Du 15 au 19 février 2026, se tiendra à San Francisco l'ISSCC 2026 (International Solid-State Circuit Conference). C'est donc dans près de trois mois, mais nous en parlons dès à présent car le programme préliminaire de l'évènement est d'ores et déjà disponible sur internet. Il fait la bagatelle de 11...
Sean Christopherson of Google sent out the pull requests to the KVM tree of the various x86_64-related areas of virtualization he oversees. With these updates ahead of the Linux 6.19 merge window there is a significant overhaul of Intel's Trust Domain Extensions (TDX) code to address various outstanding problems...
Following the release of Red Hat Enterprise Linux 10.1 earlier this month, Rocky Linux 10.1 is now available for this popular community-driven alternative to RHEL 10.1...
CXMT vous connaissez ? Probablement pas. C’est l’acronyme de ChangXin Memory Technologies1. Un fabricant chinois de semi-conducteurs qui est pour le moment largement sous les radars à l’international. Éclipsé par les géants du secteur. CXMT est spécialisé dans la fabrication de composants mémoire et il est dur de briller face aux ténors du marché.
En Europe on connait surtout trois fabricants de mémoire vive : les Coréens SK Hynix et Samsung et l’Américain Micron. CXMT qui propose le plus souvent ses produits DDR sur le marché local, n’a pas droit à son coup de projecteur technologique. Il faut dire que la marque est un peu à la traîne. Ou du moins l’était.
Dans sa volonté d’indépendance technologique, la Chine investit en masse dans ses entreprises et le pays a porté toute son attention sur CXMT pour l’aider à progresser dans le développement de nouveaux modules de mémoire vive. Après avoir produit de la DDR3 suite au quasi-abandon de ces modules par les grands concurrents internationaux, la marque s’est rapidement tourné vers la DDR4. Désormais, la marque se penche sur la DDR5 avec des produits prometteurs.
Comme je le répète souvent quand je parle de fabricants de semi-conducteurs Chinois, leur objectif n’est pas de proposer des produits forcément en concurrence frontale avec les fabricants internationaux. Quand Loongson propose un processeur x86, il ne cherche pas à proposer le meilleur du monde. D’abord, il en est incapable, mais surtout il ne vise que son marché intérieur. Les commandes dont le gouvernement chinois pourrait avoir besoin s’il n’avait plus accès aux technologies américaines d’AMD et Intel. Même scénario pour le UBIOS qui veut remplacer les solutions UEFI occidentales. Ou le GPMI, le nouveau format de câble universel Chinois. L’idée est de préserver une technologie « souveraine » comme on dit en France…
CXMT est d’ailleurs sous le coup de sanctions américaines depuis 2022, renforcées en 2024.
CXMT pourrait aujourd’hui profiter de la situation compliquée de la mémoire vive
Le SemiCon China vient de fermer ses portes et le site Videocardz nous informe de la présentation de nouveaux modules chez le fabricant Chinois. Cette fois-ci plus de DDR3 ou de DDR4, CXMT est passé à la DDR5 avec des propositions tout à fait convaincantes.
Étaient mis en avant des modules de 16 Go et 24 Go en DDR5-8000. Pour rappel, la mémoire considérée comme standard actuellement est la DDR5-6400, le fabricant se positionne donc au-dessus et peut dorénavant adresser des modules à tout type de secteurs grand public : PC classiques comme portables et MiniPC. Pour les smartphones et tablettes mais aussi pour d’autres matériels préférant de la mémoire soudée, de la LPDDR5X-10667 en 12 et 16 Go étant par ailleurs annoncée. Le fabricant compte bien déployer ses modules dans toute la galaxie de formats nécessaires : les classiques SODIMM des portables et MiniPC, les UDIMM standards du monde PC ATX. Des modules plus spécialisés pour les serveurs sont également présents à son catalogue.
Alors que les modules des géants Coréens et Américains semblent s’orienter de plus en plus vers les juteux contrats de l’industrie de l’Intelligence Artificielle. Ceux de CXMT vont de leur côté s’orienter sur son marché intérieur. Ce qui ne veut pas forcément dire ce que l’on croit. Un fabricant comme Micron ou SK Hynix va se tourner vers le client le plus offrant, c’est la logique de son marché. Mais le fait que CXMT soit porté à bout de bras dans son développement par le gouvernement chinois signifie qu’il pourrait tourner sa production en soutien de son industrie. Quand on parle de marché intérieur, cela ne veut pas dire que les barrettes de mémoire vive seront uniquement vendues en Chine. Mais plutôt qu’elles seront vendues à des industriels Chinois comme des fabricants de PC, qui pourront ensuite les distribuer à l’international.
