Sur Reddit, lieu incontestable du référencement des prototypes miraculeusement trouvés dans une poubelle, un nouveau prototype vient démerger, il s'agit d'une RTX 3060 ! Pour rappel, NVIDIA n'avait pas proposé de version Founders Edition, le prototype semble très anonyme, avec une teinte unique noire, l'utilisateur indique que seuls les ventilateurs fonctionnement, la carte ne boote malheureusement pas. Mais en la démontant, il apporte quelques informations cruciales, le code de la date renvoie à la semaine 24 de l'année 2020, ce qui est bien antérieure à l'annonce de NVIDIA, faite 12 janvier 2021 et à la commercialisation effective, le 25 février 2021. […]
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Bon, clairement, quand on lit : ROG Crosshair X870E APEX, on sait déjà que l'on va passer un bon moment avec cette carte mère résolument haut de gamme à destination des derniers processeurs AMD qui sont en AM5, donc les Ryzen 7000 et Ryzen 9000. Un modèle résolument haut de gamme à destination de ceux qui savent. C'est à découvrir ici même : Test CM ASUS ROG Crosshair X870E APEX ou en cliquant sur la source. […]
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En vidéo en ce lundi, le Signium 14 S1 OLED de chez MEDION, un laptop pensé pour le baroudage avec son petit kilo et sa dalle OLED de 14 pouces capable d'atteindre 120 Hz sur une définition de 2880 x 1800 pixels. Il embarque un processeur Intel Core 5 120U, un modèle à 10 curs (2 curs performants et 8 curs économes) et 12 threads, avec un TDP de 15 W. On y retrouve également 16 Go de DDR4 ainsi qu'un SSD de 512 Go. Il est actuellement proposé à 750 U+20AC. […]
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Entre la navigation classique et celle dopée à l’IA proposée dans des visions intégrées comme Comet de Perplexity ou Atlas d’OpenAI, Mozilla veut une troisième voie.
Dans un billet publié le 13 novembre, Mozilla a indiqué travailler sur une fonction nommée « Fenêtre IA », qui pousserait un peu plus loin l’intégration de l’IA dans le navigateur, sous une forme spécifique. Il s’agirait d’un nouveau type de fenêtre, en plus de la classique et de la navigation privée, dans laquelle les interactions seraient plus poussées avec le chatbot utilisé (dont la configuration est optionnelle).
Mozilla dit avoir entendu les commentaires de personnes ne souhaitant pas avoir d’IA dans leur navigateur. « Néanmoins, rester immobile pendant que la technologie progresse ne profite ni au web ni aux personnes qui l’utilisent. C’est pourquoi nous considérons comme notre responsabilité de façonner la manière dont l’IA s’intègre au web, de manière à promouvoir l’ouverture, la transparence et le choix. Ainsi, utilisateurs et développeurs peuvent l’utiliser librement, contribuer à la façonner et en tirer réellement profit », affirme l’éditeur.
L’annonce met en avant cette approche spécifique, qui s’incarne dans des fonctions comme « Secouer pour résumer », qui lui a d’ailleurs valu une distinction du magazine TIME.
Pourquoi une fenêtre IA quand le chatbot peut déjà être utilisé depuis la barre latérale ? Essentiellement pour rendre possible l’exploitation du contexte à l’échelle de la fenêtre, avec une architecture spécifique. Selon Mozilla, les utilisateurs resteraient pleinement maitres, en choisissant si la fonction doit être utilisée ou même simplement activée. Comme pour l’intégration actuelle, le choix du chatbot resterait entier, le navigateur n’en intégrant aucun d’origine.
Bien que l’éditeur évoque un développement ne faisant que commencer, les réponses données dans les commentaires sont loin d’être enthousiastes. Beaucoup critiquent cette volonté de suivre la dernière tendance à la mode, y compris l’argument de « rester immobile ». « J’ai entendu les mêmes inepties de la part des tordus obsédés par les cryptos et NFT », déclare par exemple l’utilisateur DonutRush. Un autre, nube, fait remarquer que Firefox n’a aucune chance de gagner contre Chrome et qu’il devrait en conséquence se concentrer sur son public.
