'Ghost' That Haunts South Carolina Rail Line May Be Caused By Tiny Earthquakes
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Le nationalisme hindou, la misogynie et la manosphère ont été identifiés comme terreaux propices à l’extrémisme, selon un rapport commandé par la ministre de l’Intérieur britannique après les émeutes qui ont secoué le pays à l’été 2024.
Pour lutter contre l’extrêmisme, rapporte the Guardian, le document enjoint les autorités à adopter une « approche basée sur le comportement et idéologiquement agnostique », plutôt que de concentrer ses forces sur des « idéologies préoccupantes ».
Sous le titre « misogynie extrême », le rapport indique qu’une « une sous-culture numérique appelée « manosphère » contient une quantité importante de contenus directement axés sur la misogynie, parfois liés à des tropes d’extrême droite. La « manosphère » englobe un large éventail de communautés, parmi lesquelles les militants pour les droits des hommes, des pick-up artists [« artistes de la drague », ndlr], des Men Going Their Own Way [MGTOW, « hommes qui suivent leur propre voie »] et des « célibataires involontaires » [« incels »] ».
Le rapport pointe « un chevauchement entre certains récits de la manosphère, en particulier les croyances incel, et l’idéologie d’extrême droite, notamment les récits racistes. La mondialisation et le multiculturalisme, qui sont au centre de nombreux récits de l’extrême droite, sont souvent accusés d’être des facteurs de célibat chez les « célibataires ». »
Le document souligne par ailleurs que les idéologies d’extrême-droite, « en particulier sur l’immigration et le maintien de l’ordre » (toute une partie des discours britanniques de l’été 2024 tournaient au tour d’un traitement policier supposé être à deux vitesses), « s’infiltrent » dans la culture dominante.
C’est pour faire face à cette « mainstreamisation » de thèses violentes et assurer une « pérennité » de l’approche de l’extrémisme que le document appelle à se baser sur des « comportements et des activités préoccupantes » plutôt que sur la lutte contre des idéologies spécifiques.
Le nationalisme hindou, la misogynie et la manosphère ont été identifiés comme terreaux propices à l’extrémisme, selon un rapport commandé par la ministre de l’Intérieur britannique après les émeutes qui ont secoué le pays à l’été 2024.
Pour lutter contre l’extrêmisme, rapporte the Guardian, le document enjoint les autorités à adopter une « approche basée sur le comportement et idéologiquement agnostique », plutôt que de concentrer ses forces sur des « idéologies préoccupantes ».
Sous le titre « misogynie extrême », le rapport indique qu’une « une sous-culture numérique appelée « manosphère » contient une quantité importante de contenus directement axés sur la misogynie, parfois liés à des tropes d’extrême droite. La « manosphère » englobe un large éventail de communautés, parmi lesquelles les militants pour les droits des hommes, des pick-up artists [« artistes de la drague », ndlr], des Men Going Their Own Way [MGTOW, « hommes qui suivent leur propre voie »] et des « célibataires involontaires » [« incels »] ».
Le rapport pointe « un chevauchement entre certains récits de la manosphère, en particulier les croyances incel, et l’idéologie d’extrême droite, notamment les récits racistes. La mondialisation et le multiculturalisme, qui sont au centre de nombreux récits de l’extrême droite, sont souvent accusés d’être des facteurs de célibat chez les « célibataires ». »
Le document souligne par ailleurs que les idéologies d’extrême-droite, « en particulier sur l’immigration et le maintien de l’ordre » (toute une partie des discours britanniques de l’été 2024 tournaient au tour d’un traitement policier supposé être à deux vitesses), « s’infiltrent » dans la culture dominante.
C’est pour faire face à cette « mainstreamisation » de thèses violentes et assurer une « pérennité » de l’approche de l’extrémisme que le document appelle à se baser sur des « comportements et des activités préoccupantes » plutôt que sur la lutte contre des idéologies spécifiques.
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