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Criminalité : Jordan Bardella souhaite faire de la France « le pays le plus répressif d’Europe »

On ne pourra pas dire qu'on ne savait pas : Si l'extrême-droite arrive au pouvoir, ça sera la violence.

Cet avertissement vous est offert par Jordan "ouin ouin la justice elle est méchante" Bardella : https://www.bfmtv.com/politique/front-national/condamnation-de-marine-le-pen-pour-jordan-bardella-c-est-la-democratie-francaise-qui-est-executee_AN-202503310397.html
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Les millions de visages du vivant

On la réduit souvent à quelques icônes attendrissantes — pandas, abeilles, ours polaires. Mais la biodiversité, c’est bien plus que cela : le tissu vivant du monde, du gène au champignon, du plancton à la baleine, où tout s’entremêle et se transforme.

Imaginez un instant que tous les pollinisateurs disparaissent. Au début… rien. Puis, petit à petit, plus de fruits, plus de café, plus de chocolat, ni de tomates, d’amandes ou de tournesols. Le monde végétal s’effondrerait, entraînant dans sa chute des milliers d’espèces animales — dont la nôtre. Cette expérience de pensée, volontairement extrême, illustre ce qu’est la biodiversité : non pas un simple inventaire d’espèces rares et menacées, mais l’immense toile d’interdépendances qui relie tous les êtres vivants.

Un mot jeune pour une réalité ancienne

Le terme « biodiversité » n’a que 39 ans. Il naît en 1986, lors d’une conférence au Smithsonian Institution, où les biologistes E. O. Wilson et Thomas Lovejoy cherchent un mot plus percutant que l’austère « diversité biologique ». Six ans plus tard, au Sommet de Rio, la biodiversité devient une vedette politique. Aujourd’hui, protéger la biodiversité équivaut à arborer sa vertu environnementale. Le mot rassure autant qu’il culpabilise. Mais sait-on qu’il recouvre trois dimensions imbriquées ?

Un surmulot dans la contrebasse

J’approfondis

La diversité génétique, d’abord : la variété des versions d’un même gène — appelées allèles — au sein d’une population. C’est elle qui explique que deux individus d’une même population ne réagissent pas de la même façon face à une maladie ou à un changement climatique. Elle permet la sélection naturelle, l’une des forces principales de l’évolution du vivant.

Vient ensuite la diversité spécifique, qui désigne la richesse en espèces d’un milieu donné : une forêt tropicale, une prairie alpine, un récif corallien. C’est le niveau le plus médiatisé, mais compter les espèces ne suffit pas. Un écosystème avec cinquante espèces redondantes — qui font toutes la même chose — peut être plus fragile qu’un autre avec vingt espèces complémentaires. Ce qui compte, ce n’est pas seulement combien d’espèces, mais lesquelles, et ce qu’elles font.

Enfin, la diversité écosystémique, celle des milieux eux-mêmes : forêts, zones humides, océans, mangroves, déserts, toundras. Chaque type d’écosystème joue un rôle spécifique dans les grands équilibres planétaires.

C’est la combinaison de ces trois niveaux — gènes, espèces, écosystèmes — qui fait la résilience du vivant. Mais pour comprendre cette mosaïque, encore faut-il s’entendre sur sa brique de base : l’espèce.

Cas d’espèces

L’ornithologue est aux aguets, jumelles rivées sur le parc du Marquenterre. « Plumage blanc, bec aplati, cou tendu… c’est une spatule blanche ! Cou replié en S, bec pointu… héron cendré ! »

Oiseaux des villes, oiseaux des champs

J’approfondis

Derrière cette routine d’apparente simplicité se cache l’un des plus grands casse-têtes de la biologie : la notion d’espèce. Depuis trois siècles, on part d’un principe simple : si deux individus se ressemblent, c’est la même espèce.

C’est la définition typologique, formalisée au XVIIIᵉ siècle par Carl von Linné, le grand architecte de la classification du vivant. Facile, pratique, elle reste celle que nous utilisons pour ranger le monde : chaque oiseau dans sa case, chaque plante dans son tiroir.

Sauf que la nature se moque de nos étiquettes. Les canards colverts, par exemple, affichent deux plumages radicalement différents : monsieur, vert émeraude ; madame, brun tacheté. Deux « espèces » selon le critère visuel ? Non : simplement deux variations d’une même espèce. Dans la nature, les différences au sein d’une même espèce peuvent être aussi marquées — voire davantage — que celles qui séparent deux espèces voisines. Le critère de ressemblance s’effondre dès qu’on l’examine de près.

