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Lian Li HydroShift LCD : un nouvel AIO avec un écran LCD, mais surtout des tuyaux moins visibles

Lian Li a introduit 3 nouvelles références de watercooling AIO pour refroidir votre CPU à l’eau. Elles sont toutes basées sur un radiateur de 360 mm complétés de ventilateurs de 120 mm et compatibles L-Connect, mais il y a des différences au niveau de l’épaisseur, des ventilateurs fournis et des per...

Les prix des GPU AMD, Intel et NVIDIA semaine 26-2024 : Une baisse intéressante !!!

Bon, cette semaine, comme toutes les semaines, ce n'est pas le panard. Chez AMD une seule et unique baisse, sur la RX 7700 XT qui baisse de 5 euros et qui passe donc de 419.90 euros à 414.90 euros... Waaaooouuhh. Attention, nous avons une baisse chez Intel, ce qui est rare. C'est la A770 qui passe de 363.90 euros à 329.90 euros, une baisse de 34 euros tout de même ce qui n'est pas rien. […]

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Les vidéos hardware de la semaine 26-2024 : écran OLED, boitier NZXT, et watercooling ASUS au carré

Plutôt une grosse semaine pour les vidéos, avec pas moins de 4 productions. Nous avons commencé par vous présenter l'écran PHILIPS Evnia 42M2N8900, un énorme 42 pouces avec une dalle OLED. Ensuite, nous avons passé un peu de temps avec le boitier NZXT H7 FLOW dans sa version 2024. Après, il a été question de watercooling AIO ASUS avec les ROG Strix LC III. […]

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OpenDNS se coupe du web .fr

Petit aparté au hardware — Vous vous êtes peut être réveillé ce matin avec votre machine a café connectée en carafe, votre frigo incapable de vous signaler que vous êtes en panne de beurre de baratte et surtout de Get 27 au congélo — chacun ses problèmes, hein —, votre PS5 en PLS, votre système Philips HUE ne répond plus aux ordres d'allumage, ou encore votre navigateur vous signalant que vos DNS sont à la rue. Si ce n'est pas le cas, c'est que vous n'utilisez pas de services DNS tiers ou que si vous en utilisez, OpenDNS ne fait pas partie du lot... [Tout lire]

#Flock : FREE ASSANGE !

ou je tue le chien

Si vous étiez passé à côté de la nouvelle : la voici.

Je vous laisse, j’ai rendez-vous chez le barbier.

Bon weekend à tous !

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Chrome's Coreboot Firmware Adapting For 64-bit Boot, Prepping For Intel Panther Lake

The Open-Source Firmware Foundation is out with an interesting blog post by Google firmware engineer Subrata Banik around adapting the Coreboot-based Chrome AP Firmware for 64-bit booting. The transition to 64-bit booting is happening for the system firmware powering Chromebooks and other Chrome devices and is driven in part for Intel Panther Lake generation hardware...

22 ans plus tard, Star Wars: Bounty Hunter fait son retour sur toute les plateformes modernes

Vous aviez complètement oublié que ce titre avait existé à une époque lointaine ? Personne ne vous en voudra. D’une part, il était sorti il y a déjà 22 ans et à cette époque, uniquement sur PlayStation 2 et GameCube. D’autre part, malgré certains aspects positifs tels que le gameplay et le level des...

Windows 11 build 22635.3790 : les nouveautés à la loupe

Ces derniers jours ont été intenses pour le programme Windows Insider, qui a levé le voile sur une nouvelle build dans chacun de ses quatre canaux. Après avoir détaillé en pratique toutes les nouveautés attendues pour la grosse mise à jour 24H2 prévue pour octobre prochain, attardons-nous sur tous les micro-changements apportés par ces pré-versions. De la synchronisation avec votre smartphone à la réorganisation du menu Démarrer en passant par la sauvegarde automatique de vos captures vidéo, ils ont tous pour point commun de hisser d'un cran l'ergonomie du système. Rien de sensationnel à la clé, mais plusieurs détails et des optimisations qui pourraient vous simplifier la vie au quotidien. Pour rappel, ces nouveautés ne sont pas toutes susceptibles d'être poussées vers la version “release” ; elles sont avant tout conçues pour être testées par les utilisateurs ayant (gratuitement) adhéré au programme, mais certaines d'entre elles pourraient être diffusées à travers un nouveau “Moment” précédent la mise à jour majeure. Si vous souhaitez les essayer à votre tour, authentifiez-vous sur ce lien avec votre compte Microsoft. Et rendez-vous ensuite sur la page des téléchargements pour récupérer leur ISO complète, à déployer de préférence sur une machine virtuelle. […]

