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☕️ AlmaLinux 10.1 réintroduit le support de Btrfs

AlmaLinux est une distribution basée sur le code source de CentOS Stream, le même dont est issue la Red Hat Enterprise Linux, dont AlmaLinux se réclame compatible. La distribution est donc suivie de près pour des installations sur des serveurs. Elle est développée et gouvernée par la communauté, Red Hat n’intervenant pas.

Dans la bêta de la version 10.1 lancée ce 21 octobre, AlmaLinux réintroduit le support du système de fichiers Btrfs. Ce n’est pas rien, car Red Hat en avait supprimé le support il y a presque dix ans dans son RHEL 6.8. or, ce système de fichiers apporte de nombreuses fonctions qui ont les préférences d’une partie des utilisateurs.

Comme nous l’avions indiqué dans notre dossier à l’époque, Btrfs propose nombre de capacités considérées comme avancées : copie sur écriture (copy-on-write), compression transparente, gestion des volumes intégrée, création et restauration de snapshots (instantanés), les sommes de contrôle (checksums) pour les données et métadonnées, etc.

Crédits : AlmaLinux

Le support de Btrfs dans AlmaLinux peut être activé à l’installation en passant par le mode personnalisé lors du partitionnement, choisissant cette option plutôt que XFS-LVM. Dans le billet de blog de l’annonce, le développeur Davide Cavalca prévient cependant que cette prise en charge n’est pas encore complète :

« La prise en charge de Btrfs englobe à la fois l’activation du noyau et de l’espace utilisateur, et il est maintenant possible d’installer le système d’exploitation AlmaLinux avec un système de fichiers Btrfs dès le début. L’activation initiale a été limitée à l’installateur et à la pile de gestion du stockage, et une prise en charge plus large des fonctionnalités Btrfs au sein de la collection de logiciels AlmaLinux est à venir »

Pour le reste, AlmaLinux 10.1 fournit des améliorations de performances, de nouvelles versions de nombreux paquets (surtout ceux liés au développement) ou encore une sécurité accrue, grâce notamment à des règles mises à jour pour SELinux.

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☕️ AlmaLinux 10.1 réintroduit le support de Btrfs

AlmaLinux est une distribution basée sur le code source de CentOS Stream, le même dont est issue la Red Hat Enterprise Linux, dont AlmaLinux se réclame compatible. La distribution est donc suivie de près pour des installations sur des serveurs. Elle est développée et gouvernée par la communauté, Red Hat n’intervenant pas.

Dans la bêta de la version 10.1 lancée ce 21 octobre, AlmaLinux réintroduit le support du système de fichiers Btrfs. Ce n’est pas rien, car Red Hat en avait supprimé le support il y a presque dix ans dans son RHEL 6.8. or, ce système de fichiers apporte de nombreuses fonctions qui ont les préférences d’une partie des utilisateurs.

Comme nous l’avions indiqué dans notre dossier à l’époque, Btrfs propose nombre de capacités considérées comme avancées : copie sur écriture (copy-on-write), compression transparente, gestion des volumes intégrée, création et restauration de snapshots (instantanés), les sommes de contrôle (checksums) pour les données et métadonnées, etc.

Crédits : AlmaLinux

Le support de Btrfs dans AlmaLinux peut être activé à l’installation en passant par le mode personnalisé lors du partitionnement, choisissant cette option plutôt que XFS-LVM. Dans le billet de blog de l’annonce, le développeur Davide Cavalca prévient cependant que cette prise en charge n’est pas encore complète :

« La prise en charge de Btrfs englobe à la fois l’activation du noyau et de l’espace utilisateur, et il est maintenant possible d’installer le système d’exploitation AlmaLinux avec un système de fichiers Btrfs dès le début. L’activation initiale a été limitée à l’installateur et à la pile de gestion du stockage, et une prise en charge plus large des fonctionnalités Btrfs au sein de la collection de logiciels AlmaLinux est à venir »

Pour le reste, AlmaLinux 10.1 fournit des améliorations de performances, de nouvelles versions de nombreux paquets (surtout ceux liés au développement) ou encore une sécurité accrue, grâce notamment à des règles mises à jour pour SELinux.

