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Bridge returned error 0! (20380)

See https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html for description of the curl error code.

Details

Type: HttpException
Code: 0
Message: cURL error Resolving timed out after 5000 milliseconds: 28 (https://curl.haxx.se/libcurl/c/libcurl-errors.html) for https://public.api.bsky.app/xrpc/com.atproto.identity.resolveHandle?handle=tristankamin.bsky.social
File: lib/http.php
Line: 182

Trace

#0 index.php(73): RssBridge->main()
#1 lib/RssBridge.php(39): RssBridge->{closure}()
#2 lib/RssBridge.php(37): BasicAuthMiddleware->__invoke()
#3 middlewares/BasicAuthMiddleware.php(13): RssBridge->{closure}()
#4 lib/RssBridge.php(37): CacheMiddleware->__invoke()
#5 middlewares/CacheMiddleware.php(44): RssBridge->{closure}()
#6 lib/RssBridge.php(37): ExceptionMiddleware->__invoke()
#7 middlewares/ExceptionMiddleware.php(17): RssBridge->{closure}()
#8 lib/RssBridge.php(37): SecurityMiddleware->__invoke()
#9 middlewares/SecurityMiddleware.php(19): RssBridge->{closure}()
#10 lib/RssBridge.php(37): MaintenanceMiddleware->__invoke()
#11 middlewares/MaintenanceMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#12 lib/RssBridge.php(37): TokenAuthenticationMiddleware->__invoke()
#13 middlewares/TokenAuthenticationMiddleware.php(10): RssBridge->{closure}()
#14 lib/RssBridge.php(34): DisplayAction->__invoke()
#15 actions/DisplayAction.php(54): DisplayAction->createResponse()
#16 actions/DisplayAction.php(89): BlueskyBridge->collectData()
#17 bridges/BlueskyBridge.php(152): BlueskyBridge->resolveHandle()
#18 bridges/BlueskyBridge.php(599): getContents()
#19 lib/contents.php(79): CurlHttpClient->request()
#20 lib/http.php(182)

Context

Query: action=display&bridge=BlueskyBridge&data_source=getAuthorFeed&user_id=tristankamin.bsky.social&feed_filter=posts_and_author_threads&include_reposts=on&format=Atom
Version: 2025-08-05 (git.master.ca8a17c)
OS: Linux
PHP: 8.2.29

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mruac

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Je vous partage les échanges de ce côté-ci :

Tristan K. @tristankamin.bsky.social posted:
Je vous partage les échanges de ce côté-ci :

bsky.app/profile/lebe...

Quoted post from Le Betonnier @lebetonnier.bsky.social:
J'ai l'impression que les documents de l'ASNR disent c'est un sujet complexe et expliquent quels éléments ils voudront pour pouvoir analyser correctement les choses et rajoutent qu'il ne faut pas fermer la porte à d'autres solutions.

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La conclusion de l'avis de l'ASNR - pour rappel, on est très en amont puisqu'on parle des EPR2 numéros 3 et 4 alors que les deux premiers n'en sont qu...

Tristan K. @tristankamin.bsky.social posted:
La conclusion de l'avis de l'ASNR - pour rappel, on est très en amont puisqu'on parle des EPR2 numéros 3 et 4 alors que les deux premiers n'en sont qu'au stade de l'instruction de la demande d'autorisation de création.

www.asnr.fr/sites/asnr/f...

Retranscription de la conclusion de l'avis de l'ASNR. L'Autorité énonce ses exigences envers EDF pour le système de renforcement du sol : intégration à la liste des éléments importants pour la protection, démonstration de robustesse, justification de la qualification et de sa pérennité, réponse aux incertitudes, prise en compte du retour d'expérience. L'Autorité termine en soulignant qu'il s'agit là d'un défi majeur et que d'autres solutions d'amélioration du sol peuvent être étudiées.

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...mais à faciliter le travail des gens qui sont de toute manière résolument dans l'opposition au nucléaire.

