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Qualcomm Snapdragon X1 Elite GCC vs. LLVM Clang Compiler Performance

Since recently picking up a Qualcomm Snapdragon X Elite laptop for Linux testing now that the Linux support is starting to evolve into better shape (albeit still with many rough corners limiting the daily usability of such devices with Linux), one of the areas I was curious about was looking at the performance of Linux binaries with GCC vs. LLVM Clang. Here are some benchmarks for those wondering how the GCC and Clang compilers are competing on the Snapdragon X Elite with the Oryon CPU cores.
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☕️ Oui, Anthropic a bien coupé ses liens avec Windsurf à cause d’OpenAI

Il y a quelques jours, on apprenait qu’Anthropic avait brutalement coupé l’accès à ses API pour Windsurf. Cette entreprise édite un client de « vibe coding » (programmation fortement soutenue par l’IA) du même nom, qui met à disposition plusieurs modèles dans ce but. Parmi eux, la famille Claude, dont les versions Sonnet ont acquis un certain renom dans le développement pour leur efficacité.

Windsurf a communiqué sur le sujet, expliquant notamment qu’Anthropic laissait moins d’une semaine pour s’adapter. Dans un article, nous relevions un faisceau d’indices pointant vers une décision stratégique. Au cœur de cette théorie, l’annonce par Bloomberg d’un rachat de Windsurf par OpenAI, pour un montant de 3 milliards de dollars. Ni Windsurf ni OpenAI n’ont confirmé cette opération pour l’instant. Peu après, quand la famille Claude 4 avait été présentée par Anthropic, Windsurf n’y avait pas eu accès.

Windsurf

On sait désormais que cette décision avait tout à voir avec l’article de Bloomberg. Jared Kaplan, cofondateur et directeur scientifique d’Anthropic, était l’invité hier des TC Sessions de TechCrunch. Interrogé sur le sujet, Kaplan a simplement répondu : « Nous essayons vraiment de permettre à nos clients de travailler durablement avec nous à l’avenir. Je pense qu’il serait étrange que nous vendions Claude à OpenAI ».

Dans un développement un peu plus étonnant, le responsable a indiqué que les ressources informations d’Anthropic étaient actuellement limitées. L’entreprise préférait donc se concentrer sur des partenaires « durables ». Kaplan a d’ailleurs cité en exemple Cursor, édité par Anysphere, avec lequel Anthropic devrait travailler « longtemps ». Cursor qui a déjà reçu plusieurs offres de rachat, toutes déclinées. L’entreprise vient d’ailleurs de lever 900 millions de dollars pour développer ses activités et jouit actuellement de l’une des croissances les plus rapides du secteur.

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X veut mettre tout le monde d’accord avec de nouvelles notes de communauté

Et pourquoi pas ?
X veut mettre tout le monde d’accord avec de nouvelles notes de communauté

Le réseau social expérimente un nouveau mécanisme pour ses notes de communauté. Le principe reste le même, mais X veut fluidifier la publication des notes en promouvant une idée « neuve » : que les personnes sont en fait plus souvent d’accord les unes avec les autres qu’elles ne le croient.

En mars dernier, Bloomberg avait publié les résultats d’une longue enquête sur les notes de communauté. Ce mécanisme permet à des internautes d’apposer un message sur une publication de réseau social. Cette note est faite initialement pour compléter le propos, mais elle est rapidement devenue une manière de combattre les informations fausses ou créées de toutes pièces.

Comme l’avaient pointé nos confrères cependant, les notes de communauté n’étaient pas une panacée. Il y avait un décalage prononcé par exemple entre l’arrivée d’un tweet viral et celles des notes contrebalançant le propos. Une fake news avait largement le temps de faire le tour de la planète avant. En outre, les utilisateurs étaient poussés à jouer la carte de l’émotionnel, X récompensant les tweets au nombre des réactions qu’ils engendrent.

Ces problèmes étaient d’autant plus mis en avant que Meta avait annoncé un peu avant son intention de recourir au même système. Que ce soit le réseau d’Elon Musk ou ceux de Mark Zuckerberg, les raisons invoquées étaient les mêmes : les personnes et entreprises embauchées pour vérifier les faits étaient biaisées politiquement, une accusation d’inclinaison à gauche reprise dans la rhétorique « anti-woke ». Bloomberg relevait pourtant que même si les notes de communauté avaient certains succès à leur actif, elles ne pouvaient être à elles seules une défense suffisamment solide contre les fake news.

L’art du consensus

Dans cette enquête, les journalistes s’étaient tout particulièrement penchés sur le mécanisme de publication. Ils soulignaient ainsi que la manière même dont les notes fonctionnaient nuisait à la réactivité générale de l’ensemble.

Il ne suffit pas en effet de proposer une note pour qu’elle soit publiée dans la foulée. Après la rédaction initiale, elle est proposée aux autres personnes rédigeant des notes. Elle doit avoir été validée un certain nombre de fois pour être acceptée en tant que note de communauté et publiée. Il faut donc réunir un quorum, un consensus parfois difficile à établir, retardant d’autant le combat contre les fake news. Mais, encore une fois, Bloomberg mettait en balance un système qui privilégiait avant tout la viralité comme un problème fondamental de ce combat.