Vous voyez l’importance stratégique de la montée en puissance de la marque ? Là où des constructeurs internationaux pourraient se retrouver asséchés en matière de mémoire vive face à l’appétit de l’IA. Des constructeurs Chinois pourraient profiter de tarifs préservés pour leurs propres machines. La logique entre les deux mondes étant totalement différente.
Alors va-t-on voir de plus en plus de machines équipées de puces CMXT à court terme ? Difficile à dire. Les capacités de productions de la marque ne sont pas au niveau de celles d’un Samsung ou d’un Micron. Il se pourrait donc qu’un choix stratégique se profile. Profiter de la manne d’achats en masse de modules de mémoire par l’industrie de l’IA à des prix très élevés pour trouver l’argent nécessaire au développement d’un parc de production de grande ampleur. Ce qui serait à moyen et long terme le signe de l’émergence d’un véritable nouveau géant dans la mémoire vive.
De 4 000 à 6 000 postes seront supprimés chez HP d’ici la fin de l’année fiscale 2028, annonce l’entreprise (pdf).
HP affirme mettre en place son plan de restructuration en parallèle d’une adoption massive de l’IA en interne. « Nous pensons sincèrement qu’il s’agit d’une occasion unique à ne pas manquer pour poursuivre la transformation de l’entreprise et rester compétitifs pendant les 10 ou 20 prochaines années », affirme Enrique Lores, le CEO de HP, au Wall Street Journal.
Le journal économique états-unien affirme que l’entreprise prévoit également d’augmenter le prix de ses appareils – tout en réduisant la quantité de mémoire – et de travailler avec des fournisseurs moins chers.
Comme l’indique l’AFP, la bourse de New York a plutôt mal réagi à cette annonce conjuguée à la publication d’objectifs inférieurs aux attentes, avec une baisse des échanges post-clôture de 6 %.
De son côté, Apple prévoit quelques dizaines de licenciements dans son service commercial, notamment pour la vente des produits aux entreprises, aux établissements scolaires et aux administrations publiques, ce qui constitue un licenciement rare pour le fabricant de l’iPhone, explique Bloomberg.
Il y a une dizaine de jours, Amazon a changé le nom de son projet Kuiper en Leo, en référence à l’orbite basse sur laquelle évoluent ses satellites (« low earth orbit » en anglais). Cet été, l’Arcep donnait le feu vert à Amazon pour déployer son service d’accès à Internet par satellite en France.
« En l’absence de réponse, suite à son recours gracieux, le syndicat CFE-CGC Télécoms, représentant les personnels du secteur des télécommunications, a décidé de déposer un recours en annulation devant le Conseil d’État, à l’encontre de la décision de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ARCEP) ayant attribué des fréquences à Amazon Kuiper ».
Le syndicat sonne la charge contre l’Arcep, accusée de pas avoir « pris la mesure de la menace que représentent Amazon Kuiper sur l’équilibre du marché français des télécoms et qu’elle a ignoré les impacts en termes de souveraineté et d’emploi qu’aurait cette autorisation si elle était confirmée ». « Ne rien demander aux acteurs américains et laisser peser sur les opérateurs français taxes et obligations nous semble en effet irresponsable », affirment en cœur les président et vice-président du syndicat.
La CFE-CGC regrette au passage que l’Arcep n’ait pas encore formulé de « doctrine claire sur la souveraineté des communications satellitaires ni sur l’intégration de ces technologies dans la continuité du réseau national ». En Europe nous avons aussi des constellations avec IRIS² et OneWeb.
Le syndicat affirme que les constellations « bénéficient d’un avantage fondamental » car elles ne sont notamment pas soumises « aux mêmes couts d’achats des licences ou des fréquences, aux mêmes autres obligations fiscales (non-soumission à l’IFER, à l’IS ou à la TVA) et réglementaires du fait de leur implantation géographique tout ou partie hors du territoire national ».
Au Conseil d’État, la CFE-CGC en rajoute une couche sur la question « ignorée » de l’impact environnemental, ainsi que celle de la concurrence et de la régulation. Elle demande une nouvelle consultation publique et la saisine de l’Autorité de la concurrence.
