has a five-year survival rate above 90%.
Researchers have identified inexpensive drugs with cancer-prevention properties, including aspirin, which cuts bowel cancer risk in half for patients with Lynch syndrome. Future progress faces obstacles, however, including high treatment costs and planned cuts to the National Cancer Institute under the Trump administration. China overtook America as the primary source of cancer research in 2025.
Cerballiance, entreprise disposant de plus de 700 laboratoires d’analyses en France, a annoncé la constitution d’un entrepôt de données de santé (EDS). Au-delà des buts poursuivis, cette étape pose des questions légitimes sur la confidentialité des données.
Les entrepôts de données de santé existent depuis des années en France. Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé, on en comptait une centaine au 1er janvier 2025. Leurs objectifs sont toujours les mêmes : rassembler une vaste quantité de données « à des fins de pilotage (gestion, contrôle et administration de l’activité) et de recherches, d’études, d’évaluations dans le domaine de la santé ».
Aussi, l’annonce de Cerballiance pourrait sembler n’être qu’un EDS de plus dans la liste des entrepôts officiels et autorisés par la CNIL. La Commission fournit d’ailleurs un référentiel pour la création de ces structures. Pour obtenir l’autorisation d’ouvrir l’EDS, « l’organisme responsable de ce traitement est tenu de documenter sa conformité au RGPD et au référentiel dans son registre des activités de traitement ».
À quoi doit servir cet entrepôt de données ?
L’EDS annoncé par Cerballiance ne concerne pas l’ensemble des clients. Dans la longue annonce de l’entreprise, on peut ainsi lire que seuls 24 laboratoires sont concernés. Bien que Cerballiance ne le précise pas, il pourrait s’agir d’un début, même si une montée en puissance nécessiterait une nouvelle autorisation de la CNIL. La société indique que l’EDS reprendra les données précédemment générées depuis le 1er janvier 2023 et y ajoutera toutes celles collectées à compter du 1er septembre prochain.
Les objectifs de l’EDS de Cerballiance se répartissent en deux catégories. D’abord, pour « améliorer la santé de chacun », via la compréhension qu’impliquent les traitements envisagés : statistiques plus fiables que dans le cadre d’essais cliniques traditionnels, recherches sur des données à grande échelle, etc. Cette mission, de type service public, doit faciliter le suivi et la surveillance épidémiologique pour les autorités de santé. L’EDS doit également profiter à des organismes de recherche publics, comme l’Institut Pasteur, l’INSERM ou encore les étudiants en thèse de médecine.
Il y a ensuite une composante privée. Cerballiance cite plusieurs exemples : « Des fournisseurs de kits de diagnostic souhaitant en améliorer les performances, des industriels du médicament devant surveiller l’efficacité d’un traitement au sein de la population générale ou encore une start-up développant un nouveau marqueur de diagnostic pour l’endométriose ».
L’exploitation des données doit ainsi faire avancer la recherche et les pratiques médicales ou à tout le moins permettre des études de faisabilité sur ces recherches. Cerballiance ajoute à l’exploitation privée une dimension de « meilleure connaissance » des patients, pour proposer des « tests les plus adaptés à leurs besoins ». Sur ce point, l’entreprise évoque seulement la production d’indicateurs pour le pilotage stratégique de l’activité des laboratoires.
De manière générale, ces objectifs sont classiques dans le contexte des EDS. La constitution de l’entrepôt européen EMC2, sous l’égide du Health Data Hub français, en abordait par exemple plusieurs, dont l’efficacité des traitements à des fins de pilotage, à destination notamment de l’agence européenne du médicament.
Les données concernées
Selon Cerballiance, les données seront de deux types. D’abord, les informations directement identifiantes : nom, prénom, adresse postale, date de naissance et les coordonnées de contact (essentiellement e-mail et numéro de téléphone). Ce sont, en d’autres termes, les informations administratives.
Seul un petit nombre de personnes strictement habilitées est censé pouvoir y accéder. Selon Cerballiance, il faut avoir une habilitation de niveau administrateur ou être un chercheur interne, à des fins de pré-screening (repérage des patients pouvant correspondre à la cible d’une étude) ou de prise de contact (nous y reviendrons).
Viennent ensuite les données de santé proprement dites. Elles sont pseudonymisées uniquement et ne sont, en tant que telles, pas directement identifiables (nous y reviendrons également). C’est le cœur sensible de l’entrepôt, puisque ces informations renvoient directement au parcours médical des personnes : examens de biologie médicale, antécédents, données cliniques diverses, informations sur les traitements, voire régime alimentaire dans certains cas. Elles sont à la fois couvertes par le secret médical et considérées comme « sensibles » par le RGPD.
Si la communication de Cerballiance parait claire et détaillée, elle témoigne également d’une certaine dualité. Cet EDS reste avant tout le projet d’une entreprise privée qui, si elle compte contribuer à la santé publique, a également ses propres objectifs.
La principale pierre d’achoppement réside dans la sécurité des données et leur confidentialité. Cerballiance indique par exemple que les informations sont stockées en Europe. Elle ne donne cependant aucun autre précision, les patients pouvant témoigner un intérêt pour le pays où sont stockées leurs données.