C’est une thématique générale des navigateurs : doivent-ils tout succomber à l’IA de peur de rater une révolution complète dans le monde de la consommation des contenus web, ou s’assurer de correspondre aux usages de leur public ? Vivaldi, par exemple, a fait le choix d’attendre et de rester sur un modèle de navigateur sans IA. D’autres, opérant dans le domaine de la vie privée, n’ont pas attendu, comme Brave avec son Leo.
Dans son annonce, Mozilla a tenté d’éteindre l’incendie : « Nous vous entendons. Nous travaillons activement sur un interrupteur unique et facile pour désactiver toutes les fonctionnalités d’IA en même temps, si c’est ce qui vous convient, sans avoir besoin d’aller sur about :config ».
Entre la navigation classique et celle dopée à l’IA proposée dans des visions intégrées comme Comet de Perplexity ou Atlas d’OpenAI, Mozilla veut une troisième voie.
Dans un billet publié le 13 novembre, Mozilla a indiqué travailler sur une fonction nommée « Fenêtre IA », qui pousserait un peu plus loin l’intégration de l’IA dans le navigateur, sous une forme spécifique. Il s’agirait d’un nouveau type de fenêtre, en plus de la classique et de la navigation privée, dans laquelle les interactions seraient plus poussées avec le chatbot utilisé (dont la configuration est optionnelle).
Mozilla dit avoir entendu les commentaires de personnes ne souhaitant pas avoir d’IA dans leur navigateur. « Néanmoins, rester immobile pendant que la technologie progresse ne profite ni au web ni aux personnes qui l’utilisent. C’est pourquoi nous considérons comme notre responsabilité de façonner la manière dont l’IA s’intègre au web, de manière à promouvoir l’ouverture, la transparence et le choix. Ainsi, utilisateurs et développeurs peuvent l’utiliser librement, contribuer à la façonner et en tirer réellement profit », affirme l’éditeur.
L’annonce met en avant cette approche spécifique, qui s’incarne dans des fonctions comme « Secouer pour résumer », qui lui a d’ailleurs valu une distinction du magazine TIME.
Pourquoi une fenêtre IA quand le chatbot peut déjà être utilisé depuis la barre latérale ? Essentiellement pour rendre possible l’exploitation du contexte à l’échelle de la fenêtre, avec une architecture spécifique. Selon Mozilla, les utilisateurs resteraient pleinement maitres, en choisissant si la fonction doit être utilisée ou même simplement activée. Comme pour l’intégration actuelle, le choix du chatbot resterait entier, le navigateur n’en intégrant aucun d’origine.
Bien que l’éditeur évoque un développement ne faisant que commencer, les réponses données dans les commentaires sont loin d’être enthousiastes. Beaucoup critiquent cette volonté de suivre la dernière tendance à la mode, y compris l’argument de « rester immobile ». « J’ai entendu les mêmes inepties de la part des tordus obsédés par les cryptos et NFT », déclare par exemple l’utilisateur DonutRush. Un autre, nube, fait remarquer que Firefox n’a aucune chance de gagner contre Chrome et qu’il devrait en conséquence se concentrer sur son public.
C’est une thématique générale des navigateurs : doivent-ils tout succomber à l’IA de peur de rater une révolution complète dans le monde de la consommation des contenus web, ou s’assurer de correspondre aux usages de leur public ? Vivaldi, par exemple, a fait le choix d’attendre et de rester sur un modèle de navigateur sans IA. D’autres, opérant dans le domaine de la vie privée, n’ont pas attendu, comme Brave avec son Leo.
Dans son annonce, Mozilla a tenté d’éteindre l’incendie : « Nous vous entendons. Nous travaillons activement sur un interrupteur unique et facile pour désactiver toutes les fonctionnalités d’IA en même temps, si c’est ce qui vous convient, sans avoir besoin d’aller sur about :config ».
