Vue lecture

Il y a de nouveaux articles disponibles, cliquez pour rafraîchir la page.

Alléluia ! Des armes à feu disponibles dans Dying Light 2

Il aura fallu attendre le deuxième anniversaire de Dying Light 2 pour que le studio Techland nous ponde enfin une mise à jour donnant accès aux armes à feu, dans cet enfer post-apocalyptique rempli de zombies. Au travers d’un long billet de blog Steam matraqué à coups de « nous vous avons entendus », les devs vous informent, en premier lieu, que vous pourrez désormais faire joujou avec des pistolets, des mitraillettes, des carabines et des fusils dans de nouvelles missions dédiées. À cette occasion, des améliorations graphiques seront également apportées et un nouvel adversaire, le grenadier renégat, fera son apparition. Les ennemis existants, quant à eux, infligeront plus dégâts et seront plus malins d’après les dires du studio.

Des contrats d’anniversaire et de nouvelles quêtes seront disponibles, afin de débloquer du nouveau contenu (cosmétiques et armes). De nouvelles armes nocturnes s’ajouteront à celles déjà présentes et les niveaux de légende seront désormais plus accessibles, avec une progression rééquilibrée, suite aux avis de la « merveilleuse communauté et des super influenceurs qui en font partie ». Si vous n’êtes pas gêné par des tournures pompeuses,  vous pouvez consulter le billet de blog Steam pour en apprendre davantage.

Pour marquer son anniversaire, Dying Light 2 est actuellement en promotion à -50 % pour l’édition Reloaded et à -34 % pour l’édition Ultimate sur Steam, soit moins de 30 € et de 60 € jusqu’au 7 mars. Aussi, vous pourrez profiter du week-end gratuit pour vous essayer à ce dernier. Ou pour économiser quelques euros de plus et nous soutenir par la même occasion, notre partenaire Gamesplanet propose une promotion à -60 % sur l’édition de base, soit moins de 24 €.

Du gameplay et un playtest pour Level Zero: Extraction

La dernière fois qu’on vous avait parlé de Level Zero: Extraction, c’était fin 2022. D’abord prévu pour sortir en 2023, le jeu a été repoussé, et est maintenant prévu pour cette année. Le concept a depuis évolué pour s’assurer un maximum d’originalité : ce ne sera plus du 4vs2, avec quatre scientifiques devant échapper à deux aliens, mais un extraction shooter en PvPvE. Trois équipes de trois mercenaires s’affronteront pour ramasser des bricoles à placer dans les petites cases de leur inventaire. Le côté asymétrique pitché au départ sera toujours là, puisque deux aliens pourront aussi être incarnés par des joueurs.

Le gameplay dévoilé semble très convenu. Le seul point intéressant étant que seuls les monstres pourront crapahuter dans les conduits d’aération de la station spatiale pour prendre les mercenaires par surprise. Sinon, les armes semblent cruellement manquer de feedback, les bras et l’arme de notre personnage bougent dans tous les sens pour nous donner la gerbe, et les adversaires qui prennent des coups ne semblent pas trop perturbés par la situation, avant de simplement s’effondrer.

Ça ne donne pas vraiment envie de s’y essayer, mais si, comme nous, vous voulez pouvoir vous moquer en avant-première, vous pouvez demander accès au playtest qui sera organisé prochainement via la page Steam de Level Zero: Extraction.

Un nouveau trailer pour Delta Force: Hawk Ops

On vous en avait parlé cet été, la franchise Delta Force est de retour après 15 ans d’absence avec un free-to-play : Delta Force: Hawk Ops. On vous en reparle aujourd’hui, car un nouveau trailer est sorti ce 23 février sur YouTube. Cette fois-ci, pas de gameplay à se mettre sous la dent. On a le droit à une cinématique de deux minutes qui nous en apprend plus sur la situation du monde qui nous attend.

Dans ce trailer, on se retrouve plongé en 2035 où la situation politique paraît encore plus merdique qu’aujourd’hui. De ce qu’on apprend grâce à la grosse voix bien virile d’un businessman mégalomane, la lutte des classes n’aura pas beaucoup évolué. L’argent lui permet de faire la pluie et le beau temps, et nul ne doit le contrarier. On devrait pouvoir incarner 4 agents différents, dont la mission sera de restaurer un équilibre géopolitique à coups de 360 noscope et pouvoirs à la Overwatch. Tout est bon pour défendre les intérêts du patron.

Si vous êtes emballé par ce trailer et par son ambiance, vous allez devoir patienter encore un peu, car le jeu est toujours annoncé « prochainement ». Vous pouvez cependant vous préinscrire sur le site officiel pour être dans les premiers à tester Delta Force: Hawk Ops.

[PREVIEW] Witchfire : un die & retry dans un univers beau à en crever

Attendu depuis des années, Witchfire a su faire monter la sauce tout au long de son développement. Dès son annonce en 2017, sa direction artistique avait attiré notre attention en présentant un univers de dark fantasy très alléchant, inspiré de la série des Souls. En plus, ses créateurs n’étaient pas des inconnus, puisqu’ils étaient derrière The Vanishing of Ethan Carter, mais surtout Painkiller et Bulletstorm, nous rassurant pour l’aspect FPS. Au fil des années et des reports, le cadre s’est précisé, jusqu’à parler de composantes RPG, et de rogue-lite. Enfin sorti en accès anticipé, nous avons pu nous plonger dans cet univers sombre et fantastique. Même s’il est déjà un très bon et très beau jeu, Witchfire n’est certainement pas à mettre entre toutes les mains.