Et alors que ce stockage devrait assurer la résistance aux lois étrangères à portée extraterritoriale (en premier lieu celles des États-Unis), Cerballiance indique que les données peuvent « faire l’objet d’un accès à distance depuis un tel pays dans des cas très limités, notamment dans le cadre de prestations de maintenance de l’EDS réalisées par l’un de nos sous-traitants ». L’entreprise ajoute que cet accès se fait depuis « des pays reconnus par la Commission européenne comme assurant un niveau de protection équivalent à celui du RGPD ». Or, c’est officiellement le cas des États-Unis à travers le Data Privacy Framework. Une situation complexe, que le retour de Donald Trump a rendu encore plus opaque.
À titre d’information, le site de Cerballiance est hébergé chez Amazon Web Services, mais l’espace client est confié à Atos.
Opt-out uniquement
Puisque l’on parle de données, les choix faits par Cerballiance sur la confidentialité peuvent également faire hausser quelques sourcils. Les données de santé ne sont ainsi que pseudonymisées, et non anonymisées. En outre, puisque l’entreprise évoque explicitement la possibilité de contacter la patientèle, le faisceau pointe vers un mécanisme pensé dès le départ pour la ré-identification.
Cependant, il y a deux « bons points » à noter. D’une part, les chercheurs accédant aux données ne verront que leurs versions pseudonymisées. D’autre part, ces accès se font au moyen de « bulles informatiques sécurisées » et les données ne sont jamais extraites de l’entrepôt. Dans le cas contraire, selon Cerballiance, les informations seraient obligatoirement anonymisées. Dans ce contexte, il faut rappeler que l’entreprise avait été victime d’une fuite de données par l’intermédiaire de « son prestataire informatique ».
Enfin, Cerballiance contacte actuellement les personnes concernées par son EDS (a priori tous les patients passés au cours des deux dernières années dans les 24 laboratoires visés), mais l’acceptation est automatique. Un opt-out (via ce formulaire) qui suppose que la patientèle verra l’information et aura le temps de s’opposer au traitement si elle le souhaite, puisqu’il reste moins d’un mois et demi. De même, il n’est rien précisé sur le contrôle que l’on pourra exercer lors du partage avec des acteurs privés, pas plus que sur la période rétroactive démarrant au 1er janvier 2023.
Nous avons contacté Cerballiance, qui n’a pas encore répondu. Nous mettrons à jour cet article avec les réponses obtenues.
Alors que Meta vient de racheter 49 % des parts de Scale AI et de débaucher son fondateur, cet acteur phare du marché de l’annotation de données licencie 14 % de ses effectifs.
Mark Zuckerberg a jeté toutes ses forces dans la bataille de l’IA. Après avoir passé plusieurs semaines à débaucher des scientifiques et ingénieurs en vue dans le secteur, le patron de Meta vient d’annoncer des investissements de l’ordre de « centaines de milliards de dollars » dans des centres de données et des supercalculateurs dédiés à l’IA.
Ces déploiements de capitaux sont loin de profiter aux travailleurs du clic qui œuvrent à l’entraînement des systèmes d’IA, en revanche. Pour preuve, Meta a beau avoir dépensé plus de 14 milliards de dollars pour racheter 49 % des parts de Scale AI et débauché son fondateur Alexandr Wang, cet acteur phare de l’annotation de données annonce licencier 200 personnes et cesser de travailler avec 500 sous-traitants.
Son porte-parole explique que la décision doit permettre de « rationaliser [leurs] activités liées aux données pour [les] aider à évoluer plus rapidement ». La société prévoit par ailleurs d’embaucher dans d’autres domaines, dont la vente aux entreprises et aux gouvernements.
D’après un mémo obtenu par Bloomberg, le PDG par interim de l’entreprise, Jason Droege, aurait expliqué aux équipes de Scale AI que son activité d’annotation de données auraient embauché trop de gens trop rapidement au fil des années passées, ce qui aurait créé une « bureaucratie excessive et une confusion inutile sur les missions des équipes ».
Le quasi-rachat de Meta a aussi participé à la décision, dans la mesure où il a été suivi par la suspension de certains de ses contrats les plus importants, avec des acteurs comme OpenAI et Google (Alphabet).
La décision ne se fera pas sans toucher des personnes aux conditions de travail déjà complexes. La chaîne de production de l’IA est en effet constituée de trois couches principales, pour reprendre les explications du sociologue Antonio Casilli : les géants détenteurs de données, les acteurs intermédiaires comme Scale AI, qui répartissent les travaux, et la « grande masse des travailleurs », quelquefois seuls chez eux, quelquefois réunis en petits groupes ou entreprises de taille plus modeste. Or, avant les licenciements, Scale AI comptait 1 400 employés et des milliers de ces sous-traitants, partout sur la planète, d’après CNBC.
