Au début de l’année, après des années d’attente et de retard, la fusée réutilisable New Glenn de Blue Origin décollait enfin. Pour son vol inaugural, elle était arrivée dans une orbite spatiale. Le premier étage n’avait pas été récupéré lors de ce premier test. Dans la foulée, la production était lancée.

Le deuxième vol de New Glenn (alias NG) devait avoir lieu ce week-end, mais les conditions météorologiques, et « plus précisément de la présence de cumulus », ont eu raison du lancement. Il a donc été ajourné. Ce n’est pas le premier report, comme le rappelle TechCrunch.

pic.twitter.com/rkarkk5cBX

— Jeff Bezos (@JeffBezos) November 8, 2025

Dans un autre message sur X avant l’abandon du lancement, Blue Origin annonçait que « l’équipe de lancement examine un problème avec notre équipement de soutien au sol sur l’aire de lancement ». Problème qui semble avoir été réglé, contrairement à la météo.

Une nouvelle fenêtre de tir s’ouvrira le 12 novembre, à partir de 20h50 (heure française) et 22h17. Tous les détails de la mission et le déroulé du lancement se trouvent par ici.

NG-2 emporte deux satellites Escapade (Escape and Plasma Acceleration and Dynamics Explorers) pour le compte de la NASA. Ils prendront la route vers Mars si tout va bien. À bord également, « un démonstrateur technologique de Viasat en soutien au projet de services de communication de la NASA ».

New Glenn a pour rappel été annoncé en 2016 et se place comme un concurrent direct de SpaceX. Le nom est un hommage à John Glenn, le premier Américain en orbite autour de la Terre.

Ce lanceur doit déposer l’atterrisseur maison Blue Moon sur la Lune dans les prochaines années, dans le cadre du troisième volet du programme Artemis et du retour des humains sur notre satellite naturel. Les retards s’accumulent et le lancement d’Artemis II n’est pour le moment prévu que début 2026. Blue Moon fait partie de la suite, avec Artemis III.

• Fusées réutilisables : avec New Glenn, Blue Origin veut concurrencer SpaceX

Dans un communiqué, la société américaine derrière l’IA générative Claude annonce son « intention » d’ouvrir des bureaux à Paris et Munich, sans donner plus de détails sur le calendrier.

L’entreprise explique simplement que « ces nouveaux hubs font suite aux récentes ouvertures de bureaux à Tokyo, Séoul et Bangalore et renforceront davantage l’empreinte européenne aux côtés des bureaux de Londres, Dublin et Zurich ». Anthropic revendique une présence dans 12 villes.

L’Europe semble être un terreau fertile pour Anthropic : « la région EMEA [Europe Middle East and Africa] est devenue notre région avec la croissance la plus rapide ; le chiffre d’affaires annualisé a été multiplié par plus de 9 au cours de l’année écoulée. Le nombre de grands comptes professionnels, c’est-à-dire des clients dont le chiffre d’affaires annualisé dépasse les 100 000 dollars, a également été multiplié par plus de 10 ».

Parmi les clients de Claude, la société américaine annonce L’Oréal, BMW, SAP, Sanofi, Lovable, N26, Pigment, Qonto et Doctolib.

Guillaume Princen, chez Anthropic depuis neuf mois, est le responsable des startups EMEA. Il est épaulé par Pip White (ancienne de chez Salesforce) pour la zone EMEA nord et Thomas Remy (ancien de chez Google) pour le sud. Prochainement, un responsable sera nommé pour la zone DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) et CEE (Europe centrale et orientale).

Reuters enfin se fait l’écho de rumeurs de Business Insider, selon lesquelles Google serait « en pourparlers préliminaires pour augmenter son investissement dans Anthropic […] ce qui pourrait valoriser Anthropic à plus de 350 milliards de dollars ». Aucune des deux parties n’a souhaité répondre à nos confrères.

Il y a quelques semaines à peine, les deux protagonistes annonçaient une intensification de leur partenariat : Anthropic va utiliser jusqu’à un million de TPU de Google, aussi bien pour l’entrainement que l’inférence des modèles.

• Pour ses IA, Anthropic va utiliser jusqu’à un million de TPU Google

Au début de l’année, après des années d’attente et de retard, la fusée réutilisable New Glenn de Blue Origin décollait enfin. Pour son vol inaugural, elle était arrivée dans une orbite spatiale. Le premier étage n’avait pas été récupéré lors de ce premier test. Dans la foulée, la production était lancée.

