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China's Growth Is Coming at the Rest of the World's Expense

China has contributed less to global growth this year than the U.S. despite Beijing's frequent criticism of protectionism, according to a Wall Street Journal analysis citing new research from Goldman Sachs economists. U.S. imports are up 10% so far this year compared to a year earlier, while China's imports have fallen 3% in dollar terms. Goldman's economists found that the historical relationship between Chinese growth and global growth has turned negative; where 1% more Chinese output once raised world output by 0.2%, the bank now projects. China will grow about 0.6 percentage points faster annually over the next few years while reducing the rest of the world's growth by 0.1 point per year. China's current account surplus could reach 1% of world GDP by 2029, Goldman estimates, larger than any country's since the late 1940s. China now accounts for 17% of global GDP.

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Live Update Orchestrator "LUO" Merged For Linux 6.19

Google engineers for the past number of months have been working on the Live Update Orchestrator as a new way of applying live Linux kernel updates. The Live Update Orchestrator "LUO" builds atop the Kexec Handover "KHO" functionality already within the kernel. Google has since been deplyoing LUO in their production environments for faster security updates to kernels, especially when involving VMs. LUO is now upstream in Linux 6.19...
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Le mini PC ZOTAC de 8,5L avec une véritable GeForce RTX 5070 Ti arrive en boutique

Thibaut vous l'avait brièvement présenté en amont du Computex 2025 au mois de mai, mais nous n'avions pas eu trop l'occasion de reparler sur H&Co du ZOTAC ZBOX MAGNUS ONE EU27507TC. Il faut dire qu'il s'est ensuite fait plus que discret (on va même dire inexistant) dans le commerce et une autre...

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Denmark Posts Its Last Letters as Hallowed National Mail Ends

Denmark's postal service, established by King Christian IV four centuries ago as one of Europe's first modern mail systems, will stop delivering letters on December 30, ending a tradition that once saw riders given a maximum of 45 minutes to cover each 10-kilometer stretch of routes running from Hamburg to Norway. PostNord, the postal service Denmark has shared with Sweden since 2009, started removing its 1,500 remaining red post boxes in June; a handful will go to museums. Letter volumes collapsed from nearly 1.5 billion in 2000 to 110 million last year. A standard stamp now costs 29 Danish kroner ($4.52). A private logistics firm called DAO will take over letter delivery. PostNord will continue handling parcels. The decision has rattled postal services elsewhere in Europe. Deutsche Post in Germany, still delivering 61 million letters daily, has warned it faces the same trends.

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How the Dollar-Store Industry Overcharges Cash-Strapped Customers While Promising Low Prices

Dollar General and Family Dollar stores have collectively failed more than 6,400 government price-accuracy inspections since January 2022, charging customers more at checkout than the prices displayed on shelves for everything from frozen pizzas to puppy food, according to an investigation by the Guardian. The review examined records from 45 states and more than 140 counties and cities. Dollar General stores failed over 4,300 inspections across 23 states, and Family Dollar failed more than 2,100 in 20 states. Error rates at the worst-performing locations reached staggering levels -- 76% at a Dollar General in Hamilton, Ohio and 68% at a Family Dollar in Bound Brook, New Jersey. A Family Dollar in Provo, Utah failed 28 consecutive inspections. Industry watchers, employees and lawsuits attribute the discrepancies to minimal staffing. Registers update automatically when prices change, but shelf labels require manual replacement, and workers often lack the time. State attorneys general have pursued settlements -- Arizona reached a $600,000 deal with Family Dollar in May, Colorado settled with Dollar General for $400,000 in October and Ohio secured $1 million from Dollar General after finding error rates as high as 88%. Both companies declined interview requests but said they remain committed to pricing accuracy.

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Google Says First AI Glasses With Gemini Will Arrive in 2026

Google said it's working to create two different categories of artificial intelligence-powered smart glasses to compete next year with existing models from Meta Platforms: one with screens, and another that's audio focused. From a report: The first AI glasses that Google is collaborating on will arrive sometime in 2026, it said in a blog post Monday. Samsung Electronics, Warby Parker and Gentle Monster are among its early hardware partners, but the companies have yet to show any final designs. Google also outlined several software improvements coming to Samsung's Galaxy XR headset, including a travel mode that will allow the mixed-reality device to be used in cars and on planes.

