As Windows Turns 40, Microsoft Faces an AI Backlash
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Au mois de mai 2025, Microsoft annonçait une augmentation en France des prix de ses produits Xbox. Les manettes sans fil de la console, également très prisées par les joueurs PC, passaient ainsi de 59,99 € à 64,99 € dans leurs couleurs de base, laissant présager que les promotions ponctuelles à 39,9...
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Steam, c'est la grosse Berta, le rouleau compresseur qui centralise le plus de joueurs dans le monde. Souvent, lors des soldes, il y a des prix intéressants ce qui fait que facilement, on peut céder sur un ou plusieurs titres pour enrichir sa propre ludothèque. Et parfois, lorsqu'on regarde cette li...
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Je ne sais pas vous, mais moi, le Black Friday, ça commence à me saouler un petit peu. Ça fait des semaines que c’est mis en avant partout avec des gros titres pour des remises de -3% ou -5% sur des produits parfois proposés à -15 ou même -20% tout le reste de l’année. Ce n’est pas que j’ai l’impression d’être pris pour un gros pigeon, mais tout de même. Je crois que je préfère ma pâtisserie de Bons Flans qui essaye de trouver des offres réellement pertinentes.
Le Black FlanDay chez Geekbuying
Tous les Bons Flans de Banggood
Un excellent Black Friday chez Xiaomi avec de vraies bonnes affaires dans toutes les catégories 
Les MiniPC de Geekom France en promo
UGreen propose des promos variées sur son site allant jusqu’à -40%
Amazon liste ses 100 meilleurs Bons Flans sur son site
Imprimez vos pâtisseries en 3D avec Anycubic et le code MINIMACHINES qui vous offre 20€ de réduction
Les MiniPC de Beelink ont leur Black Friday
Les PC Recyclés d’AFBshop ont droit à leurs Bons Flans
Le Black Friday chez Minisforum
MISE A JOUR DE 18H00

Aspirateur robot Narwal Freo x Ultra dispo à 349.99€ chez Darty



ROBOROCK Q10 VF+ – Aspirateur Robot Laveur avec Station de Vidage Automatique – Puissance 10000 Pa – Autonomie 150 min dispo à 234.99€ avec le code 15DES129

PC Portable Gamer ASUS Gaming V16 | Sans Windows – 16″ WUXGA IPS 144Hz – RTX 4050 6Go – Intel Core 5 210H – RAM 16Go – 512Go SSD dispo à 584.99€ avec le code 15DES129

Logitech R400 Télécommande de Présentation sans Fil, 2,4 GHz/Récepteur USB, Pointeur Laser Rouge, Portée de 15 Mètres, 6 Boutons dispo à 14.99€ (une demande de Lydia)






Télécommande Vocale pour Nvidia Shield TV – basique mais complète et efficace dispo à 11.99€ une demande de Jules

LG TV OLED 2024 | OLED55B4E | 55 » (139 cm) | OLED| Processeur α8 AI 4K |Dolby Vision & Atmos à 759€

Montre Amazfit T-Rex 3 Pro – 48 mm, Écran AMOLED – Saphir + Titane – GPS Double Bande, Carto Hors Ligne – Autonomie 25 Jours dispo à 372.87€









Casque sans fil Bluetooth 5.4 Baseus Bowie H1s – Suppression du bruit 46dB – 120H d’autonomie dispo à 26.59€
(Merci à Th pour l’info)




MeLE Quieter 4C Mini PC Intel N100 16 Go / 512 Go Fanless dispo à 280.49€





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Barebone : 339$ TTC ( 279.48€ TTC)
32Go / 1 To : 449$ TTC (406€ TTC)

Xiaomi TV S Mini Led 75″ 144Hz 1200 nits 2025 dispo à 799.99€ au lieu de 1099.99€

Xiaomi Electric Scooter 4 dispo à 279.99€ au lieu de 400.36€ 




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MISE A JOUR DE 11H20













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Dyson WashG1 Aspirateur lavant à 345€



MISE A JOUR DE 10H15





Mise à jour de 10H

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Ecran Lenovo ThinkVision P24h-10 Recyclé – 23,8 pouces – 2560 x 1440 WQHD – 4 ms – Noir à 149€


Chaise de bureau SIHOO DORO C300 ergonomique à 289.99€ 
Des remises sur tout le catalogue Sihoo pour le Black Friday.

