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Reworld Media hallucine et publie n’importe quoi, mais ce n’est pas à cause de l’IA (1/2)

Reborn to be wild
Reworld Media hallucine et publie n’importe quoi, mais ce n’est pas à cause de l’IA (1/2)

En France, des crèches acceptent des poupées « reborn » (hyperréalistes) au détriment de bébés humains, avance un site du groupe Reworld. Il s’agit en fait d’infox et canulars ayant fait le buzz sur TikTok, relayés au premier degré. Contacté, le directeur des activités numériques du groupe aurait « bien voulu que ce soit une hallucination émanant d’une IA », mais nous « certifie qu’aucun article n’a été écrit par de l’IA ».

Premier éditeur de presse magazine français en nombre de journaux détenus, avec plus de 80 marques médias thématiques, Reworld Media est aussi le 3ᵉ groupe média sur le web et les réseaux sociaux. L’entreprise est connue (et régulièrement critiquée) pour racheter des journaux, remplacer ses journalistes par des rédacteurs web spécialistes du référencement (SEO) privilégiant la quantité à la qualité, et substituer les articles d’information des médias qu’il rachète par de la « junk news » et du « brand content ».

Interrogé en octobre dernier au sujet de l’IA, Gautier Normand, son directeur général et co-fondateur, expliquait à ZoneBourse : « Les moteurs d’IA constituent une opportunité pour Reworld ». Il reconnaissait aussi : « Nous utilisons l’IA pour gagner en productivité en interne ». Et précisait dans la foulée qu’ « En revanche, utiliser l’IA pour rédiger des articles serait l’erreur à ne surtout pas commettre… ».

Voire. Mi-novembre, paroledemamans.com (un site du groupe aufeminin, racheté à TF1 par Reworld Media en 2019) a consacré pas moins de 9 articles aux bébés reborn (du nom donné à ces poupées hyperréalistes de bébés) en deux jours. Tous illustrés par des images générées par IA, ces derniers ont interpellé de nombreuses personnes sur les réseaux sociaux.

Il y était en effet question de crèches qui accepteraient des bébés reborn (au détriment de vrais bébés humains), d’une femme ne comprenant pas que son bébé reborn aurait a contrario été refusé dans la crèche où elle voulait le placer, de médecins qui refuseraient d’examiner les bébés reborn ou encore que, même en poussettes, ils ne sauraient être prioritaires à la caisse des grands magasins.

Alerté sur X.com à ce sujet, nous avons donc cherché à remonter le fil de cette histoire abracadabrantesque, et découvert que des infox, rumeurs et canulars à ce sujet avaient effectivement circulé cet été sur TikTok et Facebook. Surtout, parolesdemamans.com s’est contenté de les relayer au premier degré, sans les vérifier, les démentir ni les contextualiser.

En vertu de la loi dite de Brandolini (aphorisme selon lequel « la quantité d’énergie nécessaire pour réfuter des sottises […] est supérieure d’un ordre de grandeur à celle nécessaire pour les produire »), cela nous a pris du temps. Mais également permis de mieux comprendre pourquoi (et comment) Reworld Media recourt à l’IA, et pourquoi, depuis le mois d’octobre, de plus en plus de ses contenus partagent de nombreux traits caractéristiques des sites d’infos en tout ou partie générés par IA (GenAI) que notre enquête-fleuve (24 articles à ce jour) documente depuis des mois.

Les « mamans reborn, ça n’existe pas »


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Asetek sur le point d'être racheté par une société chinoise ?

On le sait depuis un long moment déjà : les choses vont mal chez Asetek. Nous en parlions par exemple dans cette actualité sur H&Co en juin 2024. La firme danoise était la pionnière en matière de watercooling autonome pour CPU (AIO) et en s'était forgé un petit empire bien lucratif grâce à ses n...

