Vue lecture

How HR Took Over the World

Human-resources departments in American companies employed 1.3 million professionals in 2024, a 64% increase over ten years. Overall employment grew 14% in the same period. Professional-services and technology firms saw the number of HR workers double since 2014. Similar patterns have emerged in Australia, Britain and Germany. Chief human-resources officers also gained ground financially. Their total compensation, which stood at 40% of the average director's salary in 1992, reached 70% by 2022, according to a Stanford University study. Mary Barra, who runs General Motors, previously held the carmaker's top HR position. The expansion has followed several workplace disruptions, including the Me Too movement, the pandemic's shift to remote work, and the rise of diversity initiatives, Economist reports. Companies also faced more state regulations on employee relations and a jump in workplace complaints. The average number of discrimination or harassment allegations rose from six per 1000 employees in 2021 to 15 last year.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Africa Finally Has Its Own Drug-Regulation Agency

After more than a decade of planning, the launch of the African Medicines Agency (AMA) is being celebrated in Mombasa, Kenya, this week at the Seventh Biennial Scientific Conference on Medical Products Regulation in Africa. From a report: The agency's establishment marks a pivotal moment in Africa's public health, at a time when the need for biomedical research conducted in Africa, focused on African health problems, has never been greater. Africa holds higher levels of human genetic diversity than anywhere else on Earth, but this diversity has not been adequately studied. And many globally approved treatments and vaccines for diseases such as HIV/AIDS, malaria and tuberculosis are less effective, and can even be harmful in some people of African ancestry. This year, cuts of billions of US dollars in international funding for biomedical research and health services in Africa have left millions of people without access to life-saving treatments or, in the case of researchers and health-care workers, unemployed. This demonstrates the immense vulnerability that comes with relying on funding from external donors. What's more, Africa's phenomenal population growth and pace of urbanization is bringing fresh challenges -- as well as opportunities -- around health and disease. In Africa's cities today, the inhabitants of increasingly affluent neighbourhoods are demanding high-quality medicines and health care. But in low-income areas, high population density, inadequate housing and poor sanitation are facilitating the spread of respiratory and diarrhoeal infections. And everywhere, inadequate diets, air pollution, smoking and physical inactivity are driving increased rates of cardiovascular disease, diabetes and cancer. By 2100, Africa is expected to host 13 of the world's 20 largest cities, and such inequalities are likely to worsen.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

The Algorithm Failed Music

An anonymous reader shares a report: Spotify is the most popular music streaming service in the world. While its algorithmic recommendations aren't necessarily the reason, its reach has meant that hundreds of millions of people are being fed a steady diet of music curated by a machine. Spotify's goal is to keep you listening no matter what. In her book Mood Machine, journalist Liz Pelly recounts a story told to her by a former Spotify employee in which Daniel Ek said, "our only competitor is silence." According to this employee, Spotify leadership didn't see themselves as a music company, but as a time filler. The employee explained that, "the vast majority of music listeners, they're not really interested in listening to music per se. They just need a soundtrack to a moment in their day." Simply providing a soundtrack to your day might seem innocent enough, but it informs how Spotify's algorithm works. Its goal isn't to help you discover new music, its goal is simply to keep you listening for as long as possible. It serves up the safest songs possible to keep you from pressing stop. The company even went so far as to partner with music library services and production companies under a program called Perfect Fit Content, or PFC. This saw the creation of fake or "ghost" artists that flooded Spotify with songs that were specifically designed to be pleasant and ignorable. It's music as content, not art. [...] Artists, especially new ones trying to break through, actually started changing how they composed to play better in the algorithmically driven streaming era. Songs got shorter, albums got longer, and intros went away. The hook got pushed to the front of the song to try to grab listeners' attention immediately, and things like guitar solos all but disappeared from pop music. The palette of sounds artists pulled from got smaller, arrangements became more simplified, pop music flattened.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

NSO, l’éditeur du logiciel espion Pegasus, passe sous pavillon états-unien, et trumpien

Coup de poker
NSO, l’éditeur du logiciel espion Pegasus, passe sous pavillon états-unien, et trumpien

La sulfureuse entreprise israélienne NSO, connue pour son célèbre logiciel espion étatique Pegasus, a annoncé des changements de taille en son sein. Ainsi, un groupe d’investisseurs dirigé par un producteur hollywoodien vient d’acquérir une participation majoritaire dans l’entreprise et un ancien proche de Donald Trump a été nommé à sa direction.