Bien que X reste tributaire de ce grand-écart, il a partagé hier soir un nouveau chantier. Le réseau social a annoncé un test autour des notes de communauté. Celles-ci seraient la démonstration que des personnes aux opinions parfois très divergentes peuvent finalement se mettre d’accord. En somme, l’ex-Twitter veut promouvoir l’idée que ses utilisateurs sont en réalité plus souvent sur la même longueur d’onde qu’ils ne le croient.

La construction de ponts selon X

Depuis hier, un petit groupe de contributeurs américains participe ainsi à une expérience. « Occasionnellement », ils seront appelés à réagir à certains messages publiés. Ces appels seront affichés peu de temps après l’arrivée du tweet. Selon X, un algorithme captera des signaux précoces, notamment les J’aime. Les utilisateurs sélectionnés seront invités à fournir un commentaire, partagé immédiatement aux autres membres du groupe.

L’algorithme va alors observer la réaction des premières personnes. Sur un même sujet, si les J’aime s’accumulent alors qu’ils proviennent de personnes aux points de vue habituellement contrastés, un message va s’afficher pour l’indiquer tel quel. Ce message sera promotionnel : « Cette publication a récolté des J’aime de la part de personnes ayant des perspectives différentes. Qu’en pensez-vous ? ».

Cliquer sur le message ouvrira un panneau avec une liste de propositions accompagnées de cases à cocher. On pourra ainsi déclarer que l’on est d’accord, que l’on a appris quelque chose, qu’il soulève un point important, qu’il rassemble sur un sujet d’ordinaire très polarisé, qu’il est inspirant ou autre appréciation. Dans une deuxième partie, on trouve les commentaires négatifs.

Selon X, qui développe sa vision dans une page dédiée, cette démarche est un prolongement naturel des notes actuelles. L’algorithme qui va être développé grâce aux interactions récoltées chez les personnes participantes sera open source, promet l’entreprise.

Est-ce important ?

Si X devait concrétiser son nouveau système et le diffuser en production, le nouvel outil pourrait avoir des conséquences, certaines pour les utilisateurs, d’autres plus discrètes.

Ces nouvelles notes pourraient – dans une certaine mesure – promouvoir une plus grande diversité dans les messages lus habituellement. Les réseaux sociaux, à cause de leurs algorithmes, favorisent largement le phénomène de chambre d’écho : on ne finit par voir que les contenus avec lesquels on est d’accord. Les dangers de cette approche sont nombreux. Elle accentue notamment la polarisation des débats en créant des zones d’entre-soi.

S’il est difficile pour l’instant de savoir dans quelle mesure ce nouveau mécanisme pourrait « détendre l’atmosphère » sur X, voire faire évoluer le comportement d’une partie des utilisateurs, le réseau social tient potentiellement entre ses mains une mine d’or.

À une époque où les données et autres interactions ont désormais une immense valeur pour entrainer les modèles, le réseau pourrait utiliser cette nouvelle manne pour ses propres besoins. X a pour rappel été racheté par xAI, créée par Elon Musk pour participer à la guerre de l’IA. Les modèles Grok sont utilisés sur X pour les recommandations et autres questions. On peut régulièrement voir que le réflexe a pris dans les fils de discussions : beaucoup demandent à Grok de résumer une situation ou si telle déclaration est vraie (la marge d’erreur des IA génératives ne semble jamais prise en compte).

Avec ce nouveau mécanisme, X pourrait donc récolter des informations très précieuses sur la manière dont les internautes interagissent avec le contenu. Il pourrait entrainer un changement fondamental dans la manière dont le contenu est recommandé.

En outre, si X n’aborde pas ce point, la question se pose d’un enregistrement potentiel des interactions en fonction du compte. Chaque profil reçoit déjà des suggestions fortement influencées par l’activité passée. Outre le puissant outil statistique que ce mécanisme représenterait s’il était généralisé, il pourrait également servir à rendre les suggestions encore plus personnelles. Même si ces nouvelles notes affichent pour l’instant la promesse de suggestions plus variées.

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☕️ Oui, Anthropic a bien coupé ses liens avec Windsurf à cause d’OpenAI

Il y a quelques jours, on apprenait qu’Anthropic avait brutalement coupé l’accès à ses API pour Windsurf. Cette entreprise édite un client de « vibe coding » (programmation fortement soutenue par l’IA) du même nom, qui met à disposition plusieurs modèles dans ce but. Parmi eux, la famille Claude, dont les versions Sonnet ont acquis un certain renom dans le développement pour leur efficacité.

Windsurf a communiqué sur le sujet, expliquant notamment qu’Anthropic laissait moins d’une semaine pour s’adapter. Dans un article, nous relevions un faisceau d’indices pointant vers une décision stratégique. Au cœur de cette théorie, l’annonce par Bloomberg d’un rachat de Windsurf par OpenAI, pour un montant de 3 milliards de dollars. Ni Windsurf ni OpenAI n’ont confirmé cette opération pour l’instant. Peu après, quand la famille Claude 4 avait été présentée par Anthropic, Windsurf n’y avait pas eu accès.

