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Computex 2025 : Biwin nous propose un nouveau SSD avec NAND 3D TLC

Petite nouveauté croisée sur le salon de Taïwan avec le X570 de chez Biwin. Un SSD avec une NAND 3D TLC, un contrôleur Innogrit et sans DRAM, ce qui signifie qu'il utilise une autre méthode que la mémoire pour la mise en cache. Cela améliore ainsi la durabilité, les vitesses de lecture et d'écriture ainsi que la latence du SSD. […]

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Computex 2025 : de petites RTX 5060 et une impressionnante RTX 5090 dotée d'un AIO chez ZOTAC Gaming !

Au Computex 2025, sur le stand de ZOTAC Gaming nous sommes tombés sous le charme d'une petite carte, d'une part, et d'une grosse carte d'autre part ! Débutons avec la RTX 5060 Low Profile, avec son connecteur déporté à l'arrière (en prime, on a un sublime Vanseb heureux), elle ferait passer la RTX 5060 SOLO pour une grosse carte (carte testée ici) : […]

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BIG BEN Week : Nacon nous expose sa nouvelle manette Revolution X Unlimited

Pendant que les patrons se dorent la pilule sous les néons géants du Computex, tandis qu'ils se dégourdissent les jambes dans des kilomètres d'allées parcourues sûrement des centaines de fois, Lucas est parti à la capitale française voir un autre événement qui se passe en même temps : la Big Ben Week. Une petite exposition dédiée aux accessoires téléphoniques. Bien que cela ne fasse pas partie de notre ligne éditoriale, l'intérêt de la visite fut de rencontrer Nacon, dont la marque propose aussi des accessoires PC. Nous y avons vu plein de nouveautés, mais… l'embargo est encore de mise. […]

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Computex 2025 : AMD officialise sa carte graphique Radeon RX 9060 XT

À l'occasion du Computex 2025, AMD a officialisé sa carte graphique Radeon RX 9060 XT, nous devrions dire ses cartes, puisque comme pour la RTX 5060 Ti, deux versions coexisteront, en 8 et 16 Go de VRAM. La disponibilité est fixée au 5 juin, avec des tarifs de 299 et 349 dollars, pour les versions 8 et 16 Go. La carte repose sur l'architecture RDNA 4, avec une finesse de gravure de 4 nm, elle dispose de 32 unités de calcul, pour un total de 2048 SP et 29.7 milliards de transistors. […]

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Computex 2025 : ASRock nous présente deux nouveaux écrans

ASRock nous présente aussi de nouveaux écrans et ne semble pas lâcher son antenne intégrée. Il faut dire que le concept fonctionne à merveille. Ce sont donc deux écrans capables de porter un signal en Wi-Fi 7 que nous vous présentons dans cette brève. Mais aussi, nous avons droit au premier écran QD-OLED de la marque. […]

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Frais de gestion : l’Europe envisage de taxer les milliards de petits colis venus de Chine

Carnaval de confettis
Frais de gestion : l’Europe envisage de taxer les milliards de petits colis venus de Chine

Soutenue par la France, l’idée d’une taxation spécifique aux milliards de petits colis qui arrivent chaque année sur le Vieux continent fait son chemin à Bruxelles. La Commission européenne prépare la mise en place d’un droit de douane spécifique, qui se monterait à 2 euros pour les colis envoyés directement au client final, et 0,5 euro pour les paquets acheminés vers des plateformes de stockage intermédiaires.

Officiellement, il ne s’agirait pas de droits de douane tels que les envisage Donald Trump dans sa guerre commerciale avec le reste du monde, mais de « frais de gestion » (handling fees). La Commission européenne se prépare tout de même à étudier la mise en œuvre d’une taxation spécifique à tous les petits colis venus d’Asie, qui échappent aujourd’hui aux droits de douane traditionnels.

