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AMD RDNA4 Paired Context Reg Feature Merged For RADV To Potentially Help Performance

After various commits to Mesa 25.1 in recent days in preparing for a new paired context registers feature of AMD RDNA4 (GFX12 graphics), the feature today is wired up for the Radeon Vulkan driver "RADV" with the upcoming Mesa 25.1 release. This feature has the possibility of helping performance for new AMD RDNA4 hardware but the performance benefits at this time aren't clear...

CORSAIR FRAME 4000D RS : Du très BON boitier PC

Aujourd'hui, nous nous intéressons au nouveau boitier moyen tour ATX de CORSAIR, le Frame 4000D que nous testons dans sa version RX RGB. Un boitier qui est livré de base avec 3 ventilateurs de 120 mm arc-en-ciel à l'avant, mais surtout un boitier qui propose de très nombreuses fonctionnalités que nous trouvons particulièrement intéressante, surtout à la vue de son tarif qui est de 119.90 euros. Par exemple, nous pouvons vous parler d'un plateau de carte mère compatible PZ ou BTZ qui est extractible du boitier. Mais pour tout savoir de ce nouveau venu, une seule et unique solution, lire notre complet.

Test boitier CORSAIR FRAME 4000D RS : Magnifiquement BIEN

On attaque la semaine des tests à la Ferme du Hardware avec un boitier PC, avant de parler aircooling un peu plus tard dans la journée. C'est donc le dernier boitier CORSAIR que nous testons, à savoir le FRAME 4000D, qui arrive dans plein de versions. Un boitier ATX BTF/PZ qui ne manque pas de charmes ni d'équipements. Il est à découvrir ici même : Test boitier CORSAIR FRAME 4000D RS ou en cliquant sur la source. […]

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Le programme IPO d'Intel overclocke et booste les performances sans remettre en question la garantie

Le programme IPO (Intel Performance Optimization) est une initiative lancée par Intel fin 2024 à destination des intégrateurs plutôt que des utilisateurs finaux, du moins pour l'instant. Concrètement, il s'agit d'une optimisation poussée d'un grand nombre de paramètres liés au CPU et à la mémoire. Oui, on peut parler d'overclocking, puisqu'on touche aux fréquences du CPU, cœurs P et E, à la vitesse du ring bus, aux limites de puissance PL1 et PL2, et côté mémoire, ce sont à la fois les timings et les débits qui sont revus à la hausse. Une garantie constructeur préservée Mais l'aspect intéressant, c'est que tout cela ne remet pas en cause la garantie : les réglages sont validés à la fois par Intel et par l'assembleur. […]

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Tracking des internautes : la CNIL se penche sur les relectures de session de navigation

CNIL Recall ?
Tracking des internautes : la CNIL se penche sur les relectures de session de navigation

Saviez-vous que, parfois, le moindre de vos mouvements sur un site ou une application pouvait être enregistré et « rejoué » sous la forme d’une vidéo ? On parle de relecture de session de navigation, une catégorie d’outil que la CNIL va analyser de près (il est temps).

Sur le Net, nous sommes tous traqués. Ce n’est pas une supposition ou une question, c’est une constatation. Pour mettre des chiffres derrière cette affirmation, nous avons effectué des relevés avec environ 50 000 requêtes externes pendant une seule journée de navigation.

Si vous voulez voir l’état des dégâts, nous avons mis en ligne une extension maison baptisée DTC (pour Domaines Tiers Contactés). À utiliser sans modération. Aucune donnée n’est transmise, vous seul accédez à vos statistiques (le code source est sur GitHub).

Marquage à la culotte des utilisateurs et RGPD

Mais il n’y a pas que cela, il existe aussi des outils permettant de suivre à la trace les utilisateurs… et c’est peu de le dire. On parle d’enregistrement ou de relecture (rejeu, replay…) de session, permettant de reconstituer le parcours complet d’un utilisateur, « sous forme de vidéos », explique la CNIL. Elle vient en effet de lancer une concertation « sur les outils d’enregistrement et de relecture de session de navigation ».

