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Windows 11 veut simplifier la gestion des applications tierces

C'est pas gagné
Windows 11 veut simplifier la gestion des applications tierces

L’installation, la désinstallation et la mise à jour des applications tierces sur Windows a toujours été un sujet. Des ajouts récents dans les préversions du système montrent que l’éditeur cherche à simplifier certaines démarches.

Dans un récent billet de blog, Microsoft a présenté plusieurs nouveautés en approche pour Windows 11 et en cours de diffusion auprès des testeurs (Windows Insiders). On y trouve des ajouts comme le mode plein écran pour l’application Xbox, ou encore la restauration ponctuelle. Celle-ci est surtout destinée aux entreprises, avec un enregistrement de l’état de la machine toutes les 24 heures (par défaut, modifiable par l’équipe d’administration), que l’on peut restaurer depuis WinRE.

Un bouton attendu depuis longtemps

Dans le billet, on trouve également un ajout dans le Microsoft Store que les utilisateurs réclament depuis longtemps : la possibilité de désinstaller une application directement depuis la liste dans l’onglet Bibliothèque. Cette capacité n’est valable que pour les applications installées depuis la boutique, mais elle simplifie nettement la gestion du parc applicatif. On se demande d’ailleurs pourquoi il a fallu autant de temps.

Non que la désinstallation des applications soit un gros problème dans Windows, surtout quand elles viennent du Store. Le type package spécifique utilisé sur la boutique rend la suppression d’un logiciel rapide et propre. On peut aussi la lancer depuis le menu Démarrer via un clic droit sur le raccourci. Et dans tous les cas, il reste le panneau classique de gestion des applications depuis le panneau des Paramètres.

Une centralisation des mises à jour ?

Dans ce dernier, la section Applications vient justement de recevoir un ajout dans les dernières préversions. Nommé App Updates, il laisse à penser que le système devrait être capable de récupérer des mises à jour pour des applications de manière centralisée. Une capacité qui a toujours fait défaut à Windows, et pour cause : il n’existe pas de dépôt centralisé pour l’ensemble des applications tierces.

Ce problème s’est légèrement amoindri dans le temps avec la proportion grandissante d’applications présentes dans le Store, la boutique mettant régulièrement à jour tout ce qu’elle a installé. Mais il est resté, car nombre de logiciels restent installés par des processus séparés, via le flux traditionnel : site de l’éditeur, téléchargement d’un exécutable, lancement de l’installation. Les problématiques liées sont connues, avec des mises à jour pas toujours faites (nombre d’applications n’ont pas de processus intégré, comme 7-zip) et des failles de sécurité restant béantes sur une partie du parc informatique.

Des outils spécialisés sont apparus pour aider à gérer ces problèmes. Microsoft a par exemple WinGet en ligne de commande. UniGetUI (anciennement WinGetUI) récupère cet outil au sein d’une interface complète et simplifiant d’autant la gestion.

Des solutions imparfaites

Mais ces outils ont également des inconvénients, car ils récupèrent le package d’installation et l’installent sur la version déjà présente. La mise à jour se fait, mais puisque le processus est celui d’une première installation, il y a de petites conséquences parfois désagréables, comme le retour de l’icône correspondante sur le bureau. Le processus n’a pas la transparence d’une distribution Linux puisant dans un dépôt.

C’est d’ailleurs ce point qui interroge pour le nouvel ajout de Microsoft : quel serait le fonctionnement ? Windows Central émet l’idée qu’il s’agirait d’une capacité à celle du Store dans le cas où celui-ci ne serait pas disponible, parce qu’il a été désactivé ou même désinstallé. Difficile en tout cas pour le moment d’en savoir plus – que ce soit sur le fonctionnement ou le périmètre de la fonction – car le bouton ne déclenche pour l’instant aucune action et Microsoft n’en a pas encore parlé.

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Windows 11 veut simplifier la gestion des applications tierces

C'est pas gagné
Windows 11 veut simplifier la gestion des applications tierces

L’installation, la désinstallation et la mise à jour des applications tierces sur Windows a toujours été un sujet. Des ajouts récents dans les préversions du système montrent que l’éditeur cherche à simplifier certaines démarches.

Dans un récent billet de blog, Microsoft a présenté plusieurs nouveautés en approche pour Windows 11 et en cours de diffusion auprès des testeurs (Windows Insiders). On y trouve des ajouts comme le mode plein écran pour l’application Xbox, ou encore la restauration ponctuelle. Celle-ci est surtout destinée aux entreprises, avec un enregistrement de l’état de la machine toutes les 24 heures (par défaut, modifiable par l’équipe d’administration), que l’on peut restaurer depuis WinRE.

