Vue lecture

Batman généré par IA : Warner Bros attaque Midjourney pour violation de droits d’auteur

Je te croyais plus fort que ça Batman
Batman généré par IA : Warner Bros attaque Midjourney pour violation de droits d’auteur

Warner Bros, détenteur des droits de licences telles que Batman, Superman, Flash, Tom et Jerry ou Scooby-Doo, attaque à son tour l’éditeur Midjourney d‘IA générative en justice devant une cour de Californie. Le studio hollywoodien laccuse de permettre la création, et le téléchargement, d’images ou de séquences animées qui exploitent sa propriété intellectuelle.

Un Joker sardonique, des portraits de Bugs Bunny ou Daffy Duck, ou des mises en scène du Batman dessinées dans le plus pur style des comics DC Studio : les captures d’écran comparatives fournies par Warner Bros Discovery dans sa plainte semblent particulièrement éloquentes.

Partant du principe que cette ressemblance manifeste constitue une violation de sa propriété intellectuelle, le groupe américain vient d’initier une procédure en justice à l’encontre de Midjourney, éditeur de l’IA générative dédiée à l’image du même nom.

Pour Warner, Midjourney aurait pu, ou plutôt dû, bloquer

La plainte, déposée jeudi 4 septembre devant un tribunal de Californie, cherche à faire valoir que Midjourney viole sciemment les droits d’auteur de Warner Bros en commercialisant un service permettant de générer des copies des créations dont il détient les droits. Le studio avance une circonstance aggravante : Midjourney est également accusé d’utiliser la propriété intellectuelle de Warner pour assurer la promotion de ses offres.

À gauche, des sorties générées par Midjourney. À droite, des visuels issus du catalogue de la major américaine

Warner Bros Discovery fait par ailleurs valoir que Midjourney aurait pu, ou plutôt dû, exclure de ses données d’entraînement les œuvres de son catalogue. Le plaignant dispose aussi que Midjourney est en mesure de contrôler les requêtes soumises par ses utilisateurs pour filtrer ou bloquer celles qui relèvent d’une violation du droit d’auteur, de la même façon que l’IA générative le fait sur les contenus violents, sexuels ou malveillants.

« La popularité et le succès économique de Midjourney sont directement liés à la popularité de son Service et à sa capacité à reproduire, afficher et exécuter publiquement, ainsi qu’à créer des dérivés des Œuvres protégées par le droit d’auteur de Warner Bros. Discovery », argue encore le studio après avoir évoqué la croissance de Midjourney, passé, selon le plaignant, de 200 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2023 à plus de 300 millions de dollars en 2024, avec 21 millions d’abonnés en septembre 2024.

Sur la base de ces arguments, Warner réclame sans surprise des dommages et intérêts, ainsi qu’une injonction visant à mettre fin à ces supposées violations. Sa plainte et les arguments invoqués s’inscrivent dans la droite lignée de la procédure déjà initiée par Universal et Disney à l’encontre de Midjourney en juin dernier.

Midjourney invite à ne pas lire le droit d’auteur de façon trop stricte

Début 2024, Next révélait déjà la propension qu’avait Midjourney à générer des images calquées sur des personnages, des univers ou des marques existants. L’entreprise peut-elle ignorer la question ? Elle ne s’est pour l’instant pas exprimée publiquement sur les plaintes déposées à son encontre.

En remontant le dossier judiciaire de la plainte déposée en juin dernier par Disney, on trouve cependant, en date du 6 août 2025, une réponse écrite de Midjourney adressée à la cour, qui donne à voir quelques-uns des éléments de défense dont la startup fera usage en cas de procès. Et sans surprise, c’est en grande partie derrière la logique de « fair use » que se retranche Midjourney, jurisprudence à l’appui :

« Le droit d’auteur ne confère pas un contrôle absolu sur l’utilisation des œuvres protégées. Le monopole limité accordé par le droit d’auteur doit céder la place à l’usage équitable [fair use, NDR], qui protège les intérêts publics opposés à la libre circulation des idées et de l’information. Entraîner un modèle d’IA générative à comprendre des concepts en extrayant des informations statistiques intégrées dans des œuvres protégées constitue un usage équitable fondamentalement transformateur – une décision largement soutenue par les tribunaux qui ont examiné la question. »

L’éditeur fait également valoir que ses conditions d’utilisation interdisent la violation de droits d’auteur, et affirme ne pas être en mesure de présupposer ou de savoir si une image particulière porte atteinte aux droits d’auteur « en l’absence d’avis du titulaire du droit d’auteur et d’informations sur l’utilisation de l’image ».

