Amazon va lancer, dès ce mardi 28 octobre, un plan de licenciements d’environ 30 000 salariés selon des sources de plusieurs médias états-uniens.
Ainsi, l’agence de presse Reuters explique que si ce chiffre représente une petite partie des 1,55 million de personnes qui travaillent pour Amazon à travers le monde, c’est 10 % des salariés officiant dans les bureaux de l’entreprise de Jeff Bezos qui devraient être touchés.
Les sources du Wall Street Journal affirment que « les ressources humaines, le cloud computing, la publicité et plusieurs autres divisions » devraient être concernées. Reuters ajoute à la liste les divisions « appareils et services » et Amazon Web Services, qui a très récemment essuyé une panne de grande ampleur. Selon celles du New York Times, des postes élevés dans la hiérarchie devraient être plus touchés que lors des précédentes vagues de licenciements.
Les sources de Reuters expliquent que le programme de quasi-arrêt du télétravail (retour au bureau cinq jours par semaine) lancé au sein d’Amazon en début d’année n’aurait pas permis de générer le nombre de départs espérés. Certains employés habitant loin et ne venant pas quotidiennement au bureau auraient été considérés comme démissionnaires par l’entreprise. Celle-ci estimerait en conséquence ne pas avoir à leur verser d’indemnités de licenciement.
Une enquête basée sur des documents internes a par ailleurs récemment révélé qu’Amazon s’attendait à pouvoir éviter 600 000 embauches d’ici 2033 grâce à l’automatisation et aux robots.
Amazon va lancer, dès ce mardi 28 octobre, un plan de licenciements d’environ 30 000 salariés selon des sources de plusieurs médias états-uniens.
Ainsi, l’agence de presse Reuters explique que si ce chiffre représente une petite partie des 1,55 million de personnes qui travaillent pour Amazon à travers le monde, c’est 10 % des salariés officiant dans les bureaux de l’entreprise de Jeff Bezos qui devraient être touchés.
Les sources du Wall Street Journal affirment que « les ressources humaines, le cloud computing, la publicité et plusieurs autres divisions » devraient être concernées. Reuters ajoute à la liste les divisions « appareils et services » et Amazon Web Services, qui a très récemment essuyé une panne de grande ampleur. Selon celles du New York Times, des postes élevés dans la hiérarchie devraient être plus touchés que lors des précédentes vagues de licenciements.
Les sources de Reuters expliquent que le programme de quasi-arrêt du télétravail (retour au bureau cinq jours par semaine) lancé au sein d’Amazon en début d’année n’aurait pas permis de générer le nombre de départs espérés. Certains employés habitant loin et ne venant pas quotidiennement au bureau auraient été considérés comme démissionnaires par l’entreprise. Celle-ci estimerait en conséquence ne pas avoir à leur verser d’indemnités de licenciement.
Une enquête basée sur des documents internes a par ailleurs récemment révélé qu’Amazon s’attendait à pouvoir éviter 600 000 embauches d’ici 2033 grâce à l’automatisation et aux robots.
La Commission européenne a publié le 20 octobre une grille de lecture permettant d’apposer une note de souveraineté sur les offres cloud. Elle doit aider ses propres instances à choisir leurs prestataires en tenant compte de divers critères. Il pourrait cependant préfigurer les futures grandes lignes du Cloud and AI Development Act, qui doit définir ce qu’est la souveraineté numérique en Europe.
Le document publié le 20 octobre a été rédigé par la Direction générale des services numériques de la Commission européenne. On y apprend dans l’introduction que ce Cloud Sovereignty Framework opère une synthèse de bon nombre de travaux existants, dont le Trusted Cloud Referential v2 du CIGREF, des règles de Gaia-X, de plusieurs directives européennes sur la cybersécurité (dont NIS2 et DORA, en cours de transposition en France), ou encore certaines stratégies nationales comme « Cloud de Confiance » en France et « Souveräner Cloud » en Allemagne.
Ce référentiel liste huit objectifs de souveraineté numérique pour les offres cloud, permettant de calculer un score. Le document s’adresse aux instances européennes pour qu’elles puissent s’équiper en services répondant à des notes minimales fixées par avance. Il mentionne également une volonté de classer les offres cloud via une échelle concrète allant de 0 à 4.
