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La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Chérie ça va couper !
La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Au dernier décompte, il restait encore 2,66 millions de cartes SIM 2G seulement en service, dont 1,57 million dans des terminaux pour des services de type voix, SMS et Internet mobile. Dans trois ans, ce sera au tour de la 3G, encore utilisée par 2,99 millions de terminaux.

La 2G est en train de vivre ses derniers instants. À partir de mars 2026, elle sera progressivement éteinte par Orange. Bouygues Telecom et SFR feront de même à partir de fin 2026. Free ne communique pas officiellement sur la 2G, mais l’opérateur n’a pas de réseau en propre (il en a eu un pendant cinq mois seulement fin 2022), il passe par un contrat d’itinérance (renouvellé à plusieurs reprises) avec Orange.

Alors que la tension monte entre les usagers (santé, ascenseurs, alarmes, voitures…) d’un côté et les opérateurs de l’autre, l’Arcep a mis en place un Observatoire trimestriel des cartes SIM utilisées dans les terminaux compatibles avec la 2G et la 3G uniquement.

L’Arcep compte les cartes SIM 2G et 3G… sauf celles dans les véhicules

Le premier observatoire a été publié en septembre, sur des données de juin 2025. Il restait alors encore 5,9 millions de terminaux en circulation, dont 2,8 millions seulement en 2G et donc en fin de vie dans un an maximum. Aujourd’hui, il en reste encore respectivement 5,61 millions, soit une baisse de 4,8 % en trois mois (285 000 de moins), et 2,66 millions (140 000 de moins en trois mois).

L’Arcep distingue deux cas de figure. D’un côté les terminaux pour des usages voix, SMS et Internet mobile (en particulier des téléphones mobiles et des tablettes de clients). De l’autre, les cartes SIM pour des services Machine to Machine (MtoM)… mais à l’exception des « cartes SIM montées par les constructeurs automobiles dans les véhicules » qui ne sont donc pas comptabilisées.

Voici le bilan :

  • Cartes SIM 2G seulement (voix/SMS/internet) : 1,57 million (- 60 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (voix/SMS/internet) : 1,05 million (- 20 000 en trois mois)
  • Total (voix/SMS/internet) : 2,62 millions (- 80 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G (MtoM) : 1,09 million (- 130 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (MtoM) : 1,90 million (- 70 000 en trois mois)
  • Total (MtoM) : 2,99 millions (- 200 000 en trois mois)

« À l’aune des calendriers annoncés d’extinction de la technologie 2G sur les réseaux des opérateurs, il est attendu que la dynamique de décroissance de ces parcs s’intensifie dans les prochains mois », explique (ou espère ?) le régulateur des télécoms.

Il ajoute qu’il sera attentif « aux actions mises en œuvre par les opérateurs pour accélérer la transition vers des terminaux compatibles avec les technologies 4G ou 5G à l’approche des échéances d’extinction des technologies 2G puis 3G ». L’Arcep propose une page dédiée à la fermeture des réseaux 2G et 3G ici.

Rendez-vous fin 2028 pour l’extinction de la 3G

L’Arcep explique que, fin septembre, « le nombre de cartes SIM dans des terminaux pour des services Machine to Machine compatibles uniquement avec les technologies 2G et 3G est de 3 millions d’unités », ce qui représente environ 12 % « du parc des cartes SIM dans ce type de terminal ».

En France, la 3G a droit à un sursis, mais son acte de décès est déjà prononcé. Orange et SFR arrêteront cette technologie à partir de fin 2028, tandis que Bouygues Telecom a pour le moment l’intention de pousser plus loin, jusqu’à fin 2029.

De son côté, Free arrête à partir d’aujourd’hui sa 3G. Comme nous l’avons déjà expliqué, l’opérateur indique désormais sur sa fiche standardisée d’information : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ».

Free passe donc par Orange pour la 2G et la 3G, lui permettant ainsi de réaffecter une partie de ses fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G… au grand dam de Bouygues Telecom qui était encore une fois vent debout contre la prolongation de l’itinérance de Free sur le réseau d’Orange.