Tristan K. @tristankamin.bsky.social posted:
...mais à faciliter le travail des gens qui sont de toute manière résolument dans l'opposition au nucléaire.

bsky.app/profile/jade...

Quoted post from Jade Lindgaard @jadelindgaard.bsky.social:
Tout le monde n’a pas la chance de construire un réacteur nucléaire sur un polder, ces terres asséchées artificiellement et sous le niveau de la mer😅

www.mediapart.fr/journal/ecol...

Nucléaire : à Gravelines, EDF doit revoir la copie de ses futurs réacteurs
(www.mediapart.fr) Les deux futurs réacteurs EPR2 qu’EDF veut construire au bord de la mer du Nord sont-ils trop lourds pour le terrain sableux qui s’y trouve ? Dans une note au ton sévère, l’Autorité de sûreté nucléai…
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Une nouvelle fois, la transparence, ça sert en premier lieu non pas à informer le public...

Tristan K. @tristankamin.bsky.social posted:
Une nouvelle fois, la transparence, ça sert en premier lieu non pas à informer le public...

Quoted post from Pauline Boyer @paulineboyer.bsky.social:
Projet de nouveaux réacteurs nucléaires à Gravelines ☢️: Aux risques de submersion et d’inondations de la centrale s’ajoute désormais le risque de tassements et de liquéfaction du sol !

Analyse de @greenpeace.fr sur l'avis de l'autorité de sûreté nucléaire🧵1/8
www.greenpeace.fr/espace-press...

Gravelines : l’avis accablant de l’ASNR remet en cause les EPR2
(www.greenpeace.fr) La Direction de l’expertise en sûreté de l’ASNR, autorité de sûreté nucléaire et de radioprotection, vient de rendre public un avis d’expertise accablant sur le projet d’EDF sur la centrale de Graveli...
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Microsoft adds always-listening, always-watching Copilot • The Register

Non content de fourrer son IA CoPilot dans tous les trous sans votre consentement, Microsoft a l'intention de se la jouer à Alexa en activant CoPilot à la voix.
CoPilot vous écoutera donc, et il sera aussi capable de voir ce qui se passe sur votre écran.
Et comme il ne tournera pas en local, vous comprenenez ce que ça veut dire ?
Oui Microsoft recevra une copie de l'audio et de votre écran, fera tourner son IA sur ses serveurs et renverra le résultat à votre Windows.

Toujours plus d'IA, toujours moins de vie privée.
(Permalink)
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What Made Blogging Different? - Morgan - Cacahuètes ?

Ah ! Voilà. Morgan vient de cristalliser très exactement ce qui différentie les blogueurs comme moi, Tristan Nitot, Ploum ou Le Hollandais Volant du reste d'internet.
Quand on me parle "SEO, optimisation, reach...", la question à se poser est la suivante, et elle détermine *tout* le reste :

➡️ Est-ce que vous écrivez pour des humains ou pour des algorithmes ? ⬅️
(Cette question s'étend aussi bien sûr aux Youtubers, Tiktokeurs...)
(Permalink)
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Needle.social - ensemble tissons un web plus humain

Il faudra peut-être que je prenne le temps d'explorer ce service, parce que l'idée me plaît.
De nos jours avec l'IA, trouver un vrai site web intéressant ce n'est pas simple.
De ce que j'en comprends, Need est un outils de veille dans le genre de Shaarli (pour garder et partager des liens), mais votre fil ne devient accessible qu'aux personnes qui ont partagé un lien identique.
Vous découvrez donc le fil des gens qui ont partagé les mêmes liens que vous, ce qui - a priori - construit naturellement une sorte de réseau des gens ayants les même centres d'intérêt que vous.
L'idée est séduisante.
(Permalink)
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Post de Gabriel Zucman — Bluesky

"Oh làlà on peut pas imposer plus les milliardaires, et s'ils décidaient de quitter la France ?"