De 4 000 à 6 000 postes seront supprimés chez HP d’ici la fin de l’année fiscale 2028, annonce l’entreprise (pdf).
HP affirme mettre en place son plan de restructuration en parallèle d’une adoption massive de l’IA en interne. « Nous pensons sincèrement qu’il s’agit d’une occasion unique à ne pas manquer pour poursuivre la transformation de l’entreprise et rester compétitifs pendant les 10 ou 20 prochaines années », affirme Enrique Lores, le CEO de HP, au Wall Street Journal.
Le journal économique états-unien affirme que l’entreprise prévoit également d’augmenter le prix de ses appareils – tout en réduisant la quantité de mémoire – et de travailler avec des fournisseurs moins chers.
Comme l’indique l’AFP, la bourse de New York a plutôt mal réagi à cette annonce conjuguée à la publication d’objectifs inférieurs aux attentes, avec une baisse des échanges post-clôture de 6 %.
De son côté, Apple prévoit quelques dizaines de licenciements dans son service commercial, notamment pour la vente des produits aux entreprises, aux établissements scolaires et aux administrations publiques, ce qui constitue un licenciement rare pour le fabricant de l’iPhone, explique Bloomberg.
Il y a une dizaine de jours, Amazon a changé le nom de son projet Kuiper en Leo, en référence à l’orbite basse sur laquelle évoluent ses satellites (« low earth orbit » en anglais). Cet été, l’Arcep donnait le feu vert à Amazon pour déployer son service d’accès à Internet par satellite en France.
« En l’absence de réponse, suite à son recours gracieux, le syndicat CFE-CGC Télécoms, représentant les personnels du secteur des télécommunications, a décidé de déposer un recours en annulation devant le Conseil d’État, à l’encontre de la décision de l’Autorité de régulation des communications électroniques, des postes et de la distribution de la presse (ARCEP) ayant attribué des fréquences à Amazon Kuiper ».
Le syndicat sonne la charge contre l’Arcep, accusée de pas avoir « pris la mesure de la menace que représentent Amazon Kuiper sur l’équilibre du marché français des télécoms et qu’elle a ignoré les impacts en termes de souveraineté et d’emploi qu’aurait cette autorisation si elle était confirmée ». « Ne rien demander aux acteurs américains et laisser peser sur les opérateurs français taxes et obligations nous semble en effet irresponsable », affirment en cœur les président et vice-président du syndicat.
La CFE-CGC regrette au passage que l’Arcep n’ait pas encore formulé de « doctrine claire sur la souveraineté des communications satellitaires ni sur l’intégration de ces technologies dans la continuité du réseau national ». En Europe nous avons aussi des constellations avec IRIS² et OneWeb.
Le syndicat affirme que les constellations « bénéficient d’un avantage fondamental » car elles ne sont notamment pas soumises « aux mêmes couts d’achats des licences ou des fréquences, aux mêmes autres obligations fiscales (non-soumission à l’IFER, à l’IS ou à la TVA) et réglementaires du fait de leur implantation géographique tout ou partie hors du territoire national ».
Au Conseil d’État, la CFE-CGC en rajoute une couche sur la question « ignorée » de l’impact environnemental, ainsi que celle de la concurrence et de la régulation. Elle demande une nouvelle consultation publique et la saisine de l’Autorité de la concurrence.
Ce mercredi, dans un premier temps, nous vous proposons de découvrir les performances du dernier SSD WD, à savoir le Blue, dans sa version SN5100. Un SSD qui exploite un controleur Gen 4.0 Sandisk Polaris 3 et des puces NAND Flash en QLC.
Pour savoir comment se comporte la version 2 To, c'est ici : Test SSD WD Blue SN5100 ou en cliquant sur la source.
[…]
Xbox, Windows et ASUS sont ravis de dévoiler aujourd'hui une série de mises à jour destinées aux appareils portables ROG Xbox Ally. Directement inspirées des retours des joueuses et des joueurs, ces améliorations visent à optimiser l'expérience de jeu.
Profils de jeu par défaut (preview)
Parmi les nouveautés majeures, les Profils de jeu par défaut, disponibles dès à présent en preview, permettent d'ajuster automatiquement le taux d'images par seconde (FPS) et la consommation d'énergie sur quarante jeux compatibles au lancement, notamment Fortnite, Gears of War: Reloaded, Hollow Knight: Silksong, et bien d'autres. Grâce à ces profils optimisés, les joueuses et les joueurs passent moins de temps dans les réglages et davantage à jouer. Par exemple, dans Hollow Knight: Silksong, cette fonctionnalité peut offrir près d'une heure d'autonomie supplémentaire tout en maintenant les 120 FPS.
