On a découvert sans surprise que Trump aimait bien s’approprier les choses, en commençant par les renommer. En tous cas il ne déroge pas à la sienne, qu’il estime valoir 25 millions, au bas mot (ou au coup bas, c’est selon).
On a découvert sans surprise que Trump aimait bien s’approprier les choses, en commençant par les renommer. En tous cas il ne déroge pas à la sienne, qu’il estime valoir 25 millions, au bas mot (ou au coup bas, c’est selon).
En avril 2024, Google a rassemblé les deux divisions responsables du matériel Pixel et d’Android sous une même égide : Platforms & Devices. 9to5Mac a appris, via un mémo interne ayant fuité, que l’entreprise venait de proposer un plan de départ volontaire pour les personnes travaillant dans cette nouvelle division, uniquement aux États-Unis.
Google a confirmé à nos confrères que le programme avait bel et bien débuté. On ne connait pas le nombre exact de personnes travaillant dans la section Platforms & Devices, mais il s’agit de l’une des plus importantes chez Google. Elle rassemble en effet des produits aussi divers qu’Android (y compris ses variantes pour Auto, TV, Wear et XR), Chrome, ChromeOS, Google Photos, Google One, Pixel, Fitbit et Nest.
9to5Mac émet l’hypothèse qu’il s’agit d’une conséquence logique à la fusion de l’année dernière. L’énorme division se serait lentement réorganisée et des synergies seraient apparues. Ce plan de départs volontaires serait également une demande d’une partie des employés. Le mémo mentionne les personnes qui ne seraient pas alignées avec les missions ou qui ne s’y retrouveraient pas dans la nouvelle organisation hybride.
Les personnes qui choisiront de partir toucheront une indemnité de départ, dont le montant reste à préciser.
Après le partenariat entre T-Mobile et Starlink pour des SMS, c’est au tour de Vodafone de s’acoquiner avec AST SpaceMobile pour réaliser un appel en vidéo par satellite, depuis une zone non couverte par la téléphonie mobile.
Cette semaine, nous vous expliquions comment fonctionne le Direct-to-Device (ou Direct-to-Cell), c’est-à-dire des communications sur son smartphone qui passent par un satellite, sans avoir besoin de modifier la partie matérielle. Starlink propose déjà des SMS et se prépare à lancer des appels. Pour rappel, l‘Europe ne veut pas rester sur le bord de la route et annonce un partenariat avec Viasat.
Un nouveau joueur vient se joindre à la partie : l’opérateur britannique Vodafone. Il revendique le « premier appel vidéo spatial au monde à partir d’une zone sans couverture à l’aide d’un téléphone mobile standard et de satellites commerciaux ». Une manière musclée de répondre à Starlink de SpaceX (nous y reviendrons).
Vodafone enfonce le clou : « Il s’agit de la seule technologie satellitaire de ce type conçue pour offrir une expérience haut débit mobile complète et qui ouvre la voie à une connectivité numérique universelle ». La promesse est la même que celle de Starlink.
L’opérateur utilise les satellites BlueBird d’AST SpaceMobile. Une société qu’il connait bien puisqu’il revendique en être « devenu l’un des principaux investisseurs » en 2019 suite à une levée de fonds (110 millions de dollars au total). Ces satellites sont au nombre de cinq pour le moment et se situent à 700 km d’altitude environ, selon ce document de 2022.
« Chacun dispose d’un réseau de communications mesurant 64 m² pour établir une connectivité directement avec les téléphones portables via des fréquences standard 3GPP, et en partenariat avec les principaux fournisseurs de services cellulaires du monde entier ».
On peut voir sur l’image ci-dessous les « antennes » des satellites une fois qu’elles sont déployées. La société est encore loin de pouvoir proposer une couverture mondiale puisque, selon ce document de la FCC, elle prévoit une constellation de 243 satellites sur 16 plans orbitaux.
