Chicago Sun-Times Prints Summer Reading List Full of Fake Books
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Voilà une rumeur qui va faire plaisir à ceux qui n'arrivaient pas à concevoir que NVIDIA soit passé directement de 32 Go de GDDR7 à 16 Go dès son modèle suivant. Vous considérez que la GeForce RTX 5080 n'aurait jamais dû avoir 16 Go de VRAM et que la gamme RTX 5090 32 Go ; RTX 5080 24 Go ; RTX 5070...
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Noctua a montré pas mal de choses au Computex 2025, notamment un bon nombre de nouvelles collaborations avec d'autres marques et dont nous vous parlerons certainement aussi par la suite. Dans le rang de ses propres créations se trouvait une nouvelle fois le NF-A12x25 G2 ! Celui-ci avait été montré i...
Read more of this story at Slashdot.
Comme chaque année maintenant, Emmanuel Macron invite les grands patrons des multinationales pour une opération de communication dans le but d’engranger les promesses d’investissements. L’Elysée parle de 20 milliards d’euros pour cette année. Mais les annonces sur le numérique sont, pour la plupart, des redites du Sommet pour l’IA.
L’exercice est bien huilé maintenant. Comme depuis huit ans, Emmanuel Macron met ces jours-ci en avant les investissements de multinationales sur le sol européen. Le sommet « Choose France » réunit autour de lui 200 responsables de grandes entreprises françaises au Château de Versailles. À nos collègues du Figaro, une source de l’Élysée résume l’opération : « le président de la République est le VRP de la France ».
L’Elysée a annoncé dimanche soir 37 milliards d’euros d’investissements, tout en ajoutant que 20 d’entre eux étaient « entièrement nouveaux ». Les 17 autres milliards concernent de fait pour la plupart des projets du numérique qui avaient été annoncés dans le cadre du Sommet de l’intelligence artificielle. Cette partie « numérique » de l’opération correspond donc à la portion des 109 milliards d’investissements annoncés pendant ce sommet qui doit être débloquée cette année.
Dans cette enveloppe « confirmée » par l’Élysée, donc, 10 milliards viennent du fonds canadien Brookfield. Celui-ci solidifie, comme l’explique le journal Les Échos, la moitié de son annonce d’investissements dans l’Hexagone faite en février. Ce financement doit permettre de monter un méga projet de data center à Cambrai mené en collaboration avec la société Data4, rachetée par le fonds en 2023. Il faudra voir si Brookfield confirme ensuite les 10 autres milliards d’euros d’investissements promis il y a quatre mois.
Du côté de Digital Realty, l’entreprise américaine de data center a annoncé ce lundi 2,3 milliards d’euros d’investissements. De la même manière, l’entreprise confirme environ la moitié des promesses faites lors du sommet de l’IA puisqu’à l’époque, elle annonçait une somme de 5 milliards d’euros pour étendre ses data centers à Marseille et en région parisienne avec 13 nouveaux sites, comme l’écrivait le Parisien.
Enfin, le fonds d’investissement émirati MGX devrait confirmer son investissement dans un « campus IA » en Île-de-France en collaboration avec Bpifrance, NVIDIA et Mistral AI. Selon l’Usine Digitale, la première tranche du projet devrait atteindre 8,5 milliards d’euros et les travaux doivent débuter au second semestre 2026. Des discussions seraient en cours au sujet d’un terrain de 70 à 80 hectares près de Melun (Seine-et-Marne), selon la Tribune.
Du côté des nouveaux projets, L’Élysée a annoncé à l’AFP un investissement de 6,4 milliards d’euros de la part de Prologis, « en entrepôts et data centers ». Peu d’informations supplémentaires sont données à part que l’entreprise cherche à implanter quatre projets de data centers dans la région parisienne et investirait 1 milliards d’euros pour 750 000 m² d’entrepôts d’ici 2028 dans les villes de Marseille, Lyon, Paris ou du Havre.
Enfin, Kyndryl (spin-off d’IBM) a annoncé un investissement de 100 millions d’euros en France « en matière de données, d’intelligence artificielle (IA) et de cyber-résilience ».
