L’autorité administrative indépendante se dit « de plus en plus saisie » par des détenus. Ses 150 délégués présents dans les prisons françaises ont traité 7 878 dossiers en 2023.
Au lendemain d'un spectaculaire come-back politique du républicain Donald Trump, près d'une cinquantaine de chefs d'État et de gouvernement sont attendus dans la capitale hongroise pour un sommet de la Communauté politique européenne.
La Maison-Blanche, après que le républicain Donald Trump a remporté l'élection présidentielle américaine, à Washington, D.C., États-Unis, le 6 novembre 2024.
Vinci a réduit l’accès du dépose-minute de l’aérogare aux seuls utilisateurs occasionnels. Une opération justifiée par la cannibalisation du site par des essaims de navettes reliant la plateforme aux parkings privés du secteur. Les professionnels accusent le coup.
Avec une augmentation de son trafic de 13% depuis le début de l’année 2024, l’aéroport de Nantes-Atlantique devrait renouer avec la barre des sept millions de passagers annuels.
De Seattle à New York, en passant par le Texas et le Minnesota, les Français installés aux États-Unis se livrent au Figaro au lendemain de l’accession du milliardaire à la Maison Blanche.
De passage au Parc des Princes mercredi soir avec l'Atlético de Madrid (1-2), Antoine Griezmann a aussi eu quelques mots au sujet de l'équipe de France.
Visage fermé, l’air triste, ne cachant pas ses signes d’agacement lors du premier mandat de son mari, l’épouse de Donald Trump n’a jamais semblé apprécier son statut de première dame. Pourtant, elle s’apprête à endosser ce rôle pour la seconde fois. À moins qu’elle n’en ait décidé autrement...
DÉCRYPTAGE - L'ex-ministre des Finances Bruno Le Maire, qui sera auditionné par les députés, a répété qu'il avait «tiré le signal d'alarme» sur l'état des finances publiques, mais qu'il n'avait pas été écouté. Une façon de pointer la responsabilité du président de la République.
Pour éviter une nouvelle dérive des comptes publics, le président de la Cour des comptes a suggéré devant les sénateurs de «soustraire l’exercice de prévision à l’administration».
“Nous devons accepter les résultats de cette élection”, a déclaré mercredi la vice-présidente américaine. La démocrate s’est engagée à “aider” Donald Trump pour le transfert de pouvoir après la victoire du milliardaire dans la course à la Maison Blanche.
La vice-présidente des États-Unis et candidate démocrate malheureuse à l’élection présidentielle, Kamala Harris, fait une pause lors d’un discours pour concèder sa défaite, à l’université Howard, à Washington, le 6 novembre 2024.
Le républicain compte désormais 295 grands électeurs contre 226 pour la démocrate. Mercredi soir, il s’est dit « impatient » de commencer la transition avec l’administration Biden. De son côté, Kamala Harris a reconnu sa défaite et a appellé à « continuer à se battre ».
Reconnaissant sa défaite, la candidate démocrate laisse ouverte la question de la déroute de son parti. Sur la stratégie suivie, n’ont affleuré, pour l’instant, aucune distance, ni autocritique. Retour sur les raisons d’une débâcle.
La victoire du candidat républicain à l’élection du 5 novembre isole les Européens et les place devant une responsabilité historique : compter sur leurs forces pour assurer leur défense face à l’expansionnisme russe, explique, dans sa chronique, Alain Frachon, éditorialiste au « Monde ».
En désaccord avec ses alliés libéraux sur la politique économique et budgétaire, le chancelier social-démocrate a décidé de solliciter la confiance des députés, ce qui devrait déboucher sur la tenue d’élections législatives anticipées en mars 2025.
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