« Ces outils offrent à l’éditeur d’un site ou d’une application mobile la possibilité d’enregistrer l’ensemble des interactions des utilisateurs telles que les mouvements de souris, les interactions tactiles, les clics, le défilement des pages et, dans certains cas, les saisies de formulaires », précise la CNIL.

Et cela concerne aussi bien les sites web que les applications mobiles. On s’en doute, mais la Commission le formalise : cela « pose des défis importants en matière de respect du RGPD », à la fois aux éditeurs de ces outils, et à leurs clients.

Comme souvent en pareille situation, c’est l’occasion de remettre en avant un excellent dessin de CommitStrip sur le sujet :

Drôle de bots https://t.co/j7drtuLixU pic.twitter.com/gYkursxI9C

— CommitStrip FR (@CommitStrip_fr) October 21, 2020

Données personnelles (sensibles) et vie privée

Ces outils sont en effet « susceptibles d’entrainer des risques élevés pour les droits et libertés des internautes ». La CNIL met notamment en avant deux points : « la collecte d’un volume important de données de navigation incluant des données personnelles parfois sensibles, sans que les utilisateurs en aient conscience », et « la déduction d’informations sur la vie privée d’un grand nombre d’utilisateurs telles que leurs habitudes, croyances, centres d’intérêts, etc. ».

Lorsque l’on navigue un peu sur des sites de sociétés proposant ce genre de service, on se rend compte de l’ampleur de la tâche. « Normalement, les principaux outils de relecture de session sont conformes au RGPD et anonymisent leurs enregistrements de visiteur, ce qui rend difficile l’identification de qui est le visiteur », explique l’une d’elles. On apprécie le « normalement » et « rend difficile », donc pas impossible. Un exemple parmi d’autres.

Le registre est différent, mais la problématique est identique à la fonction Recall de Microsoft. Elle est depuis peu en cours de déploiement dans les préversions de Windows 11.

Des ateliers, et la question de l’usage transversal de ces outils

En lançant cette concertation, la CNIL cible large avec la volonté d’appréhender les « enjeux juridiques, techniques mais également éthiques et sociétaux associés à ces outils ». Le but est de proposer, au cours du second semestre, des recommandations pratiques aussi bien aux développeurs des outils de rejeu qu’aux éditeurs de sites et d’applications mobiles.

Avant cela, des ateliers sont prévus d’ici fin juin afin de dresser un état des lieux des applications existantes, « d’étudier les aspects pratiques des modalités d’information et, le cas échéant, de recueil du consentement des personnes concernées », et d’aborder la question de l’usage transversal de ces outils. En effet, ils permettraient « d’accéder au parcours de navigation d’un internaute sur l’ensemble des sites web des éditeurs utilisant l’outil d’un même fournisseur ».

☕️ États-Unis : le directeur de l’ICE veut gérer les déportations « comme Amazon Prime »

Le directeur de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) des États-Unis a déclaré vouloir s’inspirer d’Amazon Prime pour fluidifier les flux de déportations réalisées sous la présidence de Donald Trump.

Lors d’une convention sur la sécurité aux frontières, Todd Lyons, à la tête de l’institution depuis début mars, a déclaré : « nous devons devenir meilleurs à gérer ces activités comme une entreprise » rapporte l’Arizona Mirror. Il a précisé vouloir construire un processus de déportation « comme Amazon Prime, mais avec des êtres humains ».

La comparaison est faite alors même que les États-Unis se sont lancés dans des actions de déportations de masse de ce que le gouvernement qualifie de « migrants criminels » – poussant l’ONU à rappeler que le droit d’asile était « universellement reconnu ». L’administration Trump traque déjà les propos des étudiants étrangers pour révoquer leurs visas.

Parmi ces derniers, des innocents comme Kilmar Abrego García se sont retrouvés envoyés hors de tout cadre légal dans une méga prison du Salvador.

