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TAJ : le pirate a eu accès pendant 26 jours à 14 fichiers policiers et dérobé 120 fiches

Un « code à six chiffres », sriously
TAJ : le pirate a eu accès pendant 26 jours à 14 fichiers policiers et dérobé 120 fiches

Le Canard enchaîné révèle que c’est l’algorithme de surveillance des accès au fichier TAJ qui aurait déclenché l’alerte, 13 jours après que le pirate y a eu accès après avoir dérobé l’identifiant et le mot de passe d’un policier.

Le Canard enchaîné révèle que le « fric-frac informatique du ministère de l’Intérieur » avait duré du dimanche 9 novembre au jeudi 4 décembre, soit 26 jours, « une très longue journée portes ouvertes ».

L’intrusion, révélée dans la presse le jeudi 11 et confirmée par le ministre le lendemain, aurait été découverte le samedi 22 novembre, grâce à l’algorithme qui surveille les requêtes effectuées dans le Traitement des antécédents judiciaires (TAJ). Ce fichier recense « 16,4 millions de personnes » ayant été « mises en cause », et dès lors « défavorablement connues » des services de police et de gendarmerie, pour reprendre l’expression consacrée.

« C’est la consultation compulsive – le week-end et la nuit – de ce listing ultra-sensible qui a déclenché l’alerte », souligne le Canard. Il ne précise pas cependant pourquoi il a fallu 13 jours à l’algorithme pour repérer qu’un pirate avait réussi à accéder au système de Circulation Hiérarchisée des Enregistrements Opérationnels de la Police Sécurisés (CHEOPS), le portail permettant d’accéder aux fichiers de la police et de la gendarmerie.

L’article ne précise pas non plus combien de temps il a fallu pour disculper le policier soupçonné d’avoir abusivement farfouillé dans le TAJ, et identifier qu’il s’était fait dérober ses identifiant et mot de passe.

Il relève toutefois qu’alerté, le parquet de Paris a de son côté ouvert une enquête préliminaire le 4 décembre (soit 12 jours après le déclenchement de l’alerte), « date à laquelle le pirate, se sentant sans doute pisté, cesse d’arpenter CHEOPS ».

37 serveurs compromis, 14 fichiers visités, 120 fiches dérobées

D’après le dernier bilan du ministère de l’Intérieur, que le Canard a pu consulter, « les dégâts sont bien plus importants qu’annoncé : 37 serveurs de messagerie sur 250 ont été compromis, et 14 fichiers de police ont été visités, dont celui des personnes recherchées, qui contient notamment les fichés S » :

« Sur le TAJ, où il s’est bêtement fait repérer, Melvin L. a dérobé 120 fiches personnelles et procédé au siphonnage de dizaines de milliers de noms inscrits dans ce fichier sensible. »

Pour accéder à CHEOPS, il suffit d’un identifiant et d’un code à six chiffres

Le Canard souligne que le pirate, interpellé le 17 décembre, aurait profité du fait que « nombre de poulets se tamponnent le coquillard de la sécurité informatique ». Pour se connecter à CHEOPS, les policiers et gendarmes doivent normalement utiliser leur carte professionnelle, dotée d’une puce, ainsi qu’un code à quatre chiffres.

À ceci près que « les poulets, moins disciplinés que les pandores, utilisent à tort et à travers un système de secours sans carte, reposant sur le seul identifiant et un code à six chiffres ». Identifiant et code que le policier aurait partagé en clair dans un e-mail auquel le pirate avait pu accéder.

« Celui qui a fait le coup n’est pas spécialement un cador », précise au Canard un commissaire : « il a laissé plein de traces qui ont permis de remonter à lui ». À défaut de savoir combien d’autres pirates, plus discrets, auraient eux aussi déjà pu accéder à CHEOPS de la sorte, le ministre de l’Intérieur vient d’ouvrir une enquête administrative sur les manquements à la sécurité informatique.

Reste donc aussi à comprendre pourquoi, en 2025, le recours à la double authentification n’a pas encore été rendu obligatoire, surtout pour accéder à un système aussi sensible.

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TAJ : le pirate a eu accès pendant 26 jours à 14 fichiers policiers et dérobé 120 fiches

Un « code à six chiffres », sriously
TAJ : le pirate a eu accès pendant 26 jours à 14 fichiers policiers et dérobé 120 fiches

Le Canard enchaîné révèle que c’est l’algorithme de surveillance des accès au fichier TAJ qui aurait déclenché l’alerte, 13 jours après que le pirate y a eu accès après avoir dérobé l’identifiant et le mot de passe d’un policier.

Le Canard enchaîné révèle que le « fric-frac informatique du ministère de l’Intérieur » avait duré du dimanche 9 novembre au jeudi 4 décembre, soit 26 jours, « une très longue journée portes ouvertes ».

