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Exchange, Office, Outlook, Windows… Microsoft fera un ménage par le vide le 14 octobre

Si tu ne viens pas au nuage...
Exchange, Office, Outlook, Windows… Microsoft fera un ménage par le vide le 14 octobre

Windows 10 ne sera pas le seul produit de Microsoft à ne plus avoir de support cet automne. Le même 14 octobre, Exchange 2016 et 2019 recevront leur mise à jour finale. Après quoi, les garder sera dangereux. Problème, les solutions de remplacement sont en ligne ou sur abonnement.

Exchange 2016 et 2019 sont actuellement les deux dernières versions sur site (on premise) du serveur e-mail de Microsoft. On parle bien de logiciels que l’on peut installer et configurer sur des serveurs présents dans des locaux. À l’inverse, Exchange Online est l’offre en ligne de Microsoft, sur ses propres serveurs. Ce découpage de gamme est à peu près le même que pour Office, avec une offre Microsoft 365 en ligne et des licences perpétuelles (et locales) tous les trois ans en moyenne.

Les habituels dangers

En début de semaine, Microsoft a prévenu : Exchange 2016 et 2019 n’en ont plus que pour six mois de support. Après quoi, plus aucune mise à jour de sécurité ne sera publiée. Comme toujours dans le cas d’un produit exposé à internet, il est recommandé de ne plus utiliser de tels produits, puisque les failles ne sont plus corrigées. Certains facteurs peuvent atténuer une partie des risques, mais aucune solution ne peut compenser durablement la présence de failles.

« Les installations clients d’Exchange 2016 et d’Exchange 2019 continueront bien sûr à fonctionner après le 14 octobre 2025 », précise quand même Microsoft. « Cependant, continuer à utiliser ces offres après la date de fin de support invite à des risques de sécurité potentiels, c’est pourquoi nous recommandons fortement de prendre des mesures dès maintenant ».

Rappelons que les risques de sécurité ne sont pas les seuls. En Europe, le RGPD exige par exemple que les données personnelles soient entreposées dans des logiciels à jour. L’utilisation de versions obsolètes peut donc exposer à des amendes. Il n’y aura plus non plus de support technique. En outre, plus les logiciels prennent de l’âge, plus leur maintenance peut coûter cher.

Enfin, cette fin de support s’applique également aux éditions 2016 et 2019 d’Office, Outlook et Skype for Business. Pour Microsoft, ce sera le grand ménage d’automne et une manière de pousser encore un peu plus vers le cloud. Le 14 octobre, ce sera également la fin officielle de Windows 10.

Deux solutions possibles pour Microsoft

Microsoft propose essentiellement deux solutions. La première est de migrer vers une offre totalement hébergée. Exchange Online par exemple si l’on ne veut effectivement gérer que des e-mails, ou Microsoft 365 dans l’une de ses formes pour entreprises pour avoir tout le package productivité.

L’autre est de mettre à niveau l’ancienne installation sur site vers Exchange Server Subscription Edition. Celle-ci sortira en juillet et Microsoft en profite pour recommander la préparation du terrain si le produit intéresse les entreprises.

De quoi parle-t-on exactement ? D’une version fonctionnant, dans les grandes lignes, avec le même code qu’Exchange 2019 Cumulative Update 15, mais légèrement modernisé. Cette édition prendra en charge Windows Server 2025, remplace NTLMv2 par Kerberos pour les communications entre serveurs, l’intégration de l’API Admin, la suppression de Remote PowerShell, d’Outlook Anywhere et de l’API UCMA 4.0. Cette édition sera mise à jour deux fois par an pour entretenir sa compatibilité générale, corriger les bugs et colmater les failles.

Problème bien sûr, ces deux solutions sont sur abonnement. Migrer vers Exchange SE depuis la version 2019 réclamera ainsi de nouvelles licences, qui ne fonctionneront plus en cas d’arrêt des paiements. Migrer depuis la version 2016 est plus complexe. Microsoft recommande de faire d’abord la mise à jour vers Exchange 2019, avant de migrer ensuite vers l’édition SE.