Le mois dernier, NSO a confirmé à TechCrunch qu’un groupe d’investisseurs états-uniens a investi des dizaines de millions de dollars afin de prendre le contrôle de l’entreprise israélienne. « Cet investissement ne signifie pas que la société échappe au contrôle réglementaire ou opérationnel israélien », a déclaré Oded Hershowitz, porte-parole de NSO :

« Le siège social et les activités principales de la société restent en Israël. Elle continue d’être entièrement supervisée et réglementée par les autorités israéliennes compétentes, notamment le ministère de la Défense et le cadre réglementaire israélien. » 

Dans un article lui aussi consacré à cette acquisition, Ctech rappelait de son côté que depuis 2023, la majeure partie des actions de NSO étaient détenues par une holding basée au Luxembourg, détenue à 100 % par Omri Lavie, l’un des trois fondateurs de l’entreprise.

En 2023, The Guardian avait déjà rapporté que le producteur hollywoodien Robert Simonds, qui avait rejoint le conseil d’administration de NSO afin de racheter l’entreprise, avant d’en démissionner deux mois plus tard faute d’y parvenir. Il semble cette fois y être arrivé, sans que les termes précis de la prise de contrôle n’aient toutefois été rendus publics.

Ancien avocat de Donald Trump et ex-ambassadeur des USA en Israël

Le nouveau président exécutif de NSO, David Friedman, est un ancien avocat d’affaires qui avait notamment défendu les intérêts de Donald Trump dans le cadre des faillites de ses casinos d’Atlantic City.

Il avait ensuite été nommé ambassadeur des États-Unis en Israël de 2017 à 2021, sous la première présidence de Donald Trump. Fervent partisan des implantations israéliennes et de l’annexion de la Cisjordanie, précise The Times of Israel, sa nomination avait alors été dénoncée par cinq anciens ambassadeurs des États-Unis en Israël.

« Si l’administration, comme je m’y attends, est disposée à envisager toute opportunité susceptible d’améliorer la sécurité des Américains, elle nous prendra en considération », a déclaré M. Friedman, qui partage son temps entre la Floride et Israël, souligne le Wall Street Journal.

En 2021, l’administration Biden avait en effet placé NSO sur sa liste noire, lui interdisant d’acquérir certains types de technologies provenant des États-Unis. Elle accusait l’entreprise israélienne d’avoir  « commercialisé un outil numérique mis au service de la répression de dissidents, militants et journalistes » et d’avoir « participé à des activités contraires à la sécurité nationale ou aux intérêts de politique étrangère des États-Unis ».

En 2023, Joe Biden avait également signé un décret interdisant aux agences et départements gouvernementaux d’utiliser des logiciels espions commerciaux qui « présentent des risques pour la sécurité nationale ou ont été utilisés à mauvais escient par des acteurs étrangers pour permettre des violations des droits humains dans le monde entier », rappelle le WSJ.

Le quotidien relève cela dit qu’il est peu probable que les agences gouvernementales américaines traitent avec NSO, « à moins que le décret présidentiel de Biden ne soit abrogé ».

Objectif : équiper les forces de police des États-Unis

Les clients de NSO étaient jusque-là principalement des services de renseignement ou des forces de l’ordre en charge de la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogues et le grand banditisme. Mais l’entreprise avait déjà fait scandale après la découverte du ciblage par son logiciel de journalistes, défenseurs des droits humains et dissidents.

Il est cela dit peu probable que Pegasus puisse être utilisé par les services de renseignement états-uniens, du fait même que l’entreprise reste supervisée et réglementée par les autorités israéliennes, notamment le ministère de la Défense et le cadre réglementaire israélien.

David Friedman a par contre déclaré qu’il souhaitait convaincre des agences américaines chargées de l’application de la loi, notamment des forces de police, de devenir clientes de l’entreprise. À l’en croire, « la NSO d’aujourd’hui est une entreprise beaucoup plus prudente dans la manière dont elle concède ses licences technologiques qu’elle ne l’était il y a cinq ou six ans ».

Entre 2020 et 2024, NSO avait dépensé 7,6 millions de dollars dans du lobbying ciblant l’administration états-unienne, d’après l’ONG Open Secrets, qui note que l’entreprise aurait accru ses dépenses en 2025, passant de 80 à 190 000 dollars.

The Times of Israel rapporte que NSO avait aussi fait appel personnellement au Premier ministre Benyamin Netanyahou ainsi qu’au conseiller et gendre de Trump, Jared Kushner, selon des informations publiées par le Wall Street Journal et le quotidien économique israélien The Marker.

En 2022, Christopher Wray, alors directeur du FBI, avait expliqué au Congrès avoir bien acheté la technologie du groupe NSO afin de la tester, mais qu’elle n’avait pas été utilisée à des fins opérationnelles.

Une amende réduite de 168 à 4 millions de dollars

Aux termes d’un procès entamé par Meta il y a six ans, qui accusait NSO d’avoir piraté sa messagerie WhatsApp, l’entreprise israélienne avait été condamnée en juillet à verser 168 millions de dollars de dommages et intérêts à Meta.

En octobre, l’amende avait été réduite à 4 millions de dollars, mais le juge avait aussi ordonné à NSO de cesser de cibler WhatsApp, « une décision qui, selon la société lors de sa défense, pourrait la conduire à la faillite », relève le WSJ. NSO a fait appel de la décision, et demande un sursis.