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Google Pixel 9a – Smartphone Android – 8/128 Go – Porcelaine à 409€


Google Pixel 10 – Smartphone Android 12/128Go à 639€

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Black FlanDay : La crème des Bons Flans 🍮🍮🍮 © MiniMachines.net. 2025

Après les séries SideWinder voici la Artillery M1 Pro, une nouvelle imprimante 3D qui doit être officialisée aujourd’hui et qui ressemble énormément aux concurrentes.
On retrouve sur cette Artillery M1 Pro un fonctionnement CoreXY, une solution surtout employée dans les modèles fermés qui allie robustesse et précision et permet de gérer le plateau dans un espace fermé. La logique de ce mode est simple, sur une imprimante 3D classique, on a une tête d’impression qui se déplace de gauche à droite sur un rail, c’est l’axe X. Cette même tête monte et descend grâce à un axe Z pour se positionner au-dessus d’un plateau qui va d’avant en arrière sur un axe Y. Cela fonctionne parfaitement bien, mais cela pose un petit problème quand on veut enfermer son imprimante dans une boite. Comment gérer ce plateau qui bouge en dehors du châssis ?

La solution trouvée est donc le CoreXY avec une tête d’impression toujours montée sur un axe X mais qui ne progresse plus de haut en bas. Le support de la tête est lui-même monté sur un double chariot qui déplace l’ensemble d’avant en arrière sur Y. En dessous, le plateau tout entier monte et descend sur l’axe Z.
Cela permet de contenir l’ensemble dans un volume unique et assure au passage une meilleure stabilité d’impression et plus de précision.

Ce mode CoreXY est très à la mode puisque des marques comme Bambulab, Creality, Anycubic et d’autres s’en sont emparées ces derniers temps pour sortir leurs nouvelles gammes d’imprimantes 3D. La Artillery M1 Pro suit donc le mouvement et annonce, comme les autres, une gestion multifilament avec un support externe qui prendra en charge quatre bobines différentes. Ce module supplémentaire ne sera pas lancé immédiatement, il faudra attendre quelques mois supplémentaires pour que cette extension apporte toutes les fonctions classiques de ce type de module.

C’est donc sans surprise que l’on découvre un modèle aux caractéristiques assez communes. La vitesse d’impression annoncée est de 600 mm/s et la machine compense les vibrations qu’elle produit. Un système d’auto surveillance par webcam est mis en place pour surveiller à distance son travail et réaliser des timelapses tout en bénéficiant d’alertes en cas de problème d’impression. L’ensemble des opérations de mise en route et de nivellement se fait de manière automatique et on retrouve les fondamentaux comme la détection de fin de filament ou la reprise d’impression après une panne de courant.

La machine propose une tête d’impression pouvant atteindre 320°C grâce à un extrudeur céramique 80W et sa chambre chauffante propose d’atteindre 60°C,. Elle propose un extrudeur en acier 55HRC, un recyclage de l’air intérieur avec charbons actifs, une communication en Wi-Fi et une prise en charge de nombreux matériaux : PLA, PETG, TPU, PVA, PET, ABS, ASA et énormément de solutions avec fibre de carbone. Le volume d’impression est un cube parfait de 26 cm et le châssis de l’engin est entièrement réalisé en aluminium. La machine mesure 43.7 cm de large pour 38.9 cm de profondeur et 49.4 cm de haut.

D’un point de vue contrôle, outre le petit écran intégré qui permettra de piocher des modèles dans une carte MicroSD insérée dans la machine. Elle peut également se piloter à distance puisqu’elle utilise un firmware Klipper compatible avec OrcaSlicer ou un navigateur.
Le prix de la Artillery M1 Pro est officiellement de 349€. Moins démonstrative que d’autres, Artillery est une bonne marque qui propose des produits fiables et efficaces dans une bonne enveloppe de prix. Je l’ai conseillée à de multiples reprises au fil des ans sans avoir eu de plaintes particulières.