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☕️ Orange signe un accord engageant pour racheter les 50 % manquants de MasOrange

Il y a un peu plus d’un mois, Orange annonçait avoir conclu un accord non engageant pour racheter au fonds britannique Lorca les 50 % qu’il détient de l’opérateur espagnol MasOrange. Orange passe la seconde, avec un accord engageant cette fois.

Les conditions financières pour récupérer les 50 % manquants du « premier opérateur sur le marché espagnol en nombre de clients » sont les mêmes, à savoir 4,25 milliards d’euros en numéraire. Pour Orange, l’Espagne est le deuxième marché en Europe, après la France.

La finalisation de cette transaction est maintenant prévue pour le premier semestre 2026. Orange deviendra alors le propriétaire exclusif de l’opérateur espagnol aux 31 millions de clients sur le mobile et 7,1 millions de clients sur le fixe.

Ce rachat s’inscrit dans la nouvelle stratégie « Lead the future » lancée il y a trois ans. Son objectif : se recentrer sur son cœur de métier en Europe, à savoir les télécoms et la cyberdéfense.

MasOrange y contribue, notamment avec l’arrivée de l’ex-patron de l’ANSSI Guillaume Poupard comme Chief Trust Officer chargé de la « confiance et souveraineté ».

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La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Chérie ça va couper !
La 2G vit ses derniers mois, mais 2,66 millions de terminaux l’utilisent encore

Au dernier décompte, il restait encore 2,66 millions de cartes SIM 2G seulement en service, dont 1,57 million dans des terminaux pour des services de type voix, SMS et Internet mobile. Dans trois ans, ce sera au tour de la 3G, encore utilisée par 2,99 millions de terminaux.

La 2G est en train de vivre ses derniers instants. À partir de mars 2026, elle sera progressivement éteinte par Orange. Bouygues Telecom et SFR feront de même à partir de fin 2026. Free ne communique pas officiellement sur la 2G, mais l’opérateur n’a pas de réseau en propre (il en a eu un pendant cinq mois seulement fin 2022), il passe par un contrat d’itinérance (renouvellé à plusieurs reprises) avec Orange.

Alors que la tension monte entre les usagers (santé, ascenseurs, alarmes, voitures…) d’un côté et les opérateurs de l’autre, l’Arcep a mis en place un Observatoire trimestriel des cartes SIM utilisées dans les terminaux compatibles avec la 2G et la 3G uniquement.

L’Arcep compte les cartes SIM 2G et 3G… sauf celles dans les véhicules

Le premier observatoire a été publié en septembre, sur des données de juin 2025. Il restait alors encore 5,9 millions de terminaux en circulation, dont 2,8 millions seulement en 2G et donc en fin de vie dans un an maximum. Aujourd’hui, il en reste encore respectivement 5,61 millions, soit une baisse de 4,8 % en trois mois (285 000 de moins), et 2,66 millions (140 000 de moins en trois mois).

L’Arcep distingue deux cas de figure. D’un côté les terminaux pour des usages voix, SMS et Internet mobile (en particulier des téléphones mobiles et des tablettes de clients). De l’autre, les cartes SIM pour des services Machine to Machine (MtoM)… mais à l’exception des « cartes SIM montées par les constructeurs automobiles dans les véhicules » qui ne sont donc pas comptabilisées.

Voici le bilan :

  • Cartes SIM 2G seulement (voix/SMS/internet) : 1,57 million (- 60 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (voix/SMS/internet) : 1,05 million (- 20 000 en trois mois)
  • Total (voix/SMS/internet) : 2,62 millions (- 80 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G (MtoM) : 1,09 million (- 130 000 en trois mois)
  • Cartes SIM 2G/3G (MtoM) : 1,90 million (- 70 000 en trois mois)
  • Total (MtoM) : 2,99 millions (- 200 000 en trois mois)

« À l’aune des calendriers annoncés d’extinction de la technologie 2G sur les réseaux des opérateurs, il est attendu que la dynamique de décroissance de ces parcs s’intensifie dans les prochains mois », explique (ou espère ?) le régulateur des télécoms.