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Le rachat de Warner par Netflix provoque des remous, Paramount contre-attaque

L'empire (Ellison) contre-attaque
Le rachat de Warner par Netflix provoque des remous, Paramount contre-attaque

Alors qu’Hollywood s’inquiète des effets du rachat de Warner Bros. par Netflix sur l’industrie cinématographique, Paramount dévoile ce 8 décembre une contre-offre.

Ç’aurait pu être Paramount. Ce vendredi, Netflix a finalement remporté la vente aux enchères de Warner Bros., devançant les offres concurrentes de Comcast et du géant Paramount, racheté il y a quatre mois à peine par Skydance grâce aux financements du patron d’Oracle, Larry Ellison.

Ç’aurait pu être Paramount, réuni sous la férule de David Ellison, fils de son père, et a priori soutenu par Donald Trump. À moins, suggère le Los Angeles Times, que ce lien avec le président des États-Unis n’ait directement desservi Paramount. À moins aussi que la famille Ellison n’ait sous-estimé ses concurrents, en proposant trois offres successives (dont la première à 19 dollars l’action) à des montants chaque fois rejetés comme trop faibles par le conseil de direction de Warner.

Ce sera peut-être Paramount ? Ce 8 décembre, la société, fusionnée il y a quatre mois à peine avec Skydance, formule une contre-offre à 30 dollars l’action pour reprendre l’intégralité de Warner Bros. Discovery.

L’industrie du cinéma aux aguets

À Hollywood, on s’inquiète des répercussions des rachats de Paramount par Skydance et de celui à venir, avec Warner Bros., sur le nombre de films et de séries produits, donc sur le nombre d’emplois disponibles. Si certains se félicitent que ce soit Netflix, plutôt que n’importe quelle autre entreprise de la tech moins implantée dans l’industrie cinématographique, d’autres passent en « mode panique totale », à en croire Vanity Fair.

« Le rachat par la plus grande entreprise mondiale de streaming de l’un de ses principaux concurrents est précisément ce que les lois anti-monopoles visent à empêcher », écrit la Writers Guild of America, qui appelle à son blocage pur et simple. « Cela entraînerait des suppressions d’emplois, une baisse des salaires, une détérioration des conditions de travail pour tous les professionnels du divertissement, une augmentation des prix pour les consommateurs et une réduction du volume et de la diversité des contenus proposés à tous les téléspectateurs. » Les syndicats n’ont pas tous adopté une position aussi tranchée, quoiqu’ils soulignent tous leurs interrogations sur les effets de l’opération « sur le futur de l’industrie du divertissement », comme l’écrit le SAG-AFTRA, qui représente les acteurs.

Après tout, le modèle de Netflix est largement indépendant de celui du circuit classique des salles de cinéma. Certes, l’entreprise y a diffusé 30 titres en 2025 avant de les proposer sur sa plateforme – comme l’a rappelé son co-PDG Ted Sarandos lors d’un échange avec les investisseurs, le 5 décembre – mais elle l’a fait sur des durées plus courtes que le reste du milieu.

« Tout ce qui doit sortir en salle via Warner Bros. continuera à sortir en salle via Warner Bros. », a-t-il encore déclaré. Le dirigeant a tout de même laissé entendre qu’à long terme, les « fenêtres d’exploitation évolueront », pour rendre les films plus rapidement disponibles en streaming. Et de profiter de l’appel pour décrire cet accord comme « pro-consommateur, pro-innovation, pro-travailleurs, pro-créateurs et pro-croissance ». Pour certains commentateurs, une telle opération, si elle est menée à son terme par Netflix, ne serait qu’un clou de plus dans le cercueil de l’industrie des salles de cinéma.

Un nouveau monopole ?

Le rachat de Warner Bros., qui doit être acté à la fin du troisième trimestre 2026 au plus tôt s’il est bien réalisé par Netflix, devra dans tous les cas composer avec un intense contrôle des régulateurs et du monde politique. La sénatrice du Massachusetts Elizabeth Warren, critique régulière des géants du numérique, a par exemple déjà pris la parole pour contester ce qu’elle qualifie de « cauchemar de la lutte contre les monopoles », qui créerait un « géant des médias contrôlant près de la moitié du marché du streaming ».