Mise à jour : La Artillery M1 Pro est désormais en stock, elle est proposée sur Geekbuying à 299€ grâce au code NNNFRAM1P
Artillery M1 Pro : l’imprimante 3D CoreXY à 299€ © MiniMachines.net. 2025

Godzilla Voxel Wars est un jeu de stratégie et de puzzle présenté par TOHO Games, le label de jeux vidéo de la maison de production cinématographique à l’origine de Godzilla, en collaboration avec le prometteur studio de développement Nukenin (lauréat du prix TOHO Games au Google Indie Game Festival 2021) !
PEGI 3 – Audio en Anglais et Texte en Anglais – Windows et MacOS
Retrouvez tous mes bons plans sur Mistermatos.com
Bon Plan : jeu Godzilla Voxel Wars offert sur Epic © MiniMachines.net. 2025
Le Sommet sur la souveraineté numérique européenne, qui s’est tenu à Berlin le 18 novembre, a été le théâtre de nombreuses annonces. La France et l’Allemagne semblent enfin s’aligner sur un lot de mesures et d’engagements, avec un changement marqué outre-Rhin pour une préférence européenne. Le Sommet a fait de la souveraineté numérique un axe majeur de développement, au moins sur le papier.
Elle était attendue : la rencontre franco-allemande à Berlin du 18 novembre a montré un moteur européen semblant de nouveau en phase. Car la France et l’Allemagne ont beau être voisines, elles ont chacune des conceptions très différentes sur le numérique, particulièrement sur la souveraineté.
Un fossé qui s’était notamment illustré dans la conception de la directive EUCS, qui devait grader les solutions cloud en matière de sécurité. Le niveau le plus élevé, High+ (basé sur SecNumCloud 3.2) avait disparu, sous pression notamment de l’Allemagne, pour supprimer les prérequis de protection contre l’extraterritorialité des lois étrangères. L’Allemagne est depuis longtemps un allié proche des États-Unis, avec qui elle a de nombreux accords commerciaux. L’European Sovereign Cloud d’Amazon, présenté en juin, va ainsi s’implanter chez nos voisins.
La France cependant, avec des offres comme celles de Bleu et S3ns, ou encore les contrats multiples décrochés par Microsoft dans le domaine de l’éducation, n’est pas nécessairement mieux placée. La stratégie nationale en matière de souveraineté a récemment été épinglée dans un rapport très direct de la Cour des comptes, faisant la liste de tous les errements français dans ce domaine et pointant un manque flagrant de cohésion.
Dans un contexte tendu entre guerre en Ukraine qui s’éternise, ondes de choc d’une Maison-Blanche reprise par Donald Trump et tensions croissantes avec la Chine, le Sommet était attendu.
Le sommet a réuni « plus de 900 décideurs, industriels, investisseurs, chercheurs et représentants de la société civile provenant des 27 États membres de l’Union européenne (UE) et des institutions européennes », a indiqué l’Élysée.
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Dans un rapport, la Cour des comptes analyse la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle en place depuis 2018. Elle incite l’État français à ne pas « baisser la garde » et au contraire à amplifier sa politique concernant la recherche. Elle l’exhorte aussi à « renforcer les capacités de calcul » avec des partenariats public-privé d’ampleur et amplifier les transferts vers l’industrie.
Tout en reconnaissant que « la prise de risque [en matière d’investissement] est élevée, la rentabilité des investissements inégale, de même que le rapport entre la valorisation de certaines entreprises de l’IA sur le marché et les revenus générés ou espérés, faisant craindre des effets de bulle qui pourraient conduire à des ajustements d’ampleur, y compris en Europe, dans les prochains mois », la Cour des comptes incite l’État à amplifier la stratégie nationale pour l’IA (SNIA).
La juridiction administrative a rendu son rapport [PDF] mercredi 19 novembre sur cette stratégie. Celui-ci analyse les deux premières phases (2018 - 2022 et 2022 - 2025).
Pour la troisième phase (2025 - 2030), elle affirme que pour « réussir le changement d’échelle qu’exige la révolution de l’intelligence artificielle », l’État doit :
Elle incite l’État à ne pas « baisser la garde » et à « renforcer les capacités de calcul » avec des partenariats public-privé d’ampleur et amplifier les transferts vers l’industrie.
Même si la Cour des comptes considère que cette stratégie a « remporté de premiers succès », elle estime que ses deux premières phases « présentent des angles morts dans plusieurs domaines essentiels […] notamment dans des chantiers qui demandent d’impliquer un cercle large d’acteurs et de faire le lien avec d’autres politiques publiques ».
