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Match de 4 IA sur des besoins du quotidien. Qui va l'emporter et répondre le moins d'âneries ?

Une petite actualité légère en cette soirée du vendredi. L'intelligence artificielle devient peu à peu omniprésente autour de nous, mais son adoption par tout un chacun se fait de manière très hétérogène et alors que nombre d'entre vous est sans doute déjà bien rodé sur la chose, peut-être même à de...

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A Majority of Companies Are Already Feeling the Climate Heat

Climate change is already having an impact on companies around the world. More than half of companies surveyed by Morgan Stanley experienced climate-related operational disruptions within the past year, including increased costs, worker disruption and revenue losses. Extreme heat and storms caused the most frequent disruptions, followed by wildfires and smoke, water shortages, and flooding. The US spent nearly $1 trillion on disaster recovery and climate-related needs over the past year, according to Bloomberg Intelligence analysis, while nearly two-thirds of Tampa metro businesses reported losses from hurricanes Helene and Milton.

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Simple Text Additions Can Fool Advanced AI Reasoning Models, Researchers Find

Researchers have discovered that appending irrelevant phrases like "Interesting fact: cats sleep most of their lives" to math problems can cause state-of-the-art reasoning AI models to produce incorrect answers at rates over 300% higher than normal [PDF]. The technique -- dubbed "CatAttack" by teams from Collinear AI, ServiceNow, and Stanford University -- exploits vulnerabilities in reasoning models including DeepSeek R1 and OpenAI's o1 family. The adversarial triggers work across any math problem without changing the problem's meaning, making them particularly concerning for security applications. The researchers developed their attack method using a weaker proxy model (DeepSeek V3) to generate text triggers that successfully transferred to more advanced reasoning models. Testing on 225 math problems showed the triggers increased error rates significantly across different problem types, with some models like R1-Distill-Qwen-32B reaching combined attack success rates of 2.83 times baseline error rates. Beyond incorrect answers, the triggers caused models to generate responses up to three times longer than normal, creating computational slowdowns. Even when models reached correct conclusions, response lengths doubled in 16% of cases, substantially increasing processing costs.

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Microsoft Shuts Down Operations in Pakistan After 25 Years

Newspaper Pakistan Today: In a significant moment for Pakistan's technology sector, Microsoft has officially shut down its operations in the country, concluding a 25-year journey that began with high hopes for digital transformation and global partnership. The move, confirmed by employees and media sources, marks the quiet departure of the software giant, which had launched its Pakistan presence in June 2000. The last remaining employees were formally informed of the closure in recent days, signalling the end of an era that saw Microsoft play a key role in developing local talent, building enterprise partnerships, and promoting digital literacy across sectors.

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☕️ CMA Media (Rodolphe Saadé) veut racheter le média vidéo Brut

La branche média du groupe CMA CGM piloté par Rodolphe Saadé a dévoilé vendredi son entrée en négociations exclusives pour le rachat du média vidéo Brut, dont elle était jusqu’ici actionnaire minoritaire.

« Cette acquisition marquerait une nouvelle étape majeure dans la transformation stratégique de CMA Media, qui deviendrait ainsi le premier groupe de presse et audiovisuel à se projeter avec autant d’ampleur dans le digital », indique le groupe dans un communiqué.

L’acquéreur évalue la portée mensuelle de Brut à plus de 500 millions spectateurs dans 100 pays, avec « une audience organique inégalée sur YouTube, TikTok, Instagram, Facebook et Snapchat ». Brut, qui diffuse nativement sur les réseaux sociaux, présenterait ainsi une complémentarité « unique » avec les audiences réalisées par RMC BFM, la dernière grande acquisition de CMA Media, bouclée au printemps 2024 pour 1,55 milliard d’euros.

« Cette opération s’inscrirait dans une logique d’investissement de long terme, reflétant pleinement la valeur stratégique de Brut., son positionnement de référence, le potentiel de croissance internationale et la puissance d’influence de la marque », revendique encore CMA Media, qui sortirait ainsi pour la première fois de l’Hexagone.