Windsurf

On sait désormais que cette décision avait tout à voir avec l’article de Bloomberg. Jared Kaplan, cofondateur et directeur scientifique d’Anthropic, était l’invité hier des TC Sessions de TechCrunch. Interrogé sur le sujet, Kaplan a simplement répondu : « Nous essayons vraiment de permettre à nos clients de travailler durablement avec nous à l’avenir. Je pense qu’il serait étrange que nous vendions Claude à OpenAI ».

Dans un développement un peu plus étonnant, le responsable a indiqué que les ressources informations d’Anthropic étaient actuellement limitées. L’entreprise préférait donc se concentrer sur des partenaires « durables ». Kaplan a d’ailleurs cité en exemple Cursor, édité par Anysphere, avec lequel Anthropic devrait travailler « longtemps ». Cursor qui a déjà reçu plusieurs offres de rachat, toutes déclinées. L’entreprise vient d’ailleurs de lever 900 millions de dollars pour développer ses activités et jouit actuellement de l’une des croissances les plus rapides du secteur.

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X veut mettre tout le monde d’accord avec de nouvelles notes de communauté

Et pourquoi pas ?
X veut mettre tout le monde d’accord avec de nouvelles notes de communauté

Le réseau social expérimente un nouveau mécanisme pour ses notes de communauté. Le principe reste le même, mais X veut fluidifier la publication des notes en promouvant une idée « neuve » : que les personnes sont en fait plus souvent d’accord les unes avec les autres qu’elles ne le croient.

En mars dernier, Bloomberg avait publié les résultats d’une longue enquête sur les notes de communauté. Ce mécanisme permet à des internautes d’apposer un message sur une publication de réseau social. Cette note est faite initialement pour compléter le propos, mais elle est rapidement devenue une manière de combattre les informations fausses ou créées de toutes pièces.

Comme l’avaient pointé nos confrères cependant, les notes de communauté n’étaient pas une panacée. Il y avait un décalage prononcé par exemple entre l’arrivée d’un tweet viral et celles des notes contrebalançant le propos. Une fake news avait largement le temps de faire le tour de la planète avant. En outre, les utilisateurs étaient poussés à jouer la carte de l’émotionnel, X récompensant les tweets au nombre des réactions qu’ils engendrent.

Ces problèmes étaient d’autant plus mis en avant que Meta avait annoncé un peu avant son intention de recourir au même système. Que ce soit le réseau d’Elon Musk ou ceux de Mark Zuckerberg, les raisons invoquées étaient les mêmes : les personnes et entreprises embauchées pour vérifier les faits étaient biaisées politiquement, une accusation d’inclinaison à gauche reprise dans la rhétorique « anti-woke ». Bloomberg relevait pourtant que même si les notes de communauté avaient certains succès à leur actif, elles ne pouvaient être à elles seules une défense suffisamment solide contre les fake news.

L’art du consensus

Dans cette enquête, les journalistes s’étaient tout particulièrement penchés sur le mécanisme de publication. Ils soulignaient ainsi que la manière même dont les notes fonctionnaient nuisait à la réactivité générale de l’ensemble.

Il ne suffit pas en effet de proposer une note pour qu’elle soit publiée dans la foulée. Après la rédaction initiale, elle est proposée aux autres personnes rédigeant des notes. Elle doit avoir été validée un certain nombre de fois pour être acceptée en tant que note de communauté et publiée. Il faut donc réunir un quorum, un consensus parfois difficile à établir, retardant d’autant le combat contre les fake news. Mais, encore une fois, Bloomberg mettait en balance un système qui privilégiait avant tout la viralité comme un problème fondamental de ce combat.

Bien que X reste tributaire de ce grand-écart, il a partagé hier soir un nouveau chantier. Le réseau social a annoncé un test autour des notes de communauté. Celles-ci seraient la démonstration que des personnes aux opinions parfois très divergentes peuvent finalement se mettre d’accord. En somme, l’ex-Twitter veut promouvoir l’idée que ses utilisateurs sont en réalité plus souvent sur la même longueur d’onde qu’ils ne le croient.

La construction de ponts selon X

Depuis hier, un petit groupe de contributeurs américains participe ainsi à une expérience. « Occasionnellement », ils seront appelés à réagir à certains messages publiés. Ces appels seront affichés peu de temps après l’arrivée du tweet. Selon X, un algorithme captera des signaux précoces, notamment les J’aime. Les utilisateurs sélectionnés seront invités à fournir un commentaire, partagé immédiatement aux autres membres du groupe.

L’algorithme va alors observer la réaction des premières personnes. Sur un même sujet, si les J’aime s’accumulent alors qu’ils proviennent de personnes aux points de vue habituellement contrastés, un message va s’afficher pour l’indiquer tel quel. Ce message sera promotionnel : « Cette publication a récolté des J’aime de la part de personnes ayant des perspectives différentes. Qu’en pensez-vous ? ».

