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☕️ Lancement réussi pour le satellite d’observation des océans Copernicus Sentinel-6B

L’Agence spatiale européenne (ESA) s’est félicitée lundi 17 novembre du succès du lancement d’un nouveau satellite dédié à la surveillance du niveau des océans, intégré au programme Copernicus.

Baptisé Sentinel-6B, ce nouvel appareil succède à Sentinel-6 Michael Freilich, lancé en 2020, et embarque « la dernière technologie d’altimétrie radar » pour mesurer et enregistrer en continu la hauteur de la surface de la mer, dans le prolongement des programmes dédiés initiés au début des années 1990.

« Outre la cartographie de la hauteur de la surface de la mer pour comprendre les changements à long terme, Copernicus Sentinel-6 fournit également des données pour des applications « opérationnelles » pratiques. Par exemple, la mission mesure la hauteur significative des vagues et la vitesse du vent, données qui sont utilisées pour les prévisions océaniques en temps quasi réel. Concrètement, l’altimétrie par satellite fournit les mesures les plus complètes disponibles à ce jour sur l’état de la mer », décrit l’Agence spatiale européenne.

Le lancement a été réalisé lundi matin vers 6h20 (heure de Paris) au moyen d’une fusée SpaceX Falcon 9 depuis la base spatiale de Vandenberg en Californie.

Le satellite Sentinel-6B en direction de son orbite de destination – crédit NASA/SpaceX

Outre l’intérêt scientifique de la mission, l’Agence spatiale européenne souligne également sa dimension collaborative, fruit d’une coopération internationale qui implique notamment deux agences gouvernementales américaines : la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) et la NASA (National Aeronautics and Space Administration).

« Cette réussite démontre ce qu’il est possible d’accomplir lorsque des agences et des industries internationales travaillent ensemble vers un objectif commun. Sentinel-6B nous permettra de continuer à collecter les données de haute précision nécessaires pour comprendre l’évolution de notre climat, protéger nos océans et soutenir les décisions qui protègent les communautés côtières à travers le monde », se réjouit Simonetta Cheli, directrice des programmes d’observation de la Terre à l’ESA.

Cet hommage appuyé à la collaboration internationale n’a rien d’un hasard : il intervient alors que les agences américaines impliquées dans la surveillance et l’étude du climat font l’objet d’attaques répétées de l’administration Trump.

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Vers un Windows « agentique » : accueil glacial pour la vision de Microsoft

Le sens des priorités
Vers un Windows « agentique » : accueil glacial pour la vision de Microsoft

Microsoft a présenté ce 17 novembre sa vision d’un Windows agentique. Mais si l’éditeur décrit dans les grandes largeurs la sécurité renforcée censée accompagner sa vision, le retour de bâton est particulièrement violent.

On savait que les investissements massifs de Microsoft dans OpenAI et de manière générale dans l’IA allaient aboutir à une annonce plus vaste. Le billet publié lundi soir l’a montré : le futur imaginé pour Windows est celui d’un « système d’exploitation agentique », avec des capacités « IA natives » et dans l’objectif d’une plateforme à laquelle on peut confier à peu près toutes les missions possibles et imaginables.

Cependant, Microsoft n’a pas cherché d’abord à convaincre du bien-fondé de sa vision. Sa communication est avant tout focalisée sur la sécurité. La firme veut prouver qu’elle a pris le sujet à bras le corps. Problème, le fond de l’annonce – un système agentique – a rencontré une énorme vague de scepticisme, notamment sur X.

Qu’a vraiment annoncé Microsoft ?

La vision partagée hier soir est celle d’une plateforme conçue globalement pour exécuter des missions à partir de prompts, qu’ils soient écrits ou dictés à l’oral. Microsoft veut aller plus loin que les fonctions existantes, via un espace dédié dans Windows, assorti d’une série de blindages. Il s’agit, dans les grandes lignes, de généraliser les interactions des agents avec les autres applications, afin que toutes puissent communiquer de cette manière, comme on peut déjà le voir en partie avec Copilot Vision.

