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Où trouver le prochain Snapdragon 8 Elite Gen5 ? Dans le realme GT 8 Pro, pardi !

Dans la famille Snapdragon, nous avions déjà eu à faire au futur Snapdragon X2 Elite, dont la mission consiste à apporter l’expertise de la firme — en matière d’efficience énergétique particulièrement — dans la sphère des machines portatives à large écran, c’est-à-dire les laptops et les tablettes....

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US Tech Force Aims To Recruit 1,000 Technologists

The Trump administration announced Monday the United States Tech Force, a new program to recruit around 1,000 technologists for two-year government stints starting as soon as March -- less than a year after dismantling several federal technology teams and driving thousands of tech workers out of their jobs. The program will primarily recruit early-career software engineers and data scientists, paying between $150,000 and $200,000 annually. About 20 companies have signed on to participate, including Palantir, Meta, Oracle and Elon Musk's xAI. Some engineering managers will be allowed to take leaves of absence from their private-sector employers to join the program without divesting their stock holdings. The initiative follows the March closure of 18F, General Services Administration's internal tech consultancy, and the shuttering of the Social Security Administration's Office of Transformation in February. The IRS had lost over 2,000 tech workers by June.

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Jolla revient avec un nouveau smartphone sous Sailfish OS, le Do It Together

Joli Jolla
Jolla revient avec un nouveau smartphone sous Sailfish OS, le Do It Together

Jolla est de retour avec un nouveau smartphone, le Do It Together. Présenté comme une alternative européenne, le smartphone fait l’objet d’une campagne participative, dont les deux premiers jalons sont déjà atteints.

Sailfish OS est née des cendres du projet MeeGo, un système d’exploitation développé conjointement par Nokia et Intel. En 2011, Stephen Elop, responsable chez Microsoft, devient président de Nokia, il est décidé que l’avenir de l’entreprise passera entièrement par la plateforme Windows Phone. On connaît la suite : malgré des modèles globalement réussis et disposant de qualités certaines, les modèles Windows Phone ne rencontreront qu’un succès limité. La faute principalement au manque d’applications sur la boutique.

De fait, l’entreprise finlandaise Jolla, qui développe le système, a été fondée par un groupe d’anciens employés de Nokia, partis quand Stephen Elop est arrivé. Quelques modèles sont sortis directement avec la marque Jolla, mais Sailfish OS s’est surtout fait connaître comme alternative à Android, bien qu’avec une liste réduite d’appareils compatibles, comme le Xperia 10 II de Sony.

Avec le temps, Jolla s’est tourné vers d’autres domaines pour son système (basé sur Linux), notamment l’industrie automobile. L’entreprise est devenue rentable en 2021, presque dix ans après sa fondation, comme l’indiquait alors TechCrunch.

L’entreprise est de retour avec un tout nouveau modèle. Baptisé Do It Together (en opposition au Do It Yourself), le nouveau smartphone est présenté comme une alternative européenne aux grands noms de la tech, pratiquement tous américains. Fourni avec Sailfish OS 5, dernière révision stable du système, il se veut entièrement tourné vers la confidentialité et le respect de la vie privée.

Un bouton configurable pour la vie privée

La base technique du nouveau téléphone est centrée sur une puce Mediatek « hautes performances » dont la référence est inconnue. Le téléphone est compatible 5G, embarque 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage (extensibles jusqu’à 2 To via microSDXC) et présente un écran AMOLED 1080p de 6,36 pouces (environ 390 ppi, ratio de 20:9), recouvert d’une couche Gorilla Glass. La partie photo comprend deux capteurs, un grand angle de 50 MP et un ultra grand angle de 13 MP. Une caméra frontale grand angle est également présente, mais on n’en sait pas plus.

Le smartphone présente des dimensions de 158 × 74 × 9 mm, mais son poids n’est pas précisé. Il est disponible en trois couleurs : Snow White, Kaamos Black et The Orange. C’est cette dernière que la communication met surtout en valeur. On trouve aussi un lecteur d’empreintes latéral, du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.4.

L’annonce ne donne pas tous les détails techniques. Dans la FAQ, on peut d’ailleurs lire que le reste des informations sera donné durant le premier trimestre 2026. En revanche, on sait déjà que le Jolla DIT se distinguera par deux caractéristiques. D’une part, la batterie (de 5 500 mAh) sera remplaçable rapidement par retrait de la coque arrière (d’ailleurs personnalisable). D’autre part, l’appareil présente sur la tranche un Privacy Switch. Ce bouton permet de couper physiquement le Bluetooth, le micro ou encore les applications Android. Son comportement peut être modifié afin d’ajouter ou retirer des éléments.