Fondée en 2016 par un Alexandr Wang âgé seulement, à l’époque, de 19 ans, Scale AI s’est, en l’occurrence, spécialisée dès le départ dans l’offre de services d’annotations de données et d’entraînement de système d’IA de qualité, à bas coût.
Comme le raconte la journaliste Karen Hao dans son ouvrage Empire of AI, l’entreprise est parvenue à déployer ce modèle en allant cherchant ses travailleurs du clic dans d’anciennes colonies britanniques – le Kenya, les Philippines –, mais aussi en découvrant, à la faveur de la crise économique vénézuelienne, comment convaincre quantité de personnes éduquées à travailler pour sa plateforme.
« Cette expérience est devenue leur méthode classique d’intervention, qu’ils ont réutilisée ailleurs, explique-t-elle à Next. Quand la pandémie a frappé, Scale AI s’est tourné vers tous les pays où les économies se sont retrouvées en souffrance, et où de nombreux travailleurs très qualifiés devenaient disponibles pour des salaires bas, faute de trouver d’autres emplois ».
Une fois qu’une masse critique de travailleurs est atteinte, Scale AI tend à réduire les salaires proposés pour chaque tâche, ou à placer les personnes en compétition les unes contre les autres.
Si d’autres entreprises ont tenté de proposer de meilleures conditions de travail, des périodes de tensions budgétaires comme celle provoquée par la pandémie ont poussé leur clientèle vers des sociétés proposant des tarifs plus faibles, comme Scale AI.
Un secteur en pleine reconfiguration
Au Kenya comme au Népal ou ailleurs, de nombreux employés ont mécaniquement dû se tourner vers la société cofondée par Alexandr Wang, ce qui a permis à cette dernière d’engranger 870 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2024, d’après Bloomberg.
Si la société s’est placée en leader de cette étape de la chaine de production des systèmes d’IA, elle doit néanmoins composer avec une concurrence active d’entreprises variées, parmi lesquelles Turing, Invisible Technologies, Labelbox, ou même Uber.
Surtout, son PDG par intérim indique qu’un axe de travail consistera à tenter de reconquérir « les clients qui ont ralenti leur travail avec nous ». Jason Droege indique par ailleurs que des personnes seront embauchées pour créer des applications d’IA personnalisées pour les besoins de la nouvelle clientèle privée et publique que Scale AI prévoit d’approcher.
Cerballiance, entreprise disposant de plus de 700 laboratoires d’analyses en France, a annoncé la constitution d’un entrepôt de données de santé (EDS). Au-delà des buts poursuivis, cette étape pose des questions légitimes sur la confidentialité des données.
Les entrepôts de données de santé existent depuis des années en France. Selon les chiffres fournis par le ministère de la Santé, on en comptait une centaine au 1er janvier 2025. Leurs objectifs sont toujours les mêmes : rassembler une vaste quantité de données « à des fins de pilotage (gestion, contrôle et administration de l’activité) et de recherches, d’études, d’évaluations dans le domaine de la santé ».
Aussi, l’annonce de Cerballiance pourrait sembler n’être qu’un EDS de plus dans la liste des entrepôts officiels et autorisés par la CNIL. La Commission fournit d’ailleurs un référentiel pour la création de ces structures. Pour obtenir l’autorisation d’ouvrir l’EDS, « l’organisme responsable de ce traitement est tenu de documenter sa conformité au RGPD et au référentiel dans son registre des activités de traitement ».
À quoi doit servir cet entrepôt de données ?
L’EDS annoncé par Cerballiance ne concerne pas l’ensemble des clients. Dans la longue annonce de l’entreprise, on peut ainsi lire que seuls 24 laboratoires sont concernés. Bien que Cerballiance ne le précise pas, il pourrait s’agir d’un début, même si une montée en puissance nécessiterait une nouvelle autorisation de la CNIL. La société indique que l’EDS reprendra les données précédemment générées depuis le 1er janvier 2023 et y ajoutera toutes celles collectées à compter du 1er septembre prochain.
Les objectifs de l’EDS de Cerballiance se répartissent en deux catégories. D’abord, pour « améliorer la santé de chacun », via la compréhension qu’impliquent les traitements envisagés : statistiques plus fiables que dans le cadre d’essais cliniques traditionnels, recherches sur des données à grande échelle, etc. Cette mission, de type service public, doit faciliter le suivi et la surveillance épidémiologique pour les autorités de santé. L’EDS doit également profiter à des organismes de recherche publics, comme l’Institut Pasteur, l’INSERM ou encore les étudiants en thèse de médecine.
Il y a ensuite une composante privée. Cerballiance cite plusieurs exemples : « Des fournisseurs de kits de diagnostic souhaitant en améliorer les performances, des industriels du médicament devant surveiller l’efficacité d’un traitement au sein de la population générale ou encore une start-up développant un nouveau marqueur de diagnostic pour l’endométriose ».
L’exploitation des données doit ainsi faire avancer la recherche et les pratiques médicales ou à tout le moins permettre des études de faisabilité sur ces recherches. Cerballiance ajoute à l’exploitation privée une dimension de « meilleure connaissance » des patients, pour proposer des « tests les plus adaptés à leurs besoins ». Sur ce point, l’entreprise évoque seulement la production d’indicateurs pour le pilotage stratégique de l’activité des laboratoires.