La vraie nouveauté est une fonction expérimentale baptisée « agent workspace », tout juste arrivée hier soir dans la préversion 26220.7262 de Windows, dans les canaux Dev et Beta, mais pas dans l’Union européenne. Ces espaces de travail représentent les zones dans lesquelles les agents pourront faire leur travail. Ils sont isolés et confinés du reste du système, chaque agent ayant un compte dédié et séparé du compte utilisateur.


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☕️ Lancement réussi pour le satellite d’observation des océans Copernicus Sentinel-6B

L’Agence spatiale européenne (ESA) s’est félicitée lundi 17 novembre du succès du lancement d’un nouveau satellite dédié à la surveillance du niveau des océans, intégré au programme Copernicus.

Baptisé Sentinel-6B, ce nouvel appareil succède à Sentinel-6 Michael Freilich, lancé en 2020, et embarque « la dernière technologie d’altimétrie radar » pour mesurer et enregistrer en continu la hauteur de la surface de la mer, dans le prolongement des programmes dédiés initiés au début des années 1990.

« Outre la cartographie de la hauteur de la surface de la mer pour comprendre les changements à long terme, Copernicus Sentinel-6 fournit également des données pour des applications « opérationnelles » pratiques. Par exemple, la mission mesure la hauteur significative des vagues et la vitesse du vent, données qui sont utilisées pour les prévisions océaniques en temps quasi réel. Concrètement, l’altimétrie par satellite fournit les mesures les plus complètes disponibles à ce jour sur l’état de la mer », décrit l’Agence spatiale européenne.

Le lancement a été réalisé lundi matin vers 6h20 (heure de Paris) au moyen d’une fusée SpaceX Falcon 9 depuis la base spatiale de Vandenberg en Californie.

Le satellite Sentinel-6B en direction de son orbite de destination – crédit NASA/SpaceX

Outre l’intérêt scientifique de la mission, l’Agence spatiale européenne souligne également sa dimension collaborative, fruit d’une coopération internationale qui implique notamment deux agences gouvernementales américaines : la NOAA (National Oceanic and Atmospheric Administration) et la NASA (National Aeronautics and Space Administration).

« Cette réussite démontre ce qu’il est possible d’accomplir lorsque des agences et des industries internationales travaillent ensemble vers un objectif commun. Sentinel-6B nous permettra de continuer à collecter les données de haute précision nécessaires pour comprendre l’évolution de notre climat, protéger nos océans et soutenir les décisions qui protègent les communautés côtières à travers le monde », se réjouit Simonetta Cheli, directrice des programmes d’observation de la Terre à l’ESA.

Cet hommage appuyé à la collaboration internationale n’a rien d’un hasard : il intervient alors que les agences américaines impliquées dans la surveillance et l’étude du climat font l’objet d’attaques répétées de l’administration Trump.

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On part chez GIGABYTE à Taipei, Taiwan

Il est temps de partir en photos et en vidéo dans les locaux de GIGABYTE à Taïwan et plus précisement à Taipei. L'occasion d'en savoir plus sur cette marque emblématique dans le milieu du hardware. C'est ici : Chez GIGABYTE à Taipei, Taiwan ou sur la source. […]

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Sandisk dévoile la SANDISK Extreme Fit, la clé USB-C de 1 To la plus petite au monde