Genre : Rogue-lite extraction shooter  Développeur : The Astronauts | Éditeur : The Astronauts | Plateforme : Epic Games Store | Configuration minimum : i5-8400, 16 Go de RAM, GTX 1060 | Prix : 35,99 € Langues : Anglais Date de sortie en accès anticipé : 20/09/2023 Durée de vie : une trentaine d’heures pour l’instant

Preview réalisée sur une version commerciale

Witchfire 02
Witchfire 03
Witchfire 04

Le rogue-lite qui ne voulait pas en être un

Difficile de faire sortir un jeu d’une case dans laquelle on l’a mit soi-même. The Astronauts semble bien embêté avec l’aspect rogue-lite de leur titre, après l’avoir décrit comme tel pendant des mois. Surtout que d’après moi, c’est tout de même ce qui le caractérise le mieux. Dans Witchfire, on incarne le bras armé de l’Église, dont le but est d’anéantir The Witch. Dans cet accès anticipé, seuls deux de ses familiers, sous forme de boss clairement localisés sur leur carte respective, seront à éliminer. Mais les capacités de notre personnage sont beaucoup trop limitées au début de l’aventure pour y parvenir. Il va donc falloir monter en puissance, et pour cela, il faudra tuer tuer tuer, et revenir au hub pour améliorer ses armes. Certes, rien n’est aléatoire, et les cartes sont statiques, mais cette notion de progression en faisant et refaisant des runs me semble bien décrire le concept de rogue-lite. D’autre part, le hasard intervient tout de même un peu, car à chaque groupe d’ennemis décimé, un bonus à choisir entre deux viendra renforcer notre chasseur. La mort d’adversaires donne également du witchfire volatile, une ressource magique permettant de prendre des niveaux une fois rentré sain et sauf dans le hub. C’est ici que le concept d’extraction shooter arrive, car tout ce witchfire qui a pu être récolté sera perdu en cas de mort. Il est possible d’aller le récupérer à notre point de décès, mais si une autre mort survient avant d’y parvenir, il sera définitivement perdu. Pour s’extraire en vie, il “suffira” de trouver un portail de téléportation.

Ce qui est étonnant, c’est que le gain de puissance n’est pas lié au niveau du personnage – dans le sens RPG du terme –, ou très peu, car s’il est bien possible de faire évoluer directement son chasseur en lui donnant plus de vie, une régénération plus rapide des sorts ou autre, chaque nouveau point attribué réorganise les groupes de monstres, et surtout, les renforce avec l’ajout de pièges sur la carte, de nouveaux ennemis plus puissants ou encore de nouveaux événements cataclysmiques. C’est plutôt du côté des armes et pouvoirs qu’il faudra jeter un œil pour espérer avancer un peu plus sereinement. Car oui, Witchfire est dur, très dur. On peut aisément le qualifier de die & retry, puisqu’on mourra facilement en boucle jusqu’à capter le truc, ou upgrader son équipement.

Witchfire - combat
Witchfire 15
Witchfire 16

Witchfire, des sensations pures

Un suivi exemplaire
Entre le début de l’accès anticipé et le test, deux semaines se sont écoulées, et neuf patches portant notamment sur l’équilibrage ont été déployés. Pour chacun d’entre eux, la qualité de vie pour les nouveaux joueurs a été améliorée. Par exemple, en réduisant certains malus, ou en limitant le renforcement de difficulté à chaque montée en niveau.

Presque 20 ans après Painkiller, les développeurs n’ont pas perdu la main. Les sensations en combat sont vraiment très bonnes. Les armes bénéficient d’un très bon sound design, d’un recul satisfaisant et d’un gros impact sur les ennemis. Si au départ, notre arsenal ne se compose que d’un revolver, il s’enrichira d’un fusil à verrou, d’un pistolet-mitrailleur, d’un fusil d’assaut, d’un fusil sniper, d’un fusil à pompe, et enfin, d’une arbalète démoniaque. Ces armes seront à débloquer auprès d’un grand miroir situé dans le hub, accessible une fois mort, ou de retour d’une expédition réussie. La vitesse de progression des recherches sera fonction du nombre d’adversaires vaincus. On y découvrira également des sorts rapides, des sorts plus puissants et des objets magiques donnant divers bonus passifs, souvent agressifs. Chaque arme, artefact ou pouvoir peut être augmenté en atteignant un certain nombre de kills et en appliquant une sorte de sceau magique récupéré dans le miroir, débloquant le niveau suivant. Ce sont principalement ces évolutions qui vous permettront de réellement gagner en puissance. Par exemple, le pistolet amélioré délivrera des balles beaucoup plus dévastatrices après rechargement, si les coups au but précédents étaient critiques. Le fusil à pompe évolué, lui, donnera des munitions enflammées, tandis qu’un des talismans de niveau deux ou trois foudroiera les ennemis les plus faibles autour de vous avec une efficacité accrue. Mais n’espérez pas tout emporter sur le terrain avec vous, il faudra choisir deux armes – outre l’arbalète démoniaque, qui est un objet spécial –, un sort léger, un sort lourd et trois types d’objets magiques. Plusieurs associations semblent viables, avec des styles de jeux un peu différents. J’ai particulièrement apprécié le couple fusil d’assaut/fusil à verrou, avec les pouvoirs d’éclair et de dôme de glace. Les mouvements, avec le dash, la glissade et le double saut, participent grandement au sentiment de jouissance, lorsque l’on commence à maîtriser tous ces outils et que l’on valse entre nos adversaires en enchaînant les headshots. Tout comme le sprint, ils puisent dans une réserve d’énergie, qui se régénère lorsque l’on se déplace “normalement”. Un point de détail m’a cependant parfois un peu gêné : lorsque l’on est affecté par des dégâts, notre jauge d’énergie tombe immédiatement à zéro, nous empêchant de rapidement nous désengager du combat, ce qui peut être un peu frustrant. J’espère que cet élément sera revu pendant la phase d’accès anticipé.