C’est ce qu’a confirmé mardi le commissaire européen au Commerce, Maroš Šefčovič, lors d’une audition au Parlement européen. Il a dans le même temps révélé les montants envisagés, qui seraient donc de 2 euros pour un colis en circulation libre (adressé à un client final) et de 0,5 euro pour un paquet acheminé en direction d’un lieu de distribution intermédiaire (entrepôt ou plateforme logistique) afin d’y être stocké avant sa mise en vente.

4,6 milliards de colis par an

Dans une communication dédiée, datée du 5 février dernier, la Commission européenne évaluait à 4,6 milliards le nombre de colis d’une valeur déclarée inférieure à 150 euros entrés sur le sol européen, majoritairement depuis la Chine.

« C’est deux fois plus qu’en 2023 et trois fois plus qu’en 2022, et nombre de ces produits se sont révélés non conformes à la législation européenne. Cette croissance exponentielle suscite de nombreuses inquiétudes », soulignait alors la Commission, expliquant qu’il était impossible, sur de tels volumes, de contrôler la conformité des produits importés.

D’où cette idée d’une taxation spécifique, dont le produit serait utilisé pour outiller et renforcer les services de douane des différents états-membres afin, notamment, de lutter plus efficacement contre les produits dangereux ou contrefaits.

Qu’elle soit collectée par les douanes ou acquittée par les plateformes, la taxe serait probablement répercutée sur le consommateur européen et c’est pour répondre à cette inquiétude que Maroš Šefčovič a précisé mardi les modalités de mise en œuvre envisagées.

« Je ne regarderais pas ces frais de gestion comme une taxe, c’est simplement fait pour compenser les coûts et ça devrait être payé par les plateformes, a-t-il déclaré. Nous parlons de deux euros par colis, payés par les plateformes et pour les services offerts par les entrepôts, ce serait plus modeste, à 50 cents, donc c’est vraiment juste pour compenser le travail des officiels des douanes ».

Une idée soutenue par la France

Le ministre de l’Économie, Eric Lombard, et la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin, avaient déjà annoncé, fin avril, leur intention de porter au niveau européen cette idée de frais de gestion appliqués aux colis chinois échappant aux droits de douane.

Ils évoquaient alors un volume de l’ordre de « 800 millions de petits articles » arrivant chaque année en France en provenance de plateformes comme Shein, Temu ou Aliexpress, et arguaient de la nécessité de mieux contrôler ces produits. « Quand les douaniers ouvrent aujourd’hui les colis, 94% des produits sont non conformes, dont 66% pour dangerosité », avait notamment déclaré Eric Lombard.

Les ministres français exprimaient alors la volonté de créer une coalition européenne pour arriver à la mise en œuvre, dès 2026, de frais de gestion forfaitaire, sans attendre le projet de réforme de l’Union douanière (qui prévoit la suppression de la franchise de 150 euros pour les droits de douane).

Maroš Šefčovič n’a pour l’instant précisé aucun calendrier.

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Frais de gestion : l’Europe envisage de taxer les milliards de petits colis venus de Chine

Carnaval de confettis
Frais de gestion : l’Europe envisage de taxer les milliards de petits colis venus de Chine

Soutenue par la France, l’idée d’une taxation spécifique aux milliards de petits colis qui arrivent chaque année sur le Vieux continent fait son chemin à Bruxelles. La Commission européenne prépare la mise en place d’un droit de douane spécifique, qui se monterait à 2 euros pour les colis envoyés directement au client final, et 0,5 euro pour les paquets acheminés vers des plateformes de stockage intermédiaires.

Officiellement, il ne s’agirait pas de droits de douane tels que les envisage Donald Trump dans sa guerre commerciale avec le reste du monde, mais de « frais de gestion » (handling fees). La Commission européenne se prépare tout de même à étudier la mise en œuvre d’une taxation spécifique à tous les petits colis venus d’Asie, qui échappent aujourd’hui aux droits de douane traditionnels.

C’est ce qu’a confirmé mardi le commissaire européen au Commerce, Maroš Šefčovič, lors d’une audition au Parlement européen. Il a dans le même temps révélé les montants envisagés, qui seraient donc de 2 euros pour un colis en circulation libre (adressé à un client final) et de 0,5 euro pour un paquet acheminé en direction d’un lieu de distribution intermédiaire (entrepôt ou plateforme logistique) afin d’y être stocké avant sa mise en vente.