Un bouton attendu depuis longtemps

Dans le billet, on trouve également un ajout dans le Microsoft Store que les utilisateurs réclament depuis longtemps : la possibilité de désinstaller une application directement depuis la liste dans l’onglet Bibliothèque. Cette capacité n’est valable que pour les applications installées depuis la boutique, mais elle simplifie nettement la gestion du parc applicatif. On se demande d’ailleurs pourquoi il a fallu autant de temps.

Non que la désinstallation des applications soit un gros problème dans Windows, surtout quand elles viennent du Store. Le type package spécifique utilisé sur la boutique rend la suppression d’un logiciel rapide et propre. On peut aussi la lancer depuis le menu Démarrer via un clic droit sur le raccourci. Et dans tous les cas, il reste le panneau classique de gestion des applications depuis le panneau des Paramètres.

Une centralisation des mises à jour ?

Dans ce dernier, la section Applications vient justement de recevoir un ajout dans les dernières préversions. Nommé App Updates, il laisse à penser que le système devrait être capable de récupérer des mises à jour pour des applications de manière centralisée. Une capacité qui a toujours fait défaut à Windows, et pour cause : il n’existe pas de dépôt centralisé pour l’ensemble des applications tierces.

Ce problème s’est légèrement amoindri dans le temps avec la proportion grandissante d’applications présentes dans le Store, la boutique mettant régulièrement à jour tout ce qu’elle a installé. Mais il est resté, car nombre de logiciels restent installés par des processus séparés, via le flux traditionnel : site de l’éditeur, téléchargement d’un exécutable, lancement de l’installation. Les problématiques liées sont connues, avec des mises à jour pas toujours faites (nombre d’applications n’ont pas de processus intégré, comme 7-zip) et des failles de sécurité restant béantes sur une partie du parc informatique.

Des outils spécialisés sont apparus pour aider à gérer ces problèmes. Microsoft a par exemple WinGet en ligne de commande. UniGetUI (anciennement WinGetUI) récupère cet outil au sein d’une interface complète et simplifiant d’autant la gestion.

Des solutions imparfaites

Mais ces outils ont également des inconvénients, car ils récupèrent le package d’installation et l’installent sur la version déjà présente. La mise à jour se fait, mais puisque le processus est celui d’une première installation, il y a de petites conséquences parfois désagréables, comme le retour de l’icône correspondante sur le bureau. Le processus n’a pas la transparence d’une distribution Linux puisant dans un dépôt.

C’est d’ailleurs ce point qui interroge pour le nouvel ajout de Microsoft : quel serait le fonctionnement ? Windows Central émet l’idée qu’il s’agirait d’une capacité à celle du Store dans le cas où celui-ci ne serait pas disponible, parce qu’il a été désactivé ou même désinstallé. Difficile en tout cas pour le moment d’en savoir plus – que ce soit sur le fonctionnement ou le périmètre de la fonction – car le bouton ne déclenche pour l’instant aucune action et Microsoft n’en a pas encore parlé.

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LIAN LI HydroShift II LCD-S, des bonnes idées avec quelques petits mais

La série HydroShift revient en version HydroShift II LCD-S, et LIAN LI veut frapper fort ! Des tuyaux cachés, un très bel écran avec un éclairage RGB juste comme il faut au tour, des ventilateurs UNIFAN TL sur notre modèle haut de gamme, un tarif de 250 U+20AC avec une garantie de six ans... Mais aussi quelques petits mais tant les options sont nombreuses sur l'installation ! On se pose quelques minutes devant une notice indigeste, et on se lance pour profiter ensuite d'un bel ensemble avec, malgré tout, assez peu de câbles. […]

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Windows 11 Pro est déjà à 20 euros avant même le Black Friday

Microsoft a officiellement mis fin au support de Windows 10. Il est donc plus que temps de passer à Windows 11. Bonne nouvelle : grâce à notre partenaire GVGMALL, pas besoin de vous ruiner pour obtenir une licence authentique, ni d'endurer le fameux message Windows non activé en bas de l'écran. Pourquoi ? Parce que GVGMALL.com propose des clés OEM authentiques à des tarifs ultra-avantageux : - Windows 11 dès 20 U+20AC - Licences Office dès 27 U+20AC Avec le code promo CCVIP, profitez en plus de -30 % de réduction sur vos achats. Et malin : pour économiser quelques euros supplémentaires, vous pouvez aussi acheter une licence Windows 10 puis faire l'upgrade gratuit vers Windows 11. Offres spéciales avec le code promo CCVIP Voici les meilleurs deals disponibles chez GVGMALL : - Windows 11 Pro OEM Lifetime - 20 U+20AC - Windows 10 Pro OEM Lifetime - 15 U+20AC - Windows 11 Home OEM Lifetime - 19 U+20AC - Windows 10 Home OEM Lifetime - 13 U+20AC - Microsoft Office 2016 Lifetime - 27 U+20AC - Microsoft Office 2019 Lifetime - 52 U+20AC - Windows 10 Enterprise LTSC 2021 - 11 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2016 - 34 U+20AC - Windows 10 Pro OEM + Office 2019 - 52 U+20AC - Windows 11 Home + Office 2021 Pro Plus - 88 U+20AC - Windows 11 Pro OEM + Office 2021 Pro Plus - 87 U+20AC […]

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Cyberpunk 2 aurait passé le stade de pré-production !

