Maintenant que nous avons vu ce qu’était un serveur, attaquons-nous à la baie informatique. En version courte, une baie est une « armoire technique » dans laquelle on vient installer – dans le jargon, on parle aussi de « racker » – des serveurs.
Vous avez déjà certainement entendu parler de racks ou de baies quand il est question de datacenter ? Dans la deuxième partie de notre dossier sur les datacenters, on vous explique leur fonctionnement. Les baies sont importantes, car c’est un peu l’unité de base des datacenters.
La baie (ou rack) sert à fournir le gite et le couvert aux machines, avec des arrivées électriques et des fibres optiques. Elle peut accueillir jusqu’à plusieurs dizaines de serveurs selon les configurations.
Le « U » règne en maitre dans les baies
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Au mois de juillet 2025, nous vous avions présenté le rapport de l'International Data Corporation (IDC) sur les ventes mondiales de PC au 2e trimestre 2025. Nous allons faire de même en ce mois d'octobre avec les chiffres du 3e trimestre 2025, d'autant que ce fut globalement une période de regain de...
Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook rassemblant des personnes signalant la présence de la police de l’immigration. L’entreprise de Mark Zuckerberg a pris cette décision sous la pression de l’administration de Donald Trump.
Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook qui rassemblait des personnes de Chicago signalant la présence de la police de l’immigration (ICE) dans les quartiers de la ville. Cette décision intervient après le retrait par Google et Apple d’applications de signalement du même style dans leurs magasins d’applications.
Pression de l’administration Trump et liens d’intérêt
La procureure générale des États-Unis, Pamela Bondi, a annoncé sur X cette suppression en précisant qu’elle faisait « suite à une intervention du département de la Justice » » étatsunien. Elle affirme qu’une « vague de violence contre l’ICE a été alimentée par des applications en ligne et des campagnes sur les réseaux sociaux visant à mettre en danger les agents de l’ICE simplement parce qu’ils font leur travail ».
L’entreprise de Mark Zuckerberg a confirmé à nos confrères d’ArsTechnica cette suppression. Le responsable de la communication de l’entreprise, Francis Brennan, leur a répondu que le groupe « a été supprimé pour avoir enfreint [leurs] politiques contre les attaques coordonnées » et en renvoyant vers la page correspondante sans plus de précision. ArsTechnica rappelle que Francis Brennan a été le responsable de la campagne de Donald Trump en 2020 et a été embauché par Meta en janvier dernier (dès le début de son second mandat).
Pas d’appel à la violence recensé
L’intervention du département de la Justice étatsunienne suit, de fait, la demande de la militante d’extrême droite Laura Loomer. Celle-ci a publié un message sur X, il y a quelques jours, concernant la page Facebook « ICE Sighting-Chicagoland ». Elle y affirmait que le groupe « fournit des informations actualisées sur les lieux des raids de l’ICE et la localisation des agents de l’ICE dans la région de Chicago » sans pour autant citer aucun message appelant à la violence. Elle s’est d’ailleurs félicitée un peu plus tard que le département de la Justice ait contacté Facebook.
C’est pourtant bien la violence contre les agents de l’ICE qui est invoquée par l’administration Trump comme par Meta pour justifier la fermeture de ce groupe. Récemment, la Maison-Blanche a affirmé qu’il y avait eu une « augmentation de plus de 1 000 % des agressions contre les agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) depuis le 21 janvier 2025, par rapport à la même période l’année dernière ». Mais le média public étatsunien NPR relativise cette affirmation : « bien que le nombre d’agressions contre des agents de l’ICE ait augmenté, aucune information publique ne montre qu’il ait connu une hausse aussi spectaculaire que le prétend le gouvernement fédéral ».
Selon l’agence de presse AP, si cette page concernant Chicago a été supprimée, des dizaines d’autres groupes rassemblant des milliers d’utilisateurs sont encore visibles sur Facebook.
Rappelons que Donald Trump a publié dès le 20 janvier dernier, soit quelques jours après son investiture, un décret affirmant « restaurer la liberté d’expression et mettre fin à la censure fédérale ».
Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook rassemblant des personnes signalant la présence de la police de l’immigration. L’entreprise de Mark Zuckerberg a pris cette décision sous la pression de l’administration de Donald Trump.
Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook qui rassemblait des personnes de Chicago signalant la présence de la police de l’immigration (ICE) dans les quartiers de la ville. Cette décision intervient après le retrait par Google et Apple d’applications de signalement du même style dans leurs magasins d’applications.
Pression de l’administration Trump et liens d’intérêt
La procureure générale des États-Unis, Pamela Bondi, a annoncé sur X cette suppression en précisant qu’elle faisait « suite à une intervention du département de la Justice » » étatsunien. Elle affirme qu’une « vague de violence contre l’ICE a été alimentée par des applications en ligne et des campagnes sur les réseaux sociaux visant à mettre en danger les agents de l’ICE simplement parce qu’ils font leur travail ».
L’entreprise de Mark Zuckerberg a confirmé à nos confrères d’ArsTechnica cette suppression. Le responsable de la communication de l’entreprise, Francis Brennan, leur a répondu que le groupe « a été supprimé pour avoir enfreint [leurs] politiques contre les attaques coordonnées » et en renvoyant vers la page correspondante sans plus de précision. ArsTechnica rappelle que Francis Brennan a été le responsable de la campagne de Donald Trump en 2020 et a été embauché par Meta en janvier dernier (dès le début de son second mandat).
Pas d’appel à la violence recensé
L’intervention du département de la Justice étatsunienne suit, de fait, la demande de la militante d’extrême droite Laura Loomer. Celle-ci a publié un message sur X, il y a quelques jours, concernant la page Facebook « ICE Sighting-Chicagoland ». Elle y affirmait que le groupe « fournit des informations actualisées sur les lieux des raids de l’ICE et la localisation des agents de l’ICE dans la région de Chicago » sans pour autant citer aucun message appelant à la violence. Elle s’est d’ailleurs félicitée un peu plus tard que le département de la Justice ait contacté Facebook.
C’est pourtant bien la violence contre les agents de l’ICE qui est invoquée par l’administration Trump comme par Meta pour justifier la fermeture de ce groupe. Récemment, la Maison-Blanche a affirmé qu’il y avait eu une « augmentation de plus de 1 000 % des agressions contre les agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) depuis le 21 janvier 2025, par rapport à la même période l’année dernière ». Mais le média public étatsunien NPR relativise cette affirmation : « bien que le nombre d’agressions contre des agents de l’ICE ait augmenté, aucune information publique ne montre qu’il ait connu une hausse aussi spectaculaire que le prétend le gouvernement fédéral ».
Selon l’agence de presse AP, si cette page concernant Chicago a été supprimée, des dizaines d’autres groupes rassemblant des milliers d’utilisateurs sont encore visibles sur Facebook.
Rappelons que Donald Trump a publié dès le 20 janvier dernier, soit quelques jours après son investiture, un décret affirmant « restaurer la liberté d’expression et mettre fin à la censure fédérale ».
While the open-source GCC and LLVM/Clang compilers saw Panther Lake support added in early 2024, only overnight was support upstreamed to GCC and Clang for the similar Wildcat Lake target...
In development for around the past year was the cross-vendor mesh shading extension for OpenGL. Last week GL_EXT_mesh_shader was merged to the OpenGL Registry for this mesh shader support and first new GL extension in a while...
Avec un léger retard à l’allumage qui a suscité, par extension, quelques interrogations quant à l’avenir des GPU dédiés d’Intel, la firme a finalement clarifié, un peu, sa feuille de route. Tandis que les Panther Lake embarquent des cœurs Xe3, les Nova Lake-S recevront pour leur part des Xe3P... [Tout lire]
Pourtant proposés avec une réduction active du bruit ambiant, les Nothing CMF Buds 2a sont l’entrée de gamme de la marque. Cela ne veut pas dire bas de gamme. Pour les avoir testés, ce sont à la fois des écouteurs confortables, efficaces en réduction de bruit et plutôt très autonomes.
On n’est clairement pas sur la même gamme de produits que les Sony WF-1000XM5 à 249€,Bose QuietComfort Ultra à 299€ ou autre casque encore plus haut de gamme. La réponse acoustique du Nothing est en dessous. Mais le principal est bien présent et la réduction de bruit très performante. Comme je le répète souvent, ce type de casque doit correspondre à votre profil d’usage. S’il s’agit de vous accompagner dans la rue, à moins de porter un vrai casque anti-bruit sur la tête en plus de vos intras, le fait de ne pas être d’une acoustique Hi-Fi parfaite n’est pas un véritable problème. Même avec le casque le plus fin et le plus cher au monde, vous entendrez un poids lourd passer ou un bruit perçant. L’idée d’avoir un rendu sonore merveilleusement équilibré ne vaut que dans un cadre spécifique que vous pourrez contrôler.