« Le fantasme de l’ICE de devenir l’ « Amazon prime des déportations » expose l’infrastructure derrière le programme de Trump », déclare la directrice de l’ONG Mijente Cinthya Rodriguez au Guardian. « Au fil du temps, l’ICE a passé des contrats avec des entreprises technologiques pour automatiser le maintien de l’ordre, en s’appuyant sur la déshumanisation des communautés immigrées. »


Deux jours après la prise de parole de Todd Lyons, Politico révélait que l’ancien PDG de la société militaire privée Blackwater – qui avait attiré l’attention au milieu des années 2000 après avoir ouvert le feu en plein Bagdad – et un groupe d’industriels de la Défense avaient proposé à la Maison-Blanche un projet de déportation de masse vers le Salvador.

Tracking des internautes : la CNIL se penche sur les relectures de session de navigation

CNIL Recall ?
Tracking des internautes : la CNIL se penche sur les relectures de session de navigation

Saviez-vous que, parfois, le moindre de vos mouvements sur un site ou une application pouvait être enregistré et « rejoué » sous la forme d’une vidéo ? On parle de relecture de session de navigation, une catégorie d’outil que la CNIL va analyser de près (il est temps).

Sur le Net, nous sommes tous traqués. Ce n’est pas une supposition ou une question, c’est une constatation. Pour mettre des chiffres derrière cette affirmation, nous avons effectué des relevés avec environ 50 000 requêtes externes pendant une seule journée de navigation.

Si vous voulez voir l’état des dégâts, nous avons mis en ligne une extension maison baptisée DTC (pour Domaines Tiers Contactés). À utiliser sans modération. Aucune donnée n’est transmise, vous seul accédez à vos statistiques (le code source est sur GitHub).

Marquage à la culotte des utilisateurs et RGPD

Mais il n’y a pas que cela, il existe aussi des outils permettant de suivre à la trace les utilisateurs… et c’est peu de le dire. On parle d’enregistrement ou de relecture (rejeu, replay…) de session, permettant de reconstituer le parcours complet d’un utilisateur, « sous forme de vidéos », explique la CNIL. Elle vient en effet de lancer une concertation « sur les outils d’enregistrement et de relecture de session de navigation ».

« Ces outils offrent à l’éditeur d’un site ou d’une application mobile la possibilité d’enregistrer l’ensemble des interactions des utilisateurs telles que les mouvements de souris, les interactions tactiles, les clics, le défilement des pages et, dans certains cas, les saisies de formulaires », précise la CNIL.

Et cela concerne aussi bien les sites web que les applications mobiles. On s’en doute, mais la Commission le formalise : cela « pose des défis importants en matière de respect du RGPD », à la fois aux éditeurs de ces outils, et à leurs clients.

Comme souvent en pareille situation, c’est l’occasion de remettre en avant un excellent dessin de CommitStrip sur le sujet :

Drôle de bots https://t.co/j7drtuLixU pic.twitter.com/gYkursxI9C

— CommitStrip FR (@CommitStrip_fr) October 21, 2020

Données personnelles (sensibles) et vie privée

Ces outils sont en effet « susceptibles d’entrainer des risques élevés pour les droits et libertés des internautes ». La CNIL met notamment en avant deux points : « la collecte d’un volume important de données de navigation incluant des données personnelles parfois sensibles, sans que les utilisateurs en aient conscience », et « la déduction d’informations sur la vie privée d’un grand nombre d’utilisateurs telles que leurs habitudes, croyances, centres d’intérêts, etc. ».

Lorsque l’on navigue un peu sur des sites de sociétés proposant ce genre de service, on se rend compte de l’ampleur de la tâche. « Normalement, les principaux outils de relecture de session sont conformes au RGPD et anonymisent leurs enregistrements de visiteur, ce qui rend difficile l’identification de qui est le visiteur », explique l’une d’elles. On apprécie le « normalement » et « rend difficile », donc pas impossible. Un exemple parmi d’autres.

Le registre est différent, mais la problématique est identique à la fonction Recall de Microsoft. Elle est depuis peu en cours de déploiement dans les préversions de Windows 11.

Des ateliers, et la question de l’usage transversal de ces outils

En lançant cette concertation, la CNIL cible large avec la volonté d’appréhender les « enjeux juridiques, techniques mais également éthiques et sociétaux associés à ces outils ». Le but est de proposer, au cours du second semestre, des recommandations pratiques aussi bien aux développeurs des outils de rejeu qu’aux éditeurs de sites et d’applications mobiles.