Les ennemis sont plutôt variés, et disposent de patterns qu’il faudra bien identifier si l’on ne veut pas mourir en quelques secondes. Une alerte visuelle vous indique si l’impact d’un coup – généralement à distance – est imminent, vous permettant de faire un dash salvateur, ou d’éliminer l’assaillant avant que ce ne soit l’inverse. Ceux-ci sont étourdis sous notre déluge de balles ou de sorts, ou voient leur tête exploser dans une gerbe d’étincelles maléfiques très satisfaisante. Ils ne sont pas spécialement futés, mais leur nombre et leur comportement seront les principales difficultés. Ils sont répartis en groupes, matérialisés sur la carte par un crâne orné de cornes plus ou moins imposantes, symbolisant leur difficulté. En fonction de sa confiance, on tentera d’éliminer un certain nombre de ces groupes pour obtenir des bonus temporaires, tout en économisant ses potions de soin. On pourra ensuite aller affronter le boss dans les meilleures conditions possibles. Il m’a fallu presque 14 heures pour battre le premier, ce qui déverrouille la seconde map de cet accès anticipé. Et comptez un peu plus de 20 heures pour maxer tous vos items. Rajoutez-en 10, et vous aurez sans doute vaincu le second boss. Avec de l’optimisation d’équipement – et peut-être quelques patches d’équilibrage – il sera sans doute possible de faire beaucoup plus court avec ce contenu.

Witchfire 05
Witchfire 07
Witchfire 08
Witchfire 11
Witchfire 17

Une direction artistique envoûtante

Witchfire est une putain de réussite visuelle et technique. La direction artistique est à tomber par terre : les environnements sont beaux, les lumières sont sublimes, les effets magiques sont superbes. Et le tout fonctionne déjà très bien pour un accès anticipé, même sur des machines pas folles. En témoigne mon PC portable, doté d’un Core I5-12500H, de 32 Go de RAM et d’une RTX 3060, mais habitué à de bien piètres performances, qui fait tourner le jeu à 60 FPS (limité par l’écran) en 1080p et preset moyen. Du côté des bugs, rien à signaler, le jeu fait beaucoup mieux que 90 % des titres en version finale.

Cet accès anticipé est donc actuellement composé de deux cartes distinctes, hébergeant chacun un familier de The Witch. D’après le menu de sélection, on peut s’attendre dans le futur à quatre nouveaux environnements, de nouveaux paramètres à améliorer pour son personnage, et sans doute aussi de nouveaux objets et sorts.

J’ai tâché mon caleçon

Witchfire est incroyable. L’accès anticipé est certes très difficile à appréhender et laissera de nombreux joueurs de côté. Mais si l’on parvient à atteindre les exigences du gameplay, on peut y découvrir des combats jouissifs, avec un gunfeel exemplaire et des mouvements très dynamiques. Oui, on meurt souvent, et on parcourt sans cesse la même carte, mais la satisfaction de vaincre ses ennemis dépasse largement toute la frustration que l’on aurait pu accumuler. De son côté, la direction artistique superbe, avec de très beaux environnements et des lumières magnifiques, nous envoûte et nous fascine. Et le jeu se permet de fonctionner correctement, même sur des machines modestes. Enfin, les développeurs suivent les retours des joueurs avec assiduité, puisqu’ils ont publié quasiment un patch tous les deux jours depuis la sortie en accès anticipé. Le rythme va certainement ralentir, mais le contenu promet de grandement s’étoffer. Cela laisse présager le meilleur pour la sortie en version finale, prévue dans un an. À noter que son exclusivité à l’Epic Game Store devrait s’achever à ce moment.

Si la lecture n’est pas votre truc, vous pouvez consulter la version vidéo, enregistrée lors du NoScope #44.

Les bons plans NoFrag du week-end profitent des derniers rayons de soleil

Il fait encore beau, mais cela ne va pas peut-être pas durer. Après avoir glandé comme une loque la semaine dernière, les bons plans NoFrag du week-end vont se dégourdir les jambes en forêt. Pour commencer, il faut une petite veste pour vous protéger du vent. N’oubliez pas le snood pour habiller votre cou délicat. Les chemins seront peut-être boueux, alors choisissez une paire de bottes discrètes. Et prenez une bonne paire de lunettes de soleil, on ne sait jamais. Si vous êtes un gros flemmard, et plein de contradictions, n’hésitez pas à craquer pour ce pratique quad électrique, ou cette magnifique moto-cross. Après votre petite balade, pour éviter de dégueulasser votre logis, investissez dans un décrottoir, ça pourra toujours servir. Et pour l’intérieur des bottes, optez pour le sèche-chaussures, qui sera du plus bel effet au milieu de votre salon. Vous avez maintenant l’équipement parfait pour une bonne promenade !

