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☕️ L’Europe inflige une amende de 798 millions d’euros à Meta pour les petites annonces Facebook

L’Europe inflige une amende de 798 millions d’euros à Meta pour les petites annonces Facebook

La Commission européenne annonce avoir infligé à Meta une amende de 798 millions d’euros pour avoir intrinsèquement lié Facebook et sa Marketplace dédiée aux petites annonces. L’exposition systématique du service aux yeux des utilisateurs d’un réseau social en position dominante constitue selon l’Europe un avantage déloyal, auquel Meta doit mettre un terme.

« Meta a lié son service d’annonces publicitaires en ligne, Facebook Marketplace, à son réseau social personnel, Facebook, et a imposé des conditions commerciales déloyales à d’autres fournisseurs de services d’annonces publicitaires en ligne. Elle a cherché par là à conférer à son propre service Facebook Marketplace des avantages que d’autres fournisseurs de services d’annonces publicitaires en ligne ne pouvaient égaler », affirme Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence au sein de la Commission européenne, dans un communiqué.

Dans sa communication, la Commission européenne indique en premier lieu avoir constaté que tous les utilisateurs de Facebook ont automatiquement accès aux annonces de la Marketplace, et qu’ils y sont régulièrement exposés, « qu’ils le souhaitent ou non ». Elle estime de ce fait que les concurrents risquent d’être évincés du réseau social, « étant donné que le lien confère à Facebook Marketplace un avantage substantiel en matière de distribution que les concurrents ne peuvent égaler ».

Elle argue par ailleurs que Meta utilise les données relatives aux publicités générées par d’autres annonceurs, sur Facebook ou sur Instagram, au profit de Facebook Marketplace, ce qui constituerait là encore un avantage déloyal.

Cette condamnation fait suite à une enquête formelle ouverte en juin 2021.

Meta a rapidement réagi jeudi, par l’intermédiaire d’un communiqué qui entreprend de démonter l’argumentaire de la Commission européenne. Le groupe affirme que la création de Marketplace répond à un besoin exprimé par les utilisateurs de Facebook, et souligne que ces derniers avaient créé plus de 400 000 groupes en Europe précisément dédiés à l’achat/vente de produits d’occasion, avant la mise en ligne de l’espace dédié en 2016.

Elle dénonce par ailleurs tout lien déloyal : « cet argument ignore le fait que les utilisateurs de Facebook peuvent choisir d’interagir, ou non, avec Marketplace, et beaucoup ne le font pas ». Meta récuse par ailleurs l’accusation selon laquelle ses outils bénéficieraient des données publicitaires de concurrents : « Nous n’utilisons pas les données des annonceurs à cette fin et nous avons déjà mis en place des systèmes et des contrôles pour le garantir ». L’entreprise de Mark Zuckerberg reproche par ailleurs à la Commission de ne pas démontrer le préjudice éventuel subi par ses concurrents et souligne que des plateformes comme eBay ou Leboncoin ont continué à croître sur le marché européen depuis 2016.

« Il est décevant que la Commission ait choisi de prendre des mesures réglementaires à l’encontre d’un service gratuit et innovant conçu pour répondre à la demande des consommateurs, en particulier lorsque des personnalités politiques européennes de premier plan appellent l’UE à être plus compétitive, innovante et tournée vers l’avenir », tacle en conclusion Meta. La maison mère de Facebook précise sans surprise qu’elle interjettera appel de cette décision.

UK : une association de consommateurs réclame 3,6 milliards d’euros à Apple

Which apple is rotten?
UK : une association de consommateurs réclame 3,6 milliards d’euros à Apple

L’association britannique de défense des consommateurs Which? annonce le lancement d’une action collective à l’encontre d’Apple. Elle invoque un abus de position dominante relatif à l’intégration d’iCloud dans l’ensemble des produits équipés d’iOS, et réclame 3 milliards de livres sterling au nom de 40 millions de clients supposément lésés.

Les utilisateurs d’iPhone, d’iPad ou de feu l’iPod Touch sont-ils contraints par Apple au moment de choisir un service de stockage en ligne sur leur appareil ? C’est la thèse défendue par l’association de consommateurs britannique Which?, qui annonce jeudi le lancement d’une action collective en justice contre la société américaine.

« Which? pense que les utilisateurs d’iOS sur iPhone ou iPad n’ont eu d’autre choix que d’utiliser le service iCloud D’Apple, et par conséquent Apple peut facturer les utilisateurs plus cher que si elle avait à concurrencer des services de stockage en ligne rivaux », indique l’association.

