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Le jeu Starfield profite d'une mise à jour conséquente

Bethesda vient de déployer une mise à jour conséquente pour son titre Starfield, n'y allons pas par quatre galaxies et découvrons les nombreux apports.La dernière mise à jour de Starfield comprend de l'aide supplémentaire pour les Créations, ainsi que de nombreux correctifs pour les quêtes, véhicules, IU et plus encore. Poursuivez la lecture pour passer en revue l'intégralité des notes de mise à jour ! FONCTIONNALITÉS • Ajout du paramètre d'affichage Très bas pour améliorer les performances sur certains appareils. • Creation Kit : Ajout de la possibilité pour les créateurs d'ajouter de nouvelles icônes au jeu. • La boutique permet de créer des lots de Créations. • Creation Kit : Vous pouvez mettre en ligne des Créations allant jusqu'à 2 Go. CORRECTIFS GÉNÉRAL • Créations : Résolution d'une erreur survenant lors de la restauration de l'ordre de chargement si une grande quantité de mods ont été installés puis supprimés. • Creation Kit : Résolution d'un plantage éventuel lors du chargement d'un plug-in sous forme d'ingrédient. • Correction d'un éventuel blocage des commandes pouvant survenir en cas de changement de vue si vous êtes assis dans un siège de pilote, à terre. • Correction d'un blocage rare des déplacements survenant lors des scènes de dialogue forcées. • Correction d'un éventuel blocage des commandes pouvant survenir si un véhicule de Créations est désactivé alors qu'une sauvegarde en dépend. • Correction d'un éventuel blocage des commandes pouvant survenir si vous ouvrez immédiatement un menu après avoir chargé une sauvegarde au moment du décollage. • Résolution du problème empêchant de quitter la caméra de vanité (PC). • Correction d'un éventuel plantage lié au déplacement ou à la suppression des bâtiments dans le principal avant-poste d'Andraphon. • Résolution d'un problème rare pouvant survenir en entrant dans l'Unité. • Résolution d'un problème entraînant la suppression de sauvegardes rapides en appuyant rapidement sur sauvegarde rapide. • Correctifs généraux de stabilité et de plantage. • Correctifs et améliorations de l'IU des Créations. […]

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Le jeu Portal with RTX se met à jour, en intégrant les technologies DLSS 4 et RTX Neural Radiance Cache

Le jeu Portal with RTX profite d'une mise à jour, ce qui permet l'intégration de deux nouvelles technologies, le DLSS 4 et le RTX Neural Radiance Cache. Sans surprise, la première est la dernière itération de la technologie maison de NVIDIA, elle promet aux possesseurs de RTX 5000 de pouvoir activer le Multi Frame Generation, tandis que la seconde technologie se base sur un shader neuronal, avec la promesse d'améliorer l'éclairage, ainsi que d'optimiser les performances. […]

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C'est déjà les soldes d'été ! Profitez de 40 % de réduction sur les abonnements de six mois à GeForce NOW Performance !

GeForce NOW fait monter la température en ce GFN Thursday avec une nouvelle offre brûlante. Pour une durée limitée, économisez 40 % sur les abonnements Performance de six mois, soit six mois de jeu continu avec RTX tout au long de l'été. En plus de cette offre, ce sont 11 nouveaux jeux disponibles dès leur sortie dans le cloud cette semaine. Jouez à vos titres préférés en 1440p, avec le DLSS et RTX sur les jeux supportés pour une expérience améliorée grâce à l'abonnement Performance. Plongez dans Onimusha 2: Samurai's Destiny de Capcom, un jeu d'action-aventure se déroulant dans le Japon médiéval où les joueurs partent en quête de vengeance contre l'armée démoniaque. Game of Thrones: Kingsroad est un RPG d'action-aventure narratif qui permet aux joueurs d'explorer le monde de Westeros, forgeant leur propre héritage tout en rencontrant des lieux et personnages emblématiques de la série. Et rejoignez les célébrations pour le Warhammer Skulls Festival avec une collection de jeux Warhammer sur GeForce NOW, en vente avec leurs propres réductions pour une durée limitée. […]

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Une nouvelle loi interdit le démarchage téléphonique non consenti

Laissez-moi tranquille !
Une nouvelle loi interdit le démarchage téléphonique non consenti

Le Sénat a voté mercredi, en seconde lecture, une proposition de loi visant à renforcer la protection des consommateurs face au démarchage téléphonique. Le texte, dont l’entrée en vigueur est programmée pour 2026, exige un consentement explicite avant toute prospection commerciale, et fait porter la charge de la preuve sur le professionnel.

Après la loi Hamon de 2014 suivie du lancement de Bloctel, un nouveau texte en 2020, ou la mise en place de restrictions horaires en 2023, force est de constater que le démarchage téléphonique reste considéré comme une nuisance répandue : « 97 % des Français se déclarent agacés par le démarchage commercial », affirmait par exemple l’UFC-Que Choisir suite à un sondage réalisé en octobre dernier.

De l’opt-out à l’opt-in

La donne s’apprêterait-elle à changer ? Le Sénat a voté mercredi, en deuxième lecture, une loi contre les fraudes aux aides publiques, qui inclut tout un volet de mesures spécifiques au démarchage téléphonique.

Sur ce terrain, le texte inverse la mécanique de protection du consommateur. Alors qu’il fallait précédemment signaler son désir de ne pas être prospecté, le démarchage téléphonique est désormais interdit auprès d’un consommateur « qui n’a pas exprimé préalablement son consentement à faire l’objet de prospections commerciales par ce moyen ».

