Woao l'IA ça a l'air de vachement bien se passer, dites donc !
« Pour y accéder, diverses possibilités : une offre gratuite, une offre « SuperGrok » à 30 dollars par mois, et une nommée « SuperGrok Heavy » à 300 dollars par mois. »
Ah ouais quand même !
« Les différentes versions permettent toutes d’accéder à des « compagnons », des personnages animés actuellement au nombre de deux (Bad Rudy, un panda roux aux réponses volontairement méchantes, et Ani, une femme blonde dans un style d’anime japonais, prompte à enlever sa robe pour montrer sa lingerie). »
Ah bah oui, des nibards, c'est vraiment l'argument ultime qui manquait pour bien vendre de l'IA ! 😂
« Demandez à Grok 4 Heavy de vous donner son nom, il vous répondra, sans hésiter, et à plusieurs reprises : Hitler. »
à 300 dollars par mois, ça vaut coup, hein !
« Pour Riley Goodside, il est probable que la machine ait été influencée après son entraînement par les résultats qu’elle est allée chercher en ligne. Cela suggérerait l’existence d’une faille d’un nouveau genre pour tous les modèles de langages recourant à de la recherche en ligne, dans laquelle les articles les concernant pourraient influencer leurs résultats, dans une boucle de rétroaction complexe à maîtriser. »
Les IA influencées par ce que vous leur demandez et les résultats des recherches elles-mêmes ! 😄
« L’enjeu est d’autant plus important qu’au moment même où Elon Musk dévoilait les « compagnons » accessibles depuis Grok 4, xAI déclarait avoir signé un contrat avec le ministère états-unien de la Défense »
Une IA facho au service d'un état facho, c'est cohérent. (Permalink)
La nouvelle version de RimWorld est sortie, avec son DLC Odyssey. Je n'ai pas encore osé m'y remettre, mais cette mise à jour a l'air énorme !
RimWorld reste vraiment dans mon TOP6 de mes jeux préférés. (Permalink)
CNews MENT et invente des pillages organisés par des jeunes issus de l'immigration pendant les incendies de Marseille.
Ce n'est plus du journalisme : C'est un organe de propagande au service d'une idéologie raciste. Qui devrait être traité comme tel. (Permalink)
Page 23 du rapport : "Microsoft France n’est pas en mesure de garantir la souveraineté des données des citoyens français qu’elle héberge."
Pour le dire autrement : Les américains peuvent mettre le nez quand ils veulent dans les données de tous les européens, quel que soit le contrat signé ou non avec Microsoft, quelles que soient les promesses de Microsoft, et même si les serveurs sont sur le sol européen.
Autrement dit : Microsoft est de facto en violation directe avec le droit européen (RGPD).
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: ÇA ALORS
Quoted post from Orynick@orynick.fr: Vous avez vu ?
Les gaziers et les défenseurs du tout renouvelable (mais avec du gaz) sont main dans la main contre la révision du coefficient d'énergie primaire.
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: La création du quai "aux dépens de la transition verte" alors que sa raison d'être seraient entièrement centrée sur la facilitation de la logistique de l'éolien offshore (et peut-être un jour de l'hydrolien 🤭).
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: Faut vraiment que les médias laissent les journalistes qui écrivent les articles écrire aussi le titre. actu.fr/normandie/ch...
C'est bien de mettre un mot dessus : Tous les médias et les sociétés d'IA nous présentent l'IA comme inévitable. C'est une manière de décaler le discours de "Est-ce que c'est le futur ?" à "C'EST LE FUTUR, AH ! COMMENT TU VAS T'ADAPTER, HEIN ???". C'est une sorte de fenêtre d'Overton technologique.
Sauf que ce futur n'est pas inévitable. Du tout. (Permalink)
Les filles réussissent mieux que les garçons à l’école. Pourtant, elles sont moins nombreuses dans les filières scientifiques les plus rémunératrices. Une spécificité des pays censés être égalitaires comme la France, alors qu’elles s’y précipitent dans les nations où leurs droits sont restreints.