L’intrusion, révélée dans la presse le jeudi 11 et confirmée par le ministre le lendemain, aurait été découverte le samedi 22 novembre, grâce à l’algorithme qui surveille les requêtes effectuées dans le Traitement des antécédents judiciaires (TAJ). Ce fichier recense « 16,4 millions de personnes » ayant été « mises en cause », et dès lors « défavorablement connues » des services de police et de gendarmerie, pour reprendre l’expression consacrée.

« C’est la consultation compulsive – le week-end et la nuit – de ce listing ultra-sensible qui a déclenché l’alerte », souligne le Canard. Il ne précise pas cependant pourquoi il a fallu 13 jours à l’algorithme pour repérer qu’un pirate avait réussi à accéder au système de Circulation Hiérarchisée des Enregistrements Opérationnels de la Police Sécurisés (CHEOPS), le portail permettant d’accéder aux fichiers de la police et de la gendarmerie.

L’article ne précise pas non plus combien de temps il a fallu pour disculper le policier soupçonné d’avoir abusivement farfouillé dans le TAJ, et identifier qu’il s’était fait dérober ses identifiant et mot de passe.

Il relève toutefois qu’alerté, le parquet de Paris a de son côté ouvert une enquête préliminaire le 4 décembre (soit 12 jours après le déclenchement de l’alerte), « date à laquelle le pirate, se sentant sans doute pisté, cesse d’arpenter CHEOPS ».

37 serveurs compromis, 14 fichiers visités, 120 fiches dérobées

D’après le dernier bilan du ministère de l’Intérieur, que le Canard a pu consulter, « les dégâts sont bien plus importants qu’annoncé : 37 serveurs de messagerie sur 250 ont été compromis, et 14 fichiers de police ont été visités, dont celui des personnes recherchées, qui contient notamment les fichés S » :

« Sur le TAJ, où il s’est bêtement fait repérer, Melvin L. a dérobé 120 fiches personnelles et procédé au siphonnage de dizaines de milliers de noms inscrits dans ce fichier sensible. »

Pour accéder à CHEOPS, il suffit d’un identifiant et d’un code à six chiffres

Le Canard souligne que le pirate, interpellé le 17 décembre, aurait profité du fait que « nombre de poulets se tamponnent le coquillard de la sécurité informatique ». Pour se connecter à CHEOPS, les policiers et gendarmes doivent normalement utiliser leur carte professionnelle, dotée d’une puce, ainsi qu’un code à quatre chiffres.

À ceci près que « les poulets, moins disciplinés que les pandores, utilisent à tort et à travers un système de secours sans carte, reposant sur le seul identifiant et un code à six chiffres ». Identifiant et code que le policier aurait partagé en clair dans un e-mail auquel le pirate avait pu accéder.

« Celui qui a fait le coup n’est pas spécialement un cador », précise au Canard un commissaire : « il a laissé plein de traces qui ont permis de remonter à lui ». À défaut de savoir combien d’autres pirates, plus discrets, auraient eux aussi déjà pu accéder à CHEOPS de la sorte, le ministre de l’Intérieur vient d’ouvrir une enquête administrative sur les manquements à la sécurité informatique.

Reste donc aussi à comprendre pourquoi, en 2025, le recours à la double authentification n’a pas encore été rendu obligatoire, surtout pour accéder à un système aussi sensible.

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Linux 6.20~7.0 To Bring Prep Changes For CXL Soft Reserve Recovery & Accelerator Memory

The next kernel cycle that will be known as either Linux 6.20 or Linux 7.0 depending upon how Linus Torvalds handles the versioning for this next x.20 milestone. More than likely it will be Linux 7.0 given his historical versioning scheme, but whatever the case, ahead of this next kernel cycle some initialization changes for the CXL subsystem are building up...
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Akasa Skyline 3 Pro : un boitier fanless pour Tinker Board 3

Dans un aluminium anodisé noir, le Akasa Skyline 3 Pro est pensé pour dissiper les watts des cartes ASUS Tinker Board 3 passivement. Son objectif premier est de limiter le taux de pannes en se débarassant des pièces mécaniques mais également d’éviter l’empoussièrage des composants.

Créé sur-mesure pour les cartes d’Asus, le châssis Skyline 3 Pro utilise la convection naturelle de l’aluminium associée à des ailettes pour dissiper les watts du SoC embarqué. Deux petits blocs d’aluminium viennent entrer en contact avec la puce Rockchip RK3566 quadruple cœur Cortex-A55 embarquée ainsi que sur la mémoire vive LPDDR4x. 

Le châssis d’aluminium est découpé pour laisser les connecteurs de la carte opérationnels. L’ensemble des ports est ainsi accessible pour une exploitation identique à un modèle de carte nue. Les broches GPIO peuvent compter sur une fente à la base du boîtier au travers de laquelle on pourra faire circuler une nappe. Les LEDs témoins de la carte sont bien visibles, toutefois aucune solution de bouton n’est disponible.