De manière générale, ces objectifs sont classiques dans le contexte des EDS. La constitution de l’entrepôt européen EMC2, sous l’égide du Health Data Hub français, en abordait par exemple plusieurs, dont l’efficacité des traitements à des fins de pilotage, à destination notamment de l’agence européenne du médicament.
Les données concernées
Selon Cerballiance, les données seront de deux types. D’abord, les informations directement identifiantes : nom, prénom, adresse postale, date de naissance et les coordonnées de contact (essentiellement e-mail et numéro de téléphone). Ce sont, en d’autres termes, les informations administratives.
Seul un petit nombre de personnes strictement habilitées est censé pouvoir y accéder. Selon Cerballiance, il faut avoir une habilitation de niveau administrateur ou être un chercheur interne, à des fins de pré-screening (repérage des patients pouvant correspondre à la cible d’une étude) ou de prise de contact (nous y reviendrons).
Viennent ensuite les données de santé proprement dites. Elles sont pseudonymisées uniquement et ne sont, en tant que telles, pas directement identifiables (nous y reviendrons également). C’est le cœur sensible de l’entrepôt, puisque ces informations renvoient directement au parcours médical des personnes : examens de biologie médicale, antécédents, données cliniques diverses, informations sur les traitements, voire régime alimentaire dans certains cas. Elles sont à la fois couvertes par le secret médical et considérées comme « sensibles » par le RGPD.
Si la communication de Cerballiance parait claire et détaillée, elle témoigne également d’une certaine dualité. Cet EDS reste avant tout le projet d’une entreprise privée qui, si elle compte contribuer à la santé publique, a également ses propres objectifs.
La principale pierre d’achoppement réside dans la sécurité des données et leur confidentialité. Cerballiance indique par exemple que les informations sont stockées en Europe. Elle ne donne cependant aucun autre précision, les patients pouvant témoigner un intérêt pour le pays où sont stockées leurs données.
Et alors que ce stockage devrait assurer la résistance aux lois étrangères à portée extraterritoriale (en premier lieu celles des États-Unis), Cerballiance indique que les données peuvent « faire l’objet d’un accès à distance depuis un tel pays dans des cas très limités, notamment dans le cadre de prestations de maintenance de l’EDS réalisées par l’un de nos sous-traitants ». L’entreprise ajoute que cet accès se fait depuis « des pays reconnus par la Commission européenne comme assurant un niveau de protection équivalent à celui du RGPD ». Or, c’est officiellement le cas des États-Unis à travers le Data Privacy Framework. Une situation complexe, que le retour de Donald Trump a rendu encore plus opaque.
À titre d’information, le site de Cerballiance est hébergé chez Amazon Web Services, mais l’espace client est confié à Atos.
Opt-out uniquement
Puisque l’on parle de données, les choix faits par Cerballiance sur la confidentialité peuvent également faire hausser quelques sourcils. Les données de santé ne sont ainsi que pseudonymisées, et non anonymisées. En outre, puisque l’entreprise évoque explicitement la possibilité de contacter la patientèle, le faisceau pointe vers un mécanisme pensé dès le départ pour la ré-identification.
Cependant, il y a deux « bons points » à noter. D’une part, les chercheurs accédant aux données ne verront que leurs versions pseudonymisées. D’autre part, ces accès se font au moyen de « bulles informatiques sécurisées » et les données ne sont jamais extraites de l’entrepôt. Dans le cas contraire, selon Cerballiance, les informations seraient obligatoirement anonymisées. Dans ce contexte, il faut rappeler que l’entreprise avait été victime d’une fuite de données par l’intermédiaire de « son prestataire informatique ».
Enfin, Cerballiance contacte actuellement les personnes concernées par son EDS (a priori tous les patients passés au cours des deux dernières années dans les 24 laboratoires visés), mais l’acceptation est automatique. Un opt-out (via ce formulaire) qui suppose que la patientèle verra l’information et aura le temps de s’opposer au traitement si elle le souhaite, puisqu’il reste moins d’un mois et demi. De même, il n’est rien précisé sur le contrôle que l’on pourra exercer lors du partage avec des acteurs privés, pas plus que sur la période rétroactive démarrant au 1er janvier 2023.
Nous avons contacté Cerballiance, qui n’a pas encore répondu. Nous mettrons à jour cet article avec les réponses obtenues.
Alors que Meta vient de racheter 49 % des parts de Scale AI et de débaucher son fondateur, cet acteur phare du marché de l’annotation de données licencie 14 % de ses effectifs.
Mark Zuckerberg a jeté toutes ses forces dans la bataille de l’IA. Après avoir passé plusieurs semaines à débaucher des scientifiques et ingénieurs en vue dans le secteur, le patron de Meta vient d’annoncer des investissements de l’ordre de « centaines de milliards de dollars » dans des centres de données et des supercalculateurs dédiés à l’IA.
