Elon Musk compte bien défendre son statut d’homme le plus riche du monde.
Alors que les ventes de Tesla ont tout juste repris cet été, après des mois de descentes concomitantes à l’engagement politique de leur patron, les résultats opérationnels ont chuté de 40 %, impactés aussi par l’augmentation des investissements dans l’intelligence artificielle et des dépenses de fonctionnement.
Dans ce contexte, deux agences en vue, le cabinet ISS et l’agence Glass Lewis, critiquent le plan de rémunération d’Elon Musk. Le premier pointe l’absence de clauses contraignantes, ce qui laisserait au milliardaire le loisir de se tourner vers ses autres projets (xAI, SpaceX, Neuralink, etc.) si ses objectifs devenaient réellement inatteignables. La seconde juge que le projet de rémunération diluerait à l’excès les parts des autres actionnaires.
En effet, le projet qui doit être voté le 6 novembre prochain permettrait à l’homme d’affaires d’atteindre 25 % des parts du capital en récupérant 1 % supplémentaire chaque année.
Pour ce faire, il devrait atteindre des objectifs invraisemblablement élevés, en faisant passer la valorisation de Tesla de 1 400 milliards de dollars aujourd’hui à 8 500 milliards de dollars en 2035.
L’entreprise caracole déjà parmi les dix plus grosses capitalisations mondiales, rappelle Les Échos.
En pleine présentation des résultats du troisième trimestre de Tesla, Elon Musk a donc défendu sa rémunération de 1 000 milliards de dollars sur dix ans, se déclarant « pas à l’aise de construire une armée de robots et d’être mis dehors à cause de recommandations stupides ».
Elon Musk aura en effet pour mission de multiplier par dix les ventes de véhicules Tesla, pour passer de 1,6 million en 2024 à 12 millions en 2034, et déployer un million de robotaxis et un autre million de robots humanoïdes pour diversifier les sources de revenus.
Elon Musk compte bien défendre son statut d’homme le plus riche du monde.
Alors que les ventes de Tesla ont tout juste repris cet été, après des mois de descentes concomitantes à l’engagement politique de leur patron, les résultats opérationnels ont chuté de 40 %, impactés aussi par l’augmentation des investissements dans l’intelligence artificielle et des dépenses de fonctionnement.
Dans ce contexte, deux agences en vue, le cabinet ISS et l’agence Glass Lewis, critiquent le plan de rémunération d’Elon Musk. Le premier pointe l’absence de clauses contraignantes, ce qui laisserait au milliardaire le loisir de se tourner vers ses autres projets (xAI, SpaceX, Neuralink, etc.) si ses objectifs devenaient réellement inatteignables. La seconde juge que le projet de rémunération diluerait à l’excès les parts des autres actionnaires.
En effet, le projet qui doit être voté le 6 novembre prochain permettrait à l’homme d’affaires d’atteindre 25 % des parts du capital en récupérant 1 % supplémentaire chaque année.
Pour ce faire, il devrait atteindre des objectifs invraisemblablement élevés, en faisant passer la valorisation de Tesla de 1 400 milliards de dollars aujourd’hui à 8 500 milliards de dollars en 2035.
L’entreprise caracole déjà parmi les dix plus grosses capitalisations mondiales, rappelle Les Échos.
En pleine présentation des résultats du troisième trimestre de Tesla, Elon Musk a donc défendu sa rémunération de 1 000 milliards de dollars sur dix ans, se déclarant « pas à l’aise de construire une armée de robots et d’être mis dehors à cause de recommandations stupides ».
Elon Musk aura en effet pour mission de multiplier par dix les ventes de véhicules Tesla, pour passer de 1,6 million en 2024 à 12 millions en 2034, et déployer un million de robotaxis et un autre million de robots humanoïdes pour diversifier les sources de revenus.
Présentée à de multiples reprises ces derniers mois, la technologie 3DHP de Cooler Master arrive enfin avec plusieurs solutions de refroidissement. Aujourd’hui, nous découvrons le V4 Alpha 3DHP Black, un modèle qui s’affiche à 39 € environ, avec deux caloducs 3D, deux ventilateurs Mobius, un top travaillé et un design particulièrement réussi, le tout accompagné d’une garantie de cinq ans. Oui, Cooler Master veut frapper fort et en offre beaucoup pour une somme réduite par rapport à la concurrence — et ça fonctionne, malgré quelques petits défauts. Voyons tout cela dans ce nouvel article fermier.
