Mais qu'il est beau ce HAVN en version DOOM, tout comme le Legend de noblechairs. Mais ce n'est pas tout, sur le stand PGG, des tonnes de marques et de produits à découvrir, en boitiers, claviers et Sym Racing avec Nitro Concepts.
[…]
Nous connaissons tous la marque VALKYRIE. Beaucoup de couleurs et de RGB normalement, mais pas cette fois, avec plus de sobriété, moins de RGB, des écrans et des bons tarifs. […]
Grosse visite chez LIAN LI avec une tonne de produits, mais surtout tous les prix affichés et ça, c'est top. Go pour une grosse vidéo avec un maximum de produits, avec du RGB, du watercooling et plein d'autres choses. […]
Voilà donc le nouveau Pure Loop 3 LX de be quiet!, qui présente une fonctionnalité très pratique pour changer le style de son watercooling. Outre le RGB, nous avons aussi des diffuseurs interchangeable. […]
Chez be quiet!, les claviers de la marque en Dark Mount et Light Mount faisaient la une, comme les souris Dark Perk. Mais nous avions aussi la Pure Power 13 M en semi-passive et un stand intéressant pour les Light Base. […]
Oui, ARCTIC se lance dans le boitier PC avec un bien bel exemplaire, le Xtender. Un boitier intelligent, bien placé avec les ventilateurs PRO de la marque. […]
Vous allez le voir, DEEPCOOL a décidé de se lâcher sur les boitiers PC avec deux modèles qui sont entièrement watercoolés. Aussi, des alimentations, des ventirads, du watercooling et du bois. […]
Et oui, SEASONIC fête ses 50 ans, 50 ans d'alimentation PC. Sur le stand de la marque, de nouvelles innovations pour nos cartes graphiques, des nouvelles alimentations et un bloc énorme de pas moins de 3200 watts... BOUM. […]
Au tour de Biwin d'annoncer de nouveaux kits mémoire avec les Black Opal DW100, qui seront les plus haut de gamme de la marque, affichant jusqu'à 8400 MT/s grâce à des puces Hynix parmi les meilleures du marché.
Mais l'information la plus importante reste que les kits seront enfin disponible en France, une excellente nouvelle quand on connaît le savoir-faire de la marque et le temps qu'on attendait leur arrivée dans l'Hexagone. […]
Alors que Microsoft confirme vouloir imposer Recall sous Windows 11, Signal annonce une fonctionnalité bloquant, par défaut, l’archivage des conversations de sa messagerie. Mais la fondation a dû passer par une « une astuce bizarre » pour y arriver.
L’application de messagerie chiffrée annonce une fonctionnalité de « sécurité d’écran » sur sa version Windows. Elle est spécifiquement réfléchie pour « empêcher votre propre ordinateur de faire des captures d’écran de vos chats Signal sous Windows », dans l’objectif « de protéger vos messages Signal de Microsoft Recall ».
Le mois dernier, Microsoft a décidé pour de bon de déployer Recall sous Windows 11. L’installation se fait par défaut via une mise à jour pour les PC Copilot+ uniquement. En outre, la fonction ne s’active pas d’elle-même. Un assistant de configuration impose de choisir si l’on veut s’en servir.
« La course à l’intégration de l’IA dans tous les domaines constitue une menace importante pour la vie privée, comme nous l’avons dit. Le fait que MS Recall fasse des captures d’écran de tout et de rien est un très bon (mauvais) exemple de cette menace », estime Meredith Whittaker, la présidente de la fondation.
Recall archive les fenêtres d’applications sensibles
Car, si la nouvelle mouture de la fonctionnalité développée par Microsoft disponible dans les préversions de Windows 11 bloque la capture d’écran des fenêtres de navigation privée des navigateurs, l’entreprise semble avoir oublié qu’il existait d’autres logiciels sensibles à exclure automatiquement.
En effet, la désactivation de Recall n’est, par exemple, pas mise en place pour les logiciels de messagerie comme Signal ou WhatsApp. Recall prend donc, comme pour tout ce qui s’affiche à l’écran, des captures d’écrans de vos conversations dans l’idée de pouvoir s’en souvenir et apporter une base de recherche centralisée sur le système d’exploitation. C’est pratique, mais en contradiction avec l’esprit dans lequel a été pensé Signal, à savoir la protection des échanges privés et la prise en charge de leur protection (par chiffrement) au sein même de l’application.
