La sortie de Liquid Glass n’est pas passée inaperçue. La nouvelle interface d’Apple, unifiée et mettant largement l’accent sur l’effet verre et sa transparence, a provoqué bien des remous, de nombreuses discussions opposant ses fans à ses détracteurs.
Parmi les critiques, la plus courante est la baisse de lisibilité, qui entraine chez une partie de la clientèle des soucis d’accessibilité. C’est particulièrement vrai quand les systèmes affichent des textes blancs sur un panneau de verre et que l’arrière-plan est à dominante claire.
Ces retours étaient déjà nombreux pendant la phase bêta d’iOS 26 et macOS Tahoe. Apple a avancé par tâtonnement, mais a finalement laissé la transparence opérer à quasi plein régime dans les versions finales. Pourtant, dans les dernières bêtas 26.1 des systèmes, une option a fait son apparition. « Un rétropédalage annoncé », pour nos confrères d’iGen.
Ainsi, dans iOS 26.1, la section « Luminosité et affichage » gagne une nouvelle rubrique : Liquid Glass. Dans macOS 26.1, elle réside dans « Apparence », au sein des Réglages. Elle permet d’influer sur un seul paramètre : l’apparence des contrôles. On peut désormais choisir entre « Transparent » et « Teinté », le second réduisant fortement la transparence, que l’on soit en thème clair ou sombre.
Comme on peut le constater rapidement, la différence est marquée et les informations sont beaucoup plus lisibles. Le réglage rejaillit sur tous les contrôles ayant un « fond » : notifications, onglets, barres de contrôle et ainsi de suite. En revanche, le réglage ne change pas (encore ?) l’affichage du centre de contrôle.
La sortie de Liquid Glass n’est pas passée inaperçue. La nouvelle interface d’Apple, unifiée et mettant largement l’accent sur l’effet verre et sa transparence, a provoqué bien des remous, de nombreuses discussions opposant ses fans à ses détracteurs.
Parmi les critiques, la plus courante est la baisse de lisibilité, qui entraine chez une partie de la clientèle des soucis d’accessibilité. C’est particulièrement vrai quand les systèmes affichent des textes blancs sur un panneau de verre et que l’arrière-plan est à dominante claire.
Ces retours étaient déjà nombreux pendant la phase bêta d’iOS 26 et macOS Tahoe. Apple a avancé par tâtonnement, mais a finalement laissé la transparence opérer à quasi plein régime dans les versions finales. Pourtant, dans les dernières bêtas 26.1 des systèmes, une option a fait son apparition. « Un rétropédalage annoncé », pour nos confrères d’iGen.
Ainsi, dans iOS 26.1, la section « Luminosité et affichage » gagne une nouvelle rubrique : Liquid Glass. Dans macOS 26.1, elle réside dans « Apparence », au sein des Réglages. Elle permet d’influer sur un seul paramètre : l’apparence des contrôles. On peut désormais choisir entre « Transparent » et « Teinté », le second réduisant fortement la transparence, que l’on soit en thème clair ou sombre.
Comme on peut le constater rapidement, la différence est marquée et les informations sont beaucoup plus lisibles. Le réglage rejaillit sur tous les contrôles ayant un « fond » : notifications, onglets, barres de contrôle et ainsi de suite. En revanche, le réglage ne change pas (encore ?) l’affichage du centre de contrôle.
La Fédération française de tir a alerté jeudi soir une partie de ses licenciés au sujet d’un incident de sécurité, constaté au niveau d’ITAC, l’application distribuée sous forme d’intranet qui permet aux clubs de gérer leurs adhérents, leurs licences, leurs pièces médicales et leur inscription aux championnats.
« Le 20 octobre 2025, la Fédération Française de Tir a détecté une intrusion non-autorisée sur son système d’information ITAC. Cette intrusion a eu lieu entre le 18 octobre et le 20 octobre 2025 », indique la FFTir dans un message également adressé par mail aux membres concernés des clubs.
La fédération indique avoir déconnecté le service ITAC ainsi que son pendant EDEN, dédié à la gestion des licences FFTir par les tireurs, dès que l’incident a été porté à sa connaissance.
« Nous avons également prévenu l’ensemble des autorités compétentes, notamment l’ANSSI et la CNIL, et avons déposé plainte. Accompagnés d’experts, nous avons enquêté au cours des derniers jours afin d’identifier l’origine de l’incident. Les investigations ont permis de corriger la situation ».