Il ajoute qu’il sera attentif « aux actions mises en œuvre par les opérateurs pour accélérer la transition vers des terminaux compatibles avec les technologies 4G ou 5G à l’approche des échéances d’extinction des technologies 2G puis 3G ». L’Arcep propose une page dédiée à la fermeture des réseaux 2G et 3G ici.

Rendez-vous fin 2028 pour l’extinction de la 3G

L’Arcep explique que, fin septembre, « le nombre de cartes SIM dans des terminaux pour des services Machine to Machine compatibles uniquement avec les technologies 2G et 3G est de 3 millions d’unités », ce qui représente environ 12 % « du parc des cartes SIM dans ce type de terminal ».

En France, la 3G a droit à un sursis, mais son acte de décès est déjà prononcé. Orange et SFR arrêteront cette technologie à partir de fin 2028, tandis que Bouygues Telecom a pour le moment l’intention de pousser plus loin, jusqu’à fin 2029.

De son côté, Free arrête à partir d’aujourd’hui sa 3G. Comme nous l’avons déjà expliqué, l’opérateur indique désormais sur sa fiche standardisée d’information : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ».

Free passe donc par Orange pour la 2G et la 3G, lui permettant ainsi de réaffecter une partie de ses fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G… au grand dam de Bouygues Telecom qui était encore une fois vent debout contre la prolongation de l’itinérance de Free sur le réseau d’Orange.

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☕️ Orange signe un accord engageant pour racheter les 50 % manquants de MasOrange

Il y a un peu plus d’un mois, Orange annonçait avoir conclu un accord non engageant pour racheter au fonds britannique Lorca les 50 % qu’il détient de l’opérateur espagnol MasOrange. Orange passe la seconde, avec un accord engageant cette fois.

Les conditions financières pour récupérer les 50 % manquants du « premier opérateur sur le marché espagnol en nombre de clients » sont les mêmes, à savoir 4,25 milliards d’euros en numéraire. Pour Orange, l’Espagne est le deuxième marché en Europe, après la France.

La finalisation de cette transaction est maintenant prévue pour le premier semestre 2026. Orange deviendra alors le propriétaire exclusif de l’opérateur espagnol aux 31 millions de clients sur le mobile et 7,1 millions de clients sur le fixe.

Ce rachat s’inscrit dans la nouvelle stratégie « Lead the future » lancée il y a trois ans. Son objectif : se recentrer sur son cœur de métier en Europe, à savoir les télécoms et la cyberdéfense.

MasOrange y contribue, notamment avec l’arrivée de l’ex-patron de l’ANSSI Guillaume Poupard comme Chief Trust Officer chargé de la « confiance et souveraineté ».

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Un tweet, depuis supprimé, confirme l'arrivée prochaine de l'Intel Arc B770

La future carte graphique des bleus, encore hypoth�tique, fait beaucoup parler d'elle ces derniers temps. En effet, nous avons d�j� vu la semaine derni�re qu'une carte graphique en 300 watts se pr�parait chez Intel. Une information qui faisait elle-m�me suite � l'apparition d'une carte bas�e sur BMG-G31, aper�ue en transit on ne sait trop o�. Mais aujourd'hui, nous avons droit au sommet de la confirmation. Et le plus int�ressant, c'est que celle-ci provient directement des bleus, m�me si la preuve a depuis disparu. […]

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AGESA 1.2.7.1 chez ASRock : de nouveaux CPU Ryzen AM5 se préparent

ASRock commence � d�ployer de nouveaux BIOS pour ses cartes m�res AM5, int�grant le firmware AGESA Combo AM5 1.2.7.1 sign� AMD. Ces mises � jour sont d�j� visibles sur les pages de support officielles de plusieurs mod�les en B650 et B850, avec une courte mention, mais � combien �vocatrice : support des futurs processeurs. Une formulation volontairement vague, mais que l'on conna�t bien. Dans le petit monde des BIOS, ce type de mention sert tr�s souvent � pr�parer l'arriv�e de processeurs qui n'ont pas encore �t� annonc�s officiellement, et ces processeurs, nous les connaissons, ce sont les Ryzen 7 9850X3D et Ryzen 9 9950X3D2 qui devraient �tre annonc�s au prochain CES de Las Vegas. […]

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Tomb Raider: Legacy of Atlantis : un éniéme remake de l'épisode initial !

