85% of College Students Report AI Use
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Autre nouveauté chez JONSBO, le TK-4. Un boitier compatible ATX et Micro-ATX en back connector qui a la particularité de se décliner en version WOOD avec un peu de bois sur la partie supérieure et en façade, mais seulement avec un coloris noir à côté. Si on opte pour du blanc, point de bois ! Avec son large panneau en verre trempé courbé qui vient recouvrir la façade, voilà un nouveau venu qui a un joli style, tout en laissant de belles possibilités pour les composants, avec notamment la possibilité d'installer onze ventilateurs : deux 92 mm à l'arrière, trois 120 mm ou 140 mm en haut, trois en bas et trois autres le long de la carte mère. Bon point, ces derniers sont décalés par rapport au plateau, ce qui permet d'installer également un radiateur sans venir limiter la carte graphique, qui dispose d'un maximum de 460 mm. […]
Lire la suiteSi Windows 11 24H2 avait beaucoup de bruit bien avant son arrivée, avec des annonces d'améliorations de performances notamment qui intéressaient les passionnés de hardware. Windows 11 25H2 de son côté est en train de faire son approche finale dans un certain anonymat, il faut bien l'avouer. Cela n'a...
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Arrivée initialement en 2022 à la Commission Européenne sous une présidence de la Suède, le Règlement établissant des règles en vue de prévenir et de combattre les abus sexuels sur enfants — que nous appellerons Chat Control par la suite, vous devinerez rapidement pourquoi — est un proposition de ré...
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Le Parti socialiste a proposé le 30 aout un « contre-budget », face à celui présenté par Français Bayrou et décrit par le parti comme un « budget de souffrance ». Bien que plusieurs mesures majeures soient envisagées pour alimenter les caisses de l’État, le PS propose également de doubler la taxe sur les services numériques.
Le Parti Socialiste a profité de son université d’été à Blois pour présenter sa feuille de route budgétaire, a rapporté notamment Challenges. Le plan d’origine était de ne le dévoiler qu’en novembre, mais l’arrivée du vote de confiance de l’Assemblée nationale le 8 septembre pour François Bayrou, accélère les opérations.
Face à un plan d’austérité du Premier ministre jugé trop abrupt et qualifié de « budget de souffrance », le PS a présenté une approche plus douce et plus étalée, qui consiste à réduire la voilure également et à puiser ailleurs des sources de financement. Sans grande surprise, la principale mesure est la fameuse « taxe Zucman », du nom de l’économiste qui l’a proposée : une contribution de 2 % sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros. Elle pourrait rapporter 15 milliards d’euros, selon le PS.
Parmi les autres leviers envisagés, on trouve également une refonte de la fiscalité sur les dividendes et les plus-values. Elle permettrait un apport de 3,8 milliards d’euros dans les caisses de l’État. La lutte contre la fraude fiscale et sociale rapporterait 3,2 milliards d’euros. Le PS envisage en outre une taxe sur les très grandes successions, avec à la clé un autre milliard d’euros. Le passage de la dette sous les 3 % du PIB n’interviendrait qu’en 2032, contre 2029 dans les plans de François Bayrou.
Entre autres mesures plus « chocs », le PS table aussi sur un doublement de la taxe GAFAM. De son vrai nom « taxe sur les services numériques », elle consiste à taxer à hauteur de 3 % les recettes générées par le ciblage publicitaire. Elle ne concerne pas les sites de commerce en ligne ni la fourniture de services numériques (malgré son nom), pas plus que les services de communication, de paiement ou financiers.
La taxe rapporterait aujourd’hui autour de 400 millions d’euros. Depuis sa mise en place, elle a suscité de très nombreuses critiques. La principale est qu’elle s’applique presque exclusivement aux entreprises américaines, les paliers de déclenchement étant de 750 millions d’euros de chiffre d’affaires dans le monde et de 25 millions en France. Donald Trump, en représailles, avait instauré une taxe de 25 % sur les vins français et autres produits de luxe. Même en France, la Cour des Comptes critiquait l’absence d’évaluation solide de l’impact économique et une navigation « à l’aveugle » sur le dossier.