Le deuxième vol de New Glenn (alias NG) devait avoir lieu ce week-end, mais les conditions météorologiques, et « plus précisément de la présence de cumulus », ont eu raison du lancement. Il a donc été ajourné. Ce n’est pas le premier report, comme le rappelle TechCrunch.

pic.twitter.com/rkarkk5cBX

— Jeff Bezos (@JeffBezos) November 8, 2025

Dans un autre message sur X avant l’abandon du lancement, Blue Origin annonçait que « l’équipe de lancement examine un problème avec notre équipement de soutien au sol sur l’aire de lancement ». Problème qui semble avoir été réglé, contrairement à la météo.

Une nouvelle fenêtre de tir s’ouvrira le 12 novembre, à partir de 20h50 (heure française) et 22h17. Tous les détails de la mission et le déroulé du lancement se trouvent par ici.

NG-2 emporte deux satellites Escapade (Escape and Plasma Acceleration and Dynamics Explorers) pour le compte de la NASA. Ils prendront la route vers Mars si tout va bien. À bord également, « un démonstrateur technologique de Viasat en soutien au projet de services de communication de la NASA ».

New Glenn a pour rappel été annoncé en 2016 et se place comme un concurrent direct de SpaceX. Le nom est un hommage à John Glenn, le premier Américain en orbite autour de la Terre.

Ce lanceur doit déposer l’atterrisseur maison Blue Moon sur la Lune dans les prochaines années, dans le cadre du troisième volet du programme Artemis et du retour des humains sur notre satellite naturel. Les retards s’accumulent et le lancement d’Artemis II n’est pour le moment prévu que début 2026. Blue Moon fait partie de la suite, avec Artemis III.

• Fusées réutilisables : avec New Glenn, Blue Origin veut concurrencer SpaceX

Dans un communiqué, la société américaine derrière l’IA générative Claude annonce son « intention » d’ouvrir des bureaux à Paris et Munich, sans donner plus de détails sur le calendrier.

L’entreprise explique simplement que « ces nouveaux hubs font suite aux récentes ouvertures de bureaux à Tokyo, Séoul et Bangalore et renforceront davantage l’empreinte européenne aux côtés des bureaux de Londres, Dublin et Zurich ». Anthropic revendique une présence dans 12 villes.

L’Europe semble être un terreau fertile pour Anthropic : « la région EMEA [Europe Middle East and Africa] est devenue notre région avec la croissance la plus rapide ; le chiffre d’affaires annualisé a été multiplié par plus de 9 au cours de l’année écoulée. Le nombre de grands comptes professionnels, c’est-à-dire des clients dont le chiffre d’affaires annualisé dépasse les 100 000 dollars, a également été multiplié par plus de 10 ».

Parmi les clients de Claude, la société américaine annonce L’Oréal, BMW, SAP, Sanofi, Lovable, N26, Pigment, Qonto et Doctolib.

Guillaume Princen, chez Anthropic depuis neuf mois, est le responsable des startups EMEA. Il est épaulé par Pip White (ancienne de chez Salesforce) pour la zone EMEA nord et Thomas Remy (ancien de chez Google) pour le sud. Prochainement, un responsable sera nommé pour la zone DACH (Allemagne, Autriche et Suisse) et CEE (Europe centrale et orientale).

Reuters enfin se fait l’écho de rumeurs de Business Insider, selon lesquelles Google serait « en pourparlers préliminaires pour augmenter son investissement dans Anthropic […] ce qui pourrait valoriser Anthropic à plus de 350 milliards de dollars ». Aucune des deux parties n’a souhaité répondre à nos confrères.

Il y a quelques semaines à peine, les deux protagonistes annonçaient une intensification de leur partenariat : Anthropic va utiliser jusqu’à un million de TPU de Google, aussi bien pour l’entrainement que l’inférence des modèles.