Nous l'attendions et le futur de l'iconique licence Tomb Raider commence � se dessiner, deux "nouveaux" jeux sont attendus, un totalement in�dit, Tomb Raider: Catalyst, d�velopp� par Crystal Dynamics et un autre dont le nom laisse � penser que nous sommes face � un nouveau titre, mais il n'en est rien, Tomb Raider Legacy of Atlantis, d�velopp� par les studiosCrystal Dynamics et Flying Wild Hog. Car oui, il s'agit d'un nouveau remake du jeu originel Tomb Raider, sorti en 1996, qui eut le droit � un premier remake, en 2007, avec le jeu Tomb Raider: Anniversary et dans une moindre mesure dans la compilation Tomb Raider I-III Remastered, sortie en 2024. La question latente est de savoir si un tel remake �tait vraiment n�cessaire, ne va-t-on pas vers trop de redondance, m�me si Tomb Raider a marqu� notre g�n�ration ? Nous ne doutons pas que le jeu tirera parti du moteur Unreal Engine 5, Lara a des proportions plus r�alistes, l'actrice Alix Wilton Regan apportera son savoir-faire, elle a d�j� oeuvr� dans les jeux Dragon Age: Inquisition, Cyberpunk 2077 et Mass Effect 3, mais n'est-ce pas un peu trop ? […]

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☕️ Eutelsat lève 1,5 milliard d’euros et l’État devient le premier actionnaire

Comme prévu, Eutelsat a effectué une levée de fonds, mais plus importante que prévue. Alors qu’il était question de 1,35 milliard d’euros au mois de juin, elle est finalement de 1,5 milliard d’euros. L’État aussi revoit sa participation à la hausse avec 749,3 millions d’euros au lieu de 717 millions annoncés.

« La participation de l’État au capital d’Eutelsat est désormais de 29,65 %, ce qui en fait le premier actionnaire », explique le ministère de l’Économie et des Finances. Les actionnaires de référence de l’entreprise que sont Bharti Space (17,88 %), le Gouvernement britannique (10,89 %), CMA CGM (7,46 %), et le Fonds Stratégique de Participations (4,99 %) ont également participé. Le flottant est de 29,13 %.

Cette levée de fonds doit permettre le « développement d’Eutelsat dans le domaine des constellations LEO, segment stratégique pour les télécommunications de demain et dont le marché connaît un fort développement ». Un segment où Starlink de SpaceX est déjà en place et sur lequel Amazon Leo (ex-Kuiper) se prépare aussi, au grand dam des syndicats.

Le ministère explique d’ailleurs que cette manne financière servira aux « investissements dans sa constellation en orbite basse (LEO) et la future constellation européenne souveraine IRIS² », ou Infrastructure de Résilience et d’Interconnexion Sécurisée par Satellites.

IRIS² sera le « le premier réseau de satellites multi-orbitaux en Europe ». Cette constellation sera « constituée d’environ 300 satellites et devrait voir le jour en 2030 », rappelle le CNES. Elle fournira une « infrastructure de communication sécurisée aux organismes et agences gouvernementales de l’UE ».

Le gouvernement assure la promotion d’Eutelsat et rappelle que le groupe « se distingue à ce titre par sa position unique au niveau mondial : il est aujourd’hui le seul opérateur à combiner une flotte en orbite géostationnaire (GEO) et une constellation en orbite basse (LEO), lui conférant un avantage technologique et stratégique sans équivalent ».