Comme chaque année maintenant, Emmanuel Macron invite les grands patrons des multinationales pour une opération de communication dans le but d’engranger les promesses d’investissements. L’Elysée parle de 20 milliards d’euros pour cette année. Mais les annonces sur le numérique sont, pour la plupart, des redites du Sommet pour l’IA.
L’exercice est bien huilé maintenant. Comme depuis huit ans, Emmanuel Macron met ces jours-ci en avant les investissements de multinationales sur le sol européen. Le sommet « Choose France » réunit autour de lui 200 responsables de grandes entreprises françaises au Château de Versailles. À nos collègues du Figaro, une source de l’Élysée résume l’opération : « le président de la République est le VRP de la France ».
L’Elysée a annoncé dimanche soir 37 milliards d’euros d’investissements, tout en ajoutant que 20 d’entre eux étaient « entièrement nouveaux ». Les 17 autres milliards concernent de fait pour la plupart des projets du numérique qui avaient été annoncés dans le cadre du Sommet de l’intelligence artificielle. Cette partie « numérique » de l’opération correspond donc à la portion des 109 milliards d’investissements annoncés pendant ce sommet qui doit être débloquée cette année.
Dans cette enveloppe « confirmée » par l’Élysée, donc, 10 milliards viennent du fonds canadien Brookfield. Celui-ci solidifie, comme l’explique le journal Les Échos, la moitié de son annonce d’investissements dans l’Hexagone faite en février. Ce financement doit permettre de monter un méga projet de data center à Cambrai mené en collaboration avec la société Data4, rachetée par le fonds en 2023. Il faudra voir si Brookfield confirme ensuite les 10 autres milliards d’euros d’investissements promis il y a quatre mois.
Du côté de Digital Realty, l’entreprise américaine de data center a annoncé ce lundi 2,3 milliards d’euros d’investissements. De la même manière, l’entreprise confirme environ la moitié des promesses faites lors du sommet de l’IA puisqu’à l’époque, elle annonçait une somme de 5 milliards d’euros pour étendre ses data centers à Marseille et en région parisienne avec 13 nouveaux sites, comme l’écrivait le Parisien.
Enfin, le fonds d’investissement émirati MGX devrait confirmer son investissement dans un « campus IA » en Île-de-France en collaboration avec Bpifrance, NVIDIA et Mistral AI. Selon l’Usine Digitale, la première tranche du projet devrait atteindre 8,5 milliards d’euros et les travaux doivent débuter au second semestre 2026. Des discussions seraient en cours au sujet d’un terrain de 70 à 80 hectares près de Melun (Seine-et-Marne), selon la Tribune.
Du côté des nouveaux projets, L’Élysée a annoncé à l’AFP un investissement de 6,4 milliards d’euros de la part de Prologis, « en entrepôts et data centers ». Peu d’informations supplémentaires sont données à part que l’entreprise cherche à implanter quatre projets de data centers dans la région parisienne et investirait 1 milliards d’euros pour 750 000 m² d’entrepôts d’ici 2028 dans les villes de Marseille, Lyon, Paris ou du Havre.
Enfin, Kyndryl (spin-off d’IBM) a annoncé un investissement de 100 millions d’euros en France « en matière de données, d’intelligence artificielle (IA) et de cyber-résilience ».
Read more of this story at Slashdot.
Read more of this story at Slashdot.
Le précédent modèle débutait à 3000€ pièce en France, dans une configuration musclée sous Ryzen 9 et GeForce RTX 4070. Le nouveau Razer Blade 14 2025 est moins gourmand et plus développé avec un prix de départ de 2300€ et une grosse mise à jour matérielle.
On retrouve à bord de ce nouveau modèle un processeur plus puissant, un AMD Strix Point avec le Ryzen AI 9 365. Une puce qui propose 4 cœurs Zen 5 et 6 cœurs Zen 5c pour 20 Threads dans un TDP de 28 watts. Une puce qui embarque surtout un très bon circuit graphique AMD Radeon 880M mais qui sera épaulé par des puces Nvidia autrement plus puissante puisqu’on pourra compter sur une GeForce RTX 5070 dans la version la plus haut de gamme. Un modèle sous RTX 5060 sera également proposé, tous deux fonctionnant dans un TDP de 100 watts avec la possibilité de pousser légèrement plus loin en grappillant 15 watts supplémentaires avec la fonction Dynamic Boost. Le tout sera très gourmand et la batterie choisie par le constructeur aura beau être une 72 Wh, je doute qu’elle ne tienne très longtemps lorsque le processeur et le circuit graphique se réveilleront de concert.