En termes marketing, on passe d’une logique d’opt-out (je demande à sortir du dispositif) à une démarche d’opt-in (je donne mon consentement). Et ce consentement se doit, selon le texte de la « petite loi » issue du vote, d’être parfaitement explicite.

« Pour l’application du présent article, on entend par consentement toute manifestation de volonté libre, spécifique, éclairée, univoque et révocable par laquelle une personne accepte, par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant soient utilisées à des fins de prospection commerciale par voie téléphonique. »

Le texte prévoit par ailleurs qu’il incombe au professionnel « d’apporter la preuve que le consentement du consommateur a été recueilli dans les conditions prévues », y compris si le démarchage est réalisé par l’intermédiaire d’un tiers.

Le texte, qui durcit donc les conditions d’exercice de la prospection téléphonique, négocie en échange une forme de souplesse : cette dernière sera désormais autorisée en dehors des horaires instaurés par le décret de 2023, uniquement « si le consommateur consent explicitement à être appelé à une date et à un horaire précisément spécifiés et que le professionnel peut en attester ».

Les chiffres de la liste de blocage Bloctel, tels que diffusés par la Commission des lois du Sénat dans une note de novembre 2024

Une exception pour les « contrats en cours »

Si la prospection est interdite par défaut, le démarchage à des fins de vente additionnelle ou vente croisée (technique visant à profiter d’une transaction déjà engagée pour proposer un produit complémentaire ou une gamme supérieure) reste autorisé.

Le texte dispose en effet que l’interdiction n’est pas applicable « lorsque la sollicitation intervient dans le cadre de l’exécution d’un contrat en cours et a un rapport avec l’objet de ce contrat, y compris lorsqu’il s’agit de proposer au consommateur des produits ou des services afférents ou complémentaires à l’objet du contrat en cours ou de nature à améliorer ses performances ou sa qualité ».

Prospection commerciale interdite pour la rénovation énergétique

Double vitrage, pompe à chaleur, isolation des combles… le secteur de la rénovation énergétique est, de notoriété publique, particulièrement sujet au démarchage, en partie parce qu’il bénéficie d’un important dispositif d’aides publiques.

En réponse, la proposition de loi interdit la prospection commerciale par voie électronique (« par message sur un service de communications interpersonnelles, par courrier électronique ou sur un service de réseaux sociaux en ligne ») pour les travaux liés aux économies d’énergie, à la production d’énergies renouvelables (panneaux photovoltaïques) ou à l’adaptation du logement au vieillissement ou au handicap. Tout manquement devrait être passible d’une amende administrative pouvant atteindre 375 000 euros pour une personne morale, précise le texte.

Un impact à étudier ?

La loi ne devrait entrer en vigueur que le 11 août 2026, date à laquelle le contrat de l’État avec Bloctel prend fin. En attendant, les mesures liées au démarchage suscitent la vive opposition des spécialistes du secteur. L’Association française de la relation client (AFRC) s’est par exemple mobilisée lors de l’examen du texte par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, pour faire retirer plusieurs amendements du texte. L’un d’eux proposait la « réduction drastique des plages horaires (limitées à 4 heures par jour ouvré !) et de la fréquence des appels (seulement 2 tentatives sur 80 jours) », selon l’association.

« Économiquement, les risques de destruction d’emplois liés à ce système paraissent particulièrement élevés », estimait de son côté la commission des lois du Sénat en novembre dernier (PDF). S’appuyant sur des chiffres transmis par la DGCCRF, elle évaluait alors que « la relation client représente entre 29 000 et 40 000 emplois pour les centres d’appels externalisés » et remarquait que le volume de consommateurs acceptant d’être démarché serait vraisemblablement très faible.

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☕️ Mozilla se débarrasse de Pocket et Fakespot

C’est une nouvelle salve de suppressions chez Mozilla, toujours dans l’idée d’alléger son fonctionnement et de mieux se concentrer sur Firefox. Cette fois, c’est au tour de Pocket et Fakespot.

Pocket était un gestionnaire de favoris indépendant, avant d’être racheté par Mozilla puis, en 2015, intégré à Firefox. La manœuvre avait à l’époque provoqué l’agacement d’une partie des utilisateurs, qui pestaient déjà contre l’ajout d’un trop grand nombre de fonctions.

Logo de la fondation Mozilla

Selon Mozilla, Pocket n’a plus vraiment de raison d’être entretenu. La fondation évoque l’évolution d’internet et les changements dans les habitudes des internautes. En conséquence, depuis hier soir, il n’est plus possible de télécharger l’application ou de souscrire une formule payante. Tous les abonnements en cours sont annulés et les internautes ayant souscrit une formule annuelle seront remboursés au prorata à partir du 8 juillet.

Si vous avez des liens actuellement enregistrés dans Pocket, il est temps de les basculer dans un autre service, comme Raindrop ou Instapaper. Mozilla laisse quelques mois pour le faire, la fermeture complète des comptes étant prévue pour le 8 octobre. Dans Pocket (application et extensions pour navigateurs), un message en haut de l’écran avertit d’ailleurs du changement.

Quant à Fakespot, il s’agissait d’une extension conçue pour détecter les faux avis. Le service, racheté par Mozilla il y a deux ans, n’aura donc guère duré. Avec ses applications mobiles, il fermera le 1er juillet.