Avant cela, des ateliers sont prévus d’ici fin juin afin de dresser un état des lieux des applications existantes, « d’étudier les aspects pratiques des modalités d’information et, le cas échéant, de recueil du consentement des personnes concernées », et d’aborder la question de l’usage transversal de ces outils. En effet, ils permettraient « d’accéder au parcours de navigation d’un internaute sur l’ensemble des sites web des éditeurs utilisant l’outil d’un même fournisseur ».

☕️ Proxmox 8.4 simplifie la migration live des machines virtuelles

Proxmox est une solution permettant la gestion de la virtualisation des serveurs, permettant notamment la création de clusters de machines virtuelles et la gestion des ressources. La version 8.4, sortie il y a quelques jours, apporte plusieurs améliorations significatives.

L’une des principales est la possibilité de migrer désormais en live les machines virtuelles utilisant des Mediated Devices, c’est-à-dire des composants matériels virtualisés et utilisés par plusieurs machines en même temps. Il fallait jusqu’ici arrêter ces machines virtuelles le temps de l’opération. Seule condition à respecter, que le nœud visé dispose d’un matériel compatible et de pilotes adaptés. Un nouvel utilitaire, pve-nvidia-vgpu-helper, est aussi fourni pour simplifier la configuration de pilotes vGPU de NVIDIA.

Proxmox 8.4 propose également une nouvelle API conçue pour le développement de plugins des solutions tierces de stockage. Elle permet à ces derniers de s’interfacer complètement avec Proxmox, pour proposer les fonctions de sauvegarde et de restauration (y compris avancées) partout où c’est nécessaire. Le système de sauvegarde se veut d’ailleurs plus robuste.

Autre amélioration, le passage (passthrough) de dossiers Virtiofs, permettant le partage de fichiers et répertoires directement entre un hôte et ses machines virtuelles. Virtiofs permet de fonctionner, en autorisant les systèmes invités à accéder aux données de l’hôte, « sans la surcharge d’un système de fichiers réseau », indique le billet d’annonce. Ce dernier précise que les Linux « modernes » intègrent Virtiofs, mais qu’un logiciel dédié est nécessaire pour Windows.

Enfin, Proxmox VE 8.4 modernise ses composants, en se basant notamment sur Debian 12.10, avec un noyau 6.8.12 par défaut, avec la version 6.14 en option. Des mises à jour sont intégrées pour plusieurs composants, dont QEMU 9.2.0, LXC 6.0.0 et ZFS 2.2.7 (ce dernier avec des correctifs de compatibilité pour le noyau 6.14), ou encore Ceph Squid 19.2.1.

☕️ États-Unis : le directeur de l’ICE veut gérer les déportations « comme Amazon Prime »

Le directeur de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE) des États-Unis a déclaré vouloir s’inspirer d’Amazon Prime pour fluidifier les flux de déportations réalisées sous la présidence de Donald Trump.

Lors d’une convention sur la sécurité aux frontières, Todd Lyons, à la tête de l’institution depuis début mars, a déclaré : « nous devons devenir meilleurs à gérer ces activités comme une entreprise » rapporte l’Arizona Mirror. Il a précisé vouloir construire un processus de déportation « comme Amazon Prime, mais avec des êtres humains ».

La comparaison est faite alors même que les États-Unis se sont lancés dans des actions de déportations de masse de ce que le gouvernement qualifie de « migrants criminels » – poussant l’ONU à rappeler que le droit d’asile était « universellement reconnu ». L’administration Trump traque déjà les propos des étudiants étrangers pour révoquer leurs visas.

Parmi ces derniers, des innocents comme Kilmar Abrego García se sont retrouvés envoyés hors de tout cadre légal dans une méga prison du Salvador.

« Le fantasme de l’ICE de devenir l’ « Amazon prime des déportations » expose l’infrastructure derrière le programme de Trump », déclare la directrice de l’ONG Mijente Cinthya Rodriguez au Guardian. « Au fil du temps, l’ICE a passé des contrats avec des entreprises technologiques pour automatiser le maintien de l’ordre, en s’appuyant sur la déshumanisation des communautés immigrées. »


Deux jours après la prise de parole de Todd Lyons, Politico révélait que l’ancien PDG de la société militaire privée Blackwater – qui avait attiré l’attention au milieu des années 2000 après avoir ouvert le feu en plein Bagdad – et un groupe d’industriels de la Défense avaient proposé à la Maison-Blanche un projet de déportation de masse vers le Salvador.