Les bons plans Amazon

Comme d’habitude, notre expert hardware Gothax nous propose une petite sélection de composants informatiques, idéaux pour augmenter votre e-penis dans tous les FPS. Même si la période est morose, selon lui, il a dégoté quelques petites choses :

Enfin, n’oubliez pas que si vous ne trouvez pas votre bonheur parmi les produits proposés dans notre article, vous pouvez tout de même nous soutenir en collant ?tag=nofrag-21 à la fin de l’url de n’importe quelle marchandise sur Amazon et ainsi nous faire gagner quelques euros bien utiles.

code promo Starfield NOFRAG

Les bons plans Gamesplanet

Bon, on a toujours le code promo NOFRAGDAY pour PAYDAY 3, mais comme on l’a trouvé vraiment à chier, on ne vous conseille franchement pas de l’acheter. Après, si vous le voulez vraiment, faites ce que vous voulez ! Par contre, on avait bien aimé Starfield, malgré tous ses défauts, alors on a remis l’image au-dessus. En plus, c’est plus joli. Si vous voulez la version Steam du jeu, utilisez le code NOFRAG pour avoir 14 % de réduction, soit l’édition standard à 59 € ou l’édition premium à 85,49 €.

Notre contact chez notre partenaire Gamesplanet s’est réveillé et nous a envoyé quelques messages. On a frôlé l’accident : une des promos portait sur le remake catastrophique de XIII, qui l’abaissait au même prix que l’original, qui lui, vaut toujours le coup. Heureusement, elle s’est achevée hier, vous épargnant l’envie de le prendre. Mais il y a bien d’autres recommandations, qui seront sans doute beaucoup plus à propos :

Comme plus haut pour Amazon, si vous ne trouvez pas votre bonheur dans ces listes de jeux, vous pouvez utiliser le code ?ref=nofrag et le coller à la fin de l’URL du jeu qui vous intéresse. Ça arrivera dans notre porte-monnaie virtuel Gamesplanet et nous permettra de nous payer les clefs que les éditeurs ne nous envoient pas !

Une démo pour RoboCop: Rogue City

RoboCop: Rogue City a mis en ligne une démo afin que vous puissiez essayer ce magnifique jeu. Les professionnels du pad de chez IGN ont aussi publié une vidéo présentant les 23 première minutes de gameplay.

On a pu mettre les mains dessus, et on peut vous dire qu’on est plutôt mitigé. Déjà, RoboCop: Rogue City est très facile, car même avec la difficulté la plus élevée, il faut être né avec un pad dans les main pour pouvoir mourir. Du coup, les affrontements n’ont aucun enjeu, on se contente de cliquer sur la tête de nos adversaires, cons comme des balais. C’est dommage, car c’est plutôt gore et les armes semblent avoir un peu de patate. Sinon, ce n’est pas beau, d’une part car c’est très générique, et en plus, on a tendance à vouloir baisser ses options graphiques, car ça se permet de tourner aussi bien qu’une brique dans une machine à laver. Mais même tout au minimum, il y a des stutters toutes les 15 secondes sans aucune raison apparente.

Au niveau du gameplay, outre les gunfights, aussi intéressants qu’un rapport de stage de troisième sur le métier d’expert comptable, RoboCop: Rogue City présente la particularité de proposer des phases de jeu dans le commissariat, demandant de traiter les plaintes ou d’aider vos coéquipiers à ouvrir leur casier. C’est aussi bien fait que le gribouillage de votre enfant de trois ans, mais comme pour celui-ci, c’est un peu touchant quand même. C’est original, et on peut le saluer. Enfin, la dernière section de la (longue) démo, vous propose de parcourir un mini open-world, dans lequel vous aurez quelques affaires à traiter, se terminant généralement en un paquet de cervelles dégoulinantes sur les murs, même pour un simple vol de voiture. La représentation vidéo-ludique des rêves mouillés de Gerald Darmanin, en somme. Mais la mise en scène et les chargements feraient passer Starfield pour un jeu moderne et dirigé par David Fincher. Donc au final, cette démo montre que les développeurs sont pleins de bonne volonté et pas radins. Ce sont de très bonnes qualités, mais dommage que la réalisation soit si bancale. S’ils mettent les bouchées doubles sur les performances, ça pourrait au moins en faire un nanard rigolo à parcourir en une soirée ou deux.

Si notre petit retour vous a convaincu, vous pouvez dès à présent vous faire enfumer avec la précommande de RoboCop: Rogue City pour la somme, pas modique du tout de 50 € pour l’édition de base et 60 € pour la collector sur Steam et l’Epic Games Store. Le jeu est aussi disponible chez notre partenaire Gamesplanet qui vous fera “gagner” quelques euros, avec sa promotion sur l’édition de base et collector. Il sortira le 2 novembre.

The Invincible vous rappelle qu’il sort le 6 novembre

Durant le MIX Showcase October 2023, The Invincible, le walking-sim inspiré du roman du même nom de l’auteur polonais Stanislaw Lem, a fait une piqûre de rappel en publiant une nouvelle bande-annonce pour sa sortie prochaine, le 6 novembre. Probablement que les développeurs craignaient que les joueurs et nous y compris ayons oublié l’existence de leur jeu, vu que ce dernier ne nous avait pas particulièrement marqué avec sa démo. Il est rappelé que nous incarnons une scientifique, le Dr. Yasna, partie sur Regis III afin de secourir les membres d’équipage disparus et découvrir les événements qui s’y sont produits. Chaque rencontre, vous mènera à faire des choix qui auront des conséquences sur le déroulé de votre aventure.

Bien que ce soit très beau, il ne faudra pas compter sur de l’action frénétique et encore moins des gunfights. La narration n’a pas l’air spécialement captivante et le gameplay semble très axé sur le contemplatif, pour ne pas dire extrêmement mou (voire chiant).

Prévu pour le 6 novembre 2023, vous pouvez ajouter The Invincible sur votre liste de souhaits sur SteamGog et Epic Games Store si vous êtes intéressé.