• Pour ses IA, Anthropic va utiliser jusqu’à un million de TPU Google

POINTS CLÉS -Les nouveaux moniteurs ROG Swift OLED PG27AQWP-W et Strix OLED XG27AQWMG sont équipés de la technologie innovante Tandem OLED et du revêtement TrueBlack Glossy La nouvelle technologie Tandem OLED offre une luminosité maximale supérieure de 15 %, un volume de couleurs plus large de 25 % et une durée de vie plus longue de 60 % par rapport aux moniteurs WOLED de la génération précédente -Le nouveau ROG Strix OLED XG27AQDMG Gen 2 est doté du revêtement TrueBlack Glossy et du capteur de proximité Neo -ROG est la marque n° 1 mondiale des moniteurs gaming OLED en termes de parts de marché, consolidant ainsi sa position de choix privilégié des meilleurs joueurs du monde. ASUS Republic of Gamers a annoncé aujourd'hui le lancement des nouveaux moniteurs ROG Swift OLED PG27AQWP-W et ROG Strix OLED XG27AQWMG, dotés de la technologie OLED tandem qui offre une luminosité maximale supérieure de 15 %, un volume de couleurs plus large de 25 % et une durée de vie 60 % plus longue par rapport aux moniteurs WOLED de la génération précédente. ROG est le numéro 1 mondial des moniteurs gaming OLED. Ce succès est directement attribuable à l'esprit pionnier de ROG et à ses efforts continus pour fournir des technologies de pointe aux gamers. Des dissipateurs thermiques personnalisés exclusifs, des protections contre le burn-in grâce au capteur de proximité Neo, un firmware optimisant le HDR, la technologie TrueBlack Glossy et de nombreuses autres fonctionnalités de pointe font de ROG le choix incontournable des gamers du monde entier. Les modèles PG27AQWP-W et XG27AQWMG offrent tous deux un temps de réponse gris à gris (GTG) ultra-rapide de 0,03 ms, la conformité VESA DisplayHDR™ 500 True Black et une gamme de couleurs DCI-P3 de 99,5 %. Le revêtement ROG TrueBlack Glossy permet aux moniteurs d'afficher des images ultra-nettes et des nuances de noir très profondes. De plus, la technologie ASUS OLED Care Pro intégrée, associée au capteur de proximité avancé Neo Proximity Sensor, contribue à protéger et à garantir la longévité de la dalle. […]

Lire la suite

Cela fait maintenant quelque temps que les GeForce RTX 5000 SUPER font parler d'elle dans la presse spécialisée. Des nouveaux modèles qui devraient être les RTX 5070 SUPER, RTX 5070 Ti SUPER et RTX 5080 SUPER, dont on sait déjà presque tout d'ailleurs, mis à part la date de sortie. À la base, nous pensions que NVIDIA allait lancer ses nouveaux modèles pour fin octobre ou fin novembre, mais cette date s'est vite transformée en début janvier 2026, notamment en raison du CES, qui est plus propice à l'annonce de produit. Notons aussi que la disponibilité de la GDDR7 en module de 3 Go a été évoqué pour ce premier retard. Mais voilà, il semblerait que le lancement des nouvelles références des verts ne soit pas pour début 2026. […]

Lire la suite

French Tech 2030 est un programme permettant aux entreprises lauréates de bénéficier « d’un accompagnement d’une durée de un an. Il se compose d’un appui individuel et collectif sur les enjeux stratégiques des entreprises ». Le gouvernement a dévoilé en fin de semaine dernière la liste des « 80 entreprises de la nouvelle promotion du programme French Tech 2030 ».

15 étaient déjà dans la précédente promotion : C12 Quantum, Cailabs, Enchanted Tools, Ganymed, Kiro, Quandela, Qubit Pharmaceuticals, Quobly, Spectronite, Synapes Medecine, U-Space, WhiteLab Genomics, XXII et YesWeHack.

Voici la liste complète :

Quasiment un quart (19) des start-ups sont dans le domaine de l’intelligence artificielle, 14 dans la cybersécurité, 13 dans la robotique, 12 dans le spatial, 9 dans le quantique (dont Quandela qui a déjà vendu plusieurs machines), 7 dans les infrastructures et enfin 6 dans l’électronique.

« Avec 130 millions d’euros déjà investis dans la R&D l’année dernière, 1,1 milliard d’euros levés, 353 brevets déposés, 18 usines en place et 27 en passe de l’être, le succès technologique et commercial de ces entreprises est le résultat d’une recherche de pointe et d’une formation de haut niveau », précise le gouvernement.

Sur les 80 lauréats, 60 bénéficient du statut de jeune entreprise innovante et 71 d’un crédit d’impôt recherche et d’innovation. De plus, « 60 % des start-ups travaillent avec la recherche publique ou privée ».

