Vue lecture

Beelink EQ14 : un autre MiniPC annoncé sous Intel N150

Avec cette gamme EQ, le constructeur propose des machines originales qui proposent une gamme de performances suffisantes pour remplir le cahier des charges d’un PC familial. Le Beelink EQ14 n’échappe pas à cette règle et proposera donc un processeur Intel Twin Lake N150 pour combler tous les besoins d’un MiniPC grand public.

Beelink n’est pas le premier à annoncer une machine avec cette seconde salve de processeurs Alder Lake-N. Les futurs Asus NUC 14 Essential ont déjà vendu la mèche de l’existence des Intel N150 et N250 ainsi que des Core 3 N350 et Core 3 N355. Si pour le moment, on ne sait pas grand-chose de ces puces, il semble évident qu’Intel cherche ici à pousser son avantage sur ce segment des puces à très faible consommation énergétique.

Sur le Beelink EQ14 on découvre l’Intel N150, un processeur quadruple cœur et sans hyperthreading qui ne prendra pas en charge la mémoire vive multicanal. Cette version est tout juste 200 MHz plus rapide que le N100 actuel pour la partie calcul avec 3.6 GHz de fréquence. Il est également 250 MHz plus rapide pour la partie graphique pour atteindre 1 GHz toujours sous 24 EU. Le PDT de 6 watts de base est conservé. Le processeur peut toujours varier de 6 watts à 25 watts au maximum en TDP. En l’état, il est difficile de considérer vraiment ce N150 autrement que comme une version optimisée du N100. Il s’agit bel et bien d’un N100 boosté aux hormones. Rien qui ne justifiera vraiment un changement depuis les anciennes puces, mais qui pourrait enfoncer le clou de la qualité de cette offre sur le marché MiniPC entrée de gamme.

Le MiniPC proposera donc un slot SoDIMM  de DDR4 évolutif et deux ports de stockage M.2 2280. Le premier sera en NVMe PCIe 3.0 x4 et le second limité à un PCIe 3.0 X1, les deux seront compatibles SATA3. Un port M.2 2242 accueillera une carte Wi-Fi pour le moment non détaillée.

Parmi les points clé de cette gamme EQ, on retrouvera un châssis pensé pour fonctionner le plus silencieusement possible et notamment l’intégration de l’alimentation dans le châssis. L’engin n’aura besoin que de son câble d’alimentation pour être fonctionnel partout. Beelink annonce un fonctionnement à 32 dB, autrement dit un engin inaudible pour le commun des mortels dans la plupart des cas.

On retrouve une connectique des plus classique avec en façade un port USB 3.2 Type-A, un USB 3.2 Type-C et un jack audio combo 3.5 mm. Sur la partie arrière, deux USB 3.2 Type-A, un USB 2.0 Type-A, une double sortie HDMI, et deux ports Ethernet Gigabit. Comme ses prédécesseurs, ce modèle propose un réveil Wake On Lan et une reprise automatique après une coupure de courant et n’aura pas droit à une accroche VESA.

Le Beelink EQ14 mesure 12.6 cm de large comme de profondeur et 3.9 cm d’épaisseur. Bref, rien de révolutionnaire, mais un engin qui devrait correspondre à ce que la plupart des utilisateurs demandent à un PC classique aujourd’hui. Il est annoncé à moins de 200€ HT sur le site de Beelink en importation dans une version 16/500 Go. Mais il s’agit d’une précommande, les machines ne seront pas expédiées avant la fin du mois. L’engin devrait également apparaitre rapidement sur Amazon.

Asus NUC 14 Essential : la nouvelle gen Intel N en approche

Minimachines.net en partenariat avec Geekbuying.com
Beelink EQ14 : un autre MiniPC annoncé sous Intel N150 © MiniMachines.net. 2024.

Bluesky est-il décentralisé ?

Décentralisation quantique
Bluesky est-il décentralisé ?

Bluesky et son protocole AT sont souvent décrits comme décentralisés, à la manière de Mastodon. Mais est-ce bien le cas ? La question fait débat.

Bluesky est actuellement sous les feux des projecteurs. L’effet boule de neige semble enclenché et on peut voir un nombre croissant de comptes importants partir de X pour des cieux plus cléments. Chez Science, on lit la même chose au sujet de la communauté scientifique.