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GTK 4.22 To Natively Support SVG - Including Animations

GTK has long supported Scalable Vector Graphics (SVG) for icons but with up until recently relying on the external librsvg library, the integration hasn't been perfect. But Red Hat engineer Matthias Clasen has been working on having the GTK toolkit natively support SVG...
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Noctua fête ses vingts ans avec un tapis NP-DM3 qui claque

Cette année, Noctua fête un bel anniversaire : vingt ans. Et quoi de mieux qu'un produit exclusif pour ça ? Place au NP-DM3, un tapis 100 % Noctua avec du marron et une ligne de temps qui met en avant les produits phares de la marque au fil des années. Mesurant 900 x 400 mm, il est d'ores et déjà disponible pour 39.90 U+20AC. […]

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Pulsar eS HE 70 - un clavier moderne et performant !

Les claviers avec switches magnétiques sont désormais courants, et les tarifs peuvent aller du simple au double. Partons plutôt sur un segment tarifaire élevé aujourd'hui avec Pulsar et le clavier eS HE 70, un modèle qui s'avance à environ 220 U+20AC avec une jolie finition en aluminium, un écran, des touches en PBT ou encore une construction avec des plaques en silicone. Un bon choix pour un jouer exigeant ? Verdict ici : Pulsar eS HE 70 ou sur la source. […]

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DMA : Apple intensifie son offensive en déposant plainte contre l’Union européenne

DMA : Apple intensifie son offensive en déposant plainte contre l’Union européenne

La détestation profonde d’Apple pour le Digital Markets Act s’est changée en plainte officielle. L’entreprise américaine attaque l’Union européenne pour un texte qui ne peut aboutir, selon elle, qu’à une réduction de la sécurité pour la clientèle du Vieux Continent, entre autres.

Apple a déposé plainte contre l’Union européenne devant sa propre Cour de justice (CJUE) au Luxembourg.

Une plainte sur trois piliers

Dans sa plainte, Apple mentionne les trois points sur lesquels elle attaque l’Union.

Son grief principal concerne l’ouverture forcée de certaines technologies au seul bénéfice de sociétés tierces, rapporte Bloomberg, notamment tout ce qui touche aux écouteurs et montres connectées, comme la bascule automatique des appareils en fonction de ce qui est utilisé. Si les demandes de la Commission européenne peuvent paraître raisonnables, il n’en serait rien pour Apple, pour qui ces exigences n’aboutiront qu’à une baisse générale de la sécurité et de la protection de la vie privée.

L’entreprise est vent debout contre ces demandes, comme elle le faisait savoir en juin dernier. En décembre 2024, Apple accusait déjà Meta d’abuser du DMA avec de multiples demandes d’interopérabilité, dont la finalité n’était (selon Cupertino) que la collecte d’un plus grand nombre de données personnelles.

Meta aurait ainsi instrumentalisé le DMA pour obtenir autant d’informations que possible. Si Apple avait accepté, la société de Mark Zuckerberg aurait été en capacité « de lire sur l’appareil d’un utilisateur tous ses messages et courriels, de voir tous les appels téléphoniques qu’il passe ou reçoit, de suivre toutes les applications qu’il utilise, de scanner toutes ses photos, de regarder ses fichiers et les événements de son calendrier, d’enregistrer tous ses mots de passe, et bien plus encore », fustigeait Apple.

Sans surprise, le deuxième pilier de la plainte concerne l’App Store. Pour Apple, il ne devrait pas être considéré comme un service unique et donc ne pas être concerné par le DMA. Dans le viseur d’Apple bien sûr, son obligation de permettre aux boutiques tierces de s’installer, ainsi que d’autres exigences comme la liberté de choisir son prestataire de paiement. Une fêlure dans le juteux modèle commercial de l’entreprise, qui touche une commission allant de 30 % sur tous les achats, pouvant tomber à 15 % pour les abonnements quand ils entrent dans leur deuxième année.

Enfin, Apple conteste la tentative de la Commission d’enquêter sur son service iMessage, puisque ce dernier ne génère aucun revenu pour l’entreprise.

Visions contraires

Daniel Beard, l’un des avocats d’Apple, a indiqué devant le tribunal que le DMA « impose des charges extrêmement lourdes et intrusives » aux entreprises, tout particulièrement Apple qui semble plus visée que les autres. Ces obligations « ignorent la protection des droits de propriété et les questions de confidentialité et de sécurité, qui sont vitales pour les citoyens de l’Union européenne », a ajouté l’avocat.

Paul-John Loewenthal, l’un des avocats de la Commission européenne, estime au contraire qu’Apple a un « contrôle absolu » sur l’iPhone, lui ayant permis de générer « des bénéfices anormalement élevés sur des marchés complémentaires où ses concurrents sont handicapés et ne peuvent pas rivaliser avec lui sur un pied d’égalité ».