Ces déploiements de capitaux sont loin de profiter aux travailleurs du clic qui œuvrent à l’entraînement des systèmes d’IA, en revanche. Pour preuve, Meta a beau avoir dépensé plus de 14 milliards de dollars pour racheter 49 % des parts de Scale AI et débauché son fondateur Alexandr Wang, cet acteur phare de l’annotation de données annonce licencier 200 personnes et cesser de travailler avec 500 sous-traitants.
Son porte-parole explique que la décision doit permettre de « rationaliser [leurs] activités liées aux données pour [les] aider à évoluer plus rapidement ». La société prévoit par ailleurs d’embaucher dans d’autres domaines, dont la vente aux entreprises et aux gouvernements.
D’après un mémo obtenu par Bloomberg, le PDG par interim de l’entreprise, Jason Droege, aurait expliqué aux équipes de Scale AI que son activité d’annotation de données auraient embauché trop de gens trop rapidement au fil des années passées, ce qui aurait créé une « bureaucratie excessive et une confusion inutile sur les missions des équipes ».
Le quasi-rachat de Meta a aussi participé à la décision, dans la mesure où il a été suivi par la suspension de certains de ses contrats les plus importants, avec des acteurs comme OpenAI et Google (Alphabet).
La décision ne se fera pas sans toucher des personnes aux conditions de travail déjà complexes. La chaîne de production de l’IA est en effet constituée de trois couches principales, pour reprendre les explications du sociologue Antonio Casilli : les géants détenteurs de données, les acteurs intermédiaires comme Scale AI, qui répartissent les travaux, et la « grande masse des travailleurs », quelquefois seuls chez eux, quelquefois réunis en petits groupes ou entreprises de taille plus modeste. Or, avant les licenciements, Scale AI comptait 1 400 employés et des milliers de ces sous-traitants, partout sur la planète, d’après CNBC.
Fondée en 2016 par un Alexandr Wang âgé seulement, à l’époque, de 19 ans, Scale AI s’est, en l’occurrence, spécialisée dès le départ dans l’offre de services d’annotations de données et d’entraînement de système d’IA de qualité, à bas coût.
Comme le raconte la journaliste Karen Hao dans son ouvrage Empire of AI, l’entreprise est parvenue à déployer ce modèle en allant cherchant ses travailleurs du clic dans d’anciennes colonies britanniques – le Kenya, les Philippines –, mais aussi en découvrant, à la faveur de la crise économique vénézuelienne, comment convaincre quantité de personnes éduquées à travailler pour sa plateforme.
« Cette expérience est devenue leur méthode classique d’intervention, qu’ils ont réutilisée ailleurs, explique-t-elle à Next. Quand la pandémie a frappé, Scale AI s’est tourné vers tous les pays où les économies se sont retrouvées en souffrance, et où de nombreux travailleurs très qualifiés devenaient disponibles pour des salaires bas, faute de trouver d’autres emplois ».
Une fois qu’une masse critique de travailleurs est atteinte, Scale AI tend à réduire les salaires proposés pour chaque tâche, ou à placer les personnes en compétition les unes contre les autres.
Si d’autres entreprises ont tenté de proposer de meilleures conditions de travail, des périodes de tensions budgétaires comme celle provoquée par la pandémie ont poussé leur clientèle vers des sociétés proposant des tarifs plus faibles, comme Scale AI.
Un secteur en pleine reconfiguration
Au Kenya comme au Népal ou ailleurs, de nombreux employés ont mécaniquement dû se tourner vers la société cofondée par Alexandr Wang, ce qui a permis à cette dernière d’engranger 870 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2024, d’après Bloomberg.
Si la société s’est placée en leader de cette étape de la chaine de production des systèmes d’IA, elle doit néanmoins composer avec une concurrence active d’entreprises variées, parmi lesquelles Turing, Invisible Technologies, Labelbox, ou même Uber.
Surtout, son PDG par intérim indique qu’un axe de travail consistera à tenter de reconquérir « les clients qui ont ralenti leur travail avec nous ». Jason Droege indique par ailleurs que des personnes seront embauchées pour créer des applications d’IA personnalisées pour les besoins de la nouvelle clientèle privée et publique que Scale AI prévoit d’approcher.
Mesa 25.2 entered its feature freeze yesterday with many exciting driver improvements with new features and performance optimizations while one feature that wasn't ready for merging in this quarter's release is Magma, which is a recent effort by Google engineers working on a cross-platform system call interface for Mesa. And it's written in Rust...
Cette semaine, le GFN Thursday vous donne des directives directement depuis le cloud. Connectez-vous, verrouillez, chargez et prenez les commandes des nouveaux jeux de cette semaine.
Première mission : RoboCop: Rogue City Unfinished Business de Nacon est maintenant disponible en streaming sur GeForce NOW. La loi est de retour, patrouillant dans les rues de Old Detroit. Que vous soyez sur un PC haut de gamme ou un smartphone, votre directive principale est de servir, protéger et streamer. La justice est maintenant disponible sur tous les appareils. Et avec GeForce NOW, pas besoin de s'inquiéter de l'espace de stockage, juste du streaming instantané pour jouer directement.