4,6 milliards de colis par an

Dans une communication dédiée, datée du 5 février dernier, la Commission européenne évaluait à 4,6 milliards le nombre de colis d’une valeur déclarée inférieure à 150 euros entrés sur le sol européen, majoritairement depuis la Chine.

« C’est deux fois plus qu’en 2023 et trois fois plus qu’en 2022, et nombre de ces produits se sont révélés non conformes à la législation européenne. Cette croissance exponentielle suscite de nombreuses inquiétudes », soulignait alors la Commission, expliquant qu’il était impossible, sur de tels volumes, de contrôler la conformité des produits importés.

D’où cette idée d’une taxation spécifique, dont le produit serait utilisé pour outiller et renforcer les services de douane des différents états-membres afin, notamment, de lutter plus efficacement contre les produits dangereux ou contrefaits.

Qu’elle soit collectée par les douanes ou acquittée par les plateformes, la taxe serait probablement répercutée sur le consommateur européen et c’est pour répondre à cette inquiétude que Maroš Šefčovič a précisé mardi les modalités de mise en œuvre envisagées.

« Je ne regarderais pas ces frais de gestion comme une taxe, c’est simplement fait pour compenser les coûts et ça devrait être payé par les plateformes, a-t-il déclaré. Nous parlons de deux euros par colis, payés par les plateformes et pour les services offerts par les entrepôts, ce serait plus modeste, à 50 cents, donc c’est vraiment juste pour compenser le travail des officiels des douanes ».

Une idée soutenue par la France

Le ministre de l’Économie, Eric Lombard, et la ministre chargée des Comptes publics, Amélie de Montchalin, avaient déjà annoncé, fin avril, leur intention de porter au niveau européen cette idée de frais de gestion appliqués aux colis chinois échappant aux droits de douane.

Ils évoquaient alors un volume de l’ordre de « 800 millions de petits articles » arrivant chaque année en France en provenance de plateformes comme Shein, Temu ou Aliexpress, et arguaient de la nécessité de mieux contrôler ces produits. « Quand les douaniers ouvrent aujourd’hui les colis, 94% des produits sont non conformes, dont 66% pour dangerosité », avait notamment déclaré Eric Lombard.

Les ministres français exprimaient alors la volonté de créer une coalition européenne pour arriver à la mise en œuvre, dès 2026, de frais de gestion forfaitaire, sans attendre le projet de réforme de l’Union douanière (qui prévoit la suppression de la franchise de 150 euros pour les droits de douane).

Maroš Šefčovič n’a pour l’instant précisé aucun calendrier.

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La nouvelle RTX 5080 ProArt signée ASUS va faire pleurer notre Matthieu national !

Certes, il n'occupe pas un poste haut gradé au sénat, il se contente de voyager et de rester en vie, mais notre Matthieu à qui vous devez des billets fouillés a généralement un pincement au cœur quand il entend le mot ProArt. Cette série d'ASUS a sa propre charte graphique, et le gus n'y est pas ins...

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AMD Radeon RX 9060 XT : une puce graphique plus abordable

Relativement compactes, les futures cartes graphiques sous AMD Radeon RX 9060 XT devraient également être abordables. Disponibles en 8 et 16 Go, elles seront commercialisées à partir de 299$.

Les versions 8 Go à 299$ seront à réserver aux usages les plus basiques, les modèles 16 Go à 349$ seront probablement beaucoup plus exploitables à long terme vu la gourmandise actuelle de nombreux jeux. À chaque fois, il s’agira de mémoire GDDR6 à 332 Go/s. C’est loin des 448 Go/s d’une Nvidia RTX 5060 Ti mais largement suffisant pour le public visé.

