European Tourism To US Plunges
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Cette fois c’est la bonne ? Interpellée par le sénateur LR François Bonhomme mercredi, Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, a annoncé qu’elle souhaitait que la « pause numérique » – l’interdiction pour les élèves d’utiliser leur smartphone au sein de l’établissement – soit « généralisée à tous les collèges à la prochaine rentrée ».
« Cette mesure est essentielle, à la fois en termes de bien-être et de réussite de nos élèves », a fait valoir la ministre, en rappelant que la pause numérique faisait déjà l’objet d’une expérimentation dans une centaine de collèges depuis la rentrée 2024. « Tous les retours sont très positifs, notamment sur l’amélioration du climat scolaire, ou sur le large soutien dont elle bénéficie de la part des parents et des professeurs », affirme-t-elle. À ce stade, aucun bilan officiel de l’expérimentation n’a toutefois été rendu public.
Élisabeth Borne n’a pas précisé par quel levier l’instauration de cette interdiction deviendrait effective à l’échelle nationale. La loi prévoit en effet depuis 2018 l’interdiction du portable à l’école et au collège, mais elle n’a jamais été appliquée.
« Pour la généralisation à la rentrée prochaine, je souhaite que les modalités de mise en œuvre soient laissées à l’appréciation des chefs d’établissement, en lien avec les conseils départementaux », a encore indiqué la ministre. Selon elle, les solutions retenues, « casiers » ou « pochettes », représenteraient soit un coût nul, soit une enveloppe de l’ordre de quelques milliers d’euros par établissement.
« L’interdiction porte sur l’utilisation des téléphones mobiles et de tout autre équipement terminal de communications électroniques (tablette ou montre connectée, par exemple) dans l’enceinte des écoles et des collèges », rappelle le ministère de l’Éducation nationale. La mesure suppose une modification du règlement intérieur de l’établissement, ainsi que celle de la charte des règles de civilité du collégien.
La « pause numérique » et son test initié à la rentrée 2024 font suite à la remise d’un rapport chargé d’évaluer l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans, commandité par le président de la République. Publié le 30 avril 2024, il suggérait, entre autres propositions, de « renforcer l’application de l’interdiction des téléphones au collège, et systématiser dans chaque lycée un cadre partagé sur la place et l’usage des téléphones dans la vie de l’établissement ».
La plateforme d’e-commerce d’origine chinoise pourrait écoper d’une amende de 150 millions d’euros pour sa mauvaise politique de gestion des cookies si la CNIL suit les préconisations faites dans un rapport interne. Ce montant serait important, mais il est à rapporter aux 3 milliards d’euros qu’auraient dépensés les français chez Shein ces 12 derniers mois.
Shein fait l’objet d’une enquête de la CNIL et pourrait se voir infliger une amende importante par l’autorité. Alors que celle-ci a effectué plusieurs contrôles de la plateforme d’e-commerce en aout 2023, un rapport interne conclurait, selon l’Informé, à la préconisation, en l’état, d’une sanction de 150 millions d’euros et d’une astreinte quotidienne de 100 000 euros. Le rapport viserait « une gestion des cookies non conforme à la législation en vigueur ».
Le rapport reprocherait à Shein.com le dépôt de plusieurs dizaines de traqueurs avant même l’affichage du bandeau de consentement des cookies, de cookies après refus et le flou des informations données lors de la demande de consentement.
Ce document ne reflète pas la décision définitive de la CNIL et l’entreprise peut encore plaider sa cause devant l’autorité avant que celle-ci prenne sa décision. À l’Informé, l’entreprise explique avoir un « échange actif avec la CNIL afin de garantir notre conformité et de répondre de manière rigoureuse à ses attentes. Le rapport s’inscrit dans le cadre de ce dialogue en cours ». L’entreprise explique avoir transmis sa réponse.
Rappelons que ce n’est pas le seul sujet sur lequel Shein a des problèmes. L’UE a ouvert en février une enquête, car elle la soupçonne de non-respect des règles de protection des consommateurs.
L’Europe prévoyait de faire des modifications structurelles des règles douanières de l’Union.
Mais suite au déclenchement de la guerre commerciale lancée par Donald Trump, elle pourrait aussi prendre des mesures d’urgence. En effet, l’Europe pourrait devenir un marché plus important pour Shein, suite aux droits de douane infligés par les États-Unis aux imports chinois. Shein et Temu ont écoulé 46 milliards de dollars de produits aux États-Unis en 2024, selon la banque Nomura, explique Le Parisien.
Du côté français, selon l’entreprise d’étude de marché Circana citée par les Echos, les internautes ont dépensé 3 milliards d’euros chez Shein et 1,8 milliard chez Temu lors des douze derniers mois.
Les plateformes ne viseraient pas la submersion de l’Europe par des produits envoyés jusqu’ici aux États-Unis. Elles chercheraient cependant à profiter du besoin en débouchés des industriels chinois, qui pourraient se retrouver avec de larges stocks d’invendus, au risque de devoir baisser leurs prix. « Les plateformes pourraient tirer profit de cette situation, non pas pour baisser leurs prix qui sont déjà bas, mais pour reconstituer leurs marges et investir dans le marketing et le lobbying pour consolider leur place en Europe face aux menaces réglementaires et douanières », affirme le consultant commerce et consommation Frédéric Boublil à nos confrères.
La Commission européenne s’inquiète de voir une augmentation soudaine de ces achats sur les plateformes chinoises. Mais elle est tiraillée entre le choix de réagir directement sur le sujet ou de prendre le sujet des imports chinois dans sa globalité, selon les Echos.