Mais ce n'est pas tout. Plongez dans le chaos néon de Night City avec la mise à jour 2.3 de Cyberpunk 2077 et soyez parmi les premiers à jouer au dernier contenu, sans téléchargement ni attente en jouant dans le cloud avec GeForce NOW. Et n'oubliez pas de profiter des vibes estivales avec la dernière vague de contenu dans Zenless Zone Zero. […]
La plupart d'entre vous savent sans doute déjà ce qu'est un riser PCIe, mais pensons à tout le monde en faisant une petite piqure de rappel tout de même. Il s'agit d'une rallonge du port PCIe x16 de la carte mère, afin de pouvoir installer la carte graphique de manière déportée dans le PC. Cela peut...
Uber said Thursday it will partner with electric vehicle maker Lucid Group and autonomous driving startup Nuro to deploy robotaxis using Lucid Gravity SUVs equipped with Nuro Driver technology on its ride-sharing network. The companies plan to launch the first vehicles in late 2026 in an unidentified major US city and deploy at least 20,000 robotaxis over six years.
Uber will make multi-hundred-million dollar investments in both partners, including $300 million for Lucid to upgrade its assembly line for integrating Nuro hardware into Gravity vehicles.
Major US theater chains including Cinemark, Regal and Marcus have held preliminary talks about jointly marketing their big-screen theaters to compete with Imax, according to Bloomberg. The discussions have focused on setting shared standards for the chains' "premium large-format" theaters, with options including uniting around a new brand name or adding an industrywide designation that would serve as a stamp of approval for their locations.
The chains are motivated by Imax's growing influence in the industry, as the company consistently generates more than 10% of the box office for blockbusters despite operating only 372 US locations. AMC Entertainment, the largest chain and biggest operator of Imax screens in the US, is not participating in the deliberations, the report added.
Depuis la sortie des premières cartes Raspberry Pi, un nombre important de projets autour de la photographie ont été imaginés. Celui de transformer un vieil appareil argentique 35 mm en appareil infrarouge est un des plus réussis esthétiquement parlant.
Une intégration plutôt réussie
Le Yashica Electro 35 est un vieil appareil argentique qui a été produit en masse depuis la fin des années 60. Il introduisait un obturateur électrique assez novateur et également assez problématique. Ce qui a amené beaucoup de ces appareils a être rapidement « stockés » au fond d’un tiroir. Le créateur du projet a choisi ce modèle pour cette raison. Car en plus d’être son premier boitier personnel, le Yashica est facilement disponible sur le marché de l’occasion à des prix dérisoires. Un excellent terrain d’expérimentation.
Ici, l’objet original ne sert que de carcasse au système embarqué. Système qui consiste en un Raspberry Pi Zero 2W pour la partie logicielle et un capteur photo infrarouge Raspberry Pi Camera Module 3 Noir. Un filtre infrarouge 720 nm permet d’utiliser ce dernier et divers autres composants servent à la gestion de l’appareil.
Le boitier est découpé pour laisser entrevoir le petit écran OLED
Ici, ce petit boitier Yashica propose une vraie approche photographique. Les clichés capturés en format RAW permettent un travail fin et très réussi des images capturées pour un noir et blanc plein de parti pris mais plein de beaux contrastes et d’une grande finesse de tons. Les clichés sont réussis et les captures offrent des perspectives intéressantes aussi bien pour des traitements architecturaux que végétaux.
Dans un message publié sur X, Anne Wojcicki explique que son organisation à but non lucratif TTAM a finalisé l’acquisition de 23andMe.
Comme nous l’expliquions il y a un mois, cette organisation, dont l’acronyme reprend les premières lettres de « Twenty three and me », a été créé spécifiquement pour cette reprise. Elle a fait une offre de 305 millions de dollars, dépassant celle effectuée par l’entreprise de biotech Regeneron. Celle-ci avait annoncé, un peu trop rapidement, avoir racheté 23andMe avec une offre de 256 millions de dollars.
« Une structure à but non lucratif est le meilleur moyen de consolider nos valeurs et nos engagements vis-à-vis de nos clients, de la communauté scientifique et du monde en général », affirme Anne Wojcicki dans son message.
Rappelons que l’entreprise était entrée en bourse en 2021. Mais elle a depuis rencontré énormément de difficultés, dont une cyberattaque en 2023 lors de laquelle les données génétiques de ses 7 millions d’usagers se sont retrouvées dans la nature.
Google introduit les résumés d’articles générés par IA dans Discover, pour l’instant seulement dans sa version étasunienne.L’entreprise met en place cette fonctionnalité alors que les éditeurs de sites web accusent les outils d’IA générative de tarir leur trafic et que les spécialistes SEO jouent avec les contenus générés par IA pour augmenter le leur.
Google est en train de modifier son application Discover. Aux États-Unis, celle-ci propose des résumés d’actualité créés par IA générative. Jusque-là, Discover – désormais le principal flux d’actualités de Google – avait pris une place centrale dans la manière de suivre l’actu pour une bonne partie de la population.