Ou de nouveaux horizons

Qui héberge encore sur site ses e-mails ? La question peut faire sourire, tant le monde semble s’être tourné très rapidement vers les solutions hébergées et plus généralement le cloud. Les entreprises concernées ont peut-être cependant des installations parfaitement fonctionnelles, sans avoir eu besoin de changer. Auquel cas l’installation des correctifs de sécurité était tout ce qui pouvait les intéresser.

Les avantages du cloud sont connus, avec notamment une infogérance beaucoup plus légère et la résilience des gigantesques infrastructures. Ces dernières offrent le plus souvent plusieurs niveaux de redondance, des mécanismes efficaces de reprise sur incident et de solides protections pour de nombreuses menaces. Au contraire, une entreprise peut être intéressée par une gestion de ses courriels à sa manière, sur son matériel et dans son réseau, sans appétence pour des fonctions modernes, dont tout ce qui touche à l’IA.

Pour rester sur Exchange sans prendre le risque d’exposer toutes ses données aux quatre vents, il faut donc préparer une migration et réaliser des analyses bénéfices/risques sur les solutions proposées. À moins que ce soit l’occasion de migrer vers une autre solution. Google Workspace ? L’offre est financièrement compétitive face à Microsoft 365, mais Google ne propose que des solutions hébergées.

Le sujet est plus complexe qu’il n’y parait et va dépendre des besoins de l’entreprise. Car lorsqu’on parle d’Exchange, cela inclut la gestion des contacts et les calendriers, avec tout ce qui touche à la synchronisation. Il y a sinon les solutions de type collaboratif (groupware), mais tous ne proposent pas forcément des installations sur site. Dans tous les cas, la solution ne sera pas simple, car il faudra pouvoir en plus pouvoir migrer les données.

Exchange, Office, Outlook, Windows… Microsoft fera un ménage par le vide le 14 octobre

Si tu ne viens pas au nuage...
Exchange, Office, Outlook, Windows… Microsoft fera un ménage par le vide le 14 octobre

Windows 10 ne sera pas le seul produit de Microsoft à ne plus avoir de support cet automne. Le même 14 octobre, Exchange 2016 et 2019 recevront leur mise à jour finale. Après quoi, les garder sera dangereux. Problème, les solutions de remplacement sont en ligne ou sur abonnement.

Exchange 2016 et 2019 sont actuellement les deux dernières versions sur site (on premise) du serveur e-mail de Microsoft. On parle bien de logiciels que l’on peut installer et configurer sur des serveurs présents dans des locaux. À l’inverse, Exchange Online est l’offre en ligne de Microsoft, sur ses propres serveurs. Ce découpage de gamme est à peu près le même que pour Office, avec une offre Microsoft 365 en ligne et des licences perpétuelles (et locales) tous les trois ans en moyenne.

Les habituels dangers

En début de semaine, Microsoft a prévenu : Exchange 2016 et 2019 n’en ont plus que pour six mois de support. Après quoi, plus aucune mise à jour de sécurité ne sera publiée. Comme toujours dans le cas d’un produit exposé à internet, il est recommandé de ne plus utiliser de tels produits, puisque les failles ne sont plus corrigées. Certains facteurs peuvent atténuer une partie des risques, mais aucune solution ne peut compenser durablement la présence de failles.

« Les installations clients d’Exchange 2016 et d’Exchange 2019 continueront bien sûr à fonctionner après le 14 octobre 2025 », précise quand même Microsoft. « Cependant, continuer à utiliser ces offres après la date de fin de support invite à des risques de sécurité potentiels, c’est pourquoi nous recommandons fortement de prendre des mesures dès maintenant ».

Rappelons que les risques de sécurité ne sont pas les seuls. En Europe, le RGPD exige par exemple que les données personnelles soient entreposées dans des logiciels à jour. L’utilisation de versions obsolètes peut donc exposer à des amendes. Il n’y aura plus non plus de support technique. En outre, plus les logiciels prennent de l’âge, plus leur maintenance peut coûter cher.

Enfin, cette fin de support s’applique également aux éditions 2016 et 2019 d’Office, Outlook et Skype for Business. Pour Microsoft, ce sera le grand ménage d’automne et une manière de pousser encore un peu plus vers le cloud. Le 14 octobre, ce sera également la fin officielle de Windows 10.

