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Un an après son lancement, Warhammer 40,000: Rogue Trader affiche un million de copies vendues

Sorti le 7 décembre 2023 avec un lancement assez poussif le temps d'effectif quelques corrections, Warhammer 40,000: Rogue Trader affiche désormais de beaux chiffres et le studio Owlcat Games annonce avoir écoulé un million de copies. Une belle récompense pour un jeu qui renouvelle l'expérience dans un univers qui peut avoir tendance à tourner en rond. Le jeu a aussi l'avantage d'être compatible Steam Deck, avec une prise en main impeccable, mais aussi d'être disponible sur d'autres plateformes que Steam avec […]

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GAMDIAS ATLAS P2 CG, toujours plus de verre trempé pour mieux voir les composants

Très en vogue, le style aquarium ne devrait pas disparaitre demain. Mais bien que les nouveautés soient nombreuses et régulières, force est de constater que se démarquer devient de plus en plus difficile. Chez GAMDIAS, cela passe par un ATLAS P2 CG bien équipé de base et plutôt abordable. Pour 139.90 USD, on retrouve un boitier assez imposant qui comprend un écran de monitoring dans le bas au niveau du panneau de connectique, un châssis compatible back connector pour les cartes mères (ATX et Micro-ATX) ou encore trois ventilateurs en reverse le long de la carte mère en plus du classique présent à l'arrière. Suffisant pour faire une bonne impression ? […]

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ENDORFY lance les tapis de souris Crystal, parfaits pour les amateurs de tapis colorés

Chez ENDORFY, on aime bien faire des produits plutôt sobres même si certains ont, logiquement pourrait-on dire, un éclairage RGB. Ainsi, l'unique gamme de tapis de souris au catalogue affiche un revêtement noir, mais en CORDURA. Un positionnement plutôt haut de gamme donc, qui est désormais secondé par une série Crystal qui change tout. Place à de la couleur et des formes géométriques pour un résultat qui ne devrait laisser personne indifférent, surtout si on opte pour un format XL. La série se décline en effet sur deux tailles, L et XL à respectivement 450 x 400 x 3 mm et 900 x 400 x 3 mm, afin de satisfaire ceux qui aiment avoir le clavier à côté ou sur le tapis. […]

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GTA VI : Vers un prix record de 100 $ ?

La communauté des gamers est en effervescence totale face aux dernières spéculations autour du prix de lancement de Grand Theft Auto VI que l'on nomme aussi GTA 6. Selon un rapport de l'analyste d'investissement Matthew Ball, qui a peut être les boules, le jeu pourrait briser la barre des 70 $ et atteindre un prix compris entre 80 et 100 $. Matthew Ball souligne que les prix des jeux vidéo n'ont pas suivi l'inflation, contrairement à d'autres secteurs comme le cinéma ou l'immobilier. Il estime que le modèle actuel de tarification est devenu difficile à suivre avec les coûts croissants de développement. Il explique que "les loyers augmentent, les billets de cinéma ont doublé, et presque toutes les autres catégories de prix sont à la hausse, alors que les jeux vidéo restent historiquement bas." […]

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Sauver les données du climat tant qu’il est encore temps

NASA Rogue Two
Sauver les données du climat tant qu’il est encore temps

Les chercheurs et militants écologistes américains ont peur d’une nouvelle suppression de données concernant le climat stockées par les agences publiques américaines alors que Trump entame son deuxième mandat.

Donald Trump vient d’être investi ce lundi 20 janvier. Ne perdant pas de temps, il a déjà pris plusieurs décrets dont l’un repousse de 75 jours la vente ou l’interdiction de TikTok. Des informations publiées par des agences institutionnelles sont menacées de dépublication. Le site reproductiverights.gov, dédié à la contraception et à l’avortement, n’est déjà plus accessible.

La question est d’autant plus problématique qu’une partie importante des données scientifiques mondiales sont stockées et gérées par des institutions américaines. En biologie, par exemple, le National Center for Biotechnology Information (NCBI) héberge des outils comme PubMed. Concernant l’environnement et le climat, les agences américaines comme la NASA, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) ou encore l’Environmental protection Agency (EPA) jouent aussi un rôle très important tout autant pour les données à propos de l’Amérique du Nord que celles concernant la planète entière.

