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Dans Firefox, les extensions vont devoir lister les données collectées

Simple et efficace
Dans Firefox, les extensions vont devoir lister les données collectées

Mozilla prépare un important changement, avec l’obligation pour les extensions de préciser si des données sont collectées et lesquelles. Cette règle sera active le 3 novembre pour les nouvelles extensions, mais sera étendue à toutes en 2026.

La fondation Mozilla va imposer de nouvelles règles aux extensions publiées dans sa boutique officielle addons.mozilla.org. Ainsi, à compter du 3 novembre, toutes les nouvelles extensions qui seront soumises pour vérification devront intégrer une nouvelle clé dans leur fichier manifeste (manifest.json).

Qui collecte quoi

Cette clé – browser_specific_settings.gecko.data_collection_permissions – devra impérativement être renseignée, sous peine de rejet lors de l’examen. Dans le cas où une extension ne collecterait aucune donnée, la clé devra avoir pour valeur « none ». Dans le cas contraire, tous les types d’informations devront être mentionnés, par exemple la position géographique.

L’idée, bien sûr, est d’afficher cette information pour que l’internaute sache précisément à quoi s’en tenir. L’information sera d’ailleurs indiquée à plusieurs endroits : dans la fenêtre d’installation, sur la page officielle de l’extension dans la boutique de Mozilla, ainsi que dans la section Permissions de la page « Vie privée et sécurité » des paramètres du navigateur.

Durant une phase de plusieurs mois, cette obligation ne concernera que les nouvelles extensions proposées pour révision, et pas les mises à jour des extensions existantes. Une fois qu’une extension disposera de la nouvelle clé, elle devra la réutiliser pour toutes ses versions ultérieures. Si elle devait ne pas être renseignée dans le manifeste, l’extension serait rejetée.

Généralisation à toutes les extensions l’année prochaine

Cependant, durant le premier semestre 2026, le mécanisme sera étendu à toutes les extensions. L’éditeur ne précise pas si ces extensions auront une date limite pour s’y atteler ou si l’obligation concernera uniquement les mises à jour. Mozilla indique dans son billet que des informations supplémentaires seront bientôt publiées et que tous les développeurs seront prévenus de cette bascule.

Il est probable que la nouvelle règle s’applique surtout aux mises à jour, au moins dans un premier temps. Une date butoir pourrait être envisagée, mais sera sans doute assez lointaine, pour ne pas risquer de voir la boutique se vider d’un trop grand nombre d’extensions. Il peut exister de multiples raisons pouvant expliquer une absence de mise à jour, dont un manque de temps voire un abandon du projet. La question sera alors de savoir si ces extensions pourront encore rester sur la boutique.

Le changement, quoi qu’il en soit, est positif en matière de sécurité et de vie privée. Notez que des informations existent déjà sur les fiches des extensions sur la boutique de Mozilla, de même que dans le Chrome Web Store. L’idée de Mozilla est surtout de mettre en avant une information cruciale qui pourrait influer sur la décision d’installer ou non plus une extension. Le Chrome Web Store précise quand une extension peut lire et modifier toutes les données sur l’ensemble des sites, mais pas quand des données sont collectées. La liste des autorisations sur la fiche correspondante permet cependant de le deviner.

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Dans Firefox, les extensions vont devoir lister les données collectées

Simple et efficace
Dans Firefox, les extensions vont devoir lister les données collectées

Mozilla prépare un important changement, avec l’obligation pour les extensions de préciser si des données sont collectées et lesquelles. Cette règle sera active le 3 novembre pour les nouvelles extensions, mais sera étendue à toutes en 2026.

La fondation Mozilla va imposer de nouvelles règles aux extensions publiées dans sa boutique officielle addons.mozilla.org. Ainsi, à compter du 3 novembre, toutes les nouvelles extensions qui seront soumises pour vérification devront intégrer une nouvelle clé dans leur fichier manifeste (manifest.json).

Qui collecte quoi

Cette clé – browser_specific_settings.gecko.data_collection_permissions – devra impérativement être renseignée, sous peine de rejet lors de l’examen. Dans le cas où une extension ne collecterait aucune donnée, la clé devra avoir pour valeur « none ». Dans le cas contraire, tous les types d’informations devront être mentionnés, par exemple la position géographique.

L’idée, bien sûr, est d’afficher cette information pour que l’internaute sache précisément à quoi s’en tenir. L’information sera d’ailleurs indiquée à plusieurs endroits : dans la fenêtre d’installation, sur la page officielle de l’extension dans la boutique de Mozilla, ainsi que dans la section Permissions de la page « Vie privée et sécurité » des paramètres du navigateur.

