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Hollywood's Newest Formula For Success: Rereleasing Old Movies

An anonymous reader quotes a report from the New York Times: There's an overwhelming sense of deja vu at multiplexes these days. In August alone, "Black Swan" (2010) is returning to theaters, along with the Tim Burton "Batman" movies from 1989 and 1992. Audiences will be able to revisit the oceanic terror of "Jaws" (1975), as well as the comic mystery (and multiple endings) of "Clue" (1985). Or they could groove to Prince's "Sign o' the Times" concert film from 1987. And it doesn't look like the rerelease trend is slowing down. In September, "The Breakfast Club" (1985) is returning, Pixar is bringing back "Toy Story" (1995), and "Apollo 13" (1995) is blasting off again. "Casper" (1995) will haunt screens for nearly the entire month of October, while "Avatar: The Way of Water" (2022) will run for about five days, teeing up the forthcoming "Avatar: Fire and Ash." And there are still more to come before the end of the year. Rereleases have long been part of the theatrical ecosystem. After all, "Star Wars" movies have been heading back to multiplexes routinely since 1981 -- before "Return of the Jedi" even debuted. But recently, studios have been digging deeper into their archives for a variety of reasons -- only some of which have to do with nostalgia. "Black Swan," from Searchlight, which is now owned by Disney, took over around 200 IMAX screens to commemorate its 15th anniversary. Universal's specialty arm, Focus Features, rereleased both "Pride & Prejudice" (2005) and "Brokeback Mountain" (2005) earlier this year. "Pride & Prejudice" ultimately grossed more than $6 million domestically this time around, about 16 percent of its original U.S. box office haul. In total, Universal has 12 rereleases on its 2025 slate -- not including a partnership with another distribution company -- compared with just four in 2024 and two in 2023. "We very much pay a lot of attention to our repertory business," the studio's president of domestic theatrical distribution, Jim Orr, said by phone, explaining, "We just think it's not only great fun for audiences, but a great business to be in as well." Orr explained that the size of Universal's rerelease slate this year was "more coincidental" than anything else, with all the films hitting anniversaries in 2025. Still, there is a strong business motivation: The rereleases help studios and exhibitors pad out relatively thin slates. "The truth of the matter is studios don't have enough product right now to give theaters, so that's why you're seeing an influx of these nostalgia plays," said Jeff Bock, senior media analyst at Exhibitor Relations. He added, "It doesn't cost a lot for them to do an anniversary edition or a 4K edition." There are several other reasons why Hollywood is rereleasing old movies, according to Orr. Rereleases are far cheaper to put out than launching a brand-new title. Studios also target films that already have strong, enduring audiences, "whether that's 'Pride & Prejudice,' with its meme-able depiction of yearning, or 'Casper,'" which he said had elicited 'decent' interest every year. Then there's what Orr calls "opportunistic dating." "There might be a window where something goes thematically or holiday-wise, whatever kind of fits in, or there might be some more screens available in specific formats," he said. Specialty format releases like IMAX, Dolby, or 3D also help bring moviegoers to the theaters.

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Envie d'une Intel Arc Battlemage biGPU 48Go ? Elle arrive en Europe, mais est plus chère que prévu !

Au mois de mai, Intel officialisait ses cartes graphiques Intel Arc Pro B50 et B60 pour le monde professionnel. Lors de cette présentation, une carte avait particulièrement retenu l'attention : la Maxsun Intel ARC Pro B60 Dual 48G Turbo, que nous vous présentions d'ailleurs plus en détails dans une...

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Corsair AI Workstation 300 : un autre clone sous AMD Strix Halo

Manque d’imagination ? Déficit d’ingénieurs ? Peur de ne pas parvenir à en vendre suffisamment pour rentabiliser de la R&D ? Je n’en ai aucune idée mais le Corsair AI Workstation 300 est le énième clone de la même solution.

À bien regarder la connectique et le format du Corsair AI Workstation 300 on retrouve exactement la même disposition de port et de ventilation que les autres MiniPC sous Strix Halo présentés depuis le début de l’année. Le dernier en date était le Colorful SMART 900 en juin dernier, mais avant lui, il y avait eu le FEVM FA-EX9, le AOKZOE et le PELADN Y01

Je n’ai aucune idée du pourquoi ou du comment, peut-être que cette carte mère, ce dispositif tout entier est simplement le reflet d’une solution proposée en amont par AMD lui-même. Une sorte de carte de travail pensée pour le Ryzen AI Max+ 395 et qui s’avère très performante. Les constructeurs n’ayant alors plus qu’à recopier ce design en usine pour obtenir une solution prête à l’emploi et efficace.