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ChatGPT Outperforms Undergrads In Intro-Level Courses, Falls Short Later

Peter Scarfe, a researcher at the University of Reading's School of Psychology and Clinical Language Sciences, conducted an experiment testing the vulnerability of their examination system to AI-generated work. Using ChatGPT-4, Scarfe's team submitted over 30 AI-generated answers across multiple undergraduate psychology modules, finding that 94 percent of these submissions went undetected and nearly 84 percent received higher grades than human counterparts. The findings have been published in the journal PLOS One. Ars Technica reports: Scarfe's team submitted AI-generated work in five undergraduate modules, covering classes needed during all three years of study for a bachelor's degree in psychology. The assignments were either 200-word answers to short questions or more elaborate essays, roughly 1,500 words long. "The markers of the exams didn't know about the experiment. In a way, participants in the study didn't know they were participating in the study, but we've got necessary permissions to go ahead with that," Scarfe claims. Shorter submissions were prepared simply by copy-pasting the examination questions into ChatGPT-4 along with a prompt to keep the answer under 160 words. The essays were solicited the same way, but the required word count was increased to 2,000. Setting the limits this way, Scarfe's team could get ChatGPT-4 to produce content close enough to the required length. "The idea was to submit those answers without any editing at all, apart from the essays, where we applied minimal formatting," says Scarfe. Overall, Scarfe and his colleagues slipped 63 AI-generated submissions into the examination system. Even with no editing or efforts to hide the AI usage, 94 percent of those went undetected, and nearly 84 percent got better grades (roughly half a grade better) than a randomly selected group of students who took the same exam. "We did a series of debriefing meetings with people marking those exams and they were quite surprised," says Scarfe. Part of the reason they were surprised was that most of those AI submissions that were detected did not end up flagged because they were too repetitive or robotic -- they got flagged because they were too good. Out of five modules where Scarfe's team submitted AI work, there was one where it did not receive better grades than human students: the final module taken by students just before they left the university. "Large language models can emulate human critical thinking, analysis, and integration of knowledge drawn from different sources to a limited extent. In their last year at the university, students are expected to provide deeper insights and use more elaborate analytical skills. The AI isn't very good at that, which is why students fared better," Scarfe explained. All those good grades Chat GPT-4 got were in the first- and second-year exams, where the questions were easier. "But the AI is constantly improving, so it's likely going to score better in those advanced assignments in the future. And since AI is becoming part of our lives and we don't really have the means to detect AI cheating, at some point we are going to have to integrate it into our education system," argues Scarfe. He said the role of a modern university is to prepare the students for their professional careers, and the reality is they are going to use various AI tools after graduation. So, they'd be better off knowing how to do it properly.

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Contraint de bloquer des noms de domaine, OpenDNS décide de quitter la France

Le DNS que vous avez demandé n’est plus disponible
Panneau stop

Une décision de justice demande à Cisco, Google et CloudFlare de bloquer l‘accès à plus d’une centaine de sites. Canal+ en est à l’origine, dans sa guerre contre le piratage sportif.

« En raison d’une décision de justice en France »

Certains pourraient y voir une manière d’écraser une mouche avec un bazooka, d’autres une manière de répondre aux « aux exigences des ayant-tous-les-droits ». La raison officielle est donnée par OpenDNS dans un billet de blog :

« À compter du 28 juin 2024, en raison d’une décision de justice en France rendue en vertu de l’article L.333-10 du code du sport français et d’une décision de justice au Portugal rendue en vertu de l’article 210-G(3) du code portugais du droit d’auteur, le service OpenDNS n’est actuellement pas disponible pour les utilisateurs en France et dans certains territoires français et au Portugal. Nous nous excusons pour la gêne occasionnée ».