Abel Avellan, CEO d’AST SpaceMobile ne manque pas de superlatifs lorsqu’il s’agit de parler de cette expérience avec Vodafone : « Ensemble, nous avons réalisé plusieurs premières mondiales en matière de connectivité haut débit basée dans l’espace, notamment le tout premier appel vocal basé dans l’espace, le premier téléchargement en 4G à plus de 10 Mbps et le tout premier appel vocal 5G ». L’entreprise espère même atteindre jusqu’à 120 Mb/s à l’avenir.
Vodafone compte continuer de mener des tests ce printemps, puis l’opérateur « introduira progressivement le service haut débit direct-to-smartphone sur les marchés européens plus tard cette année et en 2026 ».
AST SpaceMobile propose ci-dessous une photo du dessous (la face orientée vers la Terre une fois déployé dans l’espace) d’un de ses satellites. Il s’agissait du démonstrateur BlueWalker 3, précurseur de la série BlueBird. La surface était la même avec 64 m² environ.
L’opérateur britannique ne donne pas de plan ni de tarif pour la commercialisation de ses offres. Il explique sur cette page qu’il sera possible de souscrire à un pass journalier ou un abonnement au mois, en plus de son forfait classique. Un abonnement « standalone » est aussi au programme pour utiliser en toutes circonstances BlueBird. AST SpaceMobile vise ainsi tout type de population, de ceux qui ont des besoins ponctuels ou souhaitent avoir une solution de secours, à ceux qui sont dans des zones blanches.
AST SpaceMobile revendique être « le premier et le seul réseau haut débit mobile dans l’espace qui fonctionne directement avec des smartphones standard, non modifiés, pour plusieurs utilisateurs. Cela va au-delà d’autres constellations de satellites en orbite terrestre basse qui n’ont jusqu’à présent facilité que la messagerie texte ».
Starlink n’est pas cité, mais c’est évidemment la cible. Ironie du sort, les satellites BlueBird ont été lancés en septembre 2024 avec une fusée… Falcon 9 de SpaceX. Rappelons que Starlink a déjà réalisé un appel vidéo en mars de l’année dernière, lors d’un test après la mise en orbite des premiers satellites compatibles avec cette technologie.
En avril 2024, Google a rassemblé les deux divisions responsables du matériel Pixel et d’Android sous une même égide : Platforms & Devices. 9to5Mac a appris, via un mémo interne ayant fuité, que l’entreprise venait de proposer un plan de départ volontaire pour les personnes travaillant dans cette nouvelle division, uniquement aux États-Unis.
Google a confirmé à nos confrères que le programme avait bel et bien débuté. On ne connait pas le nombre exact de personnes travaillant dans la section Platforms & Devices, mais il s’agit de l’une des plus importantes chez Google. Elle rassemble en effet des produits aussi divers qu’Android (y compris ses variantes pour Auto, TV, Wear et XR), Chrome, ChromeOS, Google Photos, Google One, Pixel, Fitbit et Nest.
9to5Mac émet l’hypothèse qu’il s’agit d’une conséquence logique à la fusion de l’année dernière. L’énorme division se serait lentement réorganisée et des synergies seraient apparues. Ce plan de départs volontaires serait également une demande d’une partie des employés. Le mémo mentionne les personnes qui ne seraient pas alignées avec les missions ou qui ne s’y retrouveraient pas dans la nouvelle organisation hybride.
Les personnes qui choisiront de partir toucheront une indemnité de départ, dont le montant reste à préciser.
Après le partenariat entre T-Mobile et Starlink pour des SMS, c’est au tour de Vodafone de s’acoquiner avec AST SpaceMobile pour réaliser un appel en vidéo par satellite, depuis une zone non couverte par la téléphonie mobile.
Cette semaine, nous vous expliquions comment fonctionne le Direct-to-Device (ou Direct-to-Cell), c’est-à-dire des communications sur son smartphone qui passent par un satellite, sans avoir besoin de modifier la partie matérielle. Starlink propose déjà des SMS et se prépare à lancer des appels. Pour rappel, l‘Europe ne veut pas rester sur le bord de la route et annonce un partenariat avec Viasat.