« Seul Apple a les clés de ce jardin clos. Elle décide qui les obtient et qui peut offrir ses produits et services aux utilisateurs d’iPhone. Et grâce à ce contrôle, Apple a verrouillé plus d’un tiers des utilisateurs européens de smartphones », a ajouté l’avocat européen.

Le point d’orgue d’une longue détestation

La plainte d’Apple est peu surprenante. La firme américaine a déjà eu de nombreuses occasions de dire tout le mal qu’elle pensait de la réglementation européenne.

Fin septembre, elle torpillait ainsi le DMA pour ses complexités, son manque d’homogénéité dans son application au sein des États membres ou encore les lourdeurs que le règlement entrainait. Le pamphlet d’Apple était autant dirigé contre les politiques de Bruxelles que pour les utilisateurs, avec un message simple : si des fonctions ont du retard en Europe, c’est à cause du DMA, et les citoyens européens vont pâtir d’un retard technologique, notamment tout ce qui touche à l’IA.

En clair, le DMA n’est pas bon pour les affaires et complique tout. Quelques jours plus tard, la Commission répondait par la voix de son porte-parole Thomas Regnier, qui n’avait alors pas masqué son agacement : « Apple a toujours contesté la moindre phrase du DMA depuis son entrée en vigueur. […] Nous nous inquiétons grandement de la conformité d’Apple aux dispositions de cette législation. […] Nous avons facilité la conformité avec la législation pour Apple et nous l’avons aidée à faciliter l’interopérabilité. Au bout de deux mois, Apple nous demande de revenir sur toutes les dispositions prises. Nous comprenons bien les choses : les entreprises veulent défendre à tout prix leurs profits ».

On se souvient également de la grande charge portée contre le DMA en mars 2024. Dans un livre blanc, l’entreprise tentait de prouver par A + B que le DMA allait entrainer une baisse de la sécurité sur les iPhone européens. Les boutiques tierces allaient notamment provoquer une apocalypse en laissant entrer des malwares de tous les côtés. Apple était allée jusqu’à déclarer que ses smartphones seraient moins sécurisés en Europe, mais que même en tenant compte de cet impact, ils resteraient les téléphones les plus sécurisés du marché.

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DMA : Apple intensifie son offensive en déposant plainte contre l’Union européenne

DMA : Apple intensifie son offensive en déposant plainte contre l’Union européenne

La détestation profonde d’Apple pour le Digital Markets Act s’est changée en plainte officielle. L’entreprise américaine attaque l’Union européenne pour un texte qui ne peut aboutir, selon elle, qu’à une réduction de la sécurité pour la clientèle du Vieux Continent, entre autres.

Apple a déposé plainte contre l’Union européenne devant sa propre Cour de justice (CJUE) au Luxembourg.

Une plainte sur trois piliers

Dans sa plainte, Apple mentionne les trois points sur lesquels elle attaque l’Union.

Son grief principal concerne l’ouverture forcée de certaines technologies au seul bénéfice de sociétés tierces, rapporte Bloomberg, notamment tout ce qui touche aux écouteurs et montres connectées, comme la bascule automatique des appareils en fonction de ce qui est utilisé. Si les demandes de la Commission européenne peuvent paraître raisonnables, il n’en serait rien pour Apple, pour qui ces exigences n’aboutiront qu’à une baisse générale de la sécurité et de la protection de la vie privée.

L’entreprise est vent debout contre ces demandes, comme elle le faisait savoir en juin dernier. En décembre 2024, Apple accusait déjà Meta d’abuser du DMA avec de multiples demandes d’interopérabilité, dont la finalité n’était (selon Cupertino) que la collecte d’un plus grand nombre de données personnelles.

Meta aurait ainsi instrumentalisé le DMA pour obtenir autant d’informations que possible. Si Apple avait accepté, la société de Mark Zuckerberg aurait été en capacité « de lire sur l’appareil d’un utilisateur tous ses messages et courriels, de voir tous les appels téléphoniques qu’il passe ou reçoit, de suivre toutes les applications qu’il utilise, de scanner toutes ses photos, de regarder ses fichiers et les événements de son calendrier, d’enregistrer tous ses mots de passe, et bien plus encore », fustigeait Apple.

Sans surprise, le deuxième pilier de la plainte concerne l’App Store. Pour Apple, il ne devrait pas être considéré comme un service unique et donc ne pas être concerné par le DMA. Dans le viseur d’Apple bien sûr, son obligation de permettre aux boutiques tierces de s’installer, ainsi que d’autres exigences comme la liberté de choisir son prestataire de paiement. Une fêlure dans le juteux modèle commercial de l’entreprise, qui touche une commission allant de 30 % sur tous les achats, pouvant tomber à 15 % pour les abonnements quand ils entrent dans leur deuxième année.