Partant du principe que le nombre des consommateurs lésés est connu, et qu’ils ont subi un préjudice équivalent, l’association s’appuie sur le Consumer Rights Act de 2015 pour lancer une action au nom de tous les utilisateurs de produits mobiles Apple résidant ou ayant résidé au Royaume-Uni depuis 2015, soit environ 40 millions de personnes, selon Which?.

Un préjudice moyen estimé à 70 livres sterling par utilisateur

« En collaboration avec une équipe d’experts externes, Which? a estimé qu’Apple pourrait devoir aux consommateurs britanniques qui ont eu accès aux services iCloud à partir du 1er octobre 2015 un paiement moyen de 70 £ », affirme encore l’association. L’enveloppe totale nécessaire aux réparations se monterait ainsi à près de 3 milliards de livres sterling, soit 3,6 milliards d’euros.

Dans son argumentation, l’association fait valoir qu’Apple propose une formule gratuite d’accès à iCloud, avec une limite à 5 Go, au-delà de laquelle l’utilisateur est invité à basculer vers un abonnement payant. « Mais il est peu probable que les clients aient pris en compte la nécessité de payer pour les mises à niveau lorsqu’ils ont commencé à utiliser le stockage », estime Which?. L’association ajoute qu’à cet instant du parcours, Apple ne propose aucune offre alternative à iCloud. Elle y voit une pratique anticoncurrentielle visant à « enfermer » le consommateur.

« Nos utilisateurs ne sont pas obligés d’utiliser iCloud et bon nombre d’entre eux s’appuient sur un large éventail de solutions alternatives tierces pour le stockage de données », a immédiatement répondu Apple, qui soutient « travailler dur pour rendre le transfert de données aussi simple que possible ». « Nous rejetons toute suggestion selon laquelle nos pratiques sur iCloud sont anticoncurrentielles et nous nous défendrons vigoureusement contre toute procédure en justice affirmant le contraire », ajoute l’entreprise.

Opt-out, Opt-in

Sur le site dédié à sa procédure, l’association précise la façon dont les consommateurs peuvent rejoindre ou au contraire quitter la procédure. Par défaut, Which? indique représenter l’ensemble des consommateurs éligibles, qui seront automatiquement intégrés à la plainte, à moins qu’ils ne choisissent d’en sortir (procédure d’opt-out). Dans le même temps, l’association propose un formulaire de déclaration d’intérêt (opt-in), pour les utilisateurs d’iOS qui auraient vécu au Royaume-Uni après le 1er janvier 2015 mais n’y résident plus.

Les consommateurs intéressés sont invités à vérifier leur éligibilité et à renseigner leurs coordonnées pour suivre de plus près la suite de la procédure. Which? s’appuie pour ce faire sur les services d’un éditeur spécialisé dans les outils juridiques, le géant Epiq Systems.

L’affaire devrait quant à elle être traitée par une juridiction spécialisée, le Competition Appeal Tribunal.

Une nouvelle épée de Damoclès pour Apple ?

Elle constitue une nouvelle charge contre Apple qui, comme la plupart des géants américains de la tech, fait actuellement l’objet de nombreuses procédures soutenues par des accusations de concurrence déloyale ou d’abus de position dominante. La firme fait d’ailleurs l’objet d’une action collective similaire à celle lancée par Which? aux Etats-Unis. Déposée en mars dernier devant le tribunal de San José (Californie), la plainte, signalée par Reuters, estime qu’Apple a des pratiques coercitives avec iCloud, et cherche à obtenir réparation pour « des dizaines de millions de consommateurs ».

Apple fait également l’objet d’attaques régulières relatives à l’App Store. La firme a par exemple été condamnée en mars dernier à une amende de 1,8 milliard d’euros, infligée par la Commission européenne pour la façon dont son App Store est supposé entraver la concurrence, notamment en matière de streaming musical.

☕️ L’Europe inflige une amende de 798 millions d’euros à Meta pour les petites annonces Facebook

L’Europe inflige une amende de 798 millions d’euros à Meta pour les petites annonces Facebook

La Commission européenne annonce avoir infligé à Meta une amende de 798 millions d’euros pour avoir intrinsèquement lié Facebook et sa Marketplace dédiée aux petites annonces. L’exposition systématique du service aux yeux des utilisateurs d’un réseau social en position dominante constitue selon l’Europe un avantage déloyal, auquel Meta doit mettre un terme.