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L’Autorité de la concurrence australienne engage des poursuites en justice à l’encontre de Microsoft. Elle accuse l’éditeur d’avoir délibérément trompé 2,7 millions de consommateurs australiens en appliquant des hausses de prix aux abonnements Microsoft 365 sans les avertir correctement de l’existence d’une formule dépourvue des fonctions IA Copilot.
L’annonce de la hausse des tarifs de Microsoft 365, motivée selon son éditeur par l’intégration des fonctions IA Copilot, avait fait grincer quelques dents parmi les lecteurs de Next. En Australie, elle vient d’occasionner une procédure nettement plus formelle. L’ACCC (Australian Competition and Consumer Commission), le gendarme de la concurrence local, vient en effet d’attaquer Microsoft en justice pour avoir, selon elle, « induit en erreur environ 2,7 millions de clients australiens lors de la communication des options d’abonnement et des augmentations de prix, après avoir intégré son assistant d’IA, Copilot, aux forfaits Microsoft 365 ».
Une option sans IA bien cachée
Le mouvement avait été annoncé aux abonnés Microsoft 365 à partir de la fin octobre 2024 : à compter du début d’année 2025, l’abonnement, qui permet pour mémoire d’accéder aux principaux logiciels de la suite bureautique Office, allait s’enrichir de fonctions d’IA générative, grâce à l’intégration de Copilot, l’agent développé par Microsoft.
Une hausse de prix significative a accompagné cette nouveauté. En France, le tarif annuel de l’offre Microsoft 365 Personnel est ainsi passé de 69 euros à 99 euros par an, tandis que l’offre Famille a quant à elle vu son prix grimper de 99 à 129 euros par an.
Il existe toutefois une possibilité de rester sur une formule dépourvue des fonctions IA, en basculant vers un forfait dit « Classique », mais cette dernière n’est absolument pas mise en avant par Microsoft. Signalée à l’époque dans une discrète page de support, cette option n’est aujourd’hui pas affichée sur la page de gestion d’un abonnement Microsoft 365 : il faut passer par une demande de désactivation de la facturation automatique pour se la voir proposer.
Il faut engager une démarche de résiliation pour voir apparaître l’offre Classique dépourvue des fonctions IA – capture d’écran Next
Une omission trompeuse ?
C’est le caractère très discret de cette option qu’attaque la Concurrence australienne. « À l’issue d’une enquête approfondie, nous affirmerons devant le tribunal que Microsoft a délibérément omis de mentionner les forfaits Classic dans ses communications et a dissimulé leur existence jusqu’à ce que les abonnés entament le processus de résiliation, afin d’augmenter le nombre de consommateurs optant pour les forfaits plus chers intégrant Copilot », résume l’avocate Gina Cass-Gottlieb, présidente de l’ACCC, dans un communiqué.
En Australie, l’intégration de Copilot s’est traduite par une augmentation de 45 % du prix du forfait Microsoft 365 Personnel, passé de 109 à 159 dollars australiens. Cette dernière a, comme ailleurs dans le monde, été annoncée par email aux abonnés existants, après publication par Microsoft d’un billet de blog vantant les mérites de Copilot.
« Nous alléguons que les deux emails de Microsoft aux abonnés existants et le billet de blog étaient faux ou trompeurs car ils indiquaient que les consommateurs devaient accepter les plans intégrés à Copilot plus chers et que la seule autre option était d’annuler », ajoute Gina Cass-Gottlieb.
Pour l’ACCC, il y aurait donc communication trompeuse. « S’ils avaient été informés de l’option Classic pendant la période de renouvellement, de nombreux consommateurs auraient pu opter pour cette option. Ils auraient pu le faire pour des raisons d’économie, parce qu’ils ne souhaitaient pas ou n’avaient pas besoin de l’intégration de l’IA, ou pour une combinaison de ces raisons. Les consommateurs qui auraient choisi l’option Classique s’ils en avaient eu connaissance, mais qui ont finalement accepté le prix plus élevé de l’abonnement Bundle, ont subi un préjudice correspondant à la différence de prix entre les deux options », expose plus en détails l’organisme dans sa déclaration de plainte (PDF).