Deux solutions possibles pour Microsoft

Microsoft propose essentiellement deux solutions. La première est de migrer vers une offre totalement hébergée. Exchange Online par exemple si l’on ne veut effectivement gérer que des e-mails, ou Microsoft 365 dans l’une de ses formes pour entreprises pour avoir tout le package productivité.

L’autre est de mettre à niveau l’ancienne installation sur site vers Exchange Server Subscription Edition. Celle-ci sortira en juillet et Microsoft en profite pour recommander la préparation du terrain si le produit intéresse les entreprises.

De quoi parle-t-on exactement ? D’une version fonctionnant, dans les grandes lignes, avec le même code qu’Exchange 2019 Cumulative Update 15, mais légèrement modernisé. Cette édition prendra en charge Windows Server 2025, remplace NTLMv2 par Kerberos pour les communications entre serveurs, l’intégration de l’API Admin, la suppression de Remote PowerShell, d’Outlook Anywhere et de l’API UCMA 4.0. Cette édition sera mise à jour deux fois par an pour entretenir sa compatibilité générale, corriger les bugs et colmater les failles.

Problème bien sûr, ces deux solutions sont sur abonnement. Migrer vers Exchange SE depuis la version 2019 réclamera ainsi de nouvelles licences, qui ne fonctionneront plus en cas d’arrêt des paiements. Migrer depuis la version 2016 est plus complexe. Microsoft recommande de faire d’abord la mise à jour vers Exchange 2019, avant de migrer ensuite vers l’édition SE.

Ou de nouveaux horizons

Qui héberge encore sur site ses e-mails ? La question peut faire sourire, tant le monde semble s’être tourné très rapidement vers les solutions hébergées et plus généralement le cloud. Les entreprises concernées ont peut-être cependant des installations parfaitement fonctionnelles, sans avoir eu besoin de changer. Auquel cas l’installation des correctifs de sécurité était tout ce qui pouvait les intéresser.

Les avantages du cloud sont connus, avec notamment une infogérance beaucoup plus légère et la résilience des gigantesques infrastructures. Ces dernières offrent le plus souvent plusieurs niveaux de redondance, des mécanismes efficaces de reprise sur incident et de solides protections pour de nombreuses menaces. Au contraire, une entreprise peut être intéressée par une gestion de ses courriels à sa manière, sur son matériel et dans son réseau, sans appétence pour des fonctions modernes, dont tout ce qui touche à l’IA.

Pour rester sur Exchange sans prendre le risque d’exposer toutes ses données aux quatre vents, il faut donc préparer une migration et réaliser des analyses bénéfices/risques sur les solutions proposées. À moins que ce soit l’occasion de migrer vers une autre solution. Google Workspace ? L’offre est financièrement compétitive face à Microsoft 365, mais Google ne propose que des solutions hébergées.

Le sujet est plus complexe qu’il n’y parait et va dépendre des besoins de l’entreprise. Car lorsqu’on parle d’Exchange, cela inclut la gestion des contacts et les calendriers, avec tout ce qui touche à la synchronisation. Il y a sinon les solutions de type collaboratif (groupware), mais tous ne proposent pas forcément des installations sur site. Dans tous les cas, la solution ne sera pas simple, car il faudra pouvoir en plus pouvoir migrer les données.

SteamOS, ça se précise pour les machines ASUS et Lenovo !

Nouvelle mise à jour pour SteamOS sur le Steam Deck, qui passe désormais en version 3.7.3 via le canal de prévisualisation avec des ajouts très intéressants : - Ajout de la prise en charge de la limite de fréquence d'images pour les écrans VRR (intégrés et externes). - Correction d'un plantage qui survenait lorsqu'aucun écran n'était branché. - Ajout de la prise en charge du bouton Marche/arrêt pour les appareils portables Asus et Lenovo. - Amélioration de la prise en charge des entrées pour les appareils portables Asus et Lenovo. La gestion du VRR ? ASUS ? Lenovo ? Les choses s'accélèrent donc pour la ROG Ally qui aura prochainement SteamOS pris en charge, ou l'inverse, tandis que Lenovo a toujours la Legion Go S en attente avec SteamOS en système d'exploitation par défaut pour le mois de mai. […]

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Pourquoi se priver, Windows 10 à 13 euros et Windows 11 à 19 euros !!!