Sous le premier mandat de Donald Trump, la suppression d’informations publiées par les agences américaines

Le sujet n’est pas théorique alors que Donald Trump vient de retirer de nouveau les États-Unis de l’accord de Paris issu de la COP21, le considérant comme une « arnaque unilatérale et injuste ». Il avait fait de même lors de son premier mandat et avait imposé la suppression de certaines pages ou sites des différentes agences du pays.

Comme le montraient en 2021 des chercheurs dans la revue scientifique PLOS One, 20 % du site de l’EPA avait été supprimé. Notamment, la page qui rassemblait les ressources d’informations sur le changement climatique, le climat, les mesures d’atténuation et d’adaptation : epa.gov/climatechange.

« Sa suppression a marqué un tournant important dans les efforts déployés pour influencer la compréhension de la science climatique par le public : la propagation du déni climatique par l’intermédiaire de l’agence fédérale chargée de la protection de l’environnement », expliquent ces chercheurs.

Rogue NASA and co

À l’époque, les informations sur le changement climatique de la NASA ont moins été touchées. L’ancien responsable de l’EPA, Stan Meiburg, expliquait d’ailleurs en 2018 cette différence de traitement par le fait que la NASA était une agence de recherche alors que l’EPA est avant tout une agence de régulation, rédigeant et ayant pour mission de faire appliquer la réglementation sur l’environnement. Et donc une cible importante pour les climato-négationnistes.

En réaction, à la pression mise par la première administration Trump sur les agences, certains employés de leurs employés avaient créé des comptes Twitter « rebels », comme Rogue NASA ou Alt NOAA pour s’assurer que « les informations factuelles sur le changement climatique et d’autres recherches scientifiques continuent d’être partagées pendant l’administration Trump ».

Des chercheurs qui travaillent sur ces sujets s’étaient regroupés, en 2016, autour d’un collectif nommé Environmental Data and Governance Initiative (EDGI) afin d’organiser des « événements de guérilla » d’archivage pour « sauver les données environnementales de Trump ». 200 To de données avaient été sauvés à l’époque.

Archivage préventif

Voyant Donald Trump revenir pour un second mandat, chercheurs et militants américains veulent cette fois prémunir les informations et données des agences de leur suppression, explique The Verge, notamment en archivant autant que possible les données déjà publiées avant toute action du gouvernement.

« Le financement, les personnes, les connaissances culturelles associées à ces outils et à ces données sont tout aussi importants, sinon plus, que les données elles-mêmes », souligne Gabriel Watson, responsable « data science » à l’Environmental Policy Innovation Center.

Gretchen Gehrke, cofondatrice d’EDGI et responsable du programme de surveillance des sites web, a peur que les équipes de Trump soient mieux préparées cette fois : « Je pense que la menace est beaucoup plus grande cette fois-ci […] Nous pourrions assister à des suppressions massives de données, mais aussi à leur détérioration parce qu’elles ne seront plus gérées ou qu’elles deviennent inaccessibles », explique-t-elle à The Verge.

EDGI travaillent maintenant avec une autre initiative nommée End of Term Web Archive qui s’est donné pour mission d’archiver les sites des différentes agences américaines via Internet Archive.

Si les outils développés par ces agences restent en ligne mais ne sont pas mis à jour, ils vont peu à peu perdre de leur intérêt informatif.

Sauver les données du climat tant qu’il est encore temps

NASA Rogue Two
Sauver les données du climat tant qu’il est encore temps

Les chercheurs et militants écologistes américains ont peur d’une nouvelle suppression de données concernant le climat stockées par les agences publiques américaines alors que Trump entame son deuxième mandat.

Donald Trump vient d’être investi ce lundi 20 janvier. Ne perdant pas de temps, il a déjà pris plusieurs décrets dont l’un repousse de 75 jours la vente ou l’interdiction de TikTok. Des informations publiées par des agences institutionnelles sont menacées de dépublication. Le site reproductiverights.gov, dédié à la contraception et à l’avortement, n’est déjà plus accessible.