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'End-To-End Encrypted' Smart Toilet Camera Is Not Actually End-To-End Encrypted

An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: Earlier this year, home goods maker Kohler launched a smart camera called the Dekoda that attaches to your toilet bowl, takes pictures of it, and analyzes the images to advise you on your gut health. Anticipating privacy fears, Kohler said on its website that the Dekoda's sensors only see down into the toilet, and claimed that all data is secured with "end-to-end encryption." The company's use of the expression "end-to-end encryption" is, however, wrong, as security researcher Simon Fondrie-Teitler pointed out in a blog post on Tuesday. By reading Kohler's privacy policy, it's clear that the company is referring to the type of encryption that secures data as it travels over the internet, known as TLS encryption -- the same that powers HTTPS websites. [...] The security researcher also pointed out that given Kohler can access customers' data on its servers, it's possible Kohler is using customers' bowl pictures to train AI. Citing another response from the company representative, the researcher was told that Kohler's "algorithms are trained on de-identified data only." A "privacy contact" from Kohler said that user data is "encrypted at rest, when it's stored on the user's mobile phone, toilet attachment, and on our systems." The company also said that, "data in transit is also encrypted end-to-end, as it travels between the user's devices and our systems, where it is decrypted and processed to provide our service."

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ASrock DeskSlim X600 : un nouveau MiniPC AMD très évolutif

Le DeskSlim X600 d’ASRock devrait être annoncé au CES 2026, il s’agira d’un MiniPC compact et évolutif dans la lignée des machines du constructeur. Depuis plusieurs années maintenant, la marque propose des DeskMini sur ce même principe sous processeurs Intel et AMD.

Le DeskSlim X600 semble donc être une nouvelle variante de ce concept qui consiste à intégrer un processeur de bureau sur une carte mère sur mesure dans un boitier évolutif. Ici, le choix fait par ASRock a été d’embarquer un socket AM5. L’engin supportera alors les puces AMD Ryzen 7000, 8000 et 9000. La seule contrainte sera de rester dans un TDP de 65 watts maximum. Au-delà de cette dépense thermique, la puce sera sous-exploitée pour la maintenir à une température acceptable. Le système de dissipation devra rester inférieur à 71 mm.

DeskSlim X600

DeskSlim X600

 

Le DeskSlim X600 ressemble beaucoup au DeskMini X600

Autre point clé de cette offre, la possibilité d’embarquer une carte graphique double slot Low-Profile de 20 cm maximum. Cela permettra de proposer dans un châssis compact une solution performante et évolutive. L’utilisateur qui décidera de vendre un rein pour acheter de la mémoire vive l’année prochaine pourra en effet monter quatre barrettes de DDR5 pour un total de 256 Go de RAM. Le stockage sera confié à deux ports M.2 2280. Le premier en NVMe PCIe Gen5 x4 et le second en Gen4 x4. Deux emplacements au format 2,5″ SATA 3.0 seront également disponibles sur le châssis. L’alimentation, enfin, sera confiée à des modèles allant de 240 à 330W ce qui limitera les possibilités techniques en terme de cartes graphiques.

ASRock passe au DeskSlim X600 après plusieirs évolutions du DeskMini X600

ASRock passe au DeskSlim X600 après plusieurs évolutions du DeskMini X600

Le DeskSlim X600 mesurera 23.5 cm de profondeur pour 22 cm de haut et 9.5 cm de large. La connectique liste un nombre important de ports avec, en face avant, un jack audio combo 3.5 mm, un USB 3.2 Gen 1 Type-C, deux USB 3.2 Gen 1 Type-A et deux USB 2.0 Type-A. A l’arrière, on retrouvera un USB4, un port Ethernet 2.5 Gigabit, deux USB 3.2 Gen 1 Type-A et deux USB 2.0 Type-A des sorties HDMI et DisplayPort et un jack audio combo 3.5 mm.

Pas d’informations de prix ni de tarif pour ce DeskSlim X600. Je suppose que ASRock va réserver ces détails pour le CES. Si vous voulez plus d’infos, vous pouvez relire ce billet sur un DeskMini X600. Les engins semblent très proches même si un détail change pas mal la donne : on passe de 2 ports DDR5 pour le Mini à quatre pour le Slim. Probablement pour séduire des utilisateurs d’IA.