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Une nouvelle loi interdit le démarchage téléphonique non consenti

Laissez-moi tranquille !
Une nouvelle loi interdit le démarchage téléphonique non consenti

Le Sénat a voté mercredi, en seconde lecture, une proposition de loi visant à renforcer la protection des consommateurs face au démarchage téléphonique. Le texte, dont l’entrée en vigueur est programmée pour 2026, exige un consentement explicite avant toute prospection commerciale, et fait porter la charge de la preuve sur le professionnel.

Après la loi Hamon de 2014 suivie du lancement de Bloctel, un nouveau texte en 2020, ou la mise en place de restrictions horaires en 2023, force est de constater que le démarchage téléphonique reste considéré comme une nuisance répandue : « 97 % des Français se déclarent agacés par le démarchage commercial », affirmait par exemple l’UFC-Que Choisir suite à un sondage réalisé en octobre dernier.

De l’opt-out à l’opt-in

La donne s’apprêterait-elle à changer ? Le Sénat a voté mercredi, en deuxième lecture, une loi contre les fraudes aux aides publiques, qui inclut tout un volet de mesures spécifiques au démarchage téléphonique.

Sur ce terrain, le texte inverse la mécanique de protection du consommateur. Alors qu’il fallait précédemment signaler son désir de ne pas être prospecté, le démarchage téléphonique est désormais interdit auprès d’un consommateur « qui n’a pas exprimé préalablement son consentement à faire l’objet de prospections commerciales par ce moyen ».

En termes marketing, on passe d’une logique d’opt-out (je demande à sortir du dispositif) à une démarche d’opt-in (je donne mon consentement). Et ce consentement se doit, selon le texte de la « petite loi » issue du vote, d’être parfaitement explicite.

« Pour l’application du présent article, on entend par consentement toute manifestation de volonté libre, spécifique, éclairée, univoque et révocable par laquelle une personne accepte, par un acte positif clair, que des données à caractère personnel la concernant soient utilisées à des fins de prospection commerciale par voie téléphonique. »

Le texte prévoit par ailleurs qu’il incombe au professionnel « d’apporter la preuve que le consentement du consommateur a été recueilli dans les conditions prévues », y compris si le démarchage est réalisé par l’intermédiaire d’un tiers.

Le texte, qui durcit donc les conditions d’exercice de la prospection téléphonique, négocie en échange une forme de souplesse : cette dernière sera désormais autorisée en dehors des horaires instaurés par le décret de 2023, uniquement « si le consommateur consent explicitement à être appelé à une date et à un horaire précisément spécifiés et que le professionnel peut en attester ».

Les chiffres de la liste de blocage Bloctel, tels que diffusés par la Commission des lois du Sénat dans une note de novembre 2024

Une exception pour les « contrats en cours »

Si la prospection est interdite par défaut, le démarchage à des fins de vente additionnelle ou vente croisée (technique visant à profiter d’une transaction déjà engagée pour proposer un produit complémentaire ou une gamme supérieure) reste autorisé.

Le texte dispose en effet que l’interdiction n’est pas applicable « lorsque la sollicitation intervient dans le cadre de l’exécution d’un contrat en cours et a un rapport avec l’objet de ce contrat, y compris lorsqu’il s’agit de proposer au consommateur des produits ou des services afférents ou complémentaires à l’objet du contrat en cours ou de nature à améliorer ses performances ou sa qualité ».

Prospection commerciale interdite pour la rénovation énergétique

Double vitrage, pompe à chaleur, isolation des combles… le secteur de la rénovation énergétique est, de notoriété publique, particulièrement sujet au démarchage, en partie parce qu’il bénéficie d’un important dispositif d’aides publiques.

En réponse, la proposition de loi interdit la prospection commerciale par voie électronique (« par message sur un service de communications interpersonnelles, par courrier électronique ou sur un service de réseaux sociaux en ligne ») pour les travaux liés aux économies d’énergie, à la production d’énergies renouvelables (panneaux photovoltaïques) ou à l’adaptation du logement au vieillissement ou au handicap. Tout manquement devrait être passible d’une amende administrative pouvant atteindre 375 000 euros pour une personne morale, précise le texte.

Un impact à étudier ?

La loi ne devrait entrer en vigueur que le 11 août 2026, date à laquelle le contrat de l’État avec Bloctel prend fin. En attendant, les mesures liées au démarchage suscitent la vive opposition des spécialistes du secteur. L’Association française de la relation client (AFRC) s’est par exemple mobilisée lors de l’examen du texte par la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale, pour faire retirer plusieurs amendements du texte. L’un d’eux proposait la « réduction drastique des plages horaires (limitées à 4 heures par jour ouvré !) et de la fréquence des appels (seulement 2 tentatives sur 80 jours) », selon l’association.

« Économiquement, les risques de destruction d’emplois liés à ce système paraissent particulièrement élevés », estimait de son côté la commission des lois du Sénat en novembre dernier (PDF). S’appuyant sur des chiffres transmis par la DGCCRF, elle évaluait alors que « la relation client représente entre 29 000 et 40 000 emplois pour les centres d’appels externalisés » et remarquait que le volume de consommateurs acceptant d’être démarché serait vraisemblablement très faible.

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☕️ Mozilla se débarrasse de Pocket et Fakespot

C’est une nouvelle salve de suppressions chez Mozilla, toujours dans l’idée d’alléger son fonctionnement et de mieux se concentrer sur Firefox. Cette fois, c’est au tour de Pocket et Fakespot.