Canal+ obtient le blocage DNS d’une centaine de sites

La décision de justice dont il est question a été publiée par nos confrères de l’Informé. Elle demande à Google, Cisco (propriétaire d’OpenDNS) et CloudFlare de bloquer l’accès à une centaine de sites, via leur résolveur DNS. Concrètement, les internautes utilisant le DNS d’un des trois services ne fait plus le lien entre le nom de domaine et l’adresse IP du serveur.

Il s’agit pour Canal+ de protéger ses droits et de rendre inaccessibles des sites diffusant des matchs des Champions League, de Premier League en football et du Top 14. « Après avoir obtenu le blocage par les fournisseurs d’accès et le déréférencement par Google de plusieurs sites illicites, Canal+ a décidé en octobre 2023 de passer à la vitesse supérieure en assignant cette fois Google, Cloudflare et Cisco », expliquent nos confrères.

Dans la décision du tribunal, publiée par nos confrères, il est indiqué : « La proportionnalité des blocages demandés est contestée par les défenderesses. Les sociétés Google, Cisco et Cloudflare prétendent que ces mesures seraient inutilement complexes et coûteuses dans la mesure où il existe de nombreux moyens autres de bloquer tout accès aux sites litigieux. De plus, les atteintes en cause ne seraient pas irrémédiables puisqu’il suffirait d’utiliser un VPN ou un autre service DNS alternatif pour contourner le blocage ». Ces arguments et les autres ont été rejetés par le tribunal.

OpenDNS renvoie un message « REFUSED »

Si on tente d’interroger le résolveur DNS en France ou au Portugal, on a désormais un beau message « REFUSED », avec un rappel du texte de loi en question. Comme le précise Stéphane Bortzmeyer, spécialiste du DNS, « ce n’est pas spécifique au nom de domaine demandé, tous donnent le même résultat. En outre, on peut vérifier, par exemple avec les sondes RIPE Atlas, que c’est pareil depuis quasiment tous les FAI français ».

CloudFlare aussi s’est exécuté avec désormais un message « Error HTTP 451 […] Unavailable For Legal Reasons ». Chez Google, le message d’erreur est plus succinct : « Hum, nous ne parvenons pas à trouver ce site ».

Des résolveurs DNS en pagaille

Stéphane Bortzmeyer est bien remonté contre cette décision de justice : « Les défenseurs de l’appropriation intellectuelle affirment souvent qu’elle sert à « protéger les créateurs » mais, comme on le voit ici, elle sert surtout à enrichir les clubs de football. Les personnes qui utilisaient OpenDNS le faisaient sans doute pour contourner une censure qui bénéficie surtout aux ayant-droits », ou encore parce que leurs objets connectés reposaient sur OpenDNS, ce qui n’est pas sans conséquence.

L'Internet des Objets, c'est quand on ne peut plus allumer la lumière car le contrôleur a les résolveurs #DNS d'#OpenDNS en dur et qu'on ne peut pas les changer : https://t.co/UqoWAih5oQ

— Stéphane Bortzmeyer (@bortzmeyer) June 28, 2024

Le spécialiste des infrastructures d’Internet et des DNS en profite pour rappeler que, en Europe, il y a d’autres résolveurs DNS : dns.sb, DNS4ALL, celui de FDN et même le sien personnel. Nous pouvons aussi ajouter Quad9. Il ajoute : « Si on utilise un résolveur public (ce qui n’est pas forcément une bonne idée), le choix est vaste et les alternatives nombreuses (aucune raison de tous aller sur le résolveur d’une grosse entreprise capitaliste états-unienne). Mais il n’est pas évident de choisir ».

Contraint de bloquer des noms de domaine, OpenDNS décide de quitter la France

Le DNS que vous avez demandé n’est plus disponible
Panneau stop

Une décision de justice demande à Cisco, Google et CloudFlare de bloquer l‘accès à plus d’une centaine de sites. Canal+ en est à l’origine, dans sa guerre contre le piratage sportif.