Ce 7 décembre, Donald Trump a exprimé ses propres doutes, relevant lui aussi que Netflix avait déjà « une très grosse part de marché », ce qui pourrait « poser problème ». L’actuel président des États-Unis est très proche de Larry Ellison, fondateur d’Oracle et co-financier de l’acquisition de Paramount par Skydance. Ted Sarandos s’est de son côté rendu à la Maison Blanche en novembre pour argumenter en faveur de son propre projet, qui impliquerait notamment d’avaler la troisième plateforme mondiale de streaming (HBO Max), alors que Netflix est la première.

Quoiqu’il en soit, la société Skydance-Paramount présidée par David Ellison propose ce 8 décembre un nouveau deal aux actionnaires de Warner Bros. Discovery, à 30 dollars par action, en numéraire. Celui-ci est de nouveau formulé grâce au soutien de la famille Ellison, mais aussi grâce à celui de la société d’investissement Redbird Capital, en capitaux propres. S’y ajoutent 54 milliards de dollars de dette auprès de la Bank of America, de Citi et d’Apollo Global Management. Paramount-Skydance cherche de nouveau à racheter l’intégralité de Warner Bros. Discovery, chaînes de télé (comme CNN et TNT Sports) comprises.

À l’inverse, l’accord conclu le 5 décembre avec Netflix est évalué à 27,75 dollars par action, dont 23,25 dollars en cash et le reste en actions Netflix, pour un total de 83 milliards de dollars (71 milliards d’euros). L’accord concerne les studios de Warner Bros. et le service de streaming HBO Max, mais implique la poursuite du projet de scission des activités de studios et celles de chaînes de télévision. Ces dernières seraient alors réunies dans la société cotée en bourse Discovery Global.

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Le rachat de Warner par Netflix provoque des remous, Paramount contre-attaque

L'empire (Ellison) contre-attaque
Le rachat de Warner par Netflix provoque des remous, Paramount contre-attaque

Alors qu’Hollywood s’inquiète des effets du rachat de Warner Bros. par Netflix sur l’industrie cinématographique, Paramount dévoile ce 8 décembre une contre-offre.

Ç’aurait pu être Paramount. Ce vendredi, Netflix a finalement remporté la vente aux enchères de Warner Bros., devançant les offres concurrentes de Comcast et du géant Paramount, racheté il y a quatre mois à peine par Skydance grâce aux financements du patron d’Oracle, Larry Ellison.

Ç’aurait pu être Paramount, réuni sous la férule de David Ellison, fils de son père, et a priori soutenu par Donald Trump. À moins, suggère le Los Angeles Times, que ce lien avec le président des États-Unis n’ait directement desservi Paramount. À moins aussi que la famille Ellison n’ait sous-estimé ses concurrents, en proposant trois offres successives (dont la première à 19 dollars l’action) à des montants chaque fois rejetés comme trop faibles par le conseil de direction de Warner.

Ce sera peut-être Paramount ? Ce 8 décembre, la société, fusionnée il y a quatre mois à peine avec Skydance, formule une contre-offre à 30 dollars l’action pour reprendre l’intégralité de Warner Bros. Discovery.

L’industrie du cinéma aux aguets

À Hollywood, on s’inquiète des répercussions des rachats de Paramount par Skydance et de celui à venir, avec Warner Bros., sur le nombre de films et de séries produits, donc sur le nombre d’emplois disponibles. Si certains se félicitent que ce soit Netflix, plutôt que n’importe quelle autre entreprise de la tech moins implantée dans l’industrie cinématographique, d’autres passent en « mode panique totale », à en croire Vanity Fair.

« Le rachat par la plus grande entreprise mondiale de streaming de l’un de ses principaux concurrents est précisément ce que les lois anti-monopoles visent à empêcher », écrit la Writers Guild of America, qui appelle à son blocage pur et simple. « Cela entraînerait des suppressions d’emplois, une baisse des salaires, une détérioration des conditions de travail pour tous les professionnels du divertissement, une augmentation des prix pour les consommateurs et une réduction du volume et de la diversité des contenus proposés à tous les téléspectateurs. » Les syndicats n’ont pas tous adopté une position aussi tranchée, quoiqu’ils soulignent tous leurs interrogations sur les effets de l’opération « sur le futur de l’industrie du divertissement », comme l’écrit le SAG-AFTRA, qui représente les acteurs.