L’ensemble est clairement pensé pour des usages professionnels et souvent passifs. C’est le genre de matériel que l’on intègre sur un écran connecté qui va renvoyer des informations issues d’un serveur en ligne, pour piloter des outils connectés ou servir des projets industriels. Le boitier est annoncé à 29.99€.

Élément Description
Matériau Aluminium anodisé noir sablé
Dimensions 68,4 × 96 × 37,3 mm
Compatibilité carte mère ASUS Tinker Board 3
ASUS Tinker Board 3S
Ouvertures Entrées/Sorties USB Type-A ×3
USB Micro-B ×1
Ethernet ×1
LED ×3
Entrée DC ×1
HDMI ×1
Audio ×1
Trous de fixation d’antenne ×2
Micro SD ×1
MIPI DSI ×1
Emplacement GPIO ×1
Trous de fixation d’antenne 2
Code produit A-RA17-M1B

Akasa Skyline 3 Pro : un boitier fanless pour Tinker Board 3 © MiniMachines.net. 2025

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Nom de code X1013 : une extension 10 ports USB pour RPi

Avec ce nom cryptique de Geekworm X1013, on pourrait se dire que ce hub 10 ports part assez mal dans la vie. Pourtant il propose un équipement intéressant pour tout propriétaire de carte de développement Raspberry Pi en manque de connectique.

Geekworm X1013

Geekworm X1013

 
 

On a déjà croisé la marque Geekworm/SupTronicsX avec d’autres accessoires pour cartes de développement, souvent des extensions de stockage M.2 2280. La carte Geekworm X1013 se connecte uniquement aux cartes Raspberry Pi 5 avec la nappe FPC qui permet d’exploiter sa ligne PCIe 2.0. Cela veut dire qu’il va falloir choisir entre un stockage plus rapide ou plus de connectique.

Geekworm X1013

Geekworm X1013 + RPi 5

Mais si vous choisissez d’étendre le nombre de connecteurs à votre Pi, vous allez être servi. La X1013 propose pas moins de quatre ports USB 3.2 Type-A et six ports USB 2.0 Type-A supplémentaires. De quoi connecter une foule d’accessoires à votre dispositif de base. Si on considère les ports de la carte RPi de base on se retrouve en tout avec 14 ports USB Type-A dont six en USB 3.2 Type-A.

La carte X1013 propose des entretoises pour accueillir la RPi5

La carte X1013 propose des entretoises pour accueillir la RPi5

Évidemment, il ne faudra pas s’attendre à piloter autant de ports au maximum de leur bande passante, celle de la piste PCIe de la carte Pi est limitée. C’est donc plus un outil permettant de contrôler des accessoires externes qu’une solution pour assembler des éléments à large bande passante. Un connecteur d’alimentation Jack en 9-18V permettra à la X103 d’alimenter la Pi via des broches POGO. Un bouton de démarrage est également présent pour pouvoir allumer et éteindre l’ensemble. A noter que par défaut, la carte n’est pas livrée avec une alimentation, mais que tout bloc secteur en Jack 5.5 x 2.1 mm sera compatible. La carte sera à même de convertir le signal en 5.1 v pour alimenter l’ensemble. 

La carte est donnée comme compatible avec Raspberry Pi OS, Ubuntu, OpenWRT et autres. Un des gros points positifs de son développement est la liberté laissée à l’utilisateur d’utiliser les broches HAT de la Pi5 puisqu’elle se connecte par en dessous. Son principal défaut est sans doute le changement d’échelle proposé. L’ensemble de la carte X1013 mesure 10.7 cm de large pour 8.5 cm de profondeur. Ce qui double l’encombrement d’une carte Pi5 d’orgine.

Quels usages pour la Geekworm X1013 ?

Je me souviens de l’email d’un lecteur me demandant des solutions plus stables et pérennes pour piloter un système de scan de livres développé par ses soins. Il utilisait un hub USB pour piloter son appareil qui éclairait et photographiait des pages avant de les tourner avec des servo-moteurs. Problème, son système fonctionnait bien mais le hub finissait toujours par ne plus être alimenté correctement et il fallait redémarrer la carte Pi pour qu’il refonctionne. Ce qui posait un souci de continuité du nom de fichiers pour ses scans de livres. J’ignore si ce genre de solution ne serait pas plus fonctionnelle ?

Pour d’autres usages plus classiques, on pense évidemment à des accessoires en série : claviers, souris, stockages, webcams et autres imprimantes… Mais aussi à des éléments moins courants comme des microscopes, lecteurs de code barre ou des endoscopes USB. Différentes manettes de jeux et tout ce qui peut se connecter à la carte X1013 pour transformer votre Pi en poulPi. 

Des informations des guides logiciels sont disponibles ainsi que des informations techniques et de montage.