[…]
Après l'annonce de trois nouveaux écrans OLED, AGON by AOC continue sur sa lancée en nous présentant de nouvelles dalles avec les 25G4KUR et U27G4XM. Deux moniteurs pour le gaming mais pour des utilisations totalement différentes. […]
Le site 01Net ment sciemment à ses lecteurs pour se faire du fric. C’est la seule conclusion qui s’impose en lisant leur promotion pour les trottinettes électriques. En annonçant une contre-vérité à son lectorat, le site n’a qu’une seule envie, gagner de l’argent sur son affiliation. Même si au passage, ils jouent avec leur argent et leur santé.
« Si vous roulez avec un engin dont la vitesse maximale par construction est supérieure à 25 km/h : 1 500 euros d’amende (5e classe). »
Cela veut dire que si vous roulez à 15 Km/h sur la voie publique, que les forces de l’ordre vous contrôlent et qu’elles constatent que votre trottinette va à plus de 25 Km/h : amende. 1500€. Confiscation du véhicule. Cela ne veut absolument pas dire que vous pouvez vous balader avec un véhicule qui va à 50 Km/h si vous roulez à 25 Km/h comme le code de la route l’exige. C’est faux et 01Net le sait pertinemment. Pourtant le site écrit ces lignes :
Capture d’écran où 01Net ment
01Net ment pour faire de l’argent.
C’est un mensonge éhonté et assumé de la part du site. Ils mettent tout à fait consciemment en avant un engin capable de rouler à 45 Km/h en expliquant qu’en roulant « pas trop vite » leur propriétaire sera dans les clous. C’est un mensonge clair et net. Ce qui me pose problème ici, outre le fait que tout le monde semble se torcher avec la loi, c’est la cascade de problème que tout cela pose.
Vincent Bouvier : Directeur de la rédaction de 01Net
Le premier est que 01Net n’apporte rien ici, c’est une promo destinée à faire de l’affiliation avec de la désinformation. L’article n’est pas signé par un journaliste mais par un nébuleux groupe baptisé « Experts bons plans 01net » qui doit être piloté par un malheureux pigiste ou une IA. C’est donc le Directeur de la rédaction, Vincent Bouvier, qui devient responsable aux yeux de la loi de cette affirmation mensongère et illégale. Bien entendu il n’y a pas de commentaires possibles sous l’article pour laisser les internautes rappeler à l’ordre la rédaction au sujet de la loi Française. Le lecteur de passage peut donc très bien être désinformé sans garde fou.
Le modèle de trottinette électrique en question est clairement au-delà des 25 Km/h par construction qu’impose la loi.
Que va-t-il se passer pour un lecteur du site qui achèterait cet engin en croyant dans les conseils de 01Net ? De toute bonne foi, un acheteur pourrait se dire qu’en restant sagement à 25 Km/h, il respecte la loi. Or ce n’est pas vrai et les conséquences sont lourdes.
A La Rochelle, la police est équipée d’un curvomètre pour mesurer la vitesse des engins.
En cas de contrôle de police, comme on l’a vu, et ils deviennent plus courants car les force de l’ordre ciblent les véhicules ayant le design de ce type de trottinette dorénavant.
Mais aussi et surtout en cas d’accident. Si un assureur se rend compte que vous roulez avec un engin illégal sur la voie publique, aucune prise en charge ne sera possible. Vous devrez donc payer la casse si vous percutez une voiture même si vous avez une assurance pour EDPM standard (et obligatoire).
Le pire est bien d’un point de vue santé : si vous percutez un autre usager et qu’il se blesse, vous serez tenu pour responsable de ses blessures et, en conduisant un engin illégal, probablement poursuivi pour payer des dommages sans aucune couverture d’assurance. Cela peut chiffrer très vite. Si vous n’êtes pas solvable, c’est le fonds de garantie des assurances qui prendra le relais et qui vous poursuivra ensuite pour rembourser. Si vous vous blessez vous-même, vous devrez vous débrouiller avec vos factures, même assuré, la police d’assurance ne couvrant probablement pas la conduite d’engins illégaux.