« En raison d’une décision de justice en France »

Certains pourraient y voir une manière d’écraser une mouche avec un bazooka, d’autres une manière de répondre aux « aux exigences des ayant-tous-les-droits ». La raison officielle est donnée par OpenDNS dans un billet de blog :

« À compter du 28 juin 2024, en raison d’une décision de justice en France rendue en vertu de l’article L.333-10 du code du sport français et d’une décision de justice au Portugal rendue en vertu de l’article 210-G(3) du code portugais du droit d’auteur, le service OpenDNS n’est actuellement pas disponible pour les utilisateurs en France et dans certains territoires français et au Portugal. Nous nous excusons pour la gêne occasionnée ».

Canal+ obtient le blocage DNS d’une centaine de sites

La décision de justice dont il est question a été publiée par nos confrères de l’Informé. Elle demande à Google, Cisco (propriétaire d’OpenDNS) et CloudFlare de bloquer l’accès à une centaine de sites, via leur résolveur DNS. Concrètement, les internautes utilisant le DNS d’un des trois services ne fait plus le lien entre le nom de domaine et l’adresse IP du serveur.

Il s’agit pour Canal+ de protéger ses droits et de rendre inaccessibles des sites diffusant des matchs des Champions League, de Premier League en football et du Top 14. « Après avoir obtenu le blocage par les fournisseurs d’accès et le déréférencement par Google de plusieurs sites illicites, Canal+ a décidé en octobre 2023 de passer à la vitesse supérieure en assignant cette fois Google, Cloudflare et Cisco », expliquent nos confrères.

Dans la décision du tribunal, publiée par nos confrères, il est indiqué : « La proportionnalité des blocages demandés est contestée par les défenderesses. Les sociétés Google, Cisco et Cloudflare prétendent que ces mesures seraient inutilement complexes et coûteuses dans la mesure où il existe de nombreux moyens autres de bloquer tout accès aux sites litigieux. De plus, les atteintes en cause ne seraient pas irrémédiables puisqu’il suffirait d’utiliser un VPN ou un autre service DNS alternatif pour contourner le blocage ». Ces arguments et les autres ont été rejetés par le tribunal.

OpenDNS renvoie un message « REFUSED »

Si on tente d’interroger le résolveur DNS en France ou au Portugal, on a désormais un beau message « REFUSED », avec un rappel du texte de loi en question. Comme le précise Stéphane Bortzmeyer, spécialiste du DNS, « ce n’est pas spécifique au nom de domaine demandé, tous donnent le même résultat. En outre, on peut vérifier, par exemple avec les sondes RIPE Atlas, que c’est pareil depuis quasiment tous les FAI français ».

CloudFlare aussi s’est exécuté avec désormais un message « Error HTTP 451 […] Unavailable For Legal Reasons ». Chez Google, le message d’erreur est plus succinct : « Hum, nous ne parvenons pas à trouver ce site ».

Des résolveurs DNS en pagaille

Stéphane Bortzmeyer est bien remonté contre cette décision de justice : « Les défenseurs de l’appropriation intellectuelle affirment souvent qu’elle sert à « protéger les créateurs » mais, comme on le voit ici, elle sert surtout à enrichir les clubs de football. Les personnes qui utilisaient OpenDNS le faisaient sans doute pour contourner une censure qui bénéficie surtout aux ayant-droits », ou encore parce que leurs objets connectés reposaient sur OpenDNS, ce qui n’est pas sans conséquence.

L'Internet des Objets, c'est quand on ne peut plus allumer la lumière car le contrôleur a les résolveurs #DNS d'#OpenDNS en dur et qu'on ne peut pas les changer : https://t.co/UqoWAih5oQ

— Stéphane Bortzmeyer (@bortzmeyer) June 28, 2024

Le spécialiste des infrastructures d’Internet et des DNS en profite pour rappeler que, en Europe, il y a d’autres résolveurs DNS : dns.sb, DNS4ALL, celui de FDN et même le sien personnel. Nous pouvons aussi ajouter Quad9. Il ajoute : « Si on utilise un résolveur public (ce qui n’est pas forcément une bonne idée), le choix est vaste et les alternatives nombreuses (aucune raison de tous aller sur le résolveur d’une grosse entreprise capitaliste états-unienne). Mais il n’est pas évident de choisir ».