Deep Rock Galactic: Rogue Core : un spin off en préparation

On vous avait beaucoup parlé de Deep Rock Galactic chez NoFrag et on en reparle à nouveau aujourd’hui. On a appris sur Steam, l’annonce de Rogue Core, un spin-off qui apporte son lot de nouveautés. Le bruit court dans la galaxie qu’un nouveau minerai d’une valeur inestimable serait disponible : l’expenite. C’est à vous, nain mineur de l’espace d’y aller, seul ou en coop, et de faire face aux menaces d’un forage qui ne devrait pas se passer comme prévu.

D’après la fiche Steam, ce jeu prendrait le tournant du rogue-lite. Chaque partie serait donc une expérience unique où vous devriez choisir stratégiquement vos capacités et votre équipement. Vous devriez, au cours de l’aventure, progresser dans des missions secondaires, par exemple dans votre vaisseau, pour élargir votre stuff et récupérer de nouvelles armes.

Petite spécificité de cette annonce, elle est postée au tout début de la phase de développement. Il n’y a donc pas de date de sortie pour le jeu. Le but est de réaliser un développement ouvert, qui prends en compte votre avis de joueur. Pour ça, vous devriez retrouver plus d’informations notamment sur le Twitter du studio de développement, Ghost Skip Games. Vous pouvez également consulter la page Steam du jeu.

Edit : D’après la roadmap, l’accès anticipé devrait arriver en novembre 2024. Merci Taaank de l’avoir relevé.

Dark Creations, la saison 6 de Battlefield 2042 sort le 10 octobre

On avait eu un très court aperçu de la future saison 6 de Battlefield 2042 en août dernier, mais DICE a publié, il y a quelques jours, un nouveau teaser et du gameplay pour celle-ci, intitulée Dark Creations. Elle sera disponible dès le 10 octobre prochain. Une nouvelle carte sera proposée, du doux nom de Redacted, et prendra place de nuit, a priori uniquement en intérieur et réservée à l’infanterie : la plus grande partie de la vidéo de gameplay se déroule dans des endroits confinés, des sortes de labos et couloirs étriqués. On peut y voir des soldats avec les yeux jaunes, mais comme ils meurent comme les autres, aucune idée de leur particularité. D’autre part, un nouveau véhicule fait également son apparition, que l’on pourrait décrire comme un scooter des airs : c’est comme une motomarine, mais avec des hélices de drones. Si on a bien tout compris, il ne sera donc pas disponible sur la map Redacted.

La vidéo met évidemment l’emphase sur les nombreux skins et récompenses premium que vous pourrez débloquer avec le battlepass, à tel point que ça en devient comique. À peine prennent-ils le temps d’annoncer les nouveaux équipements de support à lancer et une nouvelle arme ! Enfin, un événement est également prévu pour halloween, et on se doute qu’un monstre sera de la partie.

Vous pourrez retrouver cette nouvelle saison 6 dès le 10 octobre sur Battlefield 2042, que vous l’ayez sur Steam, sur EA Play ou via le Xbox Game pass.

Devilated a sorti une nouvelle mise à jour

Disparu de nos radars depuis sa sortie en accès anticipé en 2021, Devilated ne nous avait pas vraiment manqué. C’est un FPS indé mélangeant RPG horreur, et son développeur a publié une bande-annonce pour le déploiement de sa mise à jour. Hormis la longue liste de correctifs et de nouveautés que nous vous laisserons découvrir en consultant le billet de blog Steam, le développeur a annoncé avoir changé de pseudo pour ne pas se prendre un copyright hamé ha des ayant-droits de la licence Dragon Ball, et a convaincu Gianni Matragrano, un doubleur connu dans l’univers vidéoludique et de l’animation , de travailler sur son jeu.

Dans cet univers démoniaque, vous incarnerez Devilated qui traversera de nombreux labyrinthes peuplés de créatures et de boss, tous plus étranges les uns que les autres. Avec son côté RPG, vous pourrez ramasser, revendre et acheter de nouvelles armes auprès de marchands, pour adapter et varier votre gameplay face à la menace qui vous attend. Le but étant d’obtenir le meilleur score possible.

Au visionnage de la bande-annonce, le gameplay a l’air dynamique et nerveux. Mais, les graphismes n’ont pas l’air particulièrement beaux et l’action devient parfois illisible avec tous ces effets visuels. N’ayant pas marqué spécialement notre intérêt au sein de la Rédac, la tendance chez les joueurs Steam semble également se confirmer, vu qu’une moyenne de trois joueurs observée depuis le 30 septembre.

Si vous êtes malgré tout intéressé par Devilated, vous pouvez vous le procurer en accès anticipté sur Steam à environ 20 €.

Wizordum sortira en accès anticipé le 15 novembre

On vous en avait parlé il y a plus d’un anWizordum est un rétro FPS dans lequel vous incarnerez un mage parcourant des donjons en éclatant des créatures chaotiques à l’aide de différents sorts. Cela rappelle forcément Hexen et Heretic, mais avec une DA un peu plus cartoon. Les développeurs ont publié le 2 octobre une bande annonce pour une sortie en accès anticipé le 15 novembre prochain.

Wizordum sera disponible sur Steam pour 15 €. En attendant, la démo, toujours téléchargeable sur Steam, a été mise à jour.

[TEST] Ion Fury: Aftershock : l’ordinaire assumé

Deux ans et demi après son annonce, Voidpoint sort enfin son DLC pour Ion Fury, nommé AftershockIon Fury est un rétro FPS développé sur ce bon vieux Build Engine et qui, à sa sortie en 2019, ne nous avait pas convaincus. En cause, son trop grand classicisme, une IA lobotomisée et des armes mollassonnes. Voidpoint a-t-il corrigé le tir avec Aftershock ? Non. Cependant, cette fois, on s’amuse quand même.