Nous vous présentions récemment cette incongrue création du constructeur ASRock, réjouissons-nous, AMD organise un concours avec cinq cartes RX 9070 XT Monster Hunter Wilds à remporter ! […]
Comme à son habitude, Techspot nous propose un nouveau dossier très intéressant. C'est encore une fois un match entre deux cartes graphiques qui nous intéresse, avec d'un côté la GeForce RTX 5070 et de l'autre la Radeon RX 9070.
La première carte embarque 6144 Cuda Cores et 12 Go de GDDR7 en bus 192 bits, alors que la seconde propose 3584 unités de calcul et 16 Go de mémoire GDDR6 en bus 256 bits. […]
Au nom de l'économie, de la tech et de l'intelligence artificielle
Peter Thiel a récemment donné quatre conférences privées sur le potentiel avènement d’un « Antéchrist ». Interrogé, moqué, ce recours au registre religieux relève autant de la trajectoire personnelle de l’entrepreneur que d’une tendance de la Silicon Valley, voire d’une stratégie politique.
Jusqu’à ce mois d’octobre, Peter Thiel avait évité les caricatures de South Park. En près de trente ans d’existence, la série d’animation a eu le temps de se moquer de plusieurs personnalités, produits et pratiques de l’industrie numérique, de Steve Jobs à ChatGPT, en passant par l’usage de kétamine dans la Silicon Valley.
Puis l’un des financiers incontournables de cet écosystème – par ailleurs cofondateur de PayPal, de Palantir, et soutien inamovible du camp républicain – a donné au début de l’automne des conférences sur les liens entre technologies et religion. Organisées à huis clos, à San Francisco, ces quatre séances lui ont permis de détailler à son audience ce qui, selon lui, constituait l’Antéchrist, et ce qui risquait de faire advenir l’Apocalypse. Cela valait bien une caricature acerbe au pays d’Eric Cartman.
La fin des temps comme vanité
Ce qui étonne plus, peut-être, est la propension affichée de Peter Thiel aux discours eschatologiques, c’est-à-dire sur la fin des temps. Celle-ci se déploie en effet au moment même où son influence sur le gouvernement états-unien semble avoir atteint de premiers sommets, que ce soit via ses proches placés au cœur du réacteur trumpien, ou dans l’ampleur concrète que prend sa société de surveillance Palantir au sein de l’architecture numérique fédérale, comme à l’international.
Parmi ses hantises, qu’un « luddite qui voudrait stopper la science » parvienne à convaincre – devenant, de fait, ce qu’il qualifie d’Antéchrist. Pour l’entrepreneur, une telle critique des activités technologiques pourrait prendre les traits de l’activiste écologiste et pour les droits humains Greta Thunberg, ou bien ceux d’Eliezer Yudkowsky, promoteur d’une potentielle IA « amicale » devenu récemment critique de tous les projets visant à l’émergence d’une « superintelligence ».
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Un trailer de gameplay vient d'être dévoilé pour l'intrigant jeu MOUSE, attendu pour 2025 (joie, on pourra y jouer avant GTA 6 sur PC...), ce projet se démarque totalement, avec un style cartoonesque, tout en vous promettant d'évoluer dans un univers sombre, vous y incarnerez une souris MOUSE, détective dans son état (coucou Mickey Mouse).
Devenez détective privé dans MOUSE, un jeu de tir grinçant et jazzé. Avec des armes à feu et un style d'animation rétro de tuyau en caoutchouc, battez-vous dans une ville corrompue pleine d'escrocs et de dangers. Inspiré des FPS classiques et des films noirs, MOUSE est le jeu de tir explosif que vous attendiez. […]
On peut le dire, actuellement Microsoft met les bouchées doubles pour faire parler de lui, mais surtout pour faire parler de ses consoles. Il faut dire que la marque vient tout juste de lâcher sa ROG Xbox Ally X en partenariat avec ASUS, et la présidente du groupe n'arrête pas de teaser sur la console de salon Next Gen. Une console que l'on attend comme surpuissante, mais aussi probablement comme super chère.
D'ailleurs, Sarah Bond a déclaré à propos de cette console : « I can tell you you're right, that the next-gen console is going to be a very premium, very high-end curated experience. You're starting to see some of the thinking we have in this handheld, but I don't want to give it all away. » […]
Décidément... Après un gros DLC Void Shadows et alors que le jeu The Expanse: Osiris Reborn est en plein développement, Owlcat Games poursuit le suivi de Warhammer 40,000: Rogue Trader avec une mise à jour importante qui fait passer le jeu en version 1.5. Et pour ceux qui aiment perdre une journée à lire un changelog, il y a de quoi faire.