Sandisk annonce le lancement de la clé USB-C SANDISK Extreme Fit, la plus petite clé USB-C de 1 To au monde. Conçue pour rester discrètement branchée une fois connectée, cette clé aussi compacte que puissante s'adresse aux professionnels, étudiants et utilisateurs du quotidien qui ont besoin de plus d'espace sur leur ordinateur portable ou leur tablette, sans compromettre leur mobilité. Cette clé offre une solution de stockage discret pour des transferts de fichiers rapides et une capacité allant jusqu'à 1 To. À l'heure où les ordinateurs portables et tablettes USB-C deviennent la norme, les utilisateurs recherchent des solutions capables de suivre leur rythme et leurs besoins croissants en stockage. La clé USB-C SANDISK Extreme Fit offre une grande capacité de stockage qui s'adapte parfaitement pour rester connecté, que ce soit entre deux réunions, dans les transports ou en cours. […]

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EPOMAKER TH33 et EK21 : deux nouveaux numpads compacts pour booster votre setup comptatibilité ou Gaming !!!

EPOMAKER enrichit son catalogue d'accessoires compacts avec deux nouveaux pavés numériques pensés pour les setups modernes en mode Gaming ou en mode Comptabilité : les TH33 et EK21. À l'heure où les bureaux se veulent plus épurés, plus légers et plus personnalisés, la marque propose ici deux solutions qui misent sur la polyvalence, le confort et la customisation avancée. […]

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ADATA et MSI frappent fort en dévoilant le premier module mémoire DDR5 CUDIMM 4-RANK au monde

Comme nous le disions dans le titre, ADATA et MSI frappent fort en dévoilant le premier module mémoire DDR5 CUDIMM 4-RANK au monde. Une avancée majeure qui ouvre la voie à des capacités encore jamais vues sur nos plateformes desktop. Fruit d'un développement commun entre les deux marques, ce module propose pas moins de 128 Go par barrette et une compatibilité validée sur les plateformes Intel Z890. Jusqu'à maintenant, les modules 2-RANK dominaient le marché. Avec cette nouvelle architecture 4-RANK, ADATA double la capacité sans sacrifier la stabilité ni les performances. Ce nouveau CUDIMM se destine autant aux charges lourdes qu'aux environnements exigeants : traitements de données massifs, multitâche avancé, IA locale, édition vidéo ou encore création de contenu haut niveau. Le tout en profitant des atouts habituels de la technologie maison CUDIMM : débits élevés, latences maîtrisées et fiabilité accrue. […]

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How To Not Get Kidnapped For Your Bitcoin

schwit1 shares a report from the New York Times: Pete Kayll, a musclebound veteran of Britain's Royal Marines, had an unusual instruction for the Bitcoin investors gathered in Switzerland in late October. "Just bite your way out," he told them. It was the final day of a weekend-long cryptocurrency convention on the shore of Lake Lugano, near the Italian border. A small group of investors had lined up in a conference room to have their hands bound with plastic zipties. Now they were learning how to get them off. "Your teeth will get through anything," Mr. Kayll advised. "But it will bloody well hurt." Most people don't go to an international crypto conference expecting to learn how to gnaw through plastic. But after hours of panels devoted to topics like Bitcoin-collateralized loans, these investors were looking for something more practical. They wanted to know what to do if they were grabbed on the street and thrown into the back of a van. Already paranoid about scams, hacks and market turmoil, wealthy crypto investors have lately become terrified about a much graver threat: torture and kidnapping. These threats are known as "wrench attacks," which is a reference to a popular XKCD cartoon where a thief skips the hacking and just uses a wrench to force out the password. According to the NYT, the best way to stay protected is staying low-profile, minimizing visible signs of wealth, using basic physical security tools, and preparing for self-defense. The report specifically recommends avoiding flashy displays of wealth like luxury watches and cars, watching for honey-traps, using hotel door stoppers, practicing escape techniques such as breaking zip-ties, hiring discreet bodyguards, and relying on panic-button apps like Glok to summon help quickly.

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☕️ #LIDD Itiner-e : un Google Maps des voies romaines

Le projet Itiner-e propose « le jeu de données numérique ouvert le plus détaillé des routes de tout l’Empire romain ». En plus des villes (avec les noms d’époque) et des voies romaines, le site permet de calculer des itinéraires à pied, à cheval ou avec une charrette à bœufs. Les données peuvent être téléchargées.

