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Radeon RX 9060 XT 16Go vs 8Go : des fréquences plus élevées pour certains modèles 16Go ?
Alors que le lancement de la AMD Radeon RX 9060 XT se rapproche à grands pas puisque la carte va arriver pour rappel le jeudi 5 juin 2025 en boutique, les informations continuent à légèrement filtrer au compte-goutte auprès des marques ou des revendeurs. En ce 2 juin, ASUS ou encore GIGABYTE masquen...
Microsoft Mandates Universal USB-C Functionality To End 'USB-C Port Confusion' on Windows 11 Devices
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Vie privée, effets sur les jeunes, violences : Meta va remplacer l’évaluation humaine par l’IA
IA moins de gène

Meta prévoit de confier jusqu’à 90 % des évaluations des risques de ses nouveaux produits à des IA. L’entreprise avait, progressivement, été poussée à mettre en place des équipes d’évaluation de ses nouveaux produits pour atténuer leurs conséquences négatives avant leur mise en place sur le marché.
Les produits de Meta ne sont pas exempts de risques pour leurs utilisateurs, loin s’en faut, que ce soit de problèmes liés à la désinformation, à l’utilisation de données privées ou l’exposition des jeunes à des contenus problématiques. Mais l’entreprise a été poussée par certaines instances de régulation comme la Federal Trade Commission à mettre en place quelques garde-fous.
Le scandale Cambridge Analytica a aussi eu un petit effet. À l’époque, l’entreprise avait étendu son programme de recherche de bugs (bug bounty) aux utilisations frauduleuses de données par des applications tierces, par exemple.
De même, dès 2019, l’entreprise a mis en place une « red team » spécialisée sur l’IA, racontait Forbes. En 2023, pour la sortie de Llama 2, les chercheurs de Meta expliquaient avoir travaillé avec 350 personnes pour atténuer les risques, « y compris des experts en cybersécurité, fraude électorale, désinformation dans les médias sociaux, droit, politique, droits civils, éthique, génie logiciel, apprentissage automatique, IA responsable et création littéraire », précisaient-ils.
Automatisation de 90 % des évaluations de risques
L’entreprise prévoirait désormais d’automatiser jusqu’à 90 % des évaluations de risques, selon des documents internes obtenus par le média public américain NPR.
Selon nos confrères, les modifications des algorithmes des différents réseaux sociaux de Meta, les nouveaux dispositifs de sécurité ou les éventuels changements de règles de partages des contenus sur les plateformes de l’entreprise seront approuvés par des systèmes automatisés utilisant de l’intelligence artificielle et ne seront plus débattus en interne par une équipe dédiée.
Dans l’entreprise, ce changement serait vu comme une victoire des responsables produits qui pourront lancer des nouveautés plus rapidement. « Dans la mesure où ce processus signifie fonctionnellement que davantage de produits sont lancés plus rapidement, avec un examen et une opposition moins rigoureux, cela signifie que vous créez des risques plus élevés », explique cependant un ancien responsable de Meta de manière anonyme.
De son côté, l’entreprise assure à la NPR que « l’expertise humaine » sera toujours utilisée pour les « questions nouvelles et complexes » et que seules les « décisions à faible risque » seraient automatisées. Le média étasunien assure que les documents internes qu’il a consultés évoquent l’automatisation de domaines sensibles comme la sécurité des IA, les risques pour les jeunes, et ce que l’entreprise appelle « intégrité » qui englobe les contenus violents et les fausses informations.
Obligée par le DSA, Meta maintient une équipe en Europe
Selon les documents consultés par la NPR, le processus de validation que Meta met en place passerait dans la plupart des cas par un simple questionnaire sur le projet. Les équipes produits recevront une « décision instantanée » automatisée identifiant les risques et les moyens d’y remédier.
Interrogé par NPR, l’ancien directeur du service « Innovation responsable » de Facebook, Zvika Krieger explique que « la plupart des chefs de produit et des ingénieurs ne sont pas des experts en matière de protection de la vie privée et ce n’est pas l’objet de leur travail. Ce n’est pas ce sur quoi ils sont principalement évalués et ce n’est pas ce qui les incite à donner la priorité à la protection de la vie privée ».
En avril, le prestataire de modération Telus a licencié plus de 2000 personnes à Barcelone après avoir perdu le contrat qui le liait à Meta. Cela dit, selon ses documents internes, l’entreprise de Mark Zuckerberg devrait garder une équipe en Europe (en Irlande, où se situe son siège social pour l’UE) pour prendre des décisions sur le lancement de produits et l’utilisation des données utilisateurs au sein de la zone européenne. Le DSA oblige, en effet, les plateformes à porter une plus grande attention à ces sujets.
Vie privée, effets sur les jeunes, violences : Meta va remplacer l’évaluation humaine par l’IA
IA moins de gène