Hier, CD PROJEKT RED a tenu une conférence afin de tracer les grandes lignes de sa stratégie pour les années à venir. Et une chose est sûre, les employés ne vont pas manquer de travail ! En vrac, CD PROJEKT RED a ainsi annoncé la suite de Cyberpunk 2077, une nouvelle trilogie pour la saga The Witcher, ainsi qu'une nouvelle licence. De quoi faire saliver de nombreux joueurs, qui devront toutefois ronger leur frein puisque rien n'est prévu pour demain. Ainsi, la nouvelle licence, nom de code Sirius, n'en est qu'à ses balbutiements et le processus de création a tout juste été entamé. […]

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MINISFORUM AtomMan G1 PRO, un maximum de puissance dans un format slim

Chez MINISFORUM, la gamme AtomMan est signe de finesse et de puissance mélangées. La marque séduit avec un design simple et épuré qui cache bien son jeu, la preuve avec la dernière itération du G1 PRO. Une robe blanche joliment travaillée avec à l'intérieur un vieillissant AMD Ryzen 9 8945HX ? C'est classique pourrait-on dire, sauf que la partie graphique est confiée à une NVIDIA RTX 5060 desktop configurée à 145 W. De quoi demander un peu de travail au système de refroidissement, qui comprend un gros ventilateur pour le processeur, et simplement deux trois ventilateurs pour la carte graphique. Plus un dernier pour l'alimentation de 350 W qui prend place dans le boitier et non à l'extérieur. […]

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Intel Core Ultra 400K Nova Lake-S : 144 Mo de mémoire cache Big LLC ???

On le sait, pour sa prochaine prochaine génération de CPU Desktop, car avant, nous aurons Arrow Lake Refresh, Intel devrait envoyer du lourd, en même temps les bleus ont fort à faire avec AMD qui est actuellement au sommet, avec une architecture très performante, mais aussi des innovations percutantes, comme le 3D V-Cache. Et la réaction des bleus passera très probablement par Nova Lake, du moins pour les processeurs Desktop, car pour les CPU à destination des laptops, Panther Lake va bientôt pointer le bout de son nez. […]

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Thermaltake TPM-O49CDQ, un écran très large pour se plonger dans le simracing

Cela fait désormais quelques années que Thermaltake est sur le marché des écrans, mais la marque n'avait pas eu de grosses annonces depuis quelques temps. Chose désormais corrigée avec le TPM-O49CDQ, un écran large de 49" qui vient en complément idéal des cockpits pour le simracing avec une fixation en VESA 100 x 100 si besoin. Equipé d'une dalle OLED en provenance de chez Samsung, le TPM-O49CDQ propose un affichage en 5120 x 1440 avec un taux de rafraichissement de 240 Hz et une prise en charge AMD FreeSync Premium tout en étant noté G-Sync compatible pour les cartes NVIDIA. De quoi permettre d'en profiter pleinement ? […]

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Sharkoon SKILLER SGH40W, un casque sans fil abordable pour les joueurs

Sharkoon est de retour dans le casque sans fil, et la marque entend bien s'imposer sur le segment du casque sans fil abordable avec un SKILLER SGH40W qui semble très complet sur le papier, à une petite exception : la connexion se fait uniquement en 2.4 GHz pour le sans fil, ce qui limite quelque peu sa polyvalence, d'autant plus que le dongle est en USB Type-A. A part ce petit détail, on retrouve un design assez simple avec des coussinets en tissu entourés de similicuir, tandis que l'arceau profite d'un rembourrage avec, également, du similicuir autour. Le microperche est amovible, avec une petite bonnette dessus. Simple et efficace ? […]

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VITE, Vite, vite, la RX 9070 XT disponible à 569 euros !!!

Clairement, à ce prix, il n'y a aucune hésitation à avoir..., car nous sommes sur un super tarif, bien en dessous du MSRP. C'est encore une fois chez INFOMAX que cela se passe, sur un modèle que nous avons déjà linké, à savoir la ASRock Radeon RX 9070 XT Challenger 16 Go, qui est en 2.5 slots, trois fans et même avec un peu de RGB. Alors, oui, OK, pas la plus SEXY des RX 9070 XT, mais à ce prix, on ne fera pas la fine bouche, d'autant plus que vous n'aurez pas besoin de changer votre alimentation, car nous sommes en 2 x 8 PIN PCIe. Pour rappel, en début de semaine, la carte était à 589 euros, elle a donc perdu 20 euros et s'affiche maintenant à 569 euros. […]

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Qualcomm est-il en train de pervertir l’esprit Arduino ?

