Il y a un mois, Linux dépassait pour la première fois les 3 % de parts de marché sur Steam. Le mouvement était d’autant plus intéressant qu’il intervenait quelques semaines après la fin de support de Windows 10. La question restait cependant en suspens : s’agissait-il d’un simple pic ou la dynamique allait-elle être confirmée ?
Dans les derniers chiffres publiés par la plateforme de Valve, on peut voir que Linux confirme bien cette tendance. Sa part de marché, toutes distributions confondues, est en légère augmentation avec 3,2 %.
Le score fait toujours pâle figure devant un Windows triomphant et ses 94,79 %, mais il témoigne d’un changement qui semble s’inscrire dans le temps, entre joueurs et joueuses gardant leurs installations et nouveaux arrivants.
Comme pour les chiffres du mois dernier, SteamOS est la distribution la plus utilisée, avec 26,4 %, grâce au Steam Deck. Les trois autres distributions les plus utilisées restent Arch Linux (9,97 %), Linux Mint 22.2 (7,36 %) et CachyOS (6,74 %), une distribution spécialisée dans le jeu vidéo. Dans ce domaine d’ailleurs, Bazzite fait un bond de 1,29 point pour atteindre 5,53 %. La plus forte progression est enregistrée par Debian 13 est référencée pour la première fois avec 1,58 %.
Si les chiffres ne témoignent pas d’un séisme, ils restent intéressants à surveiller par leurs implications. Le jeu vidéo a été jusque-là une chasse gardée de Microsoft, l’immense majorité des jeux étant bâtis pour DirectX et autres technologies Windows. Les agacements autour de Windows 11 et l’obsession de Microsoft pour l’IA pourraient encore influer sur les parts de marché, mais il est probable que les nouveaux PC soient encore vendus avec Windows pour longtemps.
Il y a un mois, Linux dépassait pour la première fois les 3 % de parts de marché sur Steam. Le mouvement était d’autant plus intéressant qu’il intervenait quelques semaines après la fin de support de Windows 10. La question restait cependant en suspens : s’agissait-il d’un simple pic ou la dynamique allait-elle être confirmée ?
Dans les derniers chiffres publiés par la plateforme de Valve, on peut voir que Linux confirme bien cette tendance. Sa part de marché, toutes distributions confondues, est en légère augmentation avec 3,2 %.
Le score fait toujours pâle figure devant un Windows triomphant et ses 94,79 %, mais il témoigne d’un changement qui semble s’inscrire dans le temps, entre joueurs et joueuses gardant leurs installations et nouveaux arrivants.
Comme pour les chiffres du mois dernier, SteamOS est la distribution la plus utilisée, avec 26,4 %, grâce au Steam Deck. Les trois autres distributions les plus utilisées restent Arch Linux (9,97 %), Linux Mint 22.2 (7,36 %) et CachyOS (6,74 %), une distribution spécialisée dans le jeu vidéo. Dans ce domaine d’ailleurs, Bazzite fait un bond de 1,29 point pour atteindre 5,53 %. La plus forte progression est enregistrée par Debian 13 est référencée pour la première fois avec 1,58 %.
Si les chiffres ne témoignent pas d’un séisme, ils restent intéressants à surveiller par leurs implications. Le jeu vidéo a été jusque-là une chasse gardée de Microsoft, l’immense majorité des jeux étant bâtis pour DirectX et autres technologies Windows. Les agacements autour de Windows 11 et l’obsession de Microsoft pour l’IA pourraient encore influer sur les parts de marché, mais il est probable que les nouveaux PC soient encore vendus avec Windows pour longtemps.
Se perdre dans un mélange incompréhensible de lettres et chiffres arrive souvent quand on cherche un nouveau composant ou périphérique. On pense notamment aux écrans, qui semblent avoir des noms créés par un algorithme aléatoire, mais d'autres produits peuvent perdre le consommateur.
Histoire d'être un peu plus clair, si jamais ça ne l'était pas, Noctua explique tout sa nomenclature dans un nouvel article sur son blog, et c'est intéressant car l'ensemble est parfaitement logique.