Un nouveau joueur vient se joindre à la partie : l’opérateur britannique Vodafone. Il revendique le « premier appel vidéo spatial au monde à partir d’une zone sans couverture à l’aide d’un téléphone mobile standard et de satellites commerciaux ». Une manière musclée de répondre à Starlink de SpaceX (nous y reviendrons).
Vodafone enfonce le clou : « Il s’agit de la seule technologie satellitaire de ce type conçue pour offrir une expérience haut débit mobile complète et qui ouvre la voie à une connectivité numérique universelle ». La promesse est la même que celle de Starlink.
L’opérateur utilise les satellites BlueBird d’AST SpaceMobile. Une société qu’il connait bien puisqu’il revendique en être « devenu l’un des principaux investisseurs » en 2019 suite à une levée de fonds (110 millions de dollars au total). Ces satellites sont au nombre de cinq pour le moment et se situent à 700 km d’altitude environ, selon ce document de 2022.
« Chacun dispose d’un réseau de communications mesurant 64 m² pour établir une connectivité directement avec les téléphones portables via des fréquences standard 3GPP, et en partenariat avec les principaux fournisseurs de services cellulaires du monde entier ».
On peut voir sur l’image ci-dessous les « antennes » des satellites une fois qu’elles sont déployées. La société est encore loin de pouvoir proposer une couverture mondiale puisque, selon ce document de la FCC, elle prévoit une constellation de 243 satellites sur 16 plans orbitaux.
Abel Avellan, CEO d’AST SpaceMobile ne manque pas de superlatifs lorsqu’il s’agit de parler de cette expérience avec Vodafone : « Ensemble, nous avons réalisé plusieurs premières mondiales en matière de connectivité haut débit basée dans l’espace, notamment le tout premier appel vocal basé dans l’espace, le premier téléchargement en 4G à plus de 10 Mbps et le tout premier appel vocal 5G ». L’entreprise espère même atteindre jusqu’à 120 Mb/s à l’avenir.
Vodafone compte continuer de mener des tests ce printemps, puis l’opérateur « introduira progressivement le service haut débit direct-to-smartphone sur les marchés européens plus tard cette année et en 2026 ».
AST SpaceMobile propose ci-dessous une photo du dessous (la face orientée vers la Terre une fois déployé dans l’espace) d’un de ses satellites. Il s’agissait du démonstrateur BlueWalker 3, précurseur de la série BlueBird. La surface était la même avec 64 m² environ.
L’opérateur britannique ne donne pas de plan ni de tarif pour la commercialisation de ses offres. Il explique sur cette page qu’il sera possible de souscrire à un pass journalier ou un abonnement au mois, en plus de son forfait classique. Un abonnement « standalone » est aussi au programme pour utiliser en toutes circonstances BlueBird. AST SpaceMobile vise ainsi tout type de population, de ceux qui ont des besoins ponctuels ou souhaitent avoir une solution de secours, à ceux qui sont dans des zones blanches.
AST SpaceMobile revendique être « le premier et le seul réseau haut débit mobile dans l’espace qui fonctionne directement avec des smartphones standard, non modifiés, pour plusieurs utilisateurs. Cela va au-delà d’autres constellations de satellites en orbite terrestre basse qui n’ont jusqu’à présent facilité que la messagerie texte ».
Starlink n’est pas cité, mais c’est évidemment la cible. Ironie du sort, les satellites BlueBird ont été lancés en septembre 2024 avec une fusée… Falcon 9 de SpaceX. Rappelons que Starlink a déjà réalisé un appel vidéo en mars de l’année dernière, lors d’un test après la mise en orbite des premiers satellites compatibles avec cette technologie.