Bluesky attire pour plusieurs raisons, en plus du critère classique de nouvel horizon. D’une part, des fonctions de blocage et de modération nettes et précises. D’autre part, l’affichage chronologique par défaut des publications, loin des algorithmes poussant à l’engagement. Et que cet engagement se fasse sur les impressions de publicités ou sur les réactions de comptes Premium n’y change rien.

Que sait-on de Bluesky ? C’était initialement un projet incubé chez Twitter par Jack Dorsey en personne. Le fondateur de Twitter souhaitait tester l’idée d’un protocole open source pour un réseau de micro-blogging. Cette idée a accouché du protocole AT, qui est effectivement open source, sous double licence Apache 2.0 et MIT. Jack Dorsey, lui, a quitté l’entreprise en mai.

Ce protocole a été pensé initialement pour permettre un fonctionnement décentralisé et fédéré, comme le propose Mastodon. Mais peut-on dire que Bluesky est réellement décentralisé ? La réponse n’est pas si simple.

Un serveur, un relai et une vue entrent dans un bar

Lorsque l’on parle de Bluesky, on évoque le réseau dans son intégralité. Mais ce réseau se compose en fait de trois parties, comme l’entreprise l’explique dans sa documentation : les serveurs, les relais et les vues d’applications.

Les serveurs constituent les réservoirs de données personnelles. Un utilisateur peut y stocker toutes ses informations, dont ses publications et tout ce qui sert à l’identifier (nom de connexion, mots de passe, clés cryptographiques) ou encore la liste des personnes suivies. Les PDS (Personal Data Server) gèrent également la mise en relation avec les services en fonction des requêtes. Il peut y avoir autant de PDS que l’on souhaite et tout le monde peut en créer un. En théorie.

Sur les relais en revanche, tout change. Leur mission est de parcourir tous les PDS, d’agréger et indexer le contenu pour en produire un énorme flux unique de données en streaming, souvent appelé firehose dans le jargon. Ce flux est ensuite mis à disposition de tout l’écosystème atproto (protocole AT). Les relais agissent comme un moteur de recherche.

Quant aux vues d’application (App View), elles constituent la face visible de l’iceberg. Une App View est ce qui permet d’afficher des informations exploitables à partir du flux agrégé. Elle réalise un assemblage à partir des critères définis aussi bien par la requête que les différents paramètres. Par exemple, afficher le flux personnel ou les résultats d’une recherche, tout en masquant certains résultats, par exemple provenant des personnes bloquées.

Que peut-on faire soi-même ?

Certaines actions peuvent être entreprises par les utilisateurs, du moins sur le papier. Monter un serveur personnel est le plus simple, Bluesky fournissant de nombreuses informations sur GitHub et jusqu’à un conteneur pour simplifier l’installation. Mais, comme son nom l’indique, un serveur de données personnelles ne peut héberger que ses propres informations. Il n’est pas question de créer une instance comme le fait Mastodon. On ne peut y inviter personne.

Sur les relais, c’est nettement plus compliqué. Dans sa documentation, Bluesky explique que tout le monde peut en héberger un, mais que c’est « un service assez gourmand en ressources ». Gourmand comment ? Très vorace en fait, car les relais arpentent l’intégralité des PDS pour en indexer le contenu. Certaines estimations tablent sur un minimum de 4,5 To à l’installation et d’une croissance minimale de 18 Go par jour pour les seules données JSON, sans parler des données brutes, beaucoup plus volumineuses, d’un facteur 10 selon Gavin Anderegg. Ce dernier rappelle d’ailleurs que ces chiffres ne tiennent pas compte du récent emballement dans les inscriptions sur Bluesky.

Concernant les vues d’applications, techniquement tout le monde peut en développer. Dans l’idée d’ailleurs, Bluesky parle de vue pour évoquer un prisme permettant de représenter des données depuis un flux brut. Si la seule utilisation actuelle est faite dans le cadre d’un service de micro-blogging, le protocole AT peut a priori être utilisé pour tout et n’importe quoi.