Inclassables

Il a fallu attendre Darwin pour comprendre que le vivant ne se contente pas d’être classé : il évolue. Les espèces changent, se transforment, se séparent, se recombinent. La nature n’est pas un musée, mais un processus en marche.

À cette approche morphologique, les biologistes ont ajouté un critère plus solide : la reproduction. Deux individus appartiennent à la même espèce s’ils peuvent se reproduire et donner une descendance fertile. C’est la définition dite biologique, formulée par Ernst Mayr en 1942 : « Les espèces sont des groupes de populations naturelles qui s’accouplent réellement ou potentiellement entre elles et qui sont isolées reproductivement des autres groupes similaires. »

Mais là encore, la règle se fissure : comment l’appliquer aux fossiles ? Aux organismes clonés ? Aux plantes qui se reproduisent sans partenaire ? Et que faire des hybrides, ces « bâtards » viables mais stériles, comme le mulet ? La réalité biologique est toujours plus nuancée que la théorie.

Depuis les années 1950, de nouvelles définitions sont venues enrichir le débat : phylogénétique, pour retracer l’histoire évolutive d’un groupe, ou écologique, centrée sur le rôle d’un organisme dans son milieu. Résultat : il existe aujourd’hui plus de vingt manières différentes de définir l’espèce. Loin d’être une vérité biologique, l’espèce est avant tout un outil pratique, un découpage commode du vivant. Utile pour penser la biodiversité, certes, mais incapable d’en saisir toute la complexité.

Et si, au-delà des espèces que nous connaissons, le vivant se cachait surtout dans ce que nous ne voyons pas ?

Le vivant invisible

Environ deux millions d’espèces ont été décrites scientifiquement. Les estimations totales oscillent entre 8,7 millions et 100 millions. Autrement dit, nous n’en connaissons qu’une infime partie. Car l’essentiel de la biodiversité nous échappe : elle est invisible. Sous nos pieds, dans l’océan, sur notre peau, vivent des milliards d’organismes dont dépend la vie sur Terre.

Une cuillère à café de sol forestier contient environ un milliard d’organismes — autant que d’humains en Chine ou en Inde. Bactéries, champignons, protozoaires, nématodes : une armée silencieuse qui recycle la matière organique, fixe l’azote, nourrit les plantes. Sans eux, pas de forêt. Sans eux, pas de vie terrestre. Et selon une étude publiée dans PNAS, 99,999 % des espèces microbiennes restent inconnues.

Dans l’océan, le phytoplancton assure à lui seul la moitié de la photosynthèse planétaire. Ces microalgues forment la base de la chaîne alimentaire marine, nourrissant le zooplancton, les poissons, les baleines, les oiseaux… et nous. Mais ce pilier invisible est fragile : l’acidification et le réchauffement des eaux réduisent déjà sa productivité, menaçant la pompe à carbone naturelle des océans.

Les champignons, eux, sont les grands oubliés. On en connaît 150 000 espèces, mais il en existerait vingt fois plus. Ce sont eux qui décomposent la matière morte, qui nourrissent les racines des plantes, qui relient les arbres entre eux via un réseau souterrain — le fameux wood wide web. Sans champignons, les forêts meurent.

Même notre corps est un écosystème : il abrite autant de bactéries que de cellules humaines. Notre microbiote digère, synthétise, régule. Quand cet équilibre se rompt, les maladies apparaissent.

La biodiversité, ce n’est donc pas l’arche de Noé, mais un réseau invisible de milliards de connexions dont dépend la vie. Une dynamique où l’évolution, la coopération et la transformation écrivent sans cesse de nouveaux équilibres.

Protéger les pandas, c’est bien. Protéger les bactéries du sol, le phytoplancton ou les champignons, c’est vital. Car derrière cette diversité d’êtres et de fonctions se cache une mécanique plus vaste encore : l’usine du vivant, la machinerie silencieuse qui fait tourner la planète.

Grande série biodiversité, à retrouver tous les mardis sur lel.media !