Midjourney estime ainsi que les plaignants auraient pu, et dû, en passer par le circuit de notice and takedown (procédure de notification et de retrait de contenu illicite) mis en place conformément aux exigences du Digital Millennium Copyright Act (DMCA).

  •  

Batman généré par IA : Warner Bros attaque Midjourney pour violation de droits d’auteur

Je te croyais plus fort que ça Batman
Batman généré par IA : Warner Bros attaque Midjourney pour violation de droits d’auteur

Warner Bros, détenteur des droits de licences telles que Batman, Superman, Flash, Tom et Jerry ou Scooby-Doo, attaque à son tour l’éditeur Midjourney d‘IA générative en justice devant une cour de Californie. Le studio hollywoodien laccuse de permettre la création, et le téléchargement, d’images ou de séquences animées qui exploitent sa propriété intellectuelle.

Un Joker sardonique, des portraits de Bugs Bunny ou Daffy Duck, ou des mises en scène du Batman dessinées dans le plus pur style des comics DC Studio : les captures d’écran comparatives fournies par Warner Bros Discovery dans sa plainte semblent particulièrement éloquentes.

Partant du principe que cette ressemblance manifeste constitue une violation de sa propriété intellectuelle, le groupe américain vient d’initier une procédure en justice à l’encontre de Midjourney, éditeur de l’IA générative dédiée à l’image du même nom.

Pour Warner, Midjourney aurait pu, ou plutôt dû, bloquer

La plainte, déposée jeudi 4 septembre devant un tribunal de Californie, cherche à faire valoir que Midjourney viole sciemment les droits d’auteur de Warner Bros en commercialisant un service permettant de générer des copies des créations dont il détient les droits. Le studio avance une circonstance aggravante : Midjourney est également accusé d’utiliser la propriété intellectuelle de Warner pour assurer la promotion de ses offres.

À gauche, des sorties générées par Midjourney. À droite, des visuels issus du catalogue de la major américaine

Warner Bros Discovery fait par ailleurs valoir que Midjourney aurait pu, ou plutôt dû, exclure de ses données d’entraînement les œuvres de son catalogue. Le plaignant dispose aussi que Midjourney est en mesure de contrôler les requêtes soumises par ses utilisateurs pour filtrer ou bloquer celles qui relèvent d’une violation du droit d’auteur, de la même façon que l’IA générative le fait sur les contenus violents, sexuels ou malveillants.

« La popularité et le succès économique de Midjourney sont directement liés à la popularité de son Service et à sa capacité à reproduire, afficher et exécuter publiquement, ainsi qu’à créer des dérivés des Œuvres protégées par le droit d’auteur de Warner Bros. Discovery », argue encore le studio après avoir évoqué la croissance de Midjourney, passé, selon le plaignant, de 200 millions de dollars de chiffre d’affaires en 2023 à plus de 300 millions de dollars en 2024, avec 21 millions d’abonnés en septembre 2024.

Sur la base de ces arguments, Warner réclame sans surprise des dommages et intérêts, ainsi qu’une injonction visant à mettre fin à ces supposées violations. Sa plainte et les arguments invoqués s’inscrivent dans la droite lignée de la procédure déjà initiée par Universal et Disney à l’encontre de Midjourney en juin dernier.

Midjourney invite à ne pas lire le droit d’auteur de façon trop stricte

Début 2024, Next révélait déjà la propension qu’avait Midjourney à générer des images calquées sur des personnages, des univers ou des marques existants. L’entreprise peut-elle ignorer la question ? Elle ne s’est pour l’instant pas exprimée publiquement sur les plaintes déposées à son encontre.