Genre : Rétro-FPS Développeur : Voidpoint, LLC | Éditeur : 3D Realms | Plateforme : Steam | Configuration minimum : CPU 64-bit (Intel ou AMD), 1024 Mo de RAM, GPU avec 512 Mo de mémoire | Prix : 15 € Langues : Anglais Date de sortie : 02/10/2023 Durée de vie : environ 5 h

Test réalisé sur une version fournie par l’éditeur

Ion Fury: Aftershock header

La furie douce

Comme pour Capital Offense (le nom de la campagne originelle), on commence dans un bar et les mêmes cyborgs nous font renverser notre verre et veulent notre peau. Sans grande surprise, les défauts relevés dans notre test de 2019 sont toujours bien présents. Les armes manquent globalement de feedback, et le plus satisfaisant reste de chercher à mettre des headshots. Ah si ! Une des deux nouvelles munitions pour le shotgun, appelée cluster grenade, est sympa à utiliser, et permet de dérouler un tapis explosif aux pieds des ennemis. Certains power-up sont par contre assez drôles, comme celui qui nous transforme en RoboCop, ou encore celui qui rend toutes nos armes plus puissantes – le minigun lance des grenades, il y a moyen de rigoler.

L’IA n’a pas non plus changé : elle est toujours aussi nulle. Les ennemis restent assez statiques et aiment se coincer dans les murs. Par exemple, dès que le joueur est en hauteur, les adversaires font des câlins à la paroi en-dessous de nous. Il arrive que certains viennent nous chercher, mais ça reste assez rare. Cela m’a aussi fait pester contre les grenades, présentées sous forme de boules de bowling. On les jette au sol et elles sont sensées se diriger vers les ennemis pour les faire exploser, mais dans les faits, il arrive fréquemment que la grenade se perde en chemin et n’explose pas s’il y a trop d’obstacles sur la route. L’intérêt de cette arme en prend un sacré coup, puisqu’il est difficile de se reposer dessus pour faire le ménage en restant à couvert, contrairement à la dynamite dans Blood ou les pipe bombs dans Duke Nukem 3D. Heureusement, le lance-grenades reste une valeur sûre pour cette tâche, pour peu qu’on ait assez de munitions.

20231006150055 1
Les ennemis peuvent être difficiles à distinguer des environnements. En plissant les yeux, vous verrez un cyborg sur chenilles coincé derrière un banc. Si, si, regardez bien.

L’enfer du hitscan

La dynamique des affrontements reste la même que dans le jeu de base. Il faut progresser méthodiquement, et abuser du F5 / F9 pour anticiper le placement retors des ennemis, qui semblent affectionner les recoins sombres et autres placards à balais. Il m’est aussi arrivé plusieurs fois de voir des adversaires apparaître sous mon nez : on avance dans une zone qui semble complètement vide et lorsqu’on passe un trigger, hop, ça spawn. Si on avance un tout petit peu vite, c’est assez déroutant. De plus, notre personnage est assez fragile, et le jeu aime bien placer des ennemis solides, et qui font très mal, dans des couloirs ou de très petites salles. Cela peut s’avérer assez pénible si on n’a pas fait une sauvegarde juste avant. Pire, le jeu aime les portes (Build Engine, environnements réalistes tout ça…) mais elles se referment toutes seules, et beaucoup trop vite. Il m’est ainsi très souvent arrivé de passer un seuil, tirer, et vouloir ressortir immédiatement, mais de me retrouver coincé et mourir en regardant la porte close.

Ion Fury: Aftershock 4
Illustration des pires combats du jeu : vous êtes dans un couloir avec ces saloperies volantes qui crachent des volées de missiles.

Beaucoup d’ennemis sont des hitscanners, c’est-à-dire que les projectiles tirés nous atteignent sans délai, au lieu d’avoir une balistique. Ce n’est pas forcément problématique dans les zones ouvertes, leur précision n’étant pas infinie, mais en intérieur, il arrive fréquemment que l’on prenne des dégâts avant que l’on puisse réagir. Je n’ai pas trouvé ça rédhibitoire, même si parfaitement énervant dans les moments où il ne nous reste que 20 HP et qu’on cherche un kit de soin.

Après l’avoir bien descendu, on va quand même dire pourquoi Aftershock, c’est bien.

Build-omancy

Comme pour Ion Fury tout court, Voidpoint pousse le Build Engine dans ses retranchements. Les développeurs ont même compris que, ce qu’ils font le mieux, ce sont les panoramas extérieurs et les changements en temps réel des niveaux par des explosions démesurées. Ainsi, le jeu se passe essentiellement dehors, donnant plus de place à des décors d’excellente facture et des moments de bravoure vidéoludique.

Ion Fury: Aftershock 3
Ça a quand même de la gueule.

On traverse quatre zones pendant la durée du DLC avec chacune une identité visuelle propre. Le rythme est plutôt bien géré et on passe d’une zone à l’autre avant de se lasser. La grosse nouveauté mise en avant est évidemment la section en véhicule : la Hover Bike. C’est très impressionnant techniquement, on parcourt les niveaux à toute vitesse – la première étape est d’ailleurs chronométrée, et nous donne une note à la fin – tout en massacrant les ennemis qui tentent vainement de nous barrer la route. Cette partie du jeu est fortement inspirée de Route Kanal d’Half-Life 2 : on alterne entre phases à moto et phases à pied pour dégager les obstacles qui obstruent notre chemin. On a même le droit à un passage en vue à la troisième personne (hérésie !) façon Shoot’em up avec un combat de boss ; rien d’exceptionnel, mais ça participe à renouveler le gameplay.