An Electric Racecar Drives Upside Down

Formula One cars, the world's fastest racecars, need to grip the track for speed and safety on the curves — leading engineers to design cars that create downforce. And racing fans are even told that "a Formula 1 racecar generates enough downforce above a certain speed that it could theoretically drive upside down," writes the automotive site Jalopnik. "McMurtry Automotive turned this theory into reality after having its Spéirling hypercar complete the impressive feat..." Admittedly, the Spéirling's success can be solely attributed to its proprietary 'Downforce-on-Demand' fan system that produces 4,400 pounds of downforce at the push of a button... For those looking to do the math, Spéirling weighs 2,200 pounds. With the stopped car's fan whirling at 23,000 rpm, the rig was rotated to invert the road deck... Then, the hypercar rolled forward a few feet before stopping while inverted. The rig rotated the road deck back down, and the Spéirling drove off like nothing happened. The McMurtry Spéirling, as a 1,000-hp twin-motor electric hypercar, didn't have to clear the other hurdles that an F1 car would have clear to drive upside down. Dry-sump combustion engines aren't designed to run inverted and would eventually fail catastrophically. Oil wouldn't be able to cycle through and keep the engine lubricated. The car is "an electric monster purpose-built to destroy track records," Jalopnik wrote in 2022 when the car shaved more than two seconds off a long-standing record. The "Downforce-on-Demand" feature gives it tremendous acceleration — in nine seconds it can go from 0 to 186.4 mph (300 km/h), according to Jalopnik. "McMurtry is working towards finalizing a production version of its hypercar, called the Spéirling PURE. Only 100 will be produced."

Read more of this story at Slashdot.

IIYAMA dévoile un nouvel écran dit sans effort : le XC3497WQSNPH 34 pouces incurvé

IIYAMA revient avec un écran pensé pour le confort et la polyvalence. Le XC3497WQSNPH, un modèle incurvé de 34 pouces avec une courbure de 1500R, propose une définition UWQHD de 3440 x 1440 pixels. On retrouve une dalle VA avec un taux de contraste de 3000:1 et un temps de réponse très réactif de 0,4 ms. Côté dalle, pas plus à signaler. Des petits plus qui font la différence L'écran offre une luminosité max de 350 cd/m² et affiche 16,7 millions de couleurs. Mais ce sont surtout ses à-côtés qui attirent l'œil. On y trouve une webcam 5 MP compatible Windows Hello avec micro intégré, et surtout un dock bien fourni : 2 ports USB 3.2 Gen 1 Type-A 2 ports USB 3.2 Gen 1 Type-C 1 port USB-C 3.2 Gen 1 avec charge rapide (95 W) + option DisplayPort 2 HDMI 2.0 + 1 DisplayPort 1.4 1 port RJ-45 Ethernet Le tout compatible avec le client KVM intégré, bien pratique pour basculer facilement entre deux machines avec un seul clavier/souris. […]

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Sony annonce une augmentation de prix de 25 % sur la PS5 dans plusieurs régions

Sony a annoncé ce jour une hausse significative des prix de la PlayStation 5 dans plusieurs régions du globe. Cette augmentation d'environ 25 % affecte dès aujourd'hui l'Europe, le Moyen-Orient, l'Afrique, l'Australie et la Nouvelle-Zélande. Une économie mondiale sous tension Selon Sony, cette décision est motivée par un contexte économique difficile, marqué par une inflation élevée et des fluctuations des taux de change. […]

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ASUS dévoile une collection exclusive Hatsune Miku : PC gaming, périphériques et accessoires à l'effigie de la star virtuelle