Brut, lancé en 2016, aurait d’après le Monde levé environ 140 millions d’euros depuis sa création et compterait parmi ses actionnaires Xavier Niel, François-Henri Pinault, Orange et, depuis 2023, CMA CGM.

En juin 2024, l’Informé révélait que cette participation portait sur 16% du capital, en échange de près de 43 millions d’euros. L’opération valorisait donc, à l’époque, Brut à environ 268 millions d’euros.

« Les fondateurs et l’équipe dirigeante de Brut. resteraient pleinement impliqués dans cette nouvelle phase, afin de préserver l’ADN qui fait la singularité et la crédibilité du média : un journalisme exigeant, des formats natifs et une voix engagée sur les grands enjeux sociaux, environnementaux et culturels », précisent Brut et CMA CGM.

Le compte Instagram principal de Brut affiche 5,1 millions d’abonnés

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☕️ CMA Media (Rodolphe Saadé) veut racheter le média vidéo Brut

La branche média du groupe CMA CGM piloté par Rodolphe Saadé a dévoilé vendredi son entrée en négociations exclusives pour le rachat du média vidéo Brut, dont elle était jusqu’ici actionnaire minoritaire.

« Cette acquisition marquerait une nouvelle étape majeure dans la transformation stratégique de CMA Media, qui deviendrait ainsi le premier groupe de presse et audiovisuel à se projeter avec autant d’ampleur dans le digital », indique le groupe dans un communiqué.

L’acquéreur évalue la portée mensuelle de Brut à plus de 500 millions spectateurs dans 100 pays, avec « une audience organique inégalée sur YouTube, TikTok, Instagram, Facebook et Snapchat ». Brut, qui diffuse nativement sur les réseaux sociaux, présenterait ainsi une complémentarité « unique » avec les audiences réalisées par RMC BFM, la dernière grande acquisition de CMA Media, bouclée au printemps 2024 pour 1,55 milliard d’euros.

« Cette opération s’inscrirait dans une logique d’investissement de long terme, reflétant pleinement la valeur stratégique de Brut., son positionnement de référence, le potentiel de croissance internationale et la puissance d’influence de la marque », revendique encore CMA Media, qui sortirait ainsi pour la première fois de l’Hexagone.

Brut, lancé en 2016, aurait d’après le Monde levé environ 140 millions d’euros depuis sa création et compterait parmi ses actionnaires Xavier Niel, François-Henri Pinault, Orange et, depuis 2023, CMA CGM.

En juin 2024, l’Informé révélait que cette participation portait sur 16% du capital, en échange de près de 43 millions d’euros. L’opération valorisait donc, à l’époque, Brut à environ 268 millions d’euros.

« Les fondateurs et l’équipe dirigeante de Brut. resteraient pleinement impliqués dans cette nouvelle phase, afin de préserver l’ADN qui fait la singularité et la crédibilité du média : un journalisme exigeant, des formats natifs et une voix engagée sur les grands enjeux sociaux, environnementaux et culturels », précisent Brut et CMA CGM.

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Valve Conquered PC Gaming. What Comes Next?

Valve has achieved near-total dominance of PC gaming distribution through Steam, but the victory appears to have left the company adrift, Financial Times argues. The platform controls an estimated 70% of PC game sales while generating billions in revenue, yet Valve releases major new games at what observers call a "glacial pace." Founder Gabe Newell has largely retreated from the company's operations, reportedly living at sea on one of his five ships and pursuing side projects like brain-computer interface startup Starfish Neuroscience. The much-anticipated third Half-Life game became "the video game equivalent of Samuel Beckett's Godot" before being quietly cancelled. Attempts to challenge Steam have failed repeatedly. Epic Games Store, powered by Fortnite's success, "has failed to really impact Steam in any meaningful way," according to industry analysts. Microsoft runs what analysts describe as a "somewhat unambitious store," while EA shut down its Origin launcher earlier this year. Gaming analyst Michael Pachter notes that major tech companies could displace Valve "but nobody cares" enough to mount a serious challenge. Court documents suggest Steam's revenues will exceed $10 billion next year, leaving Valve with unprecedented profits but unclear direction for a company that appears to have run out of worlds to conquer.