En cas de condamnation, Microsoft pourrait se voir sanctionné, selon la loi australienne, d’une amende maximale de 50 millions de dollars australiens.
Un an après avoir été poursuivie en justice par WP Engine, pour entre autres tentative d’extorsion et abus de pouvoir, Automattic contre-attaque dans la même affaire, a annoncé l’entreprise dans un billet de blog. Elle accuse WP Engine de concurrence déloyale et de contrefaçon de la marque WordPress.
Notamment, elle pointe l’utilisation du terme dans ces produits comme « Core WordPress » ou « Headless WordPress ». Automattic pointe aussi l’utilisation par WP Engine de l’appellation « « The WordPress Technology Company » et l’accuse d’avoir laissé ses partenaires avoir utilisé le nom « WordPress Engine » pour parler de WP Engine.
Logo WordPress
L’année dernière, l’écosystème commercial de WordPress avait assisté de façon impuissante à la confrontation entre ces deux entreprises qui dominent le marché. WP Engine avait fini par attaquer en justice Automattic et Matt Mullenweg (créateur du logiciel WordPress et de la fondation du même nom mais aussi CEO d’Automattic) pour tentative d’extorsion.
L’Autorité de la concurrence australienne engage des poursuites en justice à l’encontre de Microsoft. Elle accuse l’éditeur d’avoir délibérément trompé 2,7 millions de consommateurs australiens en appliquant des hausses de prix aux abonnements Microsoft 365 sans les avertir correctement de l’existence d’une formule dépourvue des fonctions IA Copilot.
L’annonce de la hausse des tarifs de Microsoft 365, motivée selon son éditeur par l’intégration des fonctions IA Copilot, avait fait grincer quelques dents parmi les lecteurs de Next. En Australie, elle vient d’occasionner une procédure nettement plus formelle. L’ACCC (Australian Competition and Consumer Commission), le gendarme de la concurrence local, vient en effet d’attaquer Microsoft en justice pour avoir, selon elle, « induit en erreur environ 2,7 millions de clients australiens lors de la communication des options d’abonnement et des augmentations de prix, après avoir intégré son assistant d’IA, Copilot, aux forfaits Microsoft 365 ».
Une option sans IA bien cachée
Le mouvement avait été annoncé aux abonnés Microsoft 365 à partir de la fin octobre 2024 : à compter du début d’année 2025, l’abonnement, qui permet pour mémoire d’accéder aux principaux logiciels de la suite bureautique Office, allait s’enrichir de fonctions d’IA générative, grâce à l’intégration de Copilot, l’agent développé par Microsoft.
Une hausse de prix significative a accompagné cette nouveauté. En France, le tarif annuel de l’offre Microsoft 365 Personnel est ainsi passé de 69 euros à 99 euros par an, tandis que l’offre Famille a quant à elle vu son prix grimper de 99 à 129 euros par an.
Il existe toutefois une possibilité de rester sur une formule dépourvue des fonctions IA, en basculant vers un forfait dit « Classique », mais cette dernière n’est absolument pas mise en avant par Microsoft. Signalée à l’époque dans une discrète page de support, cette option n’est aujourd’hui pas affichée sur la page de gestion d’un abonnement Microsoft 365 : il faut passer par une demande de désactivation de la facturation automatique pour se la voir proposer.
Il faut engager une démarche de résiliation pour voir apparaître l’offre Classique dépourvue des fonctions IA – capture d’écran Next
Une omission trompeuse ?
C’est le caractère très discret de cette option qu’attaque la Concurrence australienne. « À l’issue d’une enquête approfondie, nous affirmerons devant le tribunal que Microsoft a délibérément omis de mentionner les forfaits Classic dans ses communications et a dissimulé leur existence jusqu’à ce que les abonnés entament le processus de résiliation, afin d’augmenter le nombre de consommateurs optant pour les forfaits plus chers intégrant Copilot », résume l’avocate Gina Cass-Gottlieb, présidente de l’ACCC, dans un communiqué.
En Australie, l’intégration de Copilot s’est traduite par une augmentation de 45 % du prix du forfait Microsoft 365 Personnel, passé de 109 à 159 dollars australiens. Cette dernière a, comme ailleurs dans le monde, été annoncée par email aux abonnés existants, après publication par Microsoft d’un billet de blog vantant les mérites de Copilot.