La carte est en vente sur AliExpress dans la boutique de Geekworm pour un peu moins de 40€ avec presque 5€ de port

Source : CNX via Liliputing

Nom de code X1013 : une extension 10 ports USB pour RPi © MiniMachines.net. 2025

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Un petit To pour les fêtes

Vive le gland d'hiver
Un petit To pour les fêtes

Annonce importante à votre adresse, vous qui nous lisez, vous qui nous soutenez, vous qui nous aimez.
Ou même parfois les trois à la fois.

Chères lectrices et chers lecteurs,

Cette année pour les fêtes, chez Next, nous ne voulions pas vous laisser dehors dans le froid sans vous donner une petite lueur d’espoir dans le regard, ni de quoi réchauffer vos cœurs endoloris par l’état du monde en général, ou plus particulièrement par les blagues de ce boomer de Bertrand, votre oncle à la retraite depuis 2003.

J’en profite pour vous donner quelques nouvelles qui n’en sont pas vraiment, en gros tendanciellement ça va toujours de mieux en mieux, mais on perd toujours pas mal de pognon.
C’est pas très grave, on a équilibré le budget en offrant des oranges à tout le monde cette année en lieu et place des traditionnelles barrettes de RAM (et ce fruit nous est particulièrement cher chez moji, vous même vous savez).
On a repris le dev sous le capot en cette fin d’année, et les efforts vont se poursuivre en 2026.
On s’accroche et on poursuit l’ascension.

Cela dit, en regardant en bas, quelque pincement au cœur nous saisit immanquablement à la vue de toutes ces lectrices et tous ces lecteurs qu’on a laissé crever au fond du précipice (et depuis un bon moment), à l’ombre de la crevasse du paywall, loin de la lumière éblouissante du savoir absolu de l’abonnement premium à Next.
Sans même parler du massacre impitoyable des remises de fidélité impies à la reprise, ou de l’abandon des promotions sous ecstasy de type cinq ans pour le prix d’un.
Tout ça travaille nos petites consciences, voyez-vous ?

En d’autres termes moins lyriques, comment convaincre toujours plus de monde que l’information de qualité se paye ?
Chez Next, nous investissons continuellement sur le média lui-même, ça se voit dans le fond, la forme, et les chiffres, mais est-ce qu’il n’existerait pas un raccourci vers la rentabilité, une sorte de highway to sell if you will ?

Notre position un peu particulière de mécène opérateur d’infrastructure offre quelques avantages en matière de routes.
Plutôt que de perdre de l’argent en subventions pures, est-ce qu’on ne pourrait pas mettre gratuitement à disposition une partie de notre infrastructure aux membres premium, afin de sweeten quelque peu le deal de l’abonnement Next ?
C’est évidemment une question rhétorique.
Non seulement on peut, mais j’ai l’immense plaisir de vous annoncer qu’en plus on l’a fait, pile à temps pour celles et ceux qui veulent leur juste dose de cadeaux au pied du sapin.

À partir de maintenant, ce 24 Décembre 2025, 1 To d’espace de stockage S3 en ligne est inclus gracieusement en bêta dans votre abonnement Premium, avec un bonus de 100 Go par année d’ancienneté de votre compte Next.

Pour un membre de 2003, ça fait tout de même 3,2 To, excusez du peu, encore un ou deux siècles d’abonnement comme ça et vous pourrez stocker l’intégralité de la bibliothèque de Spotify !
On rigole évidemment, ne vivez surtout pas aussi longtemps, c’est illégal.

Vous pouvez activer l’offre depuis votre compte, attention, l’offre est en bêta sur les 100 premiers inscrits jusqu’à mi-janvier, où nous ouvrirons les vannes plus franchement une fois le retex dûment effectué.
Déjà qu’on prode un 24 Décembre, on ne voudrait pas en plus se retrouver le 25 sur Dealabs.
Il ne manquerait plus qu’on crashe l’infra avec 10 000 abonnés en trois jours, ce serait le comble.

Un tas de tutos vont suivre pour sauvegarder vos données sous Linux, Mac, Windows, vos NAS, votre frigidaire connecté, mais plusieurs points sont à souligner :

  • Chiffrez vos données AVANT de nous les envoyer. On n’a pas du tout envie de savoir combien de bananes il vous reste dans le troisième tiroir.
  • Il s’agit d’un service best-effort, les données sont stockées en France, mais avec un niveau de disponibilité limité (un seul site géographique), c’est un service de sauvegarde à usage individuel, supplémentaire à ce que vous avez déjà, il est fourni avec zéro garantie.
    Respectez toujours les principes 3,2,1, et prenez garde à bien conserver vos données les plus précieuses sur un support hors ligne.
  • Au moment l’activation du service, vous allez pouvoir télécharger votre passphrase, conservez-la bien précieusement, nous n’y avons pas accès, et elle seule vous permet d’accéder à vos données.
    Si vous la perdez, votre seule option sera de réinitialiser complètement votre accès, en perdant l’accès à vos données précédemment enregistrées.