Cliquer sur le message ouvrira un panneau avec une liste de propositions accompagnées de cases à cocher. On pourra ainsi déclarer que l’on est d’accord, que l’on a appris quelque chose, qu’il soulève un point important, qu’il rassemble sur un sujet d’ordinaire très polarisé, qu’il est inspirant ou autre appréciation. Dans une deuxième partie, on trouve les commentaires négatifs.

Selon X, qui développe sa vision dans une page dédiée, cette démarche est un prolongement naturel des notes actuelles. L’algorithme qui va être développé grâce aux interactions récoltées chez les personnes participantes sera open source, promet l’entreprise.

Est-ce important ?

Si X devait concrétiser son nouveau système et le diffuser en production, le nouvel outil pourrait avoir des conséquences, certaines pour les utilisateurs, d’autres plus discrètes.

Ces nouvelles notes pourraient – dans une certaine mesure – promouvoir une plus grande diversité dans les messages lus habituellement. Les réseaux sociaux, à cause de leurs algorithmes, favorisent largement le phénomène de chambre d’écho : on ne finit par voir que les contenus avec lesquels on est d’accord. Les dangers de cette approche sont nombreux. Elle accentue notamment la polarisation des débats en créant des zones d’entre-soi.

S’il est difficile pour l’instant de savoir dans quelle mesure ce nouveau mécanisme pourrait « détendre l’atmosphère » sur X, voire faire évoluer le comportement d’une partie des utilisateurs, le réseau social tient potentiellement entre ses mains une mine d’or.

À une époque où les données et autres interactions ont désormais une immense valeur pour entrainer les modèles, le réseau pourrait utiliser cette nouvelle manne pour ses propres besoins. X a pour rappel été racheté par xAI, créée par Elon Musk pour participer à la guerre de l’IA. Les modèles Grok sont utilisés sur X pour les recommandations et autres questions. On peut régulièrement voir que le réflexe a pris dans les fils de discussions : beaucoup demandent à Grok de résumer une situation ou si telle déclaration est vraie (la marge d’erreur des IA génératives ne semble jamais prise en compte).

Avec ce nouveau mécanisme, X pourrait donc récolter des informations très précieuses sur la manière dont les internautes interagissent avec le contenu. Il pourrait entrainer un changement fondamental dans la manière dont le contenu est recommandé.

En outre, si X n’aborde pas ce point, la question se pose d’un enregistrement potentiel des interactions en fonction du compte. Chaque profil reçoit déjà des suggestions fortement influencées par l’activité passée. Outre le puissant outil statistique que ce mécanisme représenterait s’il était généralisé, il pourrait également servir à rendre les suggestions encore plus personnelles. Même si ces nouvelles notes affichent pour l’instant la promesse de suggestions plus variées.

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Test boitier NZXT H3 FLOW : 79 euros de beauté efficace

On parle donc aussi de boitier PC ce jour après notre test du SSD KIOXIA EXCERIA PLUS G2 Portable on se penche sur le tout nouveau et tout petit NZXT H3 FLOW. Un modèle en Micro-ATX qui s'offre une compatibilité BTF/PZ, le tout avec de l'USB Type-C, un panneau en verre trempé, un ventilateur de 120 mm, un style assez travaillé et un tarif qui reste doux. C'est ici : Test boitier NZXT H3 FLOW ou en cliquant sur la source. […]

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Attention aux fausses Mystery Box Razer à 9,98 euros

Petit message d'alerte Il y a peu de temps, alors que nous étions sur Discovery, en train de faire défiler les contenus pour passer le temps et lire les infos du moment, nous sommes tombés sur des annonces sponsorisées validées par Google faisant la promotion de Mystery Box à bas prix. Ces annonces mettaient en avant des produits prétendument issus de marques connues, et notamment Razer, que nous traitons régulièrement sur le site. D'après ce que nous avons appris ensuite, ce type d'annonce peut également cibler d'autres marques. Dans tous les cas, il ne fait aucun doute qu'il s'agit d'une arnaque. Le principe est simple : on vous propose une Mystery Box pour seulement 9,98 U+20AC, avec la promesse de recevoir des produits mystère de la marque en question. Pour appuyer cela, on vous montre de faux témoignages de personnes prétendument ravies, qui auraient reçu pour plus de 200 U+20AC de matériel en échange de cette somme dérisoire. […]

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Nintendo Switch 2 : les Joy-Con, la manette Switch Pro 2... une prise en main décevante !

Autant la console nous a laissé une assez bonne impression une fois les jeux lancés. L'écran, en particulier, n'a rien de décevant, malgré les critiques récurrentes sur l'absence d'OLED. On reste sur un LCD de très bonne qualité, bien calibré, avec une luminosité et un contraste tout à fait correct pour une console portable. Mais ce n'est pas sur ce point que nous allons nous attarder. Ce qui nous a réellement surpris, et pas dans le bon sens, c'est la prise en main, que nous avons trouvée extrêmement décevante. Difficile de comprendre comment Nintendo a pu accorder aussi peu d'attention à un aspect aussi essentiel. […]

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Pourquoi l’IA oblige les datacenters à se réinventer

Câble management 2.0
Pourquoi l’IA oblige les datacenters à se réinventer

Face à l’explosion de l’intelligence artificielle, les gros datacenters ne cherchent plus la proximité des fibres, mais celle des grosses lignes électriques pour alimenter des serveurs toujours plus gourmands et denses. Cette évolution rapide oblige les hébergeurs à revoir la conception interne, aussi bien le refroidissement que les baies elle-mêmes.