En remontant le dossier judiciaire de la plainte déposée en juin dernier par Disney, on trouve cependant, en date du 6 août 2025, une réponse écrite de Midjourney adressée à la cour, qui donne à voir quelques-uns des éléments de défense dont la startup fera usage en cas de procès. Et sans surprise, c’est en grande partie derrière la logique de « fair use » que se retranche Midjourney, jurisprudence à l’appui :

« Le droit d’auteur ne confère pas un contrôle absolu sur l’utilisation des œuvres protégées. Le monopole limité accordé par le droit d’auteur doit céder la place à l’usage équitable [fair use, NDR], qui protège les intérêts publics opposés à la libre circulation des idées et de l’information. Entraîner un modèle d’IA générative à comprendre des concepts en extrayant des informations statistiques intégrées dans des œuvres protégées constitue un usage équitable fondamentalement transformateur – une décision largement soutenue par les tribunaux qui ont examiné la question. »

L’éditeur fait également valoir que ses conditions d’utilisation interdisent la violation de droits d’auteur, et affirme ne pas être en mesure de présupposer ou de savoir si une image particulière porte atteinte aux droits d’auteur « en l’absence d’avis du titulaire du droit d’auteur et d’informations sur l’utilisation de l’image ».

Midjourney estime ainsi que les plaignants auraient pu, et dû, en passer par le circuit de notice and takedown (procédure de notification et de retrait de contenu illicite) mis en place conformément aux exigences du Digital Millennium Copyright Act (DMCA).

  •  

Console portable Lenovo Legion Go 2 : elle fait envie, mais n'est pas donnée !

La Lenovo Legion Go 2 est là, c'est désormais officiel. De nombreux clichés ainsi que la majorité des caractéristiques de la console portable avaient déjà fuité depuis quelques jours, mais nous attendions l'annonce de la part de Lenovo pour avoir toutes les informations à vous communiquer, y compris...

  •  

Google Deletes Net-Zero Pledge From Sustainability Website

An anonymous reader shares a report: Google's CEO Sundar Pichai stood smiling in a leafy-green California garden in September 2020 and declared that the tech behemoth was entering the "most ambitious decade yet" in its climate action. "Today, I'm proud to announce that we intend to be the first major company to operate carbon free -- 24 hours a day, seven days a week, 365 days a year," he said, in a video announcement at the time. Pichai added that he knew the "road ahead would not be easy," but Google "aimed to prove that a carbon-free future is both possible and achievable fast enough to prevent the most dangerous impacts of climate change." Five years on, just how hard Google's "energy journey" would become is clear. In June, Google's Sustainability website proudly boasted a headline pledge to achieve net-zero emissions by 2030. By July, that had all changed. An investigation by Canada's National Observer has found that Google's net-zero pledge has quietly been scrubbed, demoted from having its own section on the site to an entry in the appendices of the company's sustainability report.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Legion Go 2 : Lenovo passe à la vitesse supérieure

Lenovo lance donc sa toute dernière Console PC à l’IFA 2025 comme une mise à jour de son précédent modèle. La Legion Go 2 reprend le même format de 8.8 pouces et semble se concentrer sur la performance et l’autonomie. Pour cela, les ingénieurs de la boite ont fait pas mal de choix techniques.

Même diagonale mais grosse nuance entre la Legion Go 2 et le modèle précédent puisqu’on passe d’un engin qui affichait un inutile 2560 x 1600 pixels IPS à un nouveau modèle qui est plus sagement revenu à du 1920 x 1080 pixels. Une dalle tactile affichant moins de pixels donc moins de boulot de calcul et moins de dépense d’énergie. On passe d’une solution IPS à de l’OLED et toujours la même stabilité de 144 Hz. Petit détail, la luminosité maximale double, passant de 500 à 1000 nits. Parfait pour jouer pendant qu’on bronze.

Pour alimenter cet écran, Lenovo a recours à un AMD Ryzen Z2 Extreme qui pour le même TDP de 15 à 30 W embarque désormais les 16 cœurs RDNA 3.5 d’un chispet Radeon 890M. Une puce construite sur 3 cœurs Zen 5 et 5 cœurs Zen 5 capable de grimper à 5 GHz. La mémoire vive pourra atteindre 32 Go de LPDDR5x-8000  et le stockage fera appel à une solution NVMe PCIe 4.0 de 2 To maximum via un module M.2 2242.