Ce phénomène, connu sous le nom de gender equality paradox, a été mis en lumière par plusieurs études internationales. Il désigne une réalité contre-intuitive : plus les femmes ont de droits, moins elles sont nombreuses à choisir des filières STEM (sciences, technologie, ingénierie, mathématiques). À l’inverse, dans des pays où les filles affrontent de lourds obstacles culturels, sociaux ou religieux pour accéder à l’éducation, comme en Inde ou dans certains États du Moyen-Orient, elles sont plus nombreuses à viser les filières techniques.
Quand l’orientation devient un levier d’émancipation
Dans les contextes où les femmes ont peu de marges de manœuvre, la réussite professionnelle n’est pas une option parmi d’autres, mais une nécessité vitale. Une carrière dans un secteur stratégique devient un moyen d’échapper à un destin assigné : mariage précoce, dépendance économique, violences, impossibilité de divorcer. Le choix d’une filière n’est pas guidé par la passion, mais par une stratégie de survie. La liberté prend ici la forme d’une réponse pragmatique à des contraintes très concrètes.
Faut-il alors, dans les pays égalitaires comme le nôtre, rendre la vie des femmes plus difficile pour les inciter à mieux s’orienter ? Bien sûr que non. Imposer une quelconque norme aux jeunes filles n’a aucune chance d’être productif. Mais ce paradoxe mérite qu’on s’y arrête. Car quand la liberté de choix perpétue de subtiles inégalités, ces dernières échappent à l’analyse… et aux politiques censées les corriger.
Depuis des années, les féministes alertent sur les inégalités salariales. En France, elles restent structurelles. En moyenne, une femme gagne encore 22 % de moins qu’un homme. Et cet écart monte à 42 % dans les couples hétérosexuels après l’arrivée des enfants. La répartition des rôles dans le couple repose fréquemment sur une inégalité initiale. Quand l’un des deux gagne plus, il paraît logique de privilégier sa carrière — surtout quand il faut gérer les contraintes liées à la parentalité. Souvent, ce sont alors les femmes qui réduisent ou adaptent leur activité. Résultat : en cas de séparation, ce sont elles qui se retrouvent en insécurité économique, avec une carrière en suspens, ralentie… ou interrompue.
L’urgence d’un choix éclairé
Il ne s’agit évidemment pas de dire aux jeunes filles qu’elles doivent choisir leur voie uniquement en fonction du salaire. Les métiers du soin, de l’éducation ou du social, dans lesquels elles sont largement représentées, sont parmi les plus utiles à notre société. Mais pour faire un choix éclairé, encore faut-il disposer de toutes les informations. Cela suppose d’intégrer, sans tabou, les réalités économiques : niveaux de salaire, possibilités d’évolution, accès aux postes à responsabilité, potentiel entrepreneurial.
Dans l’ingénierie informatique, le salaire moyen atteint 3 800 euros nets par mois. Dans le travail social, il se situe entre 1 800 et 2 100 euros. Et si les femmes sont majoritaires dans les filières de biologie (56 %), elles ne dirigent que 18 % des entreprises du secteur des biotechnologies. En droit, elles sont plus nombreuses que les hommes à l’université, mais absentes des segments les plus lucratifs. Elles sont majoritaires dans les affaires familiales, bien moins rémunérées, tandis que les hommes privilégient le droit des affaires.
L’enjeu n’est donc pas seulement d’intégrer un domaine, mais aussi de choisir les bons espaces de spécialisation à l’intérieur de chaque filière.
Le poids de la culture : entre dévouement et effacement
Dans notre société judéo-chrétienne, la figure féminine a longtemps été associée à des rôles de dévouement, de sacrifice, de soin, à l’image de la Vierge Marie ou des saintes compatissantes. Cette culture valorise la femme nourricière, éducatrice, soignante, celle qui s’efface au profit des autres. Une vision étonnamment reprise par certains courants féministes contemporains, en opposition à une supposée ambition masculine prédatrice. Les petites filles seraient-elles des êtres trop fragiles pour leur inculquer un certain esprit de compétition ? Leur valeur ne peut-elle s’exprimer que dans le soutien à d’autres, plutôt que dans l’affirmation de leur puissance individuelle et de leur ambition ?
Infirmières, enseignantes, assistantes sociales… si ces métiers sont mal rémunérés, ce n’est pas parce qu’ils sont féminisés, mais parce que le marché du travail obéit à des logiques économiques complexes, notamment de rentabilité, de rareté des compétences ou de poids des responsabilités. Un homme aide-soignant ne sera pas mieux payé qu’une femme. Un professeur d’université subit les mêmes effets de déclassement de l’enseignement supérieur que ses consœurs.