Ion Fury: Aftershock 2
Flashback d’Half-Life 2.

Certains passages sont, cependant, moins agréables. Celui dans des tunnels sombres, où on ne voit pas à plus de 5 m, infestés d’ennemis et avec très peu de munitions et d’items de soin, fut particulièrement frustrant à traverser. On comprend tout de même l’intention des développeurs : faire référence aux survival-horrors, ce qui est d’ailleurs bien amené par le reste du niveau.

Ce sont ces moments au level design inspiré avec des références à d’autres jeux, ou la culture populaire en général, et apportant de nouvelles idées de gameplay, qui rendent Aftershock plaisant. Cette extension étant plus courte que la campagne principale, l’ensemble est plus maîtrisé et ne s’essouffle pas sur la durée. C’est peut-être ce que Voidpoint aurait dû faire dès le départ, un jeu plus court avec plus d’idées différentes.

Dommage que ce ne soit pas un stand-alone

Si vous n’aviez pas du tout adhéré à la proposition d’Ion Fury, ce n’est pas Aftershock qui vous fera changer d’avis. On affronte essentiellement les mêmes ennemis idiots (ou insupportables pour certains), avec les mêmes armes aux sensations moyennes. Là où ce DLC fait mieux, c’est sur son rythme effréné, son gameplay varié, et un level design plus inspiré. Si vous aviez un tant soit peu apprécié Ion Fury, cette extension est tout à fait recommandable. Il est juste regrettable de devoir posséder le jeu de base pour en profiter, cette campagne additionnelle étant la meilleure des deux.

Vous avez du mal à vous y retrouver dans le catalogue Steam ? Alors suivez le groupe de curation NoFrag pour vous aider à séparer le bon grain de l’ivraie.

Contraband Police : le mode « sans fin » est enfin là

Annoncé en avril dernier pour le mois de mai, le mode « sans fin » de Contraband Police est enfin sorti. Pour rappel, le jeu d’origine est un simulateur de douanier réalisé par Play Way, spécialiste de simulateurs éclatés… Voire un peu cringe. Malgré des attentes assez faibles, la rédaction avait été agréablement surprise par le jeu lors du test. Ce mode (également appelé « Inspecteur »), devrait vous offrir des options supplémentaires ainsi que des nouveautés dans le gameplay. On devrait vivre l’histoire à travers Nikola Roznikov, chargé de reconstruire son poste de frontière de Karikatka en ruine.

Les changements notables à souligner sont surtout de l’ordre du gameplay. Vous devriez par exemple vivre 10 étapes du parcours de la carrière d’un policier, découvrir 5 nouvelles missions quotidiennes ou encore 2 nouvelles voitures de police. Si vous êtes passionné d’administration (ne riez pas, ça doit forcément exister), vous devriez également découvrir des nouveaux documents et règlements pour les arrestations. Malheureusement, il n’est indiqué nulle part une potentielle amélioration des graphismes qui semblent piquer toujours autant les yeux. Dans ce mode, il n’est toujours pas question de personnages féminins qui étaient déjà absents dans les versions antérieures du jeu comme l’avait souligné Estyaah dans son test.

Si vous êtes intrigué par ce jeu (ou que vous vouez un culte à Darmanin, dans ce cas chacun son problème), vous pouvez le retrouver sur Steam en promo à 15,60 euros.

Soulslinger: Envoy of Death, un nouveau rogue-lite qui souffle le chaud et le froid

Annoncé fin août dernier, nous avons découvert l’existence de Soulslinger: Envoy of Death il y a quelques jours, et qu’il avait une démo. Il s’agit d’un rogue-lite FPS mélangeant l’univers du western et les mythologies autour de la mort. La direction artistique semble plutôt pas mal et les mécaniques de jeu sont classiques, mais pas inintéressantes. Dans un autre style graphique, il pourrait faire penser au sympathique Perish. On nous propose ici de parcourir des niveaux de manière aléatoire, dans lequel il faudra vaincre une vague d’ennemis pour gagner un nouveau pouvoir à choisir entre trois, ou des ressources pour crafter de nouvelles armes et équipements. On continue alors notre aventure en entrant dans un nouveau niveau, et ainsi de suite. Le décès de notre personnage, qui surviendra forcément à un moment ou à un autre, permet de revenir dans un hub – plutôt sympa graphiquement –, qui donne l’opportunité d’améliorer son personnage et de causer avec la Mort en personne.

On a pu tester la démo pendant quelques dizaines de minutes, et malgré un scénario OSEF 2000™, on aurait presque envie d’accrocher au titre. Malheureusement, la partie FPS est pour l’instant vraiment ratée, avec un gunfeel aux abonnés absents et des ennemis qui ne réagissent pas vraiment à nos tirs. En plus, l’équipe de développement, composée d’une petite dizaine de personnes, s’est dit que de mettre une aide à la visée par défaut, sans possibilité de la désactiver, serait une bonne idée. En résulte une absence totale de satisfaction quand on tue un ennemi, puisqu’il suffit de vaguement tirer dans sa direction pour qu’il meure. Si les développeurs ont a priori réduit cette aide dans un récent patch de la démo, on espère qu’ils entendront raison en laissant les joueurs décider eux-mêmes s’ils veulent gâcher leur expérience en laissant le PC jouer à leur place. D’autre part, si c’est le tout premier FPS de l’équipe, elle a quelques réalisations à son actif, mais ce n’est pas forcément rassurant. Le seul espoir qui reste pour en faire quelque chose d’intéressant, c’est qu’elle semble plutôt à l’écoute des différentes remarques qu’on peut faire sur son serveur Discord officiel.