Après tout, le modèle de Netflix est largement indépendant de celui du circuit classique des salles de cinéma. Certes, l’entreprise y a diffusé 30 titres en 2025 avant de les proposer sur sa plateforme – comme l’a rappelé son co-PDG Ted Sarandos lors d’un échange avec les investisseurs, le 5 décembre – mais elle l’a fait sur des durées plus courtes que le reste du milieu.

« Tout ce qui doit sortir en salle via Warner Bros. continuera à sortir en salle via Warner Bros. », a-t-il encore déclaré. Le dirigeant a tout de même laissé entendre qu’à long terme, les « fenêtres d’exploitation évolueront », pour rendre les films plus rapidement disponibles en streaming. Et de profiter de l’appel pour décrire cet accord comme « pro-consommateur, pro-innovation, pro-travailleurs, pro-créateurs et pro-croissance ». Pour certains commentateurs, une telle opération, si elle est menée à son terme par Netflix, ne serait qu’un clou de plus dans le cercueil de l’industrie des salles de cinéma.

Un nouveau monopole ?

Le rachat de Warner Bros., qui doit être acté à la fin du troisième trimestre 2026 au plus tôt s’il est bien réalisé par Netflix, devra dans tous les cas composer avec un intense contrôle des régulateurs et du monde politique. La sénatrice du Massachusetts Elizabeth Warren, critique régulière des géants du numérique, a par exemple déjà pris la parole pour contester ce qu’elle qualifie de « cauchemar de la lutte contre les monopoles », qui créerait un « géant des médias contrôlant près de la moitié du marché du streaming ».

Ce 7 décembre, Donald Trump a exprimé ses propres doutes, relevant lui aussi que Netflix avait déjà « une très grosse part de marché », ce qui pourrait « poser problème ». L’actuel président des États-Unis est très proche de Larry Ellison, fondateur d’Oracle et co-financier de l’acquisition de Paramount par Skydance. Ted Sarandos s’est de son côté rendu à la Maison Blanche en novembre pour argumenter en faveur de son propre projet, qui impliquerait notamment d’avaler la troisième plateforme mondiale de streaming (HBO Max), alors que Netflix est la première.

Quoiqu’il en soit, la société Skydance-Paramount présidée par David Ellison propose ce 8 décembre un nouveau deal aux actionnaires de Warner Bros. Discovery, à 30 dollars par action, en numéraire. Celui-ci est de nouveau formulé grâce au soutien de la famille Ellison, mais aussi grâce à celui de la société d’investissement Redbird Capital, en capitaux propres. S’y ajoutent 54 milliards de dollars de dette auprès de la Bank of America, de Citi et d’Apollo Global Management. Paramount-Skydance cherche de nouveau à racheter l’intégralité de Warner Bros. Discovery, chaînes de télé (comme CNN et TNT Sports) comprises.

À l’inverse, l’accord conclu le 5 décembre avec Netflix est évalué à 27,75 dollars par action, dont 23,25 dollars en cash et le reste en actions Netflix, pour un total de 83 milliards de dollars (71 milliards d’euros). L’accord concerne les studios de Warner Bros. et le service de streaming HBO Max, mais implique la poursuite du projet de scission des activités de studios et celles de chaînes de télévision. Ces dernières seraient alors réunies dans la société cotée en bourse Discovery Global.

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Le Ryzen 7 9850X3D en vadrouille sur l'ASUS B850M AYW, avec de la DDR5-9800 !

Tout ceci peut sembler fou, et pourtant, ce n'est pas inédit. ASUS, avec sa carte mère B850M AYW vient marcher sur les plates bandes des Tachyon de GIGABYTE par exemple, soit des cartes maman architecturées pour taper des records avec 2 slots de DDR5 par exemple. Voir de la DDR5-9800 sur cette carte...