Jolla indique dans la page du projet que le DIT est une émanation de la communauté : les principales décisions prises sur les caractéristiques ont fait l’objet d’un vote. Précisons également que Sailfish OS intègre MicroG pour permettre le fonctionnement des applications Android, qui peuvent être installées notamment via la boutique F-Droid.

Succès quasi immédiat du financement participatif

Jolla n’a pas mis directement en vente son modèle. L’entreprise voulait s’assurer en effet que la demande serait au rendez-vous. Elle a donc proposé un financement participatif le 5 décembre, avec un objectif initial de 2 000 précommandes au prix de 499 euros. Ce jalon a été atteint en moins de 48 heures. Jolla a donc décidé d’ajouter un deuxième lot de 2 000 précommandes, cette fois à 549 euros. L’objectif a également été atteint.

Actuellement, le nombre de précommandes dépasse les 5 200, le nouveau palier étant de 10 000 unités. Jolla précise d’ailleurs que ce nouveau plafond ne sera pas repoussé, même si l’objectif est rempli. Les personnes intéressées ont encore 20 jours pour précommander le DIT, via un paiement de 99 euros. Dans la FAQ, il est précisé que cette précommande peut être annulée et que la somme sera rendue.

Ce n’est pas la première fois que Jolla recourt au financement participatif. L’entreprise s’en était par exemple servi dès 2014 pour sa tablette.

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☕️ Viginum et Inria créent un prix de la recherche contre les manipulations de l’information

Le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères Viginum et l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Inria s’associent pour créer un prix distinguant chaque année des « travaux scientifiques européens de haut niveau » dans les « sciences du numérique appliquées à la lutte contre les manipulations de l’information (LMI) ».

Doté de 5 000 euros pour le prix du jury, 2 000 euros pour le prix de l’innovation et 1 000 euros pour le prix du jeune chercheur, le prix Viginum-Inria valorise des articles de scientifiques de l’Union européenne, publiés ou acceptés depuis moins de trois ans dans une revue ou une conférence scientifique nationale ou internationale. 


Les travaux doivent contribuer à l’amélioration de la détection, de l’analyse ou de la lutte contre les ingérences numériques étrangères, et peuvent relever d’une variété de disciplines (sciences des données, intelligence artificielle, sciences sociales computationnelles, traitement du signal, algorithmique et modélisation des réseaux).

Des chercheurs en noir et blanc regardent une fiole sur laquelle est écrit

L’appel à candidatures a ouvert ce 15 décembre et court jusqu’au samedi 14 février 2026 à minuit.

Les candidatures doivent être déposées sur la plateforme dédiée : pvi-lmi.sciencescall.org

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Jolla revient avec un nouveau smartphone sous Sailfish OS, le Do It Together

Joli Jolla
Jolla revient avec un nouveau smartphone sous Sailfish OS, le Do It Together

Jolla est de retour avec un nouveau smartphone, le Do It Together. Présenté comme une alternative européenne, le smartphone fait l’objet d’une campagne participative, dont les deux premiers jalons sont déjà atteints.

Sailfish OS est née des cendres du projet MeeGo, un système d’exploitation développé conjointement par Nokia et Intel. En 2011, Stephen Elop, responsable chez Microsoft, devient président de Nokia, il est décidé que l’avenir de l’entreprise passera entièrement par la plateforme Windows Phone. On connaît la suite : malgré des modèles globalement réussis et disposant de qualités certaines, les modèles Windows Phone ne rencontreront qu’un succès limité. La faute principalement au manque d’applications sur la boutique.

De fait, l’entreprise finlandaise Jolla, qui développe le système, a été fondée par un groupe d’anciens employés de Nokia, partis quand Stephen Elop est arrivé. Quelques modèles sont sortis directement avec la marque Jolla, mais Sailfish OS s’est surtout fait connaître comme alternative à Android, bien qu’avec une liste réduite d’appareils compatibles, comme le Xperia 10 II de Sony.

Avec le temps, Jolla s’est tourné vers d’autres domaines pour son système (basé sur Linux), notamment l’industrie automobile. L’entreprise est devenue rentable en 2021, presque dix ans après sa fondation, comme l’indiquait alors TechCrunch.

L’entreprise est de retour avec un tout nouveau modèle. Baptisé Do It Together (en opposition au Do It Yourself), le nouveau smartphone est présenté comme une alternative européenne aux grands noms de la tech, pratiquement tous américains. Fourni avec Sailfish OS 5, dernière révision stable du système, il se veut entièrement tourné vers la confidentialité et le respect de la vie privée.