Favoriser un meilleur accès des femmes aux secteurs porteurs en termes de revenus, d’innovation, d’entrepreneuriat, de pouvoir économique, est plus réaliste que d’appeler de ses vœux la revalorisation des métiers féminisés.
Une ambition à libérer, un discours à repenser
Il n’est pas question de dicter une voie aux jeunes filles, mais de réhabiliter l’ambition féminine. Affirmer haut et fort que viser un bon salaire, un poste à responsabilité ou une carrière dans un secteur stratégique n’est pas une trahison de soi, mais un acte de liberté. La science, l’innovation, l’entrepreneuriat sont, eux aussi, des formes d’engagement au service des autres : ils permettent de répondre aux besoins de la société, d’améliorer la santé, le confort, l’environnement.
Revaloriser ces chemins, c’est offrir aux filles la possibilité de penser leur avenir dans toutes ses dimensions. Souhaitent-elles avoir des enfants ? Combien ? Veulent-elles voyager, vivre en ville, ou s’assurer une sécurité économique sans dépendre d’un partenaire ?
Dans les pays où les femmes peuvent théoriquement tout faire, on oublie parfois que la liberté ne vaut que si l’on cueille ses fruits. Les conquêtes féministes passent par la conquête du monde. Notamment scientifique.
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Après avoir perdu 60 milliards de dollars dans le Metaverse, Zuck veut mettre des centaines de milliards de dollars dans une technologie pour laquelle absolument tous ses concurrents perdent de l'argent à grande vitesse.
Ils veulent tous avoir une plus grosse quéquette que le voisin mais ils ne réalisent pas qu'ils sont juste tous en train de se pisser sur les godasses. C'est pas moi qui irai nettoyer. (Permalink)
La compression "ultra" de 7-Zip s'utilise comme suit:
🖥️ 7zz a -mx=9 archive.7z répertoire
Mais on peut faire encore mieux. Pour une compression maximale à des fins d'archivage, j'utilise:
🖥️ 7zz a -snl -t7z -m0=lzma2 -mx=9 -myx=9 -mfb=257 -md=1024m -ms=on -mmt=off archive.7z répertoire
Attention, cette solution a des inconvénients:
- 7-Zip fonctionne alors en mono-threadé (-mmt=off). La compression prend donc *beaucoup* plus de temps (et la décompression un peu plus de temps).
- La compression consomme environ 10 Go de RAM, et la décompression 1 Go.
1 Go me semble raisonnable pour les machines d'aujourd'hui.
Si vous voulez aller un peu plus vite, on peut passer à 4 threads avec :
🖥️ 7zz a -snl -t7z -m0=lzma2 -mx=9 -myx=9 -mfb=257 -md=512m -ms=on -mmt=4 archive.7z répertoire
Cette solution consomme 11 Go de RAM à la compression, et compresse légèrement moins bien.
Dans certains cas, 7-Zip ne pourra pas faire mieux que zpaq. Je vous encourage à tester les deux.
🖥️ zpaq a archive.7z répertoire -m4
Notez qu'on peut obtenir des taux de compression supérieurs (zpaq -m5, freearc ou paq8hp5) mais dans ce cas les temps de compression (*et* de décompression) s'envolent (vraiment). (Permalink)
Ça va soit faire de la merde (détruire la vie privée), soit faire un flop (personne ne l'utilisera) et ça va donc tomber dans l'oubli.
Certitude que ça foire : 100%. (Cause : https://sebsauvage.net/links/?_VG_Aw) (Permalink)
Message: cURL error Resolving timed out after 5000 milliseconds: 28 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/com.atproto.identity.resolveHandle?handle=tristankamin.bsky.social
Tristan K.@tristankamin.bsky.socialposted: Flight Simulator 2024, il est sorti de ses difficultés de jeunesse (stabilité, fonctionnalités, j'en passe), ou c'est toujours à éviter ?
Message: cURL error Resolving timed out after 5000 milliseconds: 28 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/com.atproto.identity.resolveHandle?handle=tristankamin.bsky.social