Pour le reste, tout est du ressort strict de l’entreprise. Bluesky contrôle notamment deux éléments importants : les DID:PLC et les DM. Les premiers représentent, dans les grandes lignes, les identifiants des utilisateurs. Les seconds sont les messages privés, qui ne sont pas pris en charge par le protocole AT. Les données correspondantes ne sont donc pas présentes dans les PDS, mais gérées directement par Bluesky de manière séparée.

Bluesky n’est ni fédéré, ni décentralisé… pour l’instant

Le protocole AT a été pensé pour être décentralisé. Dans la pratique, Bluesky ne l’est pas. La possibilité de créer facilement un PDS n’est qu’un petit élément parmi d’autres. Même si l’on peut créer des relais, leur mise en œuvre est complexe et sans doute bien trop onéreuse en stockage et bande passante pour être intéressante.

On ne peut pas dire que Bluesky soit actuellement décentralisé, et encore moins fédéré. Il y a bien un centre, et il est géré par l’entreprise Bluesky. Sans son relai, rien ne fonctionne. Chaque serveur de données personnelles ne sert ainsi que comme petit réservoir pour les informations d’une personne, incapable de fonctionner par lui-même.

Pour Gavin Anderegg, ce n’est ni bien ni mauvais : ce n’est que le fonctionnement actuel, qui pourrait changer. Il estime en effet que l’équipe en charge du réseau se dirige petit à petit vers la décentralisation, mais que la tâche reste immense au vu des choix techniques. En outre, il souligne la grande ouverture du protocole, qui permet de voir l’intégralité du flux, puisque toutes les informations y sont publiques.

Cet aspect du réseau est d’ailleurs moins connu et peut avoir toute son importance : rien de ce que vous publiez sur Bluesky n’est privé. On peut s’en rendre compte facilement en allant dans les options de vie privée et sécurité. Là, un réglage propose de masquer le compte aux personnes non connectées à Bluesky. Cependant, on est averti : « Bluesky est un réseau ouvert et public. Ce paramètre limite uniquement la visibilité de votre contenu sur l’application et le site Web de Bluesky, et d’autres applications peuvent ne pas respecter ce paramètre. Votre contenu peut toujours être montré aux personnes non connectées par d’autres applications et sites Web ». Les profils privés n’existent pas sur le réseau. Une page résume la situation sur les données publiques et privées.

The Growth Rate For Mobile Internet Subscribers Has Stalled Across the World

An anonymous reader shares a report: A recent survey from Global System for Mobile Communications Association Intelligence (GSMA), the research wing of a U.K.-based organization that represents mobile operators around the world, found that 4.6 billion people across the globe are now connected to mobile internet -- or roughly 57% of the world's population. Now, the rate of new mobile internet subscriber growth is slowing. From 2015 to 2021, the survey consistently found over 200 million coming online through mobile devices around the world each year. But in the last two years, that number has dropped to 160 million. Rest of World analysis of that data found that a number of developing countries are plateauing in the number of mobile internet subscribers. That suggests that in countries like Pakistan, Bangladesh, Nigeria, and Mexico, the easiest populations to get online have already logged on, and getting the rest of the population on mobile internet will continue to be a challenge. GSMA collects data by surveying a nationally representative sample of people in each country, and then it correlates the results with similar studies. [...] In countries including China, the U.S., and Singapore, a high share of the population is already connected to mobile internet -- 80%, 81%, and 93%, respectively. So itâ(TM)s no surprise that the rate of mobile internet subscriptions has slowed. But the rate of new users has also slowed in countries including Bangladesh, Nigeria, and Pakistan -- where only 37%, 34%, and 24% of the population currently use mobile internet.

Read more of this story at Slashdot.

Steam Tightens Rules on Game Season Passes

Valve's Steam platform is implementing stricter regulations for season pass sales, requiring detailed content descriptions and specific release windows for downloadable content (DLC), according to SteamDB creator Pavel Djundik. The company will restrict season pass offerings to established partners with proven track records and may issue refunds if developers miss deadlines or deliver unsatisfactory content. Developers must outline DLC components and commit to three-month launch windows, with one possible delay allowed. "If you aren't ready to clearly communicate about the content included in each DLC AND when each DLC will be ready for launch, you shouldn't offer a Season Pass on Steam," Valve stated.