Avec des teintes blanches et grises, la collection ICE ne suit pas la tendance du blanc pur et GIGABYTE l'assume. Tant mieux, le contraste apportait est sympathique et les produits sont vraiment réussis sur un plan visuel.² Mais surtout, le haut de gamme n'est pas le seul segment à en profiter et la dernière X870E AORUS PRO X3D ICE sera prochainement secondée par la X870E AORUS ELITE X3D ICE. Une carte un peu plus sage qui devrait répondre à de nombreux besoins ; après tout, il s'agit tout simplement d'une X870E AORUS ELITE X3D revisitée ! […]
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ASUS passe toutes les RTX 5060 à la gamme EVO ! Les RTX 5060 Ti sont pourvues de 16 Go de VRAM, tandis que les RTX 5060 simples optent, logiquement, pour 8 Go de VRAM. Les cartes disposent de deux ventilateurs, de type axial, à double roulement à billes, tout en proposant des sorties vidéos HDMI 2.1b (x1) et DisplayPort 2.1b (x3). Les cartes ont un format contenu, avec des dimensions de 225 x 120 x 42 mm et un CPB très court, ce qui a pour effet de décaler vers l'avant l'unique connecteur 8-pin. Les cartes seront disponibles en version OC et non OC. […]
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Ouais, oui, ouais J'adore, je kiffe. Le truc que je rêve de faire et que je ferai un jour. En gros, on prend une petite carte graphique, et on lui fait une opération technique avec une petite soudure, pour qu'elle n'ait plus de Power Limit. On place ensuite un waterblock sur cette dernière et, après bah, gros OC. Mais surtout, grosse flotte à la sauce « gros bricolage », dans une glacière réfrigérée avec du liquide de refroidissement. Résultat : -17 °C au niveau du liquide, pour une température GPU oscillant entre -12 et 15 °C. Et tout cela sur une petite RTX 5050 de chez Gigabyte. […]
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Microsoft a officiellement mis fin au support de Windows 10. Il est donc plus que temps de passer à Windows 11. Bonne nouvelle : grâce à notre partenaire GVGMALL, pas besoin de vous ruiner pour obtenir une licence authentique, ni d'endurer le fameux message Windows non activé en bas de l'écran. Pourquoi ? Parce que GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs ultra-avantageux : - Windows 11 dès 20 U+20AC - Licences Office dès 27 U+20AC Avec le code promo CCVIP, profitez en plus de -30 % de réduction sur vos achats. Et malin : pour économiser quelques euros supplémentaires, vous pouvez aussi acheter une licence Windows 10 puis faire l'upgrade gratuit vers Windows 11 . Offres spéciales avec le code promo CCVIP Voici les meilleurs deals disponibles chez GVGMALL : - Windows 11 Pro OEM Lifetime - 20 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime - 15 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime - 19 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime - 13 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime - 27 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime - 52 U+20AC - Windows 10 Enterprise LTSC 2021 - 11 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 - 34 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 - 52 U+20AC - Windows 11 Home + Office 2021 Pro Plus - 88 U+20AC - Windows 11 Pro OEM + Office 2021 Pro Plus - 87 U+20AC […]
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Il y a quelques jours, AMD a lancé ses pilotes 25.11.1, et avec lui son FSR Redstone, mais de manière plutôt anarchique. En effet, la firme a procédé au remplacement du "FSR 4" par FSR, mais il reste stipulé que seules les RX 9000 peuvent appliquer FSR Redstone, avec les changements suivants : FSR U...
La machine IA de NVIDIA destinée au développement, la DGX Spark, fait parler d'elle sous un angle pour le moins surprenant : LE GAMING. Selon le constructeur, via un guide officiel, cette plateforme embarquant un Super-SoC GB10 Grace / Blackwell pourrait atteindre plus de 175 FPS en 1080p dans Cyberpunk 2077, en mode ray tracing Ultra/Path-Tracing et avec le DLSS 4 + Multi-Frame Generation activés. […]
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L'intelligence artificielle prend de plus en plus de place, mais pas forcément physiquement. Avec les GPU Grace Blackwell GB10, NVIDIA permet à ses partenaires d'assembler des machines compactes qui ne font pas de gros compromis sur la puissance. De quoi permettre d'avoir une station IA chez soi sans avoir un serveur énorme, avec ce qu'il faut de puissance pour travailler des LLM localement. Car c'est bien le marché visé par NVIDIA, les écoles, petites entreprises, voire les particuliers qui sont pleinement investis dans l'intelligence artificielle en local. chez GIGABYTE, cette stratégie passe par le petit PC AI TOP ATOM, une machine de seulement 150 x 150 x 50.5 mm. […]
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Nouvelle mésaventure autour de la très haut de gamme NVIDIA RTX PRO 6000 Blackwell. Une carte à destination des PROs qui tape à plus de 10 000 dollars et qui a été rendue totalement inutilisable après la casse de son simple connecteur PCIe lors d'un transport. La carte n'avait pas été retirée du boîtier, et le connecteur a littéralement cédé sous le poids de la carte graphique, qui malgré son format plutôt compact, reste très lourde. Problème : malgré un design modulaire présenté lors de son lancement, NVIDIA ne propose aucune pièce de rechange pour ce connecteur PCIe... Résultat, même si le GPU, la VRAM et le PCB principal sont intacts, la carte est tout simplement inutilisable... […]
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Avec le Silverstone FLP03, la marque continue le développement qu’elle a commencé en novembre 2024 avec le FLP01 et poursuivit en mai de cette année avec le FLP02. Ce nouveau venu reprend la même recette technique, ce qui cache probablement de jolies recettes comptables.