Dans le dossier de presse, la mission French Tech dresse la liste des 10 plus grosses levées de fonds : 57 millions d’euros pour Cailabs qui arrive en tête, les suivants sont presque à deux fois moins avec 30 millions pour le second Quandela.

Roland Lescure, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté rappelle que « la French Tech, ce sont 18 000 startups qui s’exportent dans le monde et 450 000 emplois sur ces 10 dernières années ».

Julie Huguet, directrice de la Mission French Tech, rappelle que French Tech 2030 « offre aux entreprises émergentes qui développent des technologies stratégiques pour la souveraineté numérique française la même visibilité et le même dispositif d’accompagnement qu’aux 120 champions de la tech française regroupés dans le French Tech Next40/120 ».

French Tech 2030 est un programme permettant aux entreprises lauréates de bénéficier « d’un accompagnement d’une durée de un an. Il se compose d’un appui individuel et collectif sur les enjeux stratégiques des entreprises ». Le gouvernement a dévoilé en fin de semaine dernière la liste des « 80 entreprises de la nouvelle promotion du programme French Tech 2030 ».

15 étaient déjà dans la précédente promotion : C12 Quantum, Cailabs, Enchanted Tools, Ganymed, Kiro, Quandela, Qubit Pharmaceuticals, Quobly, Spectronite, Synapes Medecine, U-Space, WhiteLab Genomics, XXII et YesWeHack.

Voici la liste complète :

Quasiment un quart (19) des start-ups sont dans le domaine de l’intelligence artificielle, 14 dans la cybersécurité, 13 dans la robotique, 12 dans le spatial, 9 dans le quantique (dont Quandela qui a déjà vendu plusieurs machines), 7 dans les infrastructures et enfin 6 dans l’électronique.

« Avec 130 millions d’euros déjà investis dans la R&D l’année dernière, 1,1 milliard d’euros levés, 353 brevets déposés, 18 usines en place et 27 en passe de l’être, le succès technologique et commercial de ces entreprises est le résultat d’une recherche de pointe et d’une formation de haut niveau », précise le gouvernement.

Sur les 80 lauréats, 60 bénéficient du statut de jeune entreprise innovante et 71 d’un crédit d’impôt recherche et d’innovation. De plus, « 60 % des start-ups travaillent avec la recherche publique ou privée ».

Dans le dossier de presse, la mission French Tech dresse la liste des 10 plus grosses levées de fonds : 57 millions d’euros pour Cailabs qui arrive en tête, les suivants sont presque à deux fois moins avec 30 millions pour le second Quandela.

Roland Lescure, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté rappelle que « la French Tech, ce sont 18 000 startups qui s’exportent dans le monde et 450 000 emplois sur ces 10 dernières années ».

Julie Huguet, directrice de la Mission French Tech, rappelle que French Tech 2030 « offre aux entreprises émergentes qui développent des technologies stratégiques pour la souveraineté numérique française la même visibilité et le même dispositif d’accompagnement qu’aux 120 champions de la tech française regroupés dans le French Tech Next40/120 ».

C'est un test un peu "deux en un" que nous vous proposons aujourd'hui. Il se concentre à la base d'après le titre choisi par l'auteur sur l'impact de la génération du bus PCIe sur les performances de votre carte graphique. Sauf que le testeur explique s'être rapidement rendu compte que pour qu'il y...