South African Researchers Test Use of Nuclear Technology To Curb Rhino Poaching

Researchers in South Africa have injected radioactive material into the horns of 20 rhinos to deter poaching, aiming to leverage existing radiation detectors at borders for early detection and interception of trafficked horns. The Associated Press reports: The research, which has included the participation of veterinarians and nuclear experts, begins with the animal being tranquilized before a hole is drilled into its horn and the nuclear material carefully inserted. This week, researchers at the University of the Witwatersrand's Radiation and Health Physics Unit in South Africa injected 20 live rhinos with these isotopes. They hope the process can be replicated to save other wild species vulnerable to poaching -- like elephants and pangolins. "We are doing this because it makes it significantly easier to intercept these horns as they are being trafficked over international borders, because there is a global network of radiation monitors that have been designed to prevent nuclear terrorism," said Professor James Larkin, who heads the project. "And we're piggybacking on the back of that." According to figures by the International Union for Conservation of Nature, an international conservation body, the global rhino population stood at around 500,000 at the beginning of the 20th century. It now stands at around 27,000 due to continued demand for rhino horns on the black market. South Africa has the largest population of rhinos with an estimated 16,000, making it a hotspot with over 500 rhinos killed yearly. [...] While the idea has received support from some in the industry, the researchers have had to jump many ethical hurdles posed by critics of their methodology. Pelham Jones, chairperson of the Private Rhino Owners Association, is among the critics of the proposed method and doubts that it would effectively deter poachers and traffickers. "(Poachers) have worked out other ways of moving rhino horn out of the country, out of the continent or off the continent, not through traditional border crossings," he said. "They bypass the border crossings because they know that is the area of the highest risk of confiscation or interception." Professor Nithaya Chetty, dean of the science faculty at Witwatersrand, said the dosage of the radioactivity is very low and its potential negative impact on the animal was tested extensively.

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Bipartisan Consensus In Favor of Renewable Power Is Ending

An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: One of the most striking things about the explosion of renewable power that's happening in the U.S. is that much of it is going on in states governed by politicians who don't believe in the problem wind and solar are meant to address. Acceptance of the evidence for climate change tends to be lowest among Republicans, yet many of the states where renewable power has boomed -- wind in Wyoming and Iowa, solar in Texas -- are governed by Republicans. That's partly because, up until about 2020, there was a strong bipartisan consensus in favor of expanding wind and solar power, with support above 75 percent among both parties. Since then, however, support among Republicans has dropped dramatically, approaching 50 percent, according to polling data released this week. [...] One striking thing about the new polling data, gathered by the Pew Research Center, is how dramatically it skews with age. When given a choice between expanding fossil fuel production or expanding renewable power, Republicans under the age of 30 favored renewables by a 2-to-1 margin. Republicans over 30, in contrast, favored fossil fuels by margins that increased with age, topping out at a three-to-one margin in favor of fossil fuels among those in the 65-and-over age group. The decline in support occurred in those over 50 starting in 2020; support held steady among younger groups until 2024, when the 30-49 age group started moving in favor of fossil fuels. Democrats, by contrast, break in favor of renewables by 75 points, with little difference across age groups and no indication of significant change over time. They're also twice as likely to think a solar farm will help the local economy than Republicans are. Similar differences were apparent when Pew asked about policies meant to encourage the sale of electric vehicles, with 83 percent of Republicans opposed to having half of cars sold be electric in 2032. By contrast, nearly two-thirds of Democrats favored this policy. There's also a rural/urban divide apparent (consistent with Republicans getting more support from rural voters). Forty percent of urban residents felt that a solar farm would improve the local economy; only 25 percent of rural residents agreed. Rural residents were also more likely to say solar farms made the landscape unattractive and take up too much space. (Suburban participants were consistently in between rural and urban participants.) What's behind these changes? The single biggest factor appears to be negative partisanship combined with the election of Joe Biden. Among Republicans, support for every single form of power started to change in 2020 -- fossil fuels, renewables, and nuclear. Among Democrats, that's largely untrue. Their high level of support for renewable power and aversion to fossil fuels remained largely unchanged. The lone exception is nuclear power, where support rose among both Democrats and Republicans (the Biden administration has adopted a number of pro-nuclear policies).

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