« Meta a lié son service d’annonces publicitaires en ligne, Facebook Marketplace, à son réseau social personnel, Facebook, et a imposé des conditions commerciales déloyales à d’autres fournisseurs de services d’annonces publicitaires en ligne. Elle a cherché par là à conférer à son propre service Facebook Marketplace des avantages que d’autres fournisseurs de services d’annonces publicitaires en ligne ne pouvaient égaler », affirme Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive chargée de la politique de concurrence au sein de la Commission européenne, dans un communiqué.

Dans sa communication, la Commission européenne indique en premier lieu avoir constaté que tous les utilisateurs de Facebook ont automatiquement accès aux annonces de la Marketplace, et qu’ils y sont régulièrement exposés, « qu’ils le souhaitent ou non ». Elle estime de ce fait que les concurrents risquent d’être évincés du réseau social, « étant donné que le lien confère à Facebook Marketplace un avantage substantiel en matière de distribution que les concurrents ne peuvent égaler ».

Elle argue par ailleurs que Meta utilise les données relatives aux publicités générées par d’autres annonceurs, sur Facebook ou sur Instagram, au profit de Facebook Marketplace, ce qui constituerait là encore un avantage déloyal.

Cette condamnation fait suite à une enquête formelle ouverte en juin 2021.

Meta a rapidement réagi jeudi, par l’intermédiaire d’un communiqué qui entreprend de démonter l’argumentaire de la Commission européenne. Le groupe affirme que la création de Marketplace répond à un besoin exprimé par les utilisateurs de Facebook, et souligne que ces derniers avaient créé plus de 400 000 groupes en Europe précisément dédiés à l’achat/vente de produits d’occasion, avant la mise en ligne de l’espace dédié en 2016.

Elle dénonce par ailleurs tout lien déloyal : « cet argument ignore le fait que les utilisateurs de Facebook peuvent choisir d’interagir, ou non, avec Marketplace, et beaucoup ne le font pas ». Meta récuse par ailleurs l’accusation selon laquelle ses outils bénéficieraient des données publicitaires de concurrents : « Nous n’utilisons pas les données des annonceurs à cette fin et nous avons déjà mis en place des systèmes et des contrôles pour le garantir ». L’entreprise de Mark Zuckerberg reproche par ailleurs à la Commission de ne pas démontrer le préjudice éventuel subi par ses concurrents et souligne que des plateformes comme eBay ou Leboncoin ont continué à croître sur le marché européen depuis 2016.

« Il est décevant que la Commission ait choisi de prendre des mesures réglementaires à l’encontre d’un service gratuit et innovant conçu pour répondre à la demande des consommateurs, en particulier lorsque des personnalités politiques européennes de premier plan appellent l’UE à être plus compétitive, innovante et tournée vers l’avenir », tacle en conclusion Meta. La maison mère de Facebook précise sans surprise qu’elle interjettera appel de cette décision.

UK : une association de consommateurs réclame 3,6 milliards d’euros à Apple

Which apple is rotten?
UK : une association de consommateurs réclame 3,6 milliards d’euros à Apple

L’association britannique de défense des consommateurs Which? annonce le lancement d’une action collective à l’encontre d’Apple. Elle invoque un abus de position dominante relatif à l’intégration d’iCloud dans l’ensemble des produits équipés d’iOS, et réclame 3 milliards de livres sterling au nom de 40 millions de clients supposément lésés.

Les utilisateurs d’iPhone, d’iPad ou de feu l’iPod Touch sont-ils contraints par Apple au moment de choisir un service de stockage en ligne sur leur appareil ? C’est la thèse défendue par l’association de consommateurs britannique Which?, qui annonce jeudi le lancement d’une action collective en justice contre la société américaine.

« Which? pense que les utilisateurs d’iOS sur iPhone ou iPad n’ont eu d’autre choix que d’utiliser le service iCloud D’Apple, et par conséquent Apple peut facturer les utilisateurs plus cher que si elle avait à concurrencer des services de stockage en ligne rivaux », indique l’association.

Partant du principe que le nombre des consommateurs lésés est connu, et qu’ils ont subi un préjudice équivalent, l’association s’appuie sur le Consumer Rights Act de 2015 pour lancer une action au nom de tous les utilisateurs de produits mobiles Apple résidant ou ayant résidé au Royaume-Uni depuis 2015, soit environ 40 millions de personnes, selon Which?.