Capture d’écran de la page de connexion ITAC, qui mentionne l’incident
L’intrusion a cependant exposé des données personnelles. Il s’agit du numéro de licence, de l’état civil, de l’adresse postale, de l’adresse mail et du numéro de téléphone renseignés, précise la FFTir, qui invite ses adhérents à la vigilance face aux éventuelles prises de contact suspectes.
« Aucune donnée médicale ni aucune coordonnée bancaire n’est concernée », rassure-t-elle, soulignant par ailleurs ne détenir aucune information relative à la détention d’armes chez les pratiquants de la discipline.
Coupé pendant plusieurs heures, l’accès au service ITAC a été rétabli, et les licenciés sont invités à réinitialiser leur mot de passe pour s’y connecter.
En juin 2025, la FFTir expliquait avoir décidé de changer de prestataire pour le développement et la maintenance de ses outils ITAC et EDEN, et confié le projet de réécriture des applications à la société AxioCode.
Début 2025, de nombreuses fédérations sportives françaises avaient été victimes de fuites de données suite à la compromission d’un outil développé par un tiers et dédié à la gestion des licenciés.
Dans un communiqué publié ce jeudi 23 octobre, Airbus, Leonardo et Thales expliquent qu’elles vont regrouper « leurs activités de production de satellites et les services associés ». Pour l’instant sans appellation officielle, ce projet a pour nom de code « Bromo », explique Le Figaro.
Les trois entreprises annoncent que cette nouvelle entité « regroupera environ 25 000 personnes à travers l’Europe » et qu’elle concentrera des activités dont le chiffre d’affaires annuel a atteint 6,5 milliards d’euros en 2024.
Dans leur communiqué, les trois entreprises énoncent les activités qu’elles veulent, au terme de l’opération, rassembler :
« Airbus apportera sa contribution à travers ses activités Space Systems and Space Digital, issues d’Airbus Defence and Space.
Leonardo apportera sa Division Spatial, incluant ses participations dans Telespazio et Thales Alenia Space.
Thales contribuera principalement en apportant ses participations dans Thales Alenia Space, Telespazio et Thales SESO ».
Les actions de la nouvelle entité devraient se répartir presque équitablement entre les trois acteurs : 35 % pour Airbus, 32,5 % pour Leonardo et 32,5 % pour Thales.
Rappelons qu’Airbus est aussi issu d’un rapprochement effectué en 2000 entre plusieurs entreprises européennes, nommée EADS à l’époque et rebaptisée en 2013.
Le ministre français de l’Économie, Roland Lescure, salue une « excellente nouvelle » sur son compte Bluesky.
Les trois entreprises espèrent voir le projet se concrétiser en 2027, après avoir passé les autorisations réglementaires et avoir consulté leurs représentants du personnel, conformément aux législations en vigueur. Selon Le Monde, la nouvelle entreprise devrait avoir son siège à Toulouse.
Pour le syndicat FO-Métaux, « ce rapprochement entre Thales, Airbus et Leonardo ouvre la voie à un nouvel équilibre industriel, à condition qu’il reste guidé par deux impératifs : la souveraineté européenne et la préservation des savoir-faire français ». Mais la CGT Métallurgie affirme que « la vraie raison du projet Bromo est de créer un monopole permettant d’imposer ses prix et d’affaiblir le pouvoir des agences (CNES, ESA), d’augmenter les marges et les bénéfices pour les actionnaires, au détriment de l’intérêt des citoyens, de la gouvernance publique du secteur et de l’emploi » [PDF].
La Fédération française de tir a alerté jeudi soir une partie de ses licenciés au sujet d’un incident de sécurité, constaté au niveau d’ITAC, l’application distribuée sous forme d’intranet qui permet aux clubs de gérer leurs adhérents, leurs licences, leurs pièces médicales et leur inscription aux championnats.
« Le 20 octobre 2025, la Fédération Française de Tir a détecté une intrusion non-autorisée sur son système d’information ITAC. Cette intrusion a eu lieu entre le 18 octobre et le 20 octobre 2025 », indique la FFTir dans un message également adressé par mail aux membres concernés des clubs.