Tous les abonnements premium sont éligibles, y compris les abonnés Next qui ont pris l’abonnement LPL.
Le service est accessible à tous les lecteurs qui disposent d’un abonnement Next en propre.
Les internautes qui nous lisent par l’intermédiaire d’une offre La Presse Libre ne sont en revanche pas éligibles, faute de revenus suffisants pour justifier le coût de ce service.
Pour le moment, les abonnés Next de l’offre entreprise ne sont pas éligibles non plus, faute de temps, mais ça arrive rapidement.

Enfin, je tenais tout particulièrement à remercier les équipes moji, tant les devs que les ingés système et réseau, pour avoir travaillé sur une infra multi péta badass avec une deadline aussi sensible.
Kudos à eux, c’est des vrais, leurs noms résonneront pour toujours dans l’éternité.

Excellentes fêtes à toutes et à tous de la part de toutes nos équipes, et à vos clients de sauvegarde !

Next vaincra.

Ferd

PS : Petite précision, il s’agit bien d’un service offert par moji à Next et ses lecteurs, aucune facturation n’est émise de moji à Next, ni aucune compensation d’aucune forme.
Pas de filouterie fiscale ici, juste la joie d’offrir et le plaisir de recevoir.

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Un petit To pour les fêtes

Vive le gland d'hiver
Un petit To pour les fêtes

Annonce importante à votre adresse, vous qui nous lisez, vous qui nous soutenez, vous qui nous aimez.
Ou même parfois les trois à la fois.

Chères lectrices et chers lecteurs,

Cette année pour les fêtes, chez Next, nous ne voulions pas vous laisser dehors dans le froid sans vous donner une petite lueur d’espoir dans le regard, ni de quoi réchauffer vos cœurs endoloris par l’état du monde en général, ou plus particulièrement par les blagues de ce boomer de Bertrand, votre oncle à la retraite depuis 2003.

J’en profite pour vous donner quelques nouvelles qui n’en sont pas vraiment, en gros tendanciellement ça va toujours de mieux en mieux, mais on perd toujours pas mal de pognon.
C’est pas très grave, on a équilibré le budget en offrant des oranges à tout le monde cette année en lieu et place des traditionnelles barrettes de RAM (et ce fruit nous est particulièrement cher chez moji, vous même vous savez).
On a repris le dev sous le capot en cette fin d’année, et les efforts vont se poursuivre en 2026.
On s’accroche et on poursuit l’ascension.

Cela dit, en regardant en bas, quelque pincement au cœur nous saisit immanquablement à la vue de toutes ces lectrices et tous ces lecteurs qu’on a laissé crever au fond du précipice (et depuis un bon moment), à l’ombre de la crevasse du paywall, loin de la lumière éblouissante du savoir absolu de l’abonnement premium à Next.
Sans même parler du massacre impitoyable des remises de fidélité impies à la reprise, ou de l’abandon des promotions sous ecstasy de type cinq ans pour le prix d’un.
Tout ça travaille nos petites consciences, voyez-vous ?

En d’autres termes moins lyriques, comment convaincre toujours plus de monde que l’information de qualité se paye ?
Chez Next, nous investissons continuellement sur le média lui-même, ça se voit dans le fond, la forme, et les chiffres, mais est-ce qu’il n’existerait pas un raccourci vers la rentabilité, une sorte de highway to sell if you will ?

Notre position un peu particulière de mécène opérateur d’infrastructure offre quelques avantages en matière de routes.
Plutôt que de perdre de l’argent en subventions pures, est-ce qu’on ne pourrait pas mettre gratuitement à disposition une partie de notre infrastructure aux membres premium, afin de sweeten quelque peu le deal de l’abonnement Next ?
C’est évidemment une question rhétorique.
Non seulement on peut, mais j’ai l’immense plaisir de vous annoncer qu’en plus on l’a fait, pile à temps pour celles et ceux qui veulent leur juste dose de cadeaux au pied du sapin.

À partir de maintenant, ce 24 Décembre 2025, 1 To d’espace de stockage S3 en ligne est inclus gracieusement en bêta dans votre abonnement Premium, avec un bonus de 100 Go par année d’ancienneté de votre compte Next.

Pour un membre de 2003, ça fait tout de même 3,2 To, excusez du peu, encore un ou deux siècles d’abonnement comme ça et vous pourrez stocker l’intégralité de la bibliothèque de Spotify !
On rigole évidemment, ne vivez surtout pas aussi longtemps, c’est illégal.

Vous pouvez activer l’offre depuis votre compte, attention, l’offre est en bêta sur les 100 premiers inscrits jusqu’à mi-janvier, où nous ouvrirons les vannes plus franchement une fois le retex dûment effectué.
Déjà qu’on prode un 24 Décembre, on ne voudrait pas en plus se retrouver le 25 sur Dealabs.
Il ne manquerait plus qu’on crashe l’infra avec 10 000 abonnés en trois jours, ce serait le comble.