Tout cela 01Net le sait. Et 01Net s’en fout. Le but ici est de faire du fric coute que coute.
Extrait de mon billet de juin 2021 à destination des journalistes
Cela fait des années que j’alerte, que je pointe du doigt les dérives du genre. Mais là, la coupe est pleine. 01Net n’est pas le seul, de nombreux sites jouent avec les mots pour faire de l’affiliation avec ces engins illégaux sur la voie publique en France. Mais aller jusqu’à mentir à ses lecteurs en précisant que ce n’est pas illégal de rouler avec ses engins en adaptant son allure, c’est la goutte de trop.
Encore un nouveau SoC pour smartphone chez Qualcomm : le Snapdragon 8 Gen 5. C’est une version moins véloce du Snapdragon 8 Elite Gen 5 avec une fréquence des cœurs CPU et une quantité de mémoire revues à la baisse, mais aussi d’autres petits changements.
Qualcomm enchaine les annonces de puces pour les smartphones et les ordinateurs portables, sans vraiment arriver à proposer une gamme claire, simple à comprendre. Pour preuve, en septembre, avant l’annonce du Snapdragon 8 Elite Gen 5, le fabricant avait publié un billet de blog expliquant le choix du nom.
La puce est arrivé une dizaine de jours plus tard, en même temps que le Snapdragon X2 Elite. Les deux gammes font appel à des cœurs CPU maison Oryon de 3ᵉ génération. La série Snapdragon 8 (ou n’importe quel autre numéro) est pour smartphone, le Snapdragon X et X2 (suivant les générations) pour les ordinateurs. Ajoutez à cela des déclinaisons Elite, Extreme et vous avez un petit aperçu des gammes Qualcomm.
Voici donc une nouvelle référence pour smartphone : le Snapdragon 8 Gen 5. La différence avec le précédent SoC ? Il n’est pas « Elite ». À l’intérieur, huit cœurs « Oryon » pour la partie CPU, sans précision sur la génération. Il devrait s’agir de la Gen 3 comme sur le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Voici la composition des cœurs :
2x Prime jusqu’à 3,8 GHz (4 Mo cache L2)
6x Performance jusqu’à 3,32 GHz (12 Mo cache L2)
GPU « Adreno » et NPU castré
Sur la partie GPU Qualcomm est toujours aussi prolixe : « Adreno GPU ». Pour les détails on repassera… La société ne fait pas mention de mémoire High Performance Memory (HPM) pour son Adreno, alors que c’était le cas pour le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Même chose sur le NPU avec « Hexagon ». C’est par contre une version plus limitée que celle de la version Elite puisque la configuration du Snapdragon 8 Gen 5 comprend 6x scalaires et 8x vecteurs, contre 12x scalaires et 8x vecteurs pour son grand frère. La nouvelle puce prend en charge les précisions INT2 et FP8 comme le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Le modem redescend d’un cran avec un Qualcomm X80 5G à 10 Gb/s au lieu d’un X85 à 12,5 Gb/s, mais cela ne devrait pas changer grand-chose dans la pratique. Aucun changement sur le Wi-Fi 7 et le Bluetooth 6.0 avec le FastConnect 7900. La mémoire peut atteindre 24 Go en LP-DDR5x jusqu’à 4 800 MHz, contre 5 300 MHz pour la version Elite. Tous les détails techniques se trouvent par ici.
Qualcomm ne compare les performances du nouveau venu qu’à celles du Snapdragon 8 Gen 3, un processeur avec deux générations de moins. Le fabricant n’a pas lancé de Snapdragon 8 Gen 4, mais un Snapdragon 8 Elite à la place, avant de revenir à la Gen 5. Pas de comparaison directe donc entre les deux Snapdragon 8 Gen 5.
La puce est fabriquée à partir du procédé 3 nm de TSCM. Le fabricant annonce que des partenaires comme iQOO, Honor, Meizu, Motorola, OnePlus et vivo sont déjà en piste pour proposer des smartphones avec cette puce.
Encore un nouveau SoC pour smartphone chez Qualcomm : le Snapdragon 8 Gen 5. C’est une version moins véloce du Snapdragon 8 Elite Gen 5 avec une fréquence des cœurs CPU et une quantité de mémoire revues à la baisse, mais aussi d’autres petits changements.