Eh bien l'économiste Grabriel Zucmac (oui, celui de la taxe zucman) a fait le calcule.
Si là maintenant tous les milliardaires français quittaient le pays, cela ferait une perte de 0,03% dans le Trésor Public.
(Permalink)
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Protéger l’acier, couler l’industrie ?

Un sidérurgiste indien en passe de racheter un symbole européen de l’acier. Des discours martiaux sur la « souveraineté industrielle ». Non, nous ne sommes pas en 2006 mais bien en 2025. L’Europe aura-t-elle cette fois la trempe nécessaire pour ne pas en ressortir laminée ?

Le 16 septembre 2025, Thyssenkrupp Steel, la fierté de la Ruhr, a officiellement confirmé avoir reçu une offre de rachat de Jindal Steel International. Pour quiconque a encore en tête la saga Arcelor/Mittal de 2006, la scène a des airs de déjà-vu : même sidération politique, même électrochoc économique. Il y a dix-neuf ans, le géant indien Mittal s’offrait alors un morceau de l’histoire industrielle européenne à coup d’OPA et déclenchait les passions dans l’hexagone, toujours prompt à déceler les signes du déclin industriel français. Dix-neuf ans plus tard, on nous ressert le même plat, en plus sec, encore moins digeste. Mais entre-temps, l’industrie européenne a encore un peu plus perdu de sa superbe. Et par une ruse de l’histoire, au même moment, comme piquée à vif, l’Europe soudain se ressaisit et s’accroche à ses hauts fourneaux et se prend à rêver dans un ultime sursaut à sa souveraineté industrielle.

Car dans la foulée de cette annonce, Bruxelles vient en effet de dégainer son plan miracle : doubler les droits de douane sur l’acier importé (50 %) et couper les quotas d’importation de moitié. Un geste martial, censé protéger une industrie « au bord de l’effondrement », selon Stéphane Séjourné, désormais vice-président exécutif de la Commission européenne chargé de la Prospérité et de la Stratégie industrielle. « Il y a une prise de conscience des responsables politiques européens que le monde est de plus en plus protectionniste […] et que l’Europe était encore le seul marché ouvert, notamment dans le secteur de l’acier. »

L’Europe à l’offensive ?

L’Europe passe donc à l’offensive peut-être. Mais contre qui, exactement ? Et surtout au bénéfice de qui ?

La sidérurgie européenne n’a plus grand-chose d’offensif. Cela fait des années qu’elle encaisse les coups sans riposter. Ou alors timidement. En 2019, l’Europe s’est par exemple dotée d’une clause de sauvegarde, qui limite les importations d’acier chinois sur le continent, mais elle disparaîtra à la fin du mois de juin 2026. 

Avec son nouveau plan, l’ancien ministre des affaires étrangères français entend incarner une nouvelle posture plus musclée et durable, « j’assume le même agenda que Donald Trump », c’est-à-dire un mélange de patriotisme économique assumé et de foi en un « protectionnisme intelligent ». « L’Europe a été naïve pendant trop longtemps », martele Stéphane Séjourné. « Nous devons protéger nos filières stratégiques, sinon nous dépendrons demain entièrement des importations étrangères ».

Mais n’est-il pas déjà trop tard ? Pendant que l’Europe s’épuisait en discussions sur l’ouverture de son marché, la Chine avançait ses pions : le pays produit aujourd’hui dix fois plus d’acier que toute l’UE réunie. (voir encadré). Les aciéries asiatiques vendent à prix cassés, pendant que les européens subissent la flambée des prix de l’énergie, des normes environnementales plus strictes, et l’effondrement de la demande… Résultat : 18 000 emplois ont été détruits rien qu’en 2024, dans un secteur qui compte encore 300 000 directs et 2,5 millions indirects dans l’UE. Ils étaient 100 000 de plus il y a dix ans.

La Chine, ogre de l’acier

J’approfondis

Mais soit. Prenons Stéphane Séjourné au mot. Et acceptons ce changement de pied majeur.