La fédération indique avoir déconnecté le service ITAC ainsi que son pendant EDEN, dédié à la gestion des licences FFTir par les tireurs, dès que l’incident a été porté à sa connaissance.
« Nous avons également prévenu l’ensemble des autorités compétentes, notamment l’ANSSI et la CNIL, et avons déposé plainte. Accompagnés d’experts, nous avons enquêté au cours des derniers jours afin d’identifier l’origine de l’incident. Les investigations ont permis de corriger la situation ».
Capture d’écran de la page de connexion ITAC, qui mentionne l’incident
L’intrusion a cependant exposé des données personnelles. Il s’agit du numéro de licence, de l’état civil, de l’adresse postale, de l’adresse mail et du numéro de téléphone renseignés, précise la FFTir, qui invite ses adhérents à la vigilance face aux éventuelles prises de contact suspectes.
« Aucune donnée médicale ni aucune coordonnée bancaire n’est concernée », rassure-t-elle, soulignant par ailleurs ne détenir aucune information relative à la détention d’armes chez les pratiquants de la discipline.
Coupé pendant plusieurs heures, l’accès au service ITAC a été rétabli, et les licenciés sont invités à réinitialiser leur mot de passe pour s’y connecter.
En juin 2025, la FFTir expliquait avoir décidé de changer de prestataire pour le développement et la maintenance de ses outils ITAC et EDEN, et confié le projet de réécriture des applications à la société AxioCode.
Début 2025, de nombreuses fédérations sportives françaises avaient été victimes de fuites de données suite à la compromission d’un outil développé par un tiers et dédié à la gestion des licenciés.
Dans un communiqué publié ce jeudi 23 octobre, Airbus, Leonardo et Thales expliquent qu’elles vont regrouper « leurs activités de production de satellites et les services associés ». Pour l’instant sans appellation officielle, ce projet a pour nom de code « Bromo », explique Le Figaro.
Les trois entreprises annoncent que cette nouvelle entité « regroupera environ 25 000 personnes à travers l’Europe » et qu’elle concentrera des activités dont le chiffre d’affaires annuel a atteint 6,5 milliards d’euros en 2024.
Dans leur communiqué, les trois entreprises énoncent les activités qu’elles veulent, au terme de l’opération, rassembler :
« Airbus apportera sa contribution à travers ses activités Space Systems and Space Digital, issues d’Airbus Defence and Space.
Leonardo apportera sa Division Spatial, incluant ses participations dans Telespazio et Thales Alenia Space.
Thales contribuera principalement en apportant ses participations dans Thales Alenia Space, Telespazio et Thales SESO ».
Les actions de la nouvelle entité devraient se répartir presque équitablement entre les trois acteurs : 35 % pour Airbus, 32,5 % pour Leonardo et 32,5 % pour Thales.
Rappelons qu’Airbus est aussi issu d’un rapprochement effectué en 2000 entre plusieurs entreprises européennes, nommée EADS à l’époque et rebaptisée en 2013.
Le ministre français de l’Économie, Roland Lescure, salue une « excellente nouvelle » sur son compte Bluesky.
Les trois entreprises espèrent voir le projet se concrétiser en 2027, après avoir passé les autorisations réglementaires et avoir consulté leurs représentants du personnel, conformément aux législations en vigueur. Selon Le Monde, la nouvelle entreprise devrait avoir son siège à Toulouse.
Pour le syndicat FO-Métaux, « ce rapprochement entre Thales, Airbus et Leonardo ouvre la voie à un nouvel équilibre industriel, à condition qu’il reste guidé par deux impératifs : la souveraineté européenne et la préservation des savoir-faire français ». Mais la CGT Métallurgie affirme que « la vraie raison du projet Bromo est de créer un monopole permettant d’imposer ses prix et d’affaiblir le pouvoir des agences (CNES, ESA), d’augmenter les marges et les bénéfices pour les actionnaires, au détriment de l’intérêt des citoyens, de la gouvernance publique du secteur et de l’emploi » [PDF].
Nous vous parlions r�cemment du dernier record de fr�quence pour de la m�moire DDR5, obtenu sur une carte m�re Gigabyte Z890 AORUS Tachyon Ice et cette derni�re a permis deux autres marques remarquables !