Grosse évolution sur cette Legion Go 2, la batterie. On bascule d’un modèle 49.2 Wh à du 74 Wh que l’on rechargera en 65 Watts grâce à un port USB Type-C. Le constructeur promet une charge super rapide des 4 cellules de sa machine grâce à l’adaptateur secteur fourni. La connectique propose au-dessus de la console un jack audio combo 3.5 mm, un USB4 avec DisplayPort 2.0 et Power Delivery 3.0 et un bouton de démarrage avec capteur d’empreintes. 

En dessous, on retrouve un second USB4 identique et le classique lecteur de cartes MicroSDXC. Des enceintes stéréo et un double micro seront également intégrés dans la coque. Un module Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 fera également partie de l’ensemble. 

La partie contrôle ne change pas, la formule fonctionnait bien : deux mini joysticks entourés de LEDs RGB et accompagnés d’une croix directionnelle, de boutons, de gâchettes, de boutons programmables et d’une petite zone tactile.

Ces deux éléments entoureront la partie écran et pourront se détacher du corps de la console pour se positionner sur un dock. Une des manettes continuera à se positionner sur une base pour se transformer en souris. Offrant au joueur de lancer des FPS et certains jeux de stratégie plus facilement. La précision du mode souris aidant.

On pourra aussi jouer en regroupant les deux contrôleurs en une sorte de manette sans fil. Pratique pour déporter le signal vers un écran extérieur ou mettre à recharger la manette sur sa petite béquille dépliable. Pratique en mobilité ou quand on ne veut pas porter l’engin à bout de bras trop longtemps. L’objet mesure tout de même 29.6 cm de large pour 13.7 cm de profondeur et 4.2 cm d’épaisseur. Surtout, il pèse désormais plus d’un kilo quand le précédent était à 850 g.

Dernier détail, le prix de cette nouvelle machine. Annoncée pour ce mois de septembre, la Legion Go 2 commencera sa carrière à 999€ dans sa version de base. 200€ de plus que le précédent modèle. Mais un prix assez logique puisque la marque propose à présent toute une gamme de produits sur le marché

 

Lenovo Legion Go : la console PC officiellement annoncée

Legion Go 2 : Lenovo passe à la vitesse supérieure © MiniMachines.net. 2025

  •  

ASUS débloque la DDR5-7200 sur ses cartes mères série 800 avec un Intel Core Ultra 200S

ASUS vient d'annoncer une validation officielle du support de la mémoire DDR5-7200 en mode JEDEC sur l'ensemble de sa gamme de cartes mères Intel série 800, lorsqu'elles sont couplées aux processeurs Core Ultra 200S d'Intel. Une avancée notable, puisque la norme fixée par Intel pour Arrow Lake-S se limite à la DDR5-6400. […]

Lire la suite
  •  

Uber India Starts Offering Drivers Gigs Collecting and Classifying Info For AI Models

Uber's Indian arm has started using its app to offer rideshare and delivery drivers the chance to make money by classifying data used by AI systems. From a report: Megha Yethadka, global head of Uber AI Solutions, revealed the new gigs in a Thursday LinkedIn post in which she said drivers sometimes have downtime during the day or might want to make some extra cash after hours. Yethadka said the work can involve reviewing photos, counting objects, classifying text, recording audio, or digitizing receipts. She said the gigs are "Powering our enterprise customers worldwide for their gen AI models or consumer applications." "Until now, these tasks were completed by independent contractors outside the app," Yethadka wrote. "The early results are very promising, and we're eager to scale this further." In an accompanying video, she mentioned "worldwide" expansion for the offering. Prabhjeet Singh, Uber's president for India and South Asia, said the gigs are available in 12 cities and that "tens of thousands of drivers" are already performing what Uber calls "digital tasks."

Read more of this story at Slashdot.