Un préjudice moyen estimé à 70 livres sterling par utilisateur

« En collaboration avec une équipe d’experts externes, Which? a estimé qu’Apple pourrait devoir aux consommateurs britanniques qui ont eu accès aux services iCloud à partir du 1er octobre 2015 un paiement moyen de 70 £ », affirme encore l’association. L’enveloppe totale nécessaire aux réparations se monterait ainsi à près de 3 milliards de livres sterling, soit 3,6 milliards d’euros.

Dans son argumentation, l’association fait valoir qu’Apple propose une formule gratuite d’accès à iCloud, avec une limite à 5 Go, au-delà de laquelle l’utilisateur est invité à basculer vers un abonnement payant. « Mais il est peu probable que les clients aient pris en compte la nécessité de payer pour les mises à niveau lorsqu’ils ont commencé à utiliser le stockage », estime Which?. L’association ajoute qu’à cet instant du parcours, Apple ne propose aucune offre alternative à iCloud. Elle y voit une pratique anticoncurrentielle visant à « enfermer » le consommateur.

« Nos utilisateurs ne sont pas obligés d’utiliser iCloud et bon nombre d’entre eux s’appuient sur un large éventail de solutions alternatives tierces pour le stockage de données », a immédiatement répondu Apple, qui soutient « travailler dur pour rendre le transfert de données aussi simple que possible ». « Nous rejetons toute suggestion selon laquelle nos pratiques sur iCloud sont anticoncurrentielles et nous nous défendrons vigoureusement contre toute procédure en justice affirmant le contraire », ajoute l’entreprise.

Opt-out, Opt-in

Sur le site dédié à sa procédure, l’association précise la façon dont les consommateurs peuvent rejoindre ou au contraire quitter la procédure. Par défaut, Which? indique représenter l’ensemble des consommateurs éligibles, qui seront automatiquement intégrés à la plainte, à moins qu’ils ne choisissent d’en sortir (procédure d’opt-out). Dans le même temps, l’association propose un formulaire de déclaration d’intérêt (opt-in), pour les utilisateurs d’iOS qui auraient vécu au Royaume-Uni après le 1er janvier 2015 mais n’y résident plus.

Les consommateurs intéressés sont invités à vérifier leur éligibilité et à renseigner leurs coordonnées pour suivre de plus près la suite de la procédure. Which? s’appuie pour ce faire sur les services d’un éditeur spécialisé dans les outils juridiques, le géant Epiq Systems.

L’affaire devrait quant à elle être traitée par une juridiction spécialisée, le Competition Appeal Tribunal.

Une nouvelle épée de Damoclès pour Apple ?

Elle constitue une nouvelle charge contre Apple qui, comme la plupart des géants américains de la tech, fait actuellement l’objet de nombreuses procédures soutenues par des accusations de concurrence déloyale ou d’abus de position dominante. La firme fait d’ailleurs l’objet d’une action collective similaire à celle lancée par Which? aux Etats-Unis. Déposée en mars dernier devant le tribunal de San José (Californie), la plainte, signalée par Reuters, estime qu’Apple a des pratiques coercitives avec iCloud, et cherche à obtenir réparation pour « des dizaines de millions de consommateurs ».

Apple fait également l’objet d’attaques régulières relatives à l’App Store. La firme a par exemple été condamnée en mars dernier à une amende de 1,8 milliard d’euros, infligée par la Commission européenne pour la façon dont son App Store est supposé entraver la concurrence, notamment en matière de streaming musical.

AMD To Lay Off 4% of Workforce, or About 1,000 Employees

AMD has announced plans to cut 4% of its global workforce as it repositions to compete in the AI chip market dominated by Nvidia. The layoffs will affect approximately 1,040 employees of its 26,000-strong workforce reported at the end of 2023. CNBC adds: AMD produces powerful AI accelerators for data centers, including the MI300X, which companies such as Meta and Microsoft purchase as an alternative to Nvidia-based systems. But Nvidia dominates the market for powerful AI chips, with over 80% market share, partially because it developed the core software that AI engineers use to develop programs such as OpenAI's ChatGPT.

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Apple Launches Final Cut Pro 11, the First Version Change in 13 Years

Apple released Final Cut Pro 11 this week, marking the first major version change in over a decade for its professional video editing software. The update introduces several AI-powered features, including a new "Magnetic Mask" function that automatically tracks objects through video clips for targeted color grading and effects. The suite now offers on-device automatic caption generation for dialogue tracks and adds support for spatial video editing compatible with Apple Vision Pro. Users can adjust the depth of titles and objects for 3D viewing. The update requires macOS 14.6 and at least 8GB of RAM, with some features exclusive to Apple silicon Macs. Existing Final Cut Pro X users will receive the upgrade at no cost, while new users can purchase the software for $299. Accompanying updates include Final Cut Camera for iPhone, which now supports H.265 HEVC format for Apple Log footage on iPhone 15/16 Pro models, and Final Cut Pro for iPad 2.1, featuring enhanced automated color grading tools and new creative assets. Projects created on Mac remain incompatible with the iPad version, PetaPixel reports.