Dans la première phase de cette stratégie (2018 - 2022), la Cour souligne que l’État a investi 1,3 milliard d’euros (contre 1,5 milliard programmés) en ne couvrant qu’une partie des enjeux tout en la faisant reposer « sur une gouvernance complexe et un suivi budgétaire lacunaire ».
Elle reproche à l’exécutif de ne s’être concentré, dans cette phase, que sur la partie recherche, en oubliant la formation supérieure en IA, l’ouverture des données, l’accompagnement des secteurs économiques prioritaires fortement impactés par l’IA, et l’encadrement éthique de l’IA qui étaient tout autant cité dans le rapport de la mission confiée au mathématicien Cédric Villani rendu en mars 2018.
Elle reconnait « les succès du volet « recherche en IA », appréciés avec un recul supplémentaire de deux années ». Néanmoins, elle pointe « le recours par l’État à une succession d’appels à projets ou à manifestation d’intérêt, pour des financements ponctuels avec un horizon de vie limité », ce qui « présente le risque d’accroître la fragmentation au sein de la recherche, au détriment de la cohérence d’ensemble, de la création de masses critiques et de stratégies plus structurelles permettant la coordination, la complémentarité et la responsabilisation des acteurs dans la durée ». Elle regrette aussi que le volet « formation supérieure » n’ait pas été mis en œuvre.
« Dans les autres domaines couverts par la SNIA – la défense et la sécurité, la transformation de l’action publique et la diffusion de l’intelligence artificielle dans l’économie – les avancées ont été moins nettes », déplore-t-elle.
Pour la deuxième phase, « au total, l’État aura programmé 1,1 Md€ sur la période 2023 - 2025, soit un niveau inférieur d’un tiers à ce qui avait été initialement annoncé, et la lenteur du démarrage de la plupart des dispositifs s’est traduite par un faible niveau de consommation des crédits (35 % au 30 juin 2025) », assène la Cour.
Mais elle souligne que « les premiers résultats de cette deuxième phase commencent à se dessiner dans plusieurs directions. Bien qu’il soit encore tôt pour en apprécier pleinement les effets, les initiatives prises pour renforcer la structuration et l’excellence de la recherche et de la formation supérieure en IA produisent de premiers résultats et la place de la France sur ce volet progresse ». Elle ajoute que les « efforts sur les infrastructures de calcul se sont poursuivis ».
La Cour reproche à l’exécutif d’avoir « très peu utilisé le levier de la commande publique pour favoriser l’adoption de l’IA dans la sphère publique ». Elle vise « en particulier » la Dinum (auditée en 2024) qui a, selon elle, « privilégié les développements internes avec le risque que les solutions proposées ne soient pas toujours performantes comparativement à l’offre disponible sur le marché, notamment chez les éditeurs logiciels français ».
Elle pousse aussi l’exécutif à dépenser plus sur le sujet de l’IA. « Plusieurs domaines non moins essentiels ont été laissés de côté », estime-t-elle. « L’enjeu de la massification et de l’accompagnement de la diffusion de l’intelligence artificielle au-delà du cercle des spécialistes – entreprises, administrations publiques, étudiants, citoyens – a jusqu’ici trop peu retenu l’attention, alors qu’il était au cœur des ambitions affichées par cette phase de la SNIA et que les années 2023 - 2025 étaient critiques en la matière », précise l’institution. « Ainsi, la priorité que constitue le soutien à la demande des entreprises en solutions d’IA n’a bénéficié que de dispositifs très modestes, et l’accélération et la massification escomptées de la diffusion de l’intelligence artificielle dans l’économie n’a pas eu lieu », ajoute-t-elle encore.
Adobe a formulé mercredi une offre de rachat portant sur son compatriote Semrush, également coté à la bourse de New York, pour un montant de 1,9 milliard de dollars, soit une prime de près de 80 % par rapport au cours précédent l’annonce. Cette opération de croissance externe est présentée comme le prolongement stratégique des développements déjà réalisés par Adobe en direction de l’IA à des fins marketing.
Bien connu des spécialistes du SEO (Search Engine Optimization), Semrush édite pour mémoire une suite d’outils dédiés au référencement et à la visibilité des marques sur Internet, et c’est précisément la question de la visibilité des marques au sein des outils d’intelligence artificielle générative qui semble motiver l’opération. En analogie avec le SEO, un acronyme marketing a déjà émergé pour qualifier cette problématique : GEO, pour Generative Engine Optimization.