Durant une phase de plusieurs mois, cette obligation ne concernera que les nouvelles extensions proposées pour révision, et pas les mises à jour des extensions existantes. Une fois qu’une extension disposera de la nouvelle clé, elle devra la réutiliser pour toutes ses versions ultérieures. Si elle devait ne pas être renseignée dans le manifeste, l’extension serait rejetée.

Généralisation à toutes les extensions l’année prochaine

Cependant, durant le premier semestre 2026, le mécanisme sera étendu à toutes les extensions. L’éditeur ne précise pas si ces extensions auront une date limite pour s’y atteler ou si l’obligation concernera uniquement les mises à jour. Mozilla indique dans son billet que des informations supplémentaires seront bientôt publiées et que tous les développeurs seront prévenus de cette bascule.

Il est probable que la nouvelle règle s’applique surtout aux mises à jour, au moins dans un premier temps. Une date butoir pourrait être envisagée, mais sera sans doute assez lointaine, pour ne pas risquer de voir la boutique se vider d’un trop grand nombre d’extensions. Il peut exister de multiples raisons pouvant expliquer une absence de mise à jour, dont un manque de temps voire un abandon du projet. La question sera alors de savoir si ces extensions pourront encore rester sur la boutique.

Le changement, quoi qu’il en soit, est positif en matière de sécurité et de vie privée. Notez que des informations existent déjà sur les fiches des extensions sur la boutique de Mozilla, de même que dans le Chrome Web Store. L’idée de Mozilla est surtout de mettre en avant une information cruciale qui pourrait influer sur la décision d’installer ou non plus une extension. Le Chrome Web Store précise quand une extension peut lire et modifier toutes les données sur l’ensemble des sites, mais pas quand des données sont collectées. La liste des autorisations sur la fiche correspondante permet cependant de le deviner.

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Fedora Linux 43 Now Available For Download

It's Fedora 43 release day! This latest installment of Fedora Linux is now available for download with Fedora Workstation 43 using the GNOME 49 desktop, the modern Linux 6.17 kernel powering this distribution release, and many exciting improvements and other leading-edge software updates powering this Red Hat sponsored Linux distribution...
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Logitech G Pro X Superlight 2c, ENFIN en format mini !

L’iconique souris de Logitech, la Superlight, continue d’évoluer : après la 2, la 2 DEX et la 2 SE, nous nous retrouvons aujourd’hui pour le test de la G Pro X Superlight 2c, une version mini des anciens modèles (mais pas que !). Poids de 53 grammes, belle autonomie, performances au top, switches hybrides optiques/mécaniques, excellents patins, dongle 8KHz, boutons latéraux améliorés et forme compacte adaptée aux plus petites mains ainsi qu’au fingertip grip : nous sommes ici face à une version aboutie de la Superlight et certainement le meilleur modèle du lineup à la date de parution de ce test. Logitech semble avoir écouté les joueurs sur les défauts de la Superlight qui tardaient à être résolus, comme les patins ou les boutons latéraux : ils sont tout simplement excellents sur cette 2c ! Néanmoins, tout n’est pas parfait, la molette n’est clairement pas la meilleure et surtout… Le nouveau flagship de la marque suisse arrive au prix de 180€ ! Dans un marché aussi compétitif que celui des souris, c’est un prix très (très) élevé. Voyons dans notre test si cette mini Superlight en vaut la peine !
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Inclusion ou subvention américaine, la fondation Python a choisi

Serpents et panier de crabes
Inclusion ou subvention américaine, la fondation Python a choisi

La Python Software Foundation explique avoir dû refuser une subvention de 1,5 million de dollars. Les conditions assorties mentionnaient l’interdiction de toute politique DEI (diversité, équité et inclusion).

Comme elle l’explique dans un billet publié ce 27 octobre, la Python Software Foundation – qui gère le développement du langage – vient de refuser une importante subvention américaine.

1,5 million de dollars sur deux ans

En janvier dernier, elle avait en effet envoyé une demande de subvention à la National Science Foundation du gouvernement américain dans le cadre du programme Safety, Security, and Privacy of Open Source Ecosystems. Ce programme permet de recevoir des fonds pour travailler spécifiquement sur la sécurité des composants open source.