Cette fois c’est la bonne ? Interpellée par le sénateur LR François Bonhomme mercredi, Élisabeth Borne, ministre de l’Éducation nationale, a annoncé qu’elle souhaitait que la « pause numérique » – l’interdiction pour les élèves d’utiliser leur smartphone au sein de l’établissement – soit « généralisée à tous les collèges à la prochaine rentrée ».
« Cette mesure est essentielle, à la fois en termes de bien-être et de réussite de nos élèves », a fait valoir la ministre, en rappelant que la pause numérique faisait déjà l’objet d’une expérimentation dans une centaine de collèges depuis la rentrée 2024. « Tous les retours sont très positifs, notamment sur l’amélioration du climat scolaire, ou sur le large soutien dont elle bénéficie de la part des parents et des professeurs », affirme-t-elle. À ce stade, aucun bilan officiel de l’expérimentation n’a toutefois été rendu public.
Élisabeth Borne n’a pas précisé par quel levier l’instauration de cette interdiction deviendrait effective à l’échelle nationale. La loi prévoit en effet depuis 2018 l’interdiction du portable à l’école et au collège, mais elle n’a jamais été appliquée.
« Pour la généralisation à la rentrée prochaine, je souhaite que les modalités de mise en œuvre soient laissées à l’appréciation des chefs d’établissement, en lien avec les conseils départementaux », a encore indiqué la ministre. Selon elle, les solutions retenues, « casiers » ou « pochettes », représenteraient soit un coût nul, soit une enveloppe de l’ordre de quelques milliers d’euros par établissement.
« L’interdiction porte sur l’utilisation des téléphones mobiles et de tout autre équipement terminal de communications électroniques (tablette ou montre connectée, par exemple) dans l’enceinte des écoles et des collèges », rappelle le ministère de l’Éducation nationale. La mesure suppose une modification du règlement intérieur de l’établissement, ainsi que celle de la charte des règles de civilité du collégien.
La « pause numérique » et son test initié à la rentrée 2024 font suite à la remise d’un rapport chargé d’évaluer l’impact de l’exposition des jeunes aux écrans, commandité par le président de la République. Publié le 30 avril 2024, il suggérait, entre autres propositions, de « renforcer l’application de l’interdiction des téléphones au collège, et systématiser dans chaque lycée un cadre partagé sur la place et l’usage des téléphones dans la vie de l’établissement ».
La plateforme d’e-commerce d’origine chinoise pourrait écoper d’une amende de 150 millions d’euros pour sa mauvaise politique de gestion des cookies si la CNIL suit les préconisations faites dans un rapport interne. Ce montant serait important, mais il est à rapporter aux 3 milliards d’euros qu’auraient dépensés les français chez Shein ces 12 derniers mois.
Shein fait l’objet d’une enquête de la CNIL et pourrait se voir infliger une amende importante par l’autorité. Alors que celle-ci a effectué plusieurs contrôles de la plateforme d’e-commerce en aout 2023, un rapport interne conclurait, selon l’Informé, à la préconisation, en l’état, d’une sanction de 150 millions d’euros et d’une astreinte quotidienne de 100 000 euros. Le rapport viserait « une gestion des cookies non conforme à la législation en vigueur ».
Le rapport reprocherait à Shein.com le dépôt de plusieurs dizaines de traqueurs avant même l’affichage du bandeau de consentement des cookies, de cookies après refus et le flou des informations données lors de la demande de consentement.
Ce document ne reflète pas la décision définitive de la CNIL et l’entreprise peut encore plaider sa cause devant l’autorité avant que celle-ci prenne sa décision. À l’Informé, l’entreprise explique avoir un « échange actif avec la CNIL afin de garantir notre conformité et de répondre de manière rigoureuse à ses attentes. Le rapport s’inscrit dans le cadre de ce dialogue en cours ». L’entreprise explique avoir transmis sa réponse.
Rappelons que ce n’est pas le seul sujet sur lequel Shein a des problèmes. L’UE a ouvert en février une enquête, car elle la soupçonne de non-respect des règles de protection des consommateurs.
L’Europe prévoyait de faire des modifications structurelles des règles douanières de l’Union.
Mais suite au déclenchement de la guerre commerciale lancée par Donald Trump, elle pourrait aussi prendre des mesures d’urgence. En effet, l’Europe pourrait devenir un marché plus important pour Shein, suite aux droits de douane infligés par les États-Unis aux imports chinois. Shein et Temu ont écoulé 46 milliards de dollars de produits aux États-Unis en 2024, selon la banque Nomura, explique Le Parisien.
Du côté français, selon l’entreprise d’étude de marché Circana citée par les Echos, les internautes ont dépensé 3 milliards d’euros chez Shein et 1,8 milliard chez Temu lors des douze derniers mois.
Les plateformes ne viseraient pas la submersion de l’Europe par des produits envoyés jusqu’ici aux États-Unis. Elles chercheraient cependant à profiter du besoin en débouchés des industriels chinois, qui pourraient se retrouver avec de larges stocks d’invendus, au risque de devoir baisser leurs prix. « Les plateformes pourraient tirer profit de cette situation, non pas pour baisser leurs prix qui sont déjà bas, mais pour reconstituer leurs marges et investir dans le marketing et le lobbying pour consolider leur place en Europe face aux menaces réglementaires et douanières », affirme le consultant commerce et consommation Frédéric Boublil à nos confrères.
La Commission européenne s’inquiète de voir une augmentation soudaine de ces achats sur les plateformes chinoises. Mais elle est tiraillée entre le choix de réagir directement sur le sujet ou de prendre le sujet des imports chinois dans sa globalité, selon les Echos.
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