Nouvelles armes, rééquilibrage, corrections de bugs, nouveaux portraits, tout se découvre ici. De quoi aider les joueurs qui ont terminer l'histoire à se replonger dedans ?
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Présenté il y a un peu plus d'un an, le clavier ROG Falchion Ace HFX fait son grand retour chez ASUS avec un modèle que personne n'attendait : le ROG Falchion Ace HFX ZywOo Edition. Et autant le dire de suite, les fans de produits colorés devraient être ravis ! Du noir avec des touches oranges et roses ci et là, plus une grosse base rose pétant, voilà qui met de l'ambiance sur le bureau.
Quant à la fiche technique, elle reste toujours aussi complète.
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L'industrie du jeu vidéo a su se faire une place dans la société actuelle : ordinateur ultra-puissant dédié, dans les consoles ayant envahi les salons, jusqu'à être présent aussi dans les smartphones. Derrière cette colossale industrie, Greenly, l'expert de la comptabilité carbone, analyse l'empreinte carbone de ce loisir qui s'est étendu sur de nombreux supports et a fait émerger de nouvelles pratiques comme le fait de streamer des influenceurs gamers autour de live et de let's play sur Youtube et Twitch. A l'heure où les jeux vidéo deviennent toujours plus immersifs et puissants, est-il possible d'allier la créativité sans faille des bâtisseurs des mondes virtuels à l'impact réel de leurs activités ?
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Disponible depuis peu en Chine, la souris MD103 d'ASUS semble se diriger vers une sortie internationale. Une souris à la forme travaillée et à la fiche technique relativement simple qui s'oriente vers de la bureautique, sans pour autant mettre le jeu de côté grâce à la présence d'une connexion en 2.4 GHz en complément des connexions USB et Bluetooth. Certes, le capteur ne monte qu'à 2400 dpi, mais cela suffira peut-être à certains joueurs peu regardant sur la rapidité.
La souris, qui se trouve pour un peu moins de 30 U+20AC en Chine, met également en avant deux coloris, avec un Volt Green original et un Milky White qui lui donne un côté vintage. Pourquoi pas ?
[…]
Si les claviers et souris évoluent rapidement sur les spécifications techniques, ce n'est pas forcément le cas pour les packs, qui restent trop souvent dans un segment entrée de gamme assumé. Difficile de savoir si le nouvel ensemble Combat S de COUGAR sera dans cette catégorie faute de tarif recommandé, mais la fiche technique montre une belle tentative d'évolution sur plusieurs éléments.
Pas la connexion, celle-ci était filaire pour la souris et le clavier. Mais ce dernier bénéficie de petites attentions très intéressants, comme des switches mécaniques lubrifiés en usine ou bien une construction avec de la mousse pour changer la sensation de frappe et l'insonoriser. Le tout dans un format 98 % qui pourra plaire à ceux qui veulent un clavier complet sans occuper trop d'espace.
[…]
C’est la fin de la 3G chez Free Mobile. Les clients qui sont encore sur cette technologie en voie d’extinction passeront uniquement par de l’itinérance sur le réseau d’Orange, avec donc un débit de 384 kb/s maximum. L’annonce intervient alors que l’Arcep vient tout juste de valider la prolongation de l’itinérance, au grand dam de Bouygues Telecom.
Free a le sens du timing. La semaine dernière, l’Arcep validait la prolongation jusqu’à fin 2028 de son contrat d’itinérance avec Orange sur la 2G et la 3G. Comme nous l’expliquions alors (en analysant les retours), Bouygues Telecom dénonçait un « avantage concurrentiel » pour Free Mobile. L’itinérance ne devrait « pas avoir pour objet de permettre à un opérateur d’éteindre son réseau en propre au moins trois ans avant ses concurrents », expliquait Bouygues Telecom.
Jusqu’à présent il était indiqué : « service accessible sur le réseau Free Mobile en 3G/3G+ dans les bandes de fréquences 900 MHz et 2100 MHz, en itinérance 2G/3G sur tout ou une partie du réseau d’un opérateur historique partenaire ».
Désormais, il est précisé : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ». Plus aucune mention d’un réseau Free Mobile en propre.