Ces deux cartes tourneront sur l’architecture RDNA4 et proposeront 32 Compute Units, 32 unités de RayTracing et un ensemble de 64 accélérateurs de calcul d’IA pour les fonctions de FSR 4.0. AMD indique une puissance de calcul de 821 TOPS (INT4). La fréquence de travail atteindra 3.13 GHz au maximum en boost et les cartes consommeront entre 150 et 182 watts à leur pic. Ces éléments pouvant varier suivant les intégrations, chaque constructeur ayant la possibilité de pousser un peu plus haut, ou plus bas, les fréquences et dépenses en énergie. Certains pourraient avoir la bonne idée de créer des solutions compactes avec cette puce. Quitte à les rendre un peu moins performantes. La carte est pensée pour exploiter les formats PCIe5 et proposera des sorties vidéo dernier cri avec du DisplayPort 2.1 et HDMI 2.1b.

Un slide à la lisibilité digne des plus sombres heures de PowerPoint

Ce superbe slide ne nous laisse pas vraiment lire dans quels jeux la carte brille, mais elle promet un positionnement comparable à la RTX 5060 Ti en 1440P Ultra a et plus contrasté en 1440P Ultra en Raytracing. Ce qui devrait suffire à de nombreux utilisateurs en règle générale. À noter qu’ici sont comparés une solution Nvidia 8 Go à 379$ prix public et une AMD 16 Go à 349$ prix public.

AMD positionne clairement sa carte face aux solutions Nvidia GeForce RTX 5060 Ti avec un tour de passe-passe sémantique de haute volée. On parle ici de +15% de performance par dollar dépensé. Et donc pas du tout de 15% de vitesse de traitement supplémentaire.

Je reste persuadé que viser un usage solide en 1440p et parfaitement exploitable en 1080P est une bonne stratégie sur un marché des cartes graphiques devenu un peu dingue en termes de prix, de disponibilité, de consommation en watts et d’encombrement. Je ne compte plus le nombre de lecteurs ou de contacts qui se retrouvent bien embêtés à ne pas savoir comment remettre à flot leur PC après une panne de carte graphique ou une simple envie de mise à jour. Un lecteur joueur a simplement abandonné son PC de jeu, lui préférant un MiniPC et un abonnement GeForce Now à la place, suite à la panne de se RTX 2080. En attendant de pouvoir mettre la main sur une carte correcte vraiment disponible.

Reste à voir le niveau réel de ces cartes Radeon RX 9060 XT en termes de prix et de disponibilité en magasin.

AMD Radeon RX 9060 XT : une puce graphique plus abordable © MiniMachines.net. 2025

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Starfish Space Announces Plans For First Commercial Satellite Docking

Starfish Space plans to perform the first commercial satellite docking in orbit with its Otter Pup 2 mission, aiming to connect to an unprepared D-Orbit ION spacecraft using an electrostatic capture mechanism and autonomous navigation software. NASASpaceFlight.com reports: This follows the company's first attempt, which saw the Otter Pup 1 mission unable to dock with its target due to a thruster failure. The Otter Pup 2 spacecraft will be deployed from a quarter plate on the upper stage adapter of the SpaceX Falcon 9 rocket, placing it into a sun synchronous orbit altitude of 510 km inclined 97.4 degrees. The target will be a D-Orbit ION spacecraft which will simulate a client payload, which is not equipped with a traditional docking adapter or capture plate as you might see aboard a space station or other rendezvous target. Instead, Starfish Space's Nautilus capture mechanism will feature a special end effector connected to the end of the capture mechanism. This end effector will enable Otter Pup 2 to dock with the ION through electrostatic adhesion. "An electromagnet will be integrated into the end effector and will be used as a backup option to the electrostatic end effector, to dock with the ION through magnetic attraction," the company notes. The goal is to eventually commission its Otter satellite servicing vehicle to allow for servicing of previously launched satellites. The company's first Otter missions include customers such as NASA, the U.S. Space Force, and Intelsat, with the goal of flying those missions as soon as 2026. [...] Following the thruster issues on the first mission, this flight will feature two ThrustMe thrusters, which use an electric propulsion system based on gridded ion thruster technology.

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