Toujours est-il que ce nouveau venu n’est qu’un emballage de la même solution et que Corsair n’apporte ici rien de vraiment neuf à cette gamme de puces Strix Halo. On retrouve un châssis en métal sur ce boitier de 9.65 cm de large pour 18.84 cm de profondeur et 24.75 cm On retrouve ici exactement la connectique des machines précédentes présentée dans un décor différent.

On retrouve donc ici de gauche à droite un bouton de démarrage, un second bouton programmable, apparemment pour les ventilateurs internes, un lecteur de cartes SDXC, un port USB4, deux USB 3.2 Type-A et un jack audio combo 3.5 mm. Pas difficile, je n’ai eu qu’à copier-coller la connectique des modèles précédents.

A l’arrière, même topo. Si on compare cette image à l’arrière du Colorful, on se rend bien compte qu’il s’agit de la même machine. Cela me donne envie de jouer à un jeu des « une » différence avec le modèle Colorful ci-dessous :

Avez-vous trouvé ce qui différencie les deux engins mis à part le boitier ? C’est simple, Corsair a « bouché » l’entrée d’alimentation au format JACK encore présente sur le prototype du Colorful SMART 900… C’est la seule chose qui change d’une machine à l’autre. Pour le reste c’est encore un calque parfait. Même connecteurs, même ailettes, même forme d’ouïes de ventilations…  Alimentation intégrée et petit ventilateur associé. Même la forme et le placement des vis est identique…

On retrouve donc un Jack audio, un Ethernet, un USB 3.x Type-A, un USB 3.2 Type-C, un DisplayPort, un port vidéo qui semble être un HDMI et deux USB 2.0 Type-A.

Trois modèles de cette Corsair AI Workstation 300 seront proposés. Le haut de gamme est prévu en version Ryzen AI Max+ 395 avec 128 Go de LPDDR5X et 4 Go de stockage NVMe. Une version qui vise précisément les amateurs d’IA. La puce Strix Halo d’AMD est parfaite pour embarquer ce type de calcul avec la possibilité de satisfaire leur gourmandise en RAM en exploitant les 40 Compute Units RDNA 3.5 de son circuit Radeon 8060S. Prix de cette bébête, 2299.99$, Hors Taxes. Un prix élevé pour un particulier, une blague pour un pro qui veut embarquer un LLM en interne.

Les modèles suivants sont un peu moins musclés avec une version sous Ryzen AI Max 395 (sans le + !), toujours 128 Go de mémoire et 1 To de stockage de base. Joujou tout de même à 1999.99$ HT. Enfin, un troisième larron est annoncé sous Ryzen AI Max 385 avec 64 Go de mémoire, toujours soudée, toujours LPDDR5X,  et un SSD de 1 To. 1599.99$ HT pour ce dernier modèle.

Mon intuition me dit que l’objectif de Corsair est de vendre une assurance. Ses modèles sont plus chers que ceux des concurrents mais la marque jouit d’une bien meilleure réputation que Colorful, PELADN ou AOKZOE aux USA. Un acheteur d’entreprise ne passera pas commande d’un PC en import à 2300$ mais n’aura pas de souci à acheter exactement la même machine emballée dans un boitier de la marque Corsair. Il y a donc là un coup à jouer intéressant pour le constructeur qui pourrait en profiter à plein, même si son travail se borne à emballer à nouveau une carte mère qui n’est pas de son cru. Si on compare l’offre de Corsair à celle d’HP par exemple, il n’y a pas photo. Les engins d’HP sont séduisants mais leur modèle Ryzen AI Max+ Pro 395 en 128 Go / 4 To est listé à 6700$

Corsair AI Workstation 300 : un autre clone sous AMD Strix Halo © MiniMachines.net. 2025

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Les prix des cartes graphiques AMD, Intel et NVIDIA semaine 34-2025 : Les 5070 et 9070 à la chute !!!

Après la Gamescom on reprend nous habitudes et il est donc temps de parler des prix des cartes graphiques. On commence chez les rouges, avec la 7900 XT qui recule de 30 euros cette semaine. Ensuite, nous avons une baisse a significative sur la RX 9070, qui perd 37 euros, ce qui est très bien, car nous sommes ainsi bien en dessous du MSRP. Enfin, la RX 9070 XT repasse à 689 euros, elle perd donc 10 euros cette semaine. Chez les bleus d'Intel pas de changement cette semaine. […]

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Du gameplay pour Resident Evil Requiem et Dying Light: The Beast, et la tendresse bordel, elle est où ?