Qualcomm enchaine les annonces de puces pour les smartphones et les ordinateurs portables, sans vraiment arriver à proposer une gamme claire, simple à comprendre. Pour preuve, en septembre, avant l’annonce du Snapdragon 8 Elite Gen 5, le fabricant avait publié un billet de blog expliquant le choix du nom.
La puce est arrivé une dizaine de jours plus tard, en même temps que le Snapdragon X2 Elite. Les deux gammes font appel à des cœurs CPU maison Oryon de 3ᵉ génération. La série Snapdragon 8 (ou n’importe quel autre numéro) est pour smartphone, le Snapdragon X et X2 (suivant les générations) pour les ordinateurs. Ajoutez à cela des déclinaisons Elite, Extreme et vous avez un petit aperçu des gammes Qualcomm.
Voici donc une nouvelle référence pour smartphone : le Snapdragon 8 Gen 5. La différence avec le précédent SoC ? Il n’est pas « Elite ». À l’intérieur, huit cœurs « Oryon » pour la partie CPU, sans précision sur la génération. Il devrait s’agir de la Gen 3 comme sur le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Voici la composition des cœurs :
2x Prime jusqu’à 3,8 GHz (4 Mo cache L2)
6x Performance jusqu’à 3,32 GHz (12 Mo cache L2)
GPU « Adreno » et NPU castré
Sur la partie GPU Qualcomm est toujours aussi prolixe : « Adreno GPU ». Pour les détails on repassera… La société ne fait pas mention de mémoire High Performance Memory (HPM) pour son Adreno, alors que c’était le cas pour le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Même chose sur le NPU avec « Hexagon ». C’est par contre une version plus limitée que celle de la version Elite puisque la configuration du Snapdragon 8 Gen 5 comprend 6x scalaires et 8x vecteurs, contre 12x scalaires et 8x vecteurs pour son grand frère. La nouvelle puce prend en charge les précisions INT2 et FP8 comme le Snapdragon 8 Elite Gen 5.
Le modem redescend d’un cran avec un Qualcomm X80 5G à 10 Gb/s au lieu d’un X85 à 12,5 Gb/s, mais cela ne devrait pas changer grand-chose dans la pratique. Aucun changement sur le Wi-Fi 7 et le Bluetooth 6.0 avec le FastConnect 7900. La mémoire peut atteindre 24 Go en LP-DDR5x jusqu’à 4 800 MHz, contre 5 300 MHz pour la version Elite. Tous les détails techniques se trouvent par ici.
Qualcomm ne compare les performances du nouveau venu qu’à celles du Snapdragon 8 Gen 3, un processeur avec deux générations de moins. Le fabricant n’a pas lancé de Snapdragon 8 Gen 4, mais un Snapdragon 8 Elite à la place, avant de revenir à la Gen 5. Pas de comparaison directe donc entre les deux Snapdragon 8 Gen 5.
La puce est fabriquée à partir du procédé 3 nm de TSCM. Le fabricant annonce que des partenaires comme iQOO, Honor, Meizu, Motorola, OnePlus et vivo sont déjà en piste pour proposer des smartphones avec cette puce.
C'est l'histoire d'une petite rumeur, qui vient d'un coup de prendre beaucoup d'ampleur. Celle qui laissait entendre que Sony Interactive pourrait officialiser l'arrivée sur PC de Death Stranding 2: On the Beach en cette fin 2025, pourquoi pas lors de la cérémonie The Game Awards 2025, qui aura lieu...
An anonymous reader quotes a report from the Guardian: Nearly a century ago, scientists proposed that a mysterious invisible substance they named dark matter clumped around galaxies and formed a cosmic web across the universe. What dark matter is made from, and whether it is even real, are still open questions, but according to a study, the first direct evidence of the substance may finally have been glimpsed. More work is needed to rule out less exotic explanations, but if true, the discovery would go down as a turning point in the decades-long search for the elusive substance that is said to make up 27% of the cosmos.
"This could be a crucial breakthrough in unraveling the nature of dark matter," said Prof Tomonori Totani, an astrophysicist at the University of Tokyo, who said gamma rays emanating from the centre of the Milky Way appeared to bear the signature of the substance. [...] To search for potential dark matter signals, Totani analysed data from Nasa's Fermi Gamma-ray Space Telescope, which detects the most energetic photons in the electromagnetic spectrum. He spotted a pattern of gamma rays that appeared to match the shape of the dark matter halo that spreads out in a sphere from the heart of the galaxy. The signal "closely matches the properties of gamma-ray radiation predicted to be emitted by dark matter," Totani told the Guardian. Details are published in the Journal of Cosmology and Astroparticle Physics.