C’est justement cette taxe que le PS voudrait doubler, évoquant des recettes qui grimperaient à 800 millions d’euros. La taxe passerait donc à 6 % et pourrait avoir davantage de conséquences. Les entreprises avaient en effet répercuté tout ou partie du cout sur leurs produits.
La taxe d’origine a déjà provoqué la colère de Donald Trump à la fin de son premier mandat. Or, depuis que le magnat de l’immobilier est de retour à la Maison-Blanche, une doctrine Monroe 2.0 règne aux États-Unis. Et le président américain a été très clair : seules des lois américaines peuvent affecter des sociétés américaines.
La Maison-Blanche, qui a déjà dans le collimateur des textes européens comme le DSA et le DMA, n’accepte pas non plus que des taxes puissent affecter ses grandes entreprises. Le nom « taxe GAFAM » n’est d’ailleurs pas un hasard, tant elle semble avoir été affutée dans ce but précis. Aux États-Unis, elle a déjà été qualifiée de « discriminatoire ».
Dans tous les cas, cette taxe cessera d’exister quand la taxe européenne harmonisée sur le numérique sera là. Mais sa gestation est complexe, notamment car sa création réclame l’unanimité des 27. Or, certains pays (notamment scandinaves) ne sont pas d’accord sur son fonctionnement. Dans sa version actuelle, elle imposerait d’un minimum de 15 % les revenus nets des entreprises, chaque pays récoltant le fruit de cette taxe selon les ventes sur son propre marché.
Le Parti socialiste a proposé le 30 aout un « contre-budget », face à celui présenté par Français Bayrou et décrit par le parti comme un « budget de souffrance ». Bien que plusieurs mesures majeures soient envisagées pour alimenter les caisses de l’État, le PS propose également de doubler la taxe sur les services numériques.
Le Parti Socialiste a profité de son université d’été à Blois pour présenter sa feuille de route budgétaire, a rapporté notamment Challenges. Le plan d’origine était de ne le dévoiler qu’en novembre, mais l’arrivée du vote de confiance de l’Assemblée nationale le 8 septembre pour François Bayrou, accélère les opérations.
Face à un plan d’austérité du Premier ministre jugé trop abrupt et qualifié de « budget de souffrance », le PS a présenté une approche plus douce et plus étalée, qui consiste à réduire la voilure également et à puiser ailleurs des sources de financement. Sans grande surprise, la principale mesure est la fameuse « taxe Zucman », du nom de l’économiste qui l’a proposée : une contribution de 2 % sur les patrimoines de plus de 100 millions d’euros. Elle pourrait rapporter 15 milliards d’euros, selon le PS.
Parmi les autres leviers envisagés, on trouve également une refonte de la fiscalité sur les dividendes et les plus-values. Elle permettrait un apport de 3,8 milliards d’euros dans les caisses de l’État. La lutte contre la fraude fiscale et sociale rapporterait 3,2 milliards d’euros. Le PS envisage en outre une taxe sur les très grandes successions, avec à la clé un autre milliard d’euros. Le passage de la dette sous les 3 % du PIB n’interviendrait qu’en 2032, contre 2029 dans les plans de François Bayrou.
Entre autres mesures plus « chocs », le PS table aussi sur un doublement de la taxe GAFAM. De son vrai nom « taxe sur les services numériques », elle consiste à taxer à hauteur de 3 % les recettes générées par le ciblage publicitaire. Elle ne concerne pas les sites de commerce en ligne ni la fourniture de services numériques (malgré son nom), pas plus que les services de communication, de paiement ou financiers.
La taxe rapporterait aujourd’hui autour de 400 millions d’euros. Depuis sa mise en place, elle a suscité de très nombreuses critiques. La principale est qu’elle s’applique presque exclusivement aux entreprises américaines, les paliers de déclenchement étant de 750 millions d’euros de chiffre d’affaires dans le monde et de 25 millions en France. Donald Trump, en représailles, avait instauré une taxe de 25 % sur les vins français et autres produits de luxe. Même en France, la Cour des Comptes critiquait l’absence d’évaluation solide de l’impact économique et une navigation « à l’aveugle » sur le dossier.