Autre changement : les débits. Auparavant le débit maximum en réception en 3G était de 21 Mb/s ou 384 kbit/s en itinérance sur le réseau Orange, désormais les 21 Mb/s ont disparu pour laisser place uniquement aux 384 kb/s en itinérance, sur le réseau d’Orange donc.
Réutiliser les fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G
Dans un email envoyé à ses clients, Free Mobile annonce une « amélioration du réseau 4G et [une] évolution du réseau 3G ». L’évolution dont il est question est funeste, comme nous venons de le voir. Mais cette « évolution » permet de récupérer des fréquences dans les 900 et 2100 MHz, deux bandes utilisées par Free Mobile pour la 4G. Les fréquences sont pour rappel neutres technologiquement, les opérateurs peuvent donc y déployer les technologies qu’ils veulent.
« À compter du 15 décembre 2025, une partie des fréquences utilisées pour la 3G de Free Mobile sera affectée au réseau 4G pour permettre d’améliorer les débits et d’élargir la couverture en 4G », ajoute Free Mobile.
Dans ses retours à l’Arcep, Bouygues Telecom tirait à boulet rouge sur cette prolongation, la quatrième du genre depuis la signature du contrat en 2011 (Bouygues était opposé à toutes les prolongations). Dans sa dernière missive, l’opérateur parlait d’« un avantage que ses concurrents, dont Bouygues Telecom, ne seront pas en mesure de répliquer car tenus de maintenir l’exploitation d’un réseau 3G en propre ». Bouygues Telecom prévoit d’éteindre sa 3G fin 2029.
Les mises en service de Free Mobile s’étaient déroulées en juin, soit quelques semaines seulement avant que Free et Orange transmettent un avenant (en juillet) pour prolonger leur contrat d’itinérance jusqu’au 31 décembre 2025. L’accord était validé par le régulateur des télécoms début décembre 2022 et, au 1ᵉʳ janvier 2023, plus aucun site 2G Free Mobile n’était en service.
Pour résumer, Free active des sites 2G avant de transmettre un avenant à son contrat, puis les ferme cinq mois plus tard dès que c’est validé. En 3G, rebelote : Free décide de fermer totalement son réseau juste après la validation par l’Arcep de la prolongation de l’accord d’itinérance jusqu’à l’extinction de la 3G.
Au dernier décompte, 5,9 millions de terminaux étaient encore sur les réseaux 2G et 3G. Chez Orange, la 2G va fermer progressivement à partir de mars 2026 (jusqu’à fin 2026), tandis que ce sera fin 2028 pour la 3G. Free n’avait pas communiqué sur la fin de la 3G, nous savons désormais que, comme pour la 2G, ça sera calé sur l’extinction d’Orange.
La nouvelle a été diffusée par Axios, qui dit avoir consulté une note interne. Dans cette dernière, Alexandr Wang, responsable de l’IA chez Meta, indique que la mesure vise avant tout à « réduire la bureaucratie ». dans ses arguments, il assure ainsi que « moins de conversations seront nécessaires pour prendre une décision » et que « chaque personne sera plus porteuse et aura plus de portée et d’impact ».
Victimes de cette coupe, les 600 personnes concernées sont invitées à trouver d’autres postes au sein de Meta. « Il s’agit d’un groupe d’individus talentueux, et nous avons besoin de leurs compétences dans d’autres parties de l’entreprise », ajoute ainsi Alexandr Wang.
Comme le rappellent nos confrères, Mark Zuckerberg aurait estimé il y a plusieurs mois que les investissements dans l’IA ne conduisaient pas aux percées attendues. Ce qui aurait directement mené à la création des Superintelligence Labs et à une campagne d’embauches particulièrement coûteuse, Meta déboursant des milliards de dollars pour doter sa nouvelle structure. Alexandr Wang a justement été embauché pendant cette phase, en juillet au moment du rachat de 49 % des parts de Scale AI, que Wang avait fondée. Depuis cependant, l’entreprise semble avoir du mal à garder une partie de cette équipe constituée à grands frais.
La journaliste Ina Friend, de chez Axios, s’est fait le relai de nombreuses déclarations sur X autour de ces 600 suppressions de postes. Des entreprises comme Adobe, Arcee et Ai2 ont immédiatement réagi pour indiquer qu’elles embauchaient et étaient donc prêtes à accueillir les spécialistes intéressés. Mariya I. Vasileva, chercheuse aux Superintelligence Labs de Meta, indique être concernée et se déclare disponible. Même chose pour une autre chercheuse, Mimansa Jaiswai.