The Times of Israel relève que les fondateurs de NSO — Niv Karmi, Shalev Hulio et Omri Lavie, dont les prénoms forment l’acronyme du nom de la société — ne sont par contre plus actionnaires de la société qu’ils avaient lancée en 2010.

  •  

NSO, l’éditeur du logiciel espion Pegasus, passe sous pavillon états-unien, et trumpien

Coup de poker
NSO, l’éditeur du logiciel espion Pegasus, passe sous pavillon états-unien, et trumpien

La sulfureuse entreprise israélienne NSO, connue pour son célèbre logiciel espion étatique Pegasus, a annoncé des changements de taille en son sein. Ainsi, un groupe d’investisseurs dirigé par un producteur hollywoodien vient d’acquérir une participation majoritaire dans l’entreprise et un ancien proche de Donald Trump a été nommé à sa direction.

Le mois dernier, NSO a confirmé à TechCrunch qu’un groupe d’investisseurs états-uniens a investi des dizaines de millions de dollars afin de prendre le contrôle de l’entreprise israélienne. « Cet investissement ne signifie pas que la société échappe au contrôle réglementaire ou opérationnel israélien », a déclaré Oded Hershowitz, porte-parole de NSO :

« Le siège social et les activités principales de la société restent en Israël. Elle continue d’être entièrement supervisée et réglementée par les autorités israéliennes compétentes, notamment le ministère de la Défense et le cadre réglementaire israélien. » 

Dans un article lui aussi consacré à cette acquisition, Ctech rappelait de son côté que depuis 2023, la majeure partie des actions de NSO étaient détenues par une holding basée au Luxembourg, détenue à 100 % par Omri Lavie, l’un des trois fondateurs de l’entreprise.

En 2023, The Guardian avait déjà rapporté que le producteur hollywoodien Robert Simonds, qui avait rejoint le conseil d’administration de NSO afin de racheter l’entreprise, avant d’en démissionner deux mois plus tard faute d’y parvenir. Il semble cette fois y être arrivé, sans que les termes précis de la prise de contrôle n’aient toutefois été rendus publics.

Ancien avocat de Donald Trump et ex-ambassadeur des USA en Israël

Le nouveau président exécutif de NSO, David Friedman, est un ancien avocat d’affaires qui avait notamment défendu les intérêts de Donald Trump dans le cadre des faillites de ses casinos d’Atlantic City.

Il avait ensuite été nommé ambassadeur des États-Unis en Israël de 2017 à 2021, sous la première présidence de Donald Trump. Fervent partisan des implantations israéliennes et de l’annexion de la Cisjordanie, précise The Times of Israel, sa nomination avait alors été dénoncée par cinq anciens ambassadeurs des États-Unis en Israël.

« Si l’administration, comme je m’y attends, est disposée à envisager toute opportunité susceptible d’améliorer la sécurité des Américains, elle nous prendra en considération », a déclaré M. Friedman, qui partage son temps entre la Floride et Israël, souligne le Wall Street Journal.

En 2021, l’administration Biden avait en effet placé NSO sur sa liste noire, lui interdisant d’acquérir certains types de technologies provenant des États-Unis. Elle accusait l’entreprise israélienne d’avoir  « commercialisé un outil numérique mis au service de la répression de dissidents, militants et journalistes » et d’avoir « participé à des activités contraires à la sécurité nationale ou aux intérêts de politique étrangère des États-Unis ».

En 2023, Joe Biden avait également signé un décret interdisant aux agences et départements gouvernementaux d’utiliser des logiciels espions commerciaux qui « présentent des risques pour la sécurité nationale ou ont été utilisés à mauvais escient par des acteurs étrangers pour permettre des violations des droits humains dans le monde entier », rappelle le WSJ.

Le quotidien relève cela dit qu’il est peu probable que les agences gouvernementales américaines traitent avec NSO, « à moins que le décret présidentiel de Biden ne soit abrogé ».

Objectif : équiper les forces de police des États-Unis

Les clients de NSO étaient jusque-là principalement des services de renseignement ou des forces de l’ordre en charge de la lutte contre le terrorisme, le trafic de drogues et le grand banditisme. Mais l’entreprise avait déjà fait scandale après la découverte du ciblage par son logiciel de journalistes, défenseurs des droits humains et dissidents.

Il est cela dit peu probable que Pegasus puisse être utilisé par les services de renseignement états-uniens, du fait même que l’entreprise reste supervisée et réglementée par les autorités israéliennes, notamment le ministère de la Défense et le cadre réglementaire israélien.

David Friedman a par contre déclaré qu’il souhaitait convaincre des agences américaines chargées de l’application de la loi, notamment des forces de police, de devenir clientes de l’entreprise. À l’en croire, « la NSO d’aujourd’hui est une entreprise beaucoup plus prudente dans la manière dont elle concède ses licences technologiques qu’elle ne l’était il y a cinq ou six ans ».