Lors du Sommet pour l’action sur l’IA au début de l’année, de nombreuses annonces ont été faites, notamment sur l’implantation de datacenters en France, avec 35 sites identifiés. Les enjeux sont multiples et concernent en particulier la disponibilité de l’électricité, avec la question des infrastructures de distribution.

À l’air de l’intelligence artificielle qui nécessite des GPU par dizaines de milliers (si ce n’est plus) pour ses entrainements, se pose aussi la question de la densification des datacenters. Deux sujets abordés par le Cercle de Réflexion et d’Étude pour le Développement de l’Optique (Credo) lors de tables rondes auxquelles nous avons assistées.

« Le critère déterminant […] c’est la disponibilité de l’énergie »

Olivier de Nomazy, responsable analyste chez Data4, ouvrait le bal avec une présentation des enjeux des datacenters sur l’électricité. Il commence par rappeler que les premiers datacenters se sont installés près des grandes capitales économiques, « à proximité des DSI » afin de permettre aux entreprises d’envoyer des techniciens facilement sur place si besoin.

Les hyperscalers ont continué dans cette logique. Mais, « il y a deux ou trois ans, un acteur qu’on appelle Microsoft, a pris pied à Mulhouse, bien loin de toutes les grandes villes ». C’était la confirmation d’un changement de paradigme, latent depuis un moment : « Le critère déterminant pour le choix du datacenter, n’était finalement plus la proximité aux grandes viles, mais la disponibilité de l’énergie de façon abondante, décarbonée, durable et stable ».

Des GW par dizaines d’ici 2030

Le responsable de chez Data4 en profite pour faire le point sur la puissance électrique des datacenters en Europe : « il y avait à peu près 6,5 GW en 2023 de datacenter déployés. En France, c’est environ 600 MW (soit 10 % du marché européen) ». Selon l’Arcep, la consommation des datacenters dans l’Hexagone était de 2,4 TWh d’électricité en 2023, soit une moyenne sur l’année d’un peu moins de 300 MW de puissance consommée.


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NZXT H3 FLOW : Simple, basique, pas cher et BTF

Boitier un jour, boitier toujours, telle est notre devise à la Ferme du Hardware. Et pour ce nouveau test, forcément, nous allons parler boitier PC, avec un nouveau modèle qui provient de chez NZXT, à savoir le H3 FLOW. Oui, comme son nom ne l'indique pas, ce nouveau modèle est en Micro ATX et il reprend le design des derniers FLOW de la marque et nous en sommes ravis. Proposé à seulement 79.90 euros, ce nouveau modèle se veut simple, mais efficace avec une compatibilité Back Connector, un panneau en verre trempé, de l'USB Type C et un petit ventilateur de 120 mm à l'arrière. Faisons le tour complet de ce dernier dans ce nouveau test.
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Consumers Are Increasingly Turning To Buy-Now-Pay-Later Services For Groceries

Nearly a quarter of consumers using buy-now-pay-later loans now finance their grocery purchases, representing a significant increase from 14% a year ago, according to a recent LendingTree survey. The shift marks a departure from the traditional use of these short-term financing services for big-ticket items like electronics and furniture toward everyday essentials including groceries, utility bills, and streaming services. The BNPL market has experienced dramatic growth, expanding from $2 billion in consumer purchases in 2019 to more than $116.3 billion by 2023. Morgan Stanley found that 28% of surveyed Americans had used BNPL services with about 30% of those users applying the financing to grocery purchases. Food prices have risen 28% since 2020, creating particular pressure on lower-income households earning less than $50,000 annually, who represent the largest user base for these services.

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Harcèlement moral et sexuel à Ubisoft : prison avec sursis requise contre 3 anciens cadres

Harcèlement moral et sexuel à Ubisoft : prison avec sursis requise contre 3 anciens cadres

Le procès contre trois anciens cadres et dirigeants d’Ubisoft se déroulait cette semaine à Bobigny. Ils sont accusés de harcèlement moral et sexuel, et pour l’un d’eux d’agressions sexuelles. Le procureur a requis des peines de prisons avec sursis allant jusqu’à trois ans et des amendes pour tous, considérant les faits d’une « extrême gravité ». Le délibéré doit être rendu début juillet.

Cette semaine se tenait le procès (d’abord reporté) de Thomas François, Serge Hascoët et Guillaume Patrux. Tous les trois ont occupé des postes à responsabilité pendant des années chez Ubisoft et sont accusés de harcèlement moral et sexuel au sein de l’entreprise. Le premier est aussi poursuivi pour une tentative d’agression sexuelle aggravée sur une salariée.

La publication d’enquêtes de Libération et Numerama en 2020 a mis en lumière le harcèlement moral, sexiste et sexuel institué chez Ubisoft pendant une dizaine d’années.