Un bouton configurable pour la vie privée

La base technique du nouveau téléphone est centrée sur une puce Mediatek « hautes performances » dont la référence est inconnue. Le téléphone est compatible 5G, embarque 12 Go de mémoire et 256 Go de stockage (extensibles jusqu’à 2 To via microSDXC) et présente un écran AMOLED 1080p de 6,36 pouces (environ 390 ppi, ratio de 20:9), recouvert d’une couche Gorilla Glass. La partie photo comprend deux capteurs, un grand angle de 50 MP et un ultra grand angle de 13 MP. Une caméra frontale grand angle est également présente, mais on n’en sait pas plus.

Le smartphone présente des dimensions de 158 × 74 × 9 mm, mais son poids n’est pas précisé. Il est disponible en trois couleurs : Snow White, Kaamos Black et The Orange. C’est cette dernière que la communication met surtout en valeur. On trouve aussi un lecteur d’empreintes latéral, du Wi-Fi 6 et du Bluetooth 5.4.

L’annonce ne donne pas tous les détails techniques. Dans la FAQ, on peut d’ailleurs lire que le reste des informations sera donné durant le premier trimestre 2026. En revanche, on sait déjà que le Jolla DIT se distinguera par deux caractéristiques. D’une part, la batterie (de 5 500 mAh) sera remplaçable rapidement par retrait de la coque arrière (d’ailleurs personnalisable). D’autre part, l’appareil présente sur la tranche un Privacy Switch. Ce bouton permet de couper physiquement le Bluetooth, le micro ou encore les applications Android. Son comportement peut être modifié afin d’ajouter ou retirer des éléments.

Jolla indique dans la page du projet que le DIT est une émanation de la communauté : les principales décisions prises sur les caractéristiques ont fait l’objet d’un vote. Précisons également que Sailfish OS intègre MicroG pour permettre le fonctionnement des applications Android, qui peuvent être installées notamment via la boutique F-Droid.

Succès quasi immédiat du financement participatif

Jolla n’a pas mis directement en vente son modèle. L’entreprise voulait s’assurer en effet que la demande serait au rendez-vous. Elle a donc proposé un financement participatif le 5 décembre, avec un objectif initial de 2 000 précommandes au prix de 499 euros. Ce jalon a été atteint en moins de 48 heures. Jolla a donc décidé d’ajouter un deuxième lot de 2 000 précommandes, cette fois à 549 euros. L’objectif a également été atteint.

Actuellement, le nombre de précommandes dépasse les 5 200, le nouveau palier étant de 10 000 unités. Jolla précise d’ailleurs que ce nouveau plafond ne sera pas repoussé, même si l’objectif est rempli. Les personnes intéressées ont encore 20 jours pour précommander le DIT, via un paiement de 99 euros. Dans la FAQ, il est précisé que cette précommande peut être annulée et que la somme sera rendue.

Ce n’est pas la première fois que Jolla recourt au financement participatif. L’entreprise s’en était par exemple servi dès 2014 pour sa tablette.

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☕️ Viginum et Inria créent un prix de la recherche contre les manipulations de l’information

Le service de vigilance et de protection contre les ingérences numériques étrangères Viginum et l’Institut national de recherche en sciences et technologies du numérique Inria s’associent pour créer un prix distinguant chaque année des « travaux scientifiques européens de haut niveau » dans les « sciences du numérique appliquées à la lutte contre les manipulations de l’information (LMI) ».

Doté de 5 000 euros pour le prix du jury, 2 000 euros pour le prix de l’innovation et 1 000 euros pour le prix du jeune chercheur, le prix Viginum-Inria valorise des articles de scientifiques de l’Union européenne, publiés ou acceptés depuis moins de trois ans dans une revue ou une conférence scientifique nationale ou internationale. 


Les travaux doivent contribuer à l’amélioration de la détection, de l’analyse ou de la lutte contre les ingérences numériques étrangères, et peuvent relever d’une variété de disciplines (sciences des données, intelligence artificielle, sciences sociales computationnelles, traitement du signal, algorithmique et modélisation des réseaux).

Des chercheurs en noir et blanc regardent une fiole sur laquelle est écrit

L’appel à candidatures a ouvert ce 15 décembre et court jusqu’au samedi 14 février 2026 à minuit.

Les candidatures doivent être déposées sur la plateforme dédiée : pvi-lmi.sciencescall.org

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Scientists Thought Parkinson's Was in Our Genes. It Might Be in the Water

For decades, Parkinson's disease research has overwhelmingly focused on genetics -- more than half of all research dollars in the past two decades flowed toward genomic studies -- but a growing body of evidence now points to something far more mundane as a primary culprit: contaminated drinking water. A landmark study by epidemiologist Sam Goldman compared Marines stationed at Camp Lejeune in North Carolina, where trichloroethylene (TCE) had contaminated the water supply for approximately 35 years, against those at Camp Pendleton in California, which has clean water. Marines exposed to TCE at Lejeune were 70% more likely to develop Parkinson's. The latest research suggests only 10 to 15 percent of Parkinson's cases can be fully explained by genetics. Parkinson's rates in the US have doubled in the past 30 years -- a pattern inconsistent with an inherited genetic disease. The EPA moved to ban TCE in December 2024. The Trump administration moved to undo the ban in January.