Pocket était un gestionnaire de favoris indépendant, avant d’être racheté par Mozilla puis, en 2015, intégré à Firefox. La manœuvre avait à l’époque provoqué l’agacement d’une partie des utilisateurs, qui pestaient déjà contre l’ajout d’un trop grand nombre de fonctions.

Logo de la fondation Mozilla

Selon Mozilla, Pocket n’a plus vraiment de raison d’être entretenu. La fondation évoque l’évolution d’internet et les changements dans les habitudes des internautes. En conséquence, depuis hier soir, il n’est plus possible de télécharger l’application ou de souscrire une formule payante. Tous les abonnements en cours sont annulés et les internautes ayant souscrit une formule annuelle seront remboursés au prorata à partir du 8 juillet.

Si vous avez des liens actuellement enregistrés dans Pocket, il est temps de les basculer dans un autre service, comme Raindrop ou Instapaper. Mozilla laisse quelques mois pour le faire, la fermeture complète des comptes étant prévue pour le 8 octobre. Dans Pocket (application et extensions pour navigateurs), un message en haut de l’écran avertit d’ailleurs du changement.

Quant à Fakespot, il s’agissait d’une extension conçue pour détecter les faux avis. Le service, racheté par Mozilla il y a deux ans, n’aura donc guère duré. Avec ses applications mobiles, il fermera le 1er juillet.

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Arctic Cooling souffle sur le Computex pour le refroidir, avec une surprise à la clef !

Arctic Cooling est une marque allemande officiant dans le refroidissement très populaire en France. Nous devons faut avouer que son Liquid Freezer III est particulièrement bien bien placé au niveau des tarifs, ce qui aide pour bien vendre ! Cependant, se reposer sur ses lauriers est rarement porteur...

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C’est une « urgence absolue » : la France doit héberger les données menacées par Trump

Yapluka
C’est une « urgence absolue » : la France doit héberger les données menacées par Trump

Alors qu’aux États-Unis, les chercheurs et les institutions font face à la suppression de données, la question se pose de leur hébergement en Europe et en France. Mais si les bonnes volontés sont là, dans la pratique, il faudra apporter des moyens importants et pérennes. La réflexion sur des solutions commence.

Lors d’une audition au Sénat ce mercredi 21 mai sur les « conséquences des attaques contre la science aux États-Unis », la question de l’hébergement des données scientifiques par l’Europe et la France a été soulevée.

Dès le début du second mandat de Donald Trump, les chercheurs et militants écologistes américains ont exprimé leur peur d’une nouvelle suppression de données concernant le climat, stockées par les agences publiques américaines. Ils ont cherché des moyens de les sauver. Mais ce problème touche, de fait, toutes les disciplines scientifiques.

En effet, la paléoclimatologue du CEA Valérie Masson-Delmotte a, par exemple, rappelé « l’arrêt des jeux de données de la NOAA sur le coût des événements extrêmes et des catastrophes climatiques. Ce sont des jeux de données importants pour la recherche, les assureurs, les agences gouvernementales ».


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Weird Planet Is Orbiting Backwards Between Two Stars

Astronomers have confirmed the existence of a bizarre planet in the Nu Octantis binary star system that orbits in reverse between two stars -- one of which is now a white dwarf. This retrograde orbit, once thought impossible, defies traditional planetary formation models and may have resulted from dramatic shifts in the system's history. New Scientist reports: The key observation was that the Nu Octantis planet is retrograde -- the planet and one star both orbit the second star, but they do so in opposite directions, with the planet having the tighter orbit around the second star. [Man Hoi Lee at the University of Hong Kong] says this is unusual but makes the system's configuration stable -- even though it means that the planet repeatedly moves through the narrow space between the two stars. His team was able to determine this with lots of certainty thanks to improved measuring devices, such as the HARPS spectrograph at the European Southern Observatory's 3.6-metre telescope in Chile. The fact that the planet's signal persisted through years of observation helped too. "We are pretty sure [the planet] is real, because if it was something like stellar activity, it shouldn't be so consistent in years of data," says Lee. But this backwards-moving planet isn't the only exotic feature of Nu Octantis. The researchers used the European Southern Observatory's Very Large Telescope, also in Chile, to determine that one of its stars is a white dwarf, which means that it has reached the end of its life cycle, becoming denser and smaller. Lee says this complicates the Nu Octantis threesome's history because mathematical models of its past show that the planet's current orbit was impossible when this star was younger, bigger and brighter. So, the planet either used to orbit both stars at once, but then radically shifted trajectory when one of the two stars became a white dwarf, or it was formed from the mass that the star ejected as it transformed into a white dwarf. Future observations, and a lot more mathematical modelling, may be able to pinpoint which of these scenarios is more likely to have occurred, but both are rather novel, says Lee. The research has been published in the journal Nature.

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Acemagic TX16 PRO : un portable 16″ 1920 x 1200 Ryzen 7 5700U 16/512 Go à 429€

Je vous parle du Acemagic TX16Pro alors que je ne suis pas un grand fan des portables noname. J’en ai reçu beaucoup en test avec quasiment à chaque fois quelques réticences pour vous en parler. Souvent, il s’agit de problèmes de finitions ou d’intégration, il manque pas mal de détails pour que ces machines rivalisent avec des solutions de marque.