[…]
Le revendeur suédois Inet.se a décidé de mettre en pause les expéditions de la très haut de gamme ASUS GeForce RTX 5090 ROG Matrix, après avoir identifié une possible irrégularité dans les premiers lots produits. Un message a été envoyé aux clients : le magasin attend des précisions d'ASUS avant de relancer les envois.
Aucun défaut confirmé n'a été détaillé publiquement, mais les premières informations pointent vers un souci d'ordre mécanique / assemblage plutôt que vers l'électronique ou les performances du GPU. Il pourrait s'agir d'un élément comme :
- une pression de montage irrégulière,
- un souci d'alignement du radiateur,
- ou une tolérance d'assemblage qui ne correspond pas exactement aux spécifications.
[…]
Présenté à plusieurs reprises au fil des derniers mois et salons, le système de refroidissement liquide LYNK+ est désormais disponibles. Deux premiers éléments sont pour l'instant proposés, plus des accessoires.
Le plus important est le radiateur, qui intègre une pompe pour faire circuler le liquide dans le circuit, dont le waterblock à destination de certaines cartes RTX 5090, la marque ayant choisi de commencer par le haut de gamme NVIDIA. La liste de compatibilité est étendue, avec des modèles ZOTAC, INNO3D, GAINWARD, PALIT ou encore PNY, qu se complètent avec une backplate vendue à part.
[…]
C'est une triste nouvelle pour le marché du stockage et de la mémoire : Micron abandonne définitivement son activité grand public Crucial. La marque, bien connue pour ses SSD MX, P-Series et ses kits DRAM vendus depuis près de 30 ans, va tout simplement disparaître du circuit retail.
Le constructeur a confirmé qu'il continuera à expédier des produits Crucial jusqu'à la fin de son Q2 fiscal 2026 (février 2026). Après cette date, plus de SSD ni de RAM Crucial en magasin ou chez les e-commerçants. Le support et la garantie resteront assurés, heureusement.
[…]
Voilà encore une histoire rocambolesque qui fait doucement rire, ou pas.... Sur Reddit, un utilisateur affirme avoir reçu quatre gros cailloux dans une boîte d'ASUS TUF Gaming GeForce RTX 5080 achetée 1 200 dollars chez Best Buy. Oui, des cailloux. Pas un GPU, pas un bundle, rien. Juste des pierres, donc dans les faits, comme nous étions sur une base ASUS TUF et que le tuf est une roche généralement tendre, nous sommes en plus un peu dans la taquinette.
D'après l'utilisateur GnarDead, la commande passée le 25 novembre est arrivée dans un état déjà douteux :
- Étiquette de livraison collée en pleine face sur la boîte du GPU, sans carton de protection.
- Scellé clairement trafiqué.
- Et donc, à l'intérieur des roches de belle taille en guise de carte graphique.
[…]
DOD3NieR nous propose un mod, enfin un double mod devrions-nous dire, qui vous permet d'incarner deux personnages marquants du jeu Final Fantasy VII Rebirth, Dyne et Rufus, qui sont normalement des boss PNJ.
Chacun possède ses propres mouvements et compétences, même si l'auteur du mod avoue n'avoir pas su faire fonctionner le bras métallique, les tentacules et les mines de Dyne.
Le mod dédié à Dyne se trouve ici, tandis que celui pour le chef de la Shinra est ici. […]
Micron invoque les tensions grandissantes sur l’approvisionnement en mémoire provoquées par les investissements dans l’IA pour justifier une décision radicale : sa sortie prochaine du marché grand public. Ce faisant, il met un terme à la marque Crucial, bien connue des amateurs de hardware.
Les tensions déjà à l’œuvre sur le marché grand public de la mémoire, vive ou flash, risquent de s’accentuer. Le groupe états-unien Micron vient en effet d’annoncer la fin de ses activités grand public, qui s’incarnaient jusqu’ici au travers de la marque Crucial. Il acte sa décision au travers d’un communiqué daté du 3 décembre, qui précise que la vente des produits Crucial va s’interrompre sur tous les canaux de distribution, à l’échelle mondiale.