ASRock DeskMini X600/USB4 et DeskMini B860

Source : NotebookCheck

ASrock DeskSlim X600 : un nouveau MiniPC AMD très évolutif © MiniMachines.net. 2025

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Siège Flexispot C7 Air Pro : une bonne proposition qui ne va pas au bout des choses

Après le test du bureau assis-debout E7 Flow de Flexispot, on s’attaque aujourd’hui au C7, siège ergonomique de la marque. La proposition sur le papier est attrayante : un siège ergonomique aux features poussées pour un prix relativement contenu. Les sièges ergonomiques des marques haut de gamme réputées telles que Herman Miller ou Steelcase sont excellents, mais ils sont également connus pour leur ticket d’entrée très (très) élevé. Pour une fraction du prix, ce C7 propose un nombre conséquent de fonctionnalités, support lombaire, accoudoirs ajustables, appui-tête, repose-jambes, finitions correctes (sans pour autant être du standing des marques citées plus haut)… Bref, sur le papier c’est alléchant, et au quotidien, c’est plutôt bon ! En revanche, le bât blesse sur certains réglages : l’appui-tête manque de fermeté et nous aurions souhaité pouvoir régler le siège avec des positions plus abouties. Reste que, lorsqu’il est en promotion (et la marque est coutumière des réductions quasi permanentes), ce C7 est un très bon rapport qualité-prix. Creusons ensemble les points forts et les points faibles de ce siège ergonomique dans notre test.
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Siège Flexispot C7 Air Pro : une bonne proposition qui ne va pas au bout des choses

Pour aller en complément d'un bon bureau, il faut de bons sièges. Et même si on aime le concept du bureau assis / debout, être bien installé assis est primordial. Chez Flexispot, le C7 Air Pro coche pas mal de cases ergonomiques avec en prime un style assez discret. Vendu 419 U+20AC, est-ce le bon complément d'un bureau ? Réponse ici : Flexispot C7 Air Pro ou sur la source. […]

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Personne ne connait le prix de la Steam Machine

Le prix de la Steam Machine est depuis l’annonce de l’engin sujet à toutes les spéculations. Des calculs ont été faits à partir des prix commerciaux de composants « équivalents ». D’autres via des prix remisés censés être le reflet d’un achat massif de composants. Tout cela n’a aucun rapport avec la production de Valve.

prix de la Steam Machine

Il y a un monde entre une machine commerciale assemblée à partir de pièces détachées agglomérées les unes aux autres et ce que peut proposer un constructeur. La première différence fondamentale est liée aux étapes qui vont conduire la liste des différentes pièces détachées à arriver sur le marché. Si on additionne un processeur, de la mémoire, un stockage, un circuit graphique, une carte mère, un dissipateur, une alimentation et un boitier ensemble… On a un parcours différent pour huit éléments distincts. Huit R&D, huit productions, huit usines, huit marges de fabrication, huit sites dans lesquels il faut rassembler et stocker des composants pour lancer la production. Puis huit chemins pour aller chez des distributeurs, huit marketings différents, huit grossistes, huit distributions, huit marges de revendeurs. L’impact de tous ces éléments est énorme.

Le revendeur final d’un boitier de PC ou d’un processeur ne va pas accepter de distribuer un produit pour gagner des clopinettes. Si la marge nécessaire à son activité et à son profit est impossible, il ne distribuera pas le produit. Tout simplement. Un boitier, cela prend de la place dans un stock, si la marge n’est pas suffisante, personne ne va l’accepter sur ses étagères. Un processeur ou une carte graphique, cela coute cher et cela immobilise de l’argent. Si la marge n’est pas assez élevée, le produit ne sera tout simplement pas retenu par le revendeur.

Au final, le prix de ces composants commercialisés par différentes marques et suivant chacun leur propre voie jusqu’aux clients finaux n’a absolument aucun rapport avec le prix d’un engin déjà assemblé et distribué en direct. Le prix de la Steam Machine doit être calculé autrement. Elle sera assemblée, emballée, transportée, marketée et distribuée par une seule entité. Sans intermédiaires ni grossistes ou revendeurs, mais uniquement fabriquée par des sous-traitants. Mieux encore, la création de son processeur ne sera pas le fruit d’un achat classique mais un développement sur mesure. Une production qui a fait l’objet d’un contrat spécifique qui s’engage sur un certain volume pour absorber les coûts de Recherche et Développement. Le marketing lui même sera assuré par Valve en direct depuis son site. Rien a voir donc avec toutes les solutions nécessaires au marché classique.

Autrement dit, les métriques employées pour mesurer le prix de la Steam Machine à partir des tarifs de commercialisation de pièces détachées éparses sont complètement faux. Il est possible que, comme une horloge cassée, certaines estimations donnent un prix juste, mais laissez de côté les calculs d’apothicaires. Estimer le tarif de l’engin dans ces conditions est dénué de sens. 

