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La fonctionnalité Discover de Google recommande aussi des rumeurs et infox générées par IA

Faites ce que je dis, pas ce que je fais
La fonctionnalité Discover de Google recommande aussi des rumeurs et infox générées par IA

Deux responsables de Google viennent de rappeler aux éditeurs de sites web que la création en masse de grandes quantités de contenu, en particulier à l’aide de l’IA, relève du « spam » (sauf si elle fait montre d’originalité et offre une réelle valeur ajoutée). Or, l’algorithme de recommandation de contenus Discover de Google promeut (au moins) une quarantaine de sites générés par IA (GenAI), dont plusieurs relaient rumeurs et infox.

Parmi les 3 500 sites d’infos générés par IA (GenAI) que nous avons identifiés, une quarantaine (au moins) ont été mis en avant par Discover, la « fonctionnalité de la recherche Google qui présente aux internautes des contenus en rapport avec leurs centres d’intérêt, en fonction de leur activité sur le Web et les applications » (que, pour notre part, nous avons utilisé sans aucune personnalisation, et en désactivant l’historique des recherches, de sorte d’avoir des recommandations « neutres »).

Si deux de cette quarantaine de sites d’infos GenAI recommandés par Google font partie du groupe de presse Économie Matin, tous les autres émanent de professionnels du SEO. Les pics de trafic que connaissent les articles apparaissant sur Discover sont tels que les revenus publicitaires associés sont devenus une véritable « machine à cash » pour ces mercenaires de l’info.

Non contents, pour la plupart, de paraphraser, voire plagier des articles écrits par de véritables journalistes, ils relaient aussi de nombreuses rumeurs et infox, « hallucinées » par leurs IA, et racontent souvent « n’importe quoi », pour reprendre le célèbre mème d’Anouk Ricard (cf son compte Instagram), Grand Prix de la 52ᵉ édition du Festival International de la Bande Dessinée d’Angoulême.

Ce qui ne les empêche donc pas d’être mis en avant par l’algorithme Discover de Google, au mépris des propres règles de ce dernier, allant parfois jusqu’à afficher deux articles GenAI de suite, comme en témoignent ces captures d’écran.

Captures d’écran d’articles GenAI relayant des rumeurs mais néanmoins promus sur Google Discover

Quelques sites GenAI pénalisés… suite à un reportage de France 2 ?


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☕️ Le patron de Shopify oblige ses équipes à prouver qu’une tâche ne peut être faite par IA

Dans un memo rendu public sur X, le directeur général de Shopify Tobi Lutke a déclaré modifier l’approche de son entreprise en termes de ressources humaines.

Il intime à ses équipes de prouver que des tâches ne peuvent être réalisées à l’aide de l’intelligence artificielle avant de demander une augmentation de ressources ou d’équipes.

Et de préciser que l’usage de l’IA est une « attente fondamentale » envers les équipes de Shopify, dans la mesure où elle aurait « multiplié » la productivité de ceux qui l’utilisent.

Comme le relève CNBC, la directive est formulée alors que les entreprises du numérique investissent des milliards de dollars dans le développement de l’intelligence artificielle, en même temps qu’elles licencient régulièrement. 


En 2024, selon le décompte de Layoffs.fyi, 152 000 postes ont été supprimés dans 549 entreprises de la tech.

Chez Shopify, les équipes totalisaient 8 100 personnes au mois de décembre, contre 8 300 plus tôt en 2024. L’entreprise avait supprimé 14 % de ses équipes en 2022 et 20 % en 2023.

Des associations demandent un débat sur la création des datacenters en France

Stockera, stockera pas
Des associations demandent un débat sur la création des datacenters en France

Dans le cadre du projet de loi de simplification de la vie économique, un groupe d’associations appellent les députés à supprimer l’article 15, qui faciliterait la construction de centres de données, pour laisser le temps d’organiser un débat citoyen sur la multiplication de ces entrepôts.

De ce 8 avril jusqu’à vendredi 11 avril, les députés examinent le projet de loi « de simplification de la vie économique ». De mesure de simplification du quotidien des très petites entreprises à la simplification des démarches pour accéder aux marchés publics, le texte prévoit une variété de mesures, dont la facilitation de l’obtention de licences IV dans les petites villes.

Mais son article 15, qui vise à faciliter la construction de centres de données, inquiète la Quadrature du Net, le collectif marseillais le Nuage était sous nos pieds et la coalition Hiatus, qui réunit une vingtaine d’associations françaises aux mandats variés. Ils appellent les députés à soutenir un moratoire de deux ans « sur la construction des plus gros data centers » en France, le temps d’organiser un débat public.