La Gamescom a donné l'occasion à des tas de personnes de tester en réel des jeux, même si incomplets et en développement. Dans le lot, deux jeux ont retenu notre attention, pour leur faculté à nous émerveiller, nous attendrir, faire de chacun un gros nounours rempli d'amour et d'empathie, à moins qu...

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LibreOffice 25.8 Slams the Door On Windows 7 and 8.x

BrianFagioli shares a report from NERDS.xyz: LibreOffice 25.8 has landed, and while it packs in new features and speed improvements, the biggest headline is who just got left behind. If you are still running Windows 7 or Windows 8/8.1, this is the end of the road. LibreOffice will not run on those systems anymore, and there are no workarounds. The suite has slammed the door shut. For years, LibreOffice kept older Windows users afloat while Microsoft and other developers moved on. That lifeline is gone. Anyone stubbornly clinging to Windows 7 or 8 now has two choices: upgrade or stay stuck on outdated software. LibreOffice has made it clear that it will not carry dead platforms any further. And the cuts do not stop there. 32-bit Windows builds are on their way out, with deprecation already in place. On the Mac side, 25.8 is the last release that runs on macOS 10.15. Starting with LibreOffice 26.2, only macOS 11 and newer will be supported. In other words, if your computer is too old to run modern systems, LibreOffice is walking away.

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Gamescom 2025 : ça avance chez LYNK+

Petit retour chez LYNK+ qui présentait plus ou moins les mêmes produits que lors du dernier COMPUTEX, mais les choses avancent bien dans les coulisses. Rappelons le principe : des composants watercooling préremplis avec un système de quick-connect simple et efficace, mais surtout un PCB présent dans chaque élément de la boucle afin de récupérer des informations et de modifier simplement et automatiquement la vitesse de la pompe et des ventilateurs. Initialement, la marque cherchait des partenaires pour travailler en OEM / ODM, et nous aurons finalement le droit à des produits LYNK+ directement, dont un gros waterblock avec un écran et un radiateur de 360 mm. En revanche, il y a bien du partenariat pour les cartes graphiques, avec Palit qui serait dans la course. […]

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Gamescom 2025 : GameSir G7 Pro WUCHANG: Fallen Feathers Edition, une finition folle

Chez GameSir, on sait faire des manettes qualitatives. La marque est montée en gamme progressivement et propose désormais des produits assez dingues quand on les prend en main. Il en va logiquement de même pour la nouvelle G7 Pro très attendue par de nombreux joueurs, mais ce n'est rien par rapport à la G7 Pro WUCHANG: Fallen Feathers Edition... Cette édition spéciale est la version certifiée sans-fil pour Xbox de la G7 Pro, avec un thème WUCHANG: Fallen Feathers qui ne laisse pas indifférent. Peu importe qu'on aime ou non le jeu, voire même qu'on le connaisse ou non, la finition est extraordinaire. Pas de grip pour ne pas changer l'aspect de la peinture ? Pas de problème pour GameSir, qui ajoute une texture sur le motif en écailles. Difficile de faire plus propre... […]

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Gamescom 2025 : Asetek lance sa série Initium, bien plus abordable

Pour Asetek, l'entrée dans le simracing s'est faite par la grande porte avec des produits haut de gamme. Le catalogue s'est depuis étoffé avec des composants et accessoires plus abordables, mais il manquait vraiment une option entrée de gamme. C'est désormais chose corrigée avec l'arrivée des produits Initium, même si chacun aura son point de vue sur ce qu'est un produit entrée de gamme. Question design, Asetek reste toujours aussi soigné avec ont un aspect plastique recyclé post-consommation original qui est loin d'être déplaisant, tout comme sur le haut de gamme. La marque passe par un matériau composite en injection de moule, et l'ensemble se montre solide. Nous ne parlons pas du cockpit, bien entendu. […]

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Gamescom 2025 : retour sur la collection ASUS x Hatsune Miku

Nous pensions tout connaitre de la collaboration ASUS et Hatsune Miku, mais il n'en était rien. ASUS avait en effet d'autres nouveautés, un peu moins pétillantes sur les couleurs, à montrer. En espérant d'ailleurs que d'autres suivent pour ceux qui préfèrent partir sur le blanc, mais chaque chose en son temps. Pas de blabla inutile, place aux photos ! […]

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Bon Plan : essayez gratuitement Dune: Awakening

Si vous avez peur de vous ennuyer durant votre week-end, bonne nouvelle, vous pouvez essayer gratuitement le jeu Dune Awakening, l'essai est d'une durée de 10 hures, vous avez jusqu'au 24 août pour l'effectuer, le téléchargement se passe ici. […]

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Bugs des SSD sous Windows 11 : Silicon Motion ne se sent pas concerné... pour l'instant

Il y a quelques jours, un nouveau bug plutôt gênant a été remonté sous Windows 11, suivant l'installation de la mise à jour de sécurité KB5063878. Il impacte principalement les SSD - a priori SATA autant que NVMe, les disques durs paraissent épargnés pour l'instant - et s'est avéré reproductible. Le...