Des lignes reconverties vers des marchés plus porteurs
S’il prend soin de remercier les équipes et les clients de la marque Crucial, active pendant 29 ans, et souligne le caractère « difficile » de cette décision, le groupe assume la dimension stratégique de cette dernière. Ce mouvement témoignerait « de l’engagement de Micron envers la transformation continue de son portefeuille et l’alignement qui en résulte de ses activités sur des vecteurs de croissance structurels et rentables dans le domaine de la mémoire et du stockage », enrobe le communiqué.
« Alimentée par l’IA, la croissance des centres de données a entraîné une forte augmentation de la demande en mémoire et en stockage. Micron a pris la difficile décision de se retirer du marché grand public de Crucial afin d’améliorer l’approvisionnement et le support pour ses clients stratégiques les plus importants dans les segments à forte croissance », décrit de façon plus explicite Sumit Sadana, vice président exécutif du groupe des activités.
Micron indique que l’approvisionnement en produits Crucial sera assuré jusqu’en février 2026, et promet que le support et le service après-vente seront assurés au-delà de cette date. Les produits RAM et NAND vendus sous la marque Micron sur le marché professionnel (serveurs notamment) resteront quant à eux disponibles. Les lignes précédemment dévolues à la fabrication des puces DDR et NAND intégrées aux barrettes et SSD Crucial seront quant à elles reconverties vers des segments de marché plus lucratifs.
Micron ne précise pas si ses lignes de production de GDDR7, dont les puces équipent une partie des cartes graphiques pour joueurs de la série RTX 5000 chez NVIDIA, sont concernées par ce mouvement.
Etabli par Trendforce, ce tableau classe les principaux fournisseurs de DRAM du marché en fonction de leur chiffre d’affaires et de leurs parts de marché sur le troisième trimestre 2025. Micron arrive en troisième position
Pénurie à venir, des effets déjà sensibles
Cette annonce intervient alors que les analystes évoquent depuis plusieurs semaines une possible pénurie à venir sur le marché de la mémoire. Alors que la demande globale ne cesse d’augmenter, les principaux acteurs du secteur que sont Samsung, SK Hynix et Micron concentrent en effet leurs capacités de production, actuelles ou en cours de développement, vers les segments associés à l’IA générative : la mémoire vive DDR pour serveurs et surtout la mémoire HBM (High Bandwidth Memory) utilisée au sein des puces spécialisées dans l’IA, qu’il s’agisse des composants signés NVIDIA, des derniers TPU de Google ou des produits développés par Amazon.
Il faut dire que la demande, nourrie par les promesses d’investissement de tous les grands noms de l’IA, est phénoménale. Début 2024, le Coréen SK Hynix indiquait par exemple avoir déjà vendu la quasi-totalité de sa production prévisionnelle pour 2025. Le phénomène s’est depuis considérablement accéléré, et les tensions déjà sensibles devraient s’accentuer, sur la DDR comme sur la NAND.
D’après le cabinet spécialisé Trendforce, les fournisseurs de mémoire flash n’auraient plus que sept à dix semaines de stock d’avance, contre 10 à 15 semaines un trimestre plus tôt. Côté mémoire vive, les leaders coréens Samsung et SK Hynix ont tous deux émis des alertes quant à la disponibilité de leurs puces DRAM. Le premier serait par exemple en mesure de ne traiter que 70 % des demandes entrantes, et ne verrait pas l’horizon s’éclaircir avant 2028.
Reste à voir quels seront les effets concrets de cette pénurie sur le marché de l’informatique grand public ou professionnelle, hors serveurs. Doc_TB, ancien de Canard PC Hardware qui accompagne LDLC sur des sujets d’approvisionnement et de création de composants en marque blanche, remarque que les difficultés déjà à l’oeuvre font revenir un phénomène oublié de longue date : celui des barrettes DDR no-name, faisant appel à des puces mémoire déclassées (n’ayant pas rempli les exigences de contrôle qualité pour être intégrées sur des produits de grande marque).