Début février, en amont du Sommet sur l’intelligence artificielle organisé à Paris, le Premier ministre avait en effet annoncé l’identification de 35 sites industriels déclarés propices à l’installation de centres de données, à la fois en termes de surface foncière, de disponibilité et d’accès à l’énergie. Matignon précisait que les surface allaient de « 18 à 150 hectares et plus », pour une surface totale de l’ordre de 1 200 hectares.

« Projet d’intérêt national majeur »

Or, l’article 15 du projet de loi de simplification de la vie économique permettrait précisément d’accorder le statut de « projet d’intérêt national majeur » (PINM) à des centres de données de ce genre. L’intérêt pour leurs porteurs : accélérer l’implantation des bâtiments et les procédures – de gestion des documents d’urbanisme, de raccordement au réseau électrique, de reconnaissance de raisons impératives d’intérêt public majeurs.

Créé dans la loi sur l’industrie verte de 2023, le statut de « projet d’intérêt national majeur » (PINM) introduit dans le code de l’urbanisme a en effet été pensé pour faciliter l’implantation de projets industriels dans le pays. En juillet 2024, il a été accordé par décret à plusieurs projets, souvent liés à l’industrie numérique : une usine de fabrication de cellules et modules photovoltaïques de la société Holosolis, une de production de panneaux photovoltaïques de la société Carbon, une usine Eastman de recyclage moléculaire des plastiques, une usine Gravithy de production de minerai de fer réduit et d’hydrogène et un site d’extraction et de transformation de lithium d’Imerys, dans l’Allier.

Moratoire de deux ans pour une convention citoyenne

L’un des problèmes que pointent les associations : le statut PINM permettrait notamment de déroger à l’obligation de protection des espèces protégées, alors que la multiplication de data centers pose de multiples enjeux environnementaux de bétonisation des sols et de concurrence dans l’usage des terres et de l’eau.

À l’heure actuelle, la France compte environ 315 data centers, dont la grande majorité est concentrée en Île-de-France (la région concentre 60 % de la puissance de la capacité nationale, selon Knight Frank), suivie par Marseille et la région PACA, où aboutissent 18 câbles sous-marins.

Détaillant l’empreinte environnementale de ces infrastructures, la Quadrature du Net et ses partenaires, rappellent que les hyperscalers, ces data centers extrêmement grands poussés par les acteurs états-uniens du numérique, recourent massivement à l’eau pour refroidir leurs serveurs. Google a ainsi révélé avoir consommé 28 milliards de litres d’eau en 2023, dont les deux tiers d’eau potable, suscitant de telles tensions que le Chili a freiné l’un de ses projets.

Les associations notent que l’expansion de ces projets en France, y compris lorsqu’elle est réalisée par étapes, comme dans la ville de Wissous, créent déjà des oppositions au niveau local. Enfin, elles interrogent les effets de ces édifices en termes de création d’emploi, un enjeu sur lequel le sociologue Clément Marquet revenait à notre micro.

En écho aux experts de l’ADEME, qui soulignent la nécessité de planifier et réguler le déploiement des centres de données, les associations incitent les députés à rejeter l’article 15 du projet de loi en cours de discussion. Elles demandent aussi un moratoire sur la construction des plus gros data centers, le temps de permettre à « une convention citoyenne de penser les conditions d’une maîtrise démocratique des data centers ».

☕️ Le patron de Shopify oblige ses équipes à prouver qu’une tâche ne peut être faite par IA

Dans un memo rendu public sur X, le directeur général de Shopify Tobi Lutke a déclaré modifier l’approche de son entreprise en termes de ressources humaines.

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Et de préciser que l’usage de l’IA est une « attente fondamentale » envers les équipes de Shopify, dans la mesure où elle aurait « multiplié » la productivité de ceux qui l’utilisent.

Comme le relève CNBC, la directive est formulée alors que les entreprises du numérique investissent des milliards de dollars dans le développement de l’intelligence artificielle, en même temps qu’elles licencient régulièrement. 


En 2024, selon le décompte de Layoffs.fyi, 152 000 postes ont été supprimés dans 549 entreprises de la tech.

Chez Shopify, les équipes totalisaient 8 100 personnes au mois de décembre, contre 8 300 plus tôt en 2024. L’entreprise avait supprimé 14 % de ses équipes en 2022 et 20 % en 2023.

Des associations demandent un débat sur la création des datacenters en France

Stockera, stockera pas
Des associations demandent un débat sur la création des datacenters en France

Dans le cadre du projet de loi de simplification de la vie économique, un groupe d’associations appellent les députés à supprimer l’article 15, qui faciliterait la construction de centres de données, pour laisser le temps d’organiser un débat citoyen sur la multiplication de ces entrepôts.