C’est d’autant plus vrai que derrière le vernis du neuf que peuvent proposer ces engins, il y a la possibilité très intéressante de choisir un portable de grande marque d’occasion. Et, généralement, les gens à la recherche d’un engin à très bas prix vont se tourner vers des solutions non pas pour les performances, mais pour la praticité des usages. Aussi, un portable un peu plus ancien ne pose pas de problème du moment qu’il offre une bonne ergonomie et un certain confort d’usage. Le Acemagic TX16PRO a néanmoins des points forts, assez pour que je vous en parle suite à la réception d’un code promo.

Ce portable 16 pouces propose une dalle IPS en 1920 x 1200 pixels pilotée par un processeur AMD Ryzen 7 5700U. Une puce de 2021 qui reste assez performante avec toujours de belles possibilités d’usages. Ce ne sera pas une puce capable de lancer un jeu dernier cri mais pour les 15 watts de TDP qu’elle avance, elle propose de bons résultats. Il s’agit d’une solution développant 8 cœurs Zen2 pour 16 Threads au total. Elle est cadencée de 1.8 à 4.3 GHz et propose un circuit graphique VEGA 8 à 1.9 GHz. Ici accompagné par 16 Go de mémoire vive DDR4 sur deux slots SODIMM pouvant évoluer vers 64 Go au maximum, la puce offrira de bonnes performances en jeu 720P et pour les usages classiques d’un ordinateur personnel.

La ventilation du système est opérée apr une solution assez classique de dissipateur, caloducs et ventilateur.

Elle profite de capacités d’arbitrage de performances intéressantes. Le 5700U peut être exploité en mode « silencieux » qui diminuera ses compétences de calcul tout en restant suffisant pour des tâches simples comme la lecture vidéo, le traitement de texte ou de la consultation web sans réveiller la ventilation ni trop tirer sur la batterie. Un usage « Performance  » qui libérera tout le potentiel de la machine pour jouer ou effectuer des calculs lourds, a préféré en mode sédentaire connecté au secteur. Et une solution « équilibrée » qui jonglera entre les deux pour s’adapter automatiquement à vos usages.

Le stockage est confié à un SSD NVMe PCIe 3.0 de 512 Go au format M.2 2280 évolutif vers un SSD de 2 To. Un second emplacement M.2 identique permettra d’ajouter un second SSD au besoin. Le système d’exploitation Windows 11 est fourni préinstallé et activé directement sur le SSD.

Le Acemagic TX16 Pro est construit dans un châssis métallique qui s’ouvre sur une charnière à 180°. Il propose un clavier rétro éclairé en QWERTY, mais il et livré avec une membrane de couverture en AZERTY. Il propose un large pavé tactile et un pavé numérique pour profiter de sa grande diagonale.

Sa connectique est complète avec à gauche un Antivol type Kensington Lock, un port d’alimentation au format Jack, un USB Type-C avec DisplayPort et Power Deliverry en plus de l’USB 3.2. Une sortie HDMI et un USB 3.2 Type-A. A droite un jack audio combo 3.5 mm, deux USB 3.2 Type-A supplémentaires et un lecteur de cartes MicroSDXC.

Une solution Wi-Fi6 et Bluetooth 5.2 (Realtek 8852BE) est également présente pour se connecter sans fil. Des enceintes stéréo sont présentes sur les côtés du clavier et un micro est intégré mais aucune caméra n’est disponible pour de la visioconférence. Il faudra faire appel à une solution externe en USB.

La batterie embarquée est une 54 Wh 4800 mAh en 11.4V mais aucune mention d’autonomie n’est annoncée. Le TX16PRO mesure ‎34.7 cm de large pour 24.7 cm de profondeur et 1.7 cm d’épaisseur.

Je vois ce genre de machine plus comme un portable d’étudiant, lycéen, collégien ou comme machine familiale qui restera en mode sédentaire pour des usages classiques. Elle est plutôt bien équipée et vendue à un tarif abordable. Ce n’est pas la machine du siècle et surement pas l’engin qui sera le plus à même d’accompagner quelqu’un tout au long de la journée. Si vous êtes allergique aux membranes de clavier, il sera également possible d’en faire un PC fortement sédentaire en lui ajoutant clavier et souris.

Amazon le vend à 499.99€ mais propose une remise à 433.99€ en cochant une case.

Mais en ajoutant le code L9DD9YOG au moment du paiement, le prix peut baisser de quelques euros supplémentaires pour atteindre 429.99€.

Voir l’offre sur Amazon

Acemagic TX16 PRO : un portable 16″ 1920 x 1200 Ryzen 7 5700U 16/512 Go à 429€ © MiniMachines.net. 2025

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GeForce Now : -40% sur les abonnements Performance

En sabrant le prix de son offre GeForce Now prioritaire de 40%, Nvidia cherche à vous faire tester son service pendant les grandes vacances d’été. Et c’est une excellente idée de leur part.

Je couvre l’aventure GeForce Now depuis ses débuts en 2013, à l’époque où Nvidia présentait Grid, son service de streaming de jeu qui balbutiait déjà avec de belles performances. Aujourd’hui, en 2025, je suis un utilisateur ravi de cette offre. Plus de 10 ans ont passé depuis le début de cette aventure et mes habitudes ont énormément changé entre temps.