Entre 2020 et 2024, NSO avait dépensé 7,6 millions de dollars dans du lobbying ciblant l’administration états-unienne, d’après l’ONG Open Secrets, qui note que l’entreprise aurait accru ses dépenses en 2025, passant de 80 à 190 000 dollars.

The Times of Israel rapporte que NSO avait aussi fait appel personnellement au Premier ministre Benyamin Netanyahou ainsi qu’au conseiller et gendre de Trump, Jared Kushner, selon des informations publiées par le Wall Street Journal et le quotidien économique israélien The Marker.

En 2022, Christopher Wray, alors directeur du FBI, avait expliqué au Congrès avoir bien acheté la technologie du groupe NSO afin de la tester, mais qu’elle n’avait pas été utilisée à des fins opérationnelles.

Une amende réduite de 168 à 4 millions de dollars

Aux termes d’un procès entamé par Meta il y a six ans, qui accusait NSO d’avoir piraté sa messagerie WhatsApp, l’entreprise israélienne avait été condamnée en juillet à verser 168 millions de dollars de dommages et intérêts à Meta.

En octobre, l’amende avait été réduite à 4 millions de dollars, mais le juge avait aussi ordonné à NSO de cesser de cibler WhatsApp, « une décision qui, selon la société lors de sa défense, pourrait la conduire à la faillite », relève le WSJ. NSO a fait appel de la décision, et demande un sursis.

The Times of Israel relève que les fondateurs de NSO — Niv Karmi, Shalev Hulio et Omri Lavie, dont les prénoms forment l’acronyme du nom de la société — ne sont par contre plus actionnaires de la société qu’ils avaient lancée en 2010.

  •  

[Édito] Black Friday, Black Week, Black Month… ça ne s’arrête donc jamais ?

En Espagne ils ont eu le Black Out
[Édito] Black Friday, Black Week, Black Month… ça ne s’arrête donc jamais ?

Ce qui n’était au départ qu’une journée de promotion venue des États-Unis s’est transformé en un mois complet de « fête » pour les commerçants. Ajoutez à cela les soldes, les French Days et les opérations ponctuelles des revendeurs et vous avez une présentation de notre monde actuel : des promotions tournantes et permanentes.

Le Black Friday (vendredi noir en traduction littérale ou vendredi fou au Québec) est une fête commerciale venue des États-Unis. Elle se déroule le vendredi suivant Thanksgiving (qui a lieu le troisième jeudi du mois de novembre).

Le « Single Day » le même jour que l’Armistice

Notez que le Black Friday arrive (en théorie, nous allons y revenir) quelques jours après le 11 novembre (11/11), une autre journée de promotions, mais venue de Chine cette fois-ci. C’est le « jour des célibataires » ou « Single Day », car le mois et le jour ne comprennent que des 1. Les plateformes chinoises en profitent pour multiplier les offres, Alibaba en tête.

En France, le Black Friday a pris son envol durant la seconde moitié des années 2010. « Le Black Friday 2016 a été le jour le plus intense de toute [son] histoire, avec environ 1,4 million d’unités commandées, 40 % de plus que l’année précédente », se félicitait par exemple Amazon. À titre de comparaison, en novembre 2015, Alibaba (propriétaire d’AliExpress) revendiquait 467 millions de commandes pour le Single Day.

En France, cette journée des célibataires n’a jamais vraiment décollé. Il faut dire que cette date du 11 novembre est synonyme d’Armistice de la Première Guerre mondiale. C’est une journée pour rendre « hommage à tous les morts pour la nation », rappelle le gouvernement, pas spécialement propice à la fête des promotions en tout genre.

Du Black Friday à la Black Week


Il reste 80% de l'article à découvrir.
Vous devez être abonné•e pour lire la suite de cet article.
Déjà abonné•e ? Générez une clé RSS dans votre profil.

  •  

ASMedia officialise sa première puce USB4 ayant obtenu la certification Intel Thunderbolt 4 !

Thunderbolt 4 n'est pas l'apanage que d'Intel (et/ou Apple). ASMedia, si vous vous souvenez est la société qui pense et usine les chipsets d'AMD depuis Ryzen. Elle progresse pour incorporer à chaque fois les dernières technologies, mais pour le moment, l'USB4 ne fait pas partie du packaging des Ryze...