Meta prévoit de confier jusqu’à 90 % des évaluations des risques de ses nouveaux produits à des IA. L’entreprise avait, progressivement, été poussée à mettre en place des équipes d’évaluation de ses nouveaux produits pour atténuer leurs conséquences négatives avant leur mise en place sur le marché.
Les produits de Meta ne sont pas exempts de risques pour leurs utilisateurs, loin s’en faut, que ce soit de problèmes liés à la désinformation, à l’utilisation de données privées ou l’exposition des jeunes à des contenus problématiques. Mais l’entreprise a été poussée par certaines instances de régulation comme la Federal Trade Commission à mettre en place quelques garde-fous.
Le scandale Cambridge Analytica a aussi eu un petit effet. À l’époque, l’entreprise avait étendu son programme de recherche de bugs (bug bounty) aux utilisations frauduleuses de données par des applications tierces, par exemple.
De même, dès 2019, l’entreprise a mis en place une « red team » spécialisée sur l’IA, racontait Forbes. En 2023, pour la sortie de Llama 2, les chercheurs de Meta expliquaient avoir travaillé avec 350 personnes pour atténuer les risques, « y compris des experts en cybersécurité, fraude électorale, désinformation dans les médias sociaux, droit, politique, droits civils, éthique, génie logiciel, apprentissage automatique, IA responsable et création littéraire », précisaient-ils.
Automatisation de 90 % des évaluations de risques
L’entreprise prévoirait désormais d’automatiser jusqu’à 90 % des évaluations de risques, selon des documents internes obtenus par le média public américain NPR.
Selon nos confrères, les modifications des algorithmes des différents réseaux sociaux de Meta, les nouveaux dispositifs de sécurité ou les éventuels changements de règles de partages des contenus sur les plateformes de l’entreprise seront approuvés par des systèmes automatisés utilisant de l’intelligence artificielle et ne seront plus débattus en interne par une équipe dédiée.
Dans l’entreprise, ce changement serait vu comme une victoire des responsables produits qui pourront lancer des nouveautés plus rapidement. « Dans la mesure où ce processus signifie fonctionnellement que davantage de produits sont lancés plus rapidement, avec un examen et une opposition moins rigoureux, cela signifie que vous créez des risques plus élevés », explique cependant un ancien responsable de Meta de manière anonyme.
De son côté, l’entreprise assure à la NPR que « l’expertise humaine » sera toujours utilisée pour les « questions nouvelles et complexes » et que seules les « décisions à faible risque » seraient automatisées. Le média étasunien assure que les documents internes qu’il a consultés évoquent l’automatisation de domaines sensibles comme la sécurité des IA, les risques pour les jeunes, et ce que l’entreprise appelle « intégrité » qui englobe les contenus violents et les fausses informations.
Obligée par le DSA, Meta maintient une équipe en Europe
Selon les documents consultés par la NPR, le processus de validation que Meta met en place passerait dans la plupart des cas par un simple questionnaire sur le projet. Les équipes produits recevront une « décision instantanée » automatisée identifiant les risques et les moyens d’y remédier.
Interrogé par NPR, l’ancien directeur du service « Innovation responsable » de Facebook, Zvika Krieger explique que « la plupart des chefs de produit et des ingénieurs ne sont pas des experts en matière de protection de la vie privée et ce n’est pas l’objet de leur travail. Ce n’est pas ce sur quoi ils sont principalement évalués et ce n’est pas ce qui les incite à donner la priorité à la protection de la vie privée ».
En avril, le prestataire de modération Telus a licencié plus de 2000 personnes à Barcelone après avoir perdu le contrat qui le liait à Meta. Cela dit, selon ses documents internes, l’entreprise de Mark Zuckerberg devrait garder une équipe en Europe (en Irlande, où se situe son siège social pour l’UE) pour prendre des décisions sur le lancement de produits et l’utilisation des données utilisateurs au sein de la zone européenne. Le DSA oblige, en effet, les plateformes à porter une plus grande attention à ces sujets.
Business Insider Recommended Nonexistent Books To Staff As It Leans Into AI
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☕️ Donald Trump va remplacer le chef de la Nasa Jared Isaacman, choisi par Elon Musk
Donald Trump a finalement écarté son candidat à la tête de la Nasa, Jared Isaacman, un proche d’Elon Musk. Le Président des États-Unis a déclaré vouloir proposer une nouvelle candidature rapidement.
« Après un examen approfondi des associations antérieures, je retire par la présente la nomination de Jared Isaacman à la tête de la Nasa », a-t-il indiqué.
L’astronaute privé et milliardaire Jared Isaacman avait été choisie par Elon Musk, qui a quitté le DOGE (ministère de l’efficacité gouvernementale) et la position stratégique que celui-ci lui offrait au sein de l’administration des États-Unis il y a une semaine à peine. Sur X, ce dernier s’est dit déçu de cette évolution.