Comment souvent depuis le lancement des cartes graphiques RTX 3000, il est souvent difficile de se procurer une carte Day One. Et ce matin, quand on regarde les stocks dans les boutiques que nous avions listées hier pour choper de la RTX 5080 ou de la RTX 5090, eh bien aucune carte n'est disponible. Il faut dire qu'hier tout a disparu en quelques minutes et notamment les quelques modèles au MSRP. Mais même les modèles plus chers ont été dévalisés. Mais que l'on se rassure, il est tout à fait possible de trouver une RTX 5080 ou une RTX 5090 en stock aujourd'hui. […]
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GeForce NOW fête ses 5 ans en février, célébrant une demi-décennie d'innovation qui a transformé la façon dont les joueurs profitent de leurs titres préférés sur tous leurs appareils. Un immense merci à notre incroyable communauté qui nous accompagne depuis le début de cette aventure : du lancement officiel en 2020 à l'intégration de plus de 2 000 jeux dans notre bibliothèque de cloud gaming aujourd'hui. Nous ne nous contenterons pas de souffler les bougies et de déguster du gâteau ! Tout au long du mois de février, nous ajouterons un nouveau titre AAA au cloud chaque semaine, permettant aux membres d'y jouer avec des performances optimales sur tous leurs appareils. Au total, 17 jeux rejoindront le cloud. Parmi les plus attendus : Kingdom Come: Deliverance II de Warhorse Studios, Avowed d'Obsidian Entertainment et Sid Meier's Civilization VII de 2K Games, avec encore plus de révélations à venir lors du GFN Thursday. […]
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Il y a quelques jours, plusieurs personnes remontaient quelques problèmes avec le dernier système Q-Release Slim installé par ASUS sur les cartes mères de dernières générations Intel et AMD. Sur le papier, le principe du Q-Release Slim est très intéressant puisqu'il permet de se passer d'un appui sur système de verrouillage pour retirer la carte. Celui-ci est de plus en plus difficile à atteindre avec des cartes graphiques toujours plus imposantes, et ASUS a trouvé une solution originale qui demande de tirer doucement la carte depuis l'avant pour la déverrouiller. Plus facile sur le papier que le Q-Release classique avec bouton déporté, mais certaines personnes ont remonté des dégâts physiques sur les connecteurs des cartes graphiques. […]
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Alphacool International GmbH, basé à Braunschweig, est un pionnier de la technologie par refroidissement liquide pour PC depuis plus de 20 ans. Avec l'un des catalogues les plus complets de l'industrie, Alphacool élargit aujourd'hui sa gamme avec le lancement des nouveaux blocs de refroidissement Core GPU pour les dernières séries Nvidia Geforce RTX 5080 et 5090. Les blocs de refroidissement pour GPU ont été entièrement repensés. Des ajustements précis de l'espacement entre le refroidisseur et le PCB, ainsi que des simulations optimisées du flux d'eau et des tests pratiques approfondis ont permis d'apporter des améliorations significatives sur la base du refroidisseur et à la plaque de jet. Ces améliorations garantissent des performances de refroidissement maximales pour la dernière génération des Nvidia Geforce RTX. Les blocs de refroidissement pour GPU sont dotés d'une base en cuivre usinée avec précision et d'un revêtement chromé de haute qualité pour une durabilité exceptionnelle et une surface lisse. Le design est complété par des raccords en laiton robustes avec un couvercle en nylon, garantissant une sécurité et une fiabilité maximales. […]
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Que voilà une annonce très surprenante de par son format ! Un post de quelques caractères sur les réseaux sociaux, et voilà que nous avons une information comme quoi Tom Clancy's The Division 2 aura le droit, cette année sans plus de précision, un DLC dénommé Battle for Brooklyn. Et une image, histoire de faire patienter un peu. Agents! We are heading back to New York. The Battle for Brooklyn DLC will be launching this year. Here's a sneak peekfor your eyes only! et#128064; C'est court, mais c'est comme ça... Au moins, on peut se dire que les mises à jour déployées régulièrement ne sont qu'une partie visible régulièrement du travail réalisé par les équipes derrière le jeu, et que celui-ci est donc bien en vie en plus des traditionnelles saisons. […]