Un nouveau jeu Terminator pointe le bout de son canon scié et il promet une plongée nostalgique, avec un récit tiré du film Terminator 2 : Le Jugement Dernier, sorti en 1991 et un rendu 2D pixelisé, délicieux à souhait ! Le jeu se nomme Terminator 2D: NO FATE et sera disponible le 31 octobre 2025, pour un prix indéterminé. Vivez les événements animés de « Terminator 2 : Le Jugement Dernier » à travers des illustrations pixélisées magnifiques et un gameplay d'arcade rempli d'action ! Incarnez Sarah Connor et le T-800 à travers une variété de missions palpitantes où ils affrontent le T-1000 et tentent d'arrêter les plans de Skynet avant que l'humanité ne soit anéantie. Dirigez la Résistance en tant que John Connor dans le futur, combattant en première ligne comme le seul espoir de la race humaine dans la guerre contre les machines. Dans cette histoire unique qui mêle des scènes iconiques de « Terminator 2 : Le Jugement Dernier » avec des scénarios originaux et plusieurs fins, le destin de l'humanité est entre vos mains. CARACTÉRISTIQUES PRINCIPALES Plongez dans une expérience d'arcade classique rendant hommage à l'univers de Terminator avec un gameplay authentique, une bande-son immersive et des visuels recréés de A à Z. Revivez des moments cultes et tracez de nouvelles routes en tant que Sarah, John et le T-800 dans un récit mêlant scènes emblématiques de Terminator 2 : Le Jugement Dernier et histoires inédites de l'univers Terminator. Affrontez toute la puissance de Cyberdyne et de l'arsenal de Skynet, avec de nombreux types d'ennemis et des combats de boss intenses. Tirez, infiltrez-vous et échappez aux lames du T-1000à travers une grande variété de niveaux, et dirigez la Résistance en tant que John Connor dans des missions cruciales de la guerre dans le futur. Atteignez le rang le plus élevé dans chaque niveau pour dominer le tableau des scores et entrer dans la légende de l'arcade. Profitez d'une bande-son cinématographique mêlant des morceaux revisités de la légendaire B.O. de Terminator 2 : Le Jugement Dernier ainsi que des compositions inédites. Variez les plaisirs avec plusieurs modes de jeu au choix : Mode Histoire, Mode Arcade, Mode Infini, Boss Rush, Mère du Futur et Entraînement par niveau ! […]

Lire la suite

For those still using an AMD GCN 1.1 "Sea Islands" GPU like the Radeon R9 290/390 series, HD 7790 / 8870, or other Radeon Rx 200 / Rx 300 series GPUs, there is an exciting early Christmas present this year. Timur Kristóf of Valve's Linux graphics driver team sent out the patch series on Sunday for enabling the GCN 1.1 GPUs to use the newer AMDGPU driver on Linux by default in place of the existing "Radeon" driver. This can mean better performance, Vulkan driver support out-of-the-box, and other improvements compared to using that older Radeon driver...

The Rust Foundation has a responsibility to "shed light on the impact of supporting the often unseen work" that keeps the Rust Project running. So this week they announced a new initiative "to provide consistent, transparent, and long term support for the developers who make the Rust programming language possible." It's the Rust Foundation Maintainers Fund, "an initiative we'll shape in close collaboration with the Rust Project Leadership Council and Project Directors to ensure funding decisions are made openly and with accountability." In the months ahead, we'll define the fund's structure, secure contributions, and work with the Rust Project and community to bring it to life. This work will build on lessons from earlier iterations of our grants and fellowships to create a lasting framework for supporting Rust's maintainers... Over the past several months, through ongoing board discussions and input from the Leadership Council, this initiative has taken shape as a way to help maintainers continue their vital development and review work, and plan for the future... This initiative reflects our commitment to Rust being shaped by its people, guided by open collaboration, and backed by a global network of contributors and partners. The Rust Foundation Maintainers Fund will operate within the governance framework shared between the Rust Project and the Rust Foundation, ensuring alignment and oversight at every level... The Rust Foundation's approach to this initiative will be guided by our structure: as a 501( C)(6) nonprofit, we operate under a mandate for transparency and accountability to the Rust Project, language community, and our members. That means we must develop this fund in coordination with the Rust Project's priorities, ensuring shared governance and long-term viability... Our goal is simple: to help the people building Rust continue their essential work with the support they deserve. That means creating the conditions for long term maintainer roles and ensuring continuity for those whose efforts keep the language stable and evolving. Through the Rust Foundation Maintainers Fund, we aim to address these needs directly. "The more companies using Rust can contribute to the Rust Foundation Maintainers Fund, the more we can keep the language and tooling evolving for the benefit of everyone," says Rust Foundation project director Carol Nichols.

Read more of this story at Slashdot.