Au format Micro-ATX, le Silverstone FLP03 rappellera sans aucun doute à tous les vieux lecteurs les designs bétonneux des tours de bureaux de l’époque. Plastique beige, façade à la fois sobre et peu engageante et mise en avant de détails techniques propres à l’époque.
Présenté au salon EXPO 2025 au Japon, le nouveau boitier ne révolutionne rien. Ce n’est pas vraiment le but d’un boitier nostalgique de révolutionner quoi que ce soit mais ici la proposition est franchement proche de celle du FLP02. Elle permettra de monter un PC moderne et puissant dans un boitier qui fera tâche sur un bureau de gamer aujourd’hui. Nulle façade d’aluminium, point de RGB, pas de vitres ni d’écran apparent. La marque joue sur du plastique beige ultra classique.
Le SilverStone FLP03 mesure 22 cm de large pour 45.6 cm de haut et 47.7 cm de profondeur. Il est donc moins imposant de quelques centimètres que le FLP02 (23.2 x 18.4 x 17.2 cm) et vise uniquement les solutions Micro-ATX et Mini-ITX. Il embarque 3 baies 5.25″ qui seront également exploitables en baies 2.5″. Son système de ventilation comporte un ventilateur 180 mm en façade, 3 emplacement 120 mm ou 2 en 140 mm en haut du boitier et un 120 mm à l’arrière.
À gauche le Silverstone FLP03, à droite le Silverstone FLP02
Comme l’idée générale est tout de même de proposer un petit monstre de performances caché dans un boitier sorti d’une cave, il proposera de monter des cartes graphiques pouvant atteindre 412 mm de longueur et 171 mm de haut. Ainsi que des dissipateurs de processeurs assez costauds. Le châssis peut, par ailleurs, accueillir des alimentations ATX standard.
Je ne sais pas combien de temps la marque va poursuivre son expérience dans le boitier au look vintage. Probablement tant que cela se vendra encore. Il ne faut pas croire que construire ce type de boitier est facile parce qu’ils ont un design passé. Certes, cela évite de se casser la tête avec de nouvelles formes, mais pour le reste, il est tout de même nécessaire de travailler.
Le beige de bureau est ainsi une couleur spécifique. Ce n’est pas, comme j’ai pu le lire, la couleur par défaut de la matière plastique injectée dans les moules de l’époque. Non, ce beige a été savamment travaillé et imposé avec le gris pâle par des pays d’Europe comme la norme en entreprise pendant des années. Formant ainsi un univers neutre au sein de sociétés et imposant ce look passe partout à la majorité des ordinateurs. Cela alors que les machines précédentes, les IBM notamment, étaient livrées dans des ensembles très colorés.
On retrouve encore les éléments classiques de l’époque. La petite clé de protection, le bouton à bascule à l’avant, les boutons de RESET et le mode Turbo et même le petit panneau censé annoncer la fréquence du processeur. Pas d’idée de prix ni même de disponibilité pour le moment. Mais au vu de l’engouement de Mathias pour m’envoyer le lien de Tomshardware au sujet de ce boitier, il semble qu’il y ait des clients.
Silverstone FLP03 : un troisième boitier pour nostalgiques © MiniMachines.net. 2025
Google dit avoir entendu les critiques formulées depuis son annonce sur la vérification de tous les développeurs d’applications pour Android.
Fin août, Google a annoncé un changement important à venir pour les applications Android : tous les développeurs allaient devoir être vérifiés, même pour des applications disponibles en dehors du Play Store. L’entreprise évoquait de gros problèmes de traçabilité et de sécurité, quand d’autres critiquaient la volonté de mainmise sur l’écosystème Android.