On n'achète pas une communauté
Qualcomm est-il en train de pervertir l’esprit Arduino ?

Début octobre, Qualcomm a annoncé son intention de racheter Arduino, célèbre pour ses micro-ordinateurs. Des promesses avaient été faites sur l’indépendance de la structure et le respect de la communauté. Mais de récents changements dans les conditions d’utilisation ont créé une polémique.

Le 7 octobre, Qualcomm signait un accord « pour acquérir Arduino, entreprise leader dans le matériel et les logiciels open source ». Pour le géant de l’électronique, il s’agissait de renforcer son « portefeuille inégalé de technologies et produits d’informatique en périphérie (edge) ». Qualcomm s’empressait de préciser qu’Arduino conserverait une certaine indépendance, dont sa marque, ses outils et sa mission.

« Arduino préservera son approche ouverte et son esprit communautaire tout en débloquant une plateforme full-stack pour le développement moderne », affirmait ainsi Qualcomm. L’entreprise évoquait au passage les plus de 33 millions d’utilisateurs actifs de la communauté Arduino, qu’elle voulait rassurer. Le rachat leur permettrait ainsi d’accéder « à la puissante pile technologique de Qualcomm Technologies et à sa portée mondiale ». Au passage, Arduino lançait son Uno Q.

Des changements dans les conditions d’utilisation

Dans un billet publié il y a quelques jours sur LinkedIn, le compte d’Adafruit Industries – un revendeur bien connu d’électronique et de micro-ordinateurs – dit tout le mal qu’il pense de la réécriture des conditions d’utilisation et de la politique de confidentialité.

« Les nouveaux documents introduisent une licence irrévocable et perpétuelle sur tout ce que les utilisateurs téléversent, une surveillance étendue des fonctionnalités d’IA, une clause empêchant les utilisateurs d’identifier une possible violation de brevet, la conservation des noms d’utilisateurs pendant des années même après suppression de compte, et l’intégration de toutes les données utilisateur (y compris les mineurs) dans l’écosystème mondial de données de Qualcomm », fustige ainsi Adafruit.

Celle-ci critique plusieurs passages transformant une plateforme communautaire en « service d’entreprise strictement contrôlé » conçu pour récupérer autant de données que possible. Elle pointe notamment l’interdiction explicite de pratiquer la rétro-ingénierie, ou même de « s’engager dans toute autre activité conçue pour identifier les algorithmes et la logique de fonctionnement de la plateforme» (point 8.2). Adafruit regrette d’autant plus ce changement qu’Arduino est appréciée dans l’enseignement, la recherche, les militants de l’open source et les bidouilleurs.

Le reste du billet est cependant plus alchimique, Adafruit parlant des fraudes de Qualcomm, dont la condamnation récente de l’ancien vice-président Karim Arabi à quatre de prison pour fraude. Mais le résultat est là : des dizaines de commentaires négatifs et une condamnation sans équivoque de ces changements. Le billet d’Adafruit est rapidement relayé dans la presse, par exemple chez MiniMachines en France ou The Register au Royaume-Uni. Sans surprise, la levée de boucliers est immédiate, notamment sur Reddit. Le média britannique estimait d’ailleurs quelques jours après l’annonce du rachat que la situation évoluerait fortement pour Arduino.

Arduino n’est pas d’accord

Dans un billet publié le 21 novembre, Arduino nie cependant tout en bloc. La société se dit « reconnaissante » que sa communauté se soucie suffisamment d’elle pour lui faire remonter ses craintes.

« Soyons absolument clairs », enchaine toutefois l’entreprise, « nous étions open source bien avant que cela ne devienne à la mode. Nous n’allons pas changer maintenant. L’acquisition par Qualcomm ne modifie pas la manière dont les données utilisateurs sont traitées ni la manière dont nous appliquons nos principes open source ». La société ajoute qu’elle modifie régulièrement ses documents juridiques pour y faire refléter « de nouvelles fonctions, des évolutions de régulations et les meilleures pratiques ». Il ne s’agirait ainsi que d’une évolution de plus.

Effectivement, de nombreuses ressources Arduino sont sous licence GPLv3 ou AGPLv3, qui ne peuvent pas être changées d’un claquement de doigt. La société indique ainsi dans son propre billet que tout ce qui touche à l’open source, la rétro-ingénierie, la propriété des créations, les données et la confidentialité des mineurs ne change pas.

En fait, Arduino pointe que l’essentiel des changements, surtout sur la rétro-ingénierie, s’applique aux applications cloud SaaS (Software-as-a-Service) : « Tout ce qui était ouvert reste ouvert ». Et d’expliquer notamment que les lancements de l’Uno Q et d’Arduino App Lab, qui introduisent des fonctions dopées à l’IA optionnelles, ont obligé l’entreprise à mettre à jour ses conditions « pour refléter ces nouvelles capacités et encourager leur utilisation sûre, responsable et éthique ».