Selon son profil LinkedIn, Alan Dye est arrivé en 2006 chez Apple. En 2015, quand Jony Ive prenait la tête du design chez Apple, Alan Dye prenait la direction de la division User Interface Design. Jony Ive est parti en 2019 fonder sa propre entreprise, avant de se faire racheter par OpenAI. Jony Ive avait récupéré trois autres anciens responsables de chez Apple : Scott Cannon, Evans Hankey et Tang Tan.
« Compte tenu du secret qui entoure l’entreprise Apple, il est difficile de créditer des travaux à des designers en particulier, mais Dye a travaillé sur plusieurs des principales nouvelles plateformes et changements de design d’Apple, notamment l’interface de visionOS et son nouveau langage de design Liquid Glass », explique Engadget.
Via un message sur Threads, confirmant une information de Bloomberg, Mark Zuckerberg annonce qu’il rejoint Meta : « Aujourd’hui, nous mettons en place un nouveau studio de création Reality Labs dirigé par Alan Dye, qui a passé près de 20 ans à diriger le design chez Apple ». Alan Dye sera placé sous le directeur technique de Meta, Andrew Bosworth.
Alan Dye ne vient pas tout seul, il arrive avec Billy Sorrentino, également ancien d’Apple (directeur sénior chez Apple Design Team). Le Reality peut aussi compter sur des forces internes : Joshua To et Pete Bristol, tous deux chez Meta depuis un peu moins de cinq ans.
Chez Apple, Stephen Lemay prendra la succession d’Alan Dye, selon des sources de Bloomberg.
Il y a quelques jours, c’était l’opération inverse qui était réalisée sur l’intelligence artificielle : Apple débauchait Amar Subramanya (ex-Google et Microsoft) comme vice-président de l’IA. Il doit s’occuper des modèles Apple Foundation, de la recherche en machine learning, de la sécurité et de l’évaluation de l’IA.
Micron invoque les tensions grandissantes sur l’approvisionnement en mémoire provoquées par les investissements dans l’IA pour justifier une décision radicale : sa sortie prochaine du marché grand public. Ce faisant, il met un terme à la marque Crucial, bien connue des amateurs de hardware.
Les tensions déjà à l’œuvre sur le marché grand public de la mémoire, vive ou flash, risquent de s’accentuer. Le groupe états-unien Micron vient en effet d’annoncer la fin de ses activités grand public, qui s’incarnaient jusqu’ici au travers de la marque Crucial. Il acte sa décision au travers d’un communiqué daté du 3 décembre, qui précise que la vente des produits Crucial va s’interrompre sur tous les canaux de distribution, à l’échelle mondiale.
Des lignes reconverties vers des marchés plus porteurs
S’il prend soin de remercier les équipes et les clients de la marque Crucial, active pendant 29 ans, et souligne le caractère « difficile » de cette décision, le groupe assume la dimension stratégique de cette dernière. Ce mouvement témoignerait « de l’engagement de Micron envers la transformation continue de son portefeuille et l’alignement qui en résulte de ses activités sur des vecteurs de croissance structurels et rentables dans le domaine de la mémoire et du stockage », enrobe le communiqué.
« Alimentée par l’IA, la croissance des centres de données a entraîné une forte augmentation de la demande en mémoire et en stockage. Micron a pris la difficile décision de se retirer du marché grand public de Crucial afin d’améliorer l’approvisionnement et le support pour ses clients stratégiques les plus importants dans les segments à forte croissance », décrit de façon plus explicite Sumit Sadana, vice président exécutif du groupe des activités.
Micron indique que l’approvisionnement en produits Crucial sera assuré jusqu’en février 2026, et promet que le support et le service après-vente seront assurés au-delà de cette date. Les produits RAM et NAND vendus sous la marque Micron sur le marché professionnel (serveurs notamment) resteront quant à eux disponibles. Les lignes précédemment dévolues à la fabrication des puces DDR et NAND intégrées aux barrettes et SSD Crucial seront quant à elles reconverties vers des segments de marché plus lucratifs.