Jeudi soir, le procureur a requis contre l’ancien vice-président du service éditorial, Thomas François, trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, explique Le Parisien. Le parquet a réclamé 18 mois avec sursis et 45 000 euros d’amende contre l’ex-n° 2 de l’entreprise, Serge Hascoët, et un an de prison et 10 000 euros d’amende contre le game designer Guillaume Patrux.

Ambiance violente, sexiste et de harcèlement

Pendant cette semaine, de nombreux témoins ont décrit une ambiance violente, sexiste et de harcèlement au sein du studio de jeux vidéo. « Au cours de quatre jours d’audition, d’anciennes employées ont raconté avoir été attachées à une chaise, forcées à faire le poirier, soumises à des commentaires constants sur le sexe et leur corps, à des blagues sexistes et homophobes, à des dessins de pénis collés sur les ordinateurs, à un directeur qui pétait au visage des employées ou gribouillait sur les femmes avec des marqueurs, à des massages d’épaule non sollicités, à des films pornographiques dans un bureau ouvert, et à un autre cadre qui faisait claquer un fouet près de la tête des employées », décrit le Guardian.

Accusation d’agressions sexuelles

« Quand j’allais au bureau, j’avais envie de créer un environnement de travail cool, de faire de grands jeux », a affirmé Thomas François comme le rapporte le média canadien La Presse. Sans nier tous les faits, il les a souvent minimisés. Il justifie par exemple l’organisation de « chat-bite » en affirmant que « c’était des blagues entre hommes, de façon consentante et en connivence ». « Si j’avais su que cela la mettait mal à l’aise, je n’aurais pas continué », affirme-t-il, à propos du fait d’avoir ligoté à une chaise une salariée et de l’avoir mise dans l’ascenseur, rapporte La Presse. Lors de sa plaidoirie, son avocat a tenté un trait d’humour pour le moins déplacé, glissant la réflexion « attention pas shabbat, chat-bite », raconte Libération.

Une ancienne assistante de son service a expliqué, soutenue par d’autres témoignages, que Thomas François a tenté de l’embrasser de force pendant une fête, des collègues la retenant de force. Lui continue à nier : « Je lui ai demandé : “Est-ce que je peux te faire un bisou ?” et j’ai vu qu’elle s’est reculée, donc je me suis arrêté, je ne suis pas un bourrin », rapporte La Presse. Une autre femme a témoigné avoir, elle-aussi, été victime d’un baiser forcé de sa part.

Laissé faire et encouragement

L’ancien numéro 2, Serge Hascoët n’a rien fait après avoir reçu des plaintes à propos du harcèlement de Thomas François. Pire, il a même « encouragé la poursuite du harcèlement commis par Thomas François en assistant aux scènes, en les banalisant et en y participant parfois activement », a expliqué le procureur. Mardi, il avait « nié avoir été témoin ou auteur de faits de harcèlement moral ou sexuel », selon Le Monde. Concernant le harcèlement sexuel, le procureur a demandé la relaxe de Serge Hascoët mais aussi qu’il en soit reconnu complice, explique le Parisien.

Il a aussi noté qu’il avait utilisé ses collaboratrices comme « des supplétifs », leur demandant de s’occuper de sujets personnels comme les obsèques de sa femme ou d’en humilier une en tendant son mouchoir souillé accompagné d’un « Tu peux le vendre, ça vaudra de l’or ».

Lundi, Libération racontait qu’au premier jour du procès, les deux anciens cadres avaient mêlé leurs regrets à leur nostalgie pour une époque où « on s’amusait et on faisait de belles choses ».

Enfin, le responsable du jeu Agos (A Game of Space), Guillaume Patrux est accusé de harcèlement moral, pour avoir fait notamment claquer un fouet dans l’open space de l’entreprise et « à quelques centimètres du visage de ses collaborateurs » mais aussi avoir brûlé au briquet la barbe d’un de ses collègues. Il s’est excusé pour certains de ses gestes mais son avocat a pointé le fait qu’il n’avait fait l’objet « d’aucune alerte et d’aucun reproche ». « Si Guillaume Patrux avait été d’une violence incroyable, ses supérieurs lui auraient dit d’arrêter. Mais rien, pas un mot, a-t-il fait valoir. Comment pouvait-il avoir conscience de harceler ses collègues si personne ne lui dit rien ? », cite La Presse.

L’absence de la personne morale d’Ubisoft et des frères Guillemot

Selon Libération, le procureur a nié le fait qu’il s’agisse d’un changement d’époque et de paradigme : « il s’agit d’une libération de la parole. Mais pas de faits qui seraient soudain devenus répréhensibles. On parle seulement de faits qui étaient tus et ne le seront plus ».

Les différentes parties ont pointé un vide lors du procès : l’absence décidée par le parquet de la direction des ressources humaines, de la personne morale d’Ubisoft et de ses PDG, Michel et Yves Guillemot. Comme on peut le lire plus haut, la défense de Guillaume Patrux a notamment renvoyé la responsabilité sur le manque de réaction de ses supérieurs.