Il fallait ainsi 95 heures avec un cheval (vitesse moyenne de 6 km/h), 143 heures à pied et 286 heures avec une charrette à bœufs pour rejoindre Lugdunum et Burdigala (c’est-à-dire Lyon vers Bordeaux). Pour les trajets en mode Google Maps cliquez sur la petite icône en bas à droite de l’écran. Les autres options permettent d’afficher un fond de carte satellite, les routes, villes et frontières actuelles.

Le blog spécialisé et contributif Cartonumérique explique qu’une « équipe de recherche internationale a créé une nouvelle cartographie des routes de l’Empire romain. La carte qui en résulte comprend près de 300 000 km de routes, soit près de deux fois plus que ce que l’on trouve d’habitude sur des cartes historiques. Cet immense réseau routier témoigne de la puissance de cet empire ».

Le site « agrège 200 ans de recherche : tout ce qu’on sait sur les endroits où des routes ont été étudiées et excavées a été combiné avec des images satellites et des cartes topographiques qui montrent les traces, dans le paysage, où des chemins auraient pu se trouver », expliquait à la RTS Tom Brughman (professeur associé en archéologie au Danemark et co-directeur du projet). Il affirme que ce sont pas moins de 100 000 km supplémentaires « par rapport aux anciennes estimations ».

Il ajoute qu’un « grand nombre de lieux de vie romains ne sont pas encore connectés à notre réseau par des routes connues. Beaucoup de ces chemins pourront encore être découverts, aussi en Suisse ». Au fur et à mesure des découvertes, la carte (collaborative et évolutive) sera enrichie.

De nombreux tutos pour utiliser ce site ont été mis en ligne sur cette page.

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☕️ #LIDD Itiner-e : un Google Maps des voies romaines

Le projet Itiner-e propose « le jeu de données numérique ouvert le plus détaillé des routes de tout l’Empire romain ». En plus des villes (avec les noms d’époque) et des voies romaines, le site permet de calculer des itinéraires à pied, à cheval ou avec une charrette à bœufs. Les données peuvent être téléchargées.

Il fallait ainsi 95 heures avec un cheval (vitesse moyenne de 6 km/h), 143 heures à pied et 286 heures avec une charrette à bœufs pour rejoindre Lugdunum et Burdigala (c’est-à-dire Lyon vers Bordeaux). Pour les trajets en mode Google Maps cliquez sur la petite icône en bas à droite de l’écran. Les autres options permettent d’afficher un fond de carte satellite, les routes, villes et frontières actuelles.

Le blog spécialisé et contributif Cartonumérique explique qu’une « équipe de recherche internationale a créé une nouvelle cartographie des routes de l’Empire romain. La carte qui en résulte comprend près de 300 000 km de routes, soit près de deux fois plus que ce que l’on trouve d’habitude sur des cartes historiques. Cet immense réseau routier témoigne de la puissance de cet empire ».

Le site « agrège 200 ans de recherche : tout ce qu’on sait sur les endroits où des routes ont été étudiées et excavées a été combiné avec des images satellites et des cartes topographiques qui montrent les traces, dans le paysage, où des chemins auraient pu se trouver », expliquait à la RTS Tom Brughman (professeur associé en archéologie au Danemark et co-directeur du projet). Il affirme que ce sont pas moins de 100 000 km supplémentaires « par rapport aux anciennes estimations ».

Il ajoute qu’un « grand nombre de lieux de vie romains ne sont pas encore connectés à notre réseau par des routes connues. Beaucoup de ces chemins pourront encore être découverts, aussi en Suisse ». Au fur et à mesure des découvertes, la carte (collaborative et évolutive) sera enrichie.

De nombreux tutos pour utiliser ce site ont été mis en ligne sur cette page.