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AmpereOne M Finally Appears - In The Oracle Cloud With A4

Back in July 2024, Ampere Computing announced AmpereOne M on their road-map for Q4'2024 to provide AmpereOne with 12 channel DDR5 memory compared to eight memory channels with the original AmpereOne processors. Then this past May the AmpereOne M SKUs were announced while Ampere Computing stated these "M" processors had been shipping since Q4 of last year. Since then we haven't seen or heard anything more about AmpereOne M nor the AmpereOne MX processors with up to 256 cores. Since then, the acquisition of Ampere Computing by SoftBank also was completed that made us wonder more about impacts to the roadmap and what hardware may or may not make it out to market. Well, today, we are finally seeing AmpereOne M availability in the public cloud with the new Oracle Cloud A4 instances...
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RAM, SSD, HDD : trois mois de flambée des prix, chiffrés en euros

Loin de nous l’idée de boucler sur les augmentations du prix de la RAM, mais il s’avère que ComputerBase a mis en ligne aujourd’hui quelques éléments factuels qui méritent qu’on s’y intéresse. Nos confrères ont quantifié les hausses observées depuis le 15 septembre, soit sur une période de trois mois... [Tout lire]
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Sur Amazon, les écrivains face à l’IA générative

AI book club
Sur Amazon, les écrivains face à l’IA générative

En déployant sur Kindle deux fonctionnalités appuyées sur de l’IA générative, Amazon ouvre de nouveaux débats sur les effets de ces technologies sur les œuvres littéraires, alors que la gestion de l’entreprise des textes générés par IA est déjà critiquée.

De nouvelles fonctionnalités alimentées à l’intelligence artificielle sur Kindle ! Le 10 décembre, au milieu d’autres annonces, Amazon indiquait ajouter à sa gamme de liseuses une fonctionnalité pour rattraper ce qui a déjà été lu, et une autre dédiée à surligner certains passages et obtenir des réponses sur le récit, « sans divulgâchage ».

Respectivement nommées « Story So Far » (l’histoire jusqu’ici) et « Ask this Book » (Demandez à ce livre), ces outils seront rendus disponibles d’ici la fin de l’année aux États-Unis sur l’application iOS de Kindle, puis début 2026 sur tous les appareils et les applications adaptées à Android. L’évolution soulève de nouvelles questions sur les droits des autrices et auteurs, alors que la gestion des outils et applications d’intelligence artificielle génératives par la plateforme de Jeff Bezos sont déjà critiqués par de multiples autrices et auteurs.

Un chatbot obligatoire dans les ouvrages de langue anglaise

Avec l’« assistant de lecture » Ask this Book, Amazon propose dans les faits un robot conversationnel intégré aux livres lus. Interrogé sur la possibilité, pour les écrivains qui le souhaiteraient, de retirer leurs œuvres de celles permettant de recourir à la fonctionnalité Ask this Book, un porte-parole d’Amazon a répondu au média spécialisé Publishers Lunch : « Pour garantir la cohérence de l’expérience de lecture, cette fonctionnalité est toujours activée et les auteurs ou éditeurs n’ont pas la possibilité de désactiver certains titres ».

Auprès du média, divers éditeurs et agents littéraires indiquent n’avoir pas été informés du déploiement de la fonctionnalité par Amazon, et avancent le besoin de réaliser des audits « légaux et techniques » pour comprendre les implications du déploiement de ces outils sur des œuvres soumises aux droits d’auteur.

Le lancement de fonctionnalités présentées uniquement d’un point de vue technique, malgré leurs potentielles retombées en termes de droits d’auteur, a déjà eu lieu, rappelle Writer Beware. En 2009, pour le Kindle 2, l’entreprise déployait par exemple une fonctionnalité de lecture automatique, qu’un représentant de la société décrivait en ces termes : « Ce ne sont pas des audiobooks. Le text to speech n’est qu’un logiciel qui fonctionne sur les équipements et lit du contenu. » À l’époque, les critiques des ayants-droits avaient été telles qu’Amazon avait finalement accepté de rendre l’outil optionnel.

La gestion de l’IA générative par Amazon, un enjeu à part entière

Au fil des trois dernières années, plus particulièrement, l’intelligence artificielle générative a créé tout un jeu de nouvelles questions. À l’échelle de l’industrie, il y a celle du droit des auteurs et autrices dont les œuvres ont été utilisées pour entraîner les modèles eux-mêmes, bataille autour de laquelle une soixantaine de plaintes ont été déposées rien qu’aux États-Unis, et au moins une dizaine d’autres en Europe.

