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C‘est quoi une baie (ou un rack) informatique ?

Rack me if you can
C‘est quoi une baie (ou un rack) informatique ?

Maintenant que nous avons vu ce qu’était un serveur, attaquons-nous à la baie informatique. En version courte, une baie est une « armoire technique » dans laquelle on vient installer – dans le jargon, on parle aussi de « racker » – des serveurs.

Vous avez déjà certainement entendu parler de racks ou de baies quand il est question de datacenter ? Dans la deuxième partie de notre dossier sur les datacenters, on vous explique leur fonctionnement. Les baies sont importantes, car c’est un peu l’unité de base des datacenters.

La baie (ou rack) sert à fournir le gite et le couvert aux machines, avec des arrivées électriques et des fibres optiques. Elle peut accueillir jusqu’à plusieurs dizaines de serveurs selon les configurations.

Le « U » règne en maitre dans les baies


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Les ventes de PC augmentent avec la fin du support de Windows 10, mais Dell ne sort pas la tête de l'eau...

Au mois de juillet 2025, nous vous avions présenté le rapport de l'International Data Corporation (IDC) sur les ventes mondiales de PC au 2e trimestre 2025. Nous allons faire de même en ce mois d'octobre avec les chiffres du 3e trimestre 2025, d'autant que ce fut globalement une période de regain de...

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Aux États-Unis, Facebook supprime un groupe signalant la police de l’immigration

Yo VIP, let's kick it ! ICE, ICE baby
Aux États-Unis, Facebook supprime un groupe signalant la police de l’immigration

Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook rassemblant des personnes signalant la présence de la police de l’immigration. L’entreprise de Mark Zuckerberg a pris cette décision sous la pression de l’administration de Donald Trump.

Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook qui rassemblait des personnes de Chicago signalant la présence de la police de l’immigration (ICE) dans les quartiers de la ville. Cette décision intervient après le retrait par Google et Apple d’applications de signalement du même style dans leurs magasins d’applications.

Pression de l’administration Trump et liens d’intérêt

La procureure générale des États-Unis, Pamela Bondi, a annoncé sur X cette suppression en précisant qu’elle faisait « suite à une intervention du département de la Justice » » étatsunien. Elle affirme qu’une « vague de violence contre l’ICE a été alimentée par des applications en ligne et des campagnes sur les réseaux sociaux visant à mettre en danger les agents de l’ICE simplement parce qu’ils font leur travail ».

L’entreprise de Mark Zuckerberg a confirmé à nos confrères d’ArsTechnica cette suppression. Le responsable de la communication de l’entreprise, Francis Brennan, leur a répondu que le groupe « a été supprimé pour avoir enfreint [leurs] politiques contre les attaques coordonnées » et en renvoyant vers la page correspondante sans plus de précision. ArsTechnica rappelle que Francis Brennan a été le responsable de la campagne de Donald Trump en 2020 et a été embauché par Meta en janvier dernier (dès le début de son second mandat).

Pas d’appel à la violence recensé

L’intervention du département de la Justice étatsunienne suit, de fait, la demande de la militante d’extrême droite Laura Loomer. Celle-ci a publié un message sur X, il y a quelques jours, concernant la page Facebook « ICE Sighting-Chicagoland ». Elle y affirmait que le groupe « fournit des informations actualisées sur les lieux des raids de l’ICE et la localisation des agents de l’ICE dans la région de Chicago » sans pour autant citer aucun message appelant à la violence. Elle s’est d’ailleurs félicitée un peu plus tard que le département de la Justice ait contacté Facebook.

C’est pourtant bien la violence contre les agents de l’ICE qui est invoquée par l’administration Trump comme par Meta pour justifier la fermeture de ce groupe. Récemment, la Maison-Blanche a affirmé qu’il y avait eu une « augmentation de plus de 1 000 % des agressions contre les agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) depuis le 21 janvier 2025, par rapport à la même période l’année dernière ». Mais le média public étatsunien NPR relativise cette affirmation : « bien que le nombre d’agressions contre des agents de l’ICE ait augmenté, aucune information publique ne montre qu’il ait connu une hausse aussi spectaculaire que le prétend le gouvernement fédéral ».

Selon l’agence de presse AP, si cette page concernant Chicago a été supprimée, des dizaines d’autres groupes rassemblant des milliers d’utilisateurs sont encore visibles sur Facebook.