Les Nothing CMF Buds 2a ne sortent donc pas de ce cadre, ce sont d’excellents écouteurs intra pour des déplacements, pour bosser en Open Space ou pour jouer et écouter de la musique ou un film chez soi. Pas des modèles « signature » qui vont rendre grâce à votre album préféré avec la même présence de détail qu’un casque audiophile à 500€. La différence est d’ailleurs également là. Prendrez-vous les transports avec votre casque à 500€ ?
D’un point de vie simplement technique : ils sont très légers, avec pourtant une bonne autonomie (7 à 8 heures d’écoute par charge) et surtout un boitier de recharge qui proposera non seulement plus de 35 heures d’autonomie au global, mais permettra de retrouver plusieurs heures d’écoute en glissant vos intras 10 minutes dessus.
Les CMF Buds 2a résistent à la pluie, permettent le passage d’appels avec 4 micros et la techno Clear Voice qui marche plutôt pas mal. Ils proposent une réduction active du bruit à 42 dB, se connectent en Bluetooth 5.4. Ils ont une latence minimale, ce qui les rend exploitables en jeu et pour suivre films et séries sans désynchronisation entre l’image et le son. Cerise sur le gâteau, leur design global est assez réussi. L’application livrée est assez classique mais je ne m’en suis jamais vraiment servi.
Mon positionnement sur ce produit est clair : pas confiance dans un casque « noname » à 15€ : optez pour un CMF Buds 2a à 30€. Pas envie de dépenser 200€ sur un modèle de grande marque : optez pour un CMF Buds 2a à 30€. Peur de perdre un casque trop cher ? Le CMF Buds 2a dans cette livrée noire est super accessible. D’ailleurs, d’habitude, il n’est pas vendu pas beaucoup plus cher, son prix public est de 49.90€ mais on le trouve régulièrement à 40€. Et à ce tarif, je donne déjà le même conseil à des amis. Alors à 30.30€ sur Amazon, n’hésitez pas si vous êtes à la recherche d’un intra sobre, bien construit et efficace.
Il y a près d’un an, Jeff Bezos empêchait le Washington Post, dont il est propriétaire, de diffuser son traditionnel article de soutien à l’un des candidats à l’élection présidentielle – l’article, en l’occurrence, visait à soutenir Kamala Harris. Dans les jours qui suivaient, le média perdait 250 000 abonnés.
Un an plus tard, la pente descendante n’a fait que s’accentuer, observe le Washington CityPaper. Pour la première fois en 55 ans, le lectorat du Washington Post est tombé sous la barre des 100 000 abonnés pour atteindre 97 000 lectrices et lecteurs payants de l’édition papier, et 160 000 les dimanches.
À titre de comparaison, le média vendait 250 000 éditions par jour en 2020, époque à laquelle il faisait partie des médias papier les plus lus des États-Unis. Le New York Times, lui, déclarait 600 000 abonnés papier en août 2025 (en baisse par rapport aux 620 000 affichés en 2023).
Si le nombre d’abonnés purement numériques du Washington Post n’est pas public (le New-York Times affiche un total de 11,9 millions d’abonnés), les activités du média ont été directement touchées par l’entrisme de son propriétaire dans sa ligne éditoriale.
En janvier 2025, la dessinatrice et prix Pulitzer Ann Telnaes avait notamment démissionné après s’être vue refuser la publication d’un dessin représentant Jeff Bezos ployant le genou devant Donald Trump.
En février, le responsable de la rubrique opinions David Shipley l’avait suivie, après que le patron d’Amazon avait donné pour consigne de ne plus y publier que des points de vue soutenant et défendant « deux piliers : les libertés personnelles et les marchés libres ».
Début 2025, des méga-feux se sont abattus sur Los Angeles, favorisés par la sécheresse des mois précédents et par un épisode de vents particulièrement violents.
Alors que la région est affligée par des « méga-sécheresses » (des épisodes d’aridité de plus de trente ans), l’État de Californie vient de passer une série de lois visant à encadrer l’usage de l’eau. Seul domaine épargné, relève le Los Angeles Times : celui des centres de données.