Vis-à-vis d’Amazon, en revanche, les débats liés à l’IA se jouent plutôt du côté de certaines fonctionnalités : sur la plateforme d’auto-édition du géant de l’e-commerce, Kindle Direct Publishing (KDP), l’entreprise a publié en novembre un outil de traduction automatique, Kindle Translate. Celui-ci est présenté comme la fonctionnalité qui permettra aux autrices et auteurs de langue anglaise de toucher un public hispanophone ou germanophone, et inversement. Une pierre de plus dans le jardin des professionnels de la traduction, dont les métiers sont particulièrement touchés par l’apparition des outils d’IA générative.

Surtout, l’essentiel des frictions se concentrait jusqu’ici sur le fonctionnement de sa place de marché et sur la manière dont les œuvres atteignent leur public. Dès le lancement d’outils d’IA générative facilement utilisables par le grand public, le nombre de livres écrits grâce à, voire entièrement par IA a explosé. Dans certains cas, ils sont venus peupler de nouvelles niches de publication, comme celle des livres sur l’utilisation de ChatGPT entièrement écrits par ChatGPT.

Dans d’autres, en revanche, le nom de vraies écrivaines, dont celui de Sam Blake, nom de plume de Vanessa Fox O’Loughlin, s’est retrouvé accolé à celui de productions que celle-ci qualifie de « Sam Fakes », de « faible qualité » et générés par IA. Présidente du syndicat états-unien Society of Authors (SoA), cette dernière appelle Amazon à améliorer ses protections contre les « contrefaçons », alors que ces « faux » livres ont été commercialisés grâce à son nom. Depuis, les faux livres de Sam Blake ont vu le nom de leur autrice modifié, mais Amazon ne les a pas supprimés de sa plateforme, selon The Bookseller.

En 2023, une autre autrice, Jane Friedman, avait dû se battre pour obtenir d’Amazon le retrait d’ouvrages qui n’avaient pas été écrits par elle. Près de trois ans après ces premières alertes, la plateforme de vente de livres reste décrite comme remplie d’ouvrages d’ « AI slop », c’est-à-dire de « bouillie d’IA », susceptibles de tromper les consommateurs, tout en privant autrices et auteurs d’une partie des revenus qui auraient pu leur échoir sans cette concurrence automatisée.

Sur les sujets les plus sensibles, notamment ceux liés à divers troubles comme ceux de l’attention, des auteurs en appellent à la responsabilité éthique de l’entreprise à ne pas permettre à des contenus de désinformation de rester en ligne. Mais le modèle d’affaires de l’entreprise est tel qu’elle tire profit de chaque vente, indépendamment du contenu concerné, ce qui lui donne peu d’intérêt à agir concrètement.

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Législation sur l’IA : Donald Trump tente de préempter le sujet au détriment des États US

One state beyond
Législation sur l’IA : Donald Trump tente de préempter le sujet au détriment des États US

Plusieurs États américains sont en pleine réflexion pour légiférer sur l’IA ou même, comme la Californie, ont déjà voté une loi sur le sujet. La semaine dernière, Donald Trump a signé un décret qui prétend créer un cadre réglementaire fédéral qui prévaudrait sur les lois des États, suivant ainsi les volontés de l’industrie du secteur. La légalité de ce texte est contestée.

Donald Trump veut reprendre la main sur le volet législatif encadrant l’industrie de l’intelligence artificielle aux États-Unis. Dans un décret publié jeudi 11 décembre, le dirigeant des États-Unis assure « garantir un cadre politique national pour l’intelligence artificielle ».

« Il s’agit d’un décret qui ordonne à certains services de votre administration de prendre des mesures décisives pour garantir que l’IA puisse fonctionner dans un cadre national unique dans ce pays, plutôt que d’être soumise à une réglementation au niveau des États qui pourrait potentiellement paralyser le secteur », a affirmé à CNN le conseiller à la Maison Blanche, Will Scharf.

Le fédéral avant l’étatique, concernant l’IA

Dans son texte, Donald Trump insiste : « Mon administration doit agir avec le Congrès pour garantir l’existence d’une norme nationale peu contraignante, et non pas 50 normes étatiques discordantes », ajoutant que « le cadre qui en résulte doit interdire les lois étatiques qui entrent en conflit avec la politique énoncée dans le présent décret. Ce cadre doit également garantir la protection des enfants, empêcher la censure, respecter les droits d’auteur et préserver les communautés ».