  •  

UK Government Trial of M365 Copilot Finds No Clear Productivity Boost

A UK government trial of Microsoft's M365 Copilot found no clear productivity gains despite user satisfaction with tasks like summarizing meetings and writing emails. While the tool sped up some routine work, it actually slowed down more complex tasks like Excel analysis and PowerPoint creation, often producing lower-quality results. The Register reports: The Department for Business and Trade received 1,000 licenses for use between October and December 2024, with the majority of these allocated to volunteers and 30 percent to randomly selected participants. Some 300 of these people consented to their data being analyzed. An evaluation of time savings, quality assurance, and productivity was then calculated in the assessment (PDF). Overall, 72 percent of users were satisfied or very satisfied with their digital assistant and voiced disappointment when the test ended. However, the reality of productivity gains was more nuanced than Microsoft's marketing materials might suggest. Around two-thirds of the employees in the trial used M365 at least once a week, and 30 percent used it at least once a day -- which doesn't sound like great value for money. [...] According to the M365 Copilot monitoring dashboard made available in the trial, an average of 72 M365 Copilot actions were taken per user. "Based on there being 63 working days during the pilot, this is an average of 1.14 M365 Copilot actions taken per user per day," the study says. Word, Teams, and Outlook were the most used, and Loop and OneNote usage rates were described as "very low," less than 1 percent and 3 percent per day, respectively. "PowerPoint and Excel were slightly more popular; both experienced peak activity of 7 percent of license holders using M365 Copilot in a single day within those applications," the study states. The three most popular tasks involved transcribing or summarizing a meeting, writing an email, and summarizing written comms. These also had the highest satisfaction levels, we're told. Participants were asked to record the time taken for each task with M365 Copilot compared to colleagues not involved in the trial. The assessment report adds: "Observed task sessions showed that M365 Copilot users produced summaries of reports and wrote emails faster and to a higher quality and accuracy than non-users. Time savings observed for writing emails were extremely small. "However, M365 Copilot users completed Excel data analysis more slowly and to a worse quality and accuracy than non-users, conflicting time savings reported in the diary study for data analysis. PowerPoint slides [were] over 7 minutes faster on average, but to a worse quality and accuracy than non-users." This means corrective action was required. A cross-section of participants was asked questions in an interview -- qualitative findings -- and they claimed routine admin tasks could be carried out with greater efficiency with M365 Copilot, letting them "redirect time towards tasks seen as more strategic or of higher value, while others reported using these time savings to attend training sessions or take a lunchtime walk." Nevertheless, M365 Copilot did not necessarily make them more productive, the assessment found. This is something Microsoft has worked on with customers to quantify the benefits and justify the greater expense of a license for M365 Copilot.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Amazon's Project Kuiper Strikes Its First Satellite Internet Deal With an Airline

Amazon's Project Kuiper has landed its first airline deal with JetBlue and plans to offer satellite-powered in-flight Wi-Fi starting in 2027. The Verge reports: Yesterday, Amazon's Panos Panay showed off a speed test using an "enterprise-grade customer terminal" (aka, dish) to achieve a download speed of just over a gigabit. Fine, but we'll have to wait to see how it performs once individuals using consumer dishes at scale. Amazon says the first customers will start using the service this year, ahead of a broader rollout in 2026. Project Kuiper-powered Wi-Fi will be available on "select" aircraft initially. Amazon says its satellites will provide lower latency and "more reliable service" for passengers, as they orbit between 367 and 391 miles above Earth -- far closer than the geostationary satellites that orbit around 22,369 miles above the planet. Amazon has also struck a deal with Airbus to build Project Kuiper's satellite internet service into its aircraft.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Air Pollution Can Drive Devastating Forms of Dementia, Research Suggests

An anonymous reader quotes a report from The Guardian: Fine-particulate air pollution can drive devastating forms of dementia by triggering the formation of toxic clumps of protein that destroy nerve cells as they spread through the brain, research suggests. Exposure to the airborne particles causes proteins in the brain to misfold into the clumps, which are hallmarks of Lewy body dementia, the second most common form of dementia after Alzheimer's disease. The finding has "profound implications" for preventing the neurodegenerative disorder, which affects millions worldwide, with scientists calling for a concerted effort to improve air quality by cutting emissions from industrial activity and vehicle exhausts, improving wildfire management and reducing wood burning in homes. The researchers began by analyzing hospital records of the 56.5 million US Medicare patients. They looked at those who were admitted for the first time between 2000 and 2014 with the protein damage. Armed with the patients' zip codes, the scientists estimated their long-term exposure to PM2.5 pollution, airborne particles that are smaller than 2.5 thousandths of a millimeter. These can be inhaled deep into the lungs and are found in the bloodstream, brain and other organs. They found that long-term exposure to PM2.5 raised the risk of Lewy body dementia, but had less of an impact on rates of another neurodegenerative brain disease that is not driven by the toxic proteins. Lewy bodies are made from a protein called alpha-synuclein. The protein is crucial for healthy brain functioning, but can misfold in various ways to produce different kinds of harmful Lewy bodies. These can kill nerve cells and cause devastating disease by spreading through the brain. To see if air pollution could trigger Lewy bodies, the team exposed mice to PM2.5 pollution every other day for 10 months. Some were normal mice, but others were genetically modified to prevent them making alpha-synuclein. The results were striking: in normal mice, nerve cells died off, leading to brain shrinkage and cognitive decline. The genetically modified mice were largely unaffected. Further work in mice showed that PM2.5 pollution drove the formation of aggressive, resilient and toxic clumps of alpha-synuclein clumps that looked very similar to Lewy bodies in humans. Although the work is in mice, the findings are considered compelling evidence. The work has been published in the journal Science.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Comment la Côte d’Azur se prépare à doper ses services publics à l’IA