« Bien que Microsoft ait procédé à plusieurs ajustements au cours des douze derniers mois en réponse aux commentaires critiques, la version remaniée de Recall met toujours en péril tout contenu affiché dans des applications de protection de la vie privée telles que Signal », explique la fondation.
Les développeurs de cette messagerie ont donc mis en place des gardes de fous contre Recall. « Par conséquent, nous activons une couche de protection supplémentaire par défaut sur Windows 11 afin de maintenir la sécurité de Signal Desktop sur cette plateforme, même si cela implique des compromis en termes d’utilisation. Microsoft ne nous a tout simplement pas laissé d’autre choix », se désole Signal.
Utilisation de l’API pour bloquer la capture d’écran d’œuvres protégées par DRM
Et, en effet, Microsoft n’a pas rendu la chose facile. La fondation explique qu’elle n’a pas pu faire dans la dentelle puisque la société de Redmond « a lancé Recall sans paramètres de granularité pour les développeurs d’applications qui permettraient à Signal de protéger facilement la vie privée ».
Elle indique que sa fonctionnalité bloque toute possibilité pour l’utilisateur de faire une capture d’écran d’une conversation. Pourquoi ? Microsoft n’a mis en place aucune API permettant à un développeur d’empêcher les captures de son application. Dommage, d’autant que Recall possède bon nombre de paramètres, dont celui de pouvoir exclure toute application ou page web indiquée. Mais encore faut-il savoir que la capacité existe. Signal explique donc passer par l’API qui permet de bloquer la capture d’écran de contenu protégé par des DRM.
« Selon la documentation officielle de Microsoft à l’intention des développeurs, le fait de définir le bon indicateur de gestion des droits numériques (DRM) dans la fenêtre de l’application garantit que « le contenu n’apparaîtra pas dans Recall ou dans toute autre application de capture d’écran ». C’est donc exactement ce que Signal Desktop fait désormais par défaut sous Windows 11 », explique Signal. La fondation ajoute que « la mise en œuvre d’un « DRM » qui fonctionne pour vous (et non contre vous) est le meilleur choix que nous ayons eu ».
Ce nouveau paramètre, activé par défaut, ne protège une conversation de Recall évidemment que si les différents protagonistes ne le désactivent pas de leur côté.
Signal tacle encore un peu plus Microsoft en expliquant espérer « que les équipes d’IA qui construisent des systèmes comme Recall réfléchiront plus attentivement à ces implications à l’avenir. Les applications comme Signal ne devraient pas avoir à mettre en œuvre « une astuce bizarre » pour maintenir la confidentialité et l’intégrité de leurs services sans outils de développement adéquats ».
Alors que Microsoft confirme vouloir imposer Recall sous Windows 11, Signal annonce une fonctionnalité bloquant, par défaut, l’archivage des conversations de sa messagerie. Mais la fondation a dû passer par une « une astuce bizarre » pour y arriver.
L’application de messagerie chiffrée annonce une fonctionnalité de « sécurité d’écran » sur sa version Windows. Elle est spécifiquement réfléchie pour « empêcher votre propre ordinateur de faire des captures d’écran de vos chats Signal sous Windows », dans l’objectif « de protéger vos messages Signal de Microsoft Recall ».
Le mois dernier, Microsoft a décidé pour de bon de déployer Recall sous Windows 11. L’installation se fait par défaut via une mise à jour pour les PC Copilot+ uniquement. En outre, la fonction ne s’active pas d’elle-même. Un assistant de configuration impose de choisir si l’on veut s’en servir.
« La course à l’intégration de l’IA dans tous les domaines constitue une menace importante pour la vie privée, comme nous l’avons dit. Le fait que MS Recall fasse des captures d’écran de tout et de rien est un très bon (mauvais) exemple de cette menace », estime Meredith Whittaker, la présidente de la fondation.
Recall archive les fenêtres d’applications sensibles
Car, si la nouvelle mouture de la fonctionnalité développée par Microsoft disponible dans les préversions de Windows 11 bloque la capture d’écran des fenêtres de navigation privée des navigateurs, l’entreprise semble avoir oublié qu’il existait d’autres logiciels sensibles à exclure automatiquement.
En effet, la désactivation de Recall n’est, par exemple, pas mise en place pour les logiciels de messagerie comme Signal ou WhatsApp. Recall prend donc, comme pour tout ce qui s’affiche à l’écran, des captures d’écrans de vos conversations dans l’idée de pouvoir s’en souvenir et apporter une base de recherche centralisée sur le système d’exploitation. C’est pratique, mais en contradiction avec l’esprit dans lequel a été pensé Signal, à savoir la protection des échanges privés et la prise en charge de leur protection (par chiffrement) au sein même de l’application.