Donald Trump vise ici les velléités des cinquante États qui forment son pays de légiférer localement. De fait, comme l’explique le média public NPR, des dizaines d’États ont déjà pris des décisions pour encadrer l’industrie de l’intelligence artificielle et ses conséquences. Ainsi, comme le recense la NCSL (une association non partisane de fonctionnaires composée de législateurs en exercice), « au cours de la session législative de 2025, les 50 États, Porto Rico, les Îles Vierges et Washington, D.C., ont présenté des projets de loi sur ce sujet cette année. Trente-huit États ont adopté ou promulgué une centaine de mesures cette année ».

David Sacks, membre de la « PayPal Mafia » et financeur de Palantir devenu son conseiller IA, affirmait sur X que « cette ordonnance ne signifie pas que l’administration contestera toutes les lois des États relatives à l’IA. Loin de là ». Mais il ajoutait tout de suite après que « l’accent est mis sur les lois étatiques excessives et contraignantes ».

Une demande du secteur et notamment d’OpenAI

Les entreprises étatsuniennes du secteur ont plusieurs fois plaidé en faveur d’une harmonisation des textes au niveau fédéral. Ainsi, OpenAI a, par exemple, envoyé une lettre ouverte au gouverneur californien Gavin Newsom en août dernier pour critiquer la nouvelle loi de l’État sur l’intelligence artificielle et son encadrement. « Les États-Unis sont confrontés à un choix de plus en plus urgent en matière d’IA : établir des normes nationales claires ou risquer un patchwork de réglementations étatiques », affirmait l’entreprise dans le billet de blog qui accompagnait la lettre.

Elle y faisait aussi une comparaison hasardeuse avec l’industrie spatiale dans les années 1960 : « imaginez à quel point il aurait été difficile de remporter la course à l’espace si les industries aérospatiales et technologiques californiennes avaient été empêtrées dans des réglementations étatiques entravant l’innovation dans le domaine des transistors ».

Une contestation possible devant les tribunaux

Mais les capacités législatives du décret pris par Donald Trump pourraient être remises en question. Selon NPR, « il est presque certain que ce décret sera contesté devant les tribunaux, et les chercheurs spécialisés dans les politiques technologiques affirment que l’administration Trump ne peut pas restreindre la réglementation des États de cette manière sans que le Congrès n’adopte une loi ».

Cette volonté de préemption du sujet par le niveau fédéral est critiquée par diverses associations concernées. « Empêcher les États d’adopter leurs propres mesures de protection en matière d’IA porte atteinte à leur droit fondamental de mettre en place des garde-fous suffisants pour protéger leurs résidents », estime Julie Scelfo, l’avocate de l’association Mothers Against Media Addiction, citée par la BBC.

Avec ce décret, « Donald Trump fait tout son possible pour prendre soin de ses amis et donateurs des grandes entreprises technologiques », affirme de son côté Robert Weissman, coprésident de Public Citizen. « Cette récompense accordée aux grandes entreprises technologiques est une invitation honteuse à un comportement irresponsable de la part des plus grandes entreprises mondiales et un mépris total des principes fédéralistes que Trump et MAGA prétendent vénérer », ajoute-t-il. Pour lui, « la bonne nouvelle, c’est que ce décret présidentiel n’est que du vent. Le président ne peut pas passer outre unilatéralement la législation des États ».

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Sur Amazon, les écrivains face à l’IA générative

AI book club
Sur Amazon, les écrivains face à l’IA générative

En déployant sur Kindle deux fonctionnalités appuyées sur de l’IA générative, Amazon ouvre de nouveaux débats sur les effets de ces technologies sur les œuvres littéraires, alors que la gestion de l’entreprise des textes générés par IA est déjà critiquée.

De nouvelles fonctionnalités alimentées à l’intelligence artificielle sur Kindle ! Le 10 décembre, au milieu d’autres annonces, Amazon indiquait ajouter à sa gamme de liseuses une fonctionnalité pour rattraper ce qui a déjà été lu, et une autre dédiée à surligner certains passages et obtenir des réponses sur le récit, « sans divulgâchage ».

Respectivement nommées « Story So Far » (l’histoire jusqu’ici) et « Ask this Book » (Demandez à ce livre), ces outils seront rendus disponibles d’ici la fin de l’année aux États-Unis sur l’application iOS de Kindle, puis début 2026 sur tous les appareils et les applications adaptées à Android. L’évolution soulève de nouvelles questions sur les droits des autrices et auteurs, alors que la gestion des outils et applications d’intelligence artificielle génératives par la plateforme de Jeff Bezos sont déjà critiqués par de multiples autrices et auteurs.

Un chatbot obligatoire dans les ouvrages de langue anglaise

Avec l’« assistant de lecture » Ask this Book, Amazon propose dans les faits un robot conversationnel intégré aux livres lus. Interrogé sur la possibilité, pour les écrivains qui le souhaiteraient, de retirer leurs œuvres de celles permettant de recourir à la fonctionnalité Ask this Book, un porte-parole d’Amazon a répondu au média spécialisé Publishers Lunch : « Pour garantir la cohérence de l’expérience de lecture, cette fonctionnalité est toujours activée et les auteurs ou éditeurs n’ont pas la possibilité de désactiver certains titres ».