Selon la fondation, c’était la première fois qu’elle demandait une telle subvention. Dans ce contexte, la construction du dossier aurait réclamé beaucoup de temps, menée par Seth Larson, développeur de sécurité et chercheur principal, et Loren Crary, directeur général adjoint de la fondation. Cette dernière estimait que son travail cadrait parfaitement avec le programme de la NSF.

La subvention a été accordée, provoquant initialement la joie de la fondation. Et pour cause : le montant alloué était de 1,5 million de dollars sur deux ans. La fondation dit fonctionner sur un budget habituel d’environ 5 millions de dollars par an, qui sert aux développeurs, à diverses opérations de communication et sensibilisation, et aux salaires de ses 14 employés.

Pas de politique de diversité, équité et inclusion

Elle indique cependant avoir déchanté en découvrant les conditions assorties. Si la fondation acceptait la subvention, elle devait notamment renoncer à toute politique DEI (diversité, équité et inclusion).

« Ces conditions comprenaient l’affirmation de la déclaration selon laquelle nous « n’exploitons pas, et ne gérerons pas, pendant la durée de cette aide financière, des programmes qui font progresser ou promeuvent la DEI ou une idéologie d’équité discriminatoire en violation des lois fédérales anti-discrimination ». Cette restriction s’appliquerait non seulement au travail de sécurité directement financé par la subvention, mais à toutes les activités de la PSF dans son ensemble. »

Sans surprise, la fondation a décidé de refuser la subvention et de s’en expliquer. Elle précise à ce titre que l’argent aurait « fait une grande différence dans le budget », en matière de sécurité comme pour son fonctionnement général. Elle aurait représenté « de loin » la plus grosse subvention reçue par la fondation depuis sa création.

La fondation ajoute que le refus de la subvention accentue nettement la pression financière sur la structure, surtout après avoir travaillé à son obtention depuis janvier. Elle cite l’inflation, la baisse du parrainage, la pression économique dans le secteur technologique, l’incertitude générale et les conflits mondiaux comme autant de facteurs. La fondation indique avoir « plus que jamais besoin d’un soutien financier » et encourage aux participations, que ce soit sous forme de dons simples ou d’adhésion à la structure. Les entreprises peuvent demander à devenir des sponsors.

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On a testé OpenZL, le modèle de compression de Meta : résultats et limitations

Allez, on se tasse !
On a testé OpenZL, le modèle de compression de Meta : résultats et limitations

Il y a trois semaines, Meta annonçait un nouveau modèle de compression en open source. Nous l’avons installé sur une de nos machines afin de tester ses possibilités sur différents types de fichiers, au-delà des tests de Meta. Nous avons découvert quelques limitations au passage.

Pour nos tests, nous utilisons une machine virtuelle avec Ubuntu Server 24.02 LTS (SSD dédié, 24 cœurs CPU et 56 Go de mémoire) sur notre serveur Dell PowerEdgeT630 avec Proxmox.

Installation d’OpenZL et premiers tours de piste

L’installation n’est vraiment pas compliquée et ne nécessite que trois lignes de code.

git clone https://github.com/facebook/openzl.git
cd openzl
make

La première ligne va créer un répertoire openzl et y copier le contenu du dépôt GitHub d’OpenZL de Meta (Facebook). La deuxième ligne nous permet d’aller dans ce répertoire, la troisième de lancer la compilation d’OpenZL. C’est tout !

Le programme s’appelle « zli » et on peut l’appeler, dans notre cas, via cette commande : « /home/gathor/openzl-repo/cachedObjs/*/zli ». Par exemple, pour connaitre la version de l’algorithme : « /home/gathor/openzl-repo/cachedObjs/*/zli --version ». Pour simplifier, nous garderons simplement la commande zli pour la suite de cet article.

Le fonctionnement classique de zli est le suivant : « zli <command> [options] < args> ». Les commandes possibles sont compress, decompress, train, benchmark, etc. On peut aussi préciser un nom de fichier de sortie avec -o, un profil avec -p, etc. On peut utiliser « zli --help » pour avoir tous les détails.

Sur sao, OpenZL explose bien la concurrence

Premier test : vérifier les allégations de Meta sur le niveau de compression des données sao. Il faut d’abord récupérer le corpus silesia et ensuite extraire le fichier sao. Deux lignes de commandes plus tard, c’est fait.