Les prix du Steam Deck étaient connus à l'avance

Les prix du Steam Deck étaient connus à l’avance

Valve ne connait probablement pas non plus le prix de la Steam Machine

Je suis quasiment sûr que c’est le cas. Quand en juillet 2021 Valve lance le Steam Deck, la marque ne s’embarrasse pas d’un délai entre la présentation du produit et l’annonce de son tarif. Les consoles sont prévues pour le premier trimestre 2022, plus de six mois plus tard donc, mais leur prix est déjà écrit noir sur blanc. Pourquoi ? Parce que des contrats ont été signés entre Valve et ses fournisseurs. Contrats qui établissent un prix pour chaque composant en fonction du marché et avec l’engagement d’un certain volume. À cette époque, le marché est stable. Les prix sont définis sur le long terme de manière claire et Valve peut donc envisager sereinement le prix de sa console mobile sans risque de se retrouver avec une marge négative. 

En novembre 2025 par contre, rien ne va plus. Le DDRgate éclate et il n’y a plus aucune assurance de stabilité de tarif avec des composants de mémoire qui augmentent de plus de 150% en un mois. Je suppose donc que Valve a retenu toute communication de tarif initialement prévue lors de la présentation en attendant de pouvoir proposer un prix. Ce qui ne risque pas d’arriver de si tôt puisque la majorité des marques de mémoire annoncent refuser de s’engager sur le long terme sur les prix des composants. Le tarif de la console de salon risque donc de suivre ce même schéma et d’être indiqué avec un prix considérant les éventuelles fluctuations du marché. Ou d’évoluer en fonction de la hausse de la mémoire vive au fil des mois.

Estimer aujourd’hui le prix de la Steam Machine revient à faire de la divination. Les métriques utilisées sont fausses, les prix fluctuent et le marché est dans l’expectative de la fin de gros contrats qui délimitent en général le prix global des machines. Annoncer le prix de la Steam Machine ou une estimation de celui-ci n’a pas d’autre rôle que de générer du clic sur l’attente d’information du public, mais n’a aucune espèce de valeur technique ou informative.

Personne ne connait le prix de la Steam Machine © MiniMachines.net. 2025

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Zlib-rs 0.5.3 Expands AVX-512 Usage For Faster Performance

The Trifecta Tech Foundation today released zlib-rs 0.5.3 as the newest version of this Zlib implementation written in the Rust programming language for better memory safety. Zlib-rs is advertised as "a safer Zlib" for use by both C and Rust projects while delivering competitive performance to the C-based zlib-ng...
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Pourquoi les fabricants de RAM ne veulent-ils pas produire plus ? Spoiler, cette affirmation est FAUSSE

Nous vous proposons ce matin, un petit point sur la situation de la mémoire, mais surtout des fabricants de mémoire et des rumeurs que l'on entend ici et là. Et pour en savoir plus, c'est tout simplement ici : Pourquoi les fabricants de RAM ne veulent-ils pas produire plus ? Spoiler, cette affirmation est FAUSSE ou en cliquant sur la source. […]

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iiyama G-Master Gold Phoenix GB3290QSU : la performance 240 Hz à prix malin

Alors que certains écrans atteignent des taux de rafraichissement assez dingues, un écran à 240 Hz reste suffisant pour de nombreux besoins, surtout quand l'affichage est en 2560 x 1440 et demande donc des ressources derrière pour profiter pleinement du FreeSync. Découvrons ensemble le très intéressant iiyama G-Master Gold Phoenix GB3290QSU, qui s'affiche à 299 U+20AC. Ca se passe ici : iiyama G-Master Gold Phoenix GB3290QSU ou sur la source. […]

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☕️ Prix du logiciel libre de recherche : Aladin lite, l’atlas du ciel récompensé

En ce début décembre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a remis les prix de la science ouverte de l’année.