Micron ne précise pas si ses lignes de production de GDDR7, dont les puces équipent une partie des cartes graphiques pour joueurs de la série RTX 5000 chez NVIDIA, sont concernées par ce mouvement.
Etabli par Trendforce, ce tableau classe les principaux fournisseurs de DRAM du marché en fonction de leur chiffre d’affaires et de leurs parts de marché sur le troisième trimestre 2025. Micron arrive en troisième position
Pénurie à venir, des effets déjà sensibles
Cette annonce intervient alors que les analystes évoquent depuis plusieurs semaines une possible pénurie à venir sur le marché de la mémoire. Alors que la demande globale ne cesse d’augmenter, les principaux acteurs du secteur que sont Samsung, SK Hynix et Micron concentrent en effet leurs capacités de production, actuelles ou en cours de développement, vers les segments associés à l’IA générative : la mémoire vive DDR pour serveurs et surtout la mémoire HBM (High Bandwidth Memory) utilisée au sein des puces spécialisées dans l’IA, qu’il s’agisse des composants signés NVIDIA, des derniers TPU de Google ou des produits développés par Amazon.
Il faut dire que la demande, nourrie par les promesses d’investissement de tous les grands noms de l’IA, est phénoménale. Début 2024, le Coréen SK Hynix indiquait par exemple avoir déjà vendu la quasi-totalité de sa production prévisionnelle pour 2025. Le phénomène s’est depuis considérablement accéléré, et les tensions déjà sensibles devraient s’accentuer, sur la DDR comme sur la NAND.
D’après le cabinet spécialisé Trendforce, les fournisseurs de mémoire flash n’auraient plus que sept à dix semaines de stock d’avance, contre 10 à 15 semaines un trimestre plus tôt. Côté mémoire vive, les leaders coréens Samsung et SK Hynix ont tous deux émis des alertes quant à la disponibilité de leurs puces DRAM. Le premier serait par exemple en mesure de ne traiter que 70 % des demandes entrantes, et ne verrait pas l’horizon s’éclaircir avant 2028.
Reste à voir quels seront les effets concrets de cette pénurie sur le marché de l’informatique grand public ou professionnelle, hors serveurs. Doc_TB, ancien de Canard PC Hardware qui accompagne LDLC sur des sujets d’approvisionnement et de création de composants en marque blanche, remarque que les difficultés déjà à l’oeuvre font revenir un phénomène oublié de longue date : celui des barrettes DDR no-name, faisant appel à des puces mémoire déclassées (n’ayant pas rempli les exigences de contrôle qualité pour être intégrées sur des produits de grande marque).
Selon son profil LinkedIn, Alan Dye est arrivé en 2006 chez Apple. En 2015, quand Jony Ive prenait la tête du design chez Apple, Alan Dye prenait la direction de la division User Interface Design. Jony Ive est parti en 2019 fonder sa propre entreprise, avant de se faire racheter par OpenAI. Jony Ive avait récupéré trois autres anciens responsables de chez Apple : Scott Cannon, Evans Hankey et Tang Tan.
« Compte tenu du secret qui entoure l’entreprise Apple, il est difficile de créditer des travaux à des designers en particulier, mais Dye a travaillé sur plusieurs des principales nouvelles plateformes et changements de design d’Apple, notamment l’interface de visionOS et son nouveau langage de design Liquid Glass », explique Engadget.
Via un message sur Threads, confirmant une information de Bloomberg, Mark Zuckerberg annonce qu’il rejoint Meta : « Aujourd’hui, nous mettons en place un nouveau studio de création Reality Labs dirigé par Alan Dye, qui a passé près de 20 ans à diriger le design chez Apple ». Alan Dye sera placé sous le directeur technique de Meta, Andrew Bosworth.
Alan Dye ne vient pas tout seul, il arrive avec Billy Sorrentino, également ancien d’Apple (directeur sénior chez Apple Design Team). Le Reality peut aussi compter sur des forces internes : Joshua To et Pete Bristol, tous deux chez Meta depuis un peu moins de cinq ans.