Pour Adafruit, ce n’est pas assez

De quoi apaiser les craintes ? Pas vraiment, comme l’ont montré Limor Fried, fondateur et ingénieur d’Adafruit, ainsi que Phillip Torrone, rédacteur en chef adjoint, chez Ars Technica. Ils estiment que le billet d’Arduino laisse « de nombreuses questions sans réponse ». Ils renouvellent la question sur la rétro-ingénierie et soulignent que la règle ne cadre pas avec une entreprise qui a bâti son succès sur l’open source.

Les deux responsables ciblent également les fonctions IA. Ils relèvent le manque d’information, Arduino ne précisant pas « quelles données de ces systèmes IA sont conservées, qui y a accès, et pourquoi cette collecte ne peut être refusée qu’en n’utilisant pas ces fonctions ». Ils soulignent aussi le passage sur la recherche éventuelle d’infractions aux brevets : « Aucune entreprise open source ne met dans ses conditions d’utilisation un texte interdisant aux utilisateurs d’identifier d’éventuels problèmes de brevets. Pourquoi cela a-t-il été ajouté, et qui l’a demandé ? ». Contactées par Ars Technica, ni Arduino ni Qualcomm n’ont souhaité répondre, renvoyant vers le billet de blog.

Arduino est désormais dans un problème de communication, dont il est complexe de sortir indemne. Tout changement dans les conditions d’utilisation est rapidement relayé, d’autant plus quand l’entreprise est spécialisée dans l’open source. Mozilla en a fait les frais en mars dernier, avec une volée de bois vert face à une communauté dans l’incompréhension.

Dans un article d’IEEE Spectrum daté du 18 octobre, l’analyste Leonard Lee indiquait à ce titre : « Je pense que la dernière chose que Qualcomm veut, c’est de saper la communauté des développeurs, parce que ce n’est pas un actif que vous achetez. Elle est changeante et peut disparaître en un clin d’œil si vous faites un mauvais pas. »

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☕️ Fuite de données personnelles chez Itelis (Axa) : nom, dossier, correction, numéro sécu…

Après Colis Privé en fin de semaine dernière, une nouvelle « information importante concernant la sécurité de vos données » vient d’être envoyée par Axa. L’assureur contacte des clients pour les informer qu’Itelis, « réseau de soins partenaire d’optique, a récemment été victime d’une cyberattaque ».

La conséquence : « certaines de vos données personnelles utilisées pour une prise en charge optique entre 2020 et le premier trimestre 2022 ont pu être exposées ». Cela concerne « vos nom et prénom, date de naissance, numéro de sécurité sociale, numéro de dossier, remboursement de santé optique, données de correction visuelle, et potentiellement numéro de téléphone ».

Itelis précise que « vos données bancaires, coordonnées postales, adresses e-mails, identifiant et mot de passe ne sont pas concernés ». L’entreprise ajoute que la CNIL a été notifiée comme l’y oblige la loi et qu’une plainte a été déposée auprès du Procureur de la République.

Le risque est toujours le même pour les clients : du phishing afin de récupérer davantage de données personnelles et/ou des données bancaires. Avec votre numéro de téléphone, votre nom et votre correction optique, une personne malintentionnée pourrait tenter de se faire passer pour un agent Axa. Prudence donc.

La société rappelle de rester « attentifs aux messages (e-mails, SMS, WhatsApp…) et aux appels téléphoniques qui ne proviennent pas de vos interlocuteurs habituels, en particulier si l’on vous demande d’effectuer une transaction sur vos contrats ».

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Qualcomm est-il en train de pervertir l’esprit Arduino ?

On n'achète pas une communauté
Qualcomm est-il en train de pervertir l’esprit Arduino ?

Début octobre, Qualcomm a annoncé son intention de racheter Arduino, célèbre pour ses micro-ordinateurs. Des promesses avaient été faites sur l’indépendance de la structure et le respect de la communauté. Mais de récents changements dans les conditions d’utilisation ont créé une polémique.

Le 7 octobre, Qualcomm signait un accord « pour acquérir Arduino, entreprise leader dans le matériel et les logiciels open source ». Pour le géant de l’électronique, il s’agissait de renforcer son « portefeuille inégalé de technologies et produits d’informatique en périphérie (edge) ». Qualcomm s’empressait de préciser qu’Arduino conserverait une certaine indépendance, dont sa marque, ses outils et sa mission.

« Arduino préservera son approche ouverte et son esprit communautaire tout en débloquant une plateforme full-stack pour le développement moderne », affirmait ainsi Qualcomm. L’entreprise évoquait au passage les plus de 33 millions d’utilisateurs actifs de la communauté Arduino, qu’elle voulait rassurer. Le rachat leur permettrait ainsi d’accéder « à la puissante pile technologique de Qualcomm Technologies et à sa portée mondiale ». Au passage, Arduino lançait son Uno Q.