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Chez GIGABYTE à Taipei, Taiwan

Le déplacement d'une partie de l'équipe en Asie étant terminé, il est temps de faire un point sur les rendez-vous passés ! Direction Taïwan pour découvrir GIGABYTE et ses locaux. Un premier déplacement pour Cowcotland dans les bureaux de la célèbre marque, avec quelques petites surprises à découvrir, notamment sur les tests des cartes mères. Voyons tout cela avant une seconde partie plus dédiée aux composants, qui arrivera dans les semaines à venir.
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☕️ Carte Vitale dématérialisée : l’application dédiée est disponible pour tous

Déjà disponible au travers du service France Identité, la carte Vitale dématérialisée dispose désormais de sa propre application, distribuée sur iOS et Android. Si cette dernière était déjà accessible aux utilisateurs de France Identité, elle l’est maintenant pour tous les internautes français, après installation de la dernière mise à jour éditée par le GIE SESAM-Vitale et sous réserve de disposer d’un smartphone compatible.

En pratique, l’appli carte Vitale a vocation à remplacer la carte verte et jaune physique que connaissent aujourd’hui les assurés : on peut ainsi simplement présenter son smartphone chez les professionnels de santé équipés d’un lecteur dédié (présentation d’un code QR ou identification via NFC), la sécurité étant assurée par le verrouillage de l’application (mot de passe à dix chiffres ou biométrie).

L’enrôlement suppose de vérifier l’identité de l’utilisateur. Pour ce faire, l’application propose deux options : soit une connexion à France Identité, si des documents d’identité officiels ont déjà été enregistrés sur le smartphone (on parle alors de dérivation d’une identité numérique déjà vérifiée), soit une vérification biométrique, qui suppose de photographier sa pièce d’identité, puis d’enregistrer une courte vidéo de son visage à des fins de contrôle. La vérification est dans ce contexte différée (le temps qu’un agent valide la demande) dans un délai maximal de 48 heures.

Au fait, pourquoi une application dédiée, alors que France Identité pourrait gérer la carte Vitale dématérialisée ? « L’appli carte Vitale est destinée à tous les assurés de l’Assurance maladie. L’application France Identité est accessible uniquement aux détenteurs d’une carte d’identité française nouveau format », répond l’Assurance maladie. Le client dédié permet par ailleurs de retrouver ses dépenses de soin.

Au chapitre des données, l’application n’est censée héberger aucune information à caractère médical. Elle contient en revanche les données dites de l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO) pour l’assuré et ses bénéficiaires (conjoint, enfants), dont le numéro de sécurité sociale, les noms et prénoms, date de naissance, qualité et organisme de rattachement, ainsi que l’adresse email du compte ou espace assuré. « À terme, les données de l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC) pourront être intégrées dans l’application. », précise le site dédié, sur lequel on peut consulter les conditions générales d’utilisation (CGU) associées.

Si les « professionnels de santé s’équipent progressivement afin de pouvoir lire l’appli carte Vitale », le déploiement est progressif. La carte Vitale physique, qui reste indispensable pour les assurés non détenteurs d’un smartphone, a donc sans doute encore de beaux jours devant elle. L’annuaire en ligne de l’Assurance maladie permet de vérifier si un professionnel ou centre de santé est équipé d’un lecteur compatible avec l’application carte Vitale.

Exemple d’une fiche de médecin sur l’annuaire Ameli – capture d’écran Next

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☕️ Carte Vitale dématérialisée : l’application dédiée est disponible pour tous

Déjà disponible au travers du service France Identité, la carte Vitale dématérialisée dispose désormais de sa propre application, distribuée sur iOS et Android. Si cette dernière était déjà accessible aux utilisateurs de France Identité, elle l’est maintenant pour tous les internautes français, après installation de la dernière mise à jour éditée par le GIE SESAM-Vitale et sous réserve de disposer d’un smartphone compatible.