« Bien que Microsoft ait procédé à plusieurs ajustements au cours des douze derniers mois en réponse aux commentaires critiques, la version remaniée de Recall met toujours en péril tout contenu affiché dans des applications de protection de la vie privée telles que Signal », explique la fondation.
Les développeurs de cette messagerie ont donc mis en place des gardes de fous contre Recall. « Par conséquent, nous activons une couche de protection supplémentaire par défaut sur Windows 11 afin de maintenir la sécurité de Signal Desktop sur cette plateforme, même si cela implique des compromis en termes d’utilisation. Microsoft ne nous a tout simplement pas laissé d’autre choix », se désole Signal.
Utilisation de l’API pour bloquer la capture d’écran d’œuvres protégées par DRM
Et, en effet, Microsoft n’a pas rendu la chose facile. La fondation explique qu’elle n’a pas pu faire dans la dentelle puisque la société de Redmond « a lancé Recall sans paramètres de granularité pour les développeurs d’applications qui permettraient à Signal de protéger facilement la vie privée ».
Elle indique que sa fonctionnalité bloque toute possibilité pour l’utilisateur de faire une capture d’écran d’une conversation. Pourquoi ? Microsoft n’a mis en place aucune API permettant à un développeur d’empêcher les captures de son application. Dommage, d’autant que Recall possède bon nombre de paramètres, dont celui de pouvoir exclure toute application ou page web indiquée. Mais encore faut-il savoir que la capacité existe. Signal explique donc passer par l’API qui permet de bloquer la capture d’écran de contenu protégé par des DRM.
« Selon la documentation officielle de Microsoft à l’intention des développeurs, le fait de définir le bon indicateur de gestion des droits numériques (DRM) dans la fenêtre de l’application garantit que « le contenu n’apparaîtra pas dans Recall ou dans toute autre application de capture d’écran ». C’est donc exactement ce que Signal Desktop fait désormais par défaut sous Windows 11 », explique Signal. La fondation ajoute que « la mise en œuvre d’un « DRM » qui fonctionne pour vous (et non contre vous) est le meilleur choix que nous ayons eu ».
Ce nouveau paramètre, activé par défaut, ne protège une conversation de Recall évidemment que si les différents protagonistes ne le désactivent pas de leur côté.
Signal tacle encore un peu plus Microsoft en expliquant espérer « que les équipes d’IA qui construisent des systèmes comme Recall réfléchiront plus attentivement à ces implications à l’avenir. Les applications comme Signal ne devraient pas avoir à mettre en œuvre « une astuce bizarre » pour maintenir la confidentialité et l’intégrité de leurs services sans outils de développement adéquats ».
Petit rappel avant d'envoyer l'info : la CAMM a été validée en 2023 par le JEDEC, sous l'impulsion de Dell qui en est à l'origine. Puis vint la version pour desktop CAMM 2, qui petit à petit a été envisagée par le secteur. À part Dell et Teamgroup (et encore sans disponibilité en France), si vous ch...
Petit coup de tonnerre, avec une opération surprise : OpenAI a annoncé le rachat de io, entreprise fondée par Jony Ive, qui n’est autre que l’ancien directeur du design chez Apple entre 1996 et 2019. C’est à lui et son équipe que l’on doit, entre autres, le design des ordinateurs Macintosh, des iPod ou encore de l’iPhone. En partant d’Apple, il avait créé le collectif LoveFrom avec d’anciens designers et ingénieurs d’Apple.
Dans le communiqué, on peut lire qu’il y a deux ans, le collectif a commencé à travailler secrètement avec OpenAI. Rapidement, de nombreuses idées auraient été projetées, aboutissant à la création de io l’année dernière par Jony Ive, ainsi que Scott Cannon, Evans Hankey et Tang Tan, trois anciens responsables d’Apple.
Avec ce rachat de 6,5 milliards de dollars, OpenAI récupère ainsi la startup et tous les membres de LoveFrom rejoignent la nouvelle équipe, qui constitue dans les grandes lignes la nouvelle division matérielle de l’entreprise. Selon Bloomberg, l’opération permet le transfert de 55 personnes, regroupement d’ingénieurs matériels, développeurs et experts en fabrication.