Auprès du média, divers éditeurs et agents littéraires indiquent n’avoir pas été informés du déploiement de la fonctionnalité par Amazon, et avancent le besoin de réaliser des audits « légaux et techniques » pour comprendre les implications du déploiement de ces outils sur des œuvres soumises aux droits d’auteur.

Le lancement de fonctionnalités présentées uniquement d’un point de vue technique, malgré leurs potentielles retombées en termes de droits d’auteur, a déjà eu lieu, rappelle Writer Beware. En 2009, pour le Kindle 2, l’entreprise déployait par exemple une fonctionnalité de lecture automatique, qu’un représentant de la société décrivait en ces termes : « Ce ne sont pas des audiobooks. Le text to speech n’est qu’un logiciel qui fonctionne sur les équipements et lit du contenu. » À l’époque, les critiques des ayants-droits avaient été telles qu’Amazon avait finalement accepté de rendre l’outil optionnel.

La gestion de l’IA générative par Amazon, un enjeu à part entière

Au fil des trois dernières années, plus particulièrement, l’intelligence artificielle générative a créé tout un jeu de nouvelles questions. À l’échelle de l’industrie, il y a celle du droit des auteurs et autrices dont les œuvres ont été utilisées pour entraîner les modèles eux-mêmes, bataille autour de laquelle une soixantaine de plaintes ont été déposées rien qu’aux États-Unis, et au moins une dizaine d’autres en Europe.

Vis-à-vis d’Amazon, en revanche, les débats liés à l’IA se jouent plutôt du côté de certaines fonctionnalités : sur la plateforme d’auto-édition du géant de l’e-commerce, Kindle Direct Publishing (KDP), l’entreprise a publié en novembre un outil de traduction automatique, Kindle Translate. Celui-ci est présenté comme la fonctionnalité qui permettra aux autrices et auteurs de langue anglaise de toucher un public hispanophone ou germanophone, et inversement. Une pierre de plus dans le jardin des professionnels de la traduction, dont les métiers sont particulièrement touchés par l’apparition des outils d’IA générative.

Surtout, l’essentiel des frictions se concentrait jusqu’ici sur le fonctionnement de sa place de marché et sur la manière dont les œuvres atteignent leur public. Dès le lancement d’outils d’IA générative facilement utilisables par le grand public, le nombre de livres écrits grâce à, voire entièrement par IA a explosé. Dans certains cas, ils sont venus peupler de nouvelles niches de publication, comme celle des livres sur l’utilisation de ChatGPT entièrement écrits par ChatGPT.

Dans d’autres, en revanche, le nom de vraies écrivaines, dont celui de Sam Blake, nom de plume de Vanessa Fox O’Loughlin, s’est retrouvé accolé à celui de productions que celle-ci qualifie de « Sam Fakes », de « faible qualité » et générés par IA. Présidente du syndicat états-unien Society of Authors (SoA), cette dernière appelle Amazon à améliorer ses protections contre les « contrefaçons », alors que ces « faux » livres ont été commercialisés grâce à son nom. Depuis, les faux livres de Sam Blake ont vu le nom de leur autrice modifié, mais Amazon ne les a pas supprimés de sa plateforme, selon The Bookseller.

En 2023, une autre autrice, Jane Friedman, avait dû se battre pour obtenir d’Amazon le retrait d’ouvrages qui n’avaient pas été écrits par elle. Près de trois ans après ces premières alertes, la plateforme de vente de livres reste décrite comme remplie d’ouvrages d’ « AI slop », c’est-à-dire de « bouillie d’IA », susceptibles de tromper les consommateurs, tout en privant autrices et auteurs d’une partie des revenus qui auraient pu leur échoir sans cette concurrence automatisée.

Sur les sujets les plus sensibles, notamment ceux liés à divers troubles comme ceux de l’attention, des auteurs en appellent à la responsabilité éthique de l’entreprise à ne pas permettre à des contenus de désinformation de rester en ligne. Mais le modèle d’affaires de l’entreprise est tel qu’elle tire profit de chaque vente, indépendamment du contenu concerné, ce qui lui donne peu d’intérêt à agir concrètement.

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Législation sur l’IA : Donald Trump tente de préempter le sujet au détriment des États US

One state beyond
Législation sur l’IA : Donald Trump tente de préempter le sujet au détriment des États US

Plusieurs États américains sont en pleine réflexion pour légiférer sur l’IA ou même, comme la Californie, ont déjà voté une loi sur le sujet. La semaine dernière, Donald Trump a signé un décret qui prétend créer un cadre réglementaire fédéral qui prévaudrait sur les lois des États, suivant ainsi les volontés de l’industrie du secteur. La légalité de ce texte est contestée.