  •  

Data Centers in Nvidia's Hometown Stand Empty Awaiting Power

Two of the world's biggest data center developers have projects in Nvidia's hometown that may sit empty for years because the local utility isn't ready to supply electricity. From a report: In Santa Clara, California, where the world's biggest supplier of artificial-intelligence chips is based, Digital Realty Trust applied in 2019 to build a data center. Roughly six years later, the development remains an empty shell awaiting full energization. Stack Infrastructure, which was acquired earlier this year by Blue Owl Capital, has a nearby 48-megawatt project that's also vacant, while the city-owned utility, Silicon Valley Power, struggles to upgrade its capacity. The fate of the two facilities highlights a major challenge for the US tech sector and indeed the wider economy. While demand for data centers has never been greater, driven by the boom in cloud computing and AI, access to electricity is emerging as the biggest constraint. That's largely because of aging power infrastructure, a slow build-out of new transmission lines and a variety of regulatory and permitting hurdles. And the pressure on power systems is only going to increase. Electricity requirements from AI computing will likely more than double in the US alone by 2035, based on BloombergNEF projections. Nvidia's Jensen Huang and OpenAI's Sam Altman are among corporate leaders that have predicted trillions of dollars will pour into building new AI infrastructure.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Tim Berners-Lee Says AI Will Not Destroy the Web

Tim Berners-Lee thinks AI will help the web, not destroy it. The inventor of the World Wide Web has spent years warning about platform concentration and social media's corrosive effects, but he views AI differently. AI has accomplished what his Semantic Web project could not. The technology extracts structured data from websites regardless of how the information was formatted. Berners-Lee spent decades trying to convince database owners to make their systems machine-readable voluntarily. AI companies simply took the data anyway. They achieved the machine-readable internet through extraction rather than cooperation, but the result is the same. Berners-Lee also weighed in on the growing browser competition in the market. OpenAI released Atlas a few weeks ago. Perplexity has launched Comet. Google has expanded AI features in Chrome. All these browsers run on Chromium, which Berners-Lee acknowledges is not ideal, but conceded that browser engines are expensive to build. He thinks Apple's decision to restrict iPhones to WebKit prevents web apps from competing with native apps.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Subsea Cable Investment Set To Double As Tech Giants Accelerate AI Buildout

Investment in subsea cable projects is expected to reach around $13 billion between 2025 and 2027, almost twice the amount invested between 2022 and 2024, according to telecommunications data provider TeleGeography. Tech giants Meta, Google, Amazon and Microsoft now represent about 50% of the overall market, up from a negligible share a decade ago. The companies are expanding their subsea infrastructure to connect growing networks of data centers needed for AI development. Meta announced Project Waterworth in February, a 50,000-kilometer cable connecting five continents that will be the world's longest subsea cable project. Amazon announced its first wholly-owned subsea cable called Fastnet, connecting Maryland to Ireland. Google has invested in over 30 subsea cables. Over 95% of international data and voice call traffic travels through nearly a million miles of underwater cables.

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Wanbo X5 : un vidéoprojecteur FullHD lumineux à 159€ (?)

Baisse de prix. Le projecteur est à nouveau en promo depuis un stock Européen de Geekbuying. Il tombe désormais à 159€ : voir en fin de billet.

Billet d’origine : Si la fiche technique du Wanbo X5 est alléchante, il vaut mieux commencer par son défaut majeur. Sa principale limitation qui est liée à son marché principal. Wanbo est une marque de l’écosystème Xiaomi, qui développe au départ des produits à destination du large public Chinois.

Et ce public se moque pas mal des contenus occidentaux en termes de films et de séries. Son gouvernement n’aime pas non plus trop les magasins d’applications comme Google ou autres. Ce qui fait que le Wanbo X1 a été pensé avant tout pour du contenu local. L’interface est bien gérée par un système Android 9.0 avec un accès au Google Store et qui sera traduit en plusieurs langues comme le français. Il ne sera donc pas réservé au public chinois… Mais les DRM embarqués limiteront sans doute le vidéoprojecteur à des versions basse définition des contenus « classiques » chez nous.

Wanbo X5 : l’image avant tout

Les propositions de Netflix, Prime Vidéo ou Disney+ seront compatibles mais limitées en 480 ou 720p. D’où l’importance encore une fois des solutions externes comme les MiniPC, les TV-Box type Nvidia Shield ou plus simplement des appareils ultra portables comme les FireTV. Connectées à l’entrée HDMI de ce type de projecteur, ces solutions permettent d’outrepasser le problème de ces DRM et de consommer des contenus plus « locaux ». Au lieu de tout faire à moitié, le projecteur se concentre sur la qualité d’image. Les euros nécessaires pour obtenir les DRM ont été investis dans l’optique et la qualité globale du produit.

Le tour du propriétaire de ce Wanbo X5 montre que l’engin est très intéressant pour projeter confortablement des contenus sans débourser des sommes folles. Proposé à 262€ en fin d’année dernière, le vidéoprojecteur a énormément d’atouts à commencer par une luminosité de 1100 Lumens ANSI. Soit plus du double de ce que proposent les vidéoprojecteurs les plus compacts de la marque comme le Wanbo T2 Max. Avec ce type de luminosité, on peut commencer à utiliser le projecteur dans une salle classique, sans compter sur la tombée de la nuit pour abaisser l’ambiance lumineuse. Il ne sera toujours pas possible d’afficher un film avec une grande baie vitrée ensoleillée qui inondera la pièce de lumière. Mais dans des conditions classiques d’illumination, on pourra passer quelques projections pour une réunion ou une série sans perdre trop de contraste. L’idéal restant toujours de mettre la pièce dans une luminosité faible pour profiter au mieux de l’image affichée.