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Pendant des années, le Système d’Information Schengen était truffé de milliers de failles

Cinq ans et demi pour les résoudre, ça va
Pendant des années, le Système d’Information Schengen était truffé de milliers de failles

Lors d’un audit, des milliers de failles ont été découvertes dans le Système d’Information Schengen II, logiciel gérant le fichier mis en place dans le cadre de la convention de Schengen. Sopra Steria qui en est responsable a mis des mois, voire des années à corriger certains problèmes.

L’année dernière, la seconde version du Système d’Information Schengen (SIS) a essuyé un audit sévère du Contrôleur européen de la protection des données (CEPD). Ce logiciel est utilisé par les autorités aux frontières des pays de l’espace Schengen pour ficher les personnes recherchées et celles refoulées ou interdites de séjours.

La seconde version du système a été déployée en 2013, mais il a été « renouvelé » en mars 2023 et de nouvelles catégories de signalements, des données biométriques et des registres d’ADN de personnes disparues ont encore été ajoutées.

1,7 million de personnes concernées

Selon l’agence européenne eu-LISA qui utilise le système [PDF], plus de 93 millions d’alertes y étaient stockées au 31 décembre 2024, dont 1,7 million sur les personnes. Près de 1,2 million concerne des reconduites à la frontière, des refus d’entrée ou de rester sur le territoire et un peu plus de 195 000 personnes y sont fichées comme de possibles menaces pour la sécurité nationale.

Ce système stocke des données concernant des personnes visées par un mandat d’arrêt européen, mais aussi signalée, aux fins de non-admission ou d’interdiction de séjour, des personnes signalées dans le cadre d’infractions pénales ou recherchées pour l’exécution d’une peine, ou encore des personnes disparues.

Ces données comprennent l’état civil, des photographies, des empreintes digitales et d’autres informations biométriques réunies dans les textes officiels sous la dénomination de « signes physiques particuliers, objectifs et inaltérables ». Des données particulièrement sensibles, donc. Des commentaires peuvent être ajoutés comme « la conduite à tenir en cas de découverte », « l’autorité ayant effectué le signalement » ou le type d’infraction.

Des milliers de problèmes de gravité « élevée »

Selon les documents consultés par Bloomberg et par Lighthouse Reports, le logiciel était, à l’époque de l’audit, truffé de vulnérabilités. Des milliers de problèmes de sécurités étaient d’une gravité « élevée ». Le contrôleur a aussi pointé du doigt un « nombre excessif » de comptes administrateurs de la base de données, ce qui était « une faiblesse évitable qui pourrait être exploitée par des attaquants internes ». Dans l’audit du CEPD est indiqué que 69 membres de l’équipe de développement avaient un accès à la base de données du système sans avoir l’habilitation de sécurité nécessaire.

Pour l’instant, le Système d’Information Schengen II fonctionne sur un réseau isolé, les nombreuses failles détaillées dans cet audit ne peuvent donc être exploitées que par un attaquant interne. Mais il est prévu qu’il soit intégré, à terme, au « système d’entrée/sortie » des personnes de nationalités en dehors de l’UE, qui lui doit être mis en place à partir d’octobre 2025. Celui-ci est connecté à Internet. Le rapport d’audit s’alarme d’une facilité des pirates d’accéder à la base de données à ce moment-là.

Une très lente réaction de Sopra Steria

Selon Bloomberg, l’audit explique que des pirates auraient pu prendre le contrôle du système et que des personnes extérieures auraient pu obtenir des accès non autorisés. Mais le média explique que des documents montrent que, lorsque l’eu-Lisa a signalé ces problèmes, Sopra Steria, qui est chargée du développement et de la maintenance du système, a mis entre huit mois et plus de cinq ans et demi pour les résoudre. Ceci alors que le contrat entre l’agence européenne et l’entreprise l’oblige à patcher les vulnérabilités « critiques ou élevées » dans les deux mois.

Dans des échanges de mails avec eu-LISA consultés par nos confrères, Sopra Steria demandait des frais supplémentaires à la hauteur de 19 000 euros pour la correction de vulnérabilités. L’agence européenne a, de son côté, répondu que cette correction faisait partie du contrat qui comprenait des frais compris entre 519 000 et 619 000 euros par mois pour la « maintenance corrective ».