La question est d’autant plus problématique qu’une partie importante des données scientifiques mondiales sont stockées et gérées par des institutions américaines. En biologie, par exemple, le National Center for Biotechnology Information (NCBI) héberge des outils comme PubMed. Concernant l’environnement et le climat, les agences américaines comme la NASA, la National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) ou encore l’Environmental protection Agency (EPA) jouent aussi un rôle très important tout autant pour les données à propos de l’Amérique du Nord que celles concernant la planète entière.

Sous le premier mandat de Donald Trump, la suppression d’informations publiées par les agences américaines

Le sujet n’est pas théorique alors que Donald Trump vient de retirer de nouveau les États-Unis de l’accord de Paris issu de la COP21, le considérant comme une « arnaque unilatérale et injuste ». Il avait fait de même lors de son premier mandat et avait imposé la suppression de certaines pages ou sites des différentes agences du pays.

Comme le montraient en 2021 des chercheurs dans la revue scientifique PLOS One, 20 % du site de l’EPA avait été supprimé. Notamment, la page qui rassemblait les ressources d’informations sur le changement climatique, le climat, les mesures d’atténuation et d’adaptation : epa.gov/climatechange.

« Sa suppression a marqué un tournant important dans les efforts déployés pour influencer la compréhension de la science climatique par le public : la propagation du déni climatique par l’intermédiaire de l’agence fédérale chargée de la protection de l’environnement », expliquent ces chercheurs.

Rogue NASA and co

À l’époque, les informations sur le changement climatique de la NASA ont moins été touchées. L’ancien responsable de l’EPA, Stan Meiburg, expliquait d’ailleurs en 2018 cette différence de traitement par le fait que la NASA était une agence de recherche alors que l’EPA est avant tout une agence de régulation, rédigeant et ayant pour mission de faire appliquer la réglementation sur l’environnement. Et donc une cible importante pour les climato-négationnistes.

En réaction, à la pression mise par la première administration Trump sur les agences, certains employés de leurs employés avaient créé des comptes Twitter « rebels », comme Rogue NASA ou Alt NOAA pour s’assurer que « les informations factuelles sur le changement climatique et d’autres recherches scientifiques continuent d’être partagées pendant l’administration Trump ».

Des chercheurs qui travaillent sur ces sujets s’étaient regroupés, en 2016, autour d’un collectif nommé Environmental Data and Governance Initiative (EDGI) afin d’organiser des « événements de guérilla » d’archivage pour « sauver les données environnementales de Trump ». 200 To de données avaient été sauvés à l’époque.

Archivage préventif

Voyant Donald Trump revenir pour un second mandat, chercheurs et militants américains veulent cette fois prémunir les informations et données des agences de leur suppression, explique The Verge, notamment en archivant autant que possible les données déjà publiées avant toute action du gouvernement.

« Le financement, les personnes, les connaissances culturelles associées à ces outils et à ces données sont tout aussi importants, sinon plus, que les données elles-mêmes », souligne Gabriel Watson, responsable « data science » à l’Environmental Policy Innovation Center.

Gretchen Gehrke, cofondatrice d’EDGI et responsable du programme de surveillance des sites web, a peur que les équipes de Trump soient mieux préparées cette fois : « Je pense que la menace est beaucoup plus grande cette fois-ci […] Nous pourrions assister à des suppressions massives de données, mais aussi à leur détérioration parce qu’elles ne seront plus gérées ou qu’elles deviennent inaccessibles », explique-t-elle à The Verge.

EDGI travaillent maintenant avec une autre initiative nommée End of Term Web Archive qui s’est donné pour mission d’archiver les sites des différentes agences américaines via Internet Archive.

Si les outils développés par ces agences restent en ligne mais ne sont pas mis à jour, ils vont peu à peu perdre de leur intérêt informatif.

L’IA pourrait rajouter une « économie de l’intention » à l’« économie de l’attention »

MAInority Report
L’IA pourrait rajouter une « économie de l’intention » à l’« économie de l’attention »

Deux chercheurs avancent que l’explosion de l’IA générative et notre familiarité croissante avec leurs chatbots ouvrent la voie à un nouveau marché de collecte et d’analyse de nos « intentions ». Ils redoutent que cela puisse influencer et biaiser l’accès à l’information, la concurrence libre et non faussée, et jusqu’aux élections.