« Nous alléguons que les deux emails de Microsoft aux abonnés existants et le billet de blog étaient faux ou trompeurs car ils indiquaient que les consommateurs devaient accepter les plans intégrés à Copilot plus chers et que la seule autre option était d’annuler », ajoute Gina Cass-Gottlieb.
Pour l’ACCC, il y aurait donc communication trompeuse. « S’ils avaient été informés de l’option Classic pendant la période de renouvellement, de nombreux consommateurs auraient pu opter pour cette option. Ils auraient pu le faire pour des raisons d’économie, parce qu’ils ne souhaitaient pas ou n’avaient pas besoin de l’intégration de l’IA, ou pour une combinaison de ces raisons. Les consommateurs qui auraient choisi l’option Classique s’ils en avaient eu connaissance, mais qui ont finalement accepté le prix plus élevé de l’abonnement Bundle, ont subi un préjudice correspondant à la différence de prix entre les deux options », expose plus en détails l’organisme dans sa déclaration de plainte (PDF).
En cas de condamnation, Microsoft pourrait se voir sanctionné, selon la loi australienne, d’une amende maximale de 50 millions de dollars australiens.
Un an après avoir été poursuivie en justice par WP Engine, pour entre autres tentative d’extorsion et abus de pouvoir, Automattic contre-attaque dans la même affaire, a annoncé l’entreprise dans un billet de blog. Elle accuse WP Engine de concurrence déloyale et de contrefaçon de la marque WordPress.
Notamment, elle pointe l’utilisation du terme dans ces produits comme « Core WordPress » ou « Headless WordPress ». Automattic pointe aussi l’utilisation par WP Engine de l’appellation « « The WordPress Technology Company » et l’accuse d’avoir laissé ses partenaires avoir utilisé le nom « WordPress Engine » pour parler de WP Engine.
Logo WordPress
L’année dernière, l’écosystème commercial de WordPress avait assisté de façon impuissante à la confrontation entre ces deux entreprises qui dominent le marché. WP Engine avait fini par attaquer en justice Automattic et Matt Mullenweg (créateur du logiciel WordPress et de la fondation du même nom mais aussi CEO d’Automattic) pour tentative d’extorsion.
Aujourd'hui, le jeu Battlefield 6 va profiter du déploiement d'un conséquent patch 1.1.1.0, à 10 heures, pour être précis, découvrons immédiatement tous les ajouts !
Ajouts majeurs de la version 1.1.1.0 :
Amélioration des mouvements et des animations de base, avec notamment des atterrissages plus fluides, des transitions de postures plus rapides, de meilleures animations de franchissement et une réduction du "rebondissement" lors de l'atterrissage ou de la réapparition.
Révision de la dispersion des armes, pour correspondre à la précision et à la maniabilité de chacune d'elles, en prenant en compte leur performance en fonction de la portée de tir. Ces modifications visent à régler les situations pour lesquelles la précision manque de cohérence (notamment quand la dispersion ne s'amenuise pas correctement après un sprint) et, d'une manière générale, à atteindre l'équilibre voulu entre précision, contrôle et puissance.
Amélioration significative de la visibilité et de l'éclairage, avec de meilleures transitions, un éclairage intérieur amélioré, et une réduction de la persistance du brouillard et de la fumée.
Amélioration sonore, avec l'ajout de nouveaux effets de projectiles, de destruction et d'explosion, un meilleur mixage sonore des véhicules et des armes, et de meilleurs retours haptiques pour diverses interactions.
Amélioration de l'IU et de l'ATH pour une meilleure clarté et une cohérence accrue, notamment au niveau des indicateurs de prolongation, et ajout de correctifs de fin de manche et d'indicateurs de déblocage d'armes et de gadgets.
Résolution de problèmes spécifiques à différents lieux, d'animations de réapparition, de limites de cartes, d'éléments mal alignés, et intégration d'une meilleure stabilité générale en modes Conquête, Percée et Ruée.
MODIFICATIONS
JEU :
Résolution d'un problème qui faisait qu'une plongée lors des phases de combat pouvait s'interrompre dans les pentes.
Résolution d'un problème qui faisait que les soldats se détachaient des tyroliennes lorsqu'ils s'y accrochaient à grande vitesse.