Bordures d’écran milimétriques, clavier RGB, bel espace de travail et pavé tactile immense
Le Razer Blade 14 2025 annonce 11 heures d’autonomie, mais il faut prendre ce chiffre pour ce qu’il est, un usage en laboratoire avec un affichage peu lumineux et probablement un exercice qui ne réveillera que quelques watts du processeur : la lecture d’un fichier vidéo en boucle depuis un stockage local.
Moins reluisant, le choix d’une mémoire LPDDRX-8000 soudée à la carte mère qui débutera à 16 Go pour grimper ensuite à 32 et 64 Go. Et on comprend assez vite le tour de passe-passe. Qui va dépenser 2300€ dans un portable gaming avec 16 Go de mémoire vive non évolutive ? À part quelqu’un qui ne connaitra pas vraiment le matériel et qui fort peu susceptible de commander un Razer, personne. C’est donc un prix d’appel qui est là pour attirer le public qui verra assez rapidement qu’avec des options raisonnables pour la pérennité de sa machine, c’est-à-dire au moins 32 Go de RAM soudée, il faudra dépenser un petit peu plus. Je regrette clairement ce choix de la part de Razer de basculer son Blade 14 ers de la mémoire soudée. Outre les soucis de vitesse posés par ces modules à basse consommation, on perd clairement la possibilité de toute mise à jour. Le précédent modèle offrait deux emplacements SODIMM permettant d’augmenter facilement la mémoire jusqu’à 96 Go.
Cet ensemble tournera sur un écran de 14 pouces de diagonale en OLED « 3K »1 et 120 Hz qui sera probablement réglé à des normes de colorimétrie avancées. Le châssis sera léger, 1.63 Kg, ce qui est un poids plume compte tenu de l’équipement embarqué. Le Razer Blade 14 2025 utilise une coque en aluminium usinée dans la masse pour proposer un ensemble robuste et efficace. À son point le plus fin, il mesurera 15.7 mm mais Razer ne dit pas un mot sur son point le plus épais et le reste de ses mensurations.
Enfin, la connectique est classique mais complète avec deux USB4, deux USB 3.2 Type-A, une sortie HDMI 2.1, un jack audio combo 3.5 mm, la solution d’alimentation propriétaire de la marque, un Antivol type Kensington Lock et une solution sans fil Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4 non détaillée.
Le Razer Blade 14 2025 débutera à 2300€ « seulement » © MiniMachines.net. 2025
Cinq nouvelles cartes mères nous ont été présentées par ASRock au cours de ce Computex 2025. Toutes sont équipées du Wi-Fi 7, mais l'une d'entre elles devrait particulièrement faire parler d'elle : la X870 Taichi Creator, qui signe le retour de la gamme professionnelle dans le giron de la marque taïwanaise. Au programme, deux ports Ethernet (10G et 5G), un impressionnant total de douze ports USB à l'arrière, ainsi qu'un double port PCIe Gen 5 capable d'accueillir deux cartes graphiques en x8. […]
Lire la suiteFSP faisant, initialement, des alimentations, il était normal d'en trouver des nouvelles. Et les amateurs de petits formats seront ravis puisqu'on aura prochainement un modèle MEGA TI de 150 mm de profondeur pour 1000 W de puissance en 80 PLUS TITANIUM, mais aussi Cybenetics Titanium et A++ pour les nuisances sonores. Le style MEGA est bien entendu présent avec une jolie grille pour le ventilateur de 135 mm à roulement FDB, qui profite toujours d'un mode semi-passif en fonction de la charge. Pour l'instant, ce format de 150 mm est réservé à la puissance de 1000 W, mais rien ne dit que les choses n'évolueront pas par la suite ! […]
Lire la suite