La Maison-Blanche n’a pas donné d’explications précises sur sa décision. Jared Isaacman avait le soutien de l’industrie, mais sa proximité avec Musk soulevait les inquiétudes des régulateurs, relève the Guardian. Fondateur du système de paiement Shift4, Jared Isaacman avait par ailleurs réalisé des donations au parti démocrate lors de précédentes élections.
Fin mai, l’agence spatiale a publié les détails de la proposition de budget 2026 de l’administration Trump, qui prévoit la suppression de dizaines de programmes scientifiques spatiaux et le licenciement de plusieurs milliers de personnes.
Certains scientifiques estiment que le changement de direction pourrait déstabiliser davantage encore le fonctionnement de la Nasa.
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« Après un examen approfondi des associations antérieures, je retire par la présente la nomination de Jared Isaacman à la tête de la Nasa », a-t-il indiqué.
L’astronaute privé et milliardaire Jared Isaacman avait été choisie par Elon Musk, qui a quitté le DOGE (ministère de l’efficacité gouvernementale) et la position stratégique que celui-ci lui offrait au sein de l’administration des États-Unis il y a une semaine à peine. Sur X, ce dernier s’est dit déçu de cette évolution.

La Maison-Blanche n’a pas donné d’explications précises sur sa décision. Jared Isaacman avait le soutien de l’industrie, mais sa proximité avec Musk soulevait les inquiétudes des régulateurs, relève the Guardian. Fondateur du système de paiement Shift4, Jared Isaacman avait par ailleurs réalisé des donations au parti démocrate lors de précédentes élections.
Fin mai, l’agence spatiale a publié les détails de la proposition de budget 2026 de l’administration Trump, qui prévoit la suppression de dizaines de programmes scientifiques spatiaux et le licenciement de plusieurs milliers de personnes.
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Linux 6.16 Will Now Conveniently Report Hard/Soft Lockups & RCU Stall Counts
Vers une baisse de production des RTX 5000 chez NVIDIA ? Des hausses de prix à prévoir ?

D'après une rumeur relayée par WCCFTech, NVIDIA envisagerait (conditionnel) de réduire la production de ses cartes graphiques GeForce RTX 5000, au profit de GPU destinés à l'intelligence artificielle, qui sont à priori bien plus rentables pour l'entreprise. Une décision stratégique qui viserait à maximiser les bénéfices plutôt que les volumes de vente. Et c'est un constat, NVIDIA semble de plus en plus concentrée sur le marché de l'IA, où les marges sont bien plus élevées que sur les produits grand public. En conséquence, la production des cartes graphiques GeForce destinées aux joueurs pourrait chuter de 20 à 30 %. […]
Lire la suiteASUS annonce l'arrivée de la série 5 pour ses moniteurs The Ultimate Force.

ASUS annonce aujourd'hui l'arrivée d'une nouvelle flopée d'écrans venant s'ajouter à la longue liste de moniteurs The Ultimate Force. Parmi ces nouveautés, nous retrouvons le VG27AQML5A, se vantant d'un taux de rafraîchissement de 300 Hz, d'un temps de réponse de 0,3 ms, ainsi que de la prise en charge de l'AMD FreeSync et du G-Sync Compatible de NVIDIA. À côté de cela, nous avons aussi le VG34WQML5A, un modèle Ultra Wide proposant un taux de rafraîchissement de 250 Hz et un temps de réponse de 0,5 ms, avec, comme souvent, la prise en charge des deux technologies VRR d'AMD et NVIDIA. […]
Lire la suiteHow Stack Overflow's Reputation System Led To Its Own Downfall
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Netvibes, c’est fini…
Les agrégateurs en mode Highlander ?