Un tas de tutos vont suivre pour sauvegarder vos données sous Linux, Mac, Windows, vos NAS, votre frigidaire connecté, mais plusieurs points sont à souligner :

  • Chiffrez vos données AVANT de nous les envoyer. On n’a pas du tout envie de savoir combien de bananes il vous reste dans le troisième tiroir.
  • Il s’agit d’un service best-effort, les données sont stockées en France, mais avec un niveau de disponibilité limité (un seul site géographique), c’est un service de sauvegarde à usage individuel, supplémentaire à ce que vous avez déjà, il est fourni avec zéro garantie.
    Respectez toujours les principes 3,2,1, et prenez garde à bien conserver vos données les plus précieuses sur un support hors ligne.
  • Au moment l’activation du service, vous allez pouvoir télécharger votre passphrase, conservez-la bien précieusement, nous n’y avons pas accès, et elle seule vous permet d’accéder à vos données.
    Si vous la perdez, votre seule option sera de réinitialiser complètement votre accès, en perdant l’accès à vos données précédemment enregistrées.

Tous les abonnements premium sont éligibles, y compris les abonnés Next qui ont pris l’abonnement LPL.
Le service est accessible à tous les lecteurs qui disposent d’un abonnement Next en propre.
Les internautes qui nous lisent par l’intermédiaire d’une offre La Presse Libre ne sont en revanche pas éligibles, faute de revenus suffisants pour justifier le coût de ce service.
Pour le moment, les abonnés Next de l’offre entreprise ne sont pas éligibles non plus, faute de temps, mais ça arrive rapidement.

Enfin, je tenais tout particulièrement à remercier les équipes moji, tant les devs que les ingés système et réseau, pour avoir travaillé sur une infra multi péta badass avec une deadline aussi sensible.
Kudos à eux, c’est des vrais, leurs noms résonneront pour toujours dans l’éternité.

Excellentes fêtes à toutes et à tous de la part de toutes nos équipes, et à vos clients de sauvegarde !

Next vaincra.

Ferd

PS : Petite précision, il s’agit bien d’un service offert par moji à Next et ses lecteurs, aucune facturation n’est émise de moji à Next, ni aucune compensation d’aucune forme.
Pas de filouterie fiscale ici, juste la joie d’offrir et le plaisir de recevoir.

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Page Cache Sharing Looks To Be Very Beneficial For EROFS Containers

One of the features being worked on for a while with the read-only EROFS file-system is page cache sharing. Besides EROFS being popular on some mobile/embedded devices, this open-source read-only file-system has been quite popular for container usage and there this page cache sharing functionality can provide some significant reductions in RAM usage...
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☕️ Firefox se dote d’une vue partagée pour afficher deux sites côte à côte

Une nouvelle fonction a été découverte dans le « about:config » du navigateur, qui permet pour rappel d’activer certaines capacités non finalisées. Firefox va ainsi se doter d’une vue scindée, souvent appelée Split View, comme relevé par OMGUbuntu.

Ce type de fonction, que l’on trouve volontiers dans des navigateurs « avancés » comme Vivaldi, permet d’afficher deux sites côte à côte. La vue scindée est devenue plus courante avec le temps, Microsoft l’ayant ajoutée dans Edge en 2024 et Google dans Chrome le mois dernier.

L’utilisation dans Firefox est simple. Il faut d’abord se rendre dans « about :config » et lancer une recherche sur « split ». Il suffit ensuite de double-cliquer sur la ligne « browser.tabs.splitView.enabled », afin que la valeur « False » passe en « True ». Pas besoin de télécharger une préversion de Firefox, l’option est disponible dans l’actuelle révision stable 146.

Une fois le paramètre activé, il suffit de faire un clic droit sur n’importe quel onglet et de sélectionner « Ajouter une vue scindée ». L’onglet se divise alors en deux sous-onglets plus petits, chacun ayant sa propre adresse. Par défaut, chaque site récupère la moitié de la fenêtre, mais on peut déplacer la barre de séparation. Ce type de fonction est très utile pour comparer deux pages ou pour lire un contenu tout en surveillant un flux de réseau social.

Si la fonction est disponible actuellement, elle ne préfigure pas d’une arrivée officielle dans Firefox 147. Celle-ci s’annonce déjà comme une mouture importante, au moins sous le capot. D’après les notes de version actuelles du canal Beta, Firefox 147 apportera ainsi le support de WebGPU aux Mac équipés puces Apple Silicon, une amélioration des performances pour les vidéos avec les GPU AMD, le support de la spécification XDG Base Directory de Freedesktop.org pour les distributions Linux, ou encore la prise en charge de Safe Browsing V5.