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JPL To Cut 5% of Workforce, Its Third Layoff This Year

An anonymous reader writes: JPL in California announced this week a layoff of 325 workers, about 5% of its workforce, the third major layoff imposed this year. The JPL press release indicates the layoffs are because of NASA budget cutbacks, but does not provide any specificity. The cause centers mostly around NASA's decision to pause its Mars Sample Return project, which JPL was leading. From this report: This is the third round of layoffs at JPL this year, a reduction spurred primarily by major budgetary cuts to the Mars Sample Return mission, which is managed by JPL. NASA directed $310 million this year to the effort to bring Mars rocks back to Earth, a steep drop from the $822.3 million it spent on the program the previous year.

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Supermicro H13SSL-N For AMD EPYC 9005 "Turin" 1P Servers

While it's difficult still finding Intel Xeon 6 "Granite Rapids" motherboards/servers widely available at Internet retailers/distributors, when it comes to the AMD EPYC 9005 "Turin" processors that launched just last month, there is better availability thanks in large part to leveraging the existing SP5 socket. For those wanting to assemble a single socket AMD EPYC 9005 series server, one of the readily available options in the retail channel is the Supermicro H13SSL-N motherboard.

GeIL officialise ses kits mémoire CUDIMM et UDIMM

Ça y est, GeIL officialise enfin ses kits CUDIMM et UDIMM qui pourront monter jusqu'à 9200 MT/s et sont entièrement supportés par les derniers processeurs Core Ultra d'Intel testés ici et ici. Rien d'étonnant pour nous, ils avaient été présentés lors du dernier Computex, et on vous en avait déjà parlé ici. Les kits seront disponibles à partir de la mi-novembre. […]

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Amazon dévoile Secret Level, une série sur nos jeux vidéo préférés !

Amazon vient de dévoiler Secret Level, une nouvelle série animée basée sur plusieurs licences iconiques de jeux vidéo, accompagnée d'un premier trailer prometteur. Chaque épisode semble proposer une histoire indépendante, mettant en scène des univers cultes tels que Mega Man, Sifu, God of War, Warhammer 40,000, Dungeons et Dragons, et même Pac-Man. Le projet est dirigé par Tim Miller, connu pour sa série à succès Love, Death + Robots sur Netflix, qui avait reçu un accueil critique très positif. […]

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☕️ GOG lance un programme de préservation pour « faire vivre des jeux pour toujours »

La plateforme s’engage « pour que les titres classiques restent jouables, maintenant et à l’avenir », avec une centaine de titres pour commencer. D’autres seront ajoutés dans les prochains mois.

Si un jeu fait partie de ce programme, GOG mettra à disposition toutes les ressources nécessaires pour maintenir sa compatibilité avec les systèmes futurs. Si vous achetez un jeu éligible, cela signifie donc qu’il « fonctionnera sur les configurations PC populaires actuelles et futures ». Cela concerne le jeu, mais aussi les manuels, les bonus et DLC.

« En conservant ces titres emblématiques, GOG vous aide à protéger et à revivre les souvenirs qui vous ont façonné, sans DRM et avec une assistance technique dédiée », ajoute la plateforme. On retrouve dans la liste des jeux comme The Witcher, Worms, Fallout, Wing Commander, Populous, Caesar 3, etc. Une page dédiée a été mise en ligne.

Dans la même idée de sauvegarder une partie de notre patrimoine numérique, Internet Archive propose lui aussi des jeux vidéo jouables en ligne. Envie de vous refaire un Rick Dangerous (oui, c’est ma madeleine de Proust), c’est possible !

GOG a publié trois billets de blog pour expliquer son ambition sur trois jeux : Diablo sorti en 1996, Heroes of Might and Magic III en 1999 et la trilogie Resident Evil.

La boutique en ligne termine avec une pique bien placée contre Steam : « GOG est la seule plateforme à engager ses propres ressources pour s’assurer que les jeux que vous achetez restent jouables ».

Valve expliquait il y a quelques semaines qu’on n’achète pas vraiment un jeu et que le paiement ne donne droit qu’à une licence d’utilisation : « L’achat d’un produit numérique accorde une licence pour le produit sur Steam ».