Chez Apple, Stephen Lemay prendra la succession d’Alan Dye, selon des sources de Bloomberg.
Il y a quelques jours, c’était l’opération inverse qui était réalisée sur l’intelligence artificielle : Apple débauchait Amar Subramanya (ex-Google et Microsoft) comme vice-président de l’IA. Il doit s’occuper des modèles Apple Foundation, de la recherche en machine learning, de la sécurité et de l’évaluation de l’IA.
Slashdot readers jmurtari and schwit1 shares news that a Russian astronaut slated for the next Dragon mission to the ISS has been removed after being caught photographing proprietary SpaceX hardware. UNITED24 reports: Russian cosmonaut Oleg Artemyev has been removed from the prime crew of SpaceX's Crew-12 mission to the International Space Station and replaced by fellow Roscosmos cosmonaut Andrey Fedyaev after sources alleged he photographed confidential SpaceX materials in California in violation of U.S. export control rules, according to The Insider on December 2. The outlet reported that Trishkin also said NASA did not want the controversy around Artemyev to become public, while Artemyev was removed from training at SpaceX's Hawthorne California, facility last week after allegedly photographing SpaceX engines and other internal materials on his phone and taking them off-site.
Luke JC nous dévoile ce qui ressemble bien au mod ultime pour le jeu Just Cause 3 !
Avec pas moins de 200 modifications, 60 nouveaux véhicules et 25 nouvelles armes, cela pourrait être l'occasion rêvée de replonger dans le titre de Avalanche Studios, pêle-mêle, la portée du grappin a été augmentée de 50%, les mouvements de Rico ont été perfectionnés, il peut se pencher plus lorsqu'il se trouve sur un véhicule, le wingsuit et le parachute sont plus maniables...
La distance d'affichage a été améliorée pour les éléments 3D, les quelques rares textures 2D conservées ont été remplacées par des textures de meilleure qualité. Tous les personnages principaux sont disponibles en dehors des missions, certains pourront même vous accompagner dans votre véhicule.
Le mod Just Cause 3 Unlimited Edition est téléchargeable ici. […]
Le studio Deep Silver nous annonce le déploiement d'un Hotfix pour son jeu Kingdom Come: Deliverance II, le téléchargement vous sera proposé automatiquement à l'ouverture de votre launcher.Le correctif 1.5.2 est désormais disponible pour Kingdom Come: Deliverance II. Cette mise à jour vise principalement à améliorer la stabilité, à corriger les blocages de quêtes, à résoudre les bugs visuels et audio, et à traiter divers problèmes signalés par la communauté. […]
An anonymous reader quotes a report from The Verge's Sean Hollister If you wrote off the Steam Frame as yet another VR headset few will want to wear, I guarantee you're not alone. But the Steam Frame isn't just a headset; it's a Trojan horse that contains the tech gamers need to play Steam games on the next Samsung Galaxy, the next Google Pixel, perhaps Arm gaming notebooks to come. I know, because I'm already using that tech on my Samsung Galaxy. There is no official Android version of Hollow Knight: Silksong, one of the best games of 2025, but that doesn't have to stop you anymore. Thanks to a stack of open-source technologies, including a compatibility layer called Proton and an emulator called Fex, games that were developed for x86-based Windows PCs can now run on Linux-based phones with the Arm processor architecture. With Proton, the Steam Deck could already do the Windows-to-Linux part; now, Fex is bridging x86 and Arm, too.
This stack is what powers the Steam Frame's own ability to play Windows games, of course, and it was widely reported that Valve is using the open-source Fex emulator to make it happen. What wasn't widely reported: Valve is behind Fex itself. In an interview, Valve's Pierre-Loup Griffais, one of the architects behind SteamOS and the Steam Deck, tells The Verge that Valve has been quietly funding almost all the open-source technologies required to play Windows games on Arm. And because they're open-source, Valve is effectively shepherding a future where Arm phones, laptops, and desktops could freely do the same. He says the company believes game developers shouldn't be wasting time porting games if there's a better way.