Ainsi, en juin, l’Alliance de la presse d’information générale (APIG) expliquait que Discover était devenu la principale source de trafic pour la presse française. Sur un an et demi, les chiffres de l’APIG montrent que ce service de Google était celui qui amenait le plus de clics aux sites d’information :
Comme nous l’expliquions, cette application est devenue la vraie source de clic du côté de Google puisque Discover représente, à lui seul, 68 % du trafic en provenance de Google.
Au lieu de montrer une actu venant d’un site en particulier accompagnée du lien pour avoir plus d’infos sur le sujet, Discover affiche désormais aux États-Unis un texte généré par IA utilisant le contenu de plusieurs sites d’actualité, explique TechCrunch. Ces médias sont visibles via un rassemblement d’icônes au-dessus du texte généré :
Crédit image : Google
Selon TechCrunch, le résumé généré dans Discover cite les différentes sources dans lesquelles Google a été piocher pour le générer. L’application affiche un avertissement aux utilisateurs : « Généré par IA, qui peut faire des erreurs ».
Interrogé par nos confrères, Google confirme que la fonctionnalité est mise en place sur Discover aux États-Unis sur Android et iOS et que ce n’est pas un simple test. TechCrunch a constaté que ces résumés ne s’affichent pas pour tous les sujets d’actualité pour l’instant.
Pour Google, « cette fonctionnalité permettra aux internautes de choisir plus facilement les pages qu’ils souhaitent visiter ».
L’entreprise a essayé aussi d’autres façons de présenter l’actu dans son application. En juin, le NiemanLab expliquait que Discover propose parfois des présentations en puces. Curieuse de savoir si celles-ci étaient générées par IA, Laura Hazard Owen a découvert qu’ils étaient rédigés par les éditeurs eux-mêmes et intégrés dans l’outil Google News Showcase. Celui-ci est une plateforme d’actualités en ligne lancée fin 2020, dans laquelle les éditeurs peuvent intervenir pour mettre en avant certains articles et modifier leurs présentations.
Rappelons que Discover est aussi devenu le terrain de jeu favori des pros du SEO. Le plus prolifique des éditeurs de sites francophones générés par IA a réussi à faire promouvoir plusieurs milliers d’articles via l’application, au point que ses concurrents s’en plaignent publiquement, alors que le milieu est habituellement très discret.
Si l’entreprise assure à nos confrères que cette nouvelle présentation n’est disponible que dans la version étasunienne, Google semble tester aussi d’autres manières de présenter l’actu dans Discover dans sa version française. Ainsi, le consultant médias Aurélien Viers a repéré des titres raccourcis et l’apparition des résumés ou chapôs des articles, précisant que ce n’est « pas une synthèse faite par l’IA, apparemment ».
« Les plus rigoureux rédigeront un chapô qui explicite le titre.Pour les plus extrêmes, dont les fermes IA / Discover, on peut s’attendre à une avalanche de chapos vides de sens, de titres courts, provoc’, clickbait, et sur des visuels très forts (cascade à ne pas reproduire selon le positionnement de votre site) », commente-t-il.
Dans un message publié sur X, Anne Wojcicki explique que son organisation à but non lucratif TTAM a finalisé l’acquisition de 23andMe.
Comme nous l’expliquions il y a un mois, cette organisation, dont l’acronyme reprend les premières lettres de « Twenty three and me », a été créé spécifiquement pour cette reprise. Elle a fait une offre de 305 millions de dollars, dépassant celle effectuée par l’entreprise de biotech Regeneron. Celle-ci avait annoncé, un peu trop rapidement, avoir racheté 23andMe avec une offre de 256 millions de dollars.
« Une structure à but non lucratif est le meilleur moyen de consolider nos valeurs et nos engagements vis-à-vis de nos clients, de la communauté scientifique et du monde en général », affirme Anne Wojcicki dans son message.
Rappelons que l’entreprise était entrée en bourse en 2021. Mais elle a depuis rencontré énormément de difficultés, dont une cyberattaque en 2023 lors de laquelle les données génétiques de ses 7 millions d’usagers se sont retrouvées dans la nature.
Google introduit les résumés d’articles générés par IA dans Discover, pour l’instant seulement dans sa version étasunienne.L’entreprise met en place cette fonctionnalité alors que les éditeurs de sites web accusent les outils d’IA générative de tarir leur trafic et que les spécialistes SEO jouent avec les contenus générés par IA pour augmenter le leur.
Google est en train de modifier son application Discover. Aux États-Unis, celle-ci propose des résumés d’actualité créés par IA générative. Jusque-là, Discover – désormais le principal flux d’actualités de Google – avait pris une place centrale dans la manière de suivre l’actu pour une bonne partie de la population.
Ainsi, en juin, l’Alliance de la presse d’information générale (APIG) expliquait que Discover était devenu la principale source de trafic pour la presse française. Sur un an et demi, les chiffres de l’APIG montrent que ce service de Google était celui qui amenait le plus de clics aux sites d’information :
Comme nous l’expliquions, cette application est devenue la vraie source de clic du côté de Google puisque Discover représente, à lui seul, 68 % du trafic en provenance de Google.