Quoi qu’il en soit, Soulslinger: Envoy of Death est prévu pour sortir en accès anticipé à la fin de cette année sur Steam. En attendant, si vous avez des conseils à leur donner pour améliorer le feeling, les développeurs seront sans doute ravis de les lire.

Who is Abby : un simulateur de marche sur UE5

Cyberflux Games, Gabro Media, et Rate My Funeral renouvellent leur association pour sortir un jeu de puzzle / simulateur de marche. Leur premier titre, Stocksynd House, était du même acabit, mais en VR. Il est, en fait, très probable que ce ne soit qu’une seule et même personne derrière tous ces noms. Le site de Cyberflux étant géré par Rate My Funeral, un site qui vend des formations de design 3D où tout est écrit à la première personne du singulier, et Gabro Media étant un vendeur d’assets Unity.

Pourquoi cette personne essaie-t-elle de se faire passer pour un groupe d’individus ? Pourquoi s’obstiner à vouloir faire des jeux sans gameplay qui n’intéresseraient qu’Estyaah ? Who is Abby abordera-t-il ces questions existentielles ?

Le jeu est apparemment développé sous Unreal Engine 5, donc en plus d’être moche, ça rame. Au moins, c’est raccord avec le trailer au montage épileptique et au doublage insupportable.

Si vous aimez les jeux nuls, Who is Abby est prévu pour sortir en accès anticipé sur Steam le 18 octobre.

 

Les hordes de zombies envahissent Call of Duty: Modern Warfare III

Nous vous en parlions le mois dernier, le mode zombie de Call of Duty: Modern Warfare III se dévoile ici un peu plus au travers d’une nouvelle bande-annonce. Cette fois-ci, plusieurs équipes pourront massacrer des hordes de zombies classiques, ainsi que des spéciaux toujours plus moches, dans un monde ouvert. Le gameplay se basera sur des mécaniques de battle royale avec réduction de la carte due à une tempête d’Aether, et de l’extraction shooters avec le stockage d’armes exfiltrées que l’on pourra réutiliser lors de prochaines parties.

Pour le reste, c’est du déjà-vu avec l’obtention d’armes spéciales et de power-ups avec la machine Sacré Punch, le Cola énergisant, la Boîte Mystère ou encore les Armes miracles. On notera la présence de véhicules, dont une moto ultra flashy qui semble émettre une onde de choc. Vous pouvez en apprendre davantage en consultant le très long billet de blog Steam.

Il y a tout de même une surenchère sur le bonus de la précommande. Si, jusque-là, vous aviez résisté au skin zombie de Ghost, les développeurs ont décidé de vous rajouter le plan d’une arme nommée Soul Harvester. Franchement, si vous hésitez encore, qu’est-ce qu’il vous faut de plus ? (peut-être payer moins cher le jeu de base, vu tout le fric que vous allez raquer avec les microtransactions, qui sait ?)

Prévu pour le 10 novembre, vous pouvez toujours précommander Call Of Duty: Modern Warfare III sur Steam et Battle.net pour 70 € environ.

The Talos Principle 2 a sorti une démo

Annoncé pour le 2 novembre, The Talos Principle 2, le FPS d’énigmes saupoudré d’une narration philosophique, n’a pas souhaité attendre le Steam Néo Fest de ce mois pour publier sa démo. Disponible depuis la fin de semaine dernière sur la page Steam du jeu, vous devrez ainsi vous creuser les méninges pour résoudre les puzzles et tenter d’obtenir des réponses à des questions existentielles en parcourant différents environnements. En tant que robot, vous pourrez compter sur des capacités telles que la manipulation de la gravité ou le transfert d’esprit pour progresser dans le jeu.

Si vous êtes convaincu après avoir essayé la démo, vous pouvez précommander le nouvel opus de The Talos Principle  sur Steam ou Epic Games Store en profitant d’une réduction de 10% jusqu’au 2 novembre.

Scene Investigators, un FPS d’enquête sur des scènes de crime sortira le 24 octobre 2023

Découvert durant le Steam Néo Fest de février 2023 par notre expert Estyaah, Scene Investigators a publié une bande-annonce pour dévoiler sa date sortie, le 24 octobre 2023. Si vous caressiez le doux rêve inaccessible de devenir détective privé, sachez désormais que vous aurez l’opportunité d’en incarner un, en résolvant des affaires avec votre esprit d’analyse et de déduction. Il vous faudra analyser les différentes scènes de crime et récupérer les indices qui s’y trouvent pour identifier le coupable. Si vous souhaitez vous faire un avis plus concret, vous pouvez vous essayer à la démo disponible sur la page Steam du jeu.

Si vous aimez résoudre des dossiers criminels, vous pouvez ajouter Scene Investigators à votre liste de souhaits Steam en attendant sa sortie le 24 octobre prochain.

Burning Lands, le Squad-like au Vietnam, publie une nouvelle vidéo de gameplay

On vous en parle régulièrement depuis février dernier, Burning Lands est un Squad-like pendant la guerre du Vietnam. Les développeurs, Zero Hour Interactive, viennent de publier une nouvelle vidéo de gameplay de quatre minutes.

Le projet a toujours l’air aussi prometteur, malgré de sévères problèmes de performance, surtout considérant le petit nombre de joueurs semblant participer à l’affrontement présenté.

La campagne de financement Kickstarter est encore affichée comme « bientôt en ligne », mais en attendant, vous pouvez ajouter Burning Lands à votre liste de souhaits sur Steam.

❌