Amélioration de la stabilité et du centrage de la visée pour une précision nettement plus constante.
Résolution d'un problème qui faisait que les mouvements pouvaient empêcher une visée stable.
Amélioration de l'alignement des hitbox de personnages, pour que le haut du corps et la tête correspondent mieux aux modèles.
Résolution d'un problème qui faisait que l'animation de saut pouvait se lancer deux fois lors de l'utilisation du viseur.
Le trajet d'animation de l'atterrissage est désormais mieux centré, et ne dérive plus vers le côté.
Résolution d'un problème qui faisait que l'imprécision de saut pouvait persister trop longtemps après l'atterrissage.
Résolution d'un problème visuel qui faisait que l'arme apparaissait de travers après l'apparition des soldats.
Résolution d'un problème qui faisait que lancer des grenades en position allongée pouvait faire apparaître les soldats debout en vue à la troisième personne.
Résolution d'un délai d'animation lors de l'ouverture de portes en cours de glissade.
Résolution d'un problème qui faisait que les joueurs et les joueuses pouvaient rester coincés en sautant par dessus certains objets.
Résolution d'un problème visuel qui faisait que les soldats morts semblaient nager.
Résolution d'un problème qui faisait que donner un coup au corps-à-corps avec un gadget sélectionnait l'arme principale au lieu de garder le gadget en main.
Résolution d'un problème qui faisait qu'une personne tuée par une mine la voyait avec la "killcam".
Résolution d'une instabilité de caméra qui pouvait survenir en s'accrochant à une échelle en regardant en bas.
Résolution d'un problème qui faisait que l'oscillation de la caméra et de l'arme était incorrecte en montant ou descendant d'un véhicule.
Résolution d'un problème qui faisait que les armes d'autres soldats pouvaient traverser les murs lorsqu'ils entraient dans votre champ de vision.
Résolution d'un problème qui faisait que des pistolets pouvaient disparaître en nageant.
Amélioration de la précision de l'éclairage lors du tir au jugé et de l'utilisation du viseur.
Réduction des problèmes de rebond ou d'atterrissage sur certains éléments.
Résolution d'un problème qui faisait que la vue du tueur ou de la tueuse ne s'affichait parfois pas correctement dans la "killcam".
Améliorations apportées à l'oscillation de l'arme et de la caméra, pour des déplacements bien plus fluides.
Résolution d'un problème qui faisait que les ennemis pouvaient subir des dégâts de corps-à-corps en étant assis dans un véhicule fermé.
Résolution d'un problème qui faisait que le franchissement d'obstacle pouvait échouer s'il se déclenchait à l'instant où l'obstacle était touché.
Résolution d'une animation pour laquelle, lors de franchissements répétés, la main du personnage pouvait être placée incorrectement.
Résolution d'un problème qui faisait que des coups au corps-à-corps simultanés pouvaient rendre l'ennemi invisible.
Résolution d'un problème qui faisait disparaître brièvement la tête des soldats lors des transitions de redéploiement.
Amélioration de l'affichage de la progression du parcours tactique pour qu'il corresponde mieux aux éléments débloqués.
Résolution d'un problème qui faisait que les soldats alliés semblaient se superposer en montant à l'échelle.
Résolution d'un problème empêchant le franchissement d'obstacle en cours de glissade.
Résolution d'un problème qui faisait que la caméra pouvait pivoter brusquement après une élimination.
Résolution d'un problème qui faisait que les mains du joueur ou de la joueuse pouvaient disparaître brièvement après l'utilisation du stylo médical AJ-03.
Amélioration de l'animation des coups de couteau lorsqu'une personne en traîne et réanime une autre.
Résolution de problèmes de transition lorsqu'une personne est allongée et jette un coup d'il.
Résolution d'un problème qui faisait que la caméra pouvait traverser des éléments lorsque le joueur ou la joueuse s'allongeait en faisant des pas de côtés.
Résolution d'une animation manquante à la troisième personne lors du passage de la position allongée au sprint.
Résolution d'un problème qui faisait que, lors d'une chute en cours de sprint, un mouvement de main incorrect avait lieu.
Résolution d'un problème visuel lorsque les soldats se trouvaient trop près de portes en verre.