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Japan Issues Tsunami Warning After Magnitude 7.6 Earthquake

A powerful magnitude 7.6 earthquake has shaken Japan, prompting tsunami warnings and orders for residents to evacuate. From a report: A tsunami as high as 3 metres (10ft) could hit the country's north-eastern coast after the earthquake occurred offshore at 11.15pm local time (2.15pm GMT), the Japan Meteorological Agency (JMA) said. Tsunami warnings were issued for the prefectures of Hokkaido, Aomori and Iwate, and tsunamis from 20-50cm (7-18in) high were observed at several ports, JMA said. The epicentre of the quake was 50 miles (80km) off the coast of Aomori prefecture, at a depth of 30 miles, the agency added. On Japan's one-to-seven scale of seismic intensity, the tremor registered as an "upper six" in Aomori prefecture -- a quake strong enough to make it impossible to keep standing or move without crawling. In such tremors, most heavy furniture can collapse and wall tiles and windowpanes are damaged in many buildings.

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How a Cryptocurrency Helps Criminals Launder Money and Evade Sanctions

An investigation has revealed how stablecoins -- cryptocurrencies pegged to the US dollar that exist largely beyond traditional financial oversight -- have become a practical tool for criminals and sanctioned individuals to move funds across borders almost instantly and convert them back into spendable money, often without detection. A Chainalysis report from February estimated that up to $25 billion in illicit transactions involved stablecoins last year. A New York Times reporter tested the system by converting $40 cash at a crypto ATM in Weehawken, New Jersey, into stablecoins and then using a Telegram bot to generate a Visa payment card without any identity verification. The card-issuing service, WantToPay, is incorporated in Hong Kong and led by a Russian entrepreneur in Thailand; it advertises to Russians blocked by US sanctions. Britain last month arrested members of a billion-dollar money laundering network that had purchased a bank in Kyrgyzstan to convert proceeds from drug trafficking and human trafficking into Tether, the most popular stablecoin. Further reading: China's Central Bank Flags Money Laundering and Fraud Concerns With Stablecoins.

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ACEMAGIC M1A Pro+ : du Strix Halo dans un cube compact

Le ACEMAGIC M1A Pro+ est un MiniPC noname pur et dur, un engin de catalogue que tout le monde peut obtenir du moment en payant le constructeur orignal. Lancé en 2023 sous la référence TANK03, il promettait un processeur Intel de 12e Gen et une GeForce RTX.

ACEMAGIC M1A Pro+

ACEMAGIC M1A Pro+

En 2026, le ACEMAGIC M1A Pro+ sera de retour dans une formule totalement AMD. La machine embarquera un processeur AMD AMD Ryzen AI Max+ 395 aux performances très intéressantes pour un boitier cubique qui ne devrait pas dépasser les 16 cm de côté. Pour le moment, peu d’informations ont fuité, et pour cause, les constructeurs ignorent comment communiquer sur leurs produits à moyen terme. En cause, la promesse d’une intégration de 128 Go de mémoire vive LPDDRx-8000 ainsi que des emplacements permettant jusqu’à 12 To de stockage. Ces composants étant pour le moment très volatils en termes de tarif, j’imagine qu’il est impossible d’annoncer un prix.

ACEMAGIC TANK03

ACEMAGIC TANK03

A vrai dire, je ne vois pas réellement à qui s’adresse le ACEMAGIC M1A Pro+ ? Le prix des puces Strix Halo de ce type étaient déjà très élevé avant la crise de la mémoire vive, cela sera pire en janvier. Qui va investir autant dans un engin de ce calibre ? On parle ici d’une machine noname annoncée à 1*999 yuans soit au minimum 10999 yuans et 1340€ HT et au pire 19999 yuans soit 2435€ HT. On imagine que cela ne sera pas la tranche la plus basse qui sera proposée.

A moins que cette annonce d’un modèle haut de gamme ne cache en réalité des déclinaisons moins ambitieuses ? Des puces comme le Ryzen AI Max+ 388 avec moins de mémoire vive et surtout un prix plus abordable. Comme toujours un modèle très haut de gamme mis en avant et des versions plus raisonnables mise en vente dans la foulée… Même s’il va bien falloir réfléchir à un autre marketing avec la poussée de fièvre qui s’empare du prix des composants.

