Tech Company CTO and Others Indicted For Exporting Nvidia Chips To China
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Imaginez un SSD mobile avec un petit bouton qui permet de le détruire de manière irréversible. Le T-Create Expert P35S tient exactement cette promesse.
Avec un petit bouton sur son boitier, le T-Create Expert P35S permet à son utilisateur de lancer une procédure qui va littéralement détruire les puces de stockage embarquées. Une solution extrême destinée à protéger à tout prix des données ultrasensibles.

Créé par la société TeamGroup, le dispositif est prévu pour lancer un processus autodestructeur totalement invisible. Un brevet a même été déposé pour la méthode employée pensée pour ne laisser aucune chance aux données. L’action à mener n’est pas anodine. Un gros bouton est visible sur la surface en ABS du P35S. En appuyant fermement dessus, il se déploiera dans un premier temps vers une étape d’avertissement préalable. Révélant une surface rouge indiquant que la prochaine pression sera fatale pour vos données. Cette première étape demande une pression assez ferme. La seconde, qui mènera à la destruction proprement dite des données, demande d’appuyer très fortement sur le bouton pour le basculer entièrement vers le haut. Le dispositif est pensé pour qu’il ne soit pas possible d’appuyer dessus par inadvertance mais que l’action soit facilement réalisable dans l’urgence.

T-Create Expert P35S
Parfait pour stocker des données sensibles en déplacement comme des secrets d’État, des brevets industriels ou le manuscrit secret du prochain film de Nicolas Cage. le P35S n’est pas vraiment pensé pour les particuliers. L’objet n’a pas encore de tarif mais il devrait être proposé surtout aux professionnels. Avec des capacités allant de 256 Go à 2 To, il se connectera grâce à un câble USB Type-C avec un débit annoncé de 1000 Mo/s au maximum en lecture comme en écriture grâce à un port USB 3.2 Gen2.

À noter que l’objet semble avoir besoin d’un USB pour lancer son mode de destruction automatique. Si vous ne connectez pas le SSD P35S à une source d’alimentation, il ne se passera rien. Mais même en rebasculant l’interrupteur en position basse, le moindre branchement entrainera la fin de votre stockage. Le SSD mesure 9 cm de large pour 4 de large et 1.8 cm d’épaisseur. Il pèse 42 grammes.
Le SSD mobile T-Create Expert P35S peut s’autodétruire © MiniMachines.net. 2025
Il y a exactement 15 jours de cela, nous faisons le point sur H&Co sur la montée des prix de la DDR5 en France. Nous avions alors pris pour l'exemple une configuration de kit devenue classique en cette fin 2025 : 32 Go (2 x 16 Go) DDR5-6400 C32 et avions cherché chez les principaux revendeurs fr...
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Plusieurs patrons de la tech ont récemment commenté l’hypothèse de l’éclatement d’une bulle financière autour de l’IA, ravivant les inquiétudes de certains observateurs. Les derniers résultats de NVIDIA n’ont pas suffi à rassurer les marchés jeudi, en dépit d’une croissance de 62 % sur un an.
En cette période de résultats trimestriels, les boursicoteurs engagés sur les valeurs liées à la tech et à l’IA ont retenu leur souffle : après des mois d’un rallye haussier d’une rare intensité, la machine boursière a en effet connu quelques ratés ces derniers jours. Ces soubresauts ont ravivé l’inquiétude de ceux qui appréhendent l’éclatement d’une bulle de l’IA, et les déclarations récentes de Sundar Pichai n’ont rien fait pour calmer leurs angoisses.
D’ordinaire plutôt discret, le patron de Google a répondu le 18 novembre dernier aux questions de la BBC, et il a admis que si l’on traversait une période « extraordinaire » du fait des investissements massifs dans l’IA, ces derniers présentaient aussi des éléments d’irrationalité. Quid dans ce contexte des risques associés à l’éclatement d’une bulle ? « Je pense qu’aucune entreprise ne sera épargnée, nous y compris », lâche Sundar Pichai.
Google n’a pour l’instant pas de soucis à se faire. L’entreprise a publié fin octobre les meilleurs résultats trimestriels de son histoire, avec un chiffre d’affaires qui franchit pour la première fois la barre des 100 milliards de dollars, en hausse de 16 % sur un an.
Et l’IA est présentée comme l’un des moteurs de cette croissance. « En plus de dominer les classements, nos modèles propriétaires, comme Gemini, traitent désormais 7 milliards de jetons par minute, grâce à l’utilisation directe de l’API par nos clients. L’application Gemini compte aujourd’hui plus de 650 millions d’utilisateurs actifs mensuels. Nous continuons de générer une forte croissance dans de nouveaux secteurs d’activité », avance ainsi Sundar Pichai dans le communiqué qui accompagne ses résultats.
Bien que Google soit actuellement à son plus haut historique à Wall Street, et la seule des grandes valeurs de la tech à rester dans le vert suite aux derniers cahots du marché, c’est l’engagement financier nécessaire pour tenir son rang dans la course à l’IA qui semble alerter Sundar Pichai.