Correction d'animations de visée instables à la troisième personne lorsque l'arme est brandie.
Résolution d'un bug empêchant de viser vers la gauche ou la droite lorsque l'arme est brandie trop près d'un mur.
Résolution d'un problème qui faisait que l'animation pour incliner la vue, jeter un coup d'il ou appuyer son arme pouvait s'interrompre.
Résolution d'un problème qui faisait que les réactions aux tirs ennemis à la troisième personne n'avaient pas lieu si l'arme du personnage était brandie.
Résolution d'une animation qui faisait que la caméra traversait le genou du personnage lorsqu'il tombait en étant accroupi.
Résolution d'incohérences lors des exécutions, pour que les joueurs et les joueuses puissent réussir les exécutions au corps-à-corps même près des murs.
Résolution du fait que subir des dégâts de corps-à-corps pouvait interrompre le tir.
Plusieurs améliorations apportées à la visibilité, notamment l'éclairage, l'éblouissement et le brouillard, pour une meilleure clarté et un meilleur contraste sur toutes les cartes.
Amélioration des animations de franchissement, de parachutage et d'ouverture des portes pour des transitions plus fluides.
Résolution d'une interruption rare de l'animation de rechargement de l'arme des soldats alliés se trouvant hors de vue.
Résolution de légères incohérences de transition lorsque vous brandissez votre arme, jetez un coup d'il et vous allongez, pour un gameplay plus fiable.
Ajout d'une personnalisation des parachutes pour les soldats.
Résolution d'un problème d'épaule se cognant lorsque le joueur ou la joueuse s'équipe d'une arme en sprintant.
Amélioration des impacts des corps inanimés, pour des réactions plus cohérentes et plus fiables.
Amélioration de la transition entre postures et de l'animation d'atterrissage, qui s'arrêtent de façon plus rapide et plus fluide.
[…]
Le jeu 911 Operator est offert par Steam, vous avez jusqu'à mercredi 19 heures, pour l'ajouter à votre bibliothèque virtuelle ici.Vous avez toujours rêvé de devenir un opérateur compétent, sachant gérer les situations complexes avec tact, n'hésitez pas. […]
Souvent, lorsque les cartes graphiques arborent le format mini-ITX, c'est qu'elles sont animées par des GPU qui ne sucent pas trop sur la tireuse à électrons. Les cartes du jour - ce sont les mêmes mais une est overclockée d'usine et pas l'autre - rentrent complètement dans ce cadre puisque ce sont...
ExxonMobil has sued California, claiming the state's new climate disclosure laws violate its First Amendment rights by forcing the company to report greenhouse gas emissions and climate risks using standards it "fundamentally disagrees with." The Verge reports: The oil and gas company claims that the two laws in question aim to "embarrass" large corporations the state "believes are uniquely responsible for climate change" in order to push them to reduce their greenhouse gas emissions. There is overwhelming scientific consensus that greenhouse gas emissions from fossil fuels cause climate change by trapping heat on the planet. [...] Under laws the state passed in 2023, "ExxonMobil will be forced to describe its emissions and climate-related risks in terms the company fundamentally disagrees with," a complaint filed Friday says. The suit asks a US District Court to stop the laws from being enforced.
[...] ExxonMobil's latest suit now says the company "understands the very real risks associated with climate change and supports continued efforts to address those risks," but that California's laws would force it "to describe its emissions and climate-related risks in terms the company fundamentally disagrees with." "These laws are about transparency. ExxonMobil might want to continue keeping the public in the dark, but we're ready to litigate vigorously in court to ensure the public's access to these important facts," Christine Lee, a spokesperson for the California Department of Justice, said in an email to The Verge.
An anonymous reader quotes a report from TechCrunch: OpenAI released new data on Monday illustrating how many of ChatGPT's users are struggling with mental health issues and talking to the AI chatbot about it. The company says that 0.15% of ChatGPT's active users in a given week have "conversations that include explicit indicators of potential suicidal planning or intent." Given that ChatGPT has more than 800 million weekly active users, that translates to more than a million people a week.