ACEMAGIC TANK03

ACEMAGIC TANK03

On retrouve sur ce modèle une gestion de profils d’utilisation de la minimachine avec comme toujours trois scénarios d’usage : silencieux, équilibré et performant. Une molette à l’avant permettant d’augmenter ou de baisser le TDP des puces Strix Halo en fonction de ses besoins. Pas d’autres infos si ce n’est qu’un module Wi-Fi7 sera également intégré. Le TANK03 proposait une triple solution avec deux ports M.2 2280, le nouveau modèle proposera trois emplacement M.2 2280 NVMe PCIE Gen4 x4. A priori l’excellente connectique du précédent modèle devrait toujours être disponible.

À suivre.

AceMagic TANK03 : un minicube ultra performant sous Core i9 et GeForce RTX mobile

ACEMAGIC M1A Pro+ : du Strix Halo dans un cube compact © MiniMachines.net. 2025

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☕️ Apple : le responsable hardware depuis 17 ans envisagerait « sérieusement de partir »

Selon le généralement très bien informé Mark Gurman de Bloomberg, Johny Srouji « envisage sérieusement de partir dans un avenir proche ». Il n’est pas précisé où, mais il aurait l’intention de rejoindre une autre entreprise.

Il est arrivé chez Apple en 2008 « pour diriger le développement de la puce A4 ». C’est, pour rappel, « le premier SoC conçu par Apple » et utilisé dans un produit grand public, explique Apple. La société a depuis terminé sa transition vers les puces Apple Silicon avec les SoC Mx (lancées en 2020) pour les ordinateurs. La dernière version est la M5, que nous avons comparée aux générations précédentes.

Cela fait maintenant plus de 10 ans que Johny Srouji est vice-président sénior en charge de la division « Hardware Technology ». Si son départ était confirmé, ce serait un nouveau coup dur pour Apple, qui a perdu récemment Alan Dye, chargé depuis 20 ans du design pour la Pomme, parti chez Meta. Il embarque avec lui Billy Sorrentino, également ancien d’Apple (directeur sénior chez Apple Design Team).

Il y a quelques jours, Apple annonçait dans un communiqué que Jennifer Newstead allait rejoindre le groupe pour prendre la direction juridique d’Apple à partir du 1er mars 2026, à la place de Kate Adams qui est en poste depuis 2017. Dans le jeu des 7 Familles, Jennifer Newstead est actuellement directrice juridique chez… Meta. Fin janvier 2026, un autre départ est annoncé : celui de Lisa Jackson, vice-présidente Environment, Policy et Social Initiatives.

Pendant ce temps, Apple tente de se (re)relancer dans l’intelligence artificielle en recrutant Amar Subramanya, un ancien de chez Google et Microsoft. Apple a accumulé du retard sur ce point et a donc du pain sur la planche.

Comme le rappelle Engadget, ces remaniements au plus haut niveau des dirigeants d’Apple interviennent dans une situation de flou sur l’avenir de Tim Cook. Selon Mark Gurman (Bloomberg), l’actuel CEO pourrait retarder son départ, alors qu’un rapport du Financial Times « affirmait qu’Apple accélérait les plans de succession pour Cook ». 2025 et 2026 s’annoncent dans tous les cas comme deux années charnières pour Apple.

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☕️ Apple : le responsable hardware depuis 17 ans envisagerait « sérieusement de partir »

Selon le généralement très bien informé Mark Gurman de Bloomberg, Johny Srouji « envisage sérieusement de partir dans un avenir proche ». Il n’est pas précisé où, mais il aurait l’intention de rejoindre une autre entreprise.

Il est arrivé chez Apple en 2008 « pour diriger le développement de la puce A4 ». C’est, pour rappel, « le premier SoC conçu par Apple » et utilisé dans un produit grand public, explique Apple. La société a depuis terminé sa transition vers les puces Apple Silicon avec les SoC Mx (lancées en 2020) pour les ordinateurs. La dernière version est la M5, que nous avons comparée aux générations précédentes.

Cela fait maintenant plus de 10 ans que Johny Srouji est vice-président sénior en charge de la division « Hardware Technology ». Si son départ était confirmé, ce serait un nouveau coup dur pour Apple, qui a perdu récemment Alan Dye, chargé depuis 20 ans du design pour la Pomme, parti chez Meta. Il embarque avec lui Billy Sorrentino, également ancien d’Apple (directeur sénior chez Apple Design Team).