Enfin, Apple conteste la tentative de la Commission d’enquêter sur son service iMessage, puisque ce dernier ne génère aucun revenu pour l’entreprise.

Visions contraires

Daniel Beard, l’un des avocats d’Apple, a indiqué devant le tribunal que le DMA « impose des charges extrêmement lourdes et intrusives » aux entreprises, tout particulièrement Apple qui semble plus visée que les autres. Ces obligations « ignorent la protection des droits de propriété et les questions de confidentialité et de sécurité, qui sont vitales pour les citoyens de l’Union européenne », a ajouté l’avocat.

Paul-John Loewenthal, l’un des avocats de la Commission européenne, estime au contraire qu’Apple a un « contrôle absolu » sur l’iPhone, lui ayant permis de générer « des bénéfices anormalement élevés sur des marchés complémentaires où ses concurrents sont handicapés et ne peuvent pas rivaliser avec lui sur un pied d’égalité ».

« Seul Apple a les clés de ce jardin clos. Elle décide qui les obtient et qui peut offrir ses produits et services aux utilisateurs d’iPhone. Et grâce à ce contrôle, Apple a verrouillé plus d’un tiers des utilisateurs européens de smartphones », a ajouté l’avocat européen.

Le point d’orgue d’une longue détestation

La plainte d’Apple est peu surprenante. La firme américaine a déjà eu de nombreuses occasions de dire tout le mal qu’elle pensait de la réglementation européenne.

Fin septembre, elle torpillait ainsi le DMA pour ses complexités, son manque d’homogénéité dans son application au sein des États membres ou encore les lourdeurs que le règlement entrainait. Le pamphlet d’Apple était autant dirigé contre les politiques de Bruxelles que pour les utilisateurs, avec un message simple : si des fonctions ont du retard en Europe, c’est à cause du DMA, et les citoyens européens vont pâtir d’un retard technologique, notamment tout ce qui touche à l’IA.

En clair, le DMA n’est pas bon pour les affaires et complique tout. Quelques jours plus tard, la Commission répondait par la voix de son porte-parole Thomas Regnier, qui n’avait alors pas masqué son agacement : « Apple a toujours contesté la moindre phrase du DMA depuis son entrée en vigueur. […] Nous nous inquiétons grandement de la conformité d’Apple aux dispositions de cette législation. […] Nous avons facilité la conformité avec la législation pour Apple et nous l’avons aidée à faciliter l’interopérabilité. Au bout de deux mois, Apple nous demande de revenir sur toutes les dispositions prises. Nous comprenons bien les choses : les entreprises veulent défendre à tout prix leurs profits ».

On se souvient également de la grande charge portée contre le DMA en mars 2024. Dans un livre blanc, l’entreprise tentait de prouver par A + B que le DMA allait entrainer une baisse de la sécurité sur les iPhone européens. Les boutiques tierces allaient notamment provoquer une apocalypse en laissant entrer des malwares de tous les côtés. Apple était allée jusqu’à déclarer que ses smartphones seraient moins sécurisés en Europe, mais que même en tenant compte de cet impact, ils resteraient les téléphones les plus sécurisés du marché.

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Linux Looks To Orphan Its ISDN Subsystem

Integrated Services Digital Network (ISDN) usage is long obsolete even where it had enjoyed some successes in the likes of Germany and Norway. With no activity in years to the ISDN and mISDN subsystem code for the Linux kernel, a patch was sent out today for orphaning the code...
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Pulsar eS HE 70 - un clavier moderne et performant !