☕️ GOG lance un programme de préservation pour « faire vivre des jeux pour toujours »

La plateforme s’engage « pour que les titres classiques restent jouables, maintenant et à l’avenir », avec une centaine de titres pour commencer. D’autres seront ajoutés dans les prochains mois.

Si un jeu fait partie de ce programme, GOG mettra à disposition toutes les ressources nécessaires pour maintenir sa compatibilité avec les systèmes futurs. Si vous achetez un jeu éligible, cela signifie donc qu’il « fonctionnera sur les configurations PC populaires actuelles et futures ». Cela concerne le jeu, mais aussi les manuels, les bonus et DLC.

« En conservant ces titres emblématiques, GOG vous aide à protéger et à revivre les souvenirs qui vous ont façonné, sans DRM et avec une assistance technique dédiée », ajoute la plateforme. On retrouve dans la liste des jeux comme The Witcher, Worms, Fallout, Wing Commander, Populous, Caesar 3, etc. Une page dédiée a été mise en ligne.

Dans la même idée de sauvegarder une partie de notre patrimoine numérique, Internet Archive propose lui aussi des jeux vidéo jouables en ligne. Envie de vous refaire un Rick Dangerous (oui, c’est ma madeleine de Proust), c’est possible !

GOG a publié trois billets de blog pour expliquer son ambition sur trois jeux : Diablo sorti en 1996, Heroes of Might and Magic III en 1999 et la trilogie Resident Evil.

La boutique en ligne termine avec une pique bien placée contre Steam : « GOG est la seule plateforme à engager ses propres ressources pour s’assurer que les jeux que vous achetez restent jouables ».

Valve expliquait il y a quelques semaines qu’on n’achète pas vraiment un jeu et que le paiement ne donne droit qu’à une licence d’utilisation : « L’achat d’un produit numérique accorde une licence pour le produit sur Steam ».

☕️ #Flock : Amazon Haul of flemme

Dans la série « il y en avait déjà beaucoup trop, mais je vous le mets quand même »… Daria résumerait parfaitement la situation d’un « triste monde tragique ».

Note de service : comme avec l’ancien nouveau président Trump ou Lina Khan récemment, Flock s’autorise désormais quelques incartades en réaction à l’actualité du moment, mais il vous donne toujours – et même plus que jamais ! – rendez-vous le samedi à 13h37 pour sa chronique hebdomadaire, à retrouver dans la rubrique dédiée.

CFPB Looks To Place Google Under Federal Supervision

Washington Post: The Consumer Financial Protection Bureau has taken steps to place Google under formal federal supervision, an extraordinary move that could subject the technology giant to the regular inspections and other rigorous monitoring that the government imposes on major banks. Google has fiercely resisted the idea over months of highly secretive talks, according to two people familiar with the discussions, who spoke on the condition of anonymity to describe them -- setting up what may ultimately be a major legal clash with vast implications for the CFPB's powers in the digital age. The exact scope of the CFPB's concerns is not clear, and its order does not appear to be final. The political fate of the bureau's work under Director Rohit Chopra is also in doubt, as the watchdog agency braces for potentially significant changes to its leadership and agenda with the return of President-elect Donald Trump to the White House. Formed in the aftermath of the 2008 financial crisis, the CFPB has broad powers to protect consumers from unfair, deceptive or predatory financial practices. That includes the ability to place certain firms under supervision, a status that can afford regulators direct access to the company's internal records to ensure their activities are sound -- and seek fixes if they are not.

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Apple Faces UK 'iCloud Monopoly' Compensation Claim Worth $3.8 Billion