SophIA Antipolis 4.0
Comment la Côte d’Azur se prépare à doper ses services publics à l’IA

Le syndicat mixte des collectivités et établissements publics de la région de Sophia-Antipolis ouvre la voie à la réalisation de 120 millions d’euros de projets liés à l’intelligence artificielle sur dix ans en direction de ses adhérents. Une façon d’anticiper les besoins futurs des services publics, tout en réaffirmant l’ambition locale en la matière, sur un territoire que ses élus aimeraient voir s’imposer comme la Silicon Valley française grâce à l’IA.

Les récents débats relatifs à la souveraineté technologique l’ont rappelé : la commande publique est un levier puissant, aussi bien en matière de développement économique que d’attractivité d’un territoire. Cette logique sous-tend d’ailleurs le fonctionnement d’un certain nombre d’opérateurs publics spécialisés dans les services numériques.

C’est le cas par exemple du Sictiam (Syndicat mixte d’ingénierie pour les collectivités et territoires innovants des Alpes et de la Méditerranée), qui compte parmi ses adhérents quelque 475 collectivités et établissements publics de la Côte d’Azur, et multiplie depuis quelques mois les initiatives en matière d’intelligence artificielle.

120 millions d’euros sur dix ans ?

La dernière en date consiste à référencer l’ensemble des fournisseurs qui pourraient équiper les services publics de cette partie de la région PACA en outils, services et technologies d’intelligence artificielle. Le Sictiam a pour ce faire voté en juin dernier une délibération qui a depuis donné lieu à l’ouverture d’un marché public d’un genre un peu particulier : un système d’acquisition dynamique (SAD), dont le cahier des clauses générales prévoit une très grande variété de scénarios d’usage.

Ces derniers se répartissent dans neuf domaines d’applications, avec pour chacun d’entre eux une enveloppe financière théorique qui illustre à quel niveau, dans l’esprit du pouvoir adjudicateur, les différents services publics pourraient s’emparer de l’IA au cours des prochaines années. C’est la santé qui se voit la plus richement dotée, devant la performance administrative et l’aide « à la décision territoriale ». À ce stade, ces montants n’ont cependant qu’une valeur purement indicative.

Extrait du cahier des clauses générales – capture Next

Il reste 66% de l'article à découvrir.
Vous devez être abonné•e pour lire la suite de cet article.
Déjà abonné•e ? Générez une clé RSS dans votre profil.

  •  

Test Edifier MR5 : de la tri-amplification pour le meilleur son ?

Terminons cette semaine avec du son, du gros son même : place aux enceintes Edifier MR5 au format bibliothèque avec un petit plus : une conception à trois voies. A 249 U+20AC, une nouvelle référence pour de nombreux domaines ? Possible, possible... Voyons tout ça de suite, ici : Edifier MR5 ou sur la source. […]

Lire la suite
  •  

LED RGB : Sony prépare la contre-attaque de la Mini-LED !

Beaucoup moins impliqué dans l'OLED que LG ou Samsung, Sony s'apprête à faire revenir sur le marché une technologie avec laquelle le fabricant avait déjà un peu joué à partir de 2004 : la LED RGB ! À l'époque, Sony avait lancé quelques téléviseurs équipés des "Triluminos", mais cela avait principale...

  •