Interrogée par nos confrères, Sopra Steria n’a pas voulu répondre à leurs questions, mais a affirmé : « En tant qu’élément clé de l’infrastructure de sécurité de l’UE, le SIS II est régi par des cadres juridiques, réglementaires et contractuels stricts. Le rôle de Sopra Steria a été joué conformément à ces cadres ».

Dans son audit, le CEPD vise aussi l’eu-LISA qui n’a pas informé son conseil d’administration des failles de sécurité. Il pointe aussi des « lacunes organisationnelles et techniques en matière de sécurité » et lui demandent d’établir un plan d’action et une « stratégie claire » pour gérer les vulnérabilités du système.

À Bloomberg, l’eu-LISA affirme que « tous les systèmes gérés par l’agence font l’objet d’évaluations continues des risques, d’analyses régulières de la vulnérabilité et de tests de sécurité ».

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Pendant des années, le Système d’Information Schengen était truffé de milliers de failles

Cinq ans et demi pour les résoudre, ça va
Pendant des années, le Système d’Information Schengen était truffé de milliers de failles

Lors d’un audit, des milliers de failles ont été découvertes dans le Système d’Information Schengen II, logiciel gérant le fichier mis en place dans le cadre de la convention de Schengen. Sopra Steria qui en est responsable a mis des mois, voire des années à corriger certains problèmes.

L’année dernière, la seconde version du Système d’Information Schengen (SIS) a essuyé un audit sévère du Contrôleur européen de la protection des données (CEPD). Ce logiciel est utilisé par les autorités aux frontières des pays de l’espace Schengen pour ficher les personnes recherchées et celles refoulées ou interdites de séjours.

La seconde version du système a été déployée en 2013, mais il a été « renouvelé » en mars 2023 et de nouvelles catégories de signalements, des données biométriques et des registres d’ADN de personnes disparues ont encore été ajoutées.

1,7 million de personnes concernées

Selon l’agence européenne eu-LISA qui utilise le système [PDF], plus de 93 millions d’alertes y étaient stockées au 31 décembre 2024, dont 1,7 million sur les personnes. Près de 1,2 million concerne des reconduites à la frontière, des refus d’entrée ou de rester sur le territoire et un peu plus de 195 000 personnes y sont fichées comme de possibles menaces pour la sécurité nationale.

Ce système stocke des données concernant des personnes visées par un mandat d’arrêt européen, mais aussi signalée, aux fins de non-admission ou d’interdiction de séjour, des personnes signalées dans le cadre d’infractions pénales ou recherchées pour l’exécution d’une peine, ou encore des personnes disparues.

Ces données comprennent l’état civil, des photographies, des empreintes digitales et d’autres informations biométriques réunies dans les textes officiels sous la dénomination de « signes physiques particuliers, objectifs et inaltérables ». Des données particulièrement sensibles, donc. Des commentaires peuvent être ajoutés comme « la conduite à tenir en cas de découverte », « l’autorité ayant effectué le signalement » ou le type d’infraction.

Des milliers de problèmes de gravité « élevée »

Selon les documents consultés par Bloomberg et par Lighthouse Reports, le logiciel était, à l’époque de l’audit, truffé de vulnérabilités. Des milliers de problèmes de sécurités étaient d’une gravité « élevée ». Le contrôleur a aussi pointé du doigt un « nombre excessif » de comptes administrateurs de la base de données, ce qui était « une faiblesse évitable qui pourrait être exploitée par des attaquants internes ». Dans l’audit du CEPD est indiqué que 69 membres de l’équipe de développement avaient un accès à la base de données du système sans avoir l’habilitation de sécurité nécessaire.

Pour l’instant, le Système d’Information Schengen II fonctionne sur un réseau isolé, les nombreuses failles détaillées dans cet audit ne peuvent donc être exploitées que par un attaquant interne. Mais il est prévu qu’il soit intégré, à terme, au « système d’entrée/sortie » des personnes de nationalités en dehors de l’UE, qui lui doit être mis en place à partir d’octobre 2025. Celui-ci est connecté à Internet. Le rapport d’audit s’alarme d’une facilité des pirates d’accéder à la base de données à ce moment-là.