C’est la fin de la 3G chez Free Mobile. Les clients qui sont encore sur cette technologie en voie d’extinction passeront uniquement par de l’itinérance sur le réseau d’Orange, avec donc un débit de 384 kb/s maximum. L’annonce intervient alors que l’Arcep vient tout juste de valider la prolongation de l’itinérance, au grand dam de Bouygues Telecom.
Free a le sens du timing. La semaine dernière, l’Arcep validait la prolongation jusqu’à fin 2028 de son contrat d’itinérance avec Orange sur la 2G et la 3G. Comme nous l’expliquions alors (en analysant les retours), Bouygues Telecom dénonçait un « avantage concurrentiel » pour Free Mobile. L’itinérance ne devrait « pas avoir pour objet de permettre à un opérateur d’éteindre son réseau en propre au moins trois ans avant ses concurrents », expliquait Bouygues Telecom.
Jusqu’à présent il était indiqué : « service accessible sur le réseau Free Mobile en 3G/3G+ dans les bandes de fréquences 900 MHz et 2100 MHz, en itinérance 2G/3G sur tout ou une partie du réseau d’un opérateur historique partenaire ».
Désormais, il est précisé : « Service accessible en itinérance 2G/3G sur le réseau de l’opérateur historique partenaire ». Plus aucune mention d’un réseau Free Mobile en propre.
Autre changement : les débits. Auparavant le débit maximum en réception en 3G était de 21 Mb/s ou 384 kbit/s en itinérance sur le réseau Orange, désormais les 21 Mb/s ont disparu pour laisser place uniquement aux 384 kb/s en itinérance, sur le réseau d’Orange donc.
Réutiliser les fréquences de la 3G pour améliorer débits et couverture de la 4G
Dans un email envoyé à ses clients, Free Mobile annonce une « amélioration du réseau 4G et [une] évolution du réseau 3G ». L’évolution dont il est question est funeste, comme nous venons de le voir. Mais cette « évolution » permet de récupérer des fréquences dans les 900 et 2100 MHz, deux bandes utilisées par Free Mobile pour la 4G. Les fréquences sont pour rappel neutres technologiquement, les opérateurs peuvent donc y déployer les technologies qu’ils veulent.
« À compter du 15 décembre 2025, une partie des fréquences utilisées pour la 3G de Free Mobile sera affectée au réseau 4G pour permettre d’améliorer les débits et d’élargir la couverture en 4G », ajoute Free Mobile.
Dans ses retours à l’Arcep, Bouygues Telecom tirait à boulet rouge sur cette prolongation, la quatrième du genre depuis la signature du contrat en 2011 (Bouygues était opposé à toutes les prolongations). Dans sa dernière missive, l’opérateur parlait d’« un avantage que ses concurrents, dont Bouygues Telecom, ne seront pas en mesure de répliquer car tenus de maintenir l’exploitation d’un réseau 3G en propre ». Bouygues Telecom prévoit d’éteindre sa 3G fin 2029.
Les mises en service de Free Mobile s’étaient déroulées en juin, soit quelques semaines seulement avant que Free et Orange transmettent un avenant (en juillet) pour prolonger leur contrat d’itinérance jusqu’au 31 décembre 2025. L’accord était validé par le régulateur des télécoms début décembre 2022 et, au 1ᵉʳ janvier 2023, plus aucun site 2G Free Mobile n’était en service.
Pour résumer, Free active des sites 2G avant de transmettre un avenant à son contrat, puis les ferme cinq mois plus tard dès que c’est validé. En 3G, rebelote : Free décide de fermer totalement son réseau juste après la validation par l’Arcep de la prolongation de l’accord d’itinérance jusqu’à l’extinction de la 3G.
Au dernier décompte, 5,9 millions de terminaux étaient encore sur les réseaux 2G et 3G. Chez Orange, la 2G va fermer progressivement à partir de mars 2026 (jusqu’à fin 2026), tandis que ce sera fin 2028 pour la 3G. Free n’avait pas communiqué sur la fin de la 3G, nous savons désormais que, comme pour la 2G, ça sera calé sur l’extinction d’Orange.
La nouvelle a été diffusée par Axios, qui dit avoir consulté une note interne. Dans cette dernière, Alexandr Wang, responsable de l’IA chez Meta, indique que la mesure vise avant tout à « réduire la bureaucratie ». dans ses arguments, il assure ainsi que « moins de conversations seront nécessaires pour prendre une décision » et que « chaque personne sera plus porteuse et aura plus de portée et d’impact ».