Parmi les textes adoptés par le gouverneur Newsom, l’obligation d’accentuer l’usage d’eau recyclée, pour faire face aux sécheresses, celle de déployer des objectifs de long terme (15 ans) dans la gestion des ressources en eau pour le département dédié de l’État, ou encore de nouvelles protections pour les petits exploitants.
Un veto qu’il explique (.pdf) par l’explosion de l’intelligence artificielle, dont le fonctionnement entraîne une « demande sans précédent de capacités de centres de données dans tout le pays ».
Gavin Newsom se déclare « réticent à imposer des exigences rigides en termes de rapports sur les détails opérationnels » du secteur des centres de données, alors que la Californie est un « centre mondial du secteur technologique », bien placée pour « soutenir le développement de l’infrastructure » nécessaire à l’IA.
À l’hiver 2025, le rôle de l’industrie des centres de données dans la consommation de l’eau dans plusieurs États arides des États-Unis avait suscité des débats.
Quelques mois plus tard, Bloomberg démontrait que les deux tiers des bâtiments en construction depuis 2022 l’étaient dans des lieux en situation de stress hydrique. Une tendance similaire à ce qui est observé à l’échelle de la planète.
Il y a près d’un an, Jeff Bezos empêchait le Washington Post, dont il est propriétaire, de diffuser son traditionnel article de soutien à l’un des candidats à l’élection présidentielle – l’article, en l’occurrence, visait à soutenir Kamala Harris. Dans les jours qui suivaient, le média perdait 250 000 abonnés.
Un an plus tard, la pente descendante n’a fait que s’accentuer, observe le Washington CityPaper. Pour la première fois en 55 ans, le lectorat du Washington Post est tombé sous la barre des 100 000 abonnés pour atteindre 97 000 lectrices et lecteurs payants de l’édition papier, et 160 000 les dimanches.
À titre de comparaison, le média vendait 250 000 éditions par jour en 2020, époque à laquelle il faisait partie des médias papier les plus lus des États-Unis. Le New York Times, lui, déclarait 600 000 abonnés papier en août 2025 (en baisse par rapport aux 620 000 affichés en 2023).
Si le nombre d’abonnés purement numériques du Washington Post n’est pas public (le New-York Times affiche un total de 11,9 millions d’abonnés), les activités du média ont été directement touchées par l’entrisme de son propriétaire dans sa ligne éditoriale.
En janvier 2025, la dessinatrice et prix Pulitzer Ann Telnaes avait notamment démissionné après s’être vue refuser la publication d’un dessin représentant Jeff Bezos ployant le genou devant Donald Trump.
En février, le responsable de la rubrique opinions David Shipley l’avait suivie, après que le patron d’Amazon avait donné pour consigne de ne plus y publier que des points de vue soutenant et défendant « deux piliers : les libertés personnelles et les marchés libres ».
Début 2025, des méga-feux se sont abattus sur Los Angeles, favorisés par la sécheresse des mois précédents et par un épisode de vents particulièrement violents.
Alors que la région est affligée par des « méga-sécheresses » (des épisodes d’aridité de plus de trente ans), l’État de Californie vient de passer une série de lois visant à encadrer l’usage de l’eau. Seul domaine épargné, relève le Los Angeles Times : celui des centres de données.
Parmi les textes adoptés par le gouverneur Newsom, l’obligation d’accentuer l’usage d’eau recyclée, pour faire face aux sécheresses, celle de déployer des objectifs de long terme (15 ans) dans la gestion des ressources en eau pour le département dédié de l’État, ou encore de nouvelles protections pour les petits exploitants.
Un veto qu’il explique (.pdf) par l’explosion de l’intelligence artificielle, dont le fonctionnement entraîne une « demande sans précédent de capacités de centres de données dans tout le pays ».
Gavin Newsom se déclare « réticent à imposer des exigences rigides en termes de rapports sur les détails opérationnels » du secteur des centres de données, alors que la Californie est un « centre mondial du secteur technologique », bien placée pour « soutenir le développement de l’infrastructure » nécessaire à l’IA.
À l’hiver 2025, le rôle de l’industrie des centres de données dans la consommation de l’eau dans plusieurs États arides des États-Unis avait suscité des débats.
Quelques mois plus tard, Bloomberg démontrait que les deux tiers des bâtiments en construction depuis 2022 l’étaient dans des lieux en situation de stress hydrique. Une tendance similaire à ce qui est observé à l’échelle de la planète.