De ce 8 avril jusqu’à vendredi 11 avril, les députés examinent le projet de loi « de simplification de la vie économique ». De mesure de simplification du quotidien des très petites entreprises à la simplification des démarches pour accéder aux marchés publics, le texte prévoit une variété de mesures, dont la facilitation de l’obtention de licences IV dans les petites villes.

Mais son article 15, qui vise à faciliter la construction de centres de données, inquiète la Quadrature du Net, le collectif marseillais le Nuage était sous nos pieds et la coalition Hiatus, qui réunit une vingtaine d’associations françaises aux mandats variés. Ils appellent les députés à soutenir un moratoire de deux ans « sur la construction des plus gros data centers » en France, le temps d’organiser un débat public.

Début février, en amont du Sommet sur l’intelligence artificielle organisé à Paris, le Premier ministre avait en effet annoncé l’identification de 35 sites industriels déclarés propices à l’installation de centres de données, à la fois en termes de surface foncière, de disponibilité et d’accès à l’énergie. Matignon précisait que les surface allaient de « 18 à 150 hectares et plus », pour une surface totale de l’ordre de 1 200 hectares.

« Projet d’intérêt national majeur »

Or, l’article 15 du projet de loi de simplification de la vie économique permettrait précisément d’accorder le statut de « projet d’intérêt national majeur » (PINM) à des centres de données de ce genre. L’intérêt pour leurs porteurs : accélérer l’implantation des bâtiments et les procédures – de gestion des documents d’urbanisme, de raccordement au réseau électrique, de reconnaissance de raisons impératives d’intérêt public majeurs.

Créé dans la loi sur l’industrie verte de 2023, le statut de « projet d’intérêt national majeur » (PINM) introduit dans le code de l’urbanisme a en effet été pensé pour faciliter l’implantation de projets industriels dans le pays. En juillet 2024, il a été accordé par décret à plusieurs projets, souvent liés à l’industrie numérique : une usine de fabrication de cellules et modules photovoltaïques de la société Holosolis, une de production de panneaux photovoltaïques de la société Carbon, une usine Eastman de recyclage moléculaire des plastiques, une usine Gravithy de production de minerai de fer réduit et d’hydrogène et un site d’extraction et de transformation de lithium d’Imerys, dans l’Allier.

Moratoire de deux ans pour une convention citoyenne

L’un des problèmes que pointent les associations : le statut PINM permettrait notamment de déroger à l’obligation de protection des espèces protégées, alors que la multiplication de data centers pose de multiples enjeux environnementaux de bétonisation des sols et de concurrence dans l’usage des terres et de l’eau.

À l’heure actuelle, la France compte environ 315 data centers, dont la grande majorité est concentrée en Île-de-France (la région concentre 60 % de la puissance de la capacité nationale, selon Knight Frank), suivie par Marseille et la région PACA, où aboutissent 18 câbles sous-marins.

Détaillant l’empreinte environnementale de ces infrastructures, la Quadrature du Net et ses partenaires, rappellent que les hyperscalers, ces data centers extrêmement grands poussés par les acteurs états-uniens du numérique, recourent massivement à l’eau pour refroidir leurs serveurs. Google a ainsi révélé avoir consommé 28 milliards de litres d’eau en 2023, dont les deux tiers d’eau potable, suscitant de telles tensions que le Chili a freiné l’un de ses projets.

Les associations notent que l’expansion de ces projets en France, y compris lorsqu’elle est réalisée par étapes, comme dans la ville de Wissous, créent déjà des oppositions au niveau local. Enfin, elles interrogent les effets de ces édifices en termes de création d’emploi, un enjeu sur lequel le sociologue Clément Marquet revenait à notre micro.

En écho aux experts de l’ADEME, qui soulignent la nécessité de planifier et réguler le déploiement des centres de données, les associations incitent les députés à rejeter l’article 15 du projet de loi en cours de discussion. Elles demandent aussi un moratoire sur la construction des plus gros data centers, le temps de permettre à « une convention citoyenne de penser les conditions d’une maîtrise démocratique des data centers ».

Bluesky Can't Take a Joke

On Bluesky, the joke's on you if you don't get the joke. The social network has become a "refuge" for those fleeing X and Threads, but its growing pains include a serious case of humor-impairment. When Amy Brown jokingly posted she was "screaming, crying, and throwing up" about price differences between Ohio and California Walgreens, literal-minded users scolded her for exaggerating. Brown, a former Wendy's social media manager who got banned from X after impersonating Elon Musk, puts it simply: "We're both speaking English, but I'm speaking internet." This clash stems from Bluesky's oddly mixed population: irony-steeped Twitter refugees mingling with earnest Facebook transplants and MSNBC viewers who took the plunge after seeing the platform mentioned on shows like Morning Joe. "It's riff collapse," says cartoonist Mattie Lubchansky, describing how her obviously absurd Oscar post triggered sincere movie recommendations.

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