If Totani has seen dark matter at work, the observations suggest it is made from elementary particles 500 times more massive than the proton. But far more work is needed to rule out other astrophysical processes and background emissions that could explain the signals. Totani said the "decisive factor" would be detecting gamma rays with the same spectrum from other regions of space, such as dwarf galaxies. According to Prof Justin Read, an astrophysicist at the University of Surrey, the lack of significant signals from such galaxies strongly argues against Totani having seen gamma rays emitted from dark matter particle annihilation. Prof Kinwah Wu, a theoretical astrophysicist at UCL, urged caution, saying: "I appreciate the author's hard work and dedication, but we need extraordinary evidence for an extraordinary claim," he said. "This analysis has not reached this status yet. It is a piece of work which serves as an encouragement for the workers in the field to keep on pressing."
On se lance ce jour à la découverte du nouveau SSD WD SN5100. Un modèle que nous avons en 2 To, qui exploite un contrôleur SanDisk Polaris 3, de la mémoire NAND Flash de type QLC et qui est donné pour 7100 Mo/s en lecture et 6700 Mo/s en écriture. Avec sa durée de vie de 600 TBW et sa garantie de 5 ans, ce modèle annoncé à 166,90 euros a-t-il ce qu’il faut pour s’imposer dans un PC ? Réponse dans ces quelques pages de tests.
L’installation, la désinstallation et la mise à jour des applications tierces sur Windows a toujours été un sujet. Des ajouts récents dans les préversions du système montrent que l’éditeur cherche à simplifier certaines démarches.
Dans un récent billet de blog, Microsoft a présenté plusieurs nouveautés en approche pour Windows 11 et en cours de diffusion auprès des testeurs (Windows Insiders). On y trouve des ajouts comme le mode plein écran pour l’application Xbox, ou encore la restauration ponctuelle. Celle-ci est surtout destinée aux entreprises, avec un enregistrement de l’état de la machine toutes les 24 heures (par défaut, modifiable par l’équipe d’administration), que l’on peut restaurer depuis WinRE.
Un bouton attendu depuis longtemps
Dans le billet, on trouve également un ajout dans le Microsoft Store que les utilisateurs réclament depuis longtemps : la possibilité de désinstaller une application directement depuis la liste dans l’onglet Bibliothèque. Cette capacité n’est valable que pour les applications installées depuis la boutique, mais elle simplifie nettement la gestion du parc applicatif. On se demande d’ailleurs pourquoi il a fallu autant de temps.
Non que la désinstallation des applications soit un gros problème dans Windows, surtout quand elles viennent du Store. Le type package spécifique utilisé sur la boutique rend la suppression d’un logiciel rapide et propre. On peut aussi la lancer depuis le menu Démarrer via un clic droit sur le raccourci. Et dans tous les cas, il reste le panneau classique de gestion des applications depuis le panneau des Paramètres.
Une centralisation des mises à jour ?
Dans ce dernier, la section Applications vient justement de recevoir un ajout dans les dernières préversions. Nommé App Updates, il laisse à penser que le système devrait être capable de récupérer des mises à jour pour des applications de manière centralisée. Une capacité qui a toujours fait défaut à Windows, et pour cause : il n’existe pas de dépôt centralisé pour l’ensemble des applications tierces.
Ce problème s’est légèrement amoindri dans le temps avec la proportion grandissante d’applications présentes dans le Store, la boutique mettant régulièrement à jour tout ce qu’elle a installé. Mais il est resté, car nombre de logiciels restent installés par des processus séparés, via le flux traditionnel : site de l’éditeur, téléchargement d’un exécutable, lancement de l’installation. Les problématiques liées sont connues, avec des mises à jour pas toujours faites (nombre d’applications n’ont pas de processus intégré, comme 7-zip) et des failles de sécurité restant béantes sur une partie du parc informatique.
Des outils spécialisés sont apparus pour aider à gérer ces problèmes. Microsoft a par exemple WinGet en ligne de commande. UniGetUI (anciennement WinGetUI) récupère cet outil au sein d’une interface complète et simplifiant d’autant la gestion.