An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: U.K. consumer rights group 'Which?' is filing a legal claim against Apple under competition law on behalf of some 40 million users of iCloud, its cloud storage service. The collective proceeding lawsuit, which is seeking 3 billion pounds in compensation damages (around $3.8 billion at current exchange rates), alleges that Apple has broken competition rules by giving its own cloud storage service preferential treatment and effectively locking people into paying for iCloud at "rip-off" prices. "iOS has a monopoly and is in control of Apple's operating systems and it is incumbent on Apple not to use that dominance to gain an unfair advantage in related markets, like the cloud storage market. But that is exactly what has happened," Which wrote in a press release announcing filing the claim with the U.K.'s Competition Appeal Tribunal (CAT). The lawsuit accuses Apple of encouraging users of its devices to sign up to iCloud for photo storage and other data storage needs, while simultaneously making it difficult for consumers to use alternative storage providers -- including by not allowing them to store or back-up all of their phone's data with a third-party provider. "iOS users then have to pay for the service once photos, notes, messages and other data go over the free 5GB limit," Which noted. The suit also accuses Apple of overcharging U.K. consumers for iCloud subscriptions owing to the lack of competition. "Apple raised the price of iCloud for UK consumers by between 20% and 29% across its storage tiers in 2023," it wrote, saying it's seeking damages for all affected Apple customers -- and estimating that individual consumers could be owed an average of 70 pounds (around $90), depending on how long they've been paying Apple for iCloud services. "Anyone who has 'obtained' iCloud services, including non-paying users, over the nine-year timeframe since the Consumer Rights Act came into force on October 1st, 2015," will be included in the claim. U.K.-based consumers will have to opt-out if they do not want to be included. "Consumers who live outside the U.K. and believe they are eligible to be included must actively opt-in to join the action," adds TechCrunch.

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Wi-Fi vs 6G : la « lutte acharnée » continue sur les 6 GHz

Il ne peux en rester qu’un… ou deux !
Wi-Fi vs 6G : la « lutte acharnée » continue sur les 6 GHz

Dans un communiqué, l’Agence nationale des fréquences revient sur l’avenir de la « bande 6 GHz haute », un dossier qu’elle qualifie de « brûlant ». Deux prétendants sont en lice : le Wi-Fi et la téléphonie mobile. Un partage des ressources est envisagé, mais il faudra résoudre certains problèmes. Explications.

Cela fait maintenant quatre ans que la bande supérieure des 6 GHz – des fréquences comprises entre 6 425 et 7 125 MHz – fait l’objet « d’une lutte acharnée entre la communauté réseaux mobiles et Wi-Fi ». Les deux camps veulent profiter de cette manne de 700 MHz, chacun avec ses propres arguments… qui sont finalement assez proches.

En Europe et en France, le Wi-Fi 6E a été uniformisé par la Commission européenne en 2021, avec une bande de fréquence allant de 5 945 à 6 425 MHz. Cela donne donc 480 MHz de large, soit 24 canaux. On est loin des États-Unis avec 1 200 MHz accordé par la FCC (de 5,925 à 7,125 GHz).

Réponse de Normand à la CMR

Lors de la conférence mondiale des radiocommunications de 2023 (alias la CMR-23), « cette bande a finalement été identifiée pour les mobiles (IMT), tout en reconnaissant l’usage du Wi-Fi dans certains pays, laissant ainsi ouverte la question de l’harmonisation de cette bande en Europe », explique l’ANFR.

À défaut de trancher entre les deux, la décision prise permet de déterminer « les conditions de partage avec les autres usages internationaux du spectre, en définissant notamment les caractéristiques permettant d’assurer la protection des satellites qui reçoivent dans cette bande ».

En effet, « en France, mais également dans de très nombreux pays européens, des faisceaux hertziens sont largement déployés dans cette bande pour des liaisons longue distance et à forte capacité ». Il faut en tenir compte.

Mobile vs Wi-Fi : fight !

D’un côté, nous avons donc le Wi-Fi en quête de spectre pour augmenter sa bande passante et proposer toujours plus de canaux (permettant aussi au passage d’en désengorger certains dans les grandes villes). Ce doublement des fréquences dans les 6 GHz permettrait aussi de profiter pleinement du Wi-Fi 7, capable de prendre en charge des blocs de 320 MHz.

« La communauté Wi-Fi plaide pour un accroissement de ses ressources en fréquences afin que la transmission Wi-Fi ne soit pas entravée par un goulot d’étranglement », résume l’Agence nationale des fréquences.

De l’autre, les arguments de la partie mobile sont… les mêmes : « pouvoir répondre à l’accroissement continuel du trafic sur les réseaux mobiles ». Cette bande dans les 6 GHz est dite « intermédiaire » et elle offre un bon compromis entre débits et couverture.

La guerre des fréquences, une ressource limitée

Pour rappel, plus les fréquences sont basses (dans les 700 et 800 MHz, on parle même de fréquences en or), plus le signal porte loin. Néanmoins, il est difficile, pour ne pas dire impossible, de trouver de nouvelles bandes disponibles. Pour laisser de la place à la téléphonie mobile, la télévision numérique terrestre (TNT) a dû se réorganiser.