The nonprofit Dust-to-Digital Foundation is making thousands of historic songs accessible to the public for free through a new partnership with the University of California, Santa Barbara. The songs represent "some of the rarest and most uniquely American music borne from the Jazz Age and the Great Depression," according to the university, and classic blues recordings or tracks by Fiddlin' John Carson and his daughter Moonshine Kate "would have likely been lost to landfills and faded from memory." Launched in 1999 by Lance and April Ledbetter, Dust-to-Digital focused on preserving hard-to-find music. Originally a commercial label producing high-quality box sets (along with CDs, records, and books), it established a nonprofit foundation in 2010, working closely with collectors to digitize and preserve record collections. And there's an interesting story about how they became familiar with library curator David Seubert... Once a relationship is established, Dust-to-Digital sets up special turntables and laptops in a collector's home, with paid technicians painstakingly digitizing and labeling each record, one song at a time. Depending on the size of the collection, the process can take months, even years... In 2006, they heard about Seubert's Cylinder Preservation and Digitization Project getting "slashdotted," a term that describes when a website crashes or receives a sudden and debilitating spike in traffic after being mentioned in an article on Slashdot. Here in 2025, the university's library already has over 50,000 songs in a Special Research Collections, which they've been uploading it to a Discography of American Historical Recordings (DAHR) database. ("Recordings in the public domain are also available for free download, in keeping with the UCSB Library's mission for open access.") Over 5,000 more songs from Dust-to-Digital have already been added, says library curator Seubert, and "Thousands more are in the pipeline." One interest detail? The bulk of the new songs come from Joe Bussard, a man whose 75-year obsession with record collecting earned him the name "the king of the record collectors and "the saint of 78s".

Read more of this story at Slashdot.

Rust Coreutils continues moving fast on their goal "toward full GNU compatibility" with the GNU Coreutils. The uutils project announced Rust Coreutils 0.4 this evening with better compatibility, performance optimizations, and other improvements...

The literary magazine of the Phi Beta Kappa society argues "the replacement of human readers by AI has lately become a real possibility. "In fact, there are good reasons to think that we will soon inhabit a world in which humans still write, but do so mostly for AI." "I write about artificial intelligence a lot, and lately I have begun to think of myself as writing for Al as well," the influential economist Tyler Cowen announced in a column for Bloomberg at the beginning of the year. He does this, he says, because he wants to boost his influence over the world, because he wants to help teach the AIs about things he cares about, and because, whether he wants to or not, he's already writing for AI, and so is everybody else. Large-language-model (LLM) chatbots such as ChatGPT and Claude are trained, in part, by reading the entire internet, so if you put anything of yourself online, even basic social-media posts that are public, you're writing for them. If you don't recognize this fact and embrace it, your work might get left behind or lost. For 25 years, search engines knit the web together. Anyone who wanted to know something went to Google, asked a question, clicked through some of the pages, weighed the information, and came to an answer. Now, the chatbot genie does that for you, spitting the answer out in a few neat paragraphs, which means that those who want to affect the world needn't care much about high Google results anymore. What they really want is for the AI to read their work, process it, and weigh it highly in what it says to the millions of humans who ask it questions every minute. How do you get it to do this? For that, we turn to PR people, always in search of influence, who are developing a form of writing (press releases and influence campaigns are writing) that's not so much search-engine-optimized as chatbot-optimized. It's important, they say, to write with clear structure, to announce your intentions, and especially to include as many formatted sections and headings as you can. In other words, to get ChatGPT to pay attention, you must write more like ChatGPT. It's also possible that, since LLMs understand natural language in a way traditional computer programs don't, good writing will be more privileged than the clickbait Google has succumbed to: One refreshing discovery PR experts have made is that the bots tend to prioritize information from high-quality outlets. Tyler Cowen also wrote in his Bloomberg column that "If you wish to achieve some kind of intellectual immortality, writing for the Als is probably your best chance.... Give the Als a sense not just of how you think, but how you feel — what upsets you, what you really treasure. Then future Al versions of you will come to life that much more, attracting more interest." Has AI changed the reasons we write? The Phi Beta Kappa magazine is left to consider the possibility that "power over a superintelligent beast and resurrection are nothing to sneeze at" — before offering another thought. "The most depressing reason to write for AI is that unlike most humans, AIs still read. They read a lot. They read everything. Whereas, aided by an AI no more advanced than the TikTok algorithm, humans now hardly read anything at all..."

Read more of this story at Slashdot.

As we work toward the stable Linux 6.18 kernel release expected around the end of December, out today is the Linux 6.18-rc5 test kernel...