Il faut donc s’attendre à l’avenir à une nouvelle gamme de produits matériels chez OpenAI pleinement liés à l’intelligence artificielle.
La vidéo d’annonce, elle, fait en tout cas beaucoup parler, que ce soit sur X ou YouTube. Beaucoup lui reprochent son flou et son absence d’annonces concrètes. Certains suggèrent même qu’elle aurait pu être générée par IA.
Petit coup de tonnerre, avec une opération surprise : OpenAI a annoncé le rachat de io, entreprise fondée par Jony Ive, qui n’est autre que l’ancien directeur du design chez Apple entre 1996 et 2019. C’est à lui et son équipe que l’on doit, entre autres, le design des ordinateurs Macintosh, des iPod ou encore de l’iPhone. En partant d’Apple, il avait créé le collectif LoveFrom avec d’anciens designers et ingénieurs d’Apple.
Dans le communiqué, on peut lire qu’il y a deux ans, le collectif a commencé à travailler secrètement avec OpenAI. Rapidement, de nombreuses idées auraient été projetées, aboutissant à la création de io l’année dernière par Jony Ive, ainsi que Scott Cannon, Evans Hankey et Tang Tan, trois anciens responsables d’Apple.
Avec ce rachat de 6,5 milliards de dollars, OpenAI récupère ainsi la startup et tous les membres de LoveFrom rejoignent la nouvelle équipe, qui constitue dans les grandes lignes la nouvelle division matérielle de l’entreprise. Selon Bloomberg, l’opération permet le transfert de 55 personnes, regroupement d’ingénieurs matériels, développeurs et experts en fabrication.
Il faut donc s’attendre à l’avenir à une nouvelle gamme de produits matériels chez OpenAI pleinement liés à l’intelligence artificielle.
La vidéo d’annonce, elle, fait en tout cas beaucoup parler, que ce soit sur X ou YouTube. Beaucoup lui reprochent son flou et son absence d’annonces concrètes. Certains suggèrent même qu’elle aurait pu être générée par IA.
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) a dans son portefeuille de mission la gestion du signal horaire hertzien terrestre. Le temps légal peut aussi passer par les satellites GNSS (GPS américain, Galileo européen, etc.), Internet (protocole NTP), etc.
Nous avons déjà largement abordé le sujet lors d’une précédente annonce de l’ANFR sur le sujet de la sobriété énergétique. À la fin de l’année dernière, la puissance d’émission du signal était passée de 800 à 675 kW pendant une semaine, puis pendant un mois. Visiblement, les résultats se sont révélés concluants.
Rebelote en 2025, mais sur une période bien plus longue de six mois. « L’expérimentation se déroule du mardi 20 mai 2025, 12h00 jusqu’au mardi 18 novembre 2025, 8h00, la puissance de diffusion sera abaissée de 800 kW à 675 kW », explique l’Agence.
Elle décrit trois objectifs. Une optimisation technique pour commencer, en mesurant « l’impact d’une puissance réduite sur la qualité de réception, tout en maintenant une précision inférieure à la milliseconde ».
Puis la sobriété énergétique évidemment, d’autant que les précédentes expérimentations ont donné de bons résultats. 125 kW de moins, cela donne donc 125 kWh sur une heure, 3 MWh par jour et un peu plus de 1 000 MWh par an.
Enfin, troisième et dernier point, l’ANFR met en avant la préparation à long terme pour anticiper « les évolutions du dispositif et consolider la continuité de ce service stratégique jusqu’en 2034 ».
Comme lors des précédents tests, « l’ANFR invite l’ensemble des opérateurs, partenaires techniques et parties prenantes à vérifier le bon fonctionnement de leurs équipements durant toute la durée de l’expérimentation ».
Pour rappel, la puissance était déjà passée de 1 110 kW à 800 kW en 2020. Des tests à 300 kW ont été menés, mais l’Agence ne semble pas avoir diffusé les résultats de cette expérimentation.
L’Agence nationale des fréquences (ANFR) a dans son portefeuille de mission la gestion du signal horaire hertzien terrestre. Le temps légal peut aussi passer par les satellites GNSS (GPS américain, Galileo européen, etc.), Internet (protocole NTP), etc.
Nous avons déjà largement abordé le sujet lors d’une précédente annonce de l’ANFR sur le sujet de la sobriété énergétique. À la fin de l’année dernière, la puissance d’émission du signal était passée de 800 à 675 kW pendant une semaine, puis pendant un mois. Visiblement, les résultats se sont révélés concluants.