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☕️ Eutelsat lève 1,5 milliard d’euros et l’État devient le premier actionnaire

Comme prévu, Eutelsat a effectué une levée de fonds, mais plus importante que prévue. Alors qu’il était question de 1,35 milliard d’euros au mois de juin, elle est finalement de 1,5 milliard d’euros. L’État aussi revoit sa participation à la hausse avec 749,3 millions d’euros au lieu de 717 millions annoncés.

« La participation de l’État au capital d’Eutelsat est désormais de 29,65 %, ce qui en fait le premier actionnaire », explique le ministère de l’Économie et des Finances. Les actionnaires de référence de l’entreprise que sont Bharti Space (17,88 %), le Gouvernement britannique (10,89 %), CMA CGM (7,46 %), et le Fonds Stratégique de Participations (4,99 %) ont également participé. Le flottant est de 29,13 %.

Cette levée de fonds doit permettre le « développement d’Eutelsat dans le domaine des constellations LEO, segment stratégique pour les télécommunications de demain et dont le marché connaît un fort développement ». Un segment où Starlink de SpaceX est déjà en place et sur lequel Amazon Leo (ex-Kuiper) se prépare aussi, au grand dam des syndicats.

Le ministère explique d’ailleurs que cette manne financière servira aux « investissements dans sa constellation en orbite basse (LEO) et la future constellation européenne souveraine IRIS² », ou Infrastructure de Résilience et d’Interconnexion Sécurisée par Satellites.

IRIS² sera le « le premier réseau de satellites multi-orbitaux en Europe ». Cette constellation sera « constituée d’environ 300 satellites et devrait voir le jour en 2030 », rappelle le CNES. Elle fournira une « infrastructure de communication sécurisée aux organismes et agences gouvernementales de l’UE ».

Le gouvernement assure la promotion d’Eutelsat et rappelle que le groupe « se distingue à ce titre par sa position unique au niveau mondial : il est aujourd’hui le seul opérateur à combiner une flotte en orbite géostationnaire (GEO) et une constellation en orbite basse (LEO), lui conférant un avantage technologique et stratégique sans équivalent ».

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Bon Plan : Black Desert offert par Steam

Le jeu Black Desert est offert par la plateforme d�mat�rialis�e de Valve, Steam, vous avez jusqu'au 18 d�cembre pour effectuer l'ajout ici. Le MMORPG d'action Onlmine de Pearl Abyss rencontre un certain succ�s, avec 20 millions de joueurs recens�s, vous ne deviez pas vous sentir trop seul ! […]

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SpaceX Alleges a Chinese-Deployed Satellite Risked Colliding with Starlink

"A SpaceX executive says a satellite deployed from a Chinese rocket risked colliding with a Starlink satellite," reports PC Magazine: On Friday, company VP for Starlink engineering, Michael Nicolls, tweeted about the incident and blamed a lack of coordination from the Chinese launch provider CAS Space. "When satellite operators do not share ephemeris for their satellites, dangerously close approaches can occur in space," he wrote, referring to the publication of predicted orbital positions for such satellites... [I]t looks like one of the satellites veered relatively close to a Starlink sat that's been in service for over two years. "As far as we know, no coordination or deconfliction with existing satellites operating in space was performed, resulting in a 200 meter (656 feet) close approach between one of the deployed satellites and STARLINK-6079 (56120) at 560 km altitude," Nicolls wrote... "Most of the risk of operating in space comes from the lack of coordination between satellite operators — this needs to change," he added. Chinese launch provider CAS Space told PCMag that "As a launch service provider, our responsibility ends once the satellites are deployed, meaning we do not have control over the satellites' maneuvers." And the article also cites astronomer/satellite tracking expert Jonathan McDowell, who had tweeted that CAS Space's response "seems reasonable." (In an email to PC Magazine, he'd said "Two days after launch is beyond the window usually used for predicting launch related risks." But "The coordination that Nicolls cited is becoming more and more important," notes Space.com, since "Earth orbit is getting more and more crowded." In 2020, for example, fewer than 3,400 functional satellites were whizzing around our planet. Just five years later, that number has soared to about 13,000, and more spacecraft are going up all the time. Most of them belong to SpaceX. The company currently operates nearly 9,300 Starlink satellites, more than 3,000 of which have launched this year alone. Starlink satellites avoid potential collisions autonomously, maneuvering themselves away from conjunctions predicted by available tracking data. And this sort of evasive action is quite common: Starlink spacecraft performed about 145,000 avoidance maneuvers in the first six months of 2025, which works out to around four maneuvers per satellite per month. That's an impressive record. But many other spacecraft aren't quite so capable, and even Starlink satellites can be blindsided by spacecraft whose operators don't share their trajectory data, as Nicolls noted. And even a single collision — between two satellites, or involving pieces of space junk, which are plentiful in Earth orbit as well — could spawn a huge cloud of debris, which could cause further collisions. Indeed, the nightmare scenario, known as the Kessler syndrome, is a debris cascade that makes it difficult or impossible to operate satellites in parts of the final frontier.