« La visibilité des marques est en pleine mutation grâce à l’IA générative, et celles qui ne saisissent pas cette nouvelle opportunité risquent de perdre en pertinence et en chiffre d’affaires, déclare Anil Chakravarthy, président de la division Expérience numérique d’Adobe, dans un communiqué. Avec Semrush, nous offrons aux marketeurs la possibilité d’exploiter la géolocalisation comme un nouveau canal de croissance, au même titre que le SEO, pour une visibilité accrue, un engagement client renforcé et des conversions optimisées au sein de l’écosystème. »
Semrush devrait logiquement s’interfacer avec les différents outils marketing d’Adobe, qu’il s’agisse de son système de gestion de contenus numériques (AEM), ou de sa nouvelle offre d’agents conversationnels Adobe Brand Concierge.
L’acquisition a déjà fait l’objet d’une validation de la part du conseil d’administration de Semrush. Adobe indique avoir ainsi déjà recueilli l’approbation de l’équivalent de 75 % des droits de vote combinés de l’actionnariat de sa cible.
Début novembre, lors de la présentation de ses résultats financiers pour le troisième trimestre, Semrush indiquait tabler, pour l’ensemble de son exercice 2025, sur un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 445 millions de dollars, en croissance de 18 % sur un an, principalement grâce à l’appétit de ses clients pour l’IA générative.
Dans un rapport, la Cour des comptes analyse la stratégie nationale pour l’intelligence artificielle en place depuis 2018. Elle incite l’État français à ne pas « baisser la garde » et au contraire à amplifier sa politique concernant la recherche. Elle l’exhorte aussi à « renforcer les capacités de calcul » avec des partenariats public-privé d’ampleur et amplifier les transferts vers l’industrie.
Tout en reconnaissant que « la prise de risque [en matière d’investissement] est élevée, la rentabilité des investissements inégale, de même que le rapport entre la valorisation de certaines entreprises de l’IA sur le marché et les revenus générés ou espérés, faisant craindre des effets de bulle qui pourraient conduire à des ajustements d’ampleur, y compris en Europe, dans les prochains mois », la Cour des comptes incite l’État à amplifier la stratégie nationale pour l’IA (SNIA).
La juridiction administrative a rendu son rapport [PDF] mercredi 19 novembre sur cette stratégie. Celui-ci analyse les deux premières phases (2018 - 2022 et 2022 - 2025).
Pour la troisième phase (2025 - 2030), elle affirme que pour « réussir le changement d’échelle qu’exige la révolution de l’intelligence artificielle », l’État doit :
Elle incite l’État à ne pas « baisser la garde » et à « renforcer les capacités de calcul » avec des partenariats public-privé d’ampleur et amplifier les transferts vers l’industrie.
Même si la Cour des comptes considère que cette stratégie a « remporté de premiers succès », elle estime que ses deux premières phases « présentent des angles morts dans plusieurs domaines essentiels […] notamment dans des chantiers qui demandent d’impliquer un cercle large d’acteurs et de faire le lien avec d’autres politiques publiques ».
Dans la première phase de cette stratégie (2018 - 2022), la Cour souligne que l’État a investi 1,3 milliard d’euros (contre 1,5 milliard programmés) en ne couvrant qu’une partie des enjeux tout en la faisant reposer « sur une gouvernance complexe et un suivi budgétaire lacunaire ».
Elle reproche à l’exécutif de ne s’être concentré, dans cette phase, que sur la partie recherche, en oubliant la formation supérieure en IA, l’ouverture des données, l’accompagnement des secteurs économiques prioritaires fortement impactés par l’IA, et l’encadrement éthique de l’IA qui étaient tout autant cité dans le rapport de la mission confiée au mathématicien Cédric Villani rendu en mars 2018.
Elle reconnait « les succès du volet « recherche en IA », appréciés avec un recul supplémentaire de deux années ». Néanmoins, elle pointe « le recours par l’État à une succession d’appels à projets ou à manifestation d’intérêt, pour des financements ponctuels avec un horizon de vie limité », ce qui « présente le risque d’accroître la fragmentation au sein de la recherche, au détriment de la cohérence d’ensemble, de la création de masses critiques et de stratégies plus structurelles permettant la coordination, la complémentarité et la responsabilisation des acteurs dans la durée ». Elle regrette aussi que le volet « formation supérieure » n’ait pas été mis en œuvre.
« Dans les autres domaines couverts par la SNIA – la défense et la sécurité, la transformation de l’action publique et la diffusion de l’intelligence artificielle dans l’économie – les avancées ont été moins nettes », déplore-t-elle.
Pour la deuxième phase, « au total, l’État aura programmé 1,1 Md€ sur la période 2023 - 2025, soit un niveau inférieur d’un tiers à ce qui avait été initialement annoncé, et la lenteur du démarrage de la plupart des dispositifs s’est traduite par un faible niveau de consommation des crédits (35 % au 30 juin 2025) », assène la Cour.
Mais elle souligne que « les premiers résultats de cette deuxième phase commencent à se dessiner dans plusieurs directions. Bien qu’il soit encore tôt pour en apprécier pleinement les effets, les initiatives prises pour renforcer la structuration et l’excellence de la recherche et de la formation supérieure en IA produisent de premiers résultats et la place de la France sur ce volet progresse ». Elle ajoute que les « efforts sur les infrastructures de calcul se sont poursuivis ».
La Cour reproche à l’exécutif d’avoir « très peu utilisé le levier de la commande publique pour favoriser l’adoption de l’IA dans la sphère publique ». Elle vise « en particulier » la Dinum (auditée en 2024) qui a, selon elle, « privilégié les développements internes avec le risque que les solutions proposées ne soient pas toujours performantes comparativement à l’offre disponible sur le marché, notamment chez les éditeurs logiciels français ».
Elle pousse aussi l’exécutif à dépenser plus sur le sujet de l’IA. « Plusieurs domaines non moins essentiels ont été laissés de côté », estime-t-elle. « L’enjeu de la massification et de l’accompagnement de la diffusion de l’intelligence artificielle au-delà du cercle des spécialistes – entreprises, administrations publiques, étudiants, citoyens – a jusqu’ici trop peu retenu l’attention, alors qu’il était au cœur des ambitions affichées par cette phase de la SNIA et que les années 2023 - 2025 étaient critiques en la matière », précise l’institution. « Ainsi, la priorité que constitue le soutien à la demande des entreprises en solutions d’IA n’a bénéficié que de dispositifs très modestes, et l’accélération et la massification escomptées de la diffusion de l’intelligence artificielle dans l’économie n’a pas eu lieu », ajoute-t-elle encore.
Adobe a formulé mercredi une offre de rachat portant sur son compatriote Semrush, également coté à la bourse de New York, pour un montant de 1,9 milliard de dollars, soit une prime de près de 80 % par rapport au cours précédent l’annonce. Cette opération de croissance externe est présentée comme le prolongement stratégique des développements déjà réalisés par Adobe en direction de l’IA à des fins marketing.
Bien connu des spécialistes du SEO (Search Engine Optimization), Semrush édite pour mémoire une suite d’outils dédiés au référencement et à la visibilité des marques sur Internet, et c’est précisément la question de la visibilité des marques au sein des outils d’intelligence artificielle générative qui semble motiver l’opération. En analogie avec le SEO, un acronyme marketing a déjà émergé pour qualifier cette problématique : GEO, pour Generative Engine Optimization.