Le record du monde est d�sormais situ� � 13010 Mt/s, pour une barrette CORSAIR Vengance de 24 Go, avec des timings de 68-127-127-127-2 (tCAS-tRCD-tRP-tRAS-tCR). L'allemand sergmann`s, il a utilis� une carte m�re Gigabyte Z890 Aorus Tachyon Ice, un processeur Intel Core Ultra 9 285K, avec deux cores P et deux cores E actifs et une fr�quence de 2054 Mhz. […]
Micron continue d'avancer dans le domaine de la m�moire pour centres de donn�es IA avec l'arriv�e du SOCAMM2, un module basse consommation qui affiche une capacit� record de 192 Go dans un format compact. Ce nouveau mod�le offre 50 % de capacit� en plus que la premi�re g�n�ration, tout en am�liorant l'efficacit� �nerg�tique de plus de 20 %. […]
Thermaltake va prochainement lancer une nouvelle ligne d'alimentation avec les Toughpower PT Platinum. Des blocs ATX 3.1 et PCIe Gen 5.1 qui ont donc le droit � une certification en 80 Plus Platinum. Nous sommes sur des blocs en 140 mm de profondeur, m�me en 1200 watts, qui int�gre des condensateurs japonais, le LLC + DC-to-DC, un PCB sans c�ble, un unique rail 12 volts et du 12v-2x6 en 600 watts, m�me en 850 watts. […]
Microsoft annonce aujourd'hui 12 nouvelles fonctionnalit�s destin�es � rendre Copilot plus personnel, plus utile et plus connect� aux personnes et � leur quotidien.
Dans une vid�o YouTube, Mustafa Suleyman, CEO de Microsoft AI et Jacob Andreou, Head of Product de Microsoft AI, pr�sentent ces nouveaut�s et expliquent pourquoi il est essentiel de d�velopper une IA au service des individus.
Pour d�couvrir l'ensemble des nouveaut�s Copilot, vous pouvez regarder la vid�o sur YouTube, consulter l'article de blog associ�, et vous rendre sur la page d�di�e qui regroupent tous les contenus.
[…]
Microsoft � officiellement mit fin au support de Windows 10. Il est donc temps de passer � Windows 11.
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[…]
La carte Radeon AI PRO 9000 fut annonc�e le mois dernier par AMD, sans avoir de prix fix�, un revendeur vient de r�f�rencer les cartes sur le territoire am�ricain, celui-ci est compris entre 1244 et 1279 dollars.
Le placement tarifaire s'annonce plut�t int�ressant, la Radeon PRO W7800 fut propos�e � 2499 dollars, le tarif de la nouvelle venue s'annonce plus cl�ment.
La carte semble par contre souffrir d'un l�ger probl�me d'identit�, son appellation Radeon AI PRO semblait la pr�destiner au monde professionnel, toutefois le constructeur PowerColor a floqu� un intriguant slogan "Unleash The Gaming Power" sur la boite de sa carte ! […]
Pr�s de 30 ans apr�s les premi�res apparitions de Clippy, le trombone le plus aga�ant de la plan�te Office, Microsoft retente le coup avec un nouvel assistant virtuel : Mico � qui n'est pas le roi des glaces, ni le roi des pommes de terre, hommage � Vico et Miko. Si vous aimez les jeux de mots un peu foireux, nous sommes en plein dedans. […]
Il y a deux ans, lors de ses Open Tech Days, Orange proposait une démonstration de la fibre optique (FTTH) avec un débit maximum théorique de 50 Gb/s. Cette technologie est sortie des laboratoires pour une démonstration dans des conditions réelles. C’était déjà le cas l’année dernière, avec un client résidentiel flashé à plus de 41 Gb/s.
Nous avons déjà longuement expliqué ce qu’étaient le PON (Passive Optical Network) et surtout la version déployée pour la première génération de fibre optique en France : le G-PON. Le G signifie simplement Gigabyte (jusqu’à 2,5 Gb/s en débit descendant).
Orange passe de 10 à 50 Gb/s, le 25 Gb/s laissé de côté
Le passage au 10 Gb/s est arrivé avec le 10G-EPON chez Free et le XGS-PON chez les autres fournisseurs d’accès à Internet (X pour 10 et S pour Symétrique). Orange nous avait déjà prévenu qu’il comptait sauter le 25 Gb/s : « c’est quelque chose qui est développé par Nokia, mais on ne le fera pas ». Le FAI nous confirmait ainsi qu’il passerait directement au 50G-PON, qui serait alors « la troisième génération de PON d’Orange ».