« Il y a environ quatre ans, Google dépensait moins de 30 milliards de dollars par an [en capital dédié à l’investissement, NDLR], cette année ce nombre sera supérieur à 90 milliards de dollars. Et si on additionne ce que font, ensemble, toutes les sociétés, on arrive à plus de 1000 milliards de dollars d’investissements dans la construction des infrastructures du moment », déclare-t-il.
Autrement dit, ceux qui auront trop investi durant cette phase risquent d’en subir les conséquences, indique Pichai, qui n’annonce cependant aucun ralentissement des dépenses d’Alphabet, notamment parce que les modèles développés par le groupe enregistrent des progrès « tout à fait excitants », se déploient toujours plus largement dans les produits du groupe et, in fine, « sont utilisés ».
Au fait, si bulle il y a, de quel périmètre parle-t-on vraiment ? La question n’est pas triviale, dans la mesure où les investissements en matière d’intelligence artificielle interviennent à plusieurs niveaux : l’achat de composants informatiques, mais aussi la construction de centres de données, ou la création des infrastructures énergétiques chargées d’alimenter ces derniers. De la même façon, il n’y a pas une unique IA, mais différents domaines dans lesquels l’intelligence artificielle trouve des débouchés.
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AGON by AOC a publié un communiqué présentant sa gamme de moniteurs QD-OLED, composée de cinq modèles. Certains médias y voient la cuvée 2026, d’autres celle de 2025... [Tout lire] 
Quand Qualcomm se paye Arduino le 7 octobre dernier, cela se passe plutôt bien. La marque promet d’injecter des ressources, lance une carte de développement Arduino Q et promet de ne pas toucher aux éléments fondateurs qui font le succès de ces produits auprès des utilisateurs.

La mort d’Arduino par Adafruit
Il n’aura donc pas fallu deux mois pour que Qualcomm ne modifie largement les conditions d’utilisation d’Arduino ainsi que sa politique de confidentialité. Des changements importants qui vont à l’encontre de toute la philosophie Open Source et Open Hardware de la marque historique. Lors de l’annonce du rachat, je soulignais la différence de politique entre les deux entreprises. Un Qualcomm très fermé sur lui-même et jaloux de ses secrets industriels et un Arduino plus ouvert. Cette schizophrénie technologique a semble-t-il été résolue, à la hache.
Les nouvelles conditions d’utilisation mettent en évidence l’instauration d’une nouvelle licence beaucoup plus restrictive. Celle-ci introduit une licence perpétuelle et irrévocable sur tous les éléments proposés par les utilisateurs sur la plateforme. Chaque bout de code uploadé chez Arduino devient non pas Open Source mais propriété de Qualcomm. Une surveillance complète de toutes les fonctions employées avec l’IA ce qui signifie que tout élément intéressant pour Qualcomm pourra être récupéré par leurs soins.
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Qualcomm instaure également un changement empêchant les utilisateurs de vérifier toute violation de brevet et les nouvelles dispositions permettent également a Arduino de conserver des données personnelles pendant plusieurs années. Même si l’on supprime son compte chez eux. Au passage, Qualcomm siphonne la totalité des noms et des informations laissées chez Arduino dans leur propre base de données. Récupérant au passage les informations concernant des milliers de programmes éducatifs et donc des éléments concernant des mineurs.

Qualcomm interdit par ailleurs des pratiques classiques dans les mondes Open Source et Open hardware comme le reverse engineering. Toute tentative d’analyse de la manière dont fonctionnent les solutions Arduino ne doivent se faire qu’après le consentement de la marque. Une position difficilement défendable face à une politique Open source.
Source : Adafruit
Qualcomm tire le frein à main sur l’Open Source d’Arduino © MiniMachines.net. 2025