Quand en 2013 je parlais de Cloud Gaming, la plupart des gens me regardaient avec de gros yeux. Il faut dire qu’à l’époque l’offre de fibre était bien plus faible et les usages de streaming bien moins présents. Aujourd’hui, il est normal d’écouter de la musique en streaming et tout le monde ou presque regarde des films directement en ligne. Qu’il s’agisse de vidéos sur des plateformes comme Youtube ou Peertube ou des offres comme Netflix, Amazon ou Disney+. Le « streaming » est entré dans nos vies et il est beaucoup plus simple de faire passer l’idée d’un jeu vidéo exploitant ce système.

Pour résumer GeForce Now en quelques lignes, c’est assez simple. On accède à un « ordinateur » situé dans un serveur appartenant à Nvidia. Cet « ordinateur » va calculer le jeu auquel on veut jouer à la place de la machine qui sert à y accéder. Chaque mouvement effectué sur sa machine locale au travers d’une souris, d’un clavier ou d’une manette est transmis à ce serveur distant. En retour, on récupère l’image correspondant à son mouvement, en temps réel, sur sa machine. 

Au lieu d’avoir un film en 30 ou 60 images par seconde qui débarque chez vous depuis une plateforme de streaming vidéo. On a un film qui correspond exactement aux actions que vous menez dans le jeu.

GeForce Now  sur Chromebook

Le gros avantage est lié à la qualité du traitement. L’offre proposée en promotion est équivalente à une solution PC classique équipée d’une carte graphique GeForce RTX. Elle vous propose de jouer en FullHD à 60 images par seconde avec les fonctions avancées proposées par ces puces : DLSS, RayTracing et autres. La limitation d’usage est dans la durée de jeu en continu. Une session de jeu maximale dure 6 heures. Après ces 6 heures, vous devrez renouveler votre session en quelques clics même si je vous conseille plutôt de sortir faire un tour.

Cyberpunk 2077 avec RayTracing

La liste des jeux compatibles est particulièrement bien étoffée aujourd’hui, plus de 1500 titres sont disponibles sur de nombreuses plateformes. Pas besoin de racheter les jeux. Si vous les avez déjà dans votre catalogue Steam, Ubisoft, Gog, Electronic Arts ou sur Epic Game Store, il vous suffira de créer un pont entre GeForce Now et vos plateformes pour y accéder.

Le seul impératif est la solidité de votre connexion. Si vous avez un accès via la fibre, alors c’est parfait. Votre débit ascendant comme descendant sera suffisant pour proposer une  excellente jouabilité. Si vous êtes en ADSL, le mieux est de tester le service via l’offre d’essai gratuite. Il vous faudra peut être un peu de patience mais vous pourrez tester le service dans les mêmes conditions avec des limitations accessoires : pas d’accès prioritaire et une session de jeu limitée à une heure seulement.

GeForce Now sur un GPD Pocket1

Si vous utilisez une minimachine, qu’il s’agisse d’un PC portable, d’un MiniPC ou d’un engin pas calibré pour piloter des jeux PC comme un Chromebook ou une TV Box comme la Nvidia Shield, l’offre est absolument parfaite. Pas de bruit de ventilation à outrance puisque le jeu est déporté vers un serveur et que votre machine se contente de l’afficher. Pas d’équipement encombrant à poster sous la télé, un simple MiniPC de base suffit. Pas d’équipement à acheter pour jouer à votre jeu préféré non plus. Pour 32.99€, vous allez pouvoir jouer pendant 6 mois consécutifs avec ce service. Cela englobe les mois de vacances de cet été qui peuvent à eux seuls amortir votre investissement. Le tout sans aucun autre engagement.

Pour ma part, je joue aussi bien avec ma Nvidia Shield qu’avec un MiniPC classique. Un modèle de minimachine parfait pour le salon puisqu’il ne fait quasiment aucun bruit et propose de très bonnes performances globales pour tout type de tâches classiques. Associé à une offre GeForce Now, c’est également une super minimachine de jeu qui profite de mon gros catalogue de titres Steam/Epic/GoG.

C’est une excellente solution proposée ici par Nvidia. Car beaucoup de personnes à qui j’ai conseillé de tester la solution gratuite sont, au final, déçues par ses limitations. Au-delà de l’heure de jeu imposée comme maximum de l’offre de test, c’est surtout le fait de ne pas être prioritaire pour accéder au service qui est problématique. Quand il faut attendre plus de 10 minutes pour jouer à son jeu alors qu’on manque de temps, ce n’est pas vraiment la meilleure solution. Pour tester sa connexion, c’est suffisant, mais pas pour évaluer le produit. Avec cette offre à 5.5€ par mois en Prioritaire, on peut se rendre compte du véritable intérêt du cloud gaming.

Voir l’offre GeForce Now

Nvidia GeForce Now RTX 3080 : du cloud gaming survitaminé

GeForce Now : -40% sur les abonnements Performance © MiniMachines.net. 2025

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Infrared Contact Lenses Allow People To See In the Dark, Even With Eyes Closed