« Après deux gigabits par seconde (G-PON), puis 8 gigabits par seconde (XGS-PON), 40 Gigabits par seconde (50G-PON) sera le standard de demain des systèmes de transmission des réseaux d’accès fibre (FTTH) », affirme Orange dans un communiqué.
Un changement de carte réseau et de box suffit
Afin de démontrer le fonctionnement de sa technologie, le FAI avait organisé cette semaine « un test de performance réalisé par deux joueurs, Crimson à Lyon et Kayane à Marseille ». En quoi consistait-il ? Une partie de 2XKO… pas sûr que ce soit la meilleure manière de tester un débit.
La fibre utilisée pour connecter les deux joueurs n’avait rien de particulier, c’était celle déjà déployée par les opérateurs, quels qu’ils soient ; pas besoin de la changer. Orange précise qu’un « simple changement de carte réseau dans l’équipement situé dans les centraux optiques permettra à Orange de connecter un client fibre au 50G-PON ».
Comme prévu, les trois technologies co-existent sur une même fibre : selon le client (et sa carte réseau), la box peut recevoir du G-PON, du XGS-PON et/ou du 50G-PON. Techniquement, rien n’empêcherait en effet d’avoir les trois technologies à la fois.
G-PON, XGS-PON et 50G-PON passent dans la même fibre
Orange propose une explication du fonctionnement des trois technologies en parallèle : « Au central, la carte réseau intégrera un module optique Multi-PON-Module (MPM) qui inclut les trois technologies photoniques PON. Chez le client, la box sera équipée de la technologie PON adéquate en relation avec l’offre de service souscrite ».
Ce fonctionnement est rendu possible par l’utilisation, pour chaque technologie, de fréquences différentes qui ne se chevauchent pas. « Particulièrement soutenue par Orange, la triple coexistence de trois technologies PON sur la même infrastructure fibre a été rendue possible au standard ITU-T par la spécification d’un spectre optique (longueur d’onde) pour permettre cette triple coexistence. C’est l’option « US3 » du spectre », se vantait l’opérateur l’année dernière.
L’enjeu de la température
Comme on peut le voir, les bandes pour le 50G-PON sont relativement étroites comparées à celles des deux autres technologies, ce qui implique que le laser passant dans la fibre ne bouge pas de sa longueur d’onde, pour ne pas déborder sur G-PON ni sur XGS-PON.
Le laser doit donc rester à une température stable car « un laser qui varie en température est un laser dont la longueur d’onde varie », nous expliquait Orange.
Pour la société, la solution n’était pas bien compliquée : « on va devoir réguler [la température] dans la box […] On peut le faire. Ça coûte un peu plus cher, mais c’est quelque chose qu’on saura faire ». La consommation électrique augmentera fatalement, « mais pas extrêmement plus » affirmait Orange, sans donner de chiffres précis.
Répartition des technologies PON suivant les fréquences (US correspond à up-stream et DS à down-stream).
Une première en France ? Pas si vite…
Il est amusant de voir Orange affirmer qu’il « s’agit d’une première en France, qui fait suite aux expérimentations menées en laboratoire »… occultant complètement une expérimentation menée l’année dernière sur son propre réseau opérationnel en France métropolitaine :
« En février 2024 en Bretagne, lors d’un essai terrain, Orange a connecté un client résidentiel fibre à un équipement dédié 50G-PON sur une infrastructure FTTH opérationnelle à laquelle d’autres clients commerciaux sont aussi connectés en G-PON et XGS-PON. Un trafic Ethernet de plus de 41 Gbit/s [soit plus de 5 Go/s, ndlr] a été mesuré sur le lien du client connecté au 50G-PON, tout en maintenant la qualité des connexions des autres clients ».
Le déploiement n’est pas pour tout de suite : « Dans le futur, [les systèmes 50G-PON] permettront d’augmenter la capacité des réseaux pour des usages avancés des entreprises, notamment celles qui ont des sites de grande taille, puis pour des usages résidentiels, quand les besoins seront avérés ».
L’année dernière, le discours était déjà le même : « La triple coexistence du G-PON, XGS-PON et 50G-PON sera possible dès que les premiers besoins de déploiement à 50 Gbit/s seront nécessaires ». Orange avait, pour rappel, trainé des pieds avant de proposer du 10 Gb/s à ses clients, faute d’un réel besoin, se justifiait l’opérateur.