Rappelons que Donald Trump a publié dès le 20 janvier dernier, soit quelques jours après son investiture, un décret affirmant « restaurer la liberté d’expression et mettre fin à la censure fédérale ».

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Aux États-Unis, Facebook supprime un groupe signalant la police de l’immigration

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Aux États-Unis, Facebook supprime un groupe signalant la police de l’immigration

Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook rassemblant des personnes signalant la présence de la police de l’immigration. L’entreprise de Mark Zuckerberg a pris cette décision sous la pression de l’administration de Donald Trump.

Meta a supprimé la page d’un groupe Facebook qui rassemblait des personnes de Chicago signalant la présence de la police de l’immigration (ICE) dans les quartiers de la ville. Cette décision intervient après le retrait par Google et Apple d’applications de signalement du même style dans leurs magasins d’applications.

Pression de l’administration Trump et liens d’intérêt

La procureure générale des États-Unis, Pamela Bondi, a annoncé sur X cette suppression en précisant qu’elle faisait « suite à une intervention du département de la Justice » » étatsunien. Elle affirme qu’une « vague de violence contre l’ICE a été alimentée par des applications en ligne et des campagnes sur les réseaux sociaux visant à mettre en danger les agents de l’ICE simplement parce qu’ils font leur travail ».

L’entreprise de Mark Zuckerberg a confirmé à nos confrères d’ArsTechnica cette suppression. Le responsable de la communication de l’entreprise, Francis Brennan, leur a répondu que le groupe « a été supprimé pour avoir enfreint [leurs] politiques contre les attaques coordonnées » et en renvoyant vers la page correspondante sans plus de précision. ArsTechnica rappelle que Francis Brennan a été le responsable de la campagne de Donald Trump en 2020 et a été embauché par Meta en janvier dernier (dès le début de son second mandat).

Pas d’appel à la violence recensé

L’intervention du département de la Justice étatsunienne suit, de fait, la demande de la militante d’extrême droite Laura Loomer. Celle-ci a publié un message sur X, il y a quelques jours, concernant la page Facebook « ICE Sighting-Chicagoland ». Elle y affirmait que le groupe « fournit des informations actualisées sur les lieux des raids de l’ICE et la localisation des agents de l’ICE dans la région de Chicago » sans pour autant citer aucun message appelant à la violence. Elle s’est d’ailleurs félicitée un peu plus tard que le département de la Justice ait contacté Facebook.

C’est pourtant bien la violence contre les agents de l’ICE qui est invoquée par l’administration Trump comme par Meta pour justifier la fermeture de ce groupe. Récemment, la Maison-Blanche a affirmé qu’il y avait eu une « augmentation de plus de 1 000 % des agressions contre les agents de l’ICE (Immigration and Customs Enforcement) depuis le 21 janvier 2025, par rapport à la même période l’année dernière ». Mais le média public étatsunien NPR relativise cette affirmation : « bien que le nombre d’agressions contre des agents de l’ICE ait augmenté, aucune information publique ne montre qu’il ait connu une hausse aussi spectaculaire que le prétend le gouvernement fédéral ».

Selon l’agence de presse AP, si cette page concernant Chicago a été supprimée, des dizaines d’autres groupes rassemblant des milliers d’utilisateurs sont encore visibles sur Facebook.

Rappelons que Donald Trump a publié dès le 20 janvier dernier, soit quelques jours après son investiture, un décret affirmant « restaurer la liberté d’expression et mettre fin à la censure fédérale ».

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L’architecture Xe3P d’Intel servira aussi bien les PC que les serveurs

Avec un léger retard à l’allumage qui a suscité, par extension, quelques interrogations quant à l’avenir des GPU dédiés d’Intel, la firme a finalement clarifié, un peu, sa feuille de route. Tandis que les Panther Lake embarquent des cœurs Xe3, les Nova Lake-S recevront pour leur part des Xe3P... [Tout lire]
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Bon plan : Les intras Nothing CMF Buds 2a à 30.30€

Pourtant proposés avec une réduction active du bruit ambiant, les Nothing CMF Buds 2a sont l’entrée de gamme de la marque. Cela ne veut pas dire bas de gamme. Pour les avoir testés, ce sont à la fois des écouteurs confortables, efficaces en réduction de bruit et plutôt très autonomes.