In 2022 the iPhone 14 featured emergency satellite service, and there's now support for roadside assistance and the ability to send and receive text messages. But for future iPhones, Apple is now reportedly working on five new satellite features, reports LiveMint: As per Bloomberg's Mark Gurman, Apple is building an API that would allow developers to add satellite connections to their own apps. However, the implementation is said to depend on app makers, and not every feature or service may be compatible with this system. The iPhone maker is also reportedly working on bringing satellite connectivity to Apple Maps, which would give users the chance to navigate without having access to a SIM card or Wi-Fi. The company is also said to be working on improved satellite messages that could support sending photos and not be limited to just text messages. Apple currently relies on the satellite network run by Globalstar to power current features on iPhones. However, the company is said to be exploring a potential sale, and Elon Musk's SpaceX could be a possible purchaser. The Mac Observer notes Bloomberg also reported Apple "has discussed building its own satellite service instead of depending on partners." And while some Apple executives pushed back, "the company continues to fund satellite research and infrastructure upgrades with the goal of offering a broader range of features." And "Future iPhones will use satellite links to extend 5G coverage in low-signal regions, ensuring that users remain connected even when cell towers are out of range.... Apple's slow but steady progress shows how the company wants iPhone satellite technology to move from emergency use to everyday convenience."

Read more of this story at Slashdot.

"For months, a small company in San Francisco has been pursuing a secretive project: the birth of a genetically engineered baby," reports the Wall Street Journal: Backed by OpenAI chief executive Sam Altman and his husband, along with Coinbase co-founder and CEO Brian Armstrong, the startup — called Preventive — has been quietly preparing what would amount to a biological first. They are working toward creating a child born from an embryo edited to prevent a hereditary disease.... Editing genes in embryos with the intention of creating babies from them is banned in the U.S. and many countries. Preventive has been searching for places to experiment where embryo editing is allowed, including the United Arab Emirates, according to correspondence reviewed by The Wall Street Journal... Preventive is in the vanguard of a growing number of startups, funded by some of the most powerful people in Silicon Valley, that are pushing the boundaries of fertility and working to commercialize reproductive genetic technologies. Some are working on embryo editing, while others are already selling genetic screening tools that seek to account for the influence of dozens or hundreds of genes on a trait. They say their ultimate goal is to produce babies who are free of genetic disease and resilient against illnesses. Some say they can also give parents the ability to choose embryos that will have higher IQs and preferred traits such as height and eye color. Armstrong, the cryptocurrency billionaire, is leading the charge to make embryo editing a reality. He has told people that gene-editing technology could produce children who are less prone to heart disease, with lower cholesterol and stronger bones to prevent osteoporosis. According to documents and people briefed on his plans, he is already an investor or in talks with embryo editing ventures... After the Journal approached people close to the company last month to ask about its work, Preventive announced on its website that it had raised $30 million in investment to explore embryo editing. The statement pledged not to advance to human trials "if safety cannot be established through extensive research..." Other embryo editing startups are Manhattan Genomics, co-founded by Thiel Fellow Cathy Tie, and Bootstrap Bio, which plans to conduct tests in Honduras. Both companies are in early stages. The article notes the only known instance of children born from edited embryos was in 2018, when Chinese scientist He Jiankui "shocked the world with news that he had produced three children genetically altered as embryos to be immune to HIV. He was sentenced to prison in China for three years for the illegal practice of medicine. "He hasn't publicly shared the children's identities but says they are healthy.

Read more of this story at Slashdot.

UPDATE (1:16 PST) Today's launch has been scrubbed due to weather, and Blue Origin is now reviewing opportunities for new launch windows. Sunday Morning Blue Origin livestreamed the planned launch of its New Glenn rocket, which will carry a very unique mission for NASA. "Twin spacecraft are set to take off on an unprecedented, winding journey to Mars," reports CNN, "where they will investigate why the barren red planet began to lose its atmosphere billions of years ago." By observing two Mars locations simultaneously, this mission can measure how Mars responds to space weather in real time — and how the Martian magnetosphere changes... Called EscaPADE, the mission will aim for an orbital trajectory that has never been attempted before, according to aerospace company Advanced Space, which is supporting the project. If successful, it could be a crucial case study that can allow extraordinary flexibility for planetary science missions down the road. The robotic mission plans to spend a year idling in an orbital backroad before heading to its target destination... [R]ather than turning toward Mars, the two orbiters will instead aim for Lagrange Point 2, or L2 — a cosmic balance point about 1.5 million kilometers (930,000 miles) from Earth. Lagrange points are special because they act as gravitational wells in which the pull of the sun and Earth are in perfect balance. The conditions can allow spacecraft to linger without being dragged away... The spacecraft will then loop endlessly in a kidney bean-shaped orbit around L2 until next year's Mars transfer window opens. This "launch and loiter" project is part of NASA's SIMPLEx [Small, Innovative Missions for Planetary Exploration] program, which seeks high-value missions for less money, notes CNN. "EscaPADE's cost was less than $100 million, compared with the roughly $300 million to $600 million price tags of other NASA satellites orbiting Mars." "Blue Origin is also attempting to land and recover New Glenn's first-stage booster," notes another CNN article.