Vous allez le voir, c'est simple, c'est rapide et en plus on vous explique comment acheter une clé Windows 11. Assurément aujourd'hui, avec nos machines Gaming ou de production, il est essentiel d'avoir une licence Windows et Office, ou au moins une clé d'activation Windows et Office pour profiter pleinement de sa configuration, mais aussi des fonctionnalités et des mises à jour de l'OS ou encore de sa suite bureautique. Cependant, ces licences peuvent coûter plusieurs centaines d'euros. Heureusement, grâce à notre partenaire GVGMALL, vous n'aurez plus à payer des sommes folles et en plus, vous n'aurez plus le message Windows non activé en bas de votre écran. Mais pourquoi ? Car GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs qui sont plus ultra avantageux : - Windows 11 dès 19 U+20AC - Windows 10 dès 13 U+20AC - Licences Office dès 24 U+20AC De plus, avec le code promo CCVIP, bénéficiez de 30 % de réduction supplémentaire sur vos achats. Pourquoi attendre ? En passant à Windows 10 pour seulement 13 U+20AC, vous pourrez également effectuer une mise à niveau gratuite vers Windows 11, vous permettant ainsi d'accéder au dernier OS de Microsoft à moindre coût. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Profitez des offres suivantes chez GVGMALL et Cowcotland : - Windows 11 Pro OEM Lifetime à 19.96 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime à 13.86 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime à 18.41 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime à 12.63 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime à 24.11 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime à 42.25 U+20AC - Windos 10 Enterprise LTSC 2021 CD Key Global à 9.09 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 à 34.14 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 à 51.92 U+20AC […]

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JONSBO TG-420, un bon gros AIO en 420 mm

En parallèle des ventilateurs ZW-140, JONSBO présente un gros watercooling AIO en 420 dénommé TG-420. Un produit au design finalement assez simple, avec un carénage très lisse pour le waterblock qui renvoie directement aux ventilateurs, même si JONSBO opte pour du circulaire. L'éclairage RGB reste discret avec un logo très discret et un top qui vient diffuser doucement la lumière. C'est simple et réussi, mais JONSBO ne propose pour l'instant qu'une version noire. […]

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Gigabyte GeForce RTX 5060 Ti EAGLE OC 16 GB : Un PCB de seulement 10 cm de large !!!

Très honnêtement, une fois que l'on a découvert la RTX 5060 Low Profile, on se dit que tout est possible. Et quand nos confrères d'HardwareLuxx ont ouvert la GeForce RTX 5060 Ti EAGLE OC 16 GB, qu'elle n'a pas été leur surprise de découvrir un si petit PCB derrière un si gros système de refroidissement. PCB qui fait dans les 10 x 10 cm, qui intègre 6 phases d'alimentation, 4 puces GDDR7, un GPU et un connecteur PCIe 8 PIN. On remarque aussi que la carte est physiquement en PCI Express 8x. […]

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GameSir X5 Lite, pour jouer plus facilement avec son téléphone portable

Si vous pensiez que le catalogue de manettes pour téléphone portable de GameSir était complet, ce n'est visiblement pas le point de vue qu'adopte la marque. Avec la X5 Lite, GameSir propose une nouvelle manette plutôt abordable, 44.99 U+20AC, qui fait le plein de fonctionnalités. Disponible dans un original coloris wasabi et en noir, la X5 Lite reprend les points forts des autres manettes du genre de la marque avec notamment un port USB Type-C qui pivote pour faciliter la mise en place et le retrait du téléphone, ou encore différents pads en silicone pour venir le tenir correctement en place. […]

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AMD Radeon RX 9070 GRE : les spécifications techniques dévoilées ?