On n’est clairement pas sur la même gamme de produits que les Sony WF-1000XM5 à 249€, Bose QuietComfort Ultra à 299€ ou autre casque encore plus haut de gamme. La réponse acoustique du Nothing est en dessous. Mais le principal est bien présent et la réduction de bruit très performante. Comme je le répète souvent, ce type de casque doit correspondre à votre profil d’usage. S’il s’agit de vous accompagner dans la rue, à moins de porter un vrai casque anti-bruit sur la tête en plus de vos intras, le fait de ne pas être d’une acoustique Hi-Fi parfaite n’est pas un véritable problème. Même avec le casque le plus fin et le plus cher au monde, vous entendrez un poids lourd passer ou un bruit perçant. L’idée d’avoir un rendu sonore merveilleusement équilibré ne vaut que dans un cadre spécifique que vous pourrez contrôler. 

Les Nothing CMF Buds 2a ne sortent donc pas de ce cadre, ce sont d’excellents écouteurs intra pour des déplacements, pour bosser en Open Space ou pour jouer et écouter de la musique ou un film chez soi. Pas des modèles « signature » qui vont rendre grâce à votre album préféré avec la même présence de détail qu’un casque audiophile à 500€. La différence est d’ailleurs également là. Prendrez-vous les transports avec votre casque à 500€ ?

D’un point de vie simplement technique : ils sont très légers, avec pourtant une bonne autonomie (7 à 8 heures d’écoute par charge) et surtout un boitier de recharge qui proposera non seulement plus de 35 heures d’autonomie au global, mais permettra de retrouver plusieurs heures d’écoute en glissant vos intras 10 minutes dessus.

Les CMF Buds 2a résistent à la pluie, permettent le passage d’appels avec 4 micros et la techno Clear Voice qui marche plutôt pas mal. Ils proposent une réduction active du bruit à 42 dB, se connectent en Bluetooth 5.4. Ils ont une latence minimale, ce qui les rend exploitables en jeu et pour suivre films et séries sans désynchronisation entre l’image et le son. Cerise sur le gâteau, leur design global est assez réussi. L’application livrée est assez classique mais je ne m’en suis jamais vraiment servi.

Mon positionnement sur ce produit est clair : pas confiance dans un casque « noname » à 15€ : optez pour un CMF Buds 2a à 30€. Pas envie de dépenser 200€ sur un modèle de grande marque : optez pour un CMF Buds 2a à 30€. Peur de perdre un casque trop cher ? Le CMF Buds 2a dans cette livrée noire est super accessible. D’ailleurs, d’habitude, il n’est pas vendu pas beaucoup plus cher, son prix public est de 49.90€ mais on le trouve régulièrement à 40€. Et à ce tarif, je donne déjà le même conseil à des amis. Alors à 30.30€ sur Amazon, n’hésitez pas si vous êtes à la recherche d’un intra sobre, bien construit et efficace.

Voir l’offre sur Amazon

 

Bon plan : Les intras Nothing CMF Buds 2a à 30.30€ © MiniMachines.net. 2025

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☕️ Le Washington Post en perte de vitesse après la reprise en main de Jeff Bezos

Il y a près d’un an, Jeff Bezos empêchait le Washington Post, dont il est propriétaire, de diffuser son traditionnel article de soutien à l’un des candidats à l’élection présidentielle – l’article, en l’occurrence, visait à soutenir Kamala Harris. Dans les jours qui suivaient, le média perdait 250 000 abonnés.

Un an plus tard, la pente descendante n’a fait que s’accentuer, observe le Washington CityPaper. Pour la première fois en 55 ans, le lectorat du Washington Post est tombé sous la barre des 100 000 abonnés pour atteindre 97 000 lectrices et lecteurs payants de l’édition papier, et 160 000 les dimanches.

À titre de comparaison, le média vendait 250 000 éditions par jour en 2020, époque à laquelle il faisait partie des médias papier les plus lus des États-Unis. Le New York Times, lui, déclarait 600 000 abonnés papier en août 2025 (en baisse par rapport aux 620 000 affichés en 2023). 


des journaux

Si le nombre d’abonnés purement numériques du Washington Post n’est pas public (le New-York Times affiche un total de 11,9 millions d’abonnés), les activités du média ont été directement touchées par l’entrisme de son propriétaire dans sa ligne éditoriale.

En janvier 2025, la dessinatrice et prix Pulitzer Ann Telnaes avait notamment démissionné après s’être vue refuser la publication d’un dessin représentant Jeff Bezos ployant le genou devant Donald Trump.