Pourtant, lors de son réquisitoire, le procureur a affirmé que tous ces comportements de ces cadres dirigeants avaient laissé penser aux salariés « qu’ils étaient autorisés et relevaient de la norme » et qu’ils avaient mis en place « une ambiance harcelante ». Le délibéré doit être rendu le 2 juillet.

Mais l’entreprise n’est pas encore au bout de ses peines. Comme l’a rapporté notre consœur de France Info, Clara Lainé, l’avocate Maude Beckers va « délivrer « dans les semaines qui suivent » une citation directe à l’encontre d’Ubisoft en tant que personne morale, d’une DRH (Marie Derain) et Yves Guillemot ». Ceci « pour remettre en lumière, le caractère systémique du harcèlement chez Ubisoft », explique le syndicat Sud Informatique, dont elle est la représentante.

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Harcèlement moral et sexuel à Ubisoft : prison avec sursis requise contre 3 anciens cadres

Harcèlement moral et sexuel à Ubisoft : prison avec sursis requise contre 3 anciens cadres

Le procès contre trois anciens cadres et dirigeants d’Ubisoft se déroulait cette semaine à Bobigny. Ils sont accusés de harcèlement moral et sexuel, et pour l’un d’eux d’agressions sexuelles. Le procureur a requis des peines de prisons avec sursis allant jusqu’à trois ans et des amendes pour tous, considérant les faits d’une « extrême gravité ». Le délibéré doit être rendu début juillet.

Cette semaine se tenait le procès (d’abord reporté) de Thomas François, Serge Hascoët et Guillaume Patrux. Tous les trois ont occupé des postes à responsabilité pendant des années chez Ubisoft et sont accusés de harcèlement moral et sexuel au sein de l’entreprise. Le premier est aussi poursuivi pour une tentative d’agression sexuelle aggravée sur une salariée.

La publication d’enquêtes de Libération et Numerama en 2020 a mis en lumière le harcèlement moral, sexiste et sexuel institué chez Ubisoft pendant une dizaine d’années.

Jeudi soir, le procureur a requis contre l’ancien vice-président du service éditorial, Thomas François, trois ans de prison avec sursis et 30 000 euros d’amende, explique Le Parisien. Le parquet a réclamé 18 mois avec sursis et 45 000 euros d’amende contre l’ex-n° 2 de l’entreprise, Serge Hascoët, et un an de prison et 10 000 euros d’amende contre le game designer Guillaume Patrux.

Ambiance violente, sexiste et de harcèlement

Pendant cette semaine, de nombreux témoins ont décrit une ambiance violente, sexiste et de harcèlement au sein du studio de jeux vidéo. « Au cours de quatre jours d’audition, d’anciennes employées ont raconté avoir été attachées à une chaise, forcées à faire le poirier, soumises à des commentaires constants sur le sexe et leur corps, à des blagues sexistes et homophobes, à des dessins de pénis collés sur les ordinateurs, à un directeur qui pétait au visage des employées ou gribouillait sur les femmes avec des marqueurs, à des massages d’épaule non sollicités, à des films pornographiques dans un bureau ouvert, et à un autre cadre qui faisait claquer un fouet près de la tête des employées », décrit le Guardian.

Accusation d’agressions sexuelles

« Quand j’allais au bureau, j’avais envie de créer un environnement de travail cool, de faire de grands jeux », a affirmé Thomas François comme le rapporte le média canadien La Presse. Sans nier tous les faits, il les a souvent minimisés. Il justifie par exemple l’organisation de « chat-bite » en affirmant que « c’était des blagues entre hommes, de façon consentante et en connivence ». « Si j’avais su que cela la mettait mal à l’aise, je n’aurais pas continué », affirme-t-il, à propos du fait d’avoir ligoté à une chaise une salariée et de l’avoir mise dans l’ascenseur, rapporte La Presse. Lors de sa plaidoirie, son avocat a tenté un trait d’humour pour le moins déplacé, glissant la réflexion « attention pas shabbat, chat-bite », raconte Libération.

Une ancienne assistante de son service a expliqué, soutenue par d’autres témoignages, que Thomas François a tenté de l’embrasser de force pendant une fête, des collègues la retenant de force. Lui continue à nier : « Je lui ai demandé : “Est-ce que je peux te faire un bisou ?” et j’ai vu qu’elle s’est reculée, donc je me suis arrêté, je ne suis pas un bourrin », rapporte La Presse. Une autre femme a témoigné avoir, elle-aussi, été victime d’un baiser forcé de sa part.

Laissé faire et encouragement

L’ancien numéro 2, Serge Hascoët n’a rien fait après avoir reçu des plaintes à propos du harcèlement de Thomas François. Pire, il a même « encouragé la poursuite du harcèlement commis par Thomas François en assistant aux scènes, en les banalisant et en y participant parfois activement », a expliqué le procureur. Mardi, il avait « nié avoir été témoin ou auteur de faits de harcèlement moral ou sexuel », selon Le Monde. Concernant le harcèlement sexuel, le procureur a demandé la relaxe de Serge Hascoët mais aussi qu’il en soit reconnu complice, explique le Parisien.