En pratique, l’appli carte Vitale a vocation à remplacer la carte verte et jaune physique que connaissent aujourd’hui les assurés : on peut ainsi simplement présenter son smartphone chez les professionnels de santé équipés d’un lecteur dédié (présentation d’un code QR ou identification via NFC), la sécurité étant assurée par le verrouillage de l’application (mot de passe à dix chiffres ou biométrie).

L’enrôlement suppose de vérifier l’identité de l’utilisateur. Pour ce faire, l’application propose deux options : soit une connexion à France Identité, si des documents d’identité officiels ont déjà été enregistrés sur le smartphone (on parle alors de dérivation d’une identité numérique déjà vérifiée), soit une vérification biométrique, qui suppose de photographier sa pièce d’identité, puis d’enregistrer une courte vidéo de son visage à des fins de contrôle. La vérification est dans ce contexte différée (le temps qu’un agent valide la demande) dans un délai maximal de 48 heures.

Au fait, pourquoi une application dédiée, alors que France Identité pourrait gérer la carte Vitale dématérialisée ? « L’appli carte Vitale est destinée à tous les assurés de l’Assurance maladie. L’application France Identité est accessible uniquement aux détenteurs d’une carte d’identité française nouveau format », répond l’Assurance maladie. Le client dédié permet par ailleurs de retrouver ses dépenses de soin.

Au chapitre des données, l’application n’est censée héberger aucune information à caractère médical. Elle contient en revanche les données dites de l’Assurance Maladie Obligatoire (AMO) pour l’assuré et ses bénéficiaires (conjoint, enfants), dont le numéro de sécurité sociale, les noms et prénoms, date de naissance, qualité et organisme de rattachement, ainsi que l’adresse email du compte ou espace assuré. « À terme, les données de l’Assurance Maladie Complémentaire (AMC) pourront être intégrées dans l’application. », précise le site dédié, sur lequel on peut consulter les conditions générales d’utilisation (CGU) associées.

Si les « professionnels de santé s’équipent progressivement afin de pouvoir lire l’appli carte Vitale », le déploiement est progressif. La carte Vitale physique, qui reste indispensable pour les assurés non détenteurs d’un smartphone, a donc sans doute encore de beaux jours devant elle. L’annuaire en ligne de l’Assurance maladie permet de vérifier si un professionnel ou centre de santé est équipé d’un lecteur compatible avec l’application carte Vitale.

Exemple d’une fiche de médecin sur l’annuaire Ameli – capture d’écran Next

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Intel Core Ultra 290K Plus, 270K Plus et 250K Plus : Arrow Lake Refresh gagne des cores, des MHz et la DDR5-7200

On le sait, Intel prépare déjà la suite de sa plateforme Arrow Lake-S avec une gamme Plus qui commence à fuiter un peu partout. Pas une nouvelle architecture, juste un refresh, mais une évolution visant à combler certains manques de la génération actuelle. Au menu : plus d'E-cores, des fréquences en hausse et un support mémoire amélioré. Trois modèles déjà visibles dans la nature Les informations portent pour l'instant sur trois références : - Core Ultra 9 290K Plus : toujours 8 P-cores et 16 E-cores, mais un boost en hausse d'environ 100 MHz, des E-cores plus rapides et un Thermal Velocity Boost montant jusqu'à 5,8 GHz. […]

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Vers une augmentation des prix des cartes graphiques AMD ?

Cela fait maintenant un bon moment que les prix de la mémoire sont repartis à la hausse. Une dynamique qui, malheureusement, ne se limite plus aux modules destinés aux PC ou aux serveurs : elle touche désormais aussi la mémoire utilisée dans nos cartes graphiques, ce qui pourrait entraîner des ajustements tarifaires sur une large partie du marché. Selon les informations relayées ce jour par Borad Channels, les cartes graphiques AMD RX 9000 auraient déjà subi une première vague d'augmentation au cours du mois d'octobre. Un mouvement passé relativement inaperçu, car les tarifs avaient fortement chuté durant les semaines précédentes, masquant cette remontée discrète, mais bien réelle. […]

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Quel PC pour jouer à Call of Duty: Black Ops 7 ? 8 cartes testées !