Dans un billet daté du 12 novembre, Google revient sur le sujet, rappelant que la sécurité est bien la raison derrière cette future obligation. « Bien que nous disposions de mesures de protection avancées pour détecter et supprimer les applications malveillantes, sans vérification, les acteurs malveillants peuvent créer instantanément de nouvelles applications nuisibles. Cela devient un jeu du chat et de la souris sans fin. La vérification change la donne en les obligeant à utiliser une identité réelle pour distribuer des logiciels malveillants, ce qui rend les attaques beaucoup plus difficiles et plus coûteuses à étendre », affirme ainsi l’entreprise.
En revanche, Google dit avoir entendu les critiques. Elle prépare donc « un nouveau flux avancé qui permet aux utilisateurs expérimentés d’accepter les risques d’installer des logiciels non vérifiés ». Google ne dit pas quelle forme prendra le flux, mais on peut penser à une option à activer, accompagnée d’avertissements divers. La société veut également veiller « à ce que les utilisateurs ne soient pas trompés pour contourner ces contrôles de sécurité alors qu’ils sont sous la pression d’un escroc ». Des détails supplémentaires seront donnés « dans les mois à venir ».
Dans son billet, Google indique en outre que l’accès anticipé pour la vérification des comptes est maintenant ouvert. Le déploiement à l’échelle mondiale est prévu en 2027 et l’entreprise prend donc les devants. Certains marchés seront cependant concernés plus tôt, notamment le Brésil, Singapour et la Thaïlande dès septembre 2026.
Enfin, Google rappelle qu’un nouveau type de compte sera disponible pour les étudiants et développeurs, avec moins d’informations à donner, mais uniquement dans le cadre d’une distribution limitée. Par exemple, dans un cadre familial ou, de manière générale, pour un nombre restreint de personnes ciblées, que ce soit pour des tests ou non.
Google dit avoir entendu les critiques formulées depuis son annonce sur la vérification de tous les développeurs d’applications pour Android.
Fin août, Google a annoncé un changement important à venir pour les applications Android : tous les développeurs allaient devoir être vérifiés, même pour des applications disponibles en dehors du Play Store. L’entreprise évoquait de gros problèmes de traçabilité et de sécurité, quand d’autres critiquaient la volonté de mainmise sur l’écosystème Android.
Dans un billet daté du 12 novembre, Google revient sur le sujet, rappelant que la sécurité est bien la raison derrière cette future obligation. « Bien que nous disposions de mesures de protection avancées pour détecter et supprimer les applications malveillantes, sans vérification, les acteurs malveillants peuvent créer instantanément de nouvelles applications nuisibles. Cela devient un jeu du chat et de la souris sans fin. La vérification change la donne en les obligeant à utiliser une identité réelle pour distribuer des logiciels malveillants, ce qui rend les attaques beaucoup plus difficiles et plus coûteuses à étendre », affirme ainsi l’entreprise.
En revanche, Google dit avoir entendu les critiques. Elle prépare donc « un nouveau flux avancé qui permet aux utilisateurs expérimentés d’accepter les risques d’installer des logiciels non vérifiés ». Google ne dit pas quelle forme prendra le flux, mais on peut penser à une option à activer, accompagnée d’avertissements divers. La société veut également veiller « à ce que les utilisateurs ne soient pas trompés pour contourner ces contrôles de sécurité alors qu’ils sont sous la pression d’un escroc ». Des détails supplémentaires seront donnés « dans les mois à venir ».
Dans son billet, Google indique en outre que l’accès anticipé pour la vérification des comptes est maintenant ouvert. Le déploiement à l’échelle mondiale est prévu en 2027 et l’entreprise prend donc les devants. Certains marchés seront cependant concernés plus tôt, notamment le Brésil, Singapour et la Thaïlande dès septembre 2026.
Enfin, Google rappelle qu’un nouveau type de compte sera disponible pour les étudiants et développeurs, avec moins d’informations à donner, mais uniquement dans le cadre d’une distribution limitée. Par exemple, dans un cadre familial ou, de manière générale, pour un nombre restreint de personnes ciblées, que ce soit pour des tests ou non.
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