Épisode précédent : Le vivant dans tous ses états

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Espérance banlieues : comment "l'arrondi en caisse" finance l'extrême-droite suprémaciste

« La fondation Espérance banlieues s’est récemment associée au groupe Casino (Franprix, Monoprix, Naturalia, Leader Price), pour l’opération « arrondi en caisse » : à en croire les communicants, les micro dons financeront des écoles au cœur des quartiers prioritaires (privées hors contrat), favorisant le parcours éducatif d’enfants en difficulté.
Ce que la communication ne dit pas, c’est que Espérance Banlieue est un des volets de la Fondation pour l’école (FPE) qui soutient un réseau d’écoles privées catholiques traditionalistes et hors contrat. »
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Électroscope #1 : des robots, de l’énergie et des supersoniques

Désormais, chaque lundi, Les Électrons Libres vous propose un tour d’horizon des nouvelles électrisantes qui secouent le monde de la tech et œuvrent en faveur d’un progrès à même de changer votre quotidien. C’est parti pour le premier numéro d’Électroscope !

Neo ! L’élu de la maison !

Un fantasme de SF devenu réalité ! Apprêtez-vous à accueillir le petit Neo, votre futur robot d’intérieur. Accessible pour 20 000 dollars en achat direct ou 499 dollars par mois en location, il arrive dès 2026 aux États-Unis, avec une précommande ouverte sur le site de la start-up d’origine norvégienne*, 1X Technologies, qui l’a conçu.

1,68 mètre, des biceps pleins les manches, il peut soulever jusqu’à 70 kg alors qu’il en pèse à peine 30. Il plie le linge, range les courses, arrose les plantes, vide le lave-vaisselle et nettoie les surfaces, alimenté par une batterie affichant quatre heures d’autonomie. Dirigé par la voix ou via une application, il fonctionne en Wi-Fi, Bluetooth ou 5G, mais parle hélas avec le charme d’un réfrigérateur constipé.

Quand une tâche dépasse ses capacités, le mode Expert active un opérateur humain en réalité virtuelle. Ce dernier voit et entend à travers le robot, le guide, puis l’IA intègre la nouvelle compétence.

Mais on ne va pas vous mentir : notre petit robot n’est pas encore le nec plus ultra, et son système d’intervention externe pose un vrai problème de respect de la vie privée, même s’il ne peut s’enclencher sans l’accord explicite de son propriétaire. Il reste par ailleurs un produit d’intérieur sur sol dur, à l’étanchéité douteuse, et encore incapable de vous préparer ne serait-ce qu’un œuf dur.

Mais ne le dénigrez pas : il représente la première génération d’une révolution mise à la portée de tous, encore totalement inenvisageable il y a dix ans. Et ce, dans un contexte d’accélération exponentielle du progrès.

L’informatique personnelle a mis trente ans entre la divulgation d’ordinateurs aux compétences faméliques et la production de supercalculateurs domestiques, quand la téléphonie mobile n’en a eu besoin que de quinze pour passer de l’ancestral Nokia 1011 à l’iPhone. En à peine trois ans, l’IA a totalement remodelé notre quotidien.

En 2022, après la sortie du premier opus de ChatGPT, nombreux étaient sceptiques, se moquant des capacités de la bête. Depuis, chaque jour est l’occasion du lancement d’un nouveau modèle d’intelligence artificielle qui ringardise le précédent. Nous n’en sommes qu’à l’Antiquité de ces domaines. Mais une Antiquité qui glissera vers l’ère moderne à la vitesse de la lumière.

Prêt à parier que, d’ici cinq ans, Neo sera au robot domestique ce que Lucy est à l’être humain ?

Comme trop de start-up européennes, 1X Technologies a eu besoin de s’expatrier aux États-Unis pour bénéficier des capitaux permettant son développement. À quel moment notre continent réagira-t-il pour ne pas voir toutes ses pépites innovantes s’exiler ?

Epyr ? Le meilleur du renouvelable !

Un pas de géant pour l’énergie verte ? C’est la promesse d’Epyr, jeune start-up française née fin 2024, qui vient de lancer sa première unité industrielle à Troyes.

Le but ? Capter l’électricité renouvelable (solaire ou éolienne) lors des surplus de production, quand les prix sont bas ou négatifs, et la convertir en chaleur via des résistances électriques. Elle est ensuite stockée dans des briques réfractaires de céramique à haute performance, à des températures allant de 100 à 400 °C, à l’intérieur d’un conteneur isolé. À la demande, elle est restituée pour remplacer les chaudières tournant au gaz ou au fioul.