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US Is Throwing Away the Critical Minerals It Needs, Analysis Shows

alternative_right shares a report from Phys.org: All the critical minerals the U.S. needs annually for energy, defense and technology applications are already being mined at existing U.S. facilities, according to a new analysis published in the journal Science. The catch? These minerals, such as cobalt, lithium, gallium and rare earth elements like neodymium and yttrium, are currently being discarded as tailings of other mineral streams like gold and zinc, said Elizabeth Holley, associate professor of mining engineering at Colorado School of Mines and lead author of the new paper. To conduct the analysis, Holley and her team built a database of annual production from federally permitted metal mines in the U.S. They used a statistical resampling technique to pair these data with the geochemical concentrations of critical minerals in ores, recently compiled by the U.S. Geological Survey, Geoscience Australia and the Geologic Survey of Canada. Using this approach, Holley's team was able to estimate the quantities of critical minerals being mined and processed every year at U.S. metal mines but not being recovered. Instead, these valuable minerals are ending up as discarded tailings that must be stored and monitored to prevent environmental contamination. The analysis looks at a total of 70 elements used in applications ranging from consumer electronics like cell phones to medical devices to satellites to renewable energy to fighter jets and shows that unrecovered byproducts from other U.S. mines could meet the demand for all but two -- platinum and palladium. Among the elements included in the analysis are: - Cobalt (Co): The lustrous bluish-gray metal, a key component in electric car batteries, is a byproduct of nickel and copper mining. Recovering less than 10% of the cobalt currently being mined and processed but not recovered would be more than enough to fuel the entire U.S. battery market. - Germanium (Ge): The brittle silvery-white semi-metal used for electronics and infrared optics, including sensors on missiles and defense satellites, is present in zinc and molybdenum mines. If the U.S. recovered less than 1% of the germanium currently mined and processed but not recovered from U.S. mines, it would not have to import any germanium to meet industry needs.

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Google Says It Dropped the Energy Cost of AI Queries By 33x In One Year

Google has released (PDF) a new analysis of its AI's environmental impact, showing that it has cut the energy use of AI text queries by a factor of 33 over the past year. Each prompt now consumes about 0.24 watt-hours -- the equivalent of watching nine seconds of TV. An anonymous reader shares an excerpt from an Ars Technica article: "We estimate the median Gemini Apps text prompt uses 0.24 watt-hours of energy, emits 0.03 grams of carbon dioxide equivalent (gCO2e), and consumes 0.26 milliliters (or about five drops) of water," they conclude. To put that in context, they estimate that the energy use is similar to about nine seconds of TV viewing. The bad news is that the volume of requests is undoubtedly very high. The company has chosen to execute an AI operation with every single search request, a compute demand that simply didn't exist a couple of years ago. So, while the individual impact is small, the cumulative cost is likely to be considerable. The good news? Just a year ago, it would have been far, far worse. Some of this is just down to circumstances. With the boom in solar power in the US and elsewhere, it has gotten easier for Google to arrange for renewable power. As a result, the carbon emissions per unit of energy consumed saw a 1.4x reduction over the past year. But the biggest wins have been on the software side, where different approaches have led to a 33x reduction in energy consumed per prompt. The Google team describes a number of optimizations the company has made that contribute to this. One is an approach termed Mixture-of-Experts, which involves figuring out how to only activate the portion of an AI model needed to handle specific requests, which can drop computational needs by a factor of 10 to 100. They've developed a number of compact versions of their main model, which also reduce the computational load. Data center management also plays a role, as the company can make sure that any active hardware is fully utilized, while allowing the rest to stay in a low-power state. The other thing is that Google designs its own custom AI accelerators, and it architects the software that runs on them, allowing it to optimize both sides of the hardware/software divide to operate well with each other. That's especially critical given that activity on the AI accelerators accounts for over half of the total energy use of a query. Google also has lots of experience running efficient data centers that carries over to the experience with AI. The result of all this is that it estimates that the energy consumption of a typical text query has gone down by 33x in the last year alone.

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