Les avancées de l’IA pourraient nous faire passer de l’« économie de l’attention », dédiée à la captation et rétention de nos actions (voir notre article associé : « Si c’est gratuit, c’est vous le produit »), à une « économie de l’intention » reposant sur la prédiction et la manipulation de ce que l’on pourrait décider de faire.

Deux chercheurs du Leverhulme Centre for the Future of Intelligence (LCFI, qui explore la nature, l’éthique et l’impact de l’intelligence artificielle) de l’université de Cambridge estiment que nous sommes à l’aube d’un nouveau marché de la « persuasion automatisée ». Reposant sur la captation et l’analyse des signaux et marqueurs numériques de nos intentions, il ouvre des perspectives aussi lucratives que sociologiquement et politiquement abyssales.

Cette « marchandisation de l’intentionnalité humaine » aurait d’ores et déjà été identifiée par des chercheurs et marchands de l’IA comme une « extension viable » de l’économie de l’attention qui régit une bonne partie d’Internet depuis les années 1990, avancent les chercheurs.

Elle reposerait sur le développement et la commercialisation de « technologies persuasives » visant à identifier et influencer nos actions, avant même que nous ayons pris ou formuler de décisions, et qu’ils qualifient d’ « économie de l’intention ».

Des potentialités de manipulation sociale « à l’échelle industrielle »

Yaqub Chaudhary est chercheur en histoire de l’IA, Jonnie Penn historien des technologies. Dans un article publié dans la Harvard Data Science Review, « Beware the Intention Economy: Collection and Commodification of Intent via Large Language Models », ils écrivent que dans une économie de l’intention, les grands modèles de langage (LLM) pourraient être utilisés pour cibler, à faible coût, le vocabulaire, l’âge, le sexe, l’historique en ligne et les préférences des internautes :

« D’une certaine manière, l’économie de l’intention est l’économie de l’attention représentée dans le temps ; elle cherche à tracer l’arc de l’attention des utilisateurs – comment elle change, se calcifie et se connecte à des modèles archétypaux de comportement à travers différentes échelles de temps. Si certaines intentions sont fugaces, d’autres persistent, ce qui rend leur captation lucrative pour les annonceurs. »


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Men Have Grown Twice As Much As Women Over Past Century, Study Shows

According to a new study published in the journal Biology Letters, men around the world have gained height and weight twice as fast as women over the past century. The Guardian reports: "We're seeing insights into how sexual selection has shaped the male and female body and how improved environments, in terms of food and a lower burden of disease, have freed us from our shackles," said Prof Lewis Halsey at the University of Roehampton. Halsey and his colleagues used data from the World Health Organization, overseas authorities and UK records to see how height and weight have changed with living conditions. The latter was measured by the human development index (HDI), a score based on life expectancy, time in education and per capita income, which ranges from zero to one. Analysis of records from dozens of countries found that for every 0.2 point increase in HDI, women were on average 1.7cm taller and 2.7kg heavier, while men were 4cm taller and 6.5kg heavier. This suggests that as living conditions improve, both height and weight increase, but more than twice as fast in men than women. To see whether similar trends played out within countries, the researchers delved into historical height records in the UK where HDI rose from 0.8 in 1900 to 0.94 in 2022. During the first half of the century, average female height increased 1.9% from 159cm to 162cm, while average male height rose 4% from 170cm to 177cm. "To put this in perspective, about one in four women born in 1905 was taller than the average man born in 1905, but this dropped to about one in eight women for those born in 1958," Halsey said. Writing in Biology Letters in a study titled "The sexy and formidable male body: men's height and weight are condition-dependent, sexually selected traits," the scientists speculate that women's sexual preferences may have fueled a trend for taller, more muscular men -- although in an age of obesity, heavy does not necessarily mean muscular. Stature and physique are prime indicators of health and vitality, Halsey said, while sexual selection also favors men who are better able to protect and defend their partners and offspring against others. "Women can find men's height attractive because, potentially, it makes them more formidable, but also because being taller suggests they are well-made," said Halsey. "As they've grown up, they haven't been affected by the slings and arrows of a bad environment, so they've reached more of their height potential. It's an indicator that they're well-made."