Read more of this story at Slashdot.

After the Python Software Foundation rejected a $1.5 million grant because it restricted DEI activity, "a flood of new donations followed," according to a new report. By Friday they'd raised over $157,000, including 295 new Supporting Members paying an annual $99 membership fee, says PSF executive director Deb Nicholson. "It doesn't quite bridge the gap of $1.5 million, but it's incredibly impactful for us, both financially and in terms of feeling this strong groundswell of support from the community." Could that same security project still happen if new funding materializes? The PSF hasn't entirely given up. "The PSF is always looking for new opportunities to fund work benefiting the Python community," Nicholson told me in an email last week, adding pointedly that "we have received some helpful suggestions in response to our announcement that we will be pursuing." And even as things stand, the PSF sees itself as "always developing or implementing the latest technologies for protecting PyPI project maintainers and users from current threats," and it plans to continue with that commitment. The Python Software Foundation was "astounded and deeply appreciative at the outpouring of solidarity in both words and actions," their executive director wrote in a new blog post this week, saying the show of support "reminds us of the community's strength." But that post also acknowledges the reality that the Python Software Foundation's yearly revenue and assets (including contributions from major donors) "have declined, and costs have increased,..." Historically, PyCon US has been a source of revenue for the PSF, enabling us to fund programs like our currently paused Grants Program... Unfortunately, PyCon US has run at a loss for three years — and not from a lack of effort from our staff and volunteers! Everyone has been working very hard to find areas where we can trim costs, but even with those efforts, inflation continues to surge, and changing U.S. and economic conditions have reduced our attendance... Because we have so few expense categories (the vast majority of our spending goes to running PyCon US, the Grants Program, and our small 13-member staff), we have limited "levers to pull" when it comes to budgeting and long-term sustainability... While Python usage continues to surge, "corporate investment back into the language and the community has declined overall. The PSF has longstanding sponsors and partners that we are ever grateful for, but signing on new corporate sponsors has slowed." (They're asking employees at Python-using companies to encourage sponsorships.) We have been seeking out alternate revenue channels to diversify our income, with some success and some challenges. PyPI Organizations offers paid features to companies (PyPI features are always free to community groups) and has begun bringing in monthly income. We've also been seeking out grant opportunities where we find good fits with our mission.... We currently have more than six months of runway (as opposed to our preferred 12 months+ of runway), so the PSF is not at immediate risk of having to make more dramatic changes, but we are on track to face difficult decisions if the situation doesn't shift in the next year. Based on all of this, the PSF has been making changes and working on multiple fronts to combat losses and work to ensure financial sustainability, in order to continue protecting and serving the community in the long term. Some of these changes and efforts include: — Pursuing new sponsors, specifically in the AI industry and the security sector — Increasing sponsorship package pricing to match inflation — Making adjustments to reduce PyCon US expenses — Pursuing funding opportunities in the US and Europe — Working with other organizations to raise awareness — Strategic planning, to ensure we are maximizing our impact for the community while cultivating mission-aligned revenue channels The PSF's end-of-year fundraiser effort is usually run by staff based on their capacity, but this year we have assembled a fundraising team that includes Board members to put some more "oomph" behind the campaign. We'll be doing our regular fundraising activities; we'll also be creating a unique webpage, piloting temporary and VERY visible pop-ups to python.org and PyPI.org, and telling more stories from our Grants Program recipients... Keep your eyes on the PSF Blog, the PSF category on Discuss, and our social media accounts for updates and information as we kick off the fundraiser this month. Your boosts of our posts and your personal shares of "why I support the PSF" stories will make all the difference in our end-of-year fundraiser. If this post has you all fired up to personally support the future of Python and the PSF right now, we always welcome new PSF Supporting Members and donations.

Read more of this story at Slashdot.