Read more of this story at Slashdot.

OpenAI Accidentally Deleted Potential Evidence in New York Times Copyright Lawsuit

An anonymous reader shares a report: Lawyers for The New York Times and Daily News, which are suing OpenAI for allegedly scraping their works to train its AI models without permission, say OpenAI engineers accidentally deleted data potentially relevant to the case. Earlier this fall, OpenAI agreed to provide two virtual machines so that counsel for The Times and Daily News could perform searches for their copyrighted content in its AI training sets. In a letter, attorneys for the publishers say that they and experts they hired have spent over 150 hours since November 1 searching OpenAI's training data. But on November 14, OpenAI engineers erased all the publishers' search data stored on one of the virtual machines, according to the aforementioned letter, which was filed in the U.S. District Court for the Southern District of New York late Wednesday. OpenAI tried to recover the data -- and was mostly successful. However, because the folder structure and file names were "irretrievably" lost, the recovered data "cannot be used to determine where the news plaintiffs' copied articles were used to build [OpenAI's] models," per the letter. "News plaintiffs have been forced to recreate their work from scratch using significant person-hours and computer processing time," counsel for The Times and Daily News wrote.

Read more of this story at Slashdot.

De la RAM DDR5 et un SSD NVMe hautes performances signés Lexar à prix canon

Vous souhaitez booster votre configuration avec des composants dernier cri, en particulier des barrettes de mémoire vive DDR5 et un SSD au format NVMe M.2 de grande capacité ? À l’occasion du Black Friday, Lexar propose des kits premium à prix canon pour tous les heureux possesseurs de cartes mères compatibles. Depuis près de 28 ans, Lexar est l’un des pionniers de la mémoire flash, à tel point que ses premières clés USB "JumpDrive" ont même longtemps été synonymes du format entier. Après s’être spécialisé dans les cartes SD, jusqu’à proposer la première carte du marché offrant une capacité de stockage d’un téraoctet à ce format ou l’une des plus petites cartes mémoire au monde (nCARD), le constructeur s’est également tourné vers les SSD. En décembre 2019, il fut parmi les premiers à proposer un SSD PCIe 4.0 présentant un débit de 7,5 Go/s, un record en la matière à cette date. Depuis juin 2020, Lexar est également entré dans le marché des barrettes de mémoire vive en visant en particulier un public de joueurs et d’utilisateurs exigeants.

Justement MSI brade son Sword 16 HX B14V pour le Black Friday

Actuellement en test dans nos labos, le MSI Sword 16 HX B14V, un laptop proposant un processeur Intel Core i7-14650HX et une carte graphique NVIDIA GeForce RTX 4070 M, est actuellement en promo, passant de 2100 à 1500 U+20AC. Une bonne affaire surtout que, petit spoil du futur test : il travaille silencieusement et au frais. Une affaire à régler en suivant ce lien ou à la source. […]

Lire la suite

MSI Sword 16 HX : RTX 4070 et Core i7 le COMBO gagnant du GAMER ?

Présentation ce jour, sur notre chaine, du MSI Sword 16 HX B14V, un laptop accueillant une carte graphique NVIDIA GeForce RTX 4070 Laptop et un processeur Intel Core i7-14650HX. Il embarque 32 Go de DDR5 cadencés à 5600 MHz et un SSD NVMe de 512 Go. Il est équipé d'une dalle IPS de 16 pouces capable d'atteindre 144 Hz sur une définition FHD+ (1920 x 1200). On retrouve également une webcam de 720p à 30 images par seconde, le WiFi 6 et le Bluetooth 5.3. Un ordinateur portable proposé à 2000 U+20AC, actuellement en promotion à 1500 U+20AC.En partenariat avec GVGMALL: Windows 10 Pro (13U+20AC) : https://biitt.ly/c8V0M Windows 11 Pro (19U+20AC) : https://biitt.ly/7ctfn […]

Lire la suite

Flight Simulator 2024 a laissé ses pilotes cloués au sol

De nombreux pilotes virtuels se sont empressés de tester Flight Simulator 2024, un titre visiblement très attendu, dans les heures qui ont suivi son arrivée sur le tarmac. Cet afflux massif de joueurs, que Microsoft prétend avoir sous-estimé, a causé des embouteillages sur la piste de décollage ; phénomène on ne peut plus banal pour une production de cet envergure qui impose de jouer en ligne... [Tout lire]