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☕️ Firefox se dote d’une vue partagée pour afficher deux sites côte à côte

Une nouvelle fonction a été découverte dans le « about:config » du navigateur, qui permet pour rappel d’activer certaines capacités non finalisées. Firefox va ainsi se doter d’une vue scindée, souvent appelée Split View, comme relevé par OMGUbuntu.

Ce type de fonction, que l’on trouve volontiers dans des navigateurs « avancés » comme Vivaldi, permet d’afficher deux sites côte à côte. La vue scindée est devenue plus courante avec le temps, Microsoft l’ayant ajoutée dans Edge en 2024 et Google dans Chrome le mois dernier.

L’utilisation dans Firefox est simple. Il faut d’abord se rendre dans « about :config » et lancer une recherche sur « split ». Il suffit ensuite de double-cliquer sur la ligne « browser.tabs.splitView.enabled », afin que la valeur « False » passe en « True ». Pas besoin de télécharger une préversion de Firefox, l’option est disponible dans l’actuelle révision stable 146.

Une fois le paramètre activé, il suffit de faire un clic droit sur n’importe quel onglet et de sélectionner « Ajouter une vue scindée ». L’onglet se divise alors en deux sous-onglets plus petits, chacun ayant sa propre adresse. Par défaut, chaque site récupère la moitié de la fenêtre, mais on peut déplacer la barre de séparation. Ce type de fonction est très utile pour comparer deux pages ou pour lire un contenu tout en surveillant un flux de réseau social.

Si la fonction est disponible actuellement, elle ne préfigure pas d’une arrivée officielle dans Firefox 147. Celle-ci s’annonce déjà comme une mouture importante, au moins sous le capot. D’après les notes de version actuelles du canal Beta, Firefox 147 apportera ainsi le support de WebGPU aux Mac équipés puces Apple Silicon, une amélioration des performances pour les vidéos avec les GPU AMD, le support de la spécification XDG Base Directory de Freedesktop.org pour les distributions Linux, ou encore la prise en charge de Safe Browsing V5.

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2015 Radio Interview Frames AI As 'High-Level Algebra'

Longtime Slashdot reader MrFreak shares a public radio interview from 2015 discussing artificial intelligence as inference over abstract inputs, along with scaling limits, automation, and governance models, where for-profit engines are constrained by nonprofit oversight: Recorded months before OpenAI was founded, the conversation treats intelligence as math plus incentives rather than something mystical, touching on architectural bottlenecks, why "reasoning" may not simply emerge from brute force, labor displacement, and institutional design for advanced AI systems. Many of the themes align closely with current debates around large language models and AI governance. The recording was revisited following recent remarks by Sergey Brin at Stanford, where he acknowledged that despite Google's early work on Transformers, institutional hesitation and incentive structures limited how aggressively the technology was pursued. The interview provides an earlier, first-principles perspective on how abstraction, scaling, and organizational design might interact once AI systems begin to compound.

Read more of this story at Slashdot.

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James Bond peaufine son style et aura du retard

Plus d'une décennie, oui, il aura fallu attendre plus de dix ans avant la sortie d'un nouveau jeu basé sur les aventures de l'agent secret (quelque peu connu) James Bond. 007 First Light s'annonce pour un vague 2026 et pourtant l'annonce a de quoi faire frémir, pour une raison simple, le projet est issu d'une collaboration entre Amazon MGM Studios (désormais détenteur des droits des adaptations des romans de Ian Fleming) et le studio emblématique IO Interactive (Hitman). Le jeu devrait proposer des phases d'infiltration poussée, tout en proposant de l'action légitime, contrairement à la discrétion du crâne chauve. Le jeu sortira sur les plateformes PlayStation 5, Xbox Series X|S, Nintendo Switch 2 et PC (Steam et Epic Games), sera basé sur le moteur graphique maison Glacier Engine, malheuresement cela ne devrait pas nous fournir des informations sur le prochain acteur retenu pour camper le fameux 007... […]

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Biren, le premier concurrent sérieux de NVIDIA en Chine, s'introduit en bourse à Hong Kong

Le fabricant chinois Biren Intelligent Technology prépare son introduction en bourse à Hong Kong, avec l'ambition de lever jusqu'à 624 millions de dollars américains. Fondée en 2019 à Shanghai, la société développe des GPU destinés à l'intelligence artificielle, capables de rivaliser avec les NVIDIA A100 et H100, mais produits localement. Biren est souvent cité parmi les « quatre petits dragons » chinois du GPU, aux côtés de Moore Threads, MetaX et Enflame. Son modèle phare, le Biren BR100, est un GPU massivement parallèle gravé en 7 nm par TSMC (avant les sanctions américaines). Il embarque 77 milliards de transistors, un bus mémoire HBM2e et affiche des performances proches d'une NVIDIA A100. Une version plus compacte, la BR104, cible les serveurs cloud et les applications IA distribuées. […]