Plusieurs logiciels libres y ont été récompensés :

  • Le prix « scientifique et technique » a été attribué à GNU MPFR, « une bibliothèque libre (GPLv3) de calcul en virgule flottante avec précision arbitraire, reprenant les bonnes idées de la norme IEEE 754, comme l’arrondi correct » ;
  • le « coup de cœur » a mis en avant HyperSpy, « une bibliothèque libre pour Python, en licence GPLv3, qui aide les chercheurs en science des matériaux à analyser et visualiser des données complexes, telles que les ensembles de données multidimensionnels » ,
  • le prix de la documentation a été attribué au langage de programmation Pharo ;
  • et le prix de la communauté a été attribué à la version 3 d’Aladin Lite, un atlas du ciel interactif libre.

Conçu par le Centre de Données astronomiques de Strasbourg (CDS), celui-ci permet de se balader dans le ciel en visualisant des données astronomiques comme celles issues des observatoires européens Gaia ou Euclid :

Mais on peut l’utiliser aussi pour se balader sur Mars. « Simple à intégrer dans d’autres sites ou projets, il offre à tousastronomes, physiciens, passionnés comme curieuxune porte d’entrée vers les richesses du ciel. Interopérable, un très grand nombre de portails web l’utilisent spontanément », explique le ministère. L’ESA, par exemple, utilise déjà Aladin lite pour son site ESAsky. Son code est accessible sur GitHub en licence GPL3.0 et une API est aussi disponible.

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☕️ Prix du logiciel libre de recherche : Aladin lite, l’atlas du ciel récompensé

En ce début décembre, le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche a remis les prix de la science ouverte de l’année.

Plusieurs logiciels libres y ont été récompensés :

  • Le prix « scientifique et technique » a été attribué à GNU MPFR, « une bibliothèque libre (GPLv3) de calcul en virgule flottante avec précision arbitraire, reprenant les bonnes idées de la norme IEEE 754, comme l’arrondi correct » ;
  • le « coup de cœur » a mis en avant HyperSpy, « une bibliothèque libre pour Python, en licence GPLv3, qui aide les chercheurs en science des matériaux à analyser et visualiser des données complexes, telles que les ensembles de données multidimensionnels » ,
  • le prix de la documentation a été attribué au langage de programmation Pharo ;
  • et le prix de la communauté a été attribué à la version 3 d’Aladin Lite, un atlas du ciel interactif libre.

Conçu par le Centre de Données astronomiques de Strasbourg (CDS), celui-ci permet de se balader dans le ciel en visualisant des données astronomiques comme celles issues des observatoires européens Gaia ou Euclid :

Mais on peut l’utiliser aussi pour se balader sur Mars. « Simple à intégrer dans d’autres sites ou projets, il offre à tousastronomes, physiciens, passionnés comme curieuxune porte d’entrée vers les richesses du ciel. Interopérable, un très grand nombre de portails web l’utilisent spontanément », explique le ministère. L’ESA, par exemple, utilise déjà Aladin lite pour son site ESAsky. Son code est accessible sur GitHub en licence GPL3.0 et une API est aussi disponible.

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Où en est la gestion en jeu des E-cores et de l'Hyper-Threading d'Intel en cette fin 2025 ? La réponse dans ce test sur 16 jeux

Les processeurs Intel au socket LGA1700 cumulent deux questionnements par rapport à la capacité des jeux à les gérer comme il faut. D'un côté la présence de l'Hyper-Threading, émulant deux cœurs CPU logiques à partir d'un seul cœur physique, mais aussi la présence des Efficient-cores, moins compéten...

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Top Journal Retracts Study Predicting Catastrophic Climate Toll

Nature has retracted a headline-grabbing climate-economics study after critics found flawed data that massively inflated its predicted global economic collapse. The New York Times reports: The decision came after a team of economists noticed problems with the data for one country, Uzbekistan, that significantly skewed the results. If Uzbekistan were excluded, they found, the damages would look similar to earlier research (PDF). Instead of a 62 percent decline in economic output by 2100 in a world where carbon emissions continue unabated, global output would be reduced by 23 percent. Of course, erasing more than 20 percent of the world's economic activity would still be a devastating blow to human welfare. The paper's detractors emphasize that climate change is a major threat, as recent meta analyses have found, and that more should be done to address it -- but, they say, unusual results should be treated skeptically. "Most people for the last decade have thought that a 20 percent reduction in 2100 was an insanely large number," said Solomon Hsiang, a professor of global environmental policy at Stanford University who co-wrote the critique published in August. "So the fact that this paper is coming out saying 60 percent is off the chart."

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