Pour le reste, le petit projecteur Wanbo X5 (26.5 cm de large pour 23.5 cm de profondeur et 11.9 cm d’épaisseur.) propose un excellent équipement. On retrouve pour commencer une optique lumineuse qui projettera en FullHD grâce à un système de wobulation classique. Il prendra en charge du HDR10. L’optique propose un réglage automatique de la mise au point et corrige également les angles de sorte que vous puissiez décentrer le Wanbo X5 du milieu de la pièce jusqu’à 30°. Un support intégré permet de le surélever jusqu’à 12° pour afficher l’image plus haut. Au final, l’image projetée s’affichera de 40″ à 1.3 m à 180″ à 6 mètres. Autant être franc, en général les plus grandes diagonales manquent de finesse de rendu et sont assez délavées. Comptez sur un bon 120″ confortable à 4 mètres mais pas plus. Le projecteur pourra se poser sur un support ou être fixé au plafond sans souci.

A l’intérieur du Wanbo X5, un système de refroidissement discret permet de ne pas avoir à trop couvrir celui-ci par les enceintes intégrées. Deux enceintes de 5 watts sont embarquées même si en général ce type de matériel profite mieux d’une liaison Bluetooth pour une gestion sonore sur des enceintes plus performantes. Une prise jack 3.5 mm permettra par ailleurs de transférer le son à un équipement plus puissant ou à un casque audio.

Le reste de la connectique est classique : une entrée HDMI, deux ports USB 2.0 qui serviront à connecter un éventuel clavier ou souris ou à brancher une clé USB contenant vos photos de vacances. Un port AV Analogique au format jack est aussi présent, une solution pratique pour les vieux formats d’entrée comme le sont les anciens caméscopes. L’engin propose  16 Go de stockage interne qui serviront à stocker les applications installées. Il est piloté par un SoC Quadruple cœur Cortex-A53 associé à un chipset Mali-450 avec 1 Go de mémoire vive. La partie réseau est moderne avec un module Wi-Fi6 et Bluetooth 5.0.

L’engin est livré avec une télécommande à et un panneau reprend l’intégralité des options disponibles directement sur le dessus de son châssis.

Le Wanbo X5 est en promotion sur Geekbuying avec le code promo NNNBONPLANW4 à entrer dans votre panier de commande. Il passe alors à 159€ une fois le code appliqué. La livraison depuis la Pologne prend 7 à 10 jours. Les retours sur ce modèle sont excellents.

Voir l’offre sur Geekbuying

Wanbo X5 : un vidéoprojecteur FullHD lumineux à 159€ (🍮) © MiniMachines.net. 2025

  •  

☕️ Accord de Paris : 10 ans après, des « résultats mitigés »… mais sans ce serait pire

Le 12 décembre 2015, les accords de Paris étaient signé par 195 pays. Leur but ? Limiter le réchauffement climatique à 2 °C. Le Journal du CNRS fait le point dix ans après : « les résultats se font attendre. De quoi interroger l’efficacité des COP, ces grand-messes climatiques, dont la trentième édition s’ouvre ce lundi au Brésil ».

Le bilan est loin d’être à la hauteur : « en 2024, la température moyenne à la surface de la Terre a franchi pour la première fois le seuil de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Si rien ne change, nous nous acheminons vers un réchauffement de la température planétaire de 3,1 °C à la fin du siècle ».

En janvier 2024, la NASA affirmait que 2023 était l’année « la plus chaude jamais enregistrée », tandis qu’en 2025 c’était l’Organisation météorologique mondiale (OMM) qui annonçait que 2024 était officiellement « l’année la plus chaude jamais enregistrée, avec une température supérieure d’environ 1,55 °C aux valeurs préindustrielles ».

dessin satirique

La température globale n’est pas le seul problème : « Les océans se réchauffent plus vite que prévu par les modèles. De même, la cryosphère (l’ensemble des masses de glace, de neige et de sols gelés) fond plus rapidement », explique Agathe Euzen, directrice adjointe de CNRS Écologie & Environnement.

Et encore, c’est « sans même parler du dépérissement de la forêt amazonienne ou de la mort des récifs coralliens d’eau chaude dont dépendent 1 milliard de personnes et un quart de la vie marine… », ajoute le Journal du CNRS.