Une très lente réaction de Sopra Steria

Selon Bloomberg, l’audit explique que des pirates auraient pu prendre le contrôle du système et que des personnes extérieures auraient pu obtenir des accès non autorisés. Mais le média explique que des documents montrent que, lorsque l’eu-Lisa a signalé ces problèmes, Sopra Steria, qui est chargée du développement et de la maintenance du système, a mis entre huit mois et plus de cinq ans et demi pour les résoudre. Ceci alors que le contrat entre l’agence européenne et l’entreprise l’oblige à patcher les vulnérabilités « critiques ou élevées » dans les deux mois.

Dans des échanges de mails avec eu-LISA consultés par nos confrères, Sopra Steria demandait des frais supplémentaires à la hauteur de 19 000 euros pour la correction de vulnérabilités. L’agence européenne a, de son côté, répondu que cette correction faisait partie du contrat qui comprenait des frais compris entre 519 000 et 619 000 euros par mois pour la « maintenance corrective ».

Interrogée par nos confrères, Sopra Steria n’a pas voulu répondre à leurs questions, mais a affirmé : « En tant qu’élément clé de l’infrastructure de sécurité de l’UE, le SIS II est régi par des cadres juridiques, réglementaires et contractuels stricts. Le rôle de Sopra Steria a été joué conformément à ces cadres ».

Dans son audit, le CEPD vise aussi l’eu-LISA qui n’a pas informé son conseil d’administration des failles de sécurité. Il pointe aussi des « lacunes organisationnelles et techniques en matière de sécurité » et lui demandent d’établir un plan d’action et une « stratégie claire » pour gérer les vulnérabilités du système.

À Bloomberg, l’eu-LISA affirme que « tous les systèmes gérés par l’agence font l’objet d’évaluations continues des risques, d’analyses régulières de la vulnérabilité et de tests de sécurité ».

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Le PCIe 5.0 est-il si utile que cela pour les créateurs ?

La question revient à chaque changement de génération de l’interface PCIe : que risque-t-on à installer une carte récente, par exemple une RTX 5090, sur un PC plus ancien qui n’aurait qu’une interface PCIe 4.0, voire 3,0 ? Bien que le bus soit rétrocompatible, c’est-à-dire qu’il est possible de fair...

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The US Dollar is On Track For Its Worst Year in Modern History

The US dollar is on track for its worst year in modern history and may not be done falling yet. The greenback is down more than 7% this year and Morgan Stanley predicts it could fall another 10%. Semafor: A weaker dollar could make US exports more competitive, boosting Trump's plan to rebalance US trade, but makes imports more expensive, adding to the sting of tariffs. The question ahead is whether the dollar doesn't just lose its value, but its role at the center of the global financial system. So far, there are few alternatives. And efforts to de-dollarize -- central banks shifting into gold, China shoveling its currency into developing nations through swap lines -- haven't meaningfully shifted the picture.

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Websites Hosting Major US Climate Reports Taken Down