DSO Gaming lance l'assaut dans Call of Duty: Black Ops 7, le dossier se trouve ici :Call of Duty: Black Ops 7 PC Performance Analysis, les huit cartes testées sont les suivantes : AMD Radeon RX 6900 XT, RX 7900 XTX, RX 9070 XT, NVIDIA RTX 2080Ti, RTX 3080, RTX 4090, RTX 5080 et RTX 5090.. En 1080p, toutes les cartes franchissent les 60 fps ; en 1440p, seule la RTX 2080 Ti n'y parvient pas, et en 2160p, il faut miser, au minimum, sur une RTX 5080. […]

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UC Berkeley Scientists Hail Breakthrough In Decoding Whale Communication

UC Berkeley researchers working with Project CETI discovered that sperm whales produce vowel-like sounds embedded in their click codas, suggesting a far more complex communication system than previously understood. "It was striking just how structured the system was. I've never seen anything like that before with other animals," Begus, a UC Berkeley linguistics professor and the linguistics lead at Project CETI, told SFGATE. "We're showing the world that there's more than meets the eye in sperm whales and that, if one cares to look closely, they're not as alien. We're much more similar to each other than we used to think." SFGATE reports: With the help of a machine-learning model to identify patterns, Begus and his team combed through recordings collected from social units of sperm whales off the coast of the island of Dominica between 2005 and 2018. When they sped up the audio, removing the silences between clicks, they heard new patterns. They found acoustic properties that share similarities with two vowels -- a and i -- and several vowel combinations. "Before, people were looking just at the timing and the number of clicks exchanged between sperm whales, but now we have to look at the frequencies, too. A whole new set of patterns have appeared," Begus said. "Now, it's one of the most complex non-human communication systems we have observed." [...] Begus said the research only shows how much more we have to learn about whales' style of communicating. He is particularly interested in exploring how the system may differ for whales between regions and how whale babies learn to communicate in this way. Most importantly, he wants to understand the meaning behind the sounds, as a "window into whale thoughts and lives." The research was published in the journal Open Mind.

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We Can Now Track Individual Monarch Butterflies

An anonymous reader quotes a report from the New York Times: For the first time, scientists are tracking the migration of monarch butterflies across much of North America, actively monitoring individual insects on journeys from as far away as Ontario all the way to their overwintering colonies in central Mexico. This long-sought achievement could provide crucial insights into the poorly understood life cycles of hundreds of species of butterflies, bees and other flying insects at a time when many are in steep decline. The breakthrough is the result of a tiny solar-powered radio tag that weighs just 60 milligrams and sells for $200. Researchers have tagged more than 400 monarchs this year and are now following their journeys on a cellphone app created by the New Jersey-based company that makes the tags, Cellular Tracking Technologies. Most monarchs weigh 500 to 600 milligrams, so each tag-bearing migrator making the transcontinental journey is, by weight, equivalent to a half-raisin carrying three uncooked grains of rice. Researchers are tracking more than 400 tagged monarch butterflies as they fly toward winter colonies in central Mexico. The maps [in the article] follow six butterflies. [...] Tracking the world's most famous insect migration may also have a big social impact, with monarch lovers able to follow the progress of individual butterflies on the free app, called Project Monarch Science. Many of the butterflies are flying over cities and suburbs where pollinator gardens are increasingly popular. Some tracks could even lead to the discovery of new winter hideaways. "There's nothing that's not amazing about this," said Cheryl Schultz, a butterfly scientist at Washington State University and the senior author of a recent study documenting a 22 percent drop in butterfly abundance in North America over a recent 20-year period. "Now we will have answers that could help us turn the tide for these bugs."

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