C’est justement cette taxe que le PS voudrait doubler, évoquant des recettes qui grimperaient à 800 millions d’euros. La taxe passerait donc à 6 % et pourrait avoir davantage de conséquences. Les entreprises avaient en effet répercuté tout ou partie du cout sur leurs produits.
La taxe d’origine a déjà provoqué la colère de Donald Trump à la fin de son premier mandat. Or, depuis que le magnat de l’immobilier est de retour à la Maison-Blanche, une doctrine Monroe 2.0 règne aux États-Unis. Et le président américain a été très clair : seules des lois américaines peuvent affecter des sociétés américaines.
La Maison-Blanche, qui a déjà dans le collimateur des textes européens comme le DSA et le DMA, n’accepte pas non plus que des taxes puissent affecter ses grandes entreprises. Le nom « taxe GAFAM » n’est d’ailleurs pas un hasard, tant elle semble avoir été affutée dans ce but précis. Aux États-Unis, elle a déjà été qualifiée de « discriminatoire ».
Dans tous les cas, cette taxe cessera d’exister quand la taxe européenne harmonisée sur le numérique sera là. Mais sa gestation est complexe, notamment car sa création réclame l’unanimité des 27. Or, certains pays (notamment scandinaves) ne sont pas d’accord sur son fonctionnement. Dans sa version actuelle, elle imposerait d’un minimum de 15 % les revenus nets des entreprises, chaque pays récoltant le fruit de cette taxe selon les ventes sur son propre marché.
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Réalisé dans une coque en alliage égal de magnésium et d’aluminium, le GeekBook X14 Pro de Geekom promet un bon niveau de performances dans une enveloppe minimaliste.
L’engin propose une coque de 1.69 cm d’épaisseur, 31.17 cm de large et 21.54 cm de profondeur. Ultraportable, le GeekBook X14 Pro se place tout juste sous le kilo avec 999 g. Il embarque deux puces Arrow Lake avec un Core Ultra 5 225H associée à un circuit graphique Intel Arc 130 T ou, pour le modèle le plus puissant, un Core Ultra 9 285H sous Arc 140T. Jusqu’à 32 Go de mémoire vive LPDDR5-7500 et un stockage M.2 2280 NVMe Gen4 x4 de 1 To. Dans les deux cas, le TDP maximal sera de 35 watts. Le constructeur promet une dissipation efficace et un engin silencieux qui sera adapté à de nombreuses tâches.
L’écran 14 pouces est de type OLED avec une définition de 2800 x 1880 pixels, en 16:10 et une couverture colorimétrique à 100% de la norme DCI-P3. On retrouve à bord un clavier 78 touches à rétro-éclairage blanc, un large et profond pavé tactile. Un bouton de démarrage qui embarque un lecteur d’empreintes. Une webcam 2 MP avec œilleton de confidentialité, une paire d’enceintes stéréo supportant le DTS : X Ultra et un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.4.
La batterie est une 70 Wh qui se rechargera en USB Type-C avec un chargeur GAN 65 Watts Power Delivery. Le constricteur précise que le chargeur fournira une prise USB Type-C femelle et que le câble livré fera 1.8 m. Le reste de la connectique comprend une sortie vidéo HDMI 2.0, deux USB4, un jack audio combo 3.5 mm et un port USB 3.2 Type-A. Pas de date ni de prix pour le moment pour ce GeekBook X14 Pro, des infos seront disponibles à l’IFA.
La marque annonce également le GeekBook X16 Pro sur le même modèle en version 16 pouces. Une version plus grande autour d’une dalle 2560 x 1600 pixels IPS en 100% sRGB. Ce second modèle se basera sur les mêmes puces Intel et autant de mémoire tout en proposant un double stockage avec un M.2 2280 NVMe et un second emplacement toujours en NVMe mais en M.2 2230.
Le clavier est toujours rétroéclairé et évolue vers 98 touches avec un pavé numérique. Le chargeur passe à 65 watts et le poids de la machine grimpe à 1299 g. Les dimensions de ce modèle GeekBook X16 Pro sont de 35.45 cm de large pour 24.94 cm de profondeur et 1.19 cm d’épaisseur.
Geekom GeekBook X14 Pro, un 14″ OLED sous Intel Arrow Lake © MiniMachines.net. 2025