« La visibilité des marques est en pleine mutation grâce à l’IA générative, et celles qui ne saisissent pas cette nouvelle opportunité risquent de perdre en pertinence et en chiffre d’affaires, déclare Anil Chakravarthy, président de la division Expérience numérique d’Adobe, dans un communiqué. Avec Semrush, nous offrons aux marketeurs la possibilité d’exploiter la géolocalisation comme un nouveau canal de croissance, au même titre que le SEO, pour une visibilité accrue, un engagement client renforcé et des conversions optimisées au sein de l’écosystème. »
Semrush devrait logiquement s’interfacer avec les différents outils marketing d’Adobe, qu’il s’agisse de son système de gestion de contenus numériques (AEM), ou de sa nouvelle offre d’agents conversationnels Adobe Brand Concierge.
L’acquisition a déjà fait l’objet d’une validation de la part du conseil d’administration de Semrush. Adobe indique avoir ainsi déjà recueilli l’approbation de l’équivalent de 75 % des droits de vote combinés de l’actionnariat de sa cible.
Début novembre, lors de la présentation de ses résultats financiers pour le troisième trimestre, Semrush indiquait tabler, pour l’ensemble de son exercice 2025, sur un chiffre d’affaires annuel de l’ordre de 445 millions de dollars, en croissance de 18 % sur un an, principalement grâce à l’appétit de ses clients pour l’IA générative.
Alors ça, c'est vraiment une promotion digne d'un Black Friday. Le Ryzen 5 9600X d'AMD, en version boite pleinement garantie 3 ans chez un revendeur français à seulement 164,99 € et avec la possibilité en plus de vous faire livrer gratuitement en point retrait, ça donne un prix qu'il ne faut pas rat...