Remember when the Steam Deck handheld showed that a decade of investment in Linux could make Windows gaming portable? Valve paid open-source developers to follow their passions to help achieve that result. Valve has been guiding the effort to bring games to Arm in much the same way: In 2016 and 2017, Griffais tells me, the company began recruiting and funding open-source developers to bring Windows games to Arm chips. Fex lead developer Ryan Houdek tells The Verge he chatted with Griffais himself at conferences those years and whipped up the first prototype in 2018. He tells me Valve pays enough that Fex is his full-time job. "I want to thank the people from Valve for being here from the start and allowing me to kickstart this project," he recently wrote.
AT&T and Verizon are blocking T-Mobile's new "Switching Made Easy" tool that scans their customer accounts to recommend comparable plans. AT&T is also suing, alleging T-Mobile used bots to scrape over 100 fields of sensitive customer data. From The Mobile Report: According to a lawsuit, which AT&T has shared directly with us, T-Mobile updated the T-Life app's scraping abilities three separate times in an attempt to bypass AT&T's detection. Essentially, T-Mobile and AT&T have been in a game of cat and mouse. Not only that, but AT&T alleges that T-Mobile is intentionally hiding the fact that it's their scraper accessing an account, and essentially pretends to be an end user while doing so. Apparently, T-Mobile's scraping bot tries its best to appear as a generic web browser.
AT&T sent T-Mobile a cease and desist letter on November 24th demanding T-Mobile stop the scraping process. T-Mobile responded two days later refusing, stating that the process was legal because "customers themselves ... log into their own wireless account." On November 26th, AT&T says they detected T-Mobile is no longer scraping the AT&T website, and instead asks users to upload a pdf of their bill or enter some info manually. They note, however, that at the time the app still appeared to scrape Verizon accounts. The lawsuit further explains that AT&T reached out to Apple with the claim that T-Mobile's T-Life app is also violating the App Store Review Guidelines. T-Mobile responded to this complaint as well, making similar claims that the scraping process does not violate those guidelines. [...]
According to AT&T, the T-Life app collects way more information than is necessary for a simple carrier switch. The company alleges T-Mobile grabs over 100 separate bits of info from a customer's account, including info about other users on the account and other services not related to wireless service. It's also worth noting that, apparently, T-Mobile is storing this information, not just using it temporarily, even if the customer doesn't end up switching. T-Mobile has responded to our request for comment, and says that actually, AT&T is wrong about the facts, and Easy Switch is safe and secure...
ReactOS as the open-source operating system aiming to be an "open-source Windows" by striving for binary compatibility with Windows programs and device drivers is now slightly better with its USB support...
Last month I reported on Linux 6.19 looking to enable Microsoft C Extensions support throughout the Linux kernel with setting the -fms-extensions compiler option to allow Microsoft C Extensions when building the kernel. Linus Torvalds today merged that support without objections...
A federal judge has ordered OpenAI to hand over 20 million anonymized ChatGPT logs in its copyright battle with the New York Times and other outlets. Reuters reports: U.S. Magistrate Judge Ona Wang in a decision made public on Wednesday said that the 20 million logs were relevant to the outlets' claims and that handing them over would not risk violating users' privacy. The judge rejected OpenAI's privacy-related objections to an earlier order requiring the artificial intelligence startup to submit the records as evidence. "There are multiple layers of protection in this case precisely because of the highly sensitive and private nature of much of the discovery," Wang said.
An OpenAI spokesperson on Wednesday cited an earlier blog post from the company's Chief Information Security Officer Dane Stuckey, which said the Times' demand for the chat logs "disregards long-standing privacy protections" and "breaks with common-sense security practices." OpenAI has separately appealed Wang's order to the case's presiding judge, U.S. District Judge Sidney Stein.
A group of newspapers owned by Alden Global Capital's MediaNews Group is also involved in the lawsuit. MediaNews Group executive editor Frank Pine said in a statement on Wednesday that OpenAI's leadership was "hallucinating when they thought they could get away with withholding evidence about how their business model relies on stealing from hardworking journalists."