Cela fait déjà pas mal de temps que nous parlons de la RX 9070 GRE. Une carte qui doit normalement se limiter à la Chine, mais qui pourrait tout de même bien débarquer chez nous, en intégration dans un premier et ensuite en stand alone card. Pour le moment, on se doutait qu'AMD nous proposerait une carte qui serait en dessous des 9070 et 9070 XT, ce qui est assez logique, mais nous ne savions pas jusqu'à quel point les rouges allaient retoucher le Navi 48. Ce jour, nous avons le droit à quelques informations de plus concernant cette nouvelle carte et comme toujours, nous partageons cela avec vous. […]

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Gigabyte annonce la plus INCROYABLE des RTX 5060 !!!

Oui, on peut le dire, elle est INCROYABLE carte graphique en RTX 5060 par GIGABYTE, avec son format Low Profile, ses deux slots de largeur et ses 18.2 cm de profondeur. Et pourtant, nous avons le droit à des caloducs, pas mal d'ailettes en aluminium, mais aussi pas moins de 3 ventilateurs. Pour alimenter le tout, nous avons le droit à une prise PCI Express 8 PIN à l'arrière. […]

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Moondrop passe aux intras gaming en filaire avec les Rays

Désormais bien en place depuis un petit moment, les intras dits TWS se déclinent désormais dans le gaming : latence réduite, fréquences optimisées pour mieux faire ressortir certains sons, etc. Chez Moondrop, on joue la carte du son de qualité supérieure en optant pour des intras filaires qui profitent d'une connexion en USB Type-C avec une carte son intégrée. Cette dernière pourra être configurée via une application mobile et une autre en ligne afin que l'utilisateur puisse ajuster au mieux le rendu sonore dans les jeux, voire en musique ou vidéo. Côté design, Moondrop ne fait pas dans la dentelle et veut que les Rays, c'est leur nom, soient bien visibles. C'est coloré, c'est flashy, mais c'est en même temps discret puisque le micro n'est pas de type perche. Un choix original pour un casque à vocation gaming, mais Moondrop dit s'appuyer sur de l'IA pour améliorer la captation. […]

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Dans un mois, nous partirons pour le Computex 2025

Le 17 mai prochain, nous serons, à cette heure-ci, en direction de l'aéroport CDG pour nous rendre au Computex 2025. Un petit vol de 13 heures avec EVA AIR, et normalement l'avion Hello Kitty, pour une arrivée le samedi matin à Taipei. Cette année, nous avons réellement une tonne de rendez-vous comme vous pourrez le voir dans le planning qui est en cours d'élaboration. Les hostilités commenceront très tôt avec nos premiers rendez-vous dès le dimanche après midi. […]

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Netflix augmente fortement ses tarifs en France et supprime son offre Essentiel

Stop ou encore ?
Netflix augmente fortement ses tarifs en France et supprime son offre Essentiel

Depuis ce matin, les tarifs sont en hausse pour les clients français. La plateforme de streaming n’y va pas avec le dos de la cuillère puisqu’il est question de 1,5 à 2 euros de plus par mois suivant les formules. L’annonce a été faite à l’occasion de la publication de son bilan financier, avec des revenus en hausse et des bénéfices de 2,890 milliards de dollars.

De 7,99 à 21,99 euros par mois

La nouvelle grille tarifaire est en ligne, voici sans attendre les trois forfaits avec, entre parenthèses, les anciens prix :

  • Standard avec pub : 7,99 euros par mois (au lieu de 5,99 euros)
  • Standard : 14,99 € par mois (au lieu de 13,49 euros)
  • Premium : 21,99 € par mois (au lieu de 19,99 euros)

Le forfait Standard permet toujours d’ajouter un abonné supplémentaire. Le tarif est de 5,99 euros par mois avec pub ou de 6,99 euros par mois sans. Avec Premium jusqu’à deux abonnés peuvent être ajoutés.

L’offre Essentiel n’existe plus

À 7,99 euros par mois, Netflix Standard avec pub se positionne exactement au tarif de l’offre standard lors du lancement de la plateforme en septembre 2014. « Le second palier à 8,99 euros par mois vous ouvre les portes de la HD sur deux écrans en simultanée, tandis que pour profiter de quatre écrans qui peuvent aller jusqu’à la 4K Ultra HD il faudra débourser 11,99 euros par mois », expliquions-nous à l’époque. De 11,99 euros par mois, la formule en 4K UHD est désormais à 21,99 euros par mois.