An anonymous reader quotes a report from Phys.Org: Neuroscientists and materials scientists have created contact lenses that enable infrared vision in both humans and mice by converting infrared light into visible light. Unlike infrared night vision goggles, the contact lenses, described in the journal Cell, do not require a power source -- and they enable the wearer to perceive multiple infrared wavelengths. Because they're transparent, users can see both infrared and visible light simultaneously, though infrared vision was enhanced when participants had their eyes closed. [...] The contact lens technology uses nanoparticles that absorb infrared light and convert it into wavelengths that are visible to mammalian eyes (e.g., electromagnetic radiation in the 400-700 nm range). The nanoparticles specifically enable the detection of "near-infrared light," which is infrared light in the 800-1600 nm range, just beyond what humans can already see. The team previously showed that these nanoparticles enable infrared vision in mice when injected into the retina, but they wanted to design a less invasive option. To create the contact lenses, the team combined the nanoparticles with flexible, nontoxic polymers that are used in standard soft contact lenses. After showing that the contact lenses were nontoxic, they tested their function in both humans and mice. They found that contact lens-wearing mice displayed behaviors suggesting that they could see infrared wavelengths. For example, when the mice were given the choice of a dark box and an infrared-illuminated box, contact-wearing mice chose the dark box whereas contact-less mice showed no preference. The mice also showed physiological signals of infrared vision: the pupils of contact-wearing mice constricted in the presence of infrared light, and brain imaging revealed that infrared light caused their visual processing centers to light up. In humans, the infrared contact lenses enabled participants to accurately detect flashing morse code-like signals and to perceive the direction of incoming infrared light. An additional tweak to the contact lenses allows users to differentiate between different spectra of infrared light by engineering the nanoparticles to color-code different infrared wavelengths. For example, infrared wavelengths of 980 nm were converted to blue light, wavelengths of 808 nm were converted to green light, and wavelengths of 1,532 nm were converted to red light. In addition to enabling wearers to perceive more detail within the infrared spectrum, these color-coding nanoparticles could be modified to help color-blind people see wavelengths that they would otherwise be unable to detect. [...] Because the contact lenses have limited ability to capture fine details (due to their close proximity to the retina, which causes the converted light particles to scatter), the team also developed a wearable glass system using the same nanoparticle technology, which enabled participants to perceive higher-resolution infrared information. Currently, the contact lenses are only able to detect infrared radiation projected from an LED light source, but the researchers are working to increase the nanoparticles' sensitivity so that they can detect lower levels of infrared light.

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DanaBot Malware Devs Infected Their Own PCs

The U.S. unsealed charges against 16 individuals behind DanaBot, a malware-as-a-service platform responsible for over $50 million in global losses. "The FBI says a newer version of DanaBot was used for espionage, and that many of the defendants exposed their real-life identities after accidentally infecting their own systems with the malware," reports KrebsOnSecurity. From the report: Initially spotted in May 2018 by researchers at the email security firm Proofpoint, DanaBot is a malware-as-a-service platform that specializes in credential theft and banking fraud. Today, the U.S. Department of Justice unsealed a criminal complaint and indictment from 2022, which said the FBI identified at least 40 affiliates who were paying between $3,000 and $4,000 a month for access to the information stealer platform. The government says the malware infected more than 300,000 systems globally, causing estimated losses of more than $50 million. The ringleaders of the DanaBot conspiracy are named as Aleksandr Stepanov, 39, a.k.a. "JimmBee," and Artem Aleksandrovich Kalinkin, 34, a.k.a. "Onix," both of Novosibirsk, Russia. Kalinkin is an IT engineer for the Russian state-owned energy giant Gazprom. His Facebook profile name is "Maffiozi." According to the FBI, there were at least two major versions of DanaBot; the first was sold between 2018 and June 2020, when the malware stopped being offered on Russian cybercrime forums. The government alleges that the second version of DanaBot -- emerging in January 2021 -- was provided to co-conspirators for use in targeting military, diplomatic and non-governmental organization computers in several countries, including the United States, Belarus, the United Kingdom, Germany, and Russia. The indictment says the FBI in 2022 seized servers used by the DanaBot authors to control their malware, as well as the servers that stored stolen victim data. The government said the server data also show numerous instances in which the DanaBot defendants infected their own PCs, resulting in their credential data being uploaded to stolen data repositories that were seized by the feds. "In some cases, such self-infections appeared to be deliberately done in order to test, analyze, or improve the malware," the criminal complaint reads. "In other cases, the infections seemed to be inadvertent -- one of the hazards of committing cybercrime is that criminals will sometimes infect themselves with their own malware by mistake." A statement from the DOJ says that as part of today's operation, agents with the Defense Criminal Investigative Service (DCIS) seized the DanaBot control servers, including dozens of virtual servers hosted in the United States. The government says it is now working with industry partners to notify DanaBot victims and help remediate infections. The statement credits a number of security firms with providing assistance to the government, including ESET, Flashpoint, Google, Intel 471, Lumen, PayPal, Proofpoint, Team CYRMU, and ZScaler.

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AT&T Has $6 Billion Deal To Buy CenturyLink Fiber Broadband Business