Rebelote en 2025, mais sur une période bien plus longue de six mois. « L’expérimentation se déroule du mardi 20 mai 2025, 12h00 jusqu’au mardi 18 novembre 2025, 8h00, la puissance de diffusion sera abaissée de 800 kW à 675 kW », explique l’Agence.
Elle décrit trois objectifs. Une optimisation technique pour commencer, en mesurant « l’impact d’une puissance réduite sur la qualité de réception, tout en maintenant une précision inférieure à la milliseconde ».
Puis la sobriété énergétique évidemment, d’autant que les précédentes expérimentations ont donné de bons résultats. 125 kW de moins, cela donne donc 125 kWh sur une heure, 3 MWh par jour et un peu plus de 1 000 MWh par an.
Enfin, troisième et dernier point, l’ANFR met en avant la préparation à long terme pour anticiper « les évolutions du dispositif et consolider la continuité de ce service stratégique jusqu’en 2034 ».
Comme lors des précédents tests, « l’ANFR invite l’ensemble des opérateurs, partenaires techniques et parties prenantes à vérifier le bon fonctionnement de leurs équipements durant toute la durée de l’expérimentation ».
Pour rappel, la puissance était déjà passée de 1 110 kW à 800 kW en 2020. Des tests à 300 kW ont été menés, mais l’Agence ne semble pas avoir diffusé les résultats de cette expérimentation.
Ils savent y faire, ces coquins d'éditeurs ! Doom: The Dark Ages est sorti il y a quelques jours, nous lui avons réservé un Performance Test à cette occasion. Nous nous étonnions de la politique tarifaire appliquée, à savoir 80 boules pour le jeu de base et 110 pour la version Premium, ces prix étan...
Three teenagers nearly escaped prosecution for a 2020 house fire that killed five people until Denver police discovered a novel investigative technique: requesting Google search histories for specific terms. Kevin Bui, Gavin Seymour, and Dillon Siebert had burned down a house in Green Valley Ranch, mistakenly targeting innocent Senegalese immigrants after Bui used Apple's Find My feature to track his stolen phone to the wrong address.
The August 2020 arson killed a family of five, including a toddler and infant. For months, detectives Neil Baker and Ernest Sandoval had no viable leads despite security footage showing three masked figures. Traditional methods -- cell tower data, geofence warrants, and hundreds of tips -- yielded nothing concrete. The breakthrough came when another detective suggested Google might have records of anyone searching the address beforehand.
Police obtained a reverse keyword search warrant requesting all users who had searched variations of "5312 Truckee Street" in the 15 days before the fire. Google provided 61 matching devices. Cross-referencing with earlier cell tower data revealed the three suspects, who had collectively searched the address dozens of times, including floor plans on Zillow.
An anonymous reader quotes a report from Ars Technica: As electric vehicles reduce car exhaust as a source of particulate emissions, people are increasingly focusing on other vehicular sources of pollution that won't go away with electrification. Tires are one of them, particularly as we grapple with overweight EVs with tire-shredding torque. And brakes are another -- even an EV with regenerative braking will occasionally need to use its friction brakes, after all. Over in Europe, the people responsible for writing regulations have taken this into consideration with the upcoming Euro 7 standard, which sets new limits on 10- and 2.5-micron particulate emissions on all new vehicles -- including EVs -- starting next year. And to help OEMs achieve that target, Brembo has developed a new brake and pad set called Greentell that it says cuts brake dust emissions by 90 percent, improving durability in the process.
[...] Brembo investigated a range of solutions before settling on using laser metal deposition. Physical vapor deposition, as used as a durability coating for wristwatches and firearms, was ruled out due to cost. "So it can be used for some special application or some small pieces, but when you are speaking about 20 kilos of cast iron, PVD is not the right solution. LMD is a technology that [has been] available... [for] years, but [it hasn't yet been] applicable in a high volume application. So the goal is to find the best compromise between performance and process," [Fabiano Carminati, VP of disc technical development at Brembo] told me. Together with the reduction in brake dust, there's an 80 percent reduction in surface corrosion compared to conventional brakes, but they won't last forever. "The thickness of the layer that we apply is not so high -- we apply just 100-120 microns. That means that the disk is not a lifetime disk," he said. That said, Greentell brakes should need replacing less often, and while that's not entirely in Brembo's best financial interests, neither is not being able to offer its customers a Euro 7-compliant product.