Alors que les arrivées irrégulières ont baissé de 39 % depuis le début de l’année 2024, les dirigeants européens, de droite comme de gauche, n’hésitent pas à emprunter les idées que l’extrême droite défend depuis quarante ans.
L’incident, révélé par les Américains, est un camouflet pour Pékin. S’il illustre certaines faiblesses de l’Armée populaire de libération, il s’inscrit aussi dans le contexte de la concurrence féroce que se livrent Pékin et Washington dans ce domaine stratégique.
A l’occasion de la journée internationale consacrée à ce droit, qui reste entravé, voire inexistant dans certains pays, plusieurs cortèges se sont élancés dans plusieurs villes de France, samedi.
« Redécouvrir l’Afrique » (3/5). Près de Lagos, l’enceinte massive qui protégeait au XVᵉ siècle la cité-Etat d’Ijebu va être entièrement révélée par une technologie de pointe. Il s’agit du plus grand monument connu en Afrique subsaharienne à ce jour.
De nombreuses figures socialistes, opposées à la direction d'Olivier Faure et à l'alliance avec LFI, se sont retrouvées samedi dans l’Aude, aux «Rencontres de la gauche» de la présidente de la région Occitanie. Une première étape, notamment vers le prochain congrès du parti en 2025.
Poser des questions à son rencard, sans virer à l’enquête de police ni à l’entretien psy, n’est pas une mince affaire, surtout quand il se trame en coulisses de l’appréhension. Mode d’emploi avec trois spécialistes de la conversation.
Tous les scénarios sont désormais sur la table, écrit Anthony Samrani dans “l’Orient-Le Jour” : celui d’une guerre totale, d’une défaite sans appel du Hezbollah – qui pourrait le faire payer cher aux Libanais – mais aussi, celui, plus fragile, d’une désescalade. Tout dépendra en fait de la réaction du régime iranien, d’abord obsédé par sa propre survie et qui ne semble pas en position de force face à Israël et aux États-Unis.
L’assassinat du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, vendredi 27 septembre au soir à Beyrouth, est célébré par l’État hébreu comme “l’un des assassinats les plus importants” de son histoire. De son côté, Téhéran promet de continuer à soutenir le groupe militaire chiite libanais.