David Rosca at AMD continues leading the efforts for improving the open-source Radeon video acceleration support under Linux with the Mesa Gallium3D code. This is especially important now that AMD is encouraging customers to no longer use the AMD Multimedia Framework (AMF) on Linux but resort to using VA-API and the Mesa multimedia capabilities instead...
A new release of exfatprogs is now available as the user-space programs on Linux for the exFAT file-system to complement the in-tree kernel driver for the Microsoft exFAT support...
Petit DAP à la Ferme en ce milieu de matinée avec le modèle AP80 PRO MAX signé Linsoul et Hidizs. Un écran un peu plus grand que son prédécesseur, une grosse puissance de sortie, une interface claire, du WiFi, que demander de plus ? Découvrons ça avec le tarif de 219 U+20AC en tête, ici : Hidizs x Linsoul AP80 PRO MAX ou sur la source.
[…]
Empêtré dans quelques polémiques par rapport au contenu et à la gestion des clans via des DLC, Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2 avance bon an mal an et dévoile les configurations qu'il faudra pour en profiter. Et bonne surprise, pas besoin d'un monstre pour profiter du jeu sur la configuration recommandée.
Reste maintenant à voir comment Paradox va gérer tous les DLC initialement attendus. Il y a du travail jusqu'au 21 octobre pour reconquérir les fans !
[…]
Le jeu Project Motor Racing, annoncé pour le quatrième trimestre 2025, s'annonce comme une simulation et le fils spirituel du légendaire GTR, rien que cela !
À la tête du projet, on retrouve un certain Ian Bell, à qui on doit les titres Need for Speed: Shift et Project CARS...Project Motor Racing véhicule toute la passion, la beauté et l'intensité du sport automobile professionnel.
Le nec plus ultra
Traversez les époques au volant de 72 voitures reproduites avec minutie, dans 10 catégories emblématiques et sur 28 circuits mondiaux.
* Voitures : des hypercars LMDh radicales d'aujourd'hui aux plus grandes légendes de l'histoire, chaque véhicule est un pur chef-d'uvre
* Circuits : numérisés dans les moindres détails, pour une précision et une authenticité ultime
Accessible à tous
Aussi bien adapté aux sim racers aguerris qu'aux pilotes en herbe, Project Motor Racing propose :
* Une carrière solo
* Des modes de course en ligne
* Des événements en jeu
* Une expérience de course exceptionnelle
Une simulation de pointe
* Un rendu physique précis : le nouveau moteur physique offre un réalisme inégalé en matière de maniabilité et de retour de force
* Un moteur physique d'avant-garde basé sur le GIANTS Engine 10 facilitant les mods
* Un programme de test par des pilotes : la maniabilité de chaque voiture a été testée avec soin et approuvée par les marques partenaires et des centaines de pilotes professionnels du monde entier pour garantir une précision de conduite authentique.
* Un design audio immersif : l'ambiance sonore intense du sport automobile, capturée comme jamais
Ressentez chaque seconde
* Des postes de pilotage "vivants" avec des forces G visibles, les effets de chaleur, etc.
* True2Track
- Des conditions météo dynamiques
- Des lignes de course et de séchage évolutives
- Un cycle jour/nuit de 24 heures
* Triple écran et VR (sur PC)
[…]
The Free Software Foundation (FSF) has launched the LibrePhone Project, an initiative to create a fully free and open-source mobile operating system that eliminates proprietary firmware and binary blobs. From the FSF: "Librephone is a new initiative by the FSF with the goal of bringing full freedom to the mobile computing environment. The vast majority of software users around the world use a mobile phone as their primary computing device. After forty years of advocacy for computing freedom, the FSF will now work to bring the right to study, change, share, and modify the programs users depend on in their daily lives to mobile phones.
...
Practically, Librephone aims to close the last gaps between existing distributions of the Android operating system and software freedom. The FSF has hired experienced developer Rob Savoye (DejaGNU, Gnash, OpenStreetMap, and more) to lead the technical project. He is currently investigating the state of device firmware and binary blobs in other mobile phone freedom projects, prioritizing the free software work done by the not entirely free software mobile phone operating system LineageOS." The project site can be found here.
L’éditeur, racheté à grands frais par Broadcom (avec de nombreuses conséquences et frictions), continue de proposer de nouvelles versions pour les clients de virtualisation que sont Workstation (pour Windows et Linux) et Fusion (pour macOS). Consécutivement au rachat, les deux logiciels sont d’ailleurs devenus gratuits.