Au lieu de montrer une actu venant d’un site en particulier accompagnée du lien pour avoir plus d’infos sur le sujet, Discover affiche désormais aux États-Unis un texte généré par IA utilisant le contenu de plusieurs sites d’actualité, explique TechCrunch. Ces médias sont visibles via un rassemblement d’icônes au-dessus du texte généré :
Crédit image : Google
Selon TechCrunch, le résumé généré dans Discover cite les différentes sources dans lesquelles Google a été piocher pour le générer. L’application affiche un avertissement aux utilisateurs : « Généré par IA, qui peut faire des erreurs ».
Interrogé par nos confrères, Google confirme que la fonctionnalité est mise en place sur Discover aux États-Unis sur Android et iOS et que ce n’est pas un simple test. TechCrunch a constaté que ces résumés ne s’affichent pas pour tous les sujets d’actualité pour l’instant.
Pour Google, « cette fonctionnalité permettra aux internautes de choisir plus facilement les pages qu’ils souhaitent visiter ».
L’entreprise a essayé aussi d’autres façons de présenter l’actu dans son application. En juin, le NiemanLab expliquait que Discover propose parfois des présentations en puces. Curieuse de savoir si celles-ci étaient générées par IA, Laura Hazard Owen a découvert qu’ils étaient rédigés par les éditeurs eux-mêmes et intégrés dans l’outil Google News Showcase. Celui-ci est une plateforme d’actualités en ligne lancée fin 2020, dans laquelle les éditeurs peuvent intervenir pour mettre en avant certains articles et modifier leurs présentations.
Rappelons que Discover est aussi devenu le terrain de jeu favori des pros du SEO. Le plus prolifique des éditeurs de sites francophones générés par IA a réussi à faire promouvoir plusieurs milliers d’articles via l’application, au point que ses concurrents s’en plaignent publiquement, alors que le milieu est habituellement très discret.
Si l’entreprise assure à nos confrères que cette nouvelle présentation n’est disponible que dans la version étasunienne, Google semble tester aussi d’autres manières de présenter l’actu dans Discover dans sa version française. Ainsi, le consultant médias Aurélien Viers a repéré des titres raccourcis et l’apparition des résumés ou chapôs des articles, précisant que ce n’est « pas une synthèse faite par l’IA, apparemment ».
« Les plus rigoureux rédigeront un chapô qui explicite le titre.Pour les plus extrêmes, dont les fermes IA / Discover, on peut s’attendre à une avalanche de chapos vides de sens, de titres courts, provoc’, clickbait, et sur des visuels très forts (cascade à ne pas reproduire selon le positionnement de votre site) », commente-t-il.
Deuxième test aujourd'hui, avec un changement de domaine ! Place à un gros portable pour jouer (et travailler), l'ASUS ROG Strix Scar G835LW avec une RTX 5080M. Ah oui, quand même ! Un processeur Intel à côté, un Core Ultra 9 275HX, une belle dalle de 16 pouces en Mini LED, un look affirmé et assumé, et c'est parti pour des parties endiablées ! A condition d'avoir une prise secteur à côté, comme souvent. Découvrons tout ici : ASUS ROG Strix Scar G835LW ou sur la source.
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Aujourd’hui, nous vous proposons de redécouvrir ce que vaut une NVIDIA GeForce RTX 5080M dans un laptop à 4600 €. Un peu moins cher que celui que nous avons déjà testé, mais qu’en est-il vraiment ? Une différence de 1000 € vaut-elle vraiment le coup ? Toujours est-il que ce laptop embarque un processeur Intel Core Ultra 9 275HX avec la carte annoncée. Il dispose d’un SSD de 2 To ainsi que de deux modules de 16 Go de DDR5. Il est équipé d’une dalle de type IPS avec un rétroéclairage miniLED capable d’atteindre les 1000 nits, ce qui lui vaut la certification HDR 1000. Sa diagonale est de 16 pouces. Il peut monter jusqu’à 300 Hz sur une définition QHD+ (2560 x 1600) avec la prise en charge du G-Sync. Une belle bête sur le papier qui n’attend que son test : place donc au ASUS ROG Strix Scar 18 G835LW.
Ne le nions pas, Avowed est plutôt passé sous les radars fermiers. Non pas que le titre d'Obsidian ne soit pas intéressant, mais... Il y a eu d'autres jeux.
Aujourd'hui, le jeu de rôle en vue à la première personne s'offre une grosse mise à jour avec un patch 1.5 qui change énormément de choses, avec notamment deux classes qui repartent à zéro ! Remise à zéro des statistiques pour repartir proprement avec un nouvel arbre de compétence, voilà une chose qu'on voit rarement sur un jeu solo.
A côté, le changelog mentionne aussi que le jeu est validé Steam Deck, tandis que de nombreux bugs ont été corrigés. Pour en savoir plus, direction Steam.
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