Il y a deux ans, lors de ses Open Tech Days, Orange proposait une démonstration de la fibre optique (FTTH) avec un débit maximum théorique de 50 Gb/s. Cette technologie est sortie des laboratoires pour une démonstration dans des conditions réelles. C’était déjà le cas l’année dernière, avec un client résidentiel flashé à plus de 41 Gb/s.
Nous avons déjà longuement expliqué ce qu’étaient le PON (Passive Optical Network) et surtout la version déployée pour la première génération de fibre optique en France : le G-PON. Le G signifie simplement Gigabyte (jusqu’à 2,5 Gb/s en débit descendant).
Orange passe de 10 à 50 Gb/s, le 25 Gb/s laissé de côté
Le passage au 10 Gb/s est arrivé avec le 10G-EPON chez Free et le XGS-PON chez les autres fournisseurs d’accès à Internet (X pour 10 et S pour Symétrique). Orange nous avait déjà prévenu qu’il comptait sauter le 25 Gb/s : « c’est quelque chose qui est développé par Nokia, mais on ne le fera pas ». Le FAI nous confirmait ainsi qu’il passerait directement au 50G-PON, qui serait alors « la troisième génération de PON d’Orange ».
« Après deux gigabits par seconde (G-PON), puis 8 gigabits par seconde (XGS-PON), 40 Gigabits par seconde (50G-PON) sera le standard de demain des systèmes de transmission des réseaux d’accès fibre (FTTH) », affirme Orange dans un communiqué.
Un changement de carte réseau et de box suffit
Afin de démontrer le fonctionnement de sa technologie, le FAI avait organisé cette semaine « un test de performance réalisé par deux joueurs, Crimson à Lyon et Kayane à Marseille ». En quoi consistait-il ? Une partie de 2XKO… pas sûr que ce soit la meilleure manière de tester un débit.
La fibre utilisée pour connecter les deux joueurs n’avait rien de particulier, c’était celle déjà déployée par les opérateurs, quels qu’ils soient ; pas besoin de la changer. Orange précise qu’un « simple changement de carte réseau dans l’équipement situé dans les centraux optiques permettra à Orange de connecter un client fibre au 50G-PON ».
Comme prévu, les trois technologies co-existent sur une même fibre : selon le client (et sa carte réseau), la box peut recevoir du G-PON, du XGS-PON et/ou du 50G-PON. Techniquement, rien n’empêcherait en effet d’avoir les trois technologies à la fois.
G-PON, XGS-PON et 50G-PON passent dans la même fibre
Orange propose une explication du fonctionnement des trois technologies en parallèle : « Au central, la carte réseau intégrera un module optique Multi-PON-Module (MPM) qui inclut les trois technologies photoniques PON. Chez le client, la box sera équipée de la technologie PON adéquate en relation avec l’offre de service souscrite ».
Ce fonctionnement est rendu possible par l’utilisation, pour chaque technologie, de fréquences différentes qui ne se chevauchent pas. « Particulièrement soutenue par Orange, la triple coexistence de trois technologies PON sur la même infrastructure fibre a été rendue possible au standard ITU-T par la spécification d’un spectre optique (longueur d’onde) pour permettre cette triple coexistence. C’est l’option « US3 » du spectre », se vantait l’opérateur l’année dernière.
L’enjeu de la température
Comme on peut le voir, les bandes pour le 50G-PON sont relativement étroites comparées à celles des deux autres technologies, ce qui implique que le laser passant dans la fibre ne bouge pas de sa longueur d’onde, pour ne pas déborder sur G-PON ni sur XGS-PON.
Le laser doit donc rester à une température stable car « un laser qui varie en température est un laser dont la longueur d’onde varie », nous expliquait Orange.
Pour la société, la solution n’était pas bien compliquée : « on va devoir réguler [la température] dans la box […] On peut le faire. Ça coûte un peu plus cher, mais c’est quelque chose qu’on saura faire ». La consommation électrique augmentera fatalement, « mais pas extrêmement plus » affirmait Orange, sans donner de chiffres précis.
Répartition des technologies PON suivant les fréquences (US correspond à up-stream et DS à down-stream).