Victimes de cette coupe, les 600 personnes concernées sont invitées à trouver d’autres postes au sein de Meta. « Il s’agit d’un groupe d’individus talentueux, et nous avons besoin de leurs compétences dans d’autres parties de l’entreprise », ajoute ainsi Alexandr Wang.
Comme le rappellent nos confrères, Mark Zuckerberg aurait estimé il y a plusieurs mois que les investissements dans l’IA ne conduisaient pas aux percées attendues. Ce qui aurait directement mené à la création des Superintelligence Labs et à une campagne d’embauches particulièrement coûteuse, Meta déboursant des milliards de dollars pour doter sa nouvelle structure. Alexandr Wang a justement été embauché pendant cette phase, en juillet au moment du rachat de 49 % des parts de Scale AI, que Wang avait fondée. Depuis cependant, l’entreprise semble avoir du mal à garder une partie de cette équipe constituée à grands frais.
La journaliste Ina Friend, de chez Axios, s’est fait le relai de nombreuses déclarations sur X autour de ces 600 suppressions de postes. Des entreprises comme Adobe, Arcee et Ai2 ont immédiatement réagi pour indiquer qu’elles embauchaient et étaient donc prêtes à accueillir les spécialistes intéressés. Mariya I. Vasileva, chercheuse aux Superintelligence Labs de Meta, indique être concernée et se déclare disponible. Même chose pour une autre chercheuse, Mimansa Jaiswai.
SpaceX has deactivated over 2,500 Starlink terminals allegedly used by scam operations in Myanmar, where the service isn't licensed but was reportedly enabling large-scale cybercrime networks tied to human trafficking and fraud. Ars Technica reports: Lauren Dreyer, vice president of Starlink business operations, described the action in an X post last night after reports that Myanmar's military shut down a major scam operation: "SpaceX complies with local laws in all 150+ markets where Starlink is licensed to operate," Dreyer wrote. "SpaceX continually works to identify violations of our Acceptable Use Policy and applicable law... On the rare occasion we identify a violation, we take appropriate action, including working with law enforcement agencies around the world. In Myanmar, for example, SpaceX proactively identified and disabled over 2,500 Starlink Kits in the vicinity of suspected 'scam centers.'"
Starlink is not licensed to operate in Myanmar. While Dreyer didn't say how the terminals were disabled, it's known that Starlink can disable individual terminals based on their ID numbers or use geofencing to block areas from receiving signals. On Monday, Myanmar state media reported that "Myanmar's military has shut down a major online scam operation near the border with Thailand, detaining more than 2,000 people and seizing dozens of Starlink satellite Internet terminals," according to an Associated Press article. The army reportedly raided a cybercrime center known as KK Park as part of operations that began in early September. The operations reportedly targeted 260 unregistered buildings and resulted in seizure of 30 Starlink terminals and detention of 2,198 people.
"Maj. Gen. Zaw Min Tun, the spokesperson for the military government, charged in a statement Monday night that the top leaders of the Karen National Union, an armed ethnic organization opposed to army rule, were involved in the scam projects at KK Park," the AP wrote. The Karen National Union is "part of the larger armed resistance movement in Myanmar's civil war" and "deny any involvement in the scams."
Le truc bien avec les boitiers de type aquarium, c'est qu'il est facile de faire des déclinaisons. HYTE l'a bien compris avec sa série Y colorée et équipée ou non d'un écran, et BitFenix suit une tendance similaire avec une approche sur deux angles.
La base est le nouveau boitier T10, qui va se décliner en versions Chrome, Mirror, ES et EF. Le Chrome opte pour un traitement chromé des différents panneaux en verre trempé, tandis que le Mirror passe en mode miroir sans tain. Enfin, les boitiers EF et ES optent pour du verre trempé transparent, avec un écran vertical pour le premier et horizontal pour le second.
[…]
Moonlight Ruin nous présente un nouveau mod pour le jeu DARK SOULS II et il s'avère plutôt complet, avec de nouvelles textures, armes, une meilleure cohérence dans la disposition des ennemies sur les maps, le déverrouillage de certaines portes condamnées et de nouveaux objets clés.
Le mod promet un rééquilibrage des dégâts pour les flèches et les carreaux. Le téléchargement se passe ici. […]