Netflix en profite au passage pour indiquer que son « offre Essentiel n’est plus proposée ». C’était la formule d’entrée de gamme, sans publicité, en HD seulement et sur un seul appareil à la fois (elle était à 10,99 euros par mois). Aucun détail supplémentaire n’est donné, si ce n’est que « vous pouvez changer d’offre à tout moment ».

Netflix content de ses récentes hausses

L’annonce a été faite à l’occasion de la publication du bilan financier de Netflix : « Aujourd’hui, nous ajustons les prix en France, qui sont déjà pris en compte dans nos prévisions 2025 », peut-on lire dans le communiqué. « Les récents ajustements tarifaires que nous avons opérés sur les principaux marchés (notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Argentine) ont été conformes à nos attentes », affirme Netflix.

Netflix semble satisfait de ses offres avec publicité : « Nous sommes en bonne voie pour atteindre une taille critique de notre base de membres dans tous les pays cette année ». « L’un de nos principaux objectifs pour 2025 est d’améliorer nos capacités avec les annonceurs. Nous avons déployé avec succès Netflix Ads Suite, notre plateforme interne, aux États-Unis le 1ᵉʳ avril. Dans les prochains mois, nous la lancerons sur nos autres marchés publicitaires », ajoute l’entreprise.

10,5 milliards de revenus, 2,9 milliards de bénéfices, en trois mois

Sur le premier trimestre 2025, la plateforme a réalisé 10,5 milliards de dollars de revenus, en hausse de 12,5 % sur un an. Elle prévoit d’arriver à 11 milliards au deuxième trimestre, ce qui serait une hausse de 15,4 % par rapport à 2024. Le bénéfice net sur les trois premiers mois de 2025 est de 2,9 milliards de dollars, contre 2,3 milliards un an auparavant.

Netflix augmente fortement ses tarifs en France et supprime son offre Essentiel

Stop ou encore ?
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Depuis ce matin, les tarifs sont en hausse pour les clients français. La plateforme de streaming n’y va pas avec le dos de la cuillère puisqu’il est question de 1,5 à 2 euros de plus par mois suivant les formules. L’annonce a été faite à l’occasion de la publication de son bilan financier, avec des revenus en hausse et des bénéfices de 2,890 milliards de dollars.

De 7,99 à 21,99 euros par mois

La nouvelle grille tarifaire est en ligne, voici sans attendre les trois forfaits avec, entre parenthèses, les anciens prix :

  • Standard avec pub : 7,99 euros par mois (au lieu de 5,99 euros)
  • Standard : 14,99 € par mois (au lieu de 13,49 euros)
  • Premium : 21,99 € par mois (au lieu de 19,99 euros)

Le forfait Standard permet toujours d’ajouter un abonné supplémentaire. Le tarif est de 5,99 euros par mois avec pub ou de 6,99 euros par mois sans. Avec Premium jusqu’à deux abonnés peuvent être ajoutés.

L’offre Essentiel n’existe plus

À 7,99 euros par mois, Netflix Standard avec pub se positionne exactement au tarif de l’offre standard lors du lancement de la plateforme en septembre 2014. « Le second palier à 8,99 euros par mois vous ouvre les portes de la HD sur deux écrans en simultanée, tandis que pour profiter de quatre écrans qui peuvent aller jusqu’à la 4K Ultra HD il faudra débourser 11,99 euros par mois », expliquions-nous à l’époque. De 11,99 euros par mois, la formule en 4K UHD est désormais à 21,99 euros par mois.

Netflix en profite au passage pour indiquer que son « offre Essentiel n’est plus proposée ». C’était la formule d’entrée de gamme, sans publicité, en HD seulement et sur un seul appareil à la fois (elle était à 10,99 euros par mois). Aucun détail supplémentaire n’est donné, si ce n’est que « vous pouvez changer d’offre à tout moment ».