Il y a quelques jours, Apple annonçait dans un communiqué que Jennifer Newstead allait rejoindre le groupe pour prendre la direction juridique d’Apple à partir du 1er mars 2026, à la place de Kate Adams qui est en poste depuis 2017. Dans le jeu des 7 Familles, Jennifer Newstead est actuellement directrice juridique chez… Meta. Fin janvier 2026, un autre départ est annoncé : celui de Lisa Jackson, vice-présidente Environment, Policy et Social Initiatives.

Pendant ce temps, Apple tente de se (re)relancer dans l’intelligence artificielle en recrutant Amar Subramanya, un ancien de chez Google et Microsoft. Apple a accumulé du retard sur ce point et a donc du pain sur la planche.

Comme le rappelle Engadget, ces remaniements au plus haut niveau des dirigeants d’Apple interviennent dans une situation de flou sur l’avenir de Tim Cook. Selon Mark Gurman (Bloomberg), l’actuel CEO pourrait retarder son départ, alors qu’un rapport du Financial Times « affirmait qu’Apple accélérait les plans de succession pour Cook ». 2025 et 2026 s’annoncent dans tous les cas comme deux années charnières pour Apple.

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Quelles cartes graphiques s'en sortent le mieux sur Dying Light: The Beast avec Ray Tracing ?

Fin novembre, Techland gratifiait les joueurs de Dying Light: The Beast d'une mise à jour 1.4 du jeu apportant une nouvelle fonctionnalité graphique intéressante : le fameux ray tracing. Thibaut vous en avait d'ailleurs déjà parlé dans cette actualité, qui vous présentait via une vidéo de MxBenchmar...

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The Accounting Uproar Over How Fast an AI Chip Depreciates

Tech giants including Meta, Alphabet, Microsoft and Amazon have all extended the estimated useful lives of their servers and AI equipment over the past five years, sparking a debate among investors about whether these accounting changes are artificially inflating profits. Meta this year increased its depreciation timeline for most servers and network assets to 5.5 years, up from four to five years previously and as little as three years in 2020. The company said the change reduced its depreciation expense by $2.3 billion for the first nine months of 2025. Alphabet and Microsoft now use six-year periods, up from three in 2020. Amazon extended to six years by 2024 but cut back to five years this year for some servers and networking equipment. Michael Burry, the investor portrayed in "The Big Short," called extending useful lives "one of the more common frauds of the modern era" in an article last month. Meta's total depreciation expense for the nine-month period was almost $13 billion against pretax profit exceeding $60 billion.

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Intel Arc B580 vs. AMD Radeon RX 9000 vs. NVIDIA RTX 50 Series For Llama.cpp Vulkan Performance

Recently there were Phoronix benchmarks looking at the Intel Battlemage GPU compute performance since last year when the Arc B580 graphics card launched as well as the OpenGL and Vulkan graphics performance for the B580 on Linux since launch. There was much progress on the open-source Intel Linux graphics drivers at large this year but especially for Battlemage. Following that a Phoronix Premium reader asked about seeing some fresh Llama.cpp AI benchmarks with its Vulkan back-end now for the Arc B580 compared to competing AMD and NVIDIA graphics cards. Here are those benchmarks as requested.
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Paramount Skydance Launches Hostile Bid For WBD After Netflix Wins Bidding War

Paramount Skydance is launching a hostile bid to buy Warner Bros. Discovery after it lost out to Netflix in a months-long bidding war for the legacy assets, the company said Monday. CNBC: Paramount will go straight to WBD shareholders with an all-cash, $30-per-share offer. That's the same bid WBD rejected last week, according to people familiar with the bid who asked not to be named because the details were private. The offer is backstopped with equity financing from the Ellison family and the private-equity firm RedBird Capital and $54 billion of debt commitments from Bank of America, Citi and Apollo Global Management. "We're really here to finish what we started," Ellison told CNBC's "Squawk on the Street" Monday. "We put the company in play." On Friday, Netflix announced a deal to acquire WBD's studio and streaming assets for $72 billion. David Ellison-run Paramount had been bidding for the entirety of Warner Bros. Discovery, including those assets and the company's TV networks like CNN and TNT Sports.

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