The company says a similar percentage of users show "heightened levels of emotional attachment to ChatGPT," and that hundreds of thousands of people show signs of psychosis or mania in their weekly conversations with the AI chatbot. OpenAI says these types of conversations in ChatGPT are "extremely rare," and thus difficult to measure. That said, the company estimates these issues affect hundreds of thousands of people every week. OpenAI shared the information as part of a broader announcement about its recent efforts to improve how models respond to users with mental health issues. Further reading: Parents Sue OpenAI Over ChatGPT's Role In Son's Suicide
NextEra Energy and Google have partnered to restart Iowa's long-shuttered Duane Arnold nuclear plant, marking the first major U.S. attempt to revive a decommissioned reactor. "We expect Duane Arnold to be back online in early 2029, and the plant will provide more than 600 MW of clean, safe, 'always-on' nuclear energy to the regional grid," said Google in a blog post. Reuters reports: Under the 25-year agreement, the tech giant will purchase power from the 615-MW plant for its growing cloud and AI infrastructure in the state, while also driving significant economic investment to the Midwest region. One of the plant's minority owners, Central Iowa Power Cooperative (CIPCO), will purchase the remaining portion of the plant's output on the same terms as Google, NextEra said. The utility added that it had also signed agreements to acquire CIPCO and Corn Belt Power Cooperative's combined 30% interest in the Duane Arnold plant, bringing NextEra's ownership to 100%.
A new study from the Complexity Science Hub Vienna finds that as people's close social circles expanded from two to five friends around the rise of social media (2008-2010), polarization in society spiked. "The connection between these two developments could provide a fundamental explanation for why societies around the world are increasingly fragmenting into ideological bubbles," reports Phys.org. From the report: The researchers' findings confirm that increasing polarization is not merely perceived -- it is measurable and objectively occurring. "And this increase happened suddenly, between 2008 and 2010," says [says Stefan Thurner from the Complexity Science Hub (CSH)]. The question remained: what caused it? [...] The sharp rise in both polarization and the number of close friends occurred between 2008 and 2010 -- precisely when social media platforms and smartphones first achieved widespread adoption. This technological shift may have fundamentally changed how people connect with each other, indirectly promoting polarization.
"Democracy depends on all parts of society being involved in decision-making, which requires that everyone be able to communicate with each other. But when groups can no longer talk to each other, this democratic process breaks down," emphasizes Stefan Thurner. Tolerance plays a central role. "If I have two friends, I do everything I can to keep them -- I am very tolerant towards them. But if I have five and things become difficult with one of them, it's easier to end that friendship because I still have 'backups.' I no longer need to be as tolerant," explains Thurner.
What disappears as a result is a societal baseline of tolerance -- a development that could contribute to the long-term erosion of democratic structures. To prevent societies from increasingly fragmenting, Thurner emphasizes the importance of learning early how to engage with different opinions and actively cultivating tolerance. The research was published in Proceedings of the National Academy of Sciences.
OpenRazer 3.11 is out as the newest version of these out-of-tree but open-source and community-maintained drivers for Razer devices on Linux. Plus OpenRazer also provides a user-space daemon for controlling Razer RGB lighting and other features. Paired with the likes of the Polychromatic app, OpenRazer makes for a pleasant Razer device experience for gamers and enthusiasts under Linux...
BrianFagioli shares a report from NERDS.xyz: Mozilla is testing a new Firefox feature that delivers direct results inside the address bar instead of forcing users through a search results page. The company says the feature will use a privacy framework called Oblivious HTTP, encrypting queries so that no single party can see both what you type and who you are. Some results could be sponsored, but Mozilla insists neither it nor advertisers will know user identities. The system is starting in the U.S. and may expand later if performance and privacy benchmarks are met. Further reading: Mozilla to Require Data-Collection Disclosure in All New Firefox Extensions
An anonymous reader quotes a report from BleepingComputer: The number of victims paying ransomware threat actors has reached a new low, with just 23% of the breached companies giving in to attackers' demands. With some exceptions, the decline in payment resolution rates continues the trend that Coveware has observed for the past six years. In the first quarter of 2024, the payment percentage was 28%. Although it increased over the next period, it continued to drop, reaching an all-time low in the third quarter of 2025.