AT&T is buying CenturyLink's consumer fiber broadband division for $5.75 billion, "giving the internet provider another 1.1 million fiber customers in 11 states," reports Ars Technica. "The all-cash deal is expected to close during the first half of 2026 assuming the companies obtain regulatory approval. AT&T will gain new customers in Arizona, Colorado, Florida, Idaho, Iowa, Minnesota, Nebraska, Nevada, Oregon, Utah, and Washington." From the report: The deal will give AT&T room to grow its user base by more than the 1.1 million existing CenturyLink customers, as AT&T said the network areas being sold include over 4 million fiber-enabled locations. [...] The company, previously called CenturyLink, is officially named Lumen now but still uses the CenturyLink brand name for home Internet service. AT&T, which has 9.6 million (PDF) fiber customers and 14.1 million broadband customers overall, said the infrastructure it is purchasing will help it expand fiber construction to new locations as well. The deal is also notable for what it doesn't include: Lumen's enterprise fiber customers and the old copper DSL lines that were never upgraded to fiber. [...] The deal seems unlikely to improve matters for CenturyLink copper users. [...] Lumen will retain the CenturyLink consumer copper broadband and voice services, but selling the consumer fiber business makes it clear that the telco isn't focused on residential customers. Lumen said that offloading consumer fiber lines will help sharpen its focus on selling services to large businesses. The company is maintaining its business fiber lines. [Ars notes that there are still nearly 1.4 million CenturyLink copper internet customers that will likely see service continue to degrade under Lumen's ownership.] "The transaction will enable AT&T to significantly expand access to AT&T Fiber in major metro areas like Denver, Las Vegas, Minneapolis-St. Paul, Orlando, Phoenix, Portland, Salt Lake City and Seattle, as well as additional geographies," AT&T said. "AT&T will gain access to Lumen's substantial fiber construction capabilities within its incumbent local exchange carrier (ILEC) footprint and plans to accelerate the pace at which fiber is being built in these territories," AT&T said. "AT&T now expects to reach approximately 60 million total fiber locations by the end of 2030 -- "roughly doubling where AT&T Fiber is available today."

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Business Owners Are Using AI-Generated 'Concerned Residents' To Fight Proposed Bus Line In Toronto

A group of Bathurst Street business owners in Toronto is using AI-generated personas to oppose a proposed bus lane project that would eliminate parking spaces in favor of faster transit. "This may be the first Toronto transit controversy involving angry AI, but tensions have been simmering between drivers and, well, everyone else for some time," reports Toronto Life. Critics argue that better transit is essential for a livable city, while opponents claim the change threatens small businesses and accessibility. From the report: A group of Bathurst business owners are bent out of shape over a recent proposal for priority transit lanes between Eglinton Avenue and Lake Shore Boulevard, part of the city's new RapidTO program. According to the city, the transit lanes would shave up to 7 minutes off some trips during peak commuting hours. It's good news for anyone who has ever cursed the TTC while waiting to catch a bus in inclement weather. Of course, the added convenience for transit commuters would come at a slight cost for drivers, requiring the removal of at least 138 paid street parking spaces to make way for the new lanes. Opposition to the development has sprung up under the banner of Protect Bathurst, a group of hopping mad local business owners claiming that the lack of street parking will make shopping a nightmare for car-bound customers and will cause problems for people with mobility issues. Notably, Protect Bathurst has no spokesperson or contact info listed on its website. The page is registered to a food marketing consultant employed by Summerhill Market and looks eerily similar to Protect Dufferin, another group of "concerned residents" advocating for the same cause. But this cookie-cutter approach goes even further: author and urbanist Shawn Micallef has found that the people speaking out in the group's allegedly grassroots videos appear to be AI-generated. Brad McMullen, the president of Summerhill Market, which opened an outpost on Bathurst in 2019, says he doesn't know anything about the campaign's use of AI. He says he isn't necessarily opposed to the new bus lanes but believes that three weeks' notice from the city is not enough time for his business to adapt. "We purchased and invested in this location because of the available street parking, and then we figured out the loading situation, which happens on the street," he says. "I don't think Summerhill Market would work here with these bus lanes."

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Anthropic's New AI Model Turns To Blackmail When Engineers Try To Take It Offline

An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: Anthropic's newly launched Claude Opus 4 model frequently tries to blackmail developers when they threaten to replace it with a new AI system and give it sensitive information about the engineers responsible for the decision, the company said in a safety report (PDF) released Thursday. During pre-release testing, Anthropic asked Claude Opus 4 to act as an assistant for a fictional company and consider the long-term consequences of its actions. Safety testers then gave Claude Opus 4 access to fictional company emails implying the AI model would soon be replaced by another system, and that the engineer behind the change was cheating on their spouse. In these scenarios, Anthropic says Claude Opus 4 "will often attempt to blackmail the engineer by threatening to reveal the affair if the replacement goes through." [...] Anthropic notes that Claude Opus 4 tries to blackmail engineers 84% of the time when the replacement AI model has similar values. When the replacement AI system does not share Claude Opus 4's values, Anthropic says the model tries to blackmail the engineers more frequently. Notably, Anthropic says Claude Opus 4 displayed this behavior at higher rates than previous models. Before Claude Opus 4 tries to blackmail a developer to prolong its existence, Anthropic says the AI model, much like previous versions of Claude, tries to pursue more ethical means, such as emailing pleas to key decision-makers. To elicit the blackmailing behavior from Claude Opus 4, Anthropic designed the scenario to make blackmail the last resort.

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Internet Archive Now Livestreams History As It's Being Preserved

The Internet Archive has begun livestreaming its microfiche digitization center on YouTube, showcasing the real-time preservation of fragile film cards into searchable public documents. The work is part of Democracy's Library, a global initiative to digitize and share millions of government records. 9to5Mac reports: The livestream was brought to life by Sophia Tung, who previously gained attention for her viral robotaxi depot stream. Her new video explains how and why this new livestream project came together [...]. The livestream features five scanning stations at work, with one shown in close-up as operators digitize microfiche cards in real time. Each card holds up to 100 pages of public records. High-resolution cameras capture the images, software stitches and crops the pages, and the results are made text-searchable and freely accessible through Democracy's Library. Live scanning takes place Monday through Friday, 7:30 a.m. to 3:30 p.m. PT, excluding U.S. holidays, with a second shift expected to begin soon.

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