☕️ Fin de Windows 10 : Microsoft fait sa pub en plein écran

Comme elle l’avait fait lors de précédentes fins de support, l’entreprise commence à afficher des messages en plein écran pour avertir de la fin prochaine de Windows 10. Le support technique de ce dernier se terminera le 14 octobre 2025. L’éditeur s’y prend à l’avance, mais l’ampleur de la tâche est immense, le système comptant pour environ 60 % du parc Windows aujourd’hui.

Comme on peut le voir chez plusieurs médias anglo-saxons, dont Ars Technica et Neowin, les messages ne sont pas toujours les mêmes. Dans certains cas, les qualités de Windows 11 pour les jeux vidéo sont mises en avant. Pourtant, les deux systèmes sont au coude à coude sur ce terrain. Windows 10 a même l’avantage sur une partie des jeux, comme l’a montré TechSpot dans ses tests en août dernier.

Dans d’autres cas, Microsoft insiste sur les gains de sécurité. Il est vrai qu’en exigeant du matériel beaucoup plus récent, dont une puce TPM 2.0, Windows 11 part sur de meilleures bases. L’éditeur travaille également sur des améliorations importantes, comme nous l’avons signalé dans notre actualité sur la conférence Ignite 2024.

Mais parfois, le panneau plein écran insiste sur la facilité à transiter vers Windows 11, voire fait la promotion des PC Copilot+. Il s’agit donc d’une publicité. On trouve en conséquence de nombreux messages agacés sur X, voire de franche colère.

Ces panneaux, en plus d’être en plein écran, flirtent avec le dark pattern. Ils mettent en avant un bouton bleu « En apprendre plus », tandis que « Me rappeler plus tard » est dans un bouton blanc sur fond blanc. En outre, ils ne font pas mention de l’option payante pour prolonger le support de Windows 10. Microsoft a en effet annoncé récemment que l’on pourrait payer 30 dollars pour une année supplémentaire de correctifs de sécurité.

Test Creative Sound Blaster GS5 : petit prix pour grand confort

Creative vient de sortir une nouvelle barre de son abordable pour setup de bureau et TV grâce à sa télécommande et son entrée optique, tout en restant très abordable : comptez 70€ pour ce modèle Sound Blaster GS5. De quoi sonoriser un bureau ou une petite TV d’appoint sans se ruiner et sans empiéter sur l’espace disponible puisqu’il n’y a pas de caisson. En plus de sa connectivité très complète (USB, optique, analogique, Bluetooth…), la barre de son profite d’un rétroéclairage RGB. Le combo gagnant pour un rapport qualité-prix imbattable ? On va regarder ça tout de suite dans notre test.

Deviens aussi fourbe que Max pendant tes games avec les manettes SCUF ORBR

Nouveau partenariat pour SCUF, qui vise plus que l'excellence avec des produits sous licence Oracle Red Bull Racing. Bien entendu, ce partenariat va dans les deux sens et nous avons hâte de savoir si d'autres produits suivront, car nous imaginons mal les joueurs esport de l'équipe faire des courses de F1 avec une manette ; mais sait-on jamais... Quoiqu'il en soit, le quidam peut désormais mettre la main sur des manettes Instinct Pro, Reflex et Envision Pro aux couleurs de l'écurie ORBR, soit du bleu et du rouge et quelques marquages plus ou moins discrets. […]

Lire la suite

SK Hynix poursuite sa quête de l’empilement des couches, la barre des 321 atteinte

Nous sommes le jeudi 21 novembre ; en première instance, Pierre Palmade a été condamné à cinq ans de prison, dont deux ferme, tandis que le plan neige-verglas de niveau 2 a été activé en Ile-de-France. SK Hynix se propose de nous sortir de cette atmosphère poudreuse pour nous plonger dans les couches de sa NAND 4D ; la firme sud-coréenne se targue d’avoir amorcé la production de masse de la « première flash NAND 4D 321-high au monde à triple niveau de cellule, d'une capacité de 1 Tb »... [Tout lire]
❌