Des changements dans les conditions d’utilisation

Dans un billet publié il y a quelques jours sur LinkedIn, le compte d’Adafruit Industries – un revendeur bien connu d’électronique et de micro-ordinateurs – dit tout le mal qu’il pense de la réécriture des conditions d’utilisation et de la politique de confidentialité.

« Les nouveaux documents introduisent une licence irrévocable et perpétuelle sur tout ce que les utilisateurs téléversent, une surveillance étendue des fonctionnalités d’IA, une clause empêchant les utilisateurs d’identifier une possible violation de brevet, la conservation des noms d’utilisateurs pendant des années même après suppression de compte, et l’intégration de toutes les données utilisateur (y compris les mineurs) dans l’écosystème mondial de données de Qualcomm », fustige ainsi Adafruit.

Celle-ci critique plusieurs passages transformant une plateforme communautaire en « service d’entreprise strictement contrôlé » conçu pour récupérer autant de données que possible. Elle pointe notamment l’interdiction explicite de pratiquer la rétro-ingénierie, ou même de « s’engager dans toute autre activité conçue pour identifier les algorithmes et la logique de fonctionnement de la plateforme» (point 8.2). Adafruit regrette d’autant plus ce changement qu’Arduino est appréciée dans l’enseignement, la recherche, les militants de l’open source et les bidouilleurs.

Le reste du billet est cependant plus alchimique, Adafruit parlant des fraudes de Qualcomm, dont la condamnation récente de l’ancien vice-président Karim Arabi à quatre de prison pour fraude. Mais le résultat est là : des dizaines de commentaires négatifs et une condamnation sans équivoque de ces changements. Le billet d’Adafruit est rapidement relayé dans la presse, par exemple chez MiniMachines en France ou The Register au Royaume-Uni. Sans surprise, la levée de boucliers est immédiate, notamment sur Reddit. Le média britannique estimait d’ailleurs quelques jours après l’annonce du rachat que la situation évoluerait fortement pour Arduino.

Arduino n’est pas d’accord

Dans un billet publié le 21 novembre, Arduino nie cependant tout en bloc. La société se dit « reconnaissante » que sa communauté se soucie suffisamment d’elle pour lui faire remonter ses craintes.

« Soyons absolument clairs », enchaine toutefois l’entreprise, « nous étions open source bien avant que cela ne devienne à la mode. Nous n’allons pas changer maintenant. L’acquisition par Qualcomm ne modifie pas la manière dont les données utilisateurs sont traitées ni la manière dont nous appliquons nos principes open source ». La société ajoute qu’elle modifie régulièrement ses documents juridiques pour y faire refléter « de nouvelles fonctions, des évolutions de régulations et les meilleures pratiques ». Il ne s’agirait ainsi que d’une évolution de plus.

Effectivement, de nombreuses ressources Arduino sont sous licence GPLv3 ou AGPLv3, qui ne peuvent pas être changées d’un claquement de doigt. La société indique ainsi dans son propre billet que tout ce qui touche à l’open source, la rétro-ingénierie, la propriété des créations, les données et la confidentialité des mineurs ne change pas.

En fait, Arduino pointe que l’essentiel des changements, surtout sur la rétro-ingénierie, s’applique aux applications cloud SaaS (Software-as-a-Service) : « Tout ce qui était ouvert reste ouvert ». Et d’expliquer notamment que les lancements de l’Uno Q et d’Arduino App Lab, qui introduisent des fonctions dopées à l’IA optionnelles, ont obligé l’entreprise à mettre à jour ses conditions « pour refléter ces nouvelles capacités et encourager leur utilisation sûre, responsable et éthique ».

Pour Adafruit, ce n’est pas assez

De quoi apaiser les craintes ? Pas vraiment, comme l’ont montré Limor Fried, fondateur et ingénieur d’Adafruit, ainsi que Phillip Torrone, rédacteur en chef adjoint, chez Ars Technica. Ils estiment que le billet d’Arduino laisse « de nombreuses questions sans réponse ». Ils renouvellent la question sur la rétro-ingénierie et soulignent que la règle ne cadre pas avec une entreprise qui a bâti son succès sur l’open source.

Les deux responsables ciblent également les fonctions IA. Ils relèvent le manque d’information, Arduino ne précisant pas « quelles données de ces systèmes IA sont conservées, qui y a accès, et pourquoi cette collecte ne peut être refusée qu’en n’utilisant pas ces fonctions ». Ils soulignent aussi le passage sur la recherche éventuelle d’infractions aux brevets : « Aucune entreprise open source ne met dans ses conditions d’utilisation un texte interdisant aux utilisateurs d’identifier d’éventuels problèmes de brevets. Pourquoi cela a-t-il été ajouté, et qui l’a demandé ? ». Contactées par Ars Technica, ni Arduino ni Qualcomm n’ont souhaité répondre, renvoyant vers le billet de blog.