De nouvelles versions sont apparues hier soir. Elles laissent tomber les anciennes nomenclatures pour adopter une autre approche. Les moutures fraichement sorties sont ainsi nommées 25H2, reprenant la même convention que les versions de Windows : la première moitié indique l’année, la seconde le semestre.
Pour les deux clients, nombre de nouveautés sont communes. L’une des plus importantes est la disponibilité de profil matériel v22, qui fait notamment du NVME 1.3c (qui date de 2018) le contrôleur par défaut dans les machines virtuelles. On note aussi l’arrivée du PCI passthrough, du support de l’USB 3.2 ainsi qu’une meilleure compatibilité avec Direct3D 11 et OpenGL 4.0.
Workstation 25H2 sur Windows 11
On note aussi l’apparition de l’outil dictTool. S’utilisant en ligne de commande, il permet d’examiner et modifier les fichiers de configuration VMware, notamment les vmx et les fichiers stockant les préférences des utilisateurs. Le nouvel outil a sa propre documentation.
Comme toujours, Workstation élargit le support matériel, avec la prise en charge des processeurs Lunar Lake, Arrow Lake et Meteor Lake d’Intel. La nouvelle mouture introduit également la détection Hyper-V/WHP sur Windows, afin d’adapter le fonctionnement des machines virtuelles si ces technologies sont activées.
Les moutures 25H2 en profitent pour augmenter la liste des systèmes invités pris en charge officiellement, en ajoutant Red Hat Enterprise Linux 10, Fedora Linux 42, openSUSE Leap 16.0, Debian 13, Oracle Linux 10 et VMware ESX 9.0. Cela ne signifie pas que les autres ne fonctionneront pas, simplement que leur support sera peut-être moins bon.
VMware Workstation et Fusion 25H2 peuvent être téléchargés depuis le site de Broadcom. Un compte est nécessaire et la navigation dans ce site est particulièrement complexe et peu intuitive.
Instagram va limiter l’accès des mineurs à différents type de contenus, notamment ceux liés à de la consommation d’alcool, de stupéfiants, ou renvoyant vers des sites pornographiques.
Propriété de Meta, l’entreprise indique s’inspirer des classifications mises en place par l’industrie cinématographique pour choisir quels types de contenus peuvent être limités dans leur diffusion à des publics adolescents.
Dans les années 1960, risquant une régulation gouvernementale, l’industrie du film avait en effet volontairement mis au point son système dit « PG-13 » (pour parental guidance, accompagnement des parents recommandé), plus ou moins équivalent aux indications - 12,- 16 et - 18 ans appliquées en France par la commission de classification des œuvres cinématographiques.
En pratique, Instagram prévoit d’imposer une limite d’âge : si des comptes publient régulièrement des contenus jugés inappropriés pour les mineurs, alors leur audience auprès des adolescents se verra restreinte.
Flock
Ne partager un contenu de ce type qu’une seule fois ne suffira pas à se voir coupé de l’audience adolescente, indique encore l’entreprise, sans donner plus de détails. Instagram bloquera par ailleurs la recherche d’une série de termes liés à des contenus pour adultes aux utilisateurs mineurs.
Pour ce faire, elle s’appuiera sur les données qu’elle a sur les comptes des internautes – depuis septembre 2024, les moins de 18 ans ont été basculés sur des comptes spécifiques, permettant à l’entreprise de mieux maîtriser sa diffusion de contenus.
Mais ce système a ses propres défauts, dans la mesure où les adolescents trichent régulièrement au moment de donner leur âge à l’entreprise. Au Royaume-Uni, un sondage de l’Ofcom montrait par exemple en 2024 que 22 % des jeunes de 17 ans avaient indiqué avoir 18 ans ou plus sur leurs plateformes sociales.
Auprès de NBC News, Meta indique avoir des dispositifs en place pour repérer les comptes d’adultes dont il est probable que les pratiques soient plutôt celles de mineurs, mais ne donne pas de détails précis.
L’annonce d’Instagram se fait dans un contexte de redoublement des critiques sur les risques auxquels les plus jeunes sont exposés en recourant aux plateformes de Meta, que ce soit dans ses outils de réalité virtuelle, dans leurs interactions avec les systèmes d’IA de l’entreprise, ou ailleurs.