Gerhard Krinner, chercheur à l’Institut des géosciences de l’environnement, voit le bon côté des choses : « le monde est incontestablement meilleur avec l’accord de Paris que sans ». « Avec l’accord, on est actuellement sur une trajectoire de + 3 °C en 2100. Sans, on serait à+ 4 ou à+ 5 °C », ajoute Jean-François Doussin, directeur adjoint de CNRS Terre & Univers.

  •  

☕️ EchoStar vend pour 2,6 milliards de dollars de fréquences à SpaceX

En septembre, nous expliquions qu’EchoStar était sous la pression du régulateur américain (poussé par SpaceX et Donald Trump) sur l’utilisation, ou plutôt la non-utilisation de ces fréquences.

Deux contrats ont été signés pour se séparer de certaines bandes de fréquences : 23 milliards de dollars de fréquences pour AT&T puis 17 milliards de dollars avec SpaceX. Un joli pactole pour l’entreprise.

De 17 milliards, l’addition va passer à 19,6 milliards avec la vente de nouvelles fréquences EchoStar à SpaceX. Elles se trouvent dans la bande AWS-3, une liaison montante entre 1695 à 1710 MHz. Comme toujours, cette opération est soumise à l’accord des autorités compétentes.

« La combinaison de la liaison montante AWS-3, d’AWS-4 et du bloc H d’EchoStar avec les capacités de lancement de fusées et de fabrication de satellites de SpaceX accélère la mise en place d’offres direct-to-cell pour les consommateurs et les entreprises du monde entier, y compris nos clients Boost Mobile », affirme EchoStar.

Depuis cet été, l’action de l’entreprise américaine a augmenté de 145 % et plus de 260 % en six mois.

  •  

☕️ Accord de Paris : 10 ans après, des « résultats mitigés »… mais sans ce serait pire

Le 12 décembre 2015, les accords de Paris étaient signé par 195 pays. Leur but ? Limiter le réchauffement climatique à 2 °C. Le Journal du CNRS fait le point dix ans après : « les résultats se font attendre. De quoi interroger l’efficacité des COP, ces grand-messes climatiques, dont la trentième édition s’ouvre ce lundi au Brésil ».

Le bilan est loin d’être à la hauteur : « en 2024, la température moyenne à la surface de la Terre a franchi pour la première fois le seuil de + 1,5 °C par rapport à l’ère préindustrielle. Si rien ne change, nous nous acheminons vers un réchauffement de la température planétaire de 3,1 °C à la fin du siècle ».

En janvier 2024, la NASA affirmait que 2023 était l’année « la plus chaude jamais enregistrée », tandis qu’en 2025 c’était l’Organisation météorologique mondiale (OMM) qui annonçait que 2024 était officiellement « l’année la plus chaude jamais enregistrée, avec une température supérieure d’environ 1,55 °C aux valeurs préindustrielles ».

dessin satirique

La température globale n’est pas le seul problème : « Les océans se réchauffent plus vite que prévu par les modèles. De même, la cryosphère (l’ensemble des masses de glace, de neige et de sols gelés) fond plus rapidement », explique Agathe Euzen, directrice adjointe de CNRS Écologie & Environnement.

Et encore, c’est « sans même parler du dépérissement de la forêt amazonienne ou de la mort des récifs coralliens d’eau chaude dont dépendent 1 milliard de personnes et un quart de la vie marine… », ajoute le Journal du CNRS.

Gerhard Krinner, chercheur à l’Institut des géosciences de l’environnement, voit le bon côté des choses : « le monde est incontestablement meilleur avec l’accord de Paris que sans ». « Avec l’accord, on est actuellement sur une trajectoire de + 3 °C en 2100. Sans, on serait à+ 4 ou à+ 5 °C », ajoute Jean-François Doussin, directeur adjoint de CNRS Terre & Univers.

  •  

☕️ EchoStar vend pour 2,6 milliards de dollars de fréquences à SpaceX

En septembre, nous expliquions qu’EchoStar était sous la pression du régulateur américain (poussé par SpaceX et Donald Trump) sur l’utilisation, ou plutôt la non-utilisation de ces fréquences.

Deux contrats ont été signés pour se séparer de certaines bandes de fréquences : 23 milliards de dollars de fréquences pour AT&T puis 17 milliards de dollars avec SpaceX. Un joli pactole pour l’entreprise.

De 17 milliards, l’addition va passer à 19,6 milliards avec la vente de nouvelles fréquences EchoStar à SpaceX. Elles se trouvent dans la bande AWS-3, une liaison montante entre 1695 à 1710 MHz. Comme toujours, cette opération est soumise à l’accord des autorités compétentes.

« La combinaison de la liaison montante AWS-3, d’AWS-4 et du bloc H d’EchoStar avec les capacités de lancement de fusées et de fabrication de satellites de SpaceX accélère la mise en place d’offres direct-to-cell pour les consommateurs et les entreprises du monde entier, y compris nos clients Boost Mobile », affirme EchoStar.