An anonymous reader quotes a report from the Associated Press: Websites that displayed legally mandated U.S. national climate assessments seem to have disappeared, making it harder for state and local governments and the public to learn what to expect in their backyards from a warming world. Scientists said the peer-reviewed authoritative reports save money and lives. Websites for the national assessments and the U.S. Global Change Research Program were down Monday and Tuesday with no links, notes or referrals elsewhere. The White House, which was responsible for the assessments, said the information will be housed within NASA to comply with the law, but gave no further details. Searches for the assessments on NASA websites did not turn them up. "It's critical for decision makers across the country to know what the science in the National Climate Assessment is. That is the most reliable and well-reviewed source of information about climate that exists for the United States," said University of Arizona climate scientist Kathy Jacobs, who coordinated the 2014 version of the report. "It's a sad day for the United States if it is true that the National Climate Assessment is no longer available," Jacobs said. "This is evidence of serious tampering with the facts and with people's access to information, and it actually may increase the risk of people being harmed by climate-related impacts." "This is a government resource paid for by the taxpayer to provide the information that really is the primary source of information for any city, state or federal agency who's trying to prepare for the impacts of a changing climate," said Texas Tech climate scientist Katharine Hayhoe, who has been a volunteer author for several editions of the report. Copies of past reports are still squirreled away in NOAA's library. NASA's open science data repository includes dead links to the assessment site. [...] Additionally, NOAA's main climate.gov website was recently forwarded to a different NOAA website. Social media and blogs at NOAA and NASA about climate impacts for the general public were cut or eliminated. "It's part of a horrifying big picture," [said Harvard climate scientist John Holdren, who was President Obama's science advisor and whose office directed the assessments]. "It's just an appalling whole demolition of science infrastructure." National climate assessments are more detailed and locally relevant than UN reports and undergo rigorous peer review and validation by scientific and federal institutions, Hayhoe and Jacobs said. Suppressing these reports would be censoring science, Jacobs said.

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☕️ #LIDD : le deuil à l’ère du numérique

Il y a peu de temps, le Journal du CNRS publiait une interview maison de Delphine Moreau-Plachy (postdoctorante en sociologie et en sciences de l’information et de la communication) sur ce sujet. La mise en bouche est tout aussi intrigante qu’effrayante : « Cimetières numériques, deadbots… Le développement des outils digitaux nous amène-t-il à requestionner notre rapport à la mort et au deuil, comme y invite le film « Les Linceuls », de David Cronenberg ? »

Pour rappel, ce film est sorti en avril et voici son synopsis : « Karsh, 50 ans, est un homme d’affaires renommé. Inconsolable depuis le décès de son épouse, il invente un système révolutionnaire et controversé, Gravetech, qui permet aux vivants de se connecter à leurs chers disparus dans leurs linceuls […] ». Le film ne cartonne pas sur SensCritique avec une moyenne de 5,2 sur 10. Le sujet n’est pas nouveau, aussi bien au cinéma que dans les séries, notamment avec l’épisode Bientôt de retour de Black Mirror ou le plus léger Upload.

Pour revenir à l’interview, la chercheuse rappelle qu’il existe déjà « des cimetières ou mémoriaux numériques qui fonctionnent comme des lieux de mémoire et de recueil d’informations ». Elle a mené des dizaines d’entretiens pour son étude, avec parfois des résultats surprenants.

« Par exemple, l’une de mes enquêtées avait publié pour sa mère, sur Facebook, car sa famille considérait qu’elle « n’avait pas l’air en deuil ». Elle affirmait de cette manière sa peine auprès de ses proches », explique la postdoctorante. Dans d’autres cas, les réseaux sociaux deviennent « une forme de soutien et de reconnaissance communautaire » dans le deuil.

Dans un sujet proche, le LINC de la CNIL a publié cette année un article intitulé « Données post-mortem : y a-t-il une vie numérique après la mort ? »

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☕️ #LIDD : le deuil à l’ère du numérique

Il y a peu de temps, le Journal du CNRS publiait une interview maison de Delphine Moreau-Plachy (postdoctorante en sociologie et en sciences de l’information et de la communication) sur ce sujet. La mise en bouche est tout aussi intrigante qu’effrayante : « Cimetières numériques, deadbots… Le développement des outils digitaux nous amène-t-il à requestionner notre rapport à la mort et au deuil, comme y invite le film « Les Linceuls », de David Cronenberg ? »

Pour rappel, ce film est sorti en avril et voici son synopsis : « Karsh, 50 ans, est un homme d’affaires renommé. Inconsolable depuis le décès de son épouse, il invente un système révolutionnaire et controversé, Gravetech, qui permet aux vivants de se connecter à leurs chers disparus dans leurs linceuls […] ». Le film ne cartonne pas sur SensCritique avec une moyenne de 5,2 sur 10. Le sujet n’est pas nouveau, aussi bien au cinéma que dans les séries, notamment avec l’épisode Bientôt de retour de Black Mirror ou le plus léger Upload.