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Tencent contourne légalement les restrictions américaines pour exploiter des GPU NVIDIA

Selon un article du Times of India, Tencent aurait trouvé une solution habile pour accéder à des GPU NVIDIA Blackwell B200, pourtant interdits d'exportation vers la Chine dans le cadre des sanctions américaines. Le géant chinois, propriétaire de WeChat, QQ et de vastes infrastructures cloud, loue désormais la puissance de calcul de près de 15 000 GPU installés dans les centres de données de la société japonaise Datasection, à Osaka. L'astuce est simple : les puces restent physiquement au Japon, où elles sont exploitées par Datasection, mais Tencent y accède à distance pour entraîner ses modèles d'intelligence artificielle et faire tourner ses services cloud. D'un point de vue légal, aucune exportation vers la Chine n'a lieu, ce qui permet de contourner les contrôles américains sans les enfreindre directement. […]

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Avant Noël, Windows à seulement 11 U+20AC ! Activation officielle et support garanti par GVGMall

A l'approche des fêtes de fin d'année, achetez une clé Windows 11 Pro pour 21 U+20AC.Et donc, pourquoi pas un nouvel OS pour Noël ? En plus, vous le savez, Microsoft a officiellement mis fin au support de Windows 10. Il est donc plus que temps de passer à Windows 11. Bonne nouvelle : grâce à notre partenaire GVGMALL, pas besoin de vous ruiner pour obtenir une licence authentique, ni d'endurer le fameux message Windows non activé en bas de l'écran. Pourquoi ? Parce que GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs ultra-avantageux : - Windows 11 dès 21 U+20AC - Licences Office dès 27 U+20AC Avec le code promo CCVIP, profitez en plus de -30 % de réduction sur vos achats. Et malin : pour économiser quelques euros supplémentaires, vous pouvez aussi acheter une licence Windows 10 puis faire l'upgrade gratuit vers Windows 11. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Voici les meilleurs deals disponibles chez GVGMALL : - Windows 11 Pro OEM Lifetime - 21 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime - 16 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime - 19 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime - 13 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime - 27 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime - 52 U+20AC - Windows 10 Enterprise LTSC 2021 - 11 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 - 34 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 - 52 U+20AC - Windows 11 Home + Office 2021 Pro Plus - 88 U+20AC - Windows 11 Pro OEM + Office 2021 Pro Plus - 87 U+20AC […]

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Les montages de noël : Miku-Core V2 Neon pare AK Mod

Pendant les vacances de Noël, l'actualité se fait souvent plus calme. Plutôt que de lever le pied, on a décidé d'en profiter pour vous en mettre plein les yeux. Couleurs, lumières, idées originales et mods spectaculaires seront au rendez-vous pour illuminer cette période de fêtes. Pendant une semaine entière, on vous proposera un mod par jour, histoire de garder la magie bien vivante entre deux chocolats et quelques guirlandes. Bref, un rendez-vous quotidien, un mod chaque jour, et une seule règle : se faire plaisir. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir une tabnle de mixage de la Republic Of Gamer version Hatsune Miku Edition avec le Miku-Core V2 Neon par AK Mod : […]

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Intel donne des nouvelles de sa Fab 52 en Arizona, au travers d'un reportage signé CNBC

CNBC a pu visiter la nouvelle usine Fab 52 d'Intel, située à Ocotillo, dans la ville de Chandler, en Arizona, au cœur d'un vaste complexe industriel regroupant plusieurs fabs du fondeur américain. Cet ensemble, l'un des plus grands sites de production de semi-conducteurs au monde, représente le centre névralgique des activités d'Intel aux États-Unis. Le reportage montre une usine flambant neuve, en activité continue, qui fabrique déjà ses premières puces en technologie Intel 18A, le nœud de gravure d'environ 1,8 nm, présenté comme aussi avancé que le 2 nm de TSMC. Le reportage montre une usine pleinement opérationnelle, équipée de machines EUV d'ASML. Fab 52 peut traiter plus de 10 000 wafers par semaine, et Intel prévoit d'y installer au moins 15 systèmes EUV sur l'ensemble du site d'Ocotillo. Le premier produit sorti de cette ligne est le processeur Intel Core Ultra 3, attendu dans les PC dès janvier. […]

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NVIDIA publie un Hotfix 591.67

NVIDIA propose un Hotfix 591.67, le but est évidemment de corriger, en urgence, des soucis rencontrés par certains utilisateurs, lors de l'utilisation du mode couleur SDR, du Digital Vibrance et l'impossibilité de désactiver les notifications du NVIDIA Control Panel. Le Hotfix est téléchargeable ici et il est basé sur le récent driver GeForce Game Ready 591.59 WHQL, si vous ne rencontrez pas de souci avec ce dernier, il semble cohérent de rester sur cette version. […]

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