À contrario, de larges bandes de spectres sont disponibles dans les fréquences élevées (il est plus facile de trouver 500 MHz libre quand on est dans les dizaines de GHz), mais elles portent bien moins loin. Dans le cas des 26 GHz (des expérimentations sont en cours en France), le signal ne passe même pas des obstacles. Il faut donc avoir l’émetteur en visuel.

Acceptabilité sociétale, environnement, 6G

Sans identifier de nouvelles fréquences pour la téléphonie mobile, « accroître la capacité des réseaux mobiles ne pourrait passer que par l’ajout de stations de base supplémentaires, mais ce maillage resserré se heurte à la difficulté à trouver de nouveaux sites dans les zones denses, ainsi que par son acceptabilité sociétale, environnementale et économique », explique l’ANFR.

Depuis que les générations de téléphonie mobile s’enchainent (3G, 4G, 5G), chaque nouvelle technologie s’accompagne de nouvelles fréquences. C’étaient les 3,5 GHz pour la 5G. Qu’en sera-t-il pour la 6G en 2030 ? L’ANFR n’a pas la réponse.

Programme de travail et rapport en approche

L’Agence rappelle que le « RSPG (groupe européen pour la politique du spectre regroupant les États membres) s’est mis en ordre de bataille en adoptant en février un programme de travail prévoyant un avis sur la bande 6 GHz haute en juin 2025 ».

De son côté, la Commission européenne devrait demander dans les prochaines semaines à la CEPT (Conférence européenne des administrations des postes et télécommunications) d’étudier « les possibilités de partage de cette bande entre le Wi-Fi et les réseaux mobiles », et de proposer un calendrier d’harmonisation.

Wi-Fi en intérieur, téléphonie mobile en extérieur ?

La CEPT n’a pas attendu et s’intéresse à la question depuis l’année dernière. Elle se penche sur une approche permettant une cohabitation : « du Wi-Fi à faible puissance et limité à l’intérieur, en présence de réseaux mobiles dans la même bande, à forte puissance et en extérieur ».

Même si les 6 GHz passeront moins à travers les habitations et les obstacles, le partage du spectre « nécessiterait des restrictions sur les conditions d’utilisation des stations de base 5G ou 6G, et notamment une forte réduction de puissance ». Si cette approche fait consensus, des divergences existent sur les conséquences d’une telle séparation.

« Pour certains, l’impact essentiel serait d’empêcher la couverture mobile à l’intérieur des bâtiments, qui pourrait être ainsi dévolue à d’autres moyens (Wi-Fi) ou à d’autres bandes, par exemple à la 5G dans la bande 3,5 GHz. Pour d’autres, l’usage des terminaux mobiles à l’intérieur des bâtiments, qui représente d’ores et déjà une part importante du trafic, continuera à croître et devrait être accompagné directement par les réseaux mobiles. En outre, les restrictions diminueraient substantiellement la capacité des stations de base pour la communication avec des terminaux en extérieur comme en intérieur ».

En cas de partage, le Wi-Fi aussi devra mettre de l’eau dans son vin en améliorant « le seuil de détection des émissions des stations de base » et, si besoin, changer de fréquences « afin de limiter le risque de brouillage sur les réseaux mobiles ». Autant de questions qui soulèvent des inquiétudes sur la faisabilité d’une « compatibilité à long terme avec l’évolution des technologies Wi-Fi et mobiles ».

Pour l’ANFR, « les prochains mois seront critiques pour progresser au niveau européen sur une compréhension commune des possibilités concrètes de partage et des besoins réalistes des deux applications ».

Meta Fined $840 Million For Breaching EU Antitrust Rules

The European Union has fined Meta $840 million for unfairly tying its Facebook Marketplace classified ads service to its social network, marking the company's first EU antitrust penalty. The European Commission ruled Meta must stop bundling Marketplace with Facebook's social platform and cease imposing unfair conditions on competing classified ads services. Regulators found Meta exploited Facebook's massive user base to disadvantage rivals and used competitors' advertising data to enhance Marketplace. EU antitrust chief Margrethe Vestager said Meta "tied its online classified ads service Facebook Marketplace to its personal social network Facebook and imposed unfair trading conditions on other online classified ads service providers."

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AMD 3D V-Cache Optimizer Driver To Be Merged For Linux 6.13

Last month AMD Linux engineers posted patches for a 3D V-Cache Optimizer driver for Linux that allows the user to communicate their cache vs. frequency preference depending upon workload and for the 3D V-Cache processors where some CCDs have the larger cache but not all. That driver is now ready for appearing in the upcoming Linux 6.13 kernel...
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