L’armée israélienne a déclaré que les sept otages 6 Eitan Mor, Gali et Ziv Berman, Matan Angrest, Omri Miran, Alon Ahel et Guy Gilboa-Dalal 6 venaient « de franchir la frontière vers le territoire israélien ». Les 13 autres otages encore en vie seront libérés « plus tard dans la journée », selon « The Times of Israel », en échange de 2 000 prisonniers palestiniens, comme prévu dans l’accord de paix.
La crise que traverse le pays depuis la dissolution de juin 2024 s’est fortement accélérée ces derniers jours, suscitant chez les responsables politiques une fébrilité inhabituelle, voire certains comportements erratiques.
L’ancien chef de l’Etat a rendez-vous lundi dans les locaux du Parquet national financier, après sa condamnation à cinq ans de prison ferme avec exécution provisoire dans le procès libyen.
Sans pitié et colérique, Anaïs E., le personnage-clé de cette affaire d’une complexité rare, détonne au regard des dossiers habituels de narcobanditisme.
L’ensemble des forces armées et des forces de l’ordre a rallié les soldats qui sont sortis de leurs casernes en soutien aux manifestants, samedi. Le chef de l’Etat, Andry Rajoelina, a dénoncé dimanche « une tentative illégale de prise de pouvoir ».
Lors d’une cérémonie en hommage aux personnes tuées au cours d’une récente manifestation antigouvernementale à Antananarivo, à Madagascar, le dimanche 12 octobre 2025.
Cette remise constitue la première phase d’un accord de cessez-le-feu avec Israël, qui prévoit la libération de centaines de Palestiniens de ses prisons en échange.
Dans une publication ce lundi sur X, le président de la République a fait part de sa «joie», et de l’engagement de la France à faire respecter le plan de Trump pour la paix à Gaza.
Le projet de budget 2026 sera adopté le matin même lors du conseil des ministres avec «un objectif de déficit inférieur» à 5% du PIB, a indiqué également Bregeon.