ASUS s'apprête à frapper fort avec le lancement imminent d'une gamme complète de produits aux couleurs de Hatsune Miku, la célèbre idole virtuelle japonaise. Après le succès de sa collaboration avec la licence Gundam, la marque taïwanaise remet le couvert avec une série d'accessoires et composants pour PC au design unique. Une esthétique pastel audacieuse Entre blanc, turquoise et rose, la collection promet un look rafraîchissant et hautement désirable pour les fans de Miku comme pour les amateurs de configurations originales. […]

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ASUS relance la course aux Hz avec un écran TN à 610 Hz

Et c'est reparti avec la course à la haute fréquence. Après le AOC à 600 Hz, ASUS dégaine un 610 Hz avec le ROG XG248Q5G-P, un écran TN de 24 pouces. Comme tout TN, on est loin de la couverture colorimétrique proposée par les IPS ou les OLED : on atteint seulement 90 % de l'espace colorimétrique DCI-P3. Mais sur ce type d'écran, ce n'est pas une priorité. En revanche, il prend en charge AMD FreeSync et NVIDIA G-Sync Compatible. […]

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Trump suspend les droits de douane sur les produits tech venus de Chine… temporairement

Souvent Donald varie
Trump suspend les droits de douane sur les produits tech venus de Chine… temporairement

Donald Trump a déclaré vendredi soir que les smartphones et autres appareils électroniques importés depuis la Chine seraient exemptés de droits de douane… avant de se raviser dimanche et d’annoncer que la tech, comme les semi-conducteurs, feraient bientôt l’objet d’une taxe spécifique.

Quelques semaines de répit avant un nouveau train de mesures ? Donald Trump a fait souffler le chaud et le froid tout le week-end quant à la question des droits de douane appliqués aux produits tech importés par les États-Unis depuis la Chine.

Un soulagement de courte durée

Son administration a d’abord annoncé vendredi soir que ces produits – smartphones, ordinateurs, composants électroniques, etc – seraient exonérés de droits de douane. Un mouvement particulièrement bienvenu pour le secteur de la tech et des acteurs de premier plan comme Apple ou NVIDIA, alors que les importations chinoises sont depuis peu frappées d’une taxe exceptionnelle fixée à 125 % de leurs valeurs.

La mesure a pris la forme d’une liste blanche de produits exonérés de taxes, doublée d’un memorandum signé par Donald Trump. Et sans surprise, elle a rapidement été perçue comme un signal encourageant envoyé par la Maison-Blanche à destination des marchés financiers, sur lesquels les valeurs tech sont particulièrement malmenées depuis le début de l’épisode des droits de douane dits réciproques entre les États-Unis et le reste du monde.

Le président a toutefois rapidement douché les espoirs de ceux qui espéraient un blanc-seing douanier pour les produits de la tech. « PERSONNE n’échappera à ses responsabilités quant aux déséquilibres commerciaux injustes et aux barrières tarifaires non monétaires que d’autres pays ont utilisé contre nous, et certainement pas la Chine qui, de loin, nous traite le plus mal », a écrit Donald Trump dimanche, sur son réseau social, Truth.

Dénonçant les fake news des médias, il est revenu sur les exemptions mises en place le vendredi, déclarant qu’il ne s’agissait pas d’une exception ou d’une exemption, et que les produits tech restaient frappés d’une taxe de 20 %, prononcée à l’encontre des importations chinoises en raison des efforts insuffisants prodigués par Pékin dans la lutte contre le trafic international de fentanyl.

« Nous allons examiner les semi-conducteurs et l’ENSEMBLE DE LA CHAÎNE D’APPROVISIONNEMENT ÉLECTRONIQUE dans nos prochaines enquêtes relatives aux droits de douane de sécurité nationale », a encore promis Trump.

Une taxe globale sur les semi-conducteurs et produits associés ?

En attendant, statu quo. « La confusion générale créée par ce flux constant d’informations provenant de la Maison-Blanche est vertigineuse pour le secteur et les investisseurs, et crée une incertitude et un chaos considérables pour les entreprises qui tentent de planifier leur chaîne d’approvisionnement, leurs stocks et leur demande », commente Daniel Ives de Wedbush Securities, interrogé par le Financial Times.