Cela cible les secteurs de la papeterie, de la chimie et de l’agro-industrie, responsables de 25 % de la consommation énergétique mondiale, majoritairement fossile.

Modulaire et rapide à déployer, l’unité troyenne n’est qu’un début : de cinq à dix sites sont envisagés dès l’an prochain. Une preuve qu’il est possible de stocker les énergies renouvelables à grande échelle sans attendre la batterie miracle.

En deux ans, Epyr pourrait bien réchauffer l’industrie sans une once de fossile.

Pour mieux comprendre Epyr

Le murmure d’un nouveau Concorde ?

Un silence plus rapide que le son ! Voilà l’avion supersonique X-59 de Lockheed Martin Skunk Works. Le 28 octobre, il a décollé de Palmdale, en Californie, pour son premier vol, piloté par Nils Larson pour la NASA. Il a tenu l’air une heure et sept minutes à 370 km/h, atterrissant sans un bruit suspect sur la base d’Edwards.

Son secret ? Un fuselage effilé de 29,5 mètres, un nez de 12 mètres qui brise les ondes de choc, un moteur GE F414 et un système de vision externe remplaçant la verrière. Résultat : un bang supersonique réduit à un simple « thump » de 75 décibels, comparable à une porte qui claque.

Reste aux promoteurs de ce bijou à convaincre la Federal Aviation Administration de lever l’interdiction des vols commerciaux supersoniques au-dessus des terres, en vigueur depuis 1973. Avec 518 millions de dollars investis par la NASA, dont 247,5 millions pour le contrat initial avec Lockheed Martin, l’investissement est lourd pour un démonstrateur unique. Mais il pourrait ouvrir un marché de plusieurs milliards si la réglementation suit.

Les prochaines étapes consistent à pousser l’avion jusqu’à Mach 1,4 et à tenter le survol de villes pour tester la tolérance des riverains. Si les données convainquent, le voyage New York–Londres pourrait tomber sous les quatre heures.

Le supersonique civil, mort avec Concorde, renaît en chuchotant — même si la question du bilan carbone demeure à étudier.

Chaleur record, énergie propre !

Mazama Energy, start-up née sous l’aile de Khosla Ventures et de Bill Gates, vient de battre le record mondial de la température la plus élevée jamais atteinte dans un système géothermique : 331 °C !

Comment ? En reprenant un vieux puits à Newberry, dans l’Oregon, comme injecteur, pour en forer un nouveau à 3 109 mètres de profondeur avec une précision chirurgicale. La roche sèche est ensuite activée par la technologie Thermal Lattice pour former un réservoir artificiel. Cette approche s’appuie sur une activation séquentielle, dépassant largement la fracturation hydraulique traditionnelle.

L’eau injectée se chauffe au contact de la pierre brûlante, remonte en vapeur et alimente une turbine. Il en découle une énergie propre, stable, disponible 24 h/24, indépendante du vent ou du soleil — une aubaine pour l’alimentation des data centers d’IA.

Le géothermique profond, longtemps bloqué par la quête de la chaleur extrême et par ses coûts, entre dans une nouvelle ère. Mazama prouve que l’on peut forer, fracturer et produire à l’échelle industrielle — et à une température record.

Pour en savoir plus

L’IA ne boit pas la tasse !

AWS, la filiale de cloud computing d’Amazon, vient de lancer le Project Rainier, un méga-cluster d’IA réunissant des centaines de milliers de puces Trainium2, réparties sur plusieurs data centers américains. D’ici fin décembre, Anthropic — le créateur du LLM Claude — en fera tourner un million.

Elles permettront d’obtenir cinq fois plus de puissance qu’auparavant pour entraîner des modèles géants, gérer des contextes d’un nombre incalculable de mots et répondre en temps réel.

L’autre bénéfice ? La dépense en eau, si souvent mise en accusation par les pourfendeurs de l’IA. Chaque puce Trainium2 est optimisée pour les calculs et traite les données sans attente, produisant moins de chaleur. La facture thermique est réduite de 30 à 40 %, et le bénéfice hydrique est considérable.

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Une sage-femme voit ses comptes Facebook et Instagram supprimés après s'être exprimée dans un reportage sur l'IVG

Les fachos, les réacs et les intégristes comptent sur le fait que la modération sur les réseaux sociaux des GAFAMs, c'est de la merde.
Ces signalements seraient arrivés sur le Fediverse, ça aurait fait plouf.
Pour la liberté d'expression, il est urgent de quitter les réseaux des GAFAMs.
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Bridge returned error 0! (20394)

See https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html for description of the curl error code.