En février, le responsable de la rubrique opinions David Shipley l’avait suivie, après que le patron d’Amazon avait donné pour consigne de ne plus y publier que des points de vue soutenant et défendant « deux piliers : les libertés personnelles et les marchés libres ».

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☕️ La Californie encadre l’usage de l’eau, sauf pour les centres de données

Début 2025, des méga-feux se sont abattus sur Los Angeles, favorisés par la sécheresse des mois précédents et par un épisode de vents particulièrement violents.

Alors que la région est affligée par des « méga-sécheresses » (des épisodes d’aridité de plus de trente ans), l’État de Californie vient de passer une série de lois visant à encadrer l’usage de l’eau. Seul domaine épargné, relève le Los Angeles Times : celui des centres de données.

Parmi les textes adoptés par le gouverneur Newsom, l’obligation d’accentuer l’usage d’eau recyclée, pour faire face aux sécheresses, celle de déployer des objectifs de long terme (15 ans) dans la gestion des ressources en eau pour le département dédié de l’État, ou encore de nouvelles protections pour les petits exploitants.

Le projet d’obliger les centres de données à diffuser des données sur leur consommation d’eau, en revanche, n’a pas été signé par le gouverneur.

Un veto qu’il explique (.pdf) par l’explosion de l’intelligence artificielle, dont le fonctionnement entraîne une « demande sans précédent de capacités de centres de données dans tout le pays ».

Gavin Newsom se déclare « réticent à imposer des exigences rigides en termes de rapports sur les détails opérationnels » du secteur des centres de données, alors que la Californie est un « centre mondial du secteur technologique », bien placée pour « soutenir le développement de l’infrastructure » nécessaire à l’IA.

À l’hiver 2025, le rôle de l’industrie des centres de données dans la consommation de l’eau dans plusieurs États arides des États-Unis avait suscité des débats.

Quelques mois plus tard, Bloomberg démontrait que les deux tiers des bâtiments en construction depuis 2022 l’étaient dans des lieux en situation de stress hydrique. Une tendance similaire à ce qui est observé à l’échelle de la planète.

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☕️ Le Washington Post en perte de vitesse après la reprise en main de Jeff Bezos

Il y a près d’un an, Jeff Bezos empêchait le Washington Post, dont il est propriétaire, de diffuser son traditionnel article de soutien à l’un des candidats à l’élection présidentielle – l’article, en l’occurrence, visait à soutenir Kamala Harris. Dans les jours qui suivaient, le média perdait 250 000 abonnés.

Un an plus tard, la pente descendante n’a fait que s’accentuer, observe le Washington CityPaper. Pour la première fois en 55 ans, le lectorat du Washington Post est tombé sous la barre des 100 000 abonnés pour atteindre 97 000 lectrices et lecteurs payants de l’édition papier, et 160 000 les dimanches.

À titre de comparaison, le média vendait 250 000 éditions par jour en 2020, époque à laquelle il faisait partie des médias papier les plus lus des États-Unis. Le New York Times, lui, déclarait 600 000 abonnés papier en août 2025 (en baisse par rapport aux 620 000 affichés en 2023). 


des journaux

Si le nombre d’abonnés purement numériques du Washington Post n’est pas public (le New-York Times affiche un total de 11,9 millions d’abonnés), les activités du média ont été directement touchées par l’entrisme de son propriétaire dans sa ligne éditoriale.

En janvier 2025, la dessinatrice et prix Pulitzer Ann Telnaes avait notamment démissionné après s’être vue refuser la publication d’un dessin représentant Jeff Bezos ployant le genou devant Donald Trump.

En février, le responsable de la rubrique opinions David Shipley l’avait suivie, après que le patron d’Amazon avait donné pour consigne de ne plus y publier que des points de vue soutenant et défendant « deux piliers : les libertés personnelles et les marchés libres ».

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☕️ La Californie encadre l’usage de l’eau, sauf pour les centres de données

Début 2025, des méga-feux se sont abattus sur Los Angeles, favorisés par la sécheresse des mois précédents et par un épisode de vents particulièrement violents.

Alors que la région est affligée par des « méga-sécheresses » (des épisodes d’aridité de plus de trente ans), l’État de Californie vient de passer une série de lois visant à encadrer l’usage de l’eau. Seul domaine épargné, relève le Los Angeles Times : celui des centres de données.

Parmi les textes adoptés par le gouverneur Newsom, l’obligation d’accentuer l’usage d’eau recyclée, pour faire face aux sécheresses, celle de déployer des objectifs de long terme (15 ans) dans la gestion des ressources en eau pour le département dédié de l’État, ou encore de nouvelles protections pour les petits exploitants.