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Roomba Maker 'iRobot' Files for Bankruptcy After 35 Years

Roomba manufacturer iRobot filed for bankruptcy today, reports Bloomberg. After 35 years, iRobot reached a "restructuring support agrement that will hand control of the consumer robot maker to Shenzhen PICEA Robotics Co, its main supplier and lender, and Santrum Hong Kong Compny." Under the restructuring, vacuum cleaner maker Shenzhen PICEA will receive the entire equity stake in the reorganised company... The plan will allow the debtor to remain as a going concern and continue to meet its commitments to employees and make timely payments in full to vendors and other creditors for amounts owed throughout the court-supervised process, according to an iRobot statement... he company warned of potential bankruptcy in December after years of declining earnings. Roomba says it's sold over 50 million robots, the article points out, but earnings "began to decline since 2021 due to supply chain headwinds and increased competition. "A hoped-for by acquisition by Amazon.com in 2023 collapsed over regulatory concerns."

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Like Australia, Denmark Plans to Severely Restrict Social Media Use for Teenagers

"As Australia began enforcing a world-first social media ban for children under 16 years old this week, Denmark is planning to follow its lead," reports the Associated Press, "and severely restrict social media access for young people." The Danish government announced last month that it had secured an agreement by three governing coalition and two opposition parties in parliament to ban access to social media for anyone under the age of 15. Such a measure would be the most sweeping step yet by a European Union nation to limit use of social media among teens and children. The Danish government's plans could become law as soon as mid-2026. The proposed measure would give some parents the right to let their children access social media from age 13, local media reported, but the ministry has not yet fully shared the plans... [A] new "digital evidence" app, announced by the Digital Affairs Ministry last month and expected to launch next spring, will likely form the backbone of the Danish plans. The app will display an age certificate to ensure users comply with social media age limits, the ministry said. The article also notes Malaysia "is expected to ban social media accounts for people under the age of 16 starting at the beginning of next year, and Norway is also taking steps to restrict social media access for children and teens. "China — which manufacturers many of the world's digital devices — has set limits on online gaming time and smartphone time for kids."

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The Opt-In Proactive & Crash Time Data Collection On Valve's Steam Deck

Valve's Steam Deck with SteamOS features built-in crash data collection as well as for logging other system events worth having knowledge about like the split-lock detection and other events. This is all opt-in by users for data collection by Steam, but for those curious about a bit more insight into this Steam Deck data collection, a presentation at this past week's Linux Plumbers Conference dove into the matter...
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CEOS Plan to Spend More on AI in 2026 - Despite Spotty Returns

The Wall Street Journal reports that 68% of CEOs "plan to spend even more on AI in 2026, according to an annual survey of more than 350 public-company CEOs from advisory firm Teneo." And yet "less than half of current AI projects had generated more in returns than they had cost, respondents said." They reported the most success using AI in marketing and customer service and challenges using it in higher-risk areas such as security, legal and human resources. Teneo also surveyed about 400 institutional investors, of which 53% expect that AI initiatives would begin to deliver returns on investments within six months. That compares to the 84% of CEOs of large companies — those with revenue of $10 billion or more — who believe it will take more than six months. Surprisingly, 67% of CEOs believe AI will increase their entry-level head count, while 58% believe AI will increase senior leadership head count. All the surveyed CEOS were from public companies with revenue over $1 billion...