Sauf que ce que Stéphane Séjourné ne dit pas trop fort, ou bien oublie de préciser c’est que cette politique a déjà été mise en œuvre. Outre Atlantique. Et que l’on connaît déjà la fin du film. En 2018, quand Donald Trump avait imposé des tarifs sur l’acier et l’aluminium, les aciéries américaines ont brièvement repris des couleurs. Quelques milliers d’emplois ont été « sauvés » ou recréés dans les hauts fourneaux. Mais les entreprises consommatrices d’acier — automobile, électroménager, machines-outils — ont pris une claque : explosion des coûts, répercussions en chaîne, délocalisations. Selon une récente enquête de la COFACE, 1000 emplois auraient été créés dans l’acier contre…75 000 détruits dans le secteur manufacturier national. Autrement dit : Trump a sauvé quelques hauts fourneaux, au prix d’une casse sociale massive en aval. La leçon américaine est sévère et rien ne permet de penser que l’Europe pourra échapper à ces mêmes mécanismes. 

Le prix de la souveraineté

L’acier, ce n’est pas un produit de niche : c’est la colonne vertébrale de l’économie industrielle. Automobile, aéronautique, BTP, machines, électroménager… on le retrouve partout. Augmenter son prix revient à injecter une dose d’inflation dans chaque voiture, chaque pont, chaque lave-linge.

Stéphane Séjourné d’ailleurs ne s’en cache pas « C’est le prix de la souveraineté ». Et quel est ce prix justement ? : « On a estimé la hausse à 50 € par voiture et à 1 € par machine à laver. » 50 € ici, 1 € là, ça semble anodin — jusqu’à ce qu’on multiplie ça par des millions d’unités produites.

Les constructeurs automobiles, déjà étranglés entre la transition électrique, la concurrence asiatique et les coûts énergétiques, risquent de voir leurs marges se réduire encore davantage. Et quand les marges fondent, les emplois fuient.

Cet élan protectionniste ne serait au final qu’une lubie ? Ce n’est pas vraiment le genre de la maison Von Der Leyen. 

Le plan européen n’est pas qu’une taxe. Il s’appuie aussi sur une promesse : transformer la sidérurgie européenne en championne de l’acier « vert ». Comment ? En « électrifiant » les fours, en remplaçant le charbon, et en investissant massivement dans l’hydrogène.

Car si en France, ce secteur industriel est le quatrième le plus émetteur en gaz à effet de serre, il en est le premier à l’échelle mondiale. Fabriquer de l’acier exige en effet des quantités d’énergie colossales comme l’a rappelé Anaïs Maréchal, journaliste et docteure en géosciences : « la fonte atteint par exemple 1 500 °C au sein du haut fourneau. Or, en 2019, les trois quarts de l’énergie consommée par le secteur étaient fournis par le charbon ». 

Le pari européen consiste donc à miser sur la décarbonation à coup de milliards pour faire baisser les prix. Comme l’avoue S. Séjourné, « c’est assez contre intuitif »…

Sans compter que ces promesses sont souvent lentes, conditionnées, et noyées dans des procédures kafkaïennes. C’est même ce qui jusqu’ici a conduit ArcelorMittal à suspendre le plan de modernisation de son usine de Florange. Une forme de chantage destinée à pousser l’administration européenne à aller au-delà des mots et à préférer l’acier made in Europe dans ses commandes publiques.

Ce qui se joue, ce n’est donc pas qu’une guerre commerciale. C’est un choix de modèle économique. L’Europe prétend défendre son industrie, mais elle n’y parviendra qu’à condition de réduire le coût de l’énergie, le fardeau réglementaire, et les délais d’investissement. Sinon ériger un mur tarifaire tout en laissant le sol industriel s’effriter, c’est ouvrir une sorte de parapluie dans un ouragan. Et les nouvelles taxes ne feront qu’enrichir quelques aciéristes sans sauver les emplois en aval. Le mur tarifaire risque alors de ne protéger que des ruines.

L’article Protéger l’acier, couler l’industrie ? est apparu en premier sur Les Électrons Libres.

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