One explanation for this is that organizations implemented stronger and more targeted protections against ransomware, and authorities increasing pressure for victims not to pay the hackers. [...] Over the years, ransomware groups moved from pure encryption attacks to double extortion that came with data theft and the threat of a public leak. Coveware reports that more than 76% of the attacks it observed in Q3 2025 involved data exfiltration, which is now the primary objective for most ransomware groups. The company says that when it isolates the attacks that do not encrypt the data and only steal it, the payment rate plummets to 19%, which is also a record for that sub-category.
The average and median ransomware payments fell in Q3 compared to the previous quarter, reaching $377,000 and $140,000, respectively, according to Coveware. The shift may reflect large enterprises revising their ransom payment policies and recognizing that those funds are better spent on strengthening defenses against future attacks. The researchers also note that threat groups like Akira and Qilin, which accounted for 44% of all recorded attacks in Q3 2025, have switched focus to medium-sized firms that are currently more likely to pay a ransom. "Cyber defenders, law enforcement, and legal specialists should view this as validation of collective progress," Coveware says. "The work that gets put in to prevent attacks, minimize the impact of attacks, and successfully navigate a cyber extortion -- each avoided payment constricts cyber attackers of oxygen."
Apple is preparing to roll out a new Apple Wallet feature that lets U.S. users create digital IDs linked to their passports, usable at select TSA checkpoints. TechCrunch reports: The feature, previously announced as part of the iOS 26 release, comes on the heels of Apple's expansion of Wallet as more than a payment mechanism or ticket holder, but also a secure place to store a user's digital identity. Currently, support for government IDs in Apple Wallet has rolled out to 12 states and Puerto Rico, or roughly a third of U.S. license holders. However, the passport-tied Digital ID feature didn't arrive with the debut of iOS 26, as Apple said it would come in a future software update. [...]
The coming launch of passport-associated Digital IDs was announced on Sunday by Jennifer Bailey, VP of Apple Pay and Apple Wallet, at the Money 20/20 USA conference, where the exec also shared other stats about Wallet's adoption.
Qualcomm has entered the AI data center chip race with its new AI200 and AI250 accelerators, directly challenging Nvidia and AMD's dominance by promising lower power costs and high memory capacity. CNBC reports: The AI chips are a shift from Qualcomm, which has thus far focused on semiconductors for wireless connectivity and mobile devices, not massive data centers. Qualcomm said that both the AI200, which will go on sale in 2026, and the AI250, planned for 2027, can come in a system that fills up a full, liquid-cooled server rack. Qualcomm is matching Nvidia and AMD, which offer their graphics processing units, or GPUs, in full-rack systems that allow as many as 72 chips to act as one computer. AI labs need that computing power to run the most advanced models.
Qualcomm's data center chips are based on the AI parts in Qualcomm's smartphone chips called Hexagon neural processing units, or NPUs. "We first wanted to prove ourselves in other domains, and once we built our strength over there, it was pretty easy for us to go up a notch into the data center level," Durga Malladi, Qualcomm's general manager for data center and edge, said on a call with reporters last week.
An anonymous reader quotes a report from Wired: As you're hunting through real estate listings for a new home in Franklin, Tennessee, you come across a vertical video showing off expansive rooms featuring a four-poster bed, a fully stocked wine cellar, and a soaking tub. In the corner of the video, a smiling real estate agent narrates the walk-through of your dream home in a soothing tone. It looks perfect -- maybe a little too perfect. The catch? Everything in the video isAI-generated. The real property is completely empty, and the luxury furniture is a product of virtual staging. The realtor's voice-over and expressions were born from text prompts. Even the camera's slow pan over each room is orchestrated by AI, because there was no actual video camera involved.
Any real estate agent can create "exactly that, at home, in minutes," says Alok Gupta, a former product manager at Facebook and software engineer at Snapchat who cofounded AutoReel, an app that allows realtors to turn images from their property listings into videos. He said that between 500 and 1,000 new listing videos are being created with AutoReel every day, with realtors across the US and even in New Zealand and India using the technology to market thousands of properties. This is one of many AI tools, including more familiar ones like OpenAI's ChatGPT and Google's Gemini, that are quickly reshaping the real estate industry into something that isn't necessarily, well, real. "People that want to buy a house, they're going to make the largest investment of their lifetime," said Nathan Cool, a real estate photographer who runs an educational YouTube channel. "They don't want to be fooled before they ever arrive."