Une première en France ? Pas si vite…
Il est amusant de voir Orange affirmer qu’il « s’agit d’une première en France, qui fait suite aux expérimentations menées en laboratoire »… occultant complètement une expérimentation menée l’année dernière sur son propre réseau opérationnel en France métropolitaine :
« En février 2024 en Bretagne, lors d’un essai terrain, Orange a connecté un client résidentiel fibre à un équipement dédié 50G-PON sur une infrastructure FTTH opérationnelle à laquelle d’autres clients commerciaux sont aussi connectés en G-PON et XGS-PON. Un trafic Ethernet de plus de 41 Gbit/s [soit plus de 5 Go/s, ndlr] a été mesuré sur le lien du client connecté au 50G-PON, tout en maintenant la qualité des connexions des autres clients ».
Le déploiement n’est pas pour tout de suite : « Dans le futur, [les systèmes 50G-PON] permettront d’augmenter la capacité des réseaux pour des usages avancés des entreprises, notamment celles qui ont des sites de grande taille, puis pour des usages résidentiels, quand les besoins seront avérés ».
L’année dernière, le discours était déjà le même : « La triple coexistence du G-PON, XGS-PON et 50G-PON sera possible dès que les premiers besoins de déploiement à 50 Gbit/s seront nécessaires ». Orange avait, pour rappel, trainé des pieds avant de proposer du 10 Gb/s à ses clients, faute d’un réel besoin, se justifiait l’opérateur.
Parce que les souris font de la r�sistance et correspondent encore aux besoins et envies de nombreux joueurs, ASUS pr�sente la ROG Gladius III Core, un beau mod�le de 72 grammes avec des sp�cifications largement suffisantes pour la masse.
Enti�rement noire avec un �clairage RGB discret sur la molette et l'arri�re via le logo, la souris se montre tr�s simple tout en �tant travaill�e pour une utilisation de la main droite. Les boutons sont ainsi dispos�s d'une mani�re classique avec deux boutons � gauche, et le reste dessus avec les clics gauche et droit pourvus d'interrupteurs ROG Micro Switch II.
[…]
Chez Bethesda, on sait jouer sur la corde sensible, et ressortir des tas de versions de ses jeux iconiques, alors qu'on n'est pas capable de sortir de nouiveaux jeux à un rythme plus humain. Songez que Skyrim est arrivé le 11 novembre 2011, Fallout va fêter ses 10 ans, ce ne sont pas les Skyrim Onli...
An Icelandic programmer successfully ran Doom on the European Space Agency's OPS-SAT satellite, proving that the iconic 1993 shooter can now run not just everywhere on Earth -- but in orbit. ZDNet reports: Olafur Waage, a senior software developer from Iceland who now works in Norway, explained at Ubuntu Summit 25.10 how he, a self-described "professional keyboard typist" and maker of funny videos, ended up making what is perhaps the game's most outlandish port yet: Doom running on a real satellite in orbit, the European Space Agency (ESA) OPS-SAT satellite. OPS-SAT, a "flying laboratory" for testing novel onboard computing techniques, was equipped with an experimental computer approximately 10 times more powerful than the norm for spacecraft. Waag explained, "OPS-SAT was the first of its kind, devoted to demonstrating drastically improved mission control capabilities when satellites can fly more powerful onboard computers. The point was to break the curse of being too risk-averse with multi-million-dollar spacecraft." (The satellite was decommissioned in 2024.) [...]
Running Doom in orbit was partly a challenge of portability and partly a challenge of the limitations of space hardware and mission control. The on-board ARM dual-core Cortex-A9 processor, while hot stuff for space computing hardware (which tends to be low-powered and radiation-hardened), was slow even by Earth-bound standards. Waage chose Chocolate Doom 2.3, a popular open-source version of Doom, for its compatibility with the Ubuntu 18.04 Long Term Support (LTS) distro, which was already running on OPS-SAT. Besides, Waage noted, "We picked Chocolate Doom 2.3 because of the libraries available for 18.04 -- that was the last one that would actually build.