Details

Type: HttpException
Code: 0
Message: cURL error Resolving timed out after 5000 milliseconds: 28 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/app.bsky.actor.getProfile?actor=did%3Aplc%3Atoudj53egawswz2ypw3zyn2u
File: lib/http.php
Line: 185

Trace

#0 index.php(73): RssBridge->main()
#1 lib/RssBridge.php(39): RssBridge->{closure}()
#2 lib/RssBridge.php(37): BasicAuthMiddleware->__invoke()
#3 middlewares/BasicAuthMiddleware.php(13): RssBridge->{closure}()
#4 lib/RssBridge.php(37): CacheMiddleware->__invoke()
#5 middlewares/CacheMiddleware.php(44): RssBridge->{closure}()
#6 lib/RssBridge.php(37): ExceptionMiddleware->__invoke()
#7 middlewares/ExceptionMiddleware.php(17): RssBridge->{closure}()
#8 lib/RssBridge.php(37): SecurityMiddleware->__invoke()
#9 middlewares/SecurityMiddleware.php(19): RssBridge->{closure}()
#10 lib/RssBridge.php(37): MaintenanceMiddleware->__invoke()
#11 middlewares/MaintenanceMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#12 lib/RssBridge.php(37): TokenAuthenticationMiddleware->__invoke()
#13 middlewares/TokenAuthenticationMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#14 lib/RssBridge.php(34): DisplayAction->__invoke()
#15 actions/DisplayAction.php(54): DisplayAction->createResponse()
#16 actions/DisplayAction.php(89): BlueskyBridge->collectData()
#17 bridges/BlueskyBridge.php(163): BlueskyBridge->getProfile()
#18 bridges/BlueskyBridge.php(606): getContents()
#19 lib/contents.php(104): CurlHttpClient->request()
#20 lib/http.php(185)

Context

Query: action=display&bridge=BlueskyBridge&data_source=getAuthorFeed&user_id=tristankamin.bsky.social&feed_filter=posts_and_author_threads&include_reposts=on&format=Atom
Version: 2025-08-05 (git.master.9e24ad8)
OS: Linux
PHP: 8.2.29

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Halloween à Montpellier : fascistes et néonazis contre la culture | Reflets.info

« Une opération obscurantiste impulsée par le média d’extrême droite Frontières contre le prétendu « satanisme », »

Je vais me répéter mais : L'extrême-droite est fortement compatible avec l'intégrisme.
Et en ce sens, elle est très similaire aux Islamistes : Des menaces de mort pour soit-disant défendre leurs religions.
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Etats-Unis: de très grosses annonces cette semaine sur des investissements majeurs dans les gros réacteurs AP1000 de Westinghouse, et aussi les SMR. P...

Valerie Faudon @valeriefaudon.bsky.social posted:
Etats-Unis: de très grosses annonces cette semaine sur des investissements majeurs dans les gros réacteurs AP1000 de Westinghouse, et aussi les SMR. Petit thread récapitulatif de toutes les informations glanées. On attend plus de précisions. 1/n

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87 % des viols hors cadre familial sont commis par des hommes français... Pourquoi l'extrême droite préfère le mensonge utile de l'agresseur étranger - La chronique féministe de Violaine de Filippis Abate - 28 octobre 2025 | L'Humanité : lire, agir

Je pose ça là : « 82 % des viols conjugaux et 87 % des viols hors cadre familial sont commis par des hommes français. Mais ça, bien sûr, l’extrême droite ne le calcule jamais dans ce sens-là et préfère le mensonge utile de l’agresseur étranger. »
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Première utilisation massive de la reconnaissance faciale pour distinguer citoyens et non-citoyens dans l'espace public : les agents américains scannent les visages des passants pour vérifier leur citoyenneté

Une purin de dystopie est en train de se mettre en place aux USA : Des agents du gouvernement portant des caméras scannent les visages des passants et en déportent certains. Avec des erreurs avérées de la reconnaissance faciale. Et les agents de ICE parfois ignorent les cartes d'identité au profit du résultat de la reconnaissance faciale.
La reconnaissance faciale a toujours été présentée comme une technologie pour protéger les citoyens. Maintenant, cette technologie met en danger tout le monde, y compris les citoyens américains "qui n'ont rien à se reprocher".
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