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Nous n'évoquons que rarement les jeux offerts sur les différentes consoles, mais nous ne pouvions passer à côté de cette information : Alan Wake Remastered est actuellement offert sur Xbox. Pour en profiter, il semble falloir magouiller un peu et réclamer dans un premier temps Alan Wake 2 en version de démonstration, pour ensuite pouvoir profiter du bouton gratuit pour Alan Wake Remastered. […]
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Les choses étaient claires depuis un petit moment : Microsoft n'a désormais plus de limite concernant le portage des jeux exclusifs Xbox sur les PlayStation et le montre une nouvelle fois en annonçant que Forza Horizon 5 sortira au printemps sur PS5. Une petite bombe lâchée via un simple communiqué de presse qui peut laisser songeur pour les autres titres, ou franchises, emblématiques de la marque : aurons-nous le droit à Halo par exemple ? Avec du cross-play comme cela va être le cas pour le célèbre jeu de course automobile ? Plus rien ne semble désormais impossible... […]
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Fin de semaine discrète chez Amazon pour les membres Prime, qui n'ont que trois jeux à récupérer sur le service Prime Gaming. Et aucun n'est proposé via la launcher maison ! On sortira donc les comptes GOG et Epic Games Store pour en profiter. […]
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Il y a un an tout juste, HPE bouclait un accord définitif portant sur l’acquisition de Juniper pour la modique somme de 14 milliards de dollars. La finalisation était attendue pour fin 2024 ou début 2025. Des bruits de couloir se sont fait entendre il y a quelques semaines sur la volonté des autorités américaines de bloquer le rachat.
C’est maintenant officiel : « le ministère américain de la Justice a intenté une action en justice pour empêcher le géant de la technologie d’entreprise HPE d’acquérir Juniper Networks », comme le rapporte TechCrunch. La plainte se trouve par là.
Le ministère de la Justice explique que ce rachat « consoliderait le marché des équipements sans fil pour les entreprises de trois grands fournisseurs – HPE, Cisco et Juniper – à deux ».
Antonio Neri, patron de HPE affirme qu’il va défendre « vigoureusement » ce projet d’acquisition, rapporte Bloomberg : « Nous allons plaider cela devant les tribunaux parce que nous pensons qu’il n’y a pas d’affaire ici ».
La Commission européenne avait, pour rappel, donné son feu vert sans condition en août. Ce rachat, selon l’institution, « ne poserait aucun problème de concurrence sur aucun des marchés examinés […] L’entité issue de la concentration resterait confrontée à la concurrence d’un large éventail de concurrents, dont des acteurs puissants et bien établis sur chacun des marchés ».
Il y a un an tout juste, HPE bouclait un accord définitif portant sur l’acquisition de Juniper pour la modique somme de 14 milliards de dollars. La finalisation était attendue pour fin 2024 ou début 2025. Des bruits de couloir se sont fait entendre il y a quelques semaines sur la volonté des autorités américaines de bloquer le rachat.
C’est maintenant officiel : « le ministère américain de la Justice a intenté une action en justice pour empêcher le géant de la technologie d’entreprise HPE d’acquérir Juniper Networks », comme le rapporte TechCrunch. La plainte se trouve par là.
Le ministère de la Justice explique que ce rachat « consoliderait le marché des équipements sans fil pour les entreprises de trois grands fournisseurs – HPE, Cisco et Juniper – à deux ».
Antonio Neri, patron de HPE affirme qu’il va défendre « vigoureusement » ce projet d’acquisition, rapporte Bloomberg : « Nous allons plaider cela devant les tribunaux parce que nous pensons qu’il n’y a pas d’affaire ici ».
La Commission européenne avait, pour rappel, donné son feu vert sans condition en août. Ce rachat, selon l’institution, « ne poserait aucun problème de concurrence sur aucun des marchés examinés […] L’entité issue de la concentration resterait confrontée à la concurrence d’un large éventail de concurrents, dont des acteurs puissants et bien établis sur chacun des marchés ».
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