Netflix content de ses récentes hausses

L’annonce a été faite à l’occasion de la publication du bilan financier de Netflix : « Aujourd’hui, nous ajustons les prix en France, qui sont déjà pris en compte dans nos prévisions 2025 », peut-on lire dans le communiqué. « Les récents ajustements tarifaires que nous avons opérés sur les principaux marchés (notamment les États-Unis, le Royaume-Uni et l’Argentine) ont été conformes à nos attentes », affirme Netflix.

Netflix semble satisfait de ses offres avec publicité : « Nous sommes en bonne voie pour atteindre une taille critique de notre base de membres dans tous les pays cette année ». « L’un de nos principaux objectifs pour 2025 est d’améliorer nos capacités avec les annonceurs. Nous avons déployé avec succès Netflix Ads Suite, notre plateforme interne, aux États-Unis le 1ᵉʳ avril. Dans les prochains mois, nous la lancerons sur nos autres marchés publicitaires », ajoute l’entreprise.

10,5 milliards de revenus, 2,9 milliards de bénéfices, en trois mois

Sur le premier trimestre 2025, la plateforme a réalisé 10,5 milliards de dollars de revenus, en hausse de 12,5 % sur un an. Elle prévoit d’arriver à 11 milliards au deuxième trimestre, ce qui serait une hausse de 15,4 % par rapport à 2024. Le bénéfice net sur les trois premiers mois de 2025 est de 2,9 milliards de dollars, contre 2,3 milliards un an auparavant.

Q-CTRL Unveils Jam-Proof Positioning System That's 50x More Accurate Than GPS

schwit1 shares a report from Interesting Engineering: Australia's Q-CTRL developed a new system called "Ironstone Opal," which uses quantum sensors to navigate without GPS. It's passive (meaning it doesn't emit signals that could be detected or jammed) and highly accurate. Instead of relying on satellites, Q-CTRL's system can read the Earth's magnetic field, which varies slightly depending on location (like a magnetic fingerprint or map). The system can determine where you are by measuring these variations using magnetometers. This is made possible using the company's proprietary quantum sensors, which are incredibly sensitive and stable. The system also comes with special AI-based software, which filters out interference like vibrations or electromagnetic noise (what they call "software ruggedization"). The system is small and compact and could, in theory, be installed in drones or cars and, of course, aircraft. Q-CTRL ran some live tests on the ground and in the air to validate the technology. As anticipated, they found that it could operate completely independently of GPS. Moreover, the company reports that its quantum GPS was 50 times more accurate than traditional GPS backup systems (like Inertial Navigation Systems or INS). The systems also delivered navigation precision on par with hitting a bullseye from 1,000 yards. Even when the equipment was mounted inside a plane, where interference is much worse, it outperformed existing systems by at least 11x. This is the first time quantum technology has been shown to outperform existing tech in a real-world commercial or military application, a milestone referred to as achieving "quantum advantage."

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Police Using AI Personas to Infiltrate Online Activist Spaces, Records Reveal

samleecole shares a report from 404 Media: American police departments near the United States-Mexico border are paying hundreds of thousands of dollars for an unproven and secretive technology that uses AI-generated online personas designed to interact with and collect intelligence on "college protesters," "radicalized" political activists, and suspected drug and human traffickers, according to internal documents, contracts, and communications 404 Media obtained via public records requests. Massive Blue, the New York-based company that is selling police departments this technology, calls its product Overwatch, which it markets as an "AI-powered force multiplier for public safety" that "deploys lifelike virtual agents, which infiltrate and engage criminal networks across various channels." According to a presentation obtained by 404 Media, Massive Blue is offering cops these virtual personas that can be deployed across the internet with the express purpose of interacting with suspects over text messages and social media. [...] While the documents don't describe every technical aspect of how Overwatch works, they do give a high-level overview of what it is. The company describes a tool that uses AI-generated images and text to create social media profiles that can interact with suspected drug traffickers, human traffickers, and gun traffickers. After Overwatch scans open social media channels for potential suspects, these AI personas can also communicate with suspects over text, Discord, and other messaging services. The documents we obtained don't explain how Massive Blue determines who is a potential suspect based on their social media activity. Salzwedel, of Pinal County, said "Massive Blue's solutions crawl multiple areas of the Internet, and social media outlets are just one component. We cannot disclose any further information to preserve the integrity of our investigations." [...] Besides scanning social media and engaging suspects with AI personas, the presentation says that Overwatch can use generative AI to create "proof of life" images of a person holding a sign with a username and date written on it in pen.