Arduino est désormais dans un problème de communication, dont il est complexe de sortir indemne. Tout changement dans les conditions d’utilisation est rapidement relayé, d’autant plus quand l’entreprise est spécialisée dans l’open source. Mozilla en a fait les frais en mars dernier, avec une volée de bois vert face à une communauté dans l’incompréhension.

Dans un article d’IEEE Spectrum daté du 18 octobre, l’analyste Leonard Lee indiquait à ce titre : « Je pense que la dernière chose que Qualcomm veut, c’est de saper la communauté des développeurs, parce que ce n’est pas un actif que vous achetez. Elle est changeante et peut disparaître en un clin d’œil si vous faites un mauvais pas. »

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☕️ Fuite de données personnelles chez Itelis (Axa) : nom, dossier, correction, numéro sécu…

Après Colis Privé en fin de semaine dernière, une nouvelle « information importante concernant la sécurité de vos données » vient d’être envoyée par Axa. L’assureur contacte des clients pour les informer qu’Itelis, « réseau de soins partenaire d’optique, a récemment été victime d’une cyberattaque ».

La conséquence : « certaines de vos données personnelles utilisées pour une prise en charge optique entre 2020 et le premier trimestre 2022 ont pu être exposées ». Cela concerne « vos nom et prénom, date de naissance, numéro de sécurité sociale, numéro de dossier, remboursement de santé optique, données de correction visuelle, et potentiellement numéro de téléphone ».

Itelis précise que « vos données bancaires, coordonnées postales, adresses e-mails, identifiant et mot de passe ne sont pas concernés ». L’entreprise ajoute que la CNIL a été notifiée comme l’y oblige la loi et qu’une plainte a été déposée auprès du Procureur de la République.

Le risque est toujours le même pour les clients : du phishing afin de récupérer davantage de données personnelles et/ou des données bancaires. Avec votre numéro de téléphone, votre nom et votre correction optique, une personne malintentionnée pourrait tenter de se faire passer pour un agent Axa. Prudence donc.

La société rappelle de rester « attentifs aux messages (e-mails, SMS, WhatsApp…) et aux appels téléphoniques qui ne proviennent pas de vos interlocuteurs habituels, en particulier si l’on vous demande d’effectuer une transaction sur vos contrats ».

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China Launches An Emergency Lifeboat To Bring Three Astronauts Back To Earth

China launched an uncrewed Shenzhou 22 spacecraft to serve as an emergency lifeboat for three astronauts aboard the Tiangong space station after a docked return craft was found to have a cracked window likely caused by space debris. "A Long March 2F rocket fired its engines and lifted off with the Shenzhou 22 spacecraft, carrying cargo instead of a crew, at 11:11 pm EST Monday (04:11 UTC Tuesday)," reports Ars Technica. "The spacecraft docked with the Tiangong station nearly 250 miles (400 kilometers) above the Earth about three-and-a-half hours later." From the report: Chinese engineers worked fast to move up the launch of the Shenzhou 22, originally set to fly next year. On November 4, astronauts discovered one of the two crew ferry ships docked to the Tiangong station had a damaged window, likely from an impact with a small fragment of space junk. [...] Now, 20 days after the saga began, the Tiangong outpost again has a lifeboat for its long-term residents. Astronauts Zhang Lu, Fu Wei, and Zhang Hongzhang will return to Earth on the Shenzhou 22 spacecraft next year, soon after the arrival of their three replacements. The Tiangong astronauts will head outside the station on a spacewalk to inspect the damaged window on Shenzhou 20. Eventually, Shenzhou 20 will depart Tiangong and reenter the atmosphere with cargo. Assuming a smooth landing, Chinese engineers will have an opportunity to get a closer look at the damage on the ground to inform the design of future spacecraft. A preliminary assessment of the window indicates the crack is in the outermost layer of heat-insulating glass in Shenzhou 20's porthole window, according to Chinese state media. Engineers on the ground conducted simulations and wind tunnel ablation tests to determine whether the window might fail during reentry. "The results showed that the cracks would still propagate further," reported CCTV, China's government-run television network. "We held review meeting, and everyone agreed that ensuring the safe return of the astronauts was too risky with the glass damaged," Zhou said. While this crew is just one month into their planned six-month expedition, an emergency could force them to leave the station and return home at any time. Although remote, another collision with space junk, a major systems failure, or a medical emergency involving one of the astronauts could trigger an evacuation. That's why Chinese officials wanted to quickly launch Shenzhou 22 to give the crew a ticket home.The International Space Station follows the same policy, with SpaceX's Dragon spacecraft and Russian Soyuz ships serving as lifeboats until their crews' scheduled return to Earth.