Donald Trump veut reprendre la main sur le volet législatif encadrant l’industrie de l’intelligence artificielle aux États-Unis. Dans un décret publié jeudi 11 décembre, le dirigeant des États-Unis assure « garantir un cadre politique national pour l’intelligence artificielle ».

« Il s’agit d’un décret qui ordonne à certains services de votre administration de prendre des mesures décisives pour garantir que l’IA puisse fonctionner dans un cadre national unique dans ce pays, plutôt que d’être soumise à une réglementation au niveau des États qui pourrait potentiellement paralyser le secteur », a affirmé à CNN le conseiller à la Maison Blanche, Will Scharf.

Le fédéral avant l’étatique, concernant l’IA

Dans son texte, Donald Trump insiste : « Mon administration doit agir avec le Congrès pour garantir l’existence d’une norme nationale peu contraignante, et non pas 50 normes étatiques discordantes », ajoutant que « le cadre qui en résulte doit interdire les lois étatiques qui entrent en conflit avec la politique énoncée dans le présent décret. Ce cadre doit également garantir la protection des enfants, empêcher la censure, respecter les droits d’auteur et préserver les communautés ».

Donald Trump vise ici les velléités des cinquante États qui forment son pays de légiférer localement. De fait, comme l’explique le média public NPR, des dizaines d’États ont déjà pris des décisions pour encadrer l’industrie de l’intelligence artificielle et ses conséquences. Ainsi, comme le recense la NCSL (une association non partisane de fonctionnaires composée de législateurs en exercice), « au cours de la session législative de 2025, les 50 États, Porto Rico, les Îles Vierges et Washington, D.C., ont présenté des projets de loi sur ce sujet cette année. Trente-huit États ont adopté ou promulgué une centaine de mesures cette année ».

David Sacks, membre de la « PayPal Mafia » et financeur de Palantir devenu son conseiller IA, affirmait sur X que « cette ordonnance ne signifie pas que l’administration contestera toutes les lois des États relatives à l’IA. Loin de là ». Mais il ajoutait tout de suite après que « l’accent est mis sur les lois étatiques excessives et contraignantes ».

Une demande du secteur et notamment d’OpenAI

Les entreprises étatsuniennes du secteur ont plusieurs fois plaidé en faveur d’une harmonisation des textes au niveau fédéral. Ainsi, OpenAI a, par exemple, envoyé une lettre ouverte au gouverneur californien Gavin Newsom en août dernier pour critiquer la nouvelle loi de l’État sur l’intelligence artificielle et son encadrement. « Les États-Unis sont confrontés à un choix de plus en plus urgent en matière d’IA : établir des normes nationales claires ou risquer un patchwork de réglementations étatiques », affirmait l’entreprise dans le billet de blog qui accompagnait la lettre.

Elle y faisait aussi une comparaison hasardeuse avec l’industrie spatiale dans les années 1960 : « imaginez à quel point il aurait été difficile de remporter la course à l’espace si les industries aérospatiales et technologiques californiennes avaient été empêtrées dans des réglementations étatiques entravant l’innovation dans le domaine des transistors ».

Une contestation possible devant les tribunaux

Mais les capacités législatives du décret pris par Donald Trump pourraient être remises en question. Selon NPR, « il est presque certain que ce décret sera contesté devant les tribunaux, et les chercheurs spécialisés dans les politiques technologiques affirment que l’administration Trump ne peut pas restreindre la réglementation des États de cette manière sans que le Congrès n’adopte une loi ».

Cette volonté de préemption du sujet par le niveau fédéral est critiquée par diverses associations concernées. « Empêcher les États d’adopter leurs propres mesures de protection en matière d’IA porte atteinte à leur droit fondamental de mettre en place des garde-fous suffisants pour protéger leurs résidents », estime Julie Scelfo, l’avocate de l’association Mothers Against Media Addiction, citée par la BBC.

Avec ce décret, « Donald Trump fait tout son possible pour prendre soin de ses amis et donateurs des grandes entreprises technologiques », affirme de son côté Robert Weissman, coprésident de Public Citizen. « Cette récompense accordée aux grandes entreprises technologiques est une invitation honteuse à un comportement irresponsable de la part des plus grandes entreprises mondiales et un mépris total des principes fédéralistes que Trump et MAGA prétendent vénérer », ajoute-t-il. Pour lui, « la bonne nouvelle, c’est que ce décret présidentiel n’est que du vent. Le président ne peut pas passer outre unilatéralement la législation des États ».

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