Netvibes était un agrégateur de flux RSS et il ne fêtera pas ses 20 ans. Il a été lancé le 15 septembre 2005 par les Français Tariq Krim (qui a quitté l’entreprise en 2008, remplacé par Freddy Mini au poste de CEO). Il a été racheté en 2012 par le groupe Dassault Systèmes, qui le ferme ce lundi 2 juin.
« Les flux RSS ne sont pas morts, ils bougent encore. Mais force est de constater qu’ils sont bien moins vigoureux qu’il y a 10 ans ». Cette phrase, nous l’avons écrite en 2018 lors d’un sondage… mais elle est toujours aussi vraie en 2025.
Elle devrait rester valable encore longtemps, au moins pour certains qui ont maintenant plusieurs dizaines (plus que deux ou trois en général) d’années au compteur. Les agrégateurs de flux RSS avaient en effet le vent en poupe dans les années 2000 et 2010.
2005, 2007, 2010 et 2012 : quatre dates importantes
Un premier coup de semonce dans le monde des agrégateurs est arrivé à l’été 2013 avec la fermeture de Google Reader, puis de iGoogle (portail concurrent de Netvibes). Dans la liste des remplaçants, Netvibes et Feedly arrivaient souvent en tête. De ce trio, il n’en reste donc plus qu’un seul.
« Lancée en 2005, [la start-up Netvibes] a attiré 15 000 utilisateurs dès le premier jour et n’a pas cessé de grossir depuis. Aujourd’hui, Netvibes est utilisée par plus de 10 millions de personnes, dont la moitié aux États-Unis. À l’été 2006, elle a annoncé la plus importante levée de fonds européenne de ces dernières années pour une société Internet (12 millions d’euros) », expliquait Le Monde en 2007.
En 2007 également, Time Magazine classe Netvibes dans la liste des « 50 meilleurs sites Web ». Début 2010, une étape importante pour l’entreprise est franchie : elle est rentable. 50 % des revenus venaient alors de Netvibes for Enterprise, 40 % du Premium Dashboards et 10 % des widgets.

Dassault Systèmes s’est d’ailleurs emparé de Netvibes en 2012 pour renforcer « sa plate-forme 3D Experience avec des « expériences de veille en temps réel » pour les entreprises et les consommateurs ». Selon le communiqué de l’époque, « chaque mois, Netvibes [aidait] plus de 4 millions de personnes à créer des tableaux de bord intelligents pour gérer leur vie numérique au quotidien ».
« Tu vas vraiment me manquer ! »
La fermeture de Netvibes avait été annoncée par l’entreprise, provoquant une montée de nostalgie chez certains : « J’utilise quotidiennement Netvibes depuis 2007 […] notamment pour suivre quelques titres de presse, des blogs (il y en a de moins en moins), des blogs musique, l’actu WordPress, etc. C’est également un bon moyen de lister des ressources auxquelles je peux avoir accès en permanence ». C’est parfois la douche froide : « Je viens de le découvrir aujourd’hui parce que la page Netvibe a disparu… ».
Un des avantages de Netvibes était la simplicité de l’interface : « Il me permettait de faire une veille sur tous mes sujets (tech, actu, …) sans être pollué, au rythme que je le souhaite et avec une interface sobre et efficace. J’avais testé des concurrents mais aucun ne l’a détrôné et il avait traversé tous les effets de mode ou autres réseaux sociaux. Tu vas vraiment me manquer ! », explique un DSI.
Dans l’e-mail envoyé aux utilisateurs, Netvibes annonçait la fermeture de son service pour ce lundi 2 juin à 12 h. Effectivement, alors que la plateforme fonctionnait ce matin, ce n’est plus le cas cet après-midi. Un formulaire permettait de récupérer les données, mais puisque le site de Netvibes n’est plus du tout accessible, le lien ne fonctionne plus.
Le message précisait : « Veuillez noter qu’après la fermeture de Netvibes.com, toutes vos données personnelles collectées pour vous fournir ce service seront supprimées par Dassault Systèmes en conformité avec notre Politique de Confidentialité ».
3D UNIV+RSES, ou le bingo loto de l’IA
À la place, Dassault Systèmes met en avant 3D UNIV+RSES, une plateforme présentée en avril qui « intègre plusieurs technologies d’IA générative au cœur de la gestion du cycle de vie de la propriété intellectuelle (IPLM) à l’échelle mondiale, au bénéfice de ses clients ». Encore un peu de discours marketing ? 3D UNIV+RSES est le « premier environnement numérique dédié à l’entraînement de nouvelles catégories d’Experience en tant que Service (XaaS), notamment les expériences génératives (GenXp), les compagnons virtuels, ainsi que les expériences de Jumeau Virtuel Intelligent en tant que Service (VTaaS) ».
Quelles alternatives ? À vos commentaires…
Désormais, la page de Netvibes renvoie vers la liste des produits 3DS de Dassault Systèmes. Si vous utilisez des solutions concurrentes et/ou avez trouvé une alternative, n’hésitez pas à en faire profiter la communauté via les commentaires !