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De pire en pire, le 12VHPWR fond dans le connecteur de la RTX 5090...

Hier clairement, nous étions au top du TOP de la destruction massive de connecteur 12VHPWR, avec des broches qui avaient fondues dans tous les sens... C'était clairement horrible, un spectacle d'horreur... Ce jour, nous avons le droit à un nouveau cas, encore une fois sur une RTX 5090, encore une fois avec un adapteur 3 PCIe 8 PIN vers un 12VHPWR et encore une fois avec une carte MSI. Mais cette fois, nous sommes sur une fonte de connecteur plus insidieuse. En fait, l'utilisateur a remarqué que sa carte graphique ne fonctionnait pas correctement et il a donc investigué. Et en regardant sa carte graphique de plus près, il a remarqué que le connecteur présentait des traces de brulures. […]

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Nouvelle récompense pour Battlefield 6 et le DLSS 4 disponible dans Project Motor Racing, Prologue: Go Wayback!

Cette semaine, trois nouveaux jeux compatibles DLSS font leur apparition : Project Motor Racing, Prologue: Go Wayback! et Whiskerwood permettant aux joueurs GeForce RTX d'accélérer les performances et d'améliorer les visuels. De plus, une nouvelle bande-annonce du gameplay de Tides of Annihilation a été dévoilée, un jeu qui sortira directement avec le DLSS 4. La Saison RTX est lancée ! Au programme : des récompenses exclusives, des cadeaux et du contenu in-game pour les joueurs GeForce RTX. Pour démarrer en beauté, récupérez gratuitement le skin d'arme Marksman SVK-8.6 DMR pour Battlefield 6 via l'application NVIDIA avec les GeForce Rewards. Il vous suffit d'ouvrir l'application NVIDIA, de cliquer sur « Échanger » dans le menu de gauche, et de suivre les étapes pour obtenir ce skin tant qu'il y en a encore en stock. […]

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Un patch 1.1.6 pour le jeu Assassin's Creed Shadows

Ubisoft annonce le déploiement d'un patch 1.1.6 pour son jeu Assassin's Creed Shadows, dont le poids est évalué à 11.17 Go sur PC. De nouvelles quêtes et défis sont déployés, mais surtout de nombreux bugs sont corrigés : Liste des corrections de bugs AVERTISSEMENT SPOILER Stabilité - Correction d'un problème qui provoquait le plantage du jeu lors du passage à l'onglet « Vendre des objets » dans certains menus. Gameplay - Correction des deux récompenses Tanuki Sumi-e afin qu'elles ne soient plus interverties. - La lame Odachi prisée du chasseur d'épées peut désormais être obtenue auprès du chasseur d'épées. - Les emplacements d'équipement ne seront plus réinitialisés automatiquement après avoir terminé des quêtes. - Les portes coulissantes n'empêcheront plus les joueurs d'invoquer des alliés. Vous pouvez désormais passer ! - Résolution d'un problème où le vendeur d'équipement de la vallée de Mibuno gardait certaines gravures pour lui. - Correction d'un problème de nom entre le faisan vert et le faisan cuivré, qui échangeaient parfois leurs personnalités. Bizarre... - Les gravures d'équipement d'Ezio se débloquent désormais correctement entre plusieurs sauvegardes. - Correction d'un problème où le joueur pouvait acheter plusieurs fois les mêmes cartes Karuta représentant des épées. - Correction d'un problème qui permettait à l'épée Katana des profondeurs d'exploiter une double transmogrification, permettant ainsi d'empiler quatre gravures. - Correction d'un problème qui rendait certains animaux de compagnie (lapin, cerf et biche, faisan vert et écureuil volant) impossibles à obtenir. - Les joueurs ne resteront plus bloqués lorsqu'ils tenteront de quitter l'entrepôt Miyataki. Sortez et touchez l'herbe ! […]

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NVIDIA aurait prévu une RTX 6000D

Dernièrement, NVIDIA a présenté sa RTX 6000 Pro, une carte graphique professionnelle qui se destine à ceux qui font de la production, de la création 3D ou encore de l'IA. Une carte qui est basée sur une puce Blackwell en GB202, comme la RTX 5090. Mais au niveau de sa configuration et de son prix, nous ne sommes pas sur les mêmes produits en fait. En effet, la RTX Pro 6000 embarque plus de Cuda Cores et plus de mémoire vidéo comme vous allez le constater. […]

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Des rumeurs croustillantes sur la bLLC, la future 3D V-Cache façon Intel ?!

La bLLC d'Intel sur les futurs processeurs Intel Nova Lake-S en socket LGA1954, nous avions déjà eu des rumeurs à son sujet faites par le sulfureux Moore's Law Is Dead. Il annonçait alors que cette bLLC ferait la bagatelle de 144 Mo, et serait installée comme le fait AMD au niveau d'une tuile de cœu...

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