Mais ces outils ont également des inconvénients, car ils récupèrent le package d’installation et l’installent sur la version déjà présente. La mise à jour se fait, mais puisque le processus est celui d’une première installation, il y a de petites conséquences parfois désagréables, comme le retour de l’icône correspondante sur le bureau. Le processus n’a pas la transparence d’une distribution Linux puisant dans un dépôt.
C’est d’ailleurs ce point qui interroge pour le nouvel ajout de Microsoft : quel serait le fonctionnement ? Windows Central émet l’idée qu’il s’agirait d’une capacité équivalente à celle du Store dans le cas où celui-ci ne serait pas disponible, parce qu’il a été désactivé ou même désinstallé. Difficile en tout cas pour le moment d’en savoir plus – que ce soit sur le fonctionnement ou le périmètre de la fonction – car le bouton ne déclenche pour l’instant aucune action et Microsoft n’en a pas encore parlé.
L’installation, la désinstallation et la mise à jour des applications tierces sur Windows a toujours été un sujet. Des ajouts récents dans les préversions du système montrent que l’éditeur cherche à simplifier certaines démarches.
Dans un récent billet de blog, Microsoft a présenté plusieurs nouveautés en approche pour Windows 11 et en cours de diffusion auprès des testeurs (Windows Insiders). On y trouve des ajouts comme le mode plein écran pour l’application Xbox, ou encore la restauration ponctuelle. Celle-ci est surtout destinée aux entreprises, avec un enregistrement de l’état de la machine toutes les 24 heures (par défaut, modifiable par l’équipe d’administration), que l’on peut restaurer depuis WinRE.
Un bouton attendu depuis longtemps
Dans le billet, on trouve également un ajout dans le Microsoft Store que les utilisateurs réclament depuis longtemps : la possibilité de désinstaller une application directement depuis la liste dans l’onglet Bibliothèque. Cette capacité n’est valable que pour les applications installées depuis la boutique, mais elle simplifie nettement la gestion du parc applicatif. On se demande d’ailleurs pourquoi il a fallu autant de temps.
Non que la désinstallation des applications soit un gros problème dans Windows, surtout quand elles viennent du Store. Le type package spécifique utilisé sur la boutique rend la suppression d’un logiciel rapide et propre. On peut aussi la lancer depuis le menu Démarrer via un clic droit sur le raccourci. Et dans tous les cas, il reste le panneau classique de gestion des applications depuis le panneau des Paramètres.
Une centralisation des mises à jour ?
Dans ce dernier, la section Applications vient justement de recevoir un ajout dans les dernières préversions. Nommé App Updates, il laisse à penser que le système devrait être capable de récupérer des mises à jour pour des applications de manière centralisée. Une capacité qui a toujours fait défaut à Windows, et pour cause : il n’existe pas de dépôt centralisé pour l’ensemble des applications tierces.
Ce problème s’est légèrement amoindri dans le temps avec la proportion grandissante d’applications présentes dans le Store, la boutique mettant régulièrement à jour tout ce qu’elle a installé. Mais il est resté, car nombre de logiciels restent installés par des processus séparés, via le flux traditionnel : site de l’éditeur, téléchargement d’un exécutable, lancement de l’installation. Les problématiques liées sont connues, avec des mises à jour pas toujours faites (nombre d’applications n’ont pas de processus intégré, comme 7-zip) et des failles de sécurité restant béantes sur une partie du parc informatique.
Des outils spécialisés sont apparus pour aider à gérer ces problèmes. Microsoft a par exemple WinGet en ligne de commande. UniGetUI (anciennement WinGetUI) récupère cet outil au sein d’une interface complète et simplifiant d’autant la gestion.
Mais ces outils ont également des inconvénients, car ils récupèrent le package d’installation et l’installent sur la version déjà présente. La mise à jour se fait, mais puisque le processus est celui d’une première installation, il y a de petites conséquences parfois désagréables, comme le retour de l’icône correspondante sur le bureau. Le processus n’a pas la transparence d’une distribution Linux puisant dans un dépôt.
C’est d’ailleurs ce point qui interroge pour le nouvel ajout de Microsoft : quel serait le fonctionnement ? Windows Central émet l’idée qu’il s’agirait d’une capacité équivalente à celle du Store dans le cas où celui-ci ne serait pas disponible, parce qu’il a été désactivé ou même désinstallé. Difficile en tout cas pour le moment d’en savoir plus – que ce soit sur le fonctionnement ou le périmètre de la fonction – car le bouton ne déclenche pour l’instant aucune action et Microsoft n’en a pas encore parlé.