Howard Lutnick, secrétaire au commerce de la Maison-Blanche, a tout de même livré une explication de texte dimanche, au micro d’ABC. « Tous ces produits seront classés dans la catégorie des semi-conducteurs et des droits de douane spécifiques seront appliqués pour garantir leur relocalisation », a-t-il déclaré, évoquant une mise en œuvre d’ici un mois ou deux. L’impétuosité de Donald Trump saura-t-elle composer avec ce délai ? Rien n’est moins sûr. D’après Reuters, le président aurait l’intention de procéder à de nouvelles annonces dès la semaine prochaine…

Trump suspend les droits de douane sur les produits tech venus de Chine… temporairement

Souvent Donald varie
Trump suspend les droits de douane sur les produits tech venus de Chine… temporairement

Donald Trump a déclaré vendredi soir que les smartphones et autres appareils électroniques importés depuis la Chine seraient exemptés de droits de douane… avant de se raviser dimanche et d’annoncer que la tech, comme les semi-conducteurs, feraient bientôt l’objet d’une taxe spécifique.

Quelques semaines de répit avant un nouveau train de mesures ? Donald Trump a fait souffler le chaud et le froid tout le week-end quant à la question des droits de douane appliqués aux produits tech importés par les États-Unis depuis la Chine.

Un soulagement de courte durée

Son administration a d’abord annoncé vendredi soir que ces produits – smartphones, ordinateurs, composants électroniques, etc – seraient exonérés de droits de douane. Un mouvement particulièrement bienvenu pour le secteur de la tech et des acteurs de premier plan comme Apple ou NVIDIA, alors que les importations chinoises sont depuis peu frappées d’une taxe exceptionnelle fixée à 125 % de leurs valeurs.

La mesure a pris la forme d’une liste blanche de produits exonérés de taxes, doublée d’un memorandum signé par Donald Trump. Et sans surprise, elle a rapidement été perçue comme un signal encourageant envoyé par la Maison-Blanche à destination des marchés financiers, sur lesquels les valeurs tech sont particulièrement malmenées depuis le début de l’épisode des droits de douane dits réciproques entre les États-Unis et le reste du monde.

Le président a toutefois rapidement douché les espoirs de ceux qui espéraient un blanc-seing douanier pour les produits de la tech. « PERSONNE n’échappera à ses responsabilités quant aux déséquilibres commerciaux injustes et aux barrières tarifaires non monétaires que d’autres pays ont utilisé contre nous, et certainement pas la Chine qui, de loin, nous traite le plus mal », a écrit Donald Trump dimanche, sur son réseau social, Truth.

Dénonçant les fake news des médias, il est revenu sur les exemptions mises en place le vendredi, déclarant qu’il ne s’agissait pas d’une exception ou d’une exemption, et que les produits tech restaient frappés d’une taxe de 20 %, prononcée à l’encontre des importations chinoises en raison des efforts insuffisants prodigués par Pékin dans la lutte contre le trafic international de fentanyl.

« Nous allons examiner les semi-conducteurs et l’ENSEMBLE DE LA CHAÎNE D’APPROVISIONNEMENT ÉLECTRONIQUE dans nos prochaines enquêtes relatives aux droits de douane de sécurité nationale », a encore promis Trump.

Une taxe globale sur les semi-conducteurs et produits associés ?

En attendant, statu quo. « La confusion générale créée par ce flux constant d’informations provenant de la Maison-Blanche est vertigineuse pour le secteur et les investisseurs, et crée une incertitude et un chaos considérables pour les entreprises qui tentent de planifier leur chaîne d’approvisionnement, leurs stocks et leur demande », commente Daniel Ives de Wedbush Securities, interrogé par le Financial Times.

Howard Lutnick, secrétaire au commerce de la Maison-Blanche, a tout de même livré une explication de texte dimanche, au micro d’ABC. « Tous ces produits seront classés dans la catégorie des semi-conducteurs et des droits de douane spécifiques seront appliqués pour garantir leur relocalisation », a-t-il déclaré, évoquant une mise en œuvre d’ici un mois ou deux. L’impétuosité de Donald Trump saura-t-elle composer avec ce délai ? Rien n’est moins sûr. D’après Reuters, le président aurait l’intention de procéder à de nouvelles annonces dès la semaine prochaine…

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