Depuis cet été, l’action de l’entreprise américaine a augmenté de 145 % et plus de 260 % en six mois.

  •  

Can openSUSE Tumbleweed Compete With CachyOS Performance?

Last week when delivering some CachyOS benchmarks against Fedora 43 and Ubuntu 25.10 on the Framework Desktop with AMD Ryzen AI Max+, a few Phoronix readers wrote in with the question or belief that openSUSE Tumbleweed would better perform against CachyOS given the distribution's select x86_64-v3 packages and other advantages. As it's been a while since running any benchmarks of the rolling-release openSUSE Tumbleweed, here are those benchmarks now in the mix for seeing how the performance compares.
  •  

Microsoft Bets on Influencers To Close the Gap With ChatGPT

An anonymous reader shares a report: Microsoft, eager to boost downloads of its Copilot chatbot, has recruited some of the most popular influencers in America to push a message to young consumers that might be summed up as: Our AI assistant is as cool as ChatGPT. Microsoft could use the help. The company recently said its family of Copilot assistants attracts 150 million active users each month. But OpenAI's ChatGPT claims 800 million weekly active users, and Google's Gemini boasts 650 million a month. Microsoft has an edge with corporate customers, thanks to a long history of selling them software and cloud services. But it has struggled to crack the consumer market -- especially people under 30. "We're a challenger brand in this area, and we're kind of up and coming," Consumer Chief Marketing Officer Yusuf Mehdi said in an interview. Mehdi hopes to persuade key influencers to make Copilot their chatbot of choice and then use their popularity to market the assistant to their millions of followers. He says Microsoft is already getting more bang for the buck with influencers than with traditional media, but didn't provide any metrics. [...] Using non-techies as spokespeople is meant to reinforce Microsoft's campaign to sell its chatbot as a life coach for everyone. Or as Consumer AI chief Mustafa Suleyman wrote in a recent essay, an AI companion that "helps you think, plan and dream."

Read more of this story at Slashdot.

  •  

Capitole du Libre 2025 : réservez vos 15 et 16 novembre

Cette année, Guillaume, un lecteur du site, m’a très gentiment envoyé les informations concernant ce Week End du 15 au 16 novembre pour le Capitole du Libre. Je me fais donc une joie de vous les relayer.

L’évènement aura lieu à Toulouse et il est organisé par l’association Toulibre. C’est l’ENSEEIHT qui accueille et soutien l’évènement que ce soit d’un point vue logistique et humain. Ses étudiants prêtant main forte aux différents intervenants, car il y a du pain sur la planche. L’édition 2025 du Capitole du Libre ce sont pas moins de cent conférences réparties sur le Week-end. Vingt ateliers seront également proposés pour couvrir au total une vaste étendue de sujets : développement web, C++, DevOps, création graphique libre, jeux libres, enjeux sociétaux autour du numérique. Le tout étant ouvert à tout le monde, totalement gratuit, mais nécessitant une inscription préalable pour des raisons logistiques

Capitole du Libre : un évènement ouvert à toutes et à tous

Guillaume me cite en exemple des conférences sur des sujets accessibles pour le grand public. Nicolas Vivant de la mairie d’Échirolles qui abordera par exemple leur transition vers du logiciel libre. Une table ronde sur la souveraineté numérique aura également lieu en fin de journée samedi. D’autres conférences seront plus pointues. On causera noyau Linux, cambouis technique et stockage distribué.

L’idée générale est de parler à tout type de public. Du simple curieux aux professionnels aguerris, dans une ambiance parfois studieuse, parfois plus relâchée, mais toujours accueillante et ouverte.

Capitole du Libre 2024

Capitole du Libre 2024

De nombreux acteurs français du logiciel libre se réuniront dans le village associatif pour rencontrer le public. On peut compter parmi eux l’April, Debian France, FDN, Mageia, Proxmox, Haiku, Framasoft et bien d’autres. La liste complète des activités et conférences est disponible en suivant ce lien

Vous retrouverez par ailleurs un espace d’entraide pour vous aider à installer une distribution Linux ainsi que des conseils pour utiliser des logiciels libres. Un espace qui pourrait avoir beaucoup de succès suite aux aventures Microsoftiennes avec la « fin » de Windows 10. Une LAN party permettra de jouer en réseau pour découvrir des jeux vidéo libres. Un atelier d’initiation au code sera proposé, assuré par l’EPITECH de Toulouse. 

Une programmation pensée en amont pour plaire aux curieux, aux passionnés, aux débutants comme aux plus expérimentés. Pour découvrir l’ensemble du programme, cela se passe ici.

Capitole du Libre : les 15 et 16 novembre prochain, à l’INP-N7, au 2 rue Charles Camichel à Toulouse (31000).
Le site web : capitoledulibre.org

Capitole du Libre 2025 : réservez vos 15 et 16 novembre © MiniMachines.net. 2025

  •