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Le moteur Havok de retour, et il est là pour tout casser

Après le déterrage d’une actu de 2010 pour contextualiser l’article des mots de passe les plus compromis de 2024, place à une autre exhumation qui ne va pas nous rajeunir. Vous vous souvenez de Havok (Havok Game Dynamics SDK de son nom complet), le moteur de jeu physique en vogue il y a quelques années et développé par l’entreprise du même nom ? Eh bien dix ans plus tard, la chaîne YouTube officielle est sortie de son coma... [Tout lire]

Du rouge incandescent au creux de tes mains avec la nouvelle manette Xbox Pulse Cipher

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Origin sera mis hors service le 17 avril prochain, les joueurs en deuil

Triste nouvelle apparue sur le site EA, qui nous indique que le très acclamé launcher Origin sera mis prochainement de côté. Remplacé par EA App, il reste encore quelques semaines pour faire la bascule puisque la date de fin est donnée au 17 avril 2025. La raison ? La fin du support des applications 32-bit par Windows : On April 17, 2025, Origin will shut down, as Microsoft has stopped supporting 32-bit software. Ceux qui ont donc un ancien système sont donc invités à mettre à jour l'OS sur une version en 64-bit, et à télécharger EA App ici. Aucune autre action n'est ensuite requise, puisque tout le compte et les jeux associés sont automatiquement transférés. […]

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Voilà à quoi pourrait ressembler le prochain Tomb Raider sous Unreal Engine 5 !

Le moteur Unreal Engine 5 n'a pas que des potes. Il y a ceux qui pensent que son potentiel est énorme, et ceux qui le trouvent surcôté. Il faut le dire, pour le moment, il n'est pas à plein régime, et les multiples révisions qui nous amené à la version 5.5 aujourd'hui ont toutes intégré à chaque foi...

Microsoft Loses Status as OpenAI's Exclusive Cloud Provider

Microsoft, the biggest investor in OpenAI and its principal cloud partner, is losing its designation as exclusive provider of computing capacity for the artificial intelligence startup. CNBC: In a blog post on Tuesday, Microsoft said that it's still in a favorable position with OpenAI. Going forward, when OpenAI seeks additional capacity, Microsoft will have the "right of first refusal" before OpenAI checks with other parties. The change in their relationship was disclosed as part of President Donald Trump's announcement of the Stargate Project, a joint venture with OpenAI, Oracle and Softbank to invest billions of dollars in AI infrastructure in the U.S. Executives from those companies committed to invest an initial $100 billion and up to $500 billion over the next four years in the project, which will be set up as a separate company. Oracle is a "key initial technology partner" alongside Arm, Microsoft and Nvidia in setting up data center infrastructure, OpenAI said in a blog post. JPMorgan, in a note to clients: My takeaway is that MSFT is somewhat reading the room on capex. Softbank and Oracle are taking on some of the financial burden (in order to get some skin in the game) while MSFT still maintains access to OpenAI IP through to 2030 and has right of first refusal on any OpenAI new capacity. Feels like a good outcome for MSFT to me.

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Silk Road Creator Ross Ulbricht Pardoned

Slashdot readers jkister and databasecowgirl share the news of President Donald Trump issuing a pardon to Silk Road creator Ross Ulbricht. An anonymous reader shares a report from the BBC: US President Donald Trump says he has signed a full and unconditional pardon for Ross Ulbricht, who operated Silk Road, the dark web marketplace where illegal drugs were sold. Ulbricht was convicted in 2015 in New York in a narcotics and money laundering conspiracy and sentenced to life in prison. Trump posted on his Truth Social platform that he had called Ulbricht's mother to inform her that he had granted a pardon to her son. Silk Road, which was shut down in 2013 after police arrested Ulbricht, sold illegal drugs using Bitcoin, as well as hacking equipment and stolen passports. "The scum that worked to convict him were some of the same lunatics who were involved in the modern day weaponization of government against me," Trump said in his post online on Tuesday evening. "He was given two life sentences, plus 40 years. Ridiculous!" Ulbricht was found guilty of charges including conspiracy to commit drug trafficking, money laundering and computer hacking. During his trial, prosecutors said Ulbricht's website, hosted on the hidden "dark web", sold more than $200 million worth of drugs anonymously.