Le projet d’obliger les centres de données à diffuser des données sur leur consommation d’eau, en revanche, n’a pas été signé par le gouverneur.

Un veto qu’il explique (.pdf) par l’explosion de l’intelligence artificielle, dont le fonctionnement entraîne une « demande sans précédent de capacités de centres de données dans tout le pays ».

Gavin Newsom se déclare « réticent à imposer des exigences rigides en termes de rapports sur les détails opérationnels » du secteur des centres de données, alors que la Californie est un « centre mondial du secteur technologique », bien placée pour « soutenir le développement de l’infrastructure » nécessaire à l’IA.

À l’hiver 2025, le rôle de l’industrie des centres de données dans la consommation de l’eau dans plusieurs États arides des États-Unis avait suscité des débats.

Quelques mois plus tard, Bloomberg démontrait que les deux tiers des bâtiments en construction depuis 2022 l’étaient dans des lieux en situation de stress hydrique. Une tendance similaire à ce qui est observé à l’échelle de la planète.

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Basic HDR Support For AMD Radeon Accelerated Video Processing On Linux

David Rosca at AMD continues leading the efforts for improving the open-source Radeon video acceleration support under Linux with the Mesa Gallium3D code. This is especially important now that AMD is encouraging customers to no longer use the AMD Multimedia Framework (AMF) on Linux but resort to using VA-API and the Mesa multimedia capabilities instead...
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Hidizs x Linsoul AP80 PRO MAX : Abordable, performant et parfaitement complet

Petit DAP à la Ferme en ce milieu de matinée avec le modèle AP80 PRO MAX signé Linsoul et Hidizs. Un écran un peu plus grand que son prédécesseur, une grosse puissance de sortie, une interface claire, du WiFi, que demander de plus ? Découvrons ça avec le tarif de 219 U+20AC en tête, ici : Hidizs x Linsoul AP80 PRO MAX ou sur la source. […]

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Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2 précise ses recommandations hardware !

Empêtré dans quelques polémiques par rapport au contenu et à la gestion des clans via des DLC, Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2 avance bon an mal an et dévoile les configurations qu'il faudra pour en profiter. Et bonne surprise, pas besoin d'un monstre pour profiter du jeu sur la configuration recommandée. Reste maintenant à voir comment Paradox va gérer tous les DLC initialement attendus. Il y a du travail jusqu'au 21 octobre pour reconquérir les fans ! […]

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Un trailer de gameplay pour le jeu Project Motor Racing

Le jeu Project Motor Racing, annoncé pour le quatrième trimestre 2025, s'annonce comme une simulation et le fils spirituel du légendaire GTR, rien que cela ! À la tête du projet, on retrouve un certain Ian Bell, à qui on doit les titres Need for Speed: Shift et Project CARS...Project Motor Racing véhicule toute la passion, la beauté et l'intensité du sport automobile professionnel. Le nec plus ultra Traversez les époques au volant de 72 voitures reproduites avec minutie, dans 10 catégories emblématiques et sur 28 circuits mondiaux. * Voitures : des hypercars LMDh radicales d'aujourd'hui aux plus grandes légendes de l'histoire, chaque véhicule est un pur chef-d'œuvre * Circuits : numérisés dans les moindres détails, pour une précision et une authenticité ultime Accessible à tous Aussi bien adapté aux sim racers aguerris qu'aux pilotes en herbe, Project Motor Racing propose : * Une carrière solo * Des modes de course en ligne * Des événements en jeu * Une expérience de course exceptionnelle Une simulation de pointe * Un rendu physique précis : le nouveau moteur physique offre un réalisme inégalé en matière de maniabilité et de retour de force * Un moteur physique d'avant-garde basé sur le GIANTS Engine 10 facilitant les mods * Un programme de test par des pilotes : la maniabilité de chaque voiture a été testée avec soin et approuvée par les marques partenaires et des centaines de pilotes professionnels du monde entier pour garantir une précision de conduite authentique. * Un design audio immersif : l'ambiance sonore intense du sport automobile, capturée comme jamais Ressentez chaque seconde * Des postes de pilotage "vivants" avec des forces G visibles, les effets de chaleur, etc. * True2Track - Des conditions météo dynamiques - Des lignes de course et de séchage évolutives - Un cycle jour/nuit de 24 heures * Triple écran et VR (sur PC) […]

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