Nous lançons dans la foulée trois tests de compression avec zli (profil sao), xz avec le niveau 9 de compression et zstd avec le niveau 3 (time permet de récupérer le temps nécessaire au traitement de la commande) pour répéter les tests de Meta.

curl -L -o silesia.zip http://sun.aei.polsl.pl/~sdeor/corpus/silesia.zip
python3 -c "import zipfile; zipfile.ZipFile('silesia.zip').extract('sao', '')"
time zli compress sao -o sao.ozl -p sao -f
time xz - 9 -k sao -f
time zstd - 3 -k sao -o sao.zst -f

Nous arrivons bien à un ratio de 2,06, exactement ce qu’annonce Meta. Même chose pour xz avec 1,64x et zstd avec 1,31x. xz est déjà à son niveau maximum de compression, mais pas zstd qui peut monter bien plus haut. Avec un niveau de 22, cela donne un ratio de compression de 1,45x (mais avec un temps de traitement beaucoup plus long), comme on peut le voir dans le graphique ci-dessous.

Passons maintenant aux tests maison !


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Inclusion ou subvention américaine, la fondation Python a choisi

Serpents et panier de crabes
Inclusion ou subvention américaine, la fondation Python a choisi

La Python Software Foundation explique avoir dû refuser une subvention de 1,5 million de dollars. Les conditions assorties mentionnaient l’interdiction de toute politique DEI (diversité, équité et inclusion).

Comme elle l’explique dans un billet publié ce 27 octobre, la Python Software Foundation – qui gère le développement du langage – vient de refuser une importante subvention américaine.

1,5 million de dollars sur deux ans

En janvier dernier, elle avait en effet envoyé une demande de subvention à la National Science Foundation du gouvernement américain dans le cadre du programme Safety, Security, and Privacy of Open Source Ecosystems. Ce programme permet de recevoir des fonds pour travailler spécifiquement sur la sécurité des composants open source.

Selon la fondation, c’était la première fois qu’elle demandait une telle subvention. Dans ce contexte, la construction du dossier aurait réclamé beaucoup de temps, menée par Seth Larson, développeur de sécurité et chercheur principal, et Loren Crary, directeur général adjoint de la fondation. Cette dernière estimait que son travail cadrait parfaitement avec le programme de la NSF.

La subvention a été accordée, provoquant initialement la joie de la fondation. Et pour cause : le montant alloué était de 1,5 million de dollars sur deux ans. La fondation dit fonctionner sur un budget habituel d’environ 5 millions de dollars par an, qui sert aux développeurs, à diverses opérations de communication et sensibilisation, et aux salaires de ses 14 employés.

Pas de politique de diversité, équité et inclusion

Elle indique cependant avoir déchanté en découvrant les conditions assorties. Si la fondation acceptait la subvention, elle devait notamment renoncer à toute politique DEI (diversité, équité et inclusion).

« Ces conditions comprenaient l’affirmation de la déclaration selon laquelle nous « n’exploitons pas, et ne gérerons pas, pendant la durée de cette aide financière, des programmes qui font progresser ou promeuvent la DEI ou une idéologie d’équité discriminatoire en violation des lois fédérales anti-discrimination ». Cette restriction s’appliquerait non seulement au travail de sécurité directement financé par la subvention, mais à toutes les activités de la PSF dans son ensemble. »

Sans surprise, la fondation a décidé de refuser la subvention et de s’en expliquer. Elle précise à ce titre que l’argent aurait « fait une grande différence dans le budget », en matière de sécurité comme pour son fonctionnement général. Elle aurait représenté « de loin » la plus grosse subvention reçue par la fondation depuis sa création.

La fondation ajoute que le refus de la subvention accentue nettement la pression financière sur la structure, surtout après avoir travaillé à son obtention depuis janvier. Elle cite l’inflation, la baisse du parrainage, la pression économique dans le secteur technologique, l’incertitude générale et les conflits mondiaux comme autant de facteurs. La fondation indique avoir « plus que jamais besoin d’un soutien financier » et encourage aux participations, que ce soit sous forme de dons simples ou d’adhésion à la structure. Les entreprises peuvent demander à devenir des sponsors.

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Parfait le ventirad FSP NP5 ARGB à 30 U+20AC ?

Avec son tarif de 30 U+20AC, environ, le dernier NP5 ARGB de FSP se montre très intéressant. Une finition impeccable, une hauteur de seulement 151 mm sans que le ventilateur de 120 mm ne bloque la mémoire, un peu de RGB, que demander de plus ? A part une installation AMD plus simple, pas grand chose ! […]

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MSI RTX 5050 8G INSPIRE : SFF, ITX, HPI, TDAH et tout le tralala !

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