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Amazon To Launch First Vega OS-powered TV Streaming Device This Year

Amazon plans to release its first TV streaming device powered by Vega OS later this year while courting major publishers to bring their apps to the platform, according to Lowpass, which cites sources familiar with the company's plans and multiple leaks. Vega, a Linux-based operating system, may eventually replace Amazon's Android-based Fire OS across its device ecosystem. The company has already implemented Vega in three products: the Echo Show 5 and Echo Hub smart displays, as well as the Echo Spot smart clock/speaker. The tech giant has moved more cautiously in transitioning its TV hardware to Vega, having previously delayed a Vega-powered streaming stick originally slated for release in late 2024.

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Liz Truss Announces 'Uncensorable' Social Media Venture

databasecowgirl writes: [Liz Truss will launch an "uncensorable" social media platform this summer.] The shortest-serving prime minister, who was quickly shown the door after crashing the UK economy, claims the platform is needed to take on the Deep State. Truss has worked diligently to earn comparisons to Trump with appearances at American political rallies sporting a red MAGA cap. The effort has paid off with Trump's recent tariff announcement and resulting market meltdown, resulting in the two brands combined in the neologism Liz Trump to mark the unprecedented economic policy disasters of the two politicians. Truss' continuing in Trump's footsteps is creating her own uncensored social media platform for the UK to talk about important matters, which apparently is unable to be achieved without censorship on Musk's X or Trump's Truth Social. While a name has yet to be announced, Lettuce Talk has been suggested as appropriate for a platform run by a prime minister whose term was famously outlasted by a head of lettuce.

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Open-Source RADV Driver Begins Working To Improve AMD RDNA4 Ray-Tracing Performance

While the Radeon RX 9070 series as the first of the AMD RDNA4 graphics cards do perform well on Linux, the one area the performance has been less enticing remains with Vulkan ray-tracing while using the Mesa RADV driver. For example, AMDVLK vs. RADV on the RX 9070 series shows the Mesa driver struggling with ray-tracing compared to the official AMD driver. But the good news is there's a concerted effort now to improve the AMD RDNA4 ray-tracing performance with RADV...

HP Agrees To $4 Million Settlement Over Claims of 'Falsely Advertising' PCs, Keyboards

HP has agreed to a $4 million settlement over allegations of deceptive pricing practices on its website, including falsely inflating original prices for computers and accessories to create the illusion of steep discounts. Ars Technica reports: Earlier this month, Judge P. Casey Pitts for the US District Court of the San Jose Division of the Northern District of California granted preliminary approval [PDF] of a settlement agreement regarding a class-action complaint first filed against HP on October 13, 2021. The complaint accused HP's website of showing "misleading" original pricing for various computers, mice, and keyboards that was higher than how the products were recently and typically priced. Per the settlement agreement [PDF], HP will contribute $4 million to a "non-reversionary common fund, which shall be used to pay the (i) Settlement Class members' claims; (ii) court-approved Notice and Settlement Administration Costs; (iii) court-approved Settlement Class Representatives' Service Award; and (iv) court-approved Settlement Class Counsel Attorneys' Fees and Costs Award. All residual funds will be distributed pro rata to Settlement Class members who submitted valid claims and cashed checks." The two plaintiffs who filed the initial complaint may also file a motion to receive a settlement class representative service award for up to $5,000 each, which would come out of the $4 million pool. People who purchased a discounted HP desktop, laptop, mouse, or keyboard that was on sale for "more than 75 percent of the time the products were offered for sale" from June 5, 2021, to October 28, 2024, are eligible for compensation. The full list of eligible products is available here [PDF] and includes HP Spectre, Chromebook Envy, and Pavilion laptops, HP Envy and Omen desktops, and some mechanical keyboards and wireless mice. Depending on the product, class members can receive $10 to $100 per eligible product purchased.

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