Il a aussi noté qu’il avait utilisé ses collaboratrices comme « des supplétifs », leur demandant de s’occuper de sujets personnels comme les obsèques de sa femme ou d’en humilier une en tendant son mouchoir souillé accompagné d’un « Tu peux le vendre, ça vaudra de l’or ».

Lundi, Libération racontait qu’au premier jour du procès, les deux anciens cadres avaient mêlé leurs regrets à leur nostalgie pour une époque où « on s’amusait et on faisait de belles choses ».

Enfin, le responsable du jeu Agos (A Game of Space), Guillaume Patrux est accusé de harcèlement moral, pour avoir fait notamment claquer un fouet dans l’open space de l’entreprise et « à quelques centimètres du visage de ses collaborateurs » mais aussi avoir brûlé au briquet la barbe d’un de ses collègues. Il s’est excusé pour certains de ses gestes mais son avocat a pointé le fait qu’il n’avait fait l’objet « d’aucune alerte et d’aucun reproche ». « Si Guillaume Patrux avait été d’une violence incroyable, ses supérieurs lui auraient dit d’arrêter. Mais rien, pas un mot, a-t-il fait valoir. Comment pouvait-il avoir conscience de harceler ses collègues si personne ne lui dit rien ? », cite La Presse.

L’absence de la personne morale d’Ubisoft et des frères Guillemot

Selon Libération, le procureur a nié le fait qu’il s’agisse d’un changement d’époque et de paradigme : « il s’agit d’une libération de la parole. Mais pas de faits qui seraient soudain devenus répréhensibles. On parle seulement de faits qui étaient tus et ne le seront plus ».

Les différentes parties ont pointé un vide lors du procès : l’absence décidée par le parquet de la direction des ressources humaines, de la personne morale d’Ubisoft et de ses PDG, Michel et Yves Guillemot. Comme on peut le lire plus haut, la défense de Guillaume Patrux a notamment renvoyé la responsabilité sur le manque de réaction de ses supérieurs.

Pourtant, lors de son réquisitoire, le procureur a affirmé que tous ces comportements de ces cadres dirigeants avaient laissé penser aux salariés « qu’ils étaient autorisés et relevaient de la norme » et qu’ils avaient mis en place « une ambiance harcelante ». Le délibéré doit être rendu le 2 juillet.

Mais l’entreprise n’est pas encore au bout de ses peines. Comme l’a rapporté notre consœur de France Info, Clara Lainé, l’avocate Maude Beckers va « délivrer « dans les semaines qui suivent » une citation directe à l’encontre d’Ubisoft en tant que personne morale, d’une DRH (Marie Derain) et Yves Guillemot ». Ceci « pour remettre en lumière, le caractère systémique du harcèlement chez Ubisoft », explique le syndicat Sud Informatique, dont elle est la représentante.

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☕️ Chaînes TV de la TNT : la nouvelle numérotation entre en vigueur

Adoptée le 9 janvier dernier par le régulateur, la nouvelle numérotation des chaînes de TV à portée nationale, diffusée au travers de la TNT, est entrée en vigueur vendredi. Elle fait suite à la disparition programmée des chaînes C8 et NRJ12, ainsi qu’à la fin de la diffusion des chaînes payantes du Groupe Canal+ sur la TNT.

Sur la TNT (TV par voie hertzienne), le canal 4 affiche désormais France 4. La 8 est attribuée à la Chaîne parlementaire (réunion des programmes de l’Assemblée nationale et de Public Sénat). La chaîne jeunesse Gulli passe sur le canal 12, tandis que les chaînes d’information en continu sont réunies au sein d’un bloc qui va de 13 à 16 avec, dans l’ordre, BFMTV, CNEWS, LCI et Franceinfo.

Numérotation des chaînes TNT au 6 juin 2025

Le canal 18 accueille quant à lui une nouvelle venue, la chaine T18, portée par le groupe CMI France, lui-même détenu par le milliardaire Daniel Kretinsky. Enfin, le canal 19 ira à Novo19, nom finalement retenu pour la chaine généraliste lancée par le groupe Ouest-France, dont la diffusion doit débuter au 1er septembre prochain.

Du côté des box opérateurs comme du service spécialisé Molotov, on reflète sans surprise cette nouvelle numérotation, avec un transfert de Canal+ vers le canal 40. « Dans la majorité des cas, aucune action n’est nécessaire : votre téléviseur ou décodeur mettra la liste à jour automatiquement », indique Orange.

Même topo chez SFR, qui évoque une mise à jour disponible vendredi pour ses équipements. « En fonction de votre type de box, il pourrait être nécessaire de redémarrer celle-ci », précise tout de même l’opérateur au carré rouge. Bouygues tient aussi un discours rassurant à destination des usagers Bbox : « On vous rassure, vous n’avez rien à faire ! On s’occupe de tout. »

Chez Free, le changement de numérotation s’inscrit dans le contexte d’un remaniement plus large de l’offre TV, qui s’enrichit notamment des nouvelles chaînes thématiques RMC, d’une chaîne dédiée à l’auto promotion des services Free en 68, ainsi que d’une boucle vidéo dédiée à Netflix en 31.

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The Performance Gains Brought By Linux 6.15+ & Mesa 25.2 For AMD Strix Halo

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