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'Decentralized Social Media Is the Only Alternative To the Tech Oligarchy'

An anonymous reader quotes an op-ed from 404 Media's Jason Koebler: If it wasn't already obvious, the last 72 hours have made it crystal clear that it is urgent to build and mainstream alternative, decentralized social media platforms that are resistant to government censorship and control, are not owned by oligarchs and dominated by their algorithms, and in which users own their follower list and can port it elsewhere easily and without restriction. [...] Mastodon's ActivityPub and Bluesky's AT.Protocol have provided the base technology layer to make this possible, and have laid important groundwork over the last few years to decorporatize and decentralize the social internet. The problem with decentralized social media platforms thus far is that their user base is minuscule compared to platforms like TikTok, Facebook, and Instagram, meaning the cultural and political influence has lagged behind them. You also cannot directly monetize an audience on Bluesky or Mastodon -- which, to be clear, is a feature, not a bug -- but also means that the value proposition for an influencer who makes money through the TikTok creator program or a small business that makes money selling chewing gum on TikTok shop or a clothes brand that has figured out how to arbitrage Instagram ads to sell flannel shirts is not exactly clear. I am not advocating for decentralized social media to implement ads and creator payment programs. I'm just saying that many TikTok influencers were directing their collective hundreds of millions of fans to follow them to Instagram or YouTube, not a decentralized alternative. This doesn't mean that the fediverse or that a decentralized Instagram or TikTok competitor that runs on the AT.Protocol is doomed. But there is a lot of work to do. There is development work that needs to be done (and is being done) to make decentralized protocols easier to join and use and more interoperable with each other. And there is a massive education and recruitment challenge required to get the masses to not just try out decentralized platforms but to earnestly use them. Bluesky's growing user base and rise as a legitimately impressive platform that one can post to without feeling like it's going into the void is a massive step forward, and proof that it is possible to build thriving alternative platforms. The fact that Meta recently blocked links to a decentralized Instagram alternative shows that big tech sees these platforms, potentially, as a real threat. "This is all to say that it is possible to build alternatives to Elon Musk's X, Mark Zuckerberg's Instagram, and whatever TikTok will become," concludes Koebler. "It is happening, and it is necessary. The richest, most powerful people in the world have all aligned themselves and their platforms with Donald Trump. But their platforms' relevance and importance doesn't necessarily have to last forever. A different way is possible, if we build it." Further reading: 'The Tech Oligarchy Arrives' (The Atlantic)

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macOS Sequoia 15.3 and iOS 18.3 Enable Apple Intelligence Automatically

Apple's upcoming updates -- macOS Sequoia 15.3, iOS 18.3, and iPadOS 18.3 -- will enable Apple Intelligence by default on compatible devices, requiring users to manually disable it if undesired. From Apple's developer release notes: "For users new or upgrading to iOS 18.3, Apple Intelligence will be enabled automatically during iPhone onboarding. Users will have access to Apple Intelligence features after setting up their devices. To disable Apple Intelligence, users will need to navigate to the Apple Intelligence & Siri Settings pane and turn off the Apple Intelligence toggle. This will disable Apple Intelligence features on their device." MacRumors reports: With macOS Sequoia 15.1, macOS Sequoia 15.2, iOS 18.1, and iOS 18.2, Apple Intelligence was opt-in rather than opt-out, and users who wanted the feature needed to turn it on in the Settings app. Going forward, it will be enabled by default, and Mac, iPhone, and iPad users who do not want to use the feature will need to turn it off. The report notes that macOS Sequoia 15.3 introduces Genmoji, allowing Mac users to create custom emoji characters, and enhances Notification summaries with clearer indicators for AI-generated information. Public releases of this and other software updates are expected next week, following today's release candidate versions.

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