Pour revenir à l’interview, la chercheuse rappelle qu’il existe déjà « des cimetières ou mémoriaux numériques qui fonctionnent comme des lieux de mémoire et de recueil d’informations ». Elle a mené des dizaines d’entretiens pour son étude, avec parfois des résultats surprenants.

« Par exemple, l’une de mes enquêtées avait publié pour sa mère, sur Facebook, car sa famille considérait qu’elle « n’avait pas l’air en deuil ». Elle affirmait de cette manière sa peine auprès de ses proches », explique la postdoctorante. Dans d’autres cas, les réseaux sociaux deviennent « une forme de soutien et de reconnaissance communautaire » dans le deuil.

Dans un sujet proche, le LINC de la CNIL a publié cette année un article intitulé « Données post-mortem : y a-t-il une vie numérique après la mort ? »

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IPv6 : la France passe en tête au niveau mondial, mais la route est encore longue

Bah, et IPv7 alors ?!
IPv6 : la France passe en tête au niveau mondial,  mais la route est encore longue

La France est à la première place sur le taux d’utilisation d’IPv6. Ce bon résultat cache de grosses disparités entre les clients fixes et mobiles des opérateurs. La situation est aussi bien différente selon les services : DNS, sites et emails. IPv6 est pour rappel l’avenir, sans être compatible avec IPv4, avec donc un risque de scission d’Internet.

L’Arcep vient de mettre en ligne son rapport annuel sur l’état de l’internet en France. Dans cette édition 2025 (basée sur des données de 2024), le régulateur des télécoms revient sur la transition vers l’IPv6 face à la pénurie d’IPv4.

Pour commencer, la France est passée en première position mondiale en juin 2025 pour ce qui est du taux d’utilisation d’IPv6, alors qu’elle était deuxième en décembre 2024 et huitième en 2022. Il reste encore du travail, comme l’indique rapidement l’Arcep : « Il reste néanmoins à finaliser l’activation d’IPv6 sur le réseau entreprises des opérateurs et à accélérer la migration vers IPv6 des hébergeurs et fournisseurs de contenu ».

Déjà deux rappels importants : la situation est connue depuis des années (depuis novembre 2019, le RIPE NCC qui alloue les IPv4 pour l’Europe et le Moyen-Orient est en pénurie d’IPv4) et IPv6 n’a rien de nouveau puisque les spécifications datent de 1998.

IPv4 vs IPv6 : la pénurie contre l’abondance sur fond d’incompatibilité

Par rapport à IPv4, les adresses IPv6 « intègrent des fonctionnalités permettant de renforcer la sécurité par défaut et d’optimiser le routage. Par ailleurs, IPv6 offre une quasi-infinité d’adresses : 667 millions d’IPv6 pour chaque millimètre carré de surface terrestre ».

IPv4 et IPv6 « ne sont pas compatibles », impliquant un risque de scission d’Internet. Par exemple, un service ou un site en IPv6 seulement (sans adresse IPv4) n’est pas accessible aux utilisateurs qui n’ont qu’une adresse IPv4, et vice-versa.


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Intel Enables Wildcat Lake Display & Experimental Flip Queue For Linux 6.17 Graphics

Intel today sent out a batch of new kernel graphics/display driver code for queuing ahead of the Linux 6.17 merge window opening in a few weeks. There is now DRM Panic support for the Intel i915 and Xe kernel drivers, Wildcat Lake "WCL" display enablement, and experimental flip queue support for Lunar Lake and Panther Lake hardware, among other changes coming for the Intel drivers in Linux 6.17...
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Kiwi Ears Spark, les écouteurs ouverts pour les Transformers ?

Terminons cette semaine d'articles avec Kiwi Ears et les écouteurs Spark. Des modèles ouverts, ce qui signifie qu'il n'y a pas besoin de basculer sur un ANC de type environnement pour faire du sport en toute sécurité. Mais il ne faut pas s'arrêter là, il y a bien plus à faire avec de tels écouteurs ! Et à 99 U+20AC, ces Spark ont plus d'un tour dans leur boite. A découvrir ici : Kiwi Ears Spark ou sur la source. […]

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