Updating software in orbit is extremely difficult, so relatively little code would have to be uploaded. As Waage said, "Doom is relatively straightforward C with a few external dependencies." In other words, it's easy to port. [...] The only sign that Doom was running in space at first was a lone log entry. So, the team used the satellite's camera to snap real-time images of the Earth, then swapped Doom's Mars skybox for actual satellite photos. "The idea was to take a screenshot from the satellite and use that as the sky, all rendered in software using the game's restricted 256-color palette," explained Waage. Even this posed unexpected difficulties: "Trying to draw all of these beautiful colors with those colors," said Waage, "it's probably not going to work right off. But we tried gradient tests, NASA demo photos. It took quite a bit of tweaking." Eventually, instead of a fantasy Mars as the sky background, they got a good-looking, real Earth in the game's sky. The game itself ran flawlessly. After all, Waage said, "It ran beautifully. It's on Ubuntu."
Après l’annonce du MSI Cubi Z AI 8M il y a quelques jours, c’est au tour du MSI Cubi 5 1M de changer de peau. Enfin, le terme est assez mal choisi puisque si la machine est différente, la coque est la même que le MSI Cubi 5 12M sous Alder Lake-U lancé en 2023.
C’est donc un changement de composants dans une machine identique d’aspect. Elle mesure 12.4 cm de côté pour 5.4 cm d’épaisseur et invite à son bord trois puces Raptor Lake Core-U mises à jour en 2024 que l’on ne croise pas vraiment fréquemment.
Les Core 3 100U, Core 5 120U et Core 7 150U qui apporte en janvier 2024 tout un panel de fonctions supplémentaires aux puces d’Intel : plus de ports Thunderbolt 4, double ligne PCIe Gen4 x4, prise en charge du Wi-Fi7 et Bluetooth 5.4, optimisation des fréquences et du TDP. On découvre également sur le nouveau MiniPC la prise en charge de la DDR5-5200 quand l’ancien modèle était toujours en DDR4-3200.
Pour le reste on sent fortement que les machines ont la même philosophie. Outre ce châssis identique, on retrouve un élément devenu rare question stockage, la présence d’une baie 2.5″ SATA libre en plus d’un port M.2 2280 NVMe PCIe gen4 x4. Ce double élément permettra notamment de continuer à utiliser des disques mécaniques déjà employés dans la précédente gamme, ce qui facilitera une éventuelle transition.
Pour le reste on retrouve une connectique au positionnement inchangé. La face avant propose un jack audio combo 3.5 mm, deux USB 3.2 Gen 2 Type-A, un Thunderbolt 4 et un bouton de démarrage.
A l’arrière c’est tout à fait la même machine qu’en 2023. Avec deux sorties vidéo en HDMI 2.0b et DisplayPort 1.4, un double port Ethernet en 1 Gigabit (RTL8111H) et 2.5 Gigabit (RTL8125BG), une autre paire de ports USB 3.2 Gen Type-A et une alimentation externe 65 watts. La partie sans fil est également un clone du modèle précédent avec au choix une solution Wi-Fi6E et Bluetooth 5.3 sous Intel AX211 ou une solution Wi-Fi5 et Bluetooth 5.0 provenant d’un circuit AW-CB515NF d’AzureWave.
MSI Cubi 5 1M
Rien de vraiment fou, mais c’est exactement ce que demandent les clients de MSI pour ce genre de machine. Le constructeur a plusieurs choix pour séduire les professionnels qui veulent ce genre de MiniPC. Soit assurer la disponibilité des engins pendant de très longues années. Soit proposer un clone interchangeable très facilement. Comme la disponibilité des puces et de la mémoire vive DDR4 devient problématique, le changement d’un Cubi 5 12M pour un Cubi 5 1M est une alternative convaincante.
Un responsable informatique pourra changer un poste tombé en panne ou ajouter une machine pour une embauche en conservant quasiment tous les éléments classiques choisis par la société qui l’emploie. Seul changement, la mémoire vive qui passe de DDR4 à DDR5. Pas un poste réellement problématique donc. Pour tout le reste, ce sera un protocole de remplacement tout à fait standard : même stockage avec possibilité de récupérer un élément 2.5″. Même écran, même clavier et souris, même casque et même réseau sans fil ou Wi-Fi. Il est probable qu’un salarié qui parte en pause déjeuner avec une machine défaillante puisse rentrer et travailler sur une solution toute neuve, sans même s’en rendre compte.
D’autant plus que son poste héritera de la même possibilité de le cacher derrière un écran en mode VESA et de déporter son bouton de démarrage via un petit câble fourni par le constructeur.
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