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Podcast Industry Under Siege as AI Bots Flood Airways with Thousands of Programs

An anonymous reader shared this report from the Los Angeles Times: Popular podcast host Steven Bartlett has used an AI clone to launch a new kind of content aimed at the 13 million followers of his podcast "Diary of a CEO." On YouTube, his clone narrates "100 CEOs With Steven Bartlett," which adds AI-generated animation to Bartlett's cloned voice to tell the life stories of entrepreneurs such as Steve Jobs and Richard Branson. Erica Mandy, the Redondo Beach-based host of the daily news podcast called "The Newsworthy," let an AI voice fill in for her earlier this year after she lost her voice from laryngitis and her backup host bailed out... In podcasting, many listeners feel strong bonds to hosts they listen to regularly. The slow encroachment of AI voices for one-off episodes, canned ad reads, sentence replacement in postproduction or translation into multiple languages has sparked anger as well as curiosity from both creators and consumers of the content. Augmenting or replacing host reads with AI is perceived by many as a breach of trust and as trivializing the human connection listeners have with hosts, said Megan Lazovick, vice president of Edison Research, a podcast research company... Still, platforms such as YouTube and Spotify have introduced features for creators to clone their voice and translate their content into multiple languages to increase reach and revenue. A new generation of voice cloning companies, many with operations in California, offers better emotion, tone, pacing and overall voice quality... Some are using the tech to carpet-bomb the market with content. Los Angeles podcasting studio Inception Point AI has produced its 200,000 podcast episodes, in some weeks accounting for 1% of all podcasts published that week on the internet, according to CEO Jeanine Wright. The podcasts are so cheap to make that they can focus on tiny topics, like local weather, small sports teams, gardening and other niche subjects. Instead of a studio searching for a specific "hit" podcast idea, it takes just $1 to produce an episode so that they can be profitable with just 25 people listening... One of its popular synthetic hosts is Vivian Steele, an AI celebrity gossip columnist with a sassy voice and a sharp tongue... Inception Point has built a roster of more than 100 AI personalities whose characteristics, voices and likenesses are crafted for podcast audiences. Its AI hosts include Clare Delish, a cooking guidance expert, and garden enthusiastNigel Thistledown... Across Apple and Spotify, Inception Point podcasts have now garnered 400,000 subscribers.

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'Investors in Limbo'. Will the TikTok Deal's Deadline Be Extended Again?

An anonymous reader shared this report from the BBC: A billionaire investor keen on buying TikTok's US operations has told the BBC he has been left in limbo as the latest deadline for the app's sale looms. The US has repeatedly delayed the date by which the platform's Chinese owner, Bytedance, must sell or be blocked for American users. US President Donald Trump appears poised to extend the deadline for a fifth time on Tuesday. "We're just standing by and waiting to see what happens," investor Frank McCourt told BBC News... The president...said "sophisticated" US investors would acquire the app, including two of his allies: Oracle chairman Larry Ellison and Dell Technologies' Michael Dell. Members of the Trump administration had indicated the deal would be formalised in a meeting between Trump and Xi in October — however it concluded without an agreement being reached. Neither TikTok's Chinese owner ByteDance nor Beijing have since announced approval of a sale, despite Trump's claims. This time there are no such claims a deal is imminent, leading most analysts to conclude another extension is inevitable. Other investors besides McCourt include Reddit co-founder Alexis Ohanian and Shark Tank entrepreneur Kevin O'Leary.