Aujourd’hui, nous nous retrouvons pour le test du Pulsar eS HE 70. Pour ce HE 70, la marque coréenne nous livre une proposition résolument orientée gaming compétitif, et plus particulièrement pour les FPS, comme souvent avec Pulsar. Switches magnétiques avec presque aucun wobble, Rapid Trigger, SOCD, 8 kHz (avec l’une des latences les plus faibles du marché), écran pour configurer le clavier à la volée dans un format compact et facilement transportable : tout est pensé pour les joueurs voulant un clavier performant. Malgré ce côté gaming assumé, Pulsar n’a pas oublié de faire de ce HE 70 un clavier à l’expérience de frappe agréable. Deux couches de silicone sont présentes dans la bête, et les switches comme les stabilisateurs sont lubrifiés. Résultat : une frappe léchée au son clacky. De plus, les belles finitions en aluminium et les keycaps en PBT au RGB soigné offrent un rendu moderne et sobre. Néanmoins, tout n’est pas parfait sur ce eS HE 70 : s’il est excellent, pour nous, Français, pas d’ISO FR ! Il faudra se contenter du layout états-unien ANSI US. De plus, au prix de 220 €, nous sommes sur un clavier très haut de gamme niveau performances, mais ce gain en puissance, notamment au niveau du polling rate, est-il perceptible au point de justifier ce prix élevé ? Décortiquons tout cela dans notre test !
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Quel PC pour jouer à Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2 ? Plus de 30 cartes testées !

On retrouve un Techpower Up assoiffé de sang frais ce matin, avec un dossier dédié au jeu Vampire: The Masquerade - Bloodlines 2 ! Le dossier se nomme Vampire The Masquerade Bloodlines 2 Performance Benchmark Review - 30+ GPUs Tested, les cartes testées vont de la RX 7600 à la RX 9070 XT, pour AMD, de la RTX 3060 à la RTX 5090, pour NVIDIA et les ARC A770 et B580, pour Intel.En 1080p, la RTX 3070 est la première à passer les 60 fps, de moyenne, en 1440p, il faut passer à une RTX 5060 Ti et en 2160p, à une RX 6900 XT pour passer cette marque. […]

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Cooler Master V4 Alpha 3DHP Black, une excellente surprise à petit prix

Tout juste annoncé, le Cooler Master V4 Alpha 3DHP Black passe entre nos mains avec d'excellentes surprises : pour 39 U+20AC, Cooler Master frappe fort et avance un produit qui affiche une excellente finition, des performances au rendez-vous et des nuisances contenues, le tout avec une technologie 3DHP qui s'annonce très intéressante. Disons-le de suite, c'est tout simplement un excellent choix pour apporter en plus un peu de couleur dans son boitier avec un joli top gris. A découvrir ici : Cooler Master V4 Alpha 3DHP Black ou sur la source. […]

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Bon Plan : batterie UGREEN Nexode 67W 20000 mAh à 39.99€

La batterie UGREEN Nexode 67W propose une charge rapide en Power Delivery 3.0 avec 67 W de charge rapide. Avec 20000 mAh de capacité qui se rechargera elle-même en 2 heures, elle permet de mettre d’aplomb de nombreux appareils facilement. Le bloc mesure 13.9 cm de long sur 8 cm de large et 2.6 cm d’épaisseur pour 393 grammes. 

La UGREEN Nexode 67W propose un câble USB Type-C intégré pour charger ou se recharger. Une prise au même format et un port USB Type-A sont également présents pour connecter tout type de connecteur. Un petit écran LCD indique le pourcentage de batterie restant. Avec sa capacité embarquée, la UGreen permettra de remettre un smartphone moderne d’aplomb quatre fois. Elle pourra également seconder un portable ou une console. Elle est garantie pour 800 cycles de charge à 100% de sa capacité et le constructeur promet une longue durée de vie permettant de conserver 80% de sa charge à 5 ans.

La batterie est proposée sur Amazon à 39.99€ au lieu de 59.99€ habituellement. Un bon prix pour un modèle de qualité. Le marché des batteries mobiles est encore empêtré dans un scandale lié à des composants de mauvaise qualité pouvant poser problème. Un scandale dont Ugreen est sorti la tête haute de manière assez intelligente.

Voir l’offre sur Amazon

La Bérézina des batteries mobiles

Bon Plan : batterie UGREEN Nexode 67W 20000 mAh à 39.99€ © MiniMachines.net. 2025

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☕️ Apple enlève l’application controversée Tea de l’App Store

Apple indique avoir enlevé deux applications controversées, Tea et TeaOnHer, de son App Store, après plusieurs mois de controverses.

Le projet affiché : permettre aux femmes hétérosexuelles de faire des rencontres « en toute sécurité », en s’échangeant des informations sur les hommes qu’elles ont rencontrés ou s’apprêtent à rencontrer.

Outre l’irritation qu’elle a pu provoquer chez des hommes peu enclins à se voir accolés des « red flags » (drapeaux rouges, signe de danger) ou des « green flags » (drapeaux verts), l’application a été victime en juillet dernier d’un double piratage, dans lequel 72 000 images d’utilisatrices et des messages privés ont fuité.

L’application et son projet rival, TeaOnHer, créé a posteriori pour permettre aux hommes d’avoir le même type de service, ont finalement été bannis de l’App Store ce 21 octobre.

À TechCrunch, Apple indique que les deux services ne respectent pas ses conditions de protection de la vie privée ni celles de modération. Les deux applications sont toujours disponibles sur le Play Store de Google.

Tea a été téléchargée 6,1 millions de fois depuis sa création en 2023, et aurait généré 5 millions de dollars de chiffre d’affaires sur la période. TeaOnHer a été téléchargée 2,2 millions de fois.

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☕️ Apple enlève l’application controversée Tea de l’App Store

Apple indique avoir enlevé deux applications controversées, Tea et TeaOnHer, de son App Store, après plusieurs mois de controverses.

Le projet affiché : permettre aux femmes hétérosexuelles de faire des rencontres « en toute sécurité », en s’échangeant des informations sur les hommes qu’elles ont rencontrés ou s’apprêtent à rencontrer.

Outre l’irritation qu’elle a pu provoquer chez des hommes peu enclins à se voir accolés des « red flags » (drapeaux rouges, signe de danger) ou des « green flags » (drapeaux verts), l’application a été victime en juillet dernier d’un double piratage, dans lequel 72 000 images d’utilisatrices et des messages privés ont fuité.

L’application et son projet rival, TeaOnHer, créé a posteriori pour permettre aux hommes d’avoir le même type de service, ont finalement été bannis de l’App Store ce 21 octobre.

À TechCrunch, Apple indique que les deux services ne respectent pas ses conditions de protection de la vie privée ni celles de modération. Les deux applications sont toujours disponibles sur le Play Store de Google.

Tea a été téléchargée 6,1 millions de fois depuis sa création en 2023, et aurait généré 5 millions de dollars de chiffre d’affaires sur la période. TeaOnHer a été téléchargée 2,2 millions de fois.

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[Tuto] Créer en live une machine virtuelle à partir de son Windows avec Disk2vhd

Douter c’est pour les faibles, je suis faible !
[Tuto] Créer en live une machine virtuelle à partir de son Windows avec Disk2vhd

Sauvegarder ses données régulièrement fait partie d’une bonne hygiène numérique. Mais savez-vous que vous pouvez « cloner » votre Windows en quelques clics, puis le relancer sur n’importe quelle autre machine ? On vous explique les quelques étapes, avec un outil officiel de Microsoft.

Une application avec des données enregistrées dans un coin, un document stocké dans un répertoire inhabituel, une configuration précise d’un logiciel… le risque de perdre une information est plus ou moins important selon les utilisateurs.

Imaginons, par exemple, que je réinstalle mon ordinateur portable avec Linux. Tout se passe bien, j’installe tous les logiciels et là c’est le drame : je n’ai pas sauvegardé ma configuration Wireguard… Deux solutions : aller voir l’équipe réseau de moji et leur demander pour la 56 234ᵉ fois une configuration (avec des moqueries méritées au passage), ou bien lancer mon Windows virtualisé, ouvrir Wireguard et récupérer la configuration à la source. Voici justement comment en réaliser une copie virtuelle.

Créer un Virtual Hard Disk (VHD) d’un disque physique


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Qualcomm Plumbing "SSR" Support To Deal With Crashes On AI Accelerators

Crashes on NPUs and AI accelerators are unfortunately a thing and yet another obstacle to worry about it with modern computing. Qualcomm developers have sent out patches for Sub-System Restart "SSR" functionality for their Qualcomm AI Accelerator (QAIC) driver for Linux to handle restarts when workload crashes occur on their AI accelerator hardware...
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Apple Readies New Framework To Let iPhone Users Migrate App Data To Android

An anonymous reader quotes a report from 9to5Mac: Apple has been working on a new framework called AppMigrationKit, which will be compatible with devices running iOS 26.1 and later, as well as iPadOS 26.1 and later. Like iOS and iPadOS 26.1, the framework is currently in beta and will allow developers to include their app's data during the migration process between Apple and non-Apple devices (which, for now, essentially means Android). Interestingly, Apple notes that this framework is not intended for data migration between iOS and iPadOS, but rather exclusively to and from non-Apple devices: "AppMigrationKit only supports migration to and from non-Apple platforms, such as Android. The system doesn't use the framework for migration between iOS or iPadOS devices. The framework also has no functionality in iOS apps running in visionOS or in macOS on Apple silicon. The framework ignores calls from Mac apps built with Mac Catalyst." The AppMigrationKit documentation can be found here.

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