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Podcast Industry Under Siege as AI Bot Flood Airways with Thousands of Programs

An anonymous reader shared this report from the Los Angeles Times: Popular podcast host Steven Bartlett has used an AI clone to launch a new kind of content aimed at the 13 million followers of his podcast "Diary of a CEO." On YouTube, his clone narrates "100 CEOs With Steven Bartlett," which adds AI-generated animation to Bartlett's cloned voice to tell the life stories of entrepreneurs such as Steve Jobs and Richard Branson. Erica Mandy, the Redondo Beach-based host of the daily news podcast called "The Newsworthy," let an AI voice fill in for her earlier this year after she lost her voice from laryngitis and her backup host bailed out... In podcasting, many listeners feel strong bonds to hosts they listen to regularly. The slow encroachment of AI voices for one-off episodes, canned ad reads, sentence replacement in postproduction or translation into multiple languages has sparked anger as well as curiosity from both creators and consumers of the content. Augmenting or replacing host reads with AI is perceived by many as a breach of trust and as trivializing the human connection listeners have with hosts, said Megan Lazovick, vice president of Edison Research, a podcast research company... Still, platforms such as YouTube and Spotify have introduced features for creators to clone their voice and translate their content into multiple languages to increase reach and revenue. A new generation of voice cloning companies, many with operations in California, offers better emotion, tone, pacing and overall voice quality... Some are using the tech to carpet-bomb the market with content. Los Angeles podcasting studio Inception Point AI has produced its 200,000 podcast episodes, in some weeks accounting for 1% of all podcasts published that week on the internet, according to CEO Jeanine Wright. The podcasts are so cheap to make that they can focus on tiny topics, like local weather, small sports teams, gardening and other niche subjects. Instead of a studio searching for a specific "hit" podcast idea, it takes just $1 to produce an episode so that they can be profitable with just 25 people listening... One of its popular synthetic hosts is Vivian Steele, an AI celebrity gossip columnist with a sassy voice and a sharp tongue... Inception Point has built a roster of more than 100 AI personalities whose characteristics, voices and likenesses are crafted for podcast audiences. Its AI hosts include Clare Delish, a cooking guidance expert, and garden enthusiastNigel Thistledown... Across Apple and Spotify, Inception Point podcasts have now garnered 400,000 subscribers.

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Entry-Level Tech Workers Confront an AI-Fueled Jobpocalypse

AI "has gutted entry-level roles in the tech industry," reports Rest of World. One student at a high-ranking engineering college in India tells them that among his 400 classmates, "fewer than 25% have secured job offers... there's a sense of panic on the campus." Students at engineering colleges in India, China, Dubai, and Kenya are facing a "jobpocalypse" as artificial intelligence replaces humans in entry-level roles. Tasks once assigned to fresh graduates, such as debugging, testing, and routine software maintenance, are now increasingly automated. Over the last three years, the number of fresh graduates hired by big tech companies globally has declined by more than 50%, according to a report published by SignalFire, a San Francisco-based venture capital firm. Even though hiring rebounded slightly in 2024, only 7% of new hires were recent graduates. As many as 37% of managers said they'd rather use AI than hire a Gen Z employee... Indian IT services companies have reduced entry-level roles by 20%-25% thanks to automation and AI, consulting firm EY said in a report last month. Job platforms like LinkedIn, Indeed, and Eures noted a 35% decline in junior tech positions across major EU countries during 2024... "Five years ago, there was a real war for [coders and developers]. There was bidding to hire," and 90% of the hires were for off-the-shelf technical roles, or positions that utilize ready-made technology products rather than requiring in-house development, said Vahid Haghzare, director at IT hiring firm Silicon Valley Associates Recruitment in Dubai. Since the rise of AI, "it has dropped dramatically," he said. "I don't even think it's touching 5%. It's almost completely vanished." The company headhunts workers from multiple countries including China, Singapore, and the U.K... The current system, where a student commits three to five years to learn computer science and then looks